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Accueil - Information professionnelle sur Morphin HCl 10 mg/ml Amino - Changements - 08.07.2020
70 Changements de l'information professionelle Morphin HCl 10 mg/ml Amino
  • -Principe actif: Morphini hydrochloridum.
  • -Excipients: Natrii chloridum; Aqua ad iniectabilia q.s. ad solutionem pro 1 ml.
  • +Principe actif:
  • +Morphini hydrochloridum trihydricum.
  • +Excipients:
  • +Natrii chloridum corresp. sodium 2,9 mg par 1 ml (Morphin HCl Amino 10 mg/ml) resp. 2,3 mg par 1 ml (Morphin HCl Amino 20 mg/ml), Acidum hydrochloridum, Aqua ad iniectabilia q.s. ad solutionem pro 1 ml.
  • -Solution injectable.
  • -1 Ampulle (1 ml) Morphin HCl Amino 10 mg/ml contient: Morphini hydrochloridum 10 mg corresp. 7,6 mg Morphinum.
  • -1 Ampulle (1 ml) Morphin HCl Amino 20 mg/ml contient: Morphini hydrochloridum 20 mg corresp. 15,2 mg Morphinum.
  • -1 Ampulle (10 ml) Morphin HCl Amino 20 mg/ml contient: Morphini hydrochloridum 200 mg corresp. 152 mg Morphinum.
  • +Solution injectable
  • +1 ampoule (1 ml) Morphin HCl Amino 10 mg/ml contient: Morphini hydrochloridum trihydricum 10 mg corresp. 7,6 mg Morphinum
  • +1 ampoule (1 ml) Morphin HCl Amino 20 mg/ml contient: Morphini hydrochloridum trihydricum 20 mg corresp. 15,2 mg Morphinum
  • +1 ampoule (10 ml) Morphin HCl Amino 20 mg/ml contient: Morphini hydrochloridum trihydricum 200 mg corresp. 152 mg Morphinum
  • -En cas de fortes douleurs (aigu et chronique) qui ne sont pas à maîtriser suffisamment par dautres mesures, comme par exemple en raison dun accident ou intra- et postopératoires, douleurs cancéreuses ainsi que l’infarctus du myocarde, l’oedème pulmonaire aigu, colique néphrétique.
  • +En cas de fortes douleurs (aigu et chronique) qui ne sont pas à maîtriser suffisamment par d'autres mesures, comme par exemple en raison d'un accident ou intra- et postopératoires, douleurs cancéreuses ainsi que, l'infarctus du myocarde, ldème pulmonaire aigu, colique néphrétique.
  • -La posologie est fixée en fonction de lintensité des douleurs, du traitement analgésique antérieur ainsi que de lâge et du poids corporel du patient. Une adaptation de la dose de manière individuelle est primordiale.
  • -En principe, il faut administrer une dose suffisamment élevée tout en sefforçant pour chaque cas individuel de maintenir la dose analgésique la plus faible possible.
  • -Prendre en compte le risque dune dépression respiratoire, notamment lors dune injection par voie intraveineuse. Ladministration doit se faire lentement. Les mesures pour traiter un surdosage (appareil respiratoire, naloxone) doivent se trouver à portée de main.
  • +La posologie est fixée en fonction de l'intensité des douleurs, du traitement analgésique antérieur ainsi que de l'âge et du poids corporel du patient. Une adaptation de la dose de manière individuelle est primordiale.
  • +En principe, il faut administrer une dose suffisamment élevée tout en s'efforçant pour chaque cas individuel de maintenir la dose analgésique la plus faible possible.
  • +Prendre en compte le risque d'une dépression respiratoire, notamment lors d'une injection par voie intraveineuse. L'administration doit se faire lentement. Les mesures pour traiter un surdosage (appareil respiratoire, naloxone) doivent se trouver à portée de main.
  • -Des doses dentretien plus élevées peuvent être occasionnellement nécessaires en cas de douleurs chroniques sévères (cf. ci-dessous).
  • +Des doses d'entretien plus élevées peuvent être occasionnellement nécessaires en cas de douleurs chroniques sévères (cf. ci-dessous).
  • -Ladministration par voie épidurale ou intrathécale de chlorhydrate de morphine est possible en cas de douleurs extrêmement sévères. Les posologies recommandées sont des valeurs indicatives. Lors de douleurs dintensité extrême (par ex. dorigine cancéreuse), il est possible de sécarter de ces valeurs.
  • +L'administration par voie épidurale ou intrathécale de chlorhydrate de morphine est possible en cas de douleurs extrêmement sévères. Les posologies recommandées sont des valeurs indicatives. Lors de douleurs d'intensité extrême (par ex. d'origine cancéreuse), il est possible de s'écarter de ces valeurs.
  • -Parce que la durée daction est plus longue en cas dadministration épidurale et notamment en cas dadministration intrathécale, la dose journalière correspond fréquemment aux doses unitaires lors dadministration par ces voies.
  • +Parce que la durée d'action est plus longue en cas d'administration épidurale et notamment en cas d'administration intrathécale, la dose journalière correspond fréquemment aux doses unitaires lors d'administration par ces voies.
  • -i.m.: 5 à 15 mg de chlorhydrate de morphine au moins 1 heure avant le début de lintervention chirurgicale.
  • -i.v.: 5 à 10 mg de chlorhydrate de morphine moins de 1 heure avant le début de lintervention chirurgicale.
  • +i.m.: 5 à 15 mg de chlorhydrate de morphine au moins 1 heure avant le début de l'intervention chirurgicale.
  • +i.v.: 5 à 10 mg de chlorhydrate de morphine moins de 1 heure avant le début de l'intervention chirurgicale.
  • -Chez le nouveau-né, la vitesse de perfusion de 0,015 à 0,02 mg de chlorhydrate de morphine/kg de poids corporel par heure ne sera généralement pas dépassée, car lélimination du médicament pourrait être plus lente. En outre, les nouveau-nés peuvent être plus sensibles à un effet éventuel sur le système nerveux central.
  • +Chez le nouveau-né, la vitesse de perfusion de 0,015 à 0,02 mg de chlorhydrate de morphine/kg de poids corporel par heure ne sera généralement pas dépassée, car l'élimination du médicament pourrait être plus lente. En outre, les nouveau-nés peuvent être plus sensibles à un effet éventuel sur le système nerveux central.
  • -Ladministration par voie épidurale ou intrathécale de chlorhydrate de morphine est possible en cas de douleurs extrêmement sévères. Les doses recommandées sont des valeurs indicatives.
  • +L'administration par voie épidurale ou intrathécale de chlorhydrate de morphine est possible en cas de douleurs extrêmement sévères. Les doses recommandées sont des valeurs indicatives.
  • -Parce que la durée daction est plus longue en cas dadministration épidurale et notamment en cas dadministration intrathécale, la dose journalière correspond fréquemment aux doses unitaires lors dadministration par ces voies.
  • +Parce que la durée d'action est plus longue en cas d'administration épidurale et notamment en cas d'administration intrathécale, la dose journalière correspond fréquemment aux doses unitaires lors d'administration par ces voies.
  • -Hypersensibilité au principe actif ou à lun des excipients conformément à la composition.
  • +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients conformément à la composition.
  • -La plus grande prudence simpose et une administration sera recommandée uniquement en cas de nécessité absolue dans les cas suivants: Chez le patient âgé, en cas de troubles de la fonction hépatique et rénale, dinsuffisance de la thyroïde ou de la glande surrénale, dhypertrophie de la prostate, de choc, de maladies hépatiques aiguës, dinsuffisance hépatique et rénale sévère, de dépression respiratoire, de maladies obstructives des voies respiratoires, diléus paralytique, dabdomen aigu, de traumatismes craniocérébraux et dhypertension intracrânienne, de dimunition de la respiration, dhypotension en cas dhypovolémie, de coeur pulmonaire, de phéochromocytome, daffections des voies biliaires, de rétrécissements ou de coliques au niveau des voies urinaires, de pancréatite, daffections intestinales inflammatoires, chez les patients avec des troubles convulsifs, chez les patients dépendants des opiacés ou en présence dun alcoolisme aigu.
  • +La plus grande prudence s'impose et une administration sera recommandée uniquement en cas de nécessité absolue dans les cas suivants: Chez le patient âgé, en cas de troubles de la fonction hépatique et rénale, d'insuffisance de la thyroïde ou de la glande surrénale, d'hypertrophie de la prostate, de choc, de maladies hépatiques aiguës, d'insuffisance hépatique et rénale sévère, de dépression respiratoire, de maladies obstructives des voies respiratoires, d'iléus paralytique, d'abdomen aigu, de traumatismes craniocérébraux et d'hypertension intracrânienne, de diminution de la respiration, d'hypotension en cas d'hypovolémie, de coeur pulmonaire, de phéochromocytome, d'affections des voies biliaires, de rétrécissements ou de coliques au niveau des voies urinaires, de pancréatite, d'affections intestinales inflammatoires, chez les patients avec des troubles convulsifs, chez les patients dépendants des opiacés ou en présence d'un alcoolisme aigu.
  • -Il convient dêtre attentif à un possible recouvrement des symptômes dune hypertension intracrânienne. Une prudence particulière est recommandée lors de ladministration de Morphin HCl Amino avant, pendant ou après une opération chirurgicale, car le risque diléus ou de dépression respiratoire pendant la phase postopératoire est plus élevé que chez un patient non opéré.
  • -Lapparition confirmée ou soupçonnée dun iléus paralytique en cours de traitement impose larrêt immédiat de Morphin HCl Amino. Les patients devant subir une cordotomie ou une autre intervention chirurgicale destinée à soulager la douleur ne doivent pas recevoir Morphin HCl Amino pendant les 4 heures précédant lintervention. Sil est indiqué de poursuivre par la suite le traitement par Morphin HCl Amino, la posologie devra être réadaptée.
  • -En raison de leffet analgésique de la morphine, des complications intra-abdominales sévères peuvent être masquées, comme par ex. une perforation de lintestin. Examiner les patients sous traitement à long terme par voie intrathécale ou épidurale dans le cadre du contrôle de la pompe de perfusion et rechercher les signes précoces de granulomes au niveau de lembout du cathéter (par ex. diminution de leffet analgésique, augmentation inattendue des douleurs, symptômes neurologiques) afin de diminuer le risque de complications neurologiques éventuellement irréversibles.
  • +Il convient d'être attentif à un possible recouvrement des symptômes d'une hypertension intracrânienne. Une prudence particulière est recommandée lors de l'administration de Morphin HCl Amino avant, pendant ou après une opération chirurgicale, car le risque d'iléus ou de dépression respiratoire pendant la phase postopératoire est plus élevé que chez un patient non opéré.
  • +L'apparition confirmée ou soupçonnée d'un iléus paralytique en cours de traitement impose l'arrêt immédiat de Morphin HCl Amino. Les patients devant subir une cordotomie ou une autre intervention chirurgicale destinée à soulager la douleur ne doivent pas recevoir Morphin HCl Amino pendant les 4 heures précédant l'intervention. S'il est indiqué de poursuivre par la suite le traitement par Morphin HCl Amino, la posologie devra être réadaptée.
  • +En raison de l'effet analgésique de la morphine, des complications intra-abdominales sévères peuvent être masquées, comme par ex. une perforation de l'intestin. Examiner les patients sous traitement à long terme par voie intrathécale ou épidurale dans le cadre du contrôle de la pompe de perfusion et rechercher les signes précoces de granulomes au niveau de l'embout du cathéter (par ex. diminution de l'effet analgésique, augmentation inattendue des douleurs, symptômes neurologiques) afin de diminuer le risque de complications neurologiques éventuellement irréversibles.
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par ml, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +
  • -La morphine augmente lactivité dautre dépresseurs du SNC:
  • -Les phénothiazines augmentent leffet dépresseur de la morphine et peuvent provoquer une hypotension artérielle sévère.
  • -Les hypnotiques (y compris les antihistaminiques) et les neuroleptiques, lalcool, les benzodiazépines, les antiémétiques et les myorelaxants augmentent leffet anticholinergique et dépresseur sur la respiration de la morphine.
  • -Les antidépresseurs tricycliques soutiennent leffet analgésique de la morphine lors du traitement de patients cancéreux.
  • -Les inhibiteurs de la MAO augmentent lactivité de la morphine et dautres médicaments opioïdes. Linteraction avec des inhibiteurs de la MAO peut provoquer une dépression respiratoire, de même une chute on une augmentation de la tension artérielle. Lemploi de la morphine durant un traitement aux inhibiteurs de la MAO ou en lespace de deux semaines après leur arrêt requiert une prudence particulière.
  • -En combination avec cimetidine les taux plasmatiques peuvent être augmentés, donc des effets secondaires du SNC sont possibles.
  • -La morphine affaiblit leffet des diurétiques en libérant lhormone antidiurétique.
  • -Grossesse/Allaitement
  • -Il nexiste pas dexpérimentations animales suffisantes concernant lincidence sur la grossesse, le développement embryonnaire, le développement foetal et/ou le développement postnatal. Le risque potentiel pour lêtre humain nest pas connu.
  • -Ladministration de la morphine avant, respectivement pendant laccouchement peut provoquer une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
  • -Lorsque la morphine est administrée durant une période prolongée ou à doses élevées durant la grossesse, une dépendance et des symptômes de sevrage peuvent se manifester chez le nouveau-né.
  • -Le médicament ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • -Allaitement: La morphine passe dans le lait maternel, il ne faut pas lutiliser chez les femmes allaitantes.
  • +La morphine augmente l'activité d'autres dépresseurs du SNC:
  • +Les phénothiazines augmentent l'effet dépresseur de la morphine et peuvent provoquer une hypotension artérielle sévère.
  • +Les hypnotiques (y compris les antihistaminiques) et les neuroleptiques, l'alcool, les benzodiazépines, les antiémétiques et les myorelaxants augmentent l'effet anticholinergique et dépresseur sur la respiration de la morphine.
  • +Les antidépresseurs tricycliques soutiennent l'effet analgésique de la morphine lors du traitement de patients cancéreux.
  • +Les inhibiteurs de la MAO augmentent l'activité de la morphine et d'autres médicaments opioïdes. L'interaction avec des inhibiteurs de la MAO peut provoquer une dépression respiratoire, de même une chute on une augmentation de la tension artérielle. L'emploi de la morphine durant un traitement aux inhibiteurs de la MAO ou en l'espace de deux semaines après leur arrêt requiert une prudence particulière.
  • +En combinaison avec cimetidine les taux plasmatiques peuvent être augmentés, donc des effets secondaires du SNC sont possibles.
  • +La morphine affaiblit l'effet des diurétiques en libérant l'hormone antidiurétique.
  • +Grossesse, allaitement
  • +Grossesse
  • +Il n'existe pas d'expérimentations animales suffisantes concernant l'incidence sur la grossesse, le développement embryonnaire, le développement foetal et/ou le développement postnatal. Le risque potentiel pour l'être humain n'est pas connu.
  • +L'administration de la morphine avant, respectivement pendant l'accouchement peut provoquer une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
  • +Lorsque la morphine est administrée durant une période prolongée ou à doses élevées durant la grossesse, une dépendance et des symptômes de sevrage peuvent se manifester chez le nouveau-né. Le médicament ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • +Allaitement
  • +La morphine passe dans le lait maternel, il ne faut pas l'utiliser chez les femmes allaitantes.
  • -Réactions dhypersensibilité
  • -Des réactions dhypersensibilité comme urticaire, prurit (fréquemment lors dadministration intrathécale), exanthèmes et oedèmes ont été occasionnellement observés. Due à une libération dhistamine, on observe des réactions anaphylactiques ainsi que rarement le déclenchement dune crise dasthme en cas de prédisposition correspondante.
  • +Réactions d'hypersensibilité
  • +Des réactions d'hypersensibilité comme urticaire, prurit (fréquemment lors d'administration intrathécale), exanthèmes et oedèmes ont été occasionnellement observés. Due à une libération d'histamine, on observe des réactions anaphylactiques ainsi que rarement le déclenchement d'une crise d'asthme en cas de prédisposition correspondante.
  • -La morphine montre des effets secondaires psychiques très variés, dont lintensité et le genre prennent des formes différentes selon les individus. On observe fréquemment des variations dhumeur (généralement euphorie, occasionnellement dysphorie), des dépressions, des changements de lactivité (souvent baisse, occasionnellement augmentation), une insomnie et des altérations des capacités cognitives et sensorielles comme par ex. troubles de la perception, hallucinations et états dexcitation. Une baisse de la libido ou une faiblesse de la puissance sexuelle apparaissent fréquemment.
  • -Lutilisation de la morphine peut entraîner une euphorie et le développement dune dépendance. Larrêt après lutilisation répétée dun antagoniste des opiacés a provoqué un syndrome de sevrage typique. En conséquence, un arrêt du traitement aura lieu progressivement.
  • +La morphine montre des effets secondaires psychiques très variés, dont l'intensité et le genre prennent des formes différentes selon les individus. On observe fréquemment des variations d'humeur (généralement euphorie, occasionnellement dysphorie), des dépressions, des changements de l'activité (souvent baisse, occasionnellement augmentation), une insomnie et des altérations des capacités cognitives et sensorielles comme par ex. troubles de la perception, hallucinations et états d'excitation. Une baisse de la libido ou une faiblesse de la puissance sexuelle apparaissent fréquemment.
  • +L'utilisation de la morphine peut entraîner une euphorie et le développement d'une dépendance. L'arrêt après l'utilisation répétée d'un antagoniste des opiacés a provoqué un syndrome de sevrage typique. En conséquence, un arrêt du traitement aura lieu progressivement.
  • -La morphine provoque de manière dose-dépendante une dépression respiratoire et une sédation de sévérité variable, allant de la légère fatigue à lobnubilation. Une céphalée, des vertiges, des sueurs, une vision floue, une diplopie et un nystagmus peuvent occasionnellement apparaître. Le myosis est un effet accompagnant typique. Ladministration épidurale et intrathécale peuvent occasionnellement réactiver une infection par un herpès labial. A haute dose, des convulsions cérébrales peuvent très rarement apparaître, notamment en cas dadministration proche du SNC (épidurale, intrathécale).
  • -Une sédation est prévisible notamment lors dapplication systémique.
  • -Dans des cas isolés, lors de ladministration de morphine par voie épidurale et intrathécale, des inflammations des méninges (méningite) ou dautres troubles du système nerveux (symptômes neurologiques) peuvent apparaître. Administrée par voie épidurale, la morphine peut, dans des cas isolés, entraîner des modifications au niveau de lespace entre les méninges spinales (espace epidural). Une inhibition respiratoire peut apparaître, même ultérieurement (jusquà 24 heures) en cas dadministration par voie épidurale et intrathécale.
  • +La morphine provoque de manière dose-dépendante une dépression respiratoire et une sédation de sévérité variable, allant de la légère fatigue à l'obnubilation. Une céphalée, des vertiges, des sueurs, une vision floue, une diplopie et un nystagmus peuvent occasionnellement apparaître. Le myosis est un effet accompagnant typique. L'administration épidurale et intrathécale peuvent occasionnellement réactiver une infection par un herpès labial. A haute dose, des convulsions cérébrales peuvent très rarement apparaître, notamment en cas d'administration proche du SNC (épidurale, intrathécale).
  • +Une sédation est prévisible notamment lors d'application systémique.
  • +Dans des cas isolés, lors de l'administration de morphine par voie épidurale et intrathécale, des inflammations des méninges (méningite) ou d'autres troubles du système nerveux (symptômes neurologiques) peuvent apparaître. Administrée par voie épidurale, la morphine peut, dans des cas isolés, entraîner des modifications au niveau de l'espace entre les méninges spinales (espace epidural). Une inhibition respiratoire peut apparaître, même ultérieurement (jusqu'à 24 heures) en cas d'administration par voie épidurale et intrathécale.
  • -Des rares cas de bradycardie ainsi quune chute ou une augmentation de tension ou de la fréquence cardiaque de pertinence clinique sont apparus. Une rougeur faciale, des frissons, des palpitations cardiaques, une faiblesse générale allant jusquà la perte de connaissance et une défaillance cardiaque peuvent apparaître.
  • +Des rares cas de bradycardie ainsi qu'une chute ou une augmentation de tension ou de la fréquence cardiaque de pertinence clinique sont apparus. Une rougeur faciale, des frissons, des palpitations cardiaques, une faiblesse générale allant jusqu'à la perte de connaissance et une défaillance cardiaque peuvent apparaître.
  • -Chez les patients traités en médecine intensive, des oedèmes pulmonaires dorigine non cardiaque ont été occasionnellement observés.
  • +Chez les patients traités en médecine intensive, des oedèmes pulmonaires d'origine non cardiaque ont été occasionnellement observés.
  • -Une nausée et une sécheresse buccale peuvent apparaître de manière dose-dépendant. Occasionnellement, on a observé des vomissements (notamment au début du traitement), une perte de lappétit et des modifications du goût. Un effet accompagnant typique lors dun traitement à longue durée est la constipation, dans des cas isolés allant jusquà locclusion intestinale.
  • +Une nausée et une sécheresse buccale peuvent apparaître de manière dose-dépendant. Occasionnellement, on a observé des vomissements (notamment au début du traitement), une perte de l'appétit et des modifications du goût. Un effet accompagnant typique lors d'un traitement à longue durée est la constipation, dans des cas isolés allant jusqu'à l'occlusion intestinale.
  • -Une nausée est prévisible notamment lors dapplication systémique.
  • +Une nausée est prévisible notamment lors d'application systémique.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Symptômes de l’intoxication
  • -Les signes dune intoxication ou dun surdosage par la morphine englobent un myosis, une paralysie respiratoire et une hypotension artérielle. Un collapsus cardiovasculaire et un coma peuvent survenir dans les cas graves.
  • -Traitement de l’intoxication
  • -Il est essentiel de dégager les voies respiratoires, dassister et de contrôler la respiration.
  • -En fonction de la gravité du surdosage: Administration intraveineuse de 0,4 à 2 mg de chlorhydrate de naloxone (enfants: 0,01 mg/kg de poids corporel). Répéter si nécessaire ladministration 2 à 3 fois en respectant chaque fois un intervalle de 2 à 3 minutes (voir linformation médicale correspondante), ou administrer une perfusion de 2 mg de chlorhydrate de naloxone dans 500 ml de NaCl à 0,9% ou de dextrose à 5% (0,004 mg/ml). La vitesse de perfusion doit être réglée en fonction de linjection en bolus et adaptée à la réaction du patient.
  • -La durée daction de la naloxone est relativement courte (demi-vie plasmatique: t½ naloxone = 60 à 90 minutes, t½ morphine = 2 à 4 heures). Par conséquent, la surveillance du patient sera prolongée, également après ladministration de naloxone (entre autres respiration), et des doses répétées de naloxone peuvent savérer nécessaires.
  • +Signes et symptômes
  • +Les signes d'une intoxication ou d'un surdosage par la morphine englobent un myosis, une paralysie respiratoire et une hypotension artérielle. Un collapsus cardiovasculaire et un coma peuvent survenir dans les cas graves.
  • +Traitement
  • +Il est essentiel de dégager les voies respiratoires, d'assister et de contrôler la respiration.
  • +En fonction de la gravité du surdosage: Administration intraveineuse de 0,4 à 2 mg de chlorhydrate de naloxone (enfants: 0,01 mg/kg de poids corporel). Répéter si nécessaire l'administration 2 à 3 fois en respectant chaque fois un intervalle de 2 à 3 minutes (voir l'information médicale correspondante), ou administrer une perfusion de 2 mg de chlorhydrate de naloxone dans 500 ml de NaCl à 0,9% ou de dextrose à 5% (0,004 mg/ml). La vitesse de perfusion doit être réglée en fonction de l'injection en bolus et adaptée à la réaction du patient.
  • +La durée d'action de la naloxone est relativement courte (demi-vie plasmatique: t½ naloxone = 60 à 90 minutes, t½ morphine = 2 à 4 heures). Par conséquent, la surveillance du patient sera prolongée, également après l'administration de naloxone (entre autres respiration), et des doses répétées de naloxone peuvent s'avérer nécessaires.
  • -Une vidange gastrique ou intestinale est indiquée dans certaines conditions afin déliminer les substances non résorbées.
  • +Une vidange gastrique ou intestinale est indiquée dans certaines conditions afin d'éliminer les substances non résorbées.
  • -Code ATC: N02AA01
  • -Le principe actif morphine est un agoniste des récepteurs opiacés doté dune très forte affinité pour les récepteurs de type µ et dune affinité plus faible pour les récepteurs de type κ. En stimulant les récepteurs situés dans le SNC et dans divers organes périphériques, la morphine déploie son effet supraspinal (µ) et spinal (κ) analgésique et refoulant la douleur.
  • +Code ATC
  • +N02AA01
  • +Le principe actif morphine est un agoniste des récepteurs opiacés doté d'une très forte affinité pour les récepteurs de type µ et d'une affinité plus faible pour les récepteurs de type κ. En stimulant les récepteurs situés dans le SNC et dans divers organes périphériques, la morphine déploie son effet supraspinal (µ) et spinal (κ) analgésique et refoulant la douleur.
  • -Après administration i.m., s.c. ou i.v. la biodisponibilité est de presque 100%. Leffet analgésique maximal est atteint 20 minutes après ladministration par i.v., il est atteint 30 à 60 minutes après ladministration par i.m et 45 à 90 minutes après ladministration par s.c. La durée daction est de 4 à 5 heures environ.
  • +Après administration i.m., s.c. ou i.v. la biodisponibilité est de presque 100%. L'effet analgésique maximal est atteint 20 minutes après l'administration par i.v., il est atteint 30 à 60 minutes après l'administration par i.m et 45 à 90 minutes après l'administration par s.c. La durée d'action est de 4 à 5 heures environ.
  • -Lors de sa biotransformation la morphine est transformée principalement en morphine-3-glucuronide (non analgésique) et en morphine-6-glucuronide (analgésique) (en proportion de 10:1). En plus dautres métabolites actifs comme normorphine et codéine sont formés.
  • +Lors de sa biotransformation la morphine est transformée principalement en morphine-3-glucuronide (non analgésique) et en morphine-6-glucuronide (analgésique) (en proportion de 10:1). En plus d'autres métabolites actifs comme normorphine et codéine sont formés.
  • -90% dune dose sont éliminés principalement par les urines. A part des métabolites dans les urines seulement peu de morphine non métabolisée est eliminée. Environ 10% sont excrétés par voie biliaire par les fèces et sont soumis à la circulation entérohépatique. La demi-vie plasmatique varie entre 2,5–3,0 h. Après 24 h plus de 90% de la dose appliqué sont eliminés.
  • +90% d'une dose sont éliminés principalement par les urines. A part des métabolites dans les urines seulement peu de morphine non métabolisée est eliminée. Environ 10% sont excrétés par voie biliaire par les fèces et sont soumis à la circulation entérohépatique. La demi-vie plasmatique varie entre 2,5–3,0 h. Après 24 h plus de 90% de la dose appliqué sont eliminés.
  • -Des résultats de mutagénicité clairement positifs sont disponibles; ils indiquent que la morphine a une action clastogène et quelle déploie également cet effet sur les cellules germinales. Suite aux résultats de divers tests de mutagénicité, la morphine est considérée comme une substance mutagène; un effet de ce genre doit être présumé chez lêtre humain.
  • -Il nexiste pas détudes animales à long terme concernant le potentiel cancérogène de la morphine.
  • +Des résultats de mutagénicité clairement positifs sont disponibles; ils indiquent que la morphine a une action clastogène et qu'elle déploie également cet effet sur les cellules germinales. Suite aux résultats de divers tests de mutagénicité, la morphine est considérée comme une substance mutagène; un effet de ce genre doit être présumé chez l'être humain.
  • +Il n'existe pas d'études animales à long terme concernant le potentiel cancérogène de la morphine.
  • -Ce médicament est soumis à la loi fédérale sur les stupéfiants!
  • -Le chlorhydrate de morphine est sensible aux variations du pH et montre des précipitations en milieu alcalin. La substance est incompatible avec: aminophylline, barbituriques (sels Na), phénytoïne, acyclovir (-Na), fluorouracil, furosémide, héparinate de sodium (avec des solutions de morphine dune concentration supérieure à 5 mg/ml), chlorhydrate de péthidine, chlorhydrate de prométhazine, tétracyclines.
  • +Le chlorhydrate de morphine est sensible aux variations du pH et montre des précipitations en milieu alcalin. La substance est incompatible avec: aminophylline, barbituriques (sels Na), phénytoïne, acyclovir (-Na), fluorouracil, furosémide, héparinate de sodium (avec des solutions de morphine d'une concentration supérieure à 5 mg/ml), chlorhydrate de péthidine, chlorhydrate de prométhazine, tétracyclines.
  • -Conserver à température ambiante (15 à 25 °C), à l’abri de la lumière et hors de la portée des enfants.
  • -Les solutions injectables de Morphin HCl Amino sont exemptes d’agent conservateur. La solution doit être utilisée immédiatement après ouverture. La solution non utilisée doit être jetée.
  • +Stabilité après ouverture
  • +Les solutions injectables de Morphin HCl Amino ne contiennent pas de conservateur. Pour des raisons microbiologiques, la préparation prête à l'emploi doit être utilisée immédiatement après ouverture. La solution non utilisée doit être jetée.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15 à 25 °C), à l'abri de la lumière et hors de la portée des enfants.
  • +
  • -56513 (Swissmedic).
  • +56'513 (Swissmedic).
  • -Morphin HCl Amino sol inj 10 mg/ml amp 10. (A+)
  • -Morphin HCl Amino sol inj 10 mg/ml amp 100. (A+)
  • -Morphin HCl Amino sol inj 20 mg/ml amp 10. (A+)
  • -Morphin HCl Amino sol inj 20 mg/ml amp 100. (A+)
  • -Morphin HCl Amino sol inj 200 mg/10 ml amp 10. (A+)
  • +Ampoules (1ml) à 10 mg: 10 et 100. [A+]
  • +Ampoules (1ml) à 20 mg: 10 et 100. [A+]
  • +Ampoules (10ml) à 200 mg: 10. [A+]
  • -Amino SA, Gebenstorf.
  • +Amino SA, Gebenstorf
  • -Janvier 2010.
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