58 Änderungen an Fachinfo Distickstoffoxid medizinal Linde |
-OEMéd
-Substance active: protoxyde d’azote (NO) Ph.Eur. 100% (gaz liquéfié sous une pression de 44 bars à 15 °C).
-Excipients: aucun.
- +Principes actifs
- +Protoxyde d’azote (N₂O) Ph. Eur. 100 % (gaz liquéfié sous une pression de 44 bars à 15 °C)
- +Excipients
- +aucun
-À 15 °C, chaque bouteille contient 90% de liquide et 10% de gaz (par rapport au volume).
- +Gaz médicinal, liquéfié
- +À 15 °C, chaque bouteille contient 90 % de liquide et 10 % de gaz (par rapport au volume).
-Le protoxyde d’azote est indiqué:
-comme anesthésique en association avec un autre anesthésique administré par intraveineuse ou par inhalation,
-comme analgésique/sédatif dans toutes les situations requérant une analgésie/sédation caractérisée par un temps de latence court et une dissipation rapide des effets.
- +Indications thérapeutiques
- +Le protoxyde d’azote est indiqué
- +• comme anesthésiant en association avec un autre anesthésiant administré par intraveineuse ou par inhalation,
- +• comme analgésique/sédatif dans toutes les situations requérant une analgésie/sédation caractérisée par un temps de latence court et une diminution rapide des effets.
-Le protoxyde d’azote doit être administré en mélange avec de l’oxygène. Sa concentration doit être comprise entre 35% et 70%. La concentration inspiratoire d’oxygène ne doit pas être inférieure à 30%.
- +Le protoxyde d’azote doit être administré en mélange avec de l’oxygène. Sa concentration doit être comprise entre 35 % et 70 %. La concentration inspiratoire d’oxygène ne doit pas être inférieure à 30 %.
-Chez les femmes enceintes, la concentration administrée doit être inférieure à 50%.
-Chez les patients souffrant de troubles de l’absorption alvéolaire de l’oxygène (par ex. emphysème, oedème pulmonaire), la concentration inspiratoire d’oxygène doit être augmentée.
- +Chez les femmes enceintes, la concentration administrée doit être inférieure à 50 %.
- +Chez les patients souffrant de troubles de l’absorption alvéolaire de l’oxygène (par ex. emphysème, œdème pulmonaire), la concentration inspiratoire d’oxygène doit être augmentée.
-Le protoxyde d’azote ne doit être administré qu’en salle d’opération et en salle de traitement (utilisation d’un mélange protoxyde d’azote-oxygène médical 50%/50%). Conformément à la réglementation, l’utilisation du protoxyde d’azote nécessite:
-�� un mélangeur protoxyde d’azote/oxygène assurant une FiOd’au moins 21%, offrant la possibilité d’une FiOà 100% et muni d’un dispositif de valve anti-retour et d’un système d’alarme en cas de manque d’oxygène,
-�� un monitoring de la FiOdans l’air inspiré en cas de ventilation artificielle.
- +Le protoxyde d’azote ne doit être administré qu’en salle d’opération et en salle de travail (utilisation d’un mélange protoxyde d’azote-oxygène médical 50 %/50 %). Conformément à la réglementation, l’utilisation du protoxyde d’azote nécessite:
- +�� un mélangeur protoxyde d’azote/oxygène assurant une FiO₂ d’au moins 21 %, offrant la possibilité d’une FiO₂ à 100 % et muni d’un dispositif de valve anti-retour et d’un système d’alarme en cas de manque d’oxygène,
- +�� un monitoring de la FiO₂ dans l’air inspiré en cas de ventilation artificielle.
-Le protoxyde d’azote a des propriétés analgésiques et sédatives dose-dépendantes. Il diminue les fonctions cognitives en fonction du dosage.
-Il est généralement utilisé avec des pourcentages volumiques compris entre 35% et 75% en mélange avec de l’oxygène ou, éventuellement, combiné avec d’autres anesthésiques.
-Le protoxyde d’azote seul ne suffit généralement pas à produire une anesthésie satisfaisante. Par conséquent, s’il est utilisé dans le cadre d’une anesthésie, il doit être combiné à une dose adéquate d’un autre anesthésiques.
-Le protoxyde d’azote agit de manière additive avec la pluplart des autres anesthésiques.
-Pour l’essentiel, les effets du protoxyde d’azote ne sont pas liés à l’âge. L’interaction avec les autres anesthésiques varie toutefois en fonction de l’âge et est relativement plus marquée chez les patients plus âgés.
-Le protoxyde d’azote ne doit pas être administré à des concentrations supérieures à 70–75%. La proportion d’oxygène requise est ainsi garantie. Chez les patients souffrant d’un défaut d’apport en oxygène, il convient de respecter une certaine concentration d’oxygène lors de l’administration. À des concentrations inspirées de 50 à 60%, le protoxyde d’azote entraîne une analgésie/sédation/anxiolyse sans toutefois, en règle générale, diminuer l’état de conscience, ni la réactivité. Ces concentrations ne gênent généralement pas la respiration, la circulation et les réflexes de défense.
- +Le protoxyde d’azote possède des propriétés analgésiques et sédatives dose-dépendantes. En fonction du dosage, il altère plus ou moins les fonctions cognitives.
- +Il est généralement utilisé avec des pourcentages volumiques compris entre 35 % et 70 % en mélange avec de l’oxygène ou, éventuellement, combiné avec d’autres anesthésiants.
- +Le protoxyde d’azote seul ne suffit généralement pas à produire une anesthésie satisfaisante. Par conséquent, s’il est utilisé dans le cadre d’une anesthésie, il doit être combiné à une dose adéquate d’un autre anesthésiant.
- +Le protoxyde d’azote agit en complément de la plupart des autres anesthésiants.
- +Pour l’essentiel, les effets du protoxyde d’azote ne sont pas liés à l’âge. L’interaction avec les autres anesthésiants varie toutefois en fonction de l’âge et est relativement plus marquée chez les patients plus âgés.
- +Le protoxyde d’azote ne doit pas être administré à des concentrations supérieures à 70 – 75 %. La proportion d’oxygène requise est ainsi garantie. Chez les patients souffrant de troubles de l’approvisionnement en oxygène, il convient de respecter une certaine concentration d’oxygène lors de l’administration. À des concentrations inspirées de 50 à 60 %, le protoxyde d’azote entraîne une analgésie/sédation/anxiolyse sans toutefois, en règle générale, provoquer de perte de conscience, ni entraver la réactivité. Ces concentrations ne gênent généralement pas la respiration, la circulation et les réflexes de défense.
-aux patients dans les cas suivants: pneumothorax, embolie gazeuse, après une plongée et s’il existe un risque de maladie de décompression, en association avec une pneumo-encéphalographie, après une déviation cardiopulmonaire, avec un coer-poumon artificiel ou en cas de traumatisme crânien grave, car le protoxyde d’azote peut provoquer une expansion du volume des bulles d’air (embolie) et des cavités aériques;
-aux patients qui ont reçu une injection de gaz intra-oculaire (par ex. SF, CF), car le protoxyde d’azote peut provoquer une augmentation du volume de la bulle de gaz et occasionner une cécité;
-aux patients présentant des symptômes d’occlusion intestinale (iléus), car il existe un risque d’augmentation de la distension de l’intestin;
-aux patients souffrant de défaillance cardiaque ou de troubles graves de la fonction cardiaque (par ex. après une opération du coeur), car l’effet légèrement cardiodépresseur du protoxyde d’azote peut entraîner une nouvelle détérioration de la fonction cardiaque;
-aux patients qui montrent durablement des signes de confusion, des perturbations de la fonction cognitive ou d’autres symptômes attribuables à une élévation de la pression intracrânienne accrue, car le protoxyde d’azote risque d’accentuer l’augmentation de la pression intracrânienne;
-aux patients avec un état de conscience diminué et/ou une capacité de cooperation réduite, lors de l’utilisation du protoxyde d’azote en tant qu’analgésique, car les réflexes de défense pourraient être absents;
-aux patients qui nécessitent une ventilation en oxygène pur;
-en cas de durée d’administration supérieure à 24 heures.
- +Le protoxyde d’azote ne doit pas être administré:
- +• aux patients dans les cas suivants: pneumothorax, embolie gazeuse, après une plongée et s’il existe un risque d’aéroembolisme, en association avec une pneumo-encéphalographie, après un pontage cardiopulmonaire, avec un appareil cardiopulmonaire ou en cas de traumatisme crânien grave, car le protoxyde d’azote peut provoquer une expansion du volume des bulles d’air (embolie) et des cavités aériques
- +• aux patients qui ont reçu une injection de gaz intra-oculaire (par ex. SF₆, C₃F₈), car le protoxyde d’azote peut provoquer une augmentation du volume de la bulle de gaz et occasionner une cécité
- +• aux patients présentant des symptômes d’occlusion intestinale (iléus), car il existe un risque d’augmentation du volume de l’intestin
- +• aux patients souffrant d’une insuffisance cardiaque ou de troubles graves de la fonction cardiaque (par ex. après une opération du cœur), car l’effet légèrement cardiodépresseur du protoxyde d’azote peut entraîner une nouvelle aggravation de la fonction cardiaque
- +• aux patients qui montrent durablement des signes de confusion, des perturbations de la fonction cognitive ou d’autres symptômes attribuables à une pression intracrânienne accrue, car le protoxyde d’azote risque de renforcer la pression intracrânienne
- +• aux patients atteints d’une certaine perte de conscience et/ou montrant une faible capacité de coopération en cas d’utilisation du protoxyde d’azote en tant qu’analgésique, car les réflexes de défense risquent d’être insuffisants
- +• aux patients qui nécessitent une ventilation en oxygène pur
- +• en cas de durée d’administration supérieure à 24 heures
-L’adjonction de protoxyde d’azote dans le circuit diminue la concentration des vapeurs anesthésiques halogénées délivrées par l’évaporateur. Réciproquement, l’arrêt du protoxyde d’azote augmente la concentration des anesthésiques halogénés. Il est donc conseillé d’interrompre l’administration de l’anesthésique volatil halogéné avant celle du protoxyde d’azote.
-Une hypoxie de diffusion survient dans les minutes suivant l’arrêt du protoxyde d’azote. La FiOdans l’air inhalé par le patient doit donc être augmentée durant cette période.
- +L’adjonction de protoxyde d’azote dans le circuit diminue la concentration des vapeurs anesthésiques halogénées délivrées par l’évaporateur. Réciproquement, l’arrêt du protoxyde d’azote augmente la concentration des anesthésiques halogénés.
- +Il est donc conseillé d’interrompre l’administration de l’anesthésique volatil halogéné avant celle du protoxyde d’azote.
- +Une hypoxie de diffusion survient dans les minutes suivant l’arrêt du protoxyde d’azote. La FiO₂ dans l’air inhalé par le patient doit donc être augmentée durant cette période.
-Le protoxyde d’azote altère le métabolisme de la vitamine Bet des folates. L’utilisation du protoxyde d’azote entraîne une inactivation de la vitamine B, ce qui nuit au métabolisme des folates. Toute administration prolongée de protoxyde d’azote entrave la synthèse de l’ADN. Ces troubles entraînent des modifications mégaloblastiques de la moelle osseuse et, dans certains cas, une myéloneuropathie et une dégénérescence subaiguë combinée de la moelle épinière.
-En raison des répercussions possibles sur la méthionine synthétase de la vitamine B, le protoxyde d’azote ne doit pas être administré pendant une période prolongée (par ex. sédation en soins intensifs). En cas de durée d’utilisation supérieure à six heures, les effets potentiels sur la méthionine synthétase de la vitamine Bdoivent être pris en compte.
-Le protoxyde d’azote médicinal doit être utilisé avec précaution chez les patients ayant reçu une injection intra-oculaire. Il convient de vérifier que cette dernière remonte à suffisamment longtemps pour ne pas encourir le risque de troubles visuels.
- +Le protoxyde d’azote altère le métabolisme de la vitamine B₁₂ et des folates. L’utilisation du protoxyde d’azote entraîne une inactivation de la vitamine B₁₂, ce qui nuit au métabolisme des folates. Toute administration prolongée de protoxyde d’azote entrave la synthèse de l’ADN. Ces troubles entraînent des modifications mégaloblastiques de la moelle osseuse et, dans certains cas, une myéloneuropathie et une dégénérescence subaiguë combinée de la moelle épinière.
- +En raison des répercussions possibles sur la méthionine synthétase de la vitamine B₁₂, le protoxyde d’azote ne doit pas être administré pendant une période prolongée (par ex. sédation en soins intensifs). En cas de durée d’utilisation supérieure à six heures, les effets potentiels sur la méthionine synthétase de la vitamine B₁₂ doivent être pris en compte.
- +Le protoxyde d’azote médicinal doit être utilisé avec précaution chez les patients ayant reçu une injection intraoculaire. Il convient de vérifier que cette dernière remonte à suffisamment longtemps pour ne pas encourir le risque de troubles visuels.
-�� insuffisance cardiaque: si une hypotension ou une insuffisance circulatoire apparaît lors de l’administration de protoxyde d’azote chez un patient insuffisant cardiaque, l’administration doit être interrompue;
-– chirurgie des sinus et de l’oreille interne.
- +�� insuffisance cardiaque: si une hypotension ou une insuffisance circulatoire apparaît lors de l’administration de protoxyde d’azote chez un patient insuffisant cardiaque, l’administration doit être interrompue.
- +• chirurgie des sinus et de l’oreille interne
-À de fortes concentrations (>50%), le protoxyde d’azote médicinal peut entraîner la disparition des réflexes laryngés et une certaine perte de conscience. Des concentrations de 60 à 70% provoquent fréquemment une perte de connaissance. En outre, le risque d’altération des réflexes laryngés augmente.
- +L’administration ou l’exposition répétée au protoxyde d’azote peut induire une dépendance. La prudence est recommandée chez les patients ayant des antécédents connus de toxicomanie ou chez les professionnels de la santé exposés au protoxyde d’azote lors de leur travail.
- +À de fortes concentrations (> 50 %), le protoxyde d’azote médicinal peut entraîner la disparition des réflexes laryngés et une certaine perte de conscience. Des concentrations de 60 à 70 % provoquent fréquemment une perte de connaissance. En outre, le risque d’altération des réflexes laryngés augmente.
-En cas d’interaction entre du protoxyde d’azote et un gaz ophtalmique incomplètement résorbé (SF&, C3F8, C2F6), des complications postopératoires graves liées à une augmentation de la pression intra-oculaire sont susceptibles de survenir.
-Grossesse/Allaitement
- +En cas d’interaction entre du protoxyde d’azote et un gaz ophtalmique incomplètement résorbé (SF₆, C₃F₈, C₂F₆), des complications postopératoires graves liées à une augmentation de la pression intra-oculaire sont susceptibles de survenir.
- +Grossesse, Allaitement
- +Grossesse
- +
-Lors d’expérimentations animales, des malformations osseuses et organiques, des retards de croissance, ainsi que des effets létaux pour l’embryon et le foetus ont été observés après l’administration de protoxyde d’azote.
- +Lors d’expérimentations animales, des malformations osseuses et organiques, des retards de croissance, ainsi que des effets létaux pour l’embryon et le fœtus ont été observés après l’administration de protoxyde d’azote.
-En cas d’utilisation de protoxyde d’azote pendant l’accouchement, il faut veiller à détecter toute éventuelle hypoxie chez le nouveau-né. Chez les prématurés, la survenue d’hémorragies cérébrales peut en outre être accrue par le protoxyde d’azote. Ces enfants doivent donc faire l’objet d’une vigilance accrue.
- +En cas d’utilisation de protoxyde d’azote pendant l’accouchement, il faut veiller à détecter un éventuel état hypoxique chez le nouveau-né. Chez les prématurés, la survenue d’hémorragies cérébrales peut en outre être accrue par le protoxyde d’azote. Ces enfants doivent donc faire l’objet d’une vigilance accrue.
- +Maladies cardiaques et vasculaires
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-Les cas rapportés d’hyperthermie maligne sous protoxyde d’azote sont très rares (<1/10’000 cas). Le protoxyde d’azote peut inactiver la vitamine Bet entraver par conséquent la synthèse de l’ADN. Toute administration prolongée est susceptible de provoquer une dépression de la moelle osseuse et une neuropathie périphérique.
- +Les cas rapportés d’hyperthermie maligne sous protoxyde d’azote sont très rares (< 1/10 000 cas). Le protoxyde d’azote peut inactiver la vitamine B₁₂ et entraver par conséquent la synthèse de l’ADN. Toute administration prolongée est susceptible de provoquer une dépression de la moelle osseuse et une neuropathie périphérique.
- +Dépendance.
- +Troubles du système nerveux
- +Convulsions généralisées (fréquence inconnue).
-Code ATC: N01AX13
- +Code ATC
- +NO1AX13
-Propriétés pharmacodynamiques
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- +Pharmacodynamique
-L’effet du protoxyde d’azote sur la perception et sur les fonctions cognitives commence à 15% vol. environ et dépend très clairement du dosage. À des concentrations de 60 à 70% vol., le patient n’est plus réactif. Les propriétés analgésiques dose-dépendantes du protoxyde d’azote apparaissent avec des concentrations de fin d’expiration de 20% vol. environ.
- +L’effet du protoxyde d’azote sur la perception et sur les fonctions cognitives commence à 15 % vol. environ et dépend très clairement du dosage. À des concentrations de 60 à 70 % vol., le patient n’est plus réactif. Les propriétés analgésiques dose-dépendantes du protoxyde d’azote apparaissent avec des concentrations de fin d’expiration de 20 % vol. environ.
-Dans une étude sur la fertilité réalisée sur des rats mâles, tous les animaux soumis à une fumigation au protoxyde d’azote (20%) ont montré des troubles réversibles de la spermatogénèse au bout de 14 jours.
- +Dans une étude sur la fertilité réalisée sur des rats mâles, tous les animaux soumis à une fumigation au protoxyde d’azote (20 %) ont montré des troubles réversibles de la spermatogénèse au bout de 14 jours.
- +Incompatibilités
- +
-Conservation
-
-Ne pas utiliser le protoxyde d’azote après la date indiquée à côté de la mention «Exp.» sur le récipient.
-Consignes particulières de stockage
-
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- +Remarques particulières concernant le stockage
-Consignes de manipulation
-
-
- +Stabilité
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Remarques concernant la manipulation
-Toujours conserver les bouteilles en position verticale pour éviter tout risque de projection de liquide et donc de brûlures graves (par le froid). Rincer abondamment à l’eau en cas de brûlure.
-Vérifier le bon état du matériel avant utilisation.
-Attention: la pression du gaz dans les bouteilles reste constante (44 bars à 15 °C) quel que soit le niveau de liquide restant et n’est pas le reflet de la quantité restante. C’est seulement lorsque la bouteille ne contient plus que du gaz que la pression chute rapidement. Seul le poids de la bouteille permet d’estimer son contenu en cours d’utilisation.
-Ne pas manipuler de bouteille dont la valve n’est pas protégée par un capuchon ou une enveloppe de protection.
-Manipuler le matériel avec des mains propres et exemptes de graisse.
-Porter des chaussures de sécurité et des gants de manutention propres lors de la manipulation des bouteilles de 50 l et plus.
-Transporter les bouteilles les plus volumineuses avec un chariot adapté. Il convient de veiller tout particulièrement à ce qu’aucun appareil raccordé ne se détache par inadvertance.
-Fixer les bouteilles avec un moyen approprié (chaînes, crochets, ...) afin de les maintenir en position verticale et d’éviter toute chute intempestive.
-Ne jamais introduire de force une bouteille dans un support où elle entre difficilement.
-Ne pas soulever la bouteille par sa valve.
-Utiliser un raccord spécifique de type «G 3/8» droit conforme à la norme SN 219505-9.
-Utiliser un détendeur avec débitmètre admettant une pression au moins égale à 1,5 fois la pression maximale de service de la bouteille.
-Pour les cadres de bouteilles, utiliser uniquement des détendeurs gradués jusqu’à 315 bars au minimum.
-Utiliser des flexibles de raccordement aux prises murales munis d’embouts adaptés au protoxyde d’azote médicinal.
-Ne pas utiliser de raccord intermédiaire en vue de raccorder deux dispositifs qui ne s’emboîtent pas.
-Ouvrir progressivement la valve.
-Ne jamais forcer une valve, ni l’ouvrir jusqu’à la butée.
-Nettoyer le raccord de sortie de la bouteille avant de raccorder le détendeur pour éliminer les poussières éventuelles. Maintenir propres les interfaces entre la bouteille et le détendeur.
-Ne jamais procéder à plusieurs mises en pression successives du détendeur.
-Ne jamais se placer face à la valve, mais toujours du côté opposé au détendeur, derrière la bouteille et en retrait de celle-ci. Ne jamais exposer le patient au flux gazeux.
-Vérifier au préalable la compatibilité des matériaux en contact avec le protoxyde d’azote médicinal. Pour le détendeur notamment, utiliser des joints d’étanchéité prévus pour ce gaz.
-Vérifier l’état des joints.
-Ne pas fumer.
-Ne pas approcher de flamme.
-Ne pas graisser.
-À noter:
- +• Toujours conserver les bouteilles en position verticale pour éviter tout risque de projection de liquide et donc de brûlures graves (par le froid). Rincer abondamment à l’eau en cas de brûlure.
- +• Attention: la pression du gaz dans les bouteilles reste constante (44 bars à 15 °C) quel que soit le niveau de liquide restant et n’est pas le reflet de la quantité restante. C’est seulement lorsque la bouteille ne contient plus que du gaz que la pression chute rapidement. Seul le poids de la bouteille permet d’estimer son contenu en cours d’utilisation.
- +• Vérifier le bon état du matériel avant utilisation.
- +• Ne pas manipuler de bouteille dont la valve n’est pas protégée par un capuchon ou une enveloppe de protection.
- +• Manipuler le matériel avec des mains propres et exemptes de graisse.
- +• Porter des chaussures de sécurité et des gants de manutention propres lors de la manipulation des bouteilles de 50 l et plus.
- +• Transporter les bouteilles les plus volumineuses avec un chariot adapté. Il convient de veiller tout particulièrement à ce qu’aucun appareil raccordé ne se détache par inadvertance.
- +• Fixer les bouteilles avec un moyen approprié (chaînes, crochet,…) afin de les maintenir en position verticale et d’éviter toute chute intempestive.
- +• Ne jamais introduire de force une bouteille dans un support où elle entre difficilement.
- +• Ne pas soulever la bouteille par sa valve.
- +• Utiliser un raccord spécifique de type G 3/8" droit conforme à la norme SN 219505-9.
- +• Utiliser un détendeur avec débitmètre admettant une pression au moins égale à 1,5 fois la pression maximale de service de la bouteille.
- +• Pour les cadres de bouteilles, utiliser uniquement des détendeurs gradués jusqu’à 315 bars au minimum.
- +• Utiliser des flexibles de raccordement aux prises murales munis d’embouts adaptés au protoxyde d’azote médicinal.
- +• Ne pas utiliser de raccord intermédiaire en vue de raccorder deux dispositifs qui ne s’emboîtent pas.
- +• Ouvrir progressivement la valve.
- +• Ne jamais forcer une valve, ni l’ouvrir jusqu’à la butée.
- +• Nettoyer le raccord de sortie de la bouteille avant de raccorder le détendeur pour éliminer les poussières éventuelles. Maintenir propres les interfaces entre la bouteille et le détendeur.
- +• Ne jamais procéder à plusieurs mises en pression successives du détendeur.
- +• Ne jamais se placer face à la valve, mais toujours du côté opposé au détendeur, derrière la bouteille et en retrait de celle-ci. Ne jamais exposer le patient au flux gazeux.
- +• Vérifier au préalable la compatibilité des matériaux en contact avec le protoxyde d’azote médicinal. Pour le détendeur notamment, utiliser des joints d’étanchéité prévus pour ce gaz.
- +• Vérifier l’état des joints.
- +• Ne pas fumer.
- +• Ne pas approcher de flamme.
- +• Ne pas graisser.
- +• À noter:
-Ne pas enduire le visage du patient de corps gras (vaseline, pommades, ...).
-Ne pas utiliser de générateurs d’aérosols (peinture, déodorant, ...) ou de solvants (alcool, essence) sur le matériel ou à proximité.
-Fermer la valve de la bouteille après usage, faire chuter la pression du détendeur en laissant le débitmètre ouvert, fermer le débitmètre et desserrer ensuite la vis de réglage du détendeur (inutile pour les détendeurs intégrés).
-Ne pas tenter de réparer une valve défectueuse.
-Ne pas transvaser de gaz sous pression d’une bouteille à une autre.
-Ne pas serrer à la pince le détendeur/débitmètre sous peine de détériorer le joint.
-En cas de fuite de gaz, fermer la valve présentant un défaut d’étanchéité. Bien ventiler le local et évacuer le gaz. Ne jamais utiliser une bouteille présentant un défaut d’étanchéité et vérifier la mise en place des mesures d’urgence.
-En cas d’ouverture de la valve à très fort débit avec formation de givre au niveau du détendeur, ne pas utiliser la bouteille et la ramener au point de vente.
-Lorsque la température ambiante est basse ou en cas d’usage intensif entraînant le refroidissement de la bouteille, le débit peut diminuer, voire s’interrompre en raison d’une pression insuffisante dans la bouteille.
-Ne pas utiliser les bouteilles de protoxyde d’azote médicinal à une température inférieure à 0 °C pour éviter toute chute de pression en cas d’usage intensif.
-La valve de la bouteille doit demeurer fermée tant que cette dernière contient encore un peu de gaz (env. 2 bars). Cette petite pression résiduelle doit impérativement être maintenue dans la bouteille pour la préserver des impuretés ou éviter une corrosion due à l’humidité.
-Ne jamais utiliser le protoxyde d’azote pour des essais d’étanchéité, l’alimentation d’installations pneumatiques ou le soufflage de tuyauteries.
-La valeur limite de moyenne d’exposition au protoxyde d’azote admise pour le personnel a été fixée à 100 ppm (pour une durée de 8 heures/jour).
-Effectuer une ventilation systématique du lieu d’utilisation. Évacuer les gaz expirés et éviter les lieux où ils peuvent s’accumuler. Avant toute utilisation, il convient de s’assurer de la possibilité d’évacuer les gaz en cas d’accident ou de fuite intempestive.
- +• Ne pas enduire le visage du patient de corps gras (vaseline, pommades,…).
- +• Ne pas utiliser de générateurs d’aérosols (peinture, déodorant,…) ou de solvants (alcool, essence) sur le matériel ou à proximité.
- +• Fermer la valve de la bouteille après usage, faire chuter la pression du détendeur en laissant le débitmètre ouvert, fermer le débitmètre et desserrer ensuite la vis de réglage du détendeur (inutile pour les détendeurs intégrés).
- +• Ne pas tenter de réparer une valve défectueuse.
- +• Ne pas transvaser de gaz sous pression d’une bouteille à une autre.
- +• Ne pas serrer à la pince le détendeur/débitmètre sous peine de détériorer le joint.
- +• En cas de fuite de gaz, fermer la valve présentant un défaut d’étanchéité. Bien ventiler le local et évacuer le gaz. Ne jamais utiliser une bouteille présentant un défaut d’étanchéité et vérifier la mise en place des mesures d’urgence.
- +• En cas d’ouverture de la valve à très fort débit avec formation de givre sur le manodétendeur, ne pas utiliser la bouteille et la rapporter au point de vente.
- +• Lorsque la température ambiante est basse ou en cas d’usage intensif entraînant le refroidissement de la bouteille, le débit peut diminuer, voire s’interrompre en raison d’une pression insuffisante dans la bouteille.
- +• Ne pas utiliser les bouteilles de protoxyde d’azote médicinal à une température inférieure à 0 °C pour éviter toute chute de pression en cas d’usage intensif.
- +• La valve de la bouteille doit demeurer fermée tant que cette dernière contient encore un peu de gaz (env. 2 bars). Cette petite pression résiduelle doit impérativement être maintenue dans la bouteille pour la préserver des impuretés ou éviter une corrosion due à l’humidité.
- +• Ne jamais utiliser le protoxyde d’azote pour des essais d’étanchéité, l’alimentation d’installations pneumatiques ou le soufflage de tuyauteries.
- +• La valeur limite de moyenne d’exposition au protoxyde d’azote admise pour le personnel a été fixée à 100 ppm (pour une durée de 8 heures/jour).
- +• Effectuer une ventilation systématique du lieu d’utilisation. Évacuer les gaz expirés et éviter les lieux où ils peuvent s’accumuler. Avant toute utilisation, il convient de s’assurer de la possibilité d’évacuer les gaz en cas d’accident ou de fuite intempestive.
-56417 (Swissmedic).
- +56417 (Swissmedic)
- +Présentation
- +Bouteille de gaz sous pression Volume: 3,5 litres contient 1,41 m3 de gaz [1 bar à 15 °C] B
- +Bouteille de gaz sous pression Volume: 10 litres contient 4,06 m3 de gaz [1 bar à 15 °C] B
- +Bouteille de gaz sous pression Volume: 40 litres contient 16,26 m3 de gaz [1 bar à 15 °C] B
- +Cadre de bouteilles Volume: 600 litres contient 243,9 m3 de gaz [1 bar à 15 °C] B
- +
-PanGas AG, Industriepark 10, 6252 Dagmersellen.
- +PanGas AG
- +Industriepark 10
- +6252 Dagmersellen
-Juin 2009.
- +Juillet 2019
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