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Accueil - Information professionnelle sur Copaxone 20mg/ml - Changements - 11.03.2017
82 Changements de l'information professionelle Copaxone 20mg/ml
  • -Solution injectable en seringues prêtes à l'emploi (1 ml): à 20 mg.
  • -20 mg/ml d'acétate de glatiramère correspondant à 18 mg/ml de glatiramère base.
  • +Solution injectable en seringues préremplies (1 ml): à 40 mg/ml d'acétate de glatiramère correspondant à 36 mg/ml de glatiramère base.
  • -Copaxone est indiqué pour le traitement des patients présentant un premier symptôme clinique neurologique pouvant indiquer une sclérose en plaques (Clinically isolated Syndrom, CIS), et qui ont un risque élevé de développer une sclérose en plaque clinique définitive.
  • -Copaxone est indiqué pour réduire la fréquence des poussées et pour ralentir la progression du handicap ainsi que l'intensité et la sévérité maladie chez les patients présentant une sclérose en plaques (SEP) rémittente avec un score de ≤5 sur l'EDSS. Dans les études cliniques ceci à été démontré par au moins 2 poussées avec des troubles neurologiques pendant les deux dernières années (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • -L'efficacité de Copaxone chez les patients atteints de SEP chronique progressive d'emblée ou secondairement progressive ainsi que de SEP secondairement progressive avec poussées superposées, n'a pas été démontrée jusqu'à présent.
  • -L'efficacité n'a pas été démontrée en dehors du groupe d'âge de 18 à 50 ans. Il manque aussi des expériences provenant d'études contrôlées menées sur plus de 3 ans.
  • +Copaxone est indiqué pour le traitement des formes récurrentes de la sclérose en plaques (SEP). Copaxone n'est pas indiqué dans la SEP progressive primaire ou secondaire.
  • -L'instauration et la reprise du traitement par Copaxone doivent être réalisés sous le contrôle d'un neurologue ou d'un médecin possédant une expérience dans le traitement de la sclérose en plaques.
  • -Des données d'exposition à ce traitement provenant d'études non contrôlées sont disponibles avec un recul d'au moins 6 ans.
  • +La posologie recommandée chez l'adulte est de 40 mg de Copaxone (une seringue préremplie), administré en injection sous-cutanée trois fois par semaine à 48 heures d'intervalle minimum.
  • +L'instauration et la reprise du traitement par Copaxone doivent être réalisées sous le contrôle d'un neurologue ou d'un médecin possédant une expérience dans le traitement de la sclérose en plaques.
  • +A l'heure actuelle, on ignore pendant combien de temps le patient doit être traité par Copaxone 40 mg/ml. Une décision concernant un traitement de longue durée doit être prise par le médecin traitant.
  • -Adultes: La posologie recommandée de Copaxone dans le traitement de la sclérose en plaques évoluant par poussée est une administration quotidienne de 20 mg de Copaxone en injection sous-cutanée.
  • -Un traitement à long terme est conseillé; il ne devrait être arrêté que sur recommandation du médecin traitant.
  • -Si durant le traitement avec Copaxone, des poussées successives surviennent, le bénéfice de la poursuite du traitement n'est pas démontré.
  • -Personnes âgées et insuffisants rénaux: Copaxone n'a pas été spécifiquement étudié dans ces populations.
  • -Enfants et adolescents: Des études cliniques ou pharmacocinétiques prospectives randomisées et contrôlées n'ont pas été effectuées chez des enfants ou adolescents. Des données limitées provenant de publications indiquent un profil de sécurité de Copaxone chez les adolescents (entre 12 et 18 ans) similaire à celui des adultes, ainsi qu'un effet clinique semblable. Copaxone ne doit pas être appliqué chez les enfants de moins de 12 ans.
  • +Patients dont la fonction rénale est diminuée:
  • +L'efficacité et la sécurité n'ont pas été étudiées chez les patients ayant une limitation de la fonction rénale (voir aussi rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients âgés:
  • +L'efficacité et la sécurité n'ont pas été étudiées chez les patients de plus de 55 ans.
  • +Enfants et adolescents:
  • +L'efficacité et la sécurité n'ont pas été étudiées chez les enfants et les adolescents. Les données disponibles sur l'utilisation de Copaxone 40 mg/ml chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans ne sont pas suffisantes pour recommander son utilisation. Copaxone 40 mg/ml ne doit donc pas être utilisé chez ce groupe de patients.
  • -Les sites d'injection sous-cutanée incluent les bras, l'abdomen, les fesses/hanches et les cuisses. Il est conseillé de changer chaque jour le lieu de l'injection pour éviter l'apparition d'irritations ou de douleurs consécutives à l'injection.
  • +Les sites d'injection sous-cutanée incluent les bras, l'abdomen, les fesses/hanches et les cuisses. Il est conseillé de choisir un site différent pour chaque injection afin d'éviter l'apparition d'irritations ou de douleurs consécutives à l'injection.
  • -La seule voie d'administration recommandée est la voie sous-cutanée. Copaxone ne doit pas être administré par voie intra-veineuse ou intramusculaire.
  • -Les patients doivent être instruits sur les techniques d'auto-injection et la première auto-injection doit être réalisée sous la surveillance, pendant au moins 30 minutes au début ou en cas d'une reprise du traitement (cf. «Posologie/Mode d'emploi»), d'un professionnel de la santé.
  • -Dans les minutes qui suivent une injection de Copaxone, peuvent survenir des réactions se manifestant par l'un des symptômes suivants au moins: vasodilatation (flush), douleurs thoraciques, dyspnée, palpitations ou tachycardie (cf. aussi le chapitre «Effets indésirables»). Le patient doit être informé par le médecin de la survenue possible de telles réactions, dont la majorité sont de courte durée et disparaissent spontanément sans laisser de séquelles. En cas de réaction indésirable grave, le patient interrompra le traitement de Copaxone sans délai et avertira son médecin traitant ou le médecin de garde. Le médecin décidera s'il y a lieu d'introduire un traitement symptomatique.
  • +Copaxone doit être administré uniquement par voie sous-cutanée.
  • +Copaxone ne doit pas être administré par voie intraveineuse ou intramusculaire.
  • +Les patients doivent être instruits sur les techniques d'auto-injection et la première auto-injection doit être réalisée sous la surveillance, pendant au moins 30 minutes au début ou en cas d'une reprise du traitement (voir aussi «Posologie/Mode d'emploi»), d'un professionnel de la santé.
  • +Dans les minutes qui suivent une injection de Copaxone, peuvent survenir des réactions se manifestant par l'un des symptômes suivants au moins: vasodilatation (flush), douleurs thoraciques, dyspnée, palpitations ou tachycardie (voir aussi «Effets indésirables»). Le patient doit être informé par le médecin traitant de la survenue possible de telles réactions, dont la majorité sont de courte durée et disparaissent spontanément sans laisser de séquelles. En cas de réaction indésirable grave, le patient interrompra le traitement de Copaxone sans délai et avertira son médecin traitant ou le médecin de garde. Le médecin décidera s'il y a lieu d'introduire un traitement symptomatique.
  • -Chez les patients avec insuffisance rénale, il faut contrôler régulièrement la fonction rénale durant le traitement de Copaxone. Bien qu'on ne dispose d'aucune indication pour l'existence chez l'homme de dépôts de complexes immuns dans les glomérules, cette éventualité ne peut être entièrement exclue.
  • +Des anticorps anti-acétate de glatiramère ont été détectés dans le sérum de patients sous traitement journalier chronique par Copaxone. Le taux maximal d'anticorps a été atteint en moyenne après 3 à 4 mois de traitement, puis ce taux a décru et s'est stabilisé à un niveau légèrement supérieur à sa valeur de base. Il n'y a pas de données suggérant que ces anticorps anti-acétate de glatiramère soient de type neutralisant ou que leur production puisse altérer l'efficacité clinique de Copaxone.
  • +Chez les patients avec insuffisance rénale, il faut contrôler régulièrement la fonction rénale durant le traitement par Copaxone. Bien qu'on ne dispose d'aucune indication pour l'existence chez l'homme de dépôts de complexes immuns dans les glomérules, cette éventualité ne peut être entièrement exclue.
  • -L'administration concomitante de corticoïdes jusqu'à 28 jours chez des patients recevant Copaxone a été bien tolérée.
  • -In vitro, les données disponibles suggèrent que l'acétate de glatiramère est fortement lié aux protéines plasmatiques, mais n'est pas déplacé par, et ne déplace pas, la phénytoïne ou la carbamazépine. Néanmoins, dans la mesure où Copaxone possède, théoriquement, la capacité d'affecter la distribution des molécules se liant fortement aux protéines plasmatiques, la coprescription de telles substances doit se faire sous stricte surveillance.
  • +Une augmentation de l'incidence des réactions au site d'injection a été observée chez les patients traités simultanément par des corticostéroïdes.
  • +In vitro, les données disponibles suggèrent que l'acétate de glatiramère est fortement lié aux protéines plasmatiques, mais n'est pas déplacé par, et ne déplace pas, la phénytoïne ou la carbamazépine. Néanmoins, dans la mesure où Copaxone possède, théoriquement, la capacité d'affecter la distribution des molécules se liant fortement aux protéines plasmatiques, la co-administration de telles substances doit se faire sous stricte surveillance.
  • -On ne dispose pas d'études suffisantes réalisées sur des animaux en ce qui concerne les effets sur la grossesse, le développement de l'embryon, le développement du foetus et/ou le développement postnatal. Le risque potentiel pour l'homme n'est pas connu.
  • +Grossesse: on ne dispose pas d'études suffisantes réalisées sur des animaux en ce qui concerne les effets sur la grossesse, le développement de l'embryon, le développement du foetus et/ou le développement postnatal. Le risque potentiel pour l'homme n'est pas connu.
  • -Copaxone ne doit être administré à la femme qui allaite qu'avec la plus grande précaution, car aucune donnée n'est disponible concernant le passage de l'acétate de glatiramère ou de ses métabolites dans le lait maternel. Les bénéfices attendus et les risques relatifs chez la mère et l'enfant doivent être pris en considération.
  • +Allaitement: Copaxone ne doit être administré à la femme qui allaite qu'avec la plus grande précaution, car aucune donnée n'est disponible concernant le passage de l'acétate de glatiramère ou de ses métabolites dans le lait maternel. Le risque et le bénéfice relatifs pour la mère et l'enfant doivent être pris en considération.
  • -Copaxone a été administré à environ 3500 patients et volontaires sains pendant la période de développement clinique.
  • -Des réactions au site d'injection ont été observées le plus fréquemment et ont été rapportées par la majorité des patients traités par Copaxone (70% verum vs 37% placebo). Les réactions locales les plus fréquentes étaient: érythème, douleur, apparition de plaques prurigineuses, prurit, oedème, inflammation et augmentation de la sensibilité au site d'injection.
  • -Des réactions post-injection immédiates ont été décrites en liaison avec au moins un des symptômes suivants: vasodilatation, douleur thoracique, dyspnée, palpitations ou tachycardie (31% des patients traités par Copaxone, contre 13% traités par placebo).
  • +La plupart des données de sécurité relatives à Copaxone ont été réunies avec Copaxone 20 mg/ml administré en injection sous-cutanée une fois par jour. Le chapitre suivant présente les données de sécurité réunies lors de quatre essais contrôlés contre placebo avec Copaxone 20 mg/ml administré une fois par jour et lors d'un essai contrôlé contre placebo avec Copaxone 40 mg/ml administré trois fois par semaine.
  • +La sécurité de Copaxone 20 mg/ml (administré quotidiennement) et 40 mg/ml (administré trois fois par semaine) n'a pas fait l'objet d'une comparaison directe dans une même étude; de même, le passage d'un dosage à l'autre n'a pas été étudié.
  • +Copaxone 20 mg/ml (administré une fois par jour)
  • +Les réactions au site d'injection ont été les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (70% Copaxone 20 mg/ml vs 37% placebo). Les réactions locales les plus fréquentes étaient: érythème, douleur, apparition de plaques prurigineuses, prurit, oedème, inflammation et augmentation de la sensibilité au site d'injection.
  • +Des réactions immédiates survenant dans les minutes qui suivent l'injection (réactions post-injection) ont été décrites sous les symptômes suivants: vasodilatation, douleur thoracique, dyspnée, palpitations ou tachycardie
  • +Au moins une composante de ces réactions post-injection immédiates a été rapportée, au moins une fois, par 31% des patients recevant Copaxone 20 mg/ml comparé à 13% dans le groupe placebo.
  • -Tous les événements indésirables qui se sont manifestés avec une incidence plus élevée sous Copaxone que sous placebo (* incidence plus élevée de 2% sous Copaxone que sous placebo) sont repris dans la liste ci-dessous. Ces données émanent de quatre études pivotales, menées en double aveugle et contrôlées par placebo, dans lesquelles 512 patients ont été traités par Copaxone et 509 patients traités par placebo (durée du traitement maximale: 36 mois). Trois de ces études cliniques comprenaient 269 patients présentant une sclérose en plaques de forme rémittente, traités par Copaxone, et 271 patients présentant une sclérose en plaques de forme rémittente, traités par placebo (duré du traitement maximale: 35 mois). La quatrième étude a été effectuée chez des patients ayant vécu un premier épisode clinique et présentant un risque élevé d'une sclérose en plaques définitive, et comprenait 243 patients traités par Copaxone et 238 patients traités par placebo (durée maximale du traitement 36 mois).
  • +Tous les événements indésirables qui se sont manifestés avec une incidence plus élevée sous Copaxone 20 mg/ml que sous placebo (* incidence plus élevée de 2% sous Copaxone que sous placebo) sont repris dans la liste ci-dessous. Ces données émanent de quatre études pivotales, menées en double aveugle et contrôlées par placebo, dans lesquelles 512 patients ont été traités par Copaxone 20 mg/ml et 509 patients traités par placebo (durée du traitement maximale: 36 mois). Trois de ces études cliniques comprenaient 269 patients présentant une SEP rémittente-récurrente (SEP-RR) traités par Copaxone 20 mg/ml, et 271 patients présentant une SEP-RR traités par placebo (duré du traitement maximale: 35 mois). La quatrième étude a été effectuée chez des patients ayant vécu un premier épisode clinique et présentant un risque élevé d'une sclérose en plaques définitive, et comprenait 243 patients traités par Copaxone 20 mg/ml et 238 patients traités par placebo (durée maximale du traitement 36 mois).
  • -Il doit être indiqué explicitement que les valeurs énumérées dans le tableau ne permettent pas de faire des déductions sur l'incidence des effets secondaires dans la pratique journalière.
  • -Infections
  • -Très fréquents (>1/10): infections (31,8%), symptômes semblables à ceux de la grippe (15,4%).
  • +Infections et infestations
  • +Très fréquents (>1/10): infections (31,8%), grippe (15,4%).
  • -Néoplasmes
  • +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl. kystes et polypes)
  • -Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): leucocytose, leucopénie, splenomégalie, thrombocytopénie, morphologie lymphocytaire anormale.
  • -Troubles du système immunitaire
  • +Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): leucocytose, leucopénie, splénomégalie, thrombocytopénie, morphologie lymphocytaire anormale.
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles endocriniens
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): goître, hyperthyroïdie.
  • +Affections endocriniennes
  • +Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): goitre, hyperthyroïdie.
  • -Troubles psychiatriques
  • +Affections psychiatriques
  • -Système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): syndrome du tunnel carpien, troubles cognitifs, convulsions, troubles de l'écriture, dyslexie, dystonie, troubles moteurs, myoclonus, névrite, blocage neuro-musculaire, nystagmus, paralysie, paralysie du nerf péronier, stupeur, trouble du champ visuel, aphasie.
  • -Troubles oculaires
  • +Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): syndrome du tunnel carpien, troubles cognitifs, convulsions, troubles de l'écriture, dyslexie, dystonie, troubles moteurs, myoclonus, névrite, blocage neuromusculaire, nystagmus, paralysie, paralysie du nerf péronier, stupeur, trouble du champ visuel, aphasie.
  • +Affections oculaires
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): cataracte, lésions de la cornée, oeuil sec, hémorragie ophtalmique, ptose, mydriase, atrophie du nerf optique.
  • -Oreille et oreille interne
  • +Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): cataracte, lésions de la cornée, oeil sec, hémorragie ophtalmique, ptose, mydriase, atrophie du nerf optique.
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • -Troubles cardiaques
  • +Affections cardiaques
  • -Troubles vasculaires
  • +Affections vasculaires
  • -Organes respiratoires
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): troubles fonctionnels rectaux, constipation, caries dentaires, dyspepsie, dysphagie, incontinence intestinale, vomissements*.
  • +Fréquents (>1/100, ≤1/10): troubles fonctionnels anorectaux, constipation, caries dentaires, dyspepsie, dysphagie, incontinence intestinale, vomissements*.
  • -Foie et bile
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Peau
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): angiooedème, dermatite de contact, érythème noueux, nodules cutanés.
  • -Troubles musculosquelettiques
  • +Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): angio-oedème, dermatite de contact, érythème noueux, nodules cutanés.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): hématurie, néphrolithiaise, troubles de l'appareil urinaire, anomalie urinaire.
  • -Troubles de la grossesse et de la période pré- et post-natale
  • +Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): hématurie, néphrolithiase, troubles de l'appareil urinaire, anomalie urinaire.
  • +Affections gravidiques, puerpérales et périnatales
  • -Organes de reproduction et seins
  • -Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): gonflement des seins, dysfontion érectile, prolapsus du bassin, priapisme, troubles fonctionnels de la prostate, frottis cervical anormal, troubles testiculaires, hémorragie vaginale, trouble de la vulve et du vagin.
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
  • -Très fréquents (>1/10): asthénie (23,8%), douleurs thoraciques (12,5%)*, réactions au site d'injection*¹ (69,5%), douleurs (19,0%)*.
  • -Fréquents (>1/100, ≤1/10): frissons*, oedème au niveau du visage*, atrophie au niveau du site d'injection², réactions locales*, oedèmes périphériques, oedème, fièvre.
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • +Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): gonflement des seins, dysfonction érectile, prolapsus du bassin, priapisme, troubles fonctionnels de la prostate, frottis cervical anormal, troubles testiculaires, hémorragie vaginale, trouble de la vulve et du vagin.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Très fréquents (>1/10): asthénie (23,8%), douleurs thoraciques (12,5%)*, réactions au site d'injection*§ (69,5%), douleurs (19,0%)*.
  • +Fréquents (>1/100, ≤1/10): frissons*, oedème au niveau du visage*, atrophie au niveau du site d'injection♣, réactions locales*, oedème périphérique, oedème, fièvre.
  • -Blessures, empoisonnement et complications liées au processus d'administration
  • +Lésions, intoxications et complications liées aux procédures
  • -¹ Le terme «Réactions au site d'application» (différentes manières) comprend tous les évènements indésirables au site d'injection, à l'exception de l'atrophie et de la nécrose au site d'injection, qui sont mentionnées à part.
  • -² Les termes se rapportant à la lipoatrophie localisée au site d'injection sont inclus.
  • +§ Le terme «Réactions au site d'application» (différentes manières) comprend tous les évènements indésirables au site d'injection, à l'exception de l'atrophie et de la nécrose au site d'injection, qui sont mentionnées à part.
  • +♣ Les termes se rapportant à la lipodystrophie localisée au site d'injection sont inclus.
  • +Copaxone 40 mg/ml (administré trois fois par semaine)
  • +La sécurité de Copaxone 40 mg/ml a été évaluée sur la base d'un essai clinique contrôlé contre placebo, en double aveugle, chez des patients atteints de SEP-RR avec un total de 943 patients traités par Copaxone 40 mg/ml trois fois par semaine et 461 patients traités par le placebo pendant 12 mois.
  • +De façon générale, les effets indésirables observés chez les patients traités par Copaxone 40 mg/ml trois fois par semaine ont été de même nature que ceux déjà connus pour Copaxone 20 mg/ml administré quotidiennement et mentionnés dans l'information professionnelle autorisée.
  • +Des réactions au site d'injection ont été rapportées chez 36% des patients sous Copaxone 40 mg/ml contre 5% des patients sous placebo. Des réactions post-injection immédiates ont été rapportées chez 8% des patients sous Copaxone 40 mg/ml contre 2% des patients sous placebo.
  • +Quelques effets indésirables spécifiques ont été observés:
  • +Affections du système immunitaire
  • +Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): des réactions anaphylactiques ont été rapportées chez 0,3% des patients traités par Copaxone 40 mg/ml.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Fréquents (>1/100, ≤1/10): érythème cutané (2,1%), douleur dans les extrémités (2,1%). Ces deux effets indésirables n'ont pas été mentionnés pour Copaxone 20 mg/ml.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Occasionnels (>1/1000, ≤1/100): lésions hépatiques d'origine médicamenteuse (0.1%), hépatite toxique (0,1%).
  • +Ces deux effets indésirables n'ont été que rarement mentionnés sous Copaxone 20 mg/ml dans le cadre de la surveillance après commercialisation.
  • +Quelques cas de surdosage avec Copaxone (jusqu'à 300 mg d'acétate de glatiramère) ont été rapportés. Ces cas n'ont été associés à aucun effet indésirable autre que ceux déjà connus.
  • -Copaxone est un agent immunomodulateur utilisé dans le traitement de la sclérose en plaques.
  • -Dans les études précliniques, il a été démontré que l'acétate de glatiramère était efficace en cas de formes aiguës et rémittentes de l'encéphalomyélite allergique expérimentale chez la souris, le rat, le cobaye (à la fois chez l'animal jeune et adulte), le lapin et le primate (singe Rhésus et babouin).
  • -L'acétate de glatiramère induit, par la liaison a la molécule du complexe principal d'histocompatibilité classe II sur les cellules de présentation des antigènes, des lymphocytes T antigènes-spécifiques. Ceux-ci reconnaissent la protéine basique de la myéline, qui est responsable du déclenchement de l'encephalomyélite allergique expérimentale.
  • +Le(s) mécanisme(s) par lequel (lesquels) le glatiramère exerce ses effets chez les patients ayant une SEP n'est (ne sont) pas encore complètement élucidé(s). Néanmoins, on pense que l'acétate de glatiramère agit en modifiant des processus immunologiques actuellement considérés responsables de la pathogenèse de la SEP.
  • +Dans les études précliniques, il a été démontré que l'acétate de glatiramère était efficace en cas de formes aiguës et rémittentes de l'encéphalomyélite allergique expérimentale (EAE) chez la souris, le rat, le cobaye (à la fois chez l'animal jeune et adulte), le lapin et le primate (singe Rhésus et babouin).
  • +L'acétate de glatiramère induit, par la liaison à la molécule du complexe principal d'histocompatibilité classe II sur les cellules de présentation des antigènes, des lymphocytes T antigènes-spécifiques. Ceux-ci reconnaissent la protéine basique de la myéline (PBM), qui est responsable du déclenchement de l'EAE.
  • -SEP de forme aiguë et rémittente
  • -Au total 269 patients présentant une SEP de forme aiguë et rémittente, qui avaient eu au moins deux attaques de troubles fonctionnels neurologiques (exacerbation) en l'espace des deux dernières années, ont été traités dans trois études contrôlées. La première étude était une étude portant sur deux ans avec 50 sujets (Copaxone n= 25, placebo n= 25). Dans la deuxième étude 251 patients ont été traités avec Copaxone durant 35 mois (Copaxone n= 125, placebo n= 126). La dernière étude était une étude portant sur 9 mois avec 239 patients (Copaxone n= 119, placebo n= 120). Dans celle-ci une lésion accumulant le gadolinium devait être présente au IRM.
  • -Une réduction significative du nombre de poussées, une tendance à une augmentation du pourcentage de patients demeurant indemnes de poussées ainsi qu'une prolongation du délai d'apparition de nouvelles poussées ont été observées chez les patients atteints de sclérose en plaque et traités par Copaxone. Des effets positifs ont également pu être observés sur les paramètres IRM importants des formes rémittentes de la SEP.
  • -Tout au long du traitement, les patients sous Copaxone furent plus nombreux par rapport au groupe placebo, à être soit stabilisés sur le plan neurologique, soit améliorés, et l'évolution moyenne de l'échelle de cotation du handicap EDSS (Expanded Disability Status Scale) de Kurtzke, par rapport à sa valeur initiale, a également été en faveur de Copaxone.
  • -Des données d'exposition à ce traitement sont disponibles avec un recul d'au moins 6 années.
  • -Clinically Isolated Syndrome
  • -Une étude contrôlée par placebo avec 481 patients (Copaxone n= 243, placebo n= 238) a été effectuée sur des patients présentant un épisode singulier unifocal bien défini (CIS) et un MRI significatif (au moins deux lésions cérébrales pondérées en T2 de plus de 6 mm de diamètre), sur plus de 3 ans. D'autres maladies devaient être exclues.
  • -Durant l'extension ouverte sur 2 ans 198/243 du groupe Copaxone et 211/238 du groupe placébo ont été inclus.
  • -En comparaison avec le placebo durant la durée du traitement allant jusqu'à trois ans, Copaxone a retardé la progression à partir du premier épisode clinique jusqu'à la SEP clinique définitive (hazard ratio = 0,55; 95% d'intervalle de confiance [0,40; 0,77], valeur p= 0,0005). Copaxone a prolongé la durée de temps jusqu'à l'apparition de la SEP clinique définitive, de 336 jours chez le groupe placebo, à 722 jours chez le groupe Copaxone. Le nombre de nouvelles lésions T2 était plus bas de manière significative chez les patients sous Copaxone (valeur p <0,0001), le volume des lésions T2 a montré une réduction significative de 25% du volume des lésions T2 (valeur p= 0,0002). Le nombre de patients à développer un SEP était de 43% avec le placebo et de 25% avec Copaxone (valeur p= 0,0001).
  • -Le risque de développer une SEP clinique définitive pendant les trois années suivantes en fonction des symptômes initiaux était plus prononcée dans le groupe «cérébral» que dans le groupe «optique» ou «spinal».
  • -Des anticorps anti-acétate de glatiramère ont été détectés dans le sérum de patients sous traitement par Copaxone. Un taux maximal d'anticorps a été obtenu en moyenne après 3 à 4 mois de traitement, puis ce taux a décru et s'est stabilisé à un niveau légèrement supérieur à sa valeur de base. Les études disponibles ne permettent pas de suggérer que ces anticorps anti-acétate de glatiramère soient de type neutralisant ou que leur production puisse altérer l'efficacité clinique de Copaxone.
  • -L'effet obtenu durant l'étude placébo-contrôlée est resté constant sur la phase d'observation de 5 ans. Le temps de la progression jusqu'à la SEP clinique a été prolongé par un traitement au Copaxone précoce. En comparaison avec un traitement plus tardif le traitement précoce a diminué significativement le risque de progression jusqu'à la SEP clinique selon des critères de Poser (p= 0,0005). L'effet favorable d'un traitement précoce avec Copaxone en comparaison avec un traitement tardif a pu être prouvé selon les paramètres IRM.
  • +SEP récurrente-rémittente (SEP-RR):
  • +Les données étayant l'efficacité de Copaxone 40 mg/ml en injection sous-cutanée trois fois par semaine pour réduire la fréquence des poussées sont issues d'une étude de 12 mois contrôlée contre placebo.
  • +Dans l'étude clinique pivot, la sclérose en plaques récurrente-rémittente était caractérisée par au moins une poussée documentée au cours des 12 derniers mois ou au moins deux poussées documentées au cours des 24 derniers mois ou une poussée documentée entre les 12 et 24 derniers mois avec au moins une lésion rehaussée par le gadolinium en T1 documentée lors d'une IRM effectuée au cours des 12 derniers mois.
  • +Le critère d'évaluation principal était le nombre total de poussées confirmées. Les critères d'évaluation IRM secondaires incluaient le nombre cumulé de lésions nouvelles/élargies en T2 et le nombre cumulé de lésions rehaussées sur les séquences pondérées en T1, tous deux mesurés aux mois 6 et 12.
  • +Au total, 1404 patients ont été randomisés selon un ratio de 2:1 en vue de recevoir soit Copaxone 40 mg/ml (n = 943) soit le placebo (n = 461). Les deux groupes de traitement étaient comparables en termes de caractéristiques démographiques initiales, caractéristiques de la SEP et paramètres IRM. Les patients avaient présenté un nombre médian de 2,0 poussées au cours des 2 années précédant la sélection.
  • +Par comparaison avec le placebo, les patients traités par Copaxone 40 mg/ml trois fois par semaine ont présenté des réductions statistiquement significatives des paramètres mesurés comme critères d'évaluation primaires et secondaires, ces réductions étant comparables à l'effet du traitement par Copaxone 20 mg/ml administré quotidiennement.
  • +Le tableau suivant présente les résultats de mesure du critère d'évaluation principal et des critères d'évaluation secondaires au sein de la population en intention de traiter:
  • +Paramètre évalué Estimations moyennes ajustées Valeur de p
  • +Copaxone (40 mg/ml) (n=943) Placebo (n=461)
  • +Taux annualisé de poussées (TAP) 0,331 0,505 p<0,0001
  • +Différence des risques absolus* (intervalle de confiance à 95%) -0,174 [-0,2841 à –0,0639]
  • +Nombre cumulé de lésions nouvelles/élargies en T2 aux mois 6 et 12 3,650 5,592 p<0,0001
  • +Rapport des taux** (intervalle de confiance à 95%) 0,653 [0,546 à 0,780]
  • +Nombre cumulé de lésions rehaussées sur les séquences pondérées en T1 aux mois 6 et 12 0,905 1,639 p<0,0001
  • +Rapport des taux** (intervalle de confiance à 95%) 0,552 [0,436 à 0,699]
  • +
  • +* La différence des risques absolus est définie comme la différence entre le TAP moyen ajusté sous acétate de glatiramère (AG) 40 mg (3 fois/semaine) et le TAP moyen ajusté sous placebo.
  • +** Le rapport des taux est défini comme le rapport entre les taux moyens ajustés sous AG 40 mg (3 fois/semaine) et sous placebo.
  • +Il n'y a pas de preuve que le traitement par Copaxone ait eu un effet sur la progression du handicap ou la durée des poussées au cours de cette étude de 12 mois.
  • +Le bénéfice thérapeutique de Copaxone chez les patients ayant une SEP progressive primaire ou secondaire n'a pas été démontré jusqu'ici.
  • +L'efficacité et la sécurité de Copaxone 20 mg/ml (administré quotidiennement) et 40 mg/ml (administré trois fois par semaine) n'ont pas fait l'objet d'une comparaison directe dans une même étude.
  • +Des réactions anaphylactiques ont été rapportées après administration à des animaux sensibilisés (cobaye et souris).
  • +Une toxicité au site d'injection après administration répétée chez l'animal a été fréquemment rapportée.
  • -Le contenu des seringues prêtes à l'emploi Copaxone ne doit pas être mélangé à aucun autre produit.
  • -Conservation
  • +Seringues préremplies:
  • +Le contenu des seringues préremplies de Copaxone ne doit pas être mélangé à aucun autre médicament.
  • +Stabilité
  • -Les seringues prêtes à l'emploi Copaxone doivent être conservées à l'abri de la lumière dans leur emballage original au réfrigérateur entre 2 °C et 8 °C. Exceptionnellement, il est possible de conserver les seringues prêtes à l'emploi Copaxone à l'abri de la lumière dans leur emballage original durant une période de 1 mois maximum à température ambiante (entre 15 °C et 25 °C). Ne pas congeler les seringues prêtes à l'emploi.
  • +Les seringues préremplies de Copaxone doivent être conservées à l'abri de la lumière dans leur emballage original, au réfrigérateur entre 2 °C et 8 °C. Exceptionnellement, il est possible de conserver les seringues préremplies de Copaxone à l'abri de la lumière dans leur emballage original durant une période de 1 mois maximum à température ambiante (entre 15 °C et 25 °C).
  • +Ne pas congeler les seringues préremplies de Copaxone.
  • -Seringues prêtes à l'emploi sont destinées exclusivement à l'usage unique.
  • +Les seringues préremplies sont destinées exclusivement à l'usage unique.
  • -Seringues prêtes à l'emploi (4× 7, emballées séparément sous blister): 28
  • -Liste B
  • +Copaxone 40 mg/ml: seringues préremplies emballées individuellement sous blister: 12
  • +Liste B.
  • -Octobre 2012.
  • +Août 2016
  • +Numéro de version interne: 2.0
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