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Accueil - Information professionnelle sur Omeprax 10 mg - Changements - 17.01.2023
30 Changements de l'information professionelle Omeprax 10 mg
  • -Pour enfants jusqu’à 12 ans
  • +Enfants jusqu’à 12 ans
  • -Ulcère duodénal: normalement 20 mg Omeprax une fois par jour.
  • +Ulcère duodénal:
  • +Normalement 20 mg Omeprax une fois par jour.
  • -Ulcère gastrique, œsophagite de reflux: normalement 20 mg d’Omeprax une fois par jour. Les symptômes disparaissent rapidement et l’ulcère guérit en quatre semaines chez la plupart des patients. Si un traitement de 4 semaines est insuffisant, un traitement supplémentaire de 4 semaines permet en général d’obtenir la guérison.
  • +Ulcère gastrique, œsophagite de reflux:
  • +Normalement 20 mg d’Omeprax une fois par jour. Les symptômes disparaissent rapidement et l’ulcère guérit en quatre semaines chez la plupart des patients. Si un traitement de 4 semaines est insuffisant, un traitement supplémentaire de 4 semaines permet en général d’obtenir la guérison.
  • -deux fois par jour: 20 mg d’oméprazole en association à l’amoxicilline 1 g et à la clarithromycine 500 mg;
  • +Deux fois par jour: 20 mg d’oméprazole en association à l’amoxicilline 1 g et à la clarithromycine 500 mg;
  • -Ulcères ou érosions gastro-duodénales causés par des AINS: la dose recommandée est de 20 mg d’Omeprax une fois par jour chez les patients traités simultanément ou non par des AINS. Les symptômes disparaissent rapidement et l’ulcère guérit normalement en quatre semaines. Si un traitement de 4 semaines est insuffisant, un traitement supplémentaire de 4 semaines permet en général d’obtenir la guérison. La dose peut être élevée à 40 mg d’Omeprax une fois par jour si nécessaire.
  • +Ulcères ou érosions gastro-duodénales causés par des AINS:
  • +La dose recommandée est de 20 mg d’Omeprax une fois par jour chez les patients traités simultanément ou non par des AINS. Les symptômes disparaissent rapidement et l’ulcère guérit normalement en quatre semaines. Si un traitement de 4 semaines est insuffisant, un traitement supplémentaire de 4 semaines permet en général d’obtenir la guérison. La dose peut être élevée à 40 mg d’Omeprax une fois par jour si nécessaire.
  • -Reflux gastro-œsophagien symptomatique: la dose recommandée est de 20 mg d’Omeprax une fois par jour. Les symptômes disparaissent rapidement. Si un traitement de 4 semaines par 20 mg d’Omeprax est insuffisant, on procédera à des examens complémentaires.
  • -Syndrome de Zollinger-Ellison: la posologie doit être adaptée individuellement. La dose initiale recommandée est de 60 mg d’Omeprax par jour en une prise. Le traitement doit être poursuivi aussi longtemps qu’il y a une indication clinique. Plus de 90% des patients atteints d’une forme très sévère de cette affection qui ont présenté une réponse insuffisante à d’autres traitements ont pu être maintenus avec une posologie journalière de 20-120 mg. Si plus de 80 mg par jour sont nécessaires, la dose journalière sera fractionnée en deux prises.
  • +Reflux gastro-œsophagien symptomatique:
  • +La dose recommandée est de 20 mg d’Omeprax une fois par jour. Les symptômes disparaissent rapidement. Si un traitement de 4 semaines par 20 mg d’Omeprax est insuffisant, on procédera à des examens complémentaires.
  • +Syndrome de Zollinger-Ellison:
  • +La posologie doit être adaptée individuellement. La dose initiale recommandée est de 60 mg d’Omeprax par jour en une prise. Le traitement doit être poursuivi aussi longtemps qu’il y a une indication clinique. Plus de 90% des patients atteints d’une forme très sévère de cette affection qui ont présenté une réponse insuffisante à d’autres traitements ont pu être maintenus avec une posologie journalière de 20-120 mg. Si plus de 80 mg par jour sont nécessaires, la dose journalière sera fractionnée en deux prises.
  • -Fractures osseuses: les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, surtout lors d'une utilisation prolongée (>1 an) à dose élevée, accroître modérément le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, en particulier chez les patients âgés ou présentant d'autres facteurs de risque connus. Des études observationnelles suggèrent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque de fractures de 10 à 40%. Ce risque accru pourrait aussi être dû partiellement à d'autres facteurs de risque. Les patients présentant un risque d'ostéoporose doivent être traités conformément aux directives cliniques applicables et recevoir un apport suffisant en vitamine D et en calcium.
  • -Hypomagnésémie: une hypomagnésémie sévère a été rapportée chez des patients traités pendant au moins trois mois, mais dans la majorité des cas pendant un an, par des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) tels que l'oméprazole. Des manifestations sérieuses d'hypomagnésémie telles qu'états d'épuisement, tétanie, délire, convulsions, vertiges et arythmies ventriculaires peuvent survenir, mais elles peuvent aussi se développer de façon insidieuse et passer ainsi inaperçues. Après l'administration de magnésium et l'arrêt de la prise de l'IPP, l'hypomagnésémie s'est améliorée chez la plupart des patients affectés. Chez les patients devant recevoir un traitement prolongé ou prenant un IPP en association avec de la digoxine ou d'autres médicaments susceptibles de causer une hypomagnésémie (p.ex. diurétiques), le médecin doit envisager des contrôles périodiques des taux de magnésium au cours du traitement par l'IPP.
  • -Lupus érythémateux cutané subaigu: Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à des cas très peu fréquents de Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s'accompagnent d'arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager d'arrêter Omeprax. La survenue d'un LECS après traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS avec d'autres inhibiteurs de la pompe à protons.
  • +Fractures osseuses:
  • +Les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, surtout lors d'une utilisation prolongée (>1 an) à dose élevée, accroître modérément le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, en particulier chez les patients âgés ou présentant d'autres facteurs de risque connus. Des études observationnelles suggèrent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque de fractures de 10 à 40%. Ce risque accru pourrait aussi être dû partiellement à d'autres facteurs de risque. Les patients présentant un risque d'ostéoporose doivent être traités conformément aux directives cliniques applicables et recevoir un apport suffisant en vitamine D et en calcium.
  • +Hypomagnésémie:
  • +Une hypomagnésémie sévère a été rapportée chez des patients traités pendant au moins trois mois, mais dans la majorité des cas pendant un an, par des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) tels que l'oméprazole. Des manifestations sérieuses d'hypomagnésémie telles qu'états d'épuisement, tétanie, délire, convulsions, vertiges et arythmies ventriculaires peuvent survenir, mais elles peuvent aussi se développer de façon insidieuse et passer ainsi inaperçues. Après l'administration de magnésium et l'arrêt de la prise de l'IPP, l'hypomagnésémie s'est améliorée chez la plupart des patients affectés. Chez les patients devant recevoir un traitement prolongé ou prenant un IPP en association avec de la digoxine ou d'autres médicaments susceptibles de causer une hypomagnésémie (p.ex. diurétiques), le médecin doit envisager des contrôles périodiques des taux de magnésium au cours du traitement par l'IPP.
  • +Lupus érythémateux cutané subaigu:
  • +Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à des cas très peu fréquents de Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s'accompagnent d'arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager d'arrêter Omeprax. La survenue d'un LECS après traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS avec d'autres inhibiteurs de la pompe à protons.
  • -Aucune interaction n’a été constatée avec le métronidazole ou l’amoxicilline. Ces agents antimicrobiens sont utilisés en association avec l’oméprazole pour l’éradication de H. pylori.
  • +Aucune interaction n’a été constatée avec le métronidazole ou l’amoxicilline. Ces agents antimicrobiens sont utilisés en association avec l’oméprazole pour l’éradication de Helicobacter pylori.
  • -Les effets indésirables sont listés selon les catégories de systèmes d'organes et de fréquence selon MedDRA. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (de ≥1/100 à <1/10); occasionnels (de ≥1/1000 à <1/100); rares (de ≥1/10'000 à <1/1000); très rares (<1/10'000); inconnus (ne pouvant être estimés d'après les données disponibles).
  • +Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (de ≥1/100 à <1/10); occasionnels (de ≥1/1000 à <1/100); rares (de ≥1/10'000 à <1/1000); très rares (<1/10'000); inconnus (ne pouvant être estimés d'après les données disponibles).
  • -Rares: Agitation, agressivité, dépression, hallucination.
  • +Rares: Agitation, agressivité, dépression, hallucination, états confusionnels réversibles.
  • -Rares: Photosensibilité, érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell), alopécie, pustulose exanthématique aiguë généralisée (AGEP), exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS).
  • +Rares: Photosensibilité, érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell), alopécie, pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS).
  • -Code ATC: A02BC01
  • -Site et mécanisme d’action
  • +Code ATC:
  • +A02BC01
  • +Mécanisme d’action
  • -Cet effet qui s’exerce sur l’étape finale de la sécrétion acide est dosedépendant; il inhibe très efficacement la sécrétion acide basale comme la sécrétion stimulée, quelle que soit la nature du stimulus.
  • +Cet effet qui s’exerce sur l’étape finale de la sécrétion acide est dose-dépendant; il inhibe très efficacement la sécrétion acide basale comme la sécrétion stimulée, quelle que soit la nature du stimulus.
  • +Tous les effets pharmacodynamiques observés peuvent être expliqués par l'action de l'oméprazole sur la sécrétion acide gastrique.
  • +
  • -Tous les effets pharmacodynamiques observés peuvent être expliqués par l’action de l’oméprazole sur la sécrétion acide gastrique.
  • -On n’observe pas de tachyphylaxie pendant le traitement avec l’oméprazole ou l’oméprazole magnésique.
  • +On n’observe pas de tachyphylaxie pendant le traitement avec l’oméprazole.
  • -Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’ emballage.
  • -Remarques concernant le stockage
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
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