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Accueil - Information professionnelle sur Faslodex - Changements - 22.07.2021
54 Changements de l'information professionelle Faslodex
  • -Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Patientes présentant des troubles de la fonction hépatique
  • -Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Patientes présentant des troubles de la fonction rénale
  • -Enfants et adolescents
  • -Faslodex n'est pas indiqué chez les enfants et les adolescents.
  • +Enfants et adolescentes
  • +Faslodex n'est pas indiqué chez les enfants et les adolescentes.
  • -Dans des études cliniques sur le palbociclib, des taux réduits de granulocytes neutrophiles ont été observés (voir «Effets indésirables»). Chez les patients ayant reçu du palbociclib en association avec du fulvestrant (étude 1023), une baisse de la numération des neutrophiles de grade 3 et de grade 4 a été rapportée dans respectivement 55% et 11% des cas.
  • -La durée médiane jusqu'à l'apparition d'une neutropénie de tout grade a été de 15 jours (min. 13, max. 317 jours). La durée médiane des neutropénies de grade ≥3 était de 7 jours.
  • +Dans des études cliniques sur le palbociclib, des taux réduits de granulocytes neutrophiles ont été observés (voir «Effets indésirables»). Chez les patientes ayant reçu du palbociclib en association avec du fulvestrant (étude 1023), une baisse de la numération des neutrophiles de grade 3 et de grade 4 a été rapportée dans respectivement 55% et 11% des cas.
  • +La durée médiane jusqu'à l'apparition d'une neutropénie de tout grade a été de 15 jours (min. 13 jours à max. 317 jours). La durée médiane des neutropénies de grade ≥3 était de 7 jours.
  • -Des infections, toutes sévérités confondues, ont été plus souvent rapportées chez des patients traités avec du palbociclib plus fulvestrant (47%) que chez les patients des groupes témoins correspondants (31%). Des infections de grade 3 et 4 sont survenues chez respectivement 3% et 1% des patients traités par palbociclib et fulvestrant, contre 3% et 0% respectivement dans les groupes témoins correspondants
  • -Les patients doivent être surveillés à la recherche de signes et de symptômes d'une infection et recevoir un traitement médical approprié. Il faut indiquer aux patients de consulter immédiatement leur médecin en cas de fièvre.
  • +Des infections, toutes sévérités confondues, ont été plus souvent rapportées chez des patientes traitées avec du palbociclib plus fulvestrant (47%) que chez les patientes des groupes témoins correspondants (31%). Des infections de grade 3 et 4 sont survenues chez respectivement 3% et 1% des patientes traitées par palbociclib et fulvestrant, contre 3% et 0% respectivement dans les groupes témoins correspondants.
  • +Les patientes doivent être surveillées à la recherche de signes et de symptômes d'une infection et recevoir un traitement médical approprié. Il faut indiquer aux patientes de consulter immédiatement leur médecin en cas de fièvre.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -La fréquence des effets indésirables est définie selon la convention suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1000, <1/100), «rares» (≥1/10'000, <1/1'000), «très rares» (<1/10'000).
  • +La fréquence des effets indésirables est définie selon la convention suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000, <1/100), «rares» (≥1/10'000, <1/1'000), «très rares» (<1/10'000).
  • -Très fréquents: éruption cutanée (généralement légère) (11%)
  • +Très fréquents: éruption cutanée (généralement légère) (11%).
  • -Les données reproduites ici concernent l'exposition au palbociclib utilisé en association avec le fulvestrant chez 345 patients au total souffrant d'un cancer du sein HR-positif et HER2 négatif avancé dans le cadre d'une étude randomisée.
  • -Chez 36% des patients, la dose a été réduite en raison d'effets indésirables.
  • -Chez 6% des patients, le traitement a été interrompu durablement en raison d'effets indésirables.
  • -Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥20%), tous grades confondus, ont été les suivants: neutropénie, leucopénie, infections, fatigue, nausées, anémie, stomatite, céphalées, diarrhée et thrombocytopénie.
  • -Les effets indésirables graves les plus fréquemment rapportés (≥1%) chez les patients ayant reçu du palbociclib plus fulvestrant (étude 1023) étaient les infections (4,1%), la pyrexie (1,4%) et la neutropénie (1,2%).
  • -La fréquence des effets indésirables est définie selon la convention suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1000, <1/100), «rares» (≥1/10'000, <1/1'000), «très rares» (<1/10'000).
  • +Les données reproduites ici concernent l'exposition au palbociclib utilisé en association avec le fulvestrant chez 345 patientes au total souffrant d'un cancer du sein HR-positif et HER2 négatif avancé dans le cadre d'une étude randomisée.
  • +Chez 42% des patientes, la dose a été réduite en raison d'effets indésirables.
  • +Chez 8% des patientes, le traitement a été interrompu durablement en raison d'effets indésirables.
  • +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥20%), tous grades confondus, ont été les suivants: neutropénie (84%), leucopénie (60%), infections (55%), fatigue (44%), nausées (36%), anémie (32%), stomatite (30%), céphalées («29%), diarrhée (27%), thrombocytopénie (26%), toux (22 %), constipation (22 %), vomissements (22 %) et arthralgie (20 %).
  • +Les effets indésirables graves les plus fréquemment rapportés (≥1%) chez les patientes ayant reçu du palbociclib plus fulvestrant (étude 1023) étaient les infections (4,1%), la pyrexie (1,4%) et la neutropénie (1,2%).
  • +La fréquence des effets indésirables est définie selon la convention suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000, <1/100), «rares» (≥1/10'000, <1/1'000), «très rares» (<1/10'000).
  • -Très fréquents: infections (47,2%).
  • +Très fréquents: infections (54,4%).
  • -Très fréquents: neutropénie (83,2%), leucopénie (53,0%), anémie (29,6%), thrombocytopénie (22,6%).
  • +Très fréquents: neutropénie (84,1%), leucopénie (60,0%), anémie (31,6%), thrombocytopénie (25,5%).
  • -Très fréquents: perte d'appétit (15,9%).
  • +Très fréquents: perte d'appétit (17,4%).
  • -Très fréquents: céphalées (25,8%)
  • +Très fréquents: céphalées (28,7%).
  • -Très fréquents: nausées (33,9%), stomatite (28,1%), diarrhée (23,5%), vomissements (18,8%).
  • +Très fréquents: nausées (35,9%), stomatite (30,1%), diarrhée (27,2%), vomissements (21,7%).
  • -Fréquents: augmentation de l'alanine-aminotransférase (ALT), augmentation de l'aspartate-aminotransférase (AST).
  • +Très fréquents: augmentation de l'aspartate-aminotransférase (AST) (11,6%).
  • +Fréquents: augmentation de l'alanine-aminotransférase (ALT).
  • -Très fréquents: alopécie (18,0%), éruption cutanée (16,8%).
  • +Très fréquents: alopécie (19,4%), éruption cutanée (18,3%).
  • -Très fréquents: arthralgie (15,9%).
  • +Très fréquents: arthralgie (20,0%).
  • -Très fréquents: fatigue (41,2%), pyrexie (12,8%).
  • +Très fréquents: fatigue (44,1%), pyrexie (13,6%).
  • -Le critère principal était défini comme la survie sans progression (SSP). La SSP pour Faslodex 500 mg a été significativement plus longue que celle pour Faslodex 250 mg: 6,5 vs 5,5 mois (HR = 0,80; CI 0,68-0,94; p=0,006). Les critères secondaires d'efficacité comprenaient le taux de réponse objective (RO), le bénéfice clinique (BC) et la survie globale (SG). L'analyse finale de survie à 75% de maturité a montré une survie globale moyenne de 26,4 sous Faslodex 500 mg versus 22,3 mois sous Faslodex 250 mg et une réduction du risque de mortalité de 19% sous Faslodex 500 mg comparativement à Faslodex 250 mg [HR = 81; IC à 95% 0,69-0,96; p = 0,016 (valeur p nominale sans ajustement de multiplicité). Le taux de réponse objective a été similaire sous Faslodex 500 mg et Faslodex 250 mg (13,8% vs 14,6%; Odds ratio 0,94 [IC à 95% 0,57, 1,55; p = 0,795).
  • +Le critère principal était défini comme la survie sans progression (SSP). La SSP pour Faslodex 500 mg a été significativement plus longue que celle pour Faslodex 250 mg: 6,5 vs 5,5 mois (HR = 0,80; CI 0,680,94; p=0,006). Les critères secondaires d'efficacité comprenaient le taux de réponse objective (RO), le bénéfice clinique (BC) et la survie globale (SG). L'analyse finale de survie à 75% de maturité a montré une survie globale moyenne de 26,4 sous Faslodex 500 mg versus 22,3 mois sous Faslodex 250 mg et une réduction du risque de mortalité de 19% sous Faslodex 500 mg comparativement à Faslodex 250 mg [HR = 81; IC à 95% 0,690,96; p=0,016 (valeur p nominale sans ajustement de multiplicité). Le taux de réponse objective a été similaire sous Faslodex 500 mg et Faslodex 250 mg (13,8% vs 14,6%; Odds ratio 0,94 [IC à 95% 0,57, 1,55; p=0,795).
  • -Les patientes qui ont participé à l'étude avaient en moyenne 63 ans (36-90). La majorité d'entre-elles (87,0%) présentait des métastases au début de l'étude. 55,0% des patientes présentaient des métastases viscérales. Au total, 17,1% des patientes avaient précédemment reçu un cycle de chimiothérapie pour leur maladie avancée; 84,2% des patientes avaient des métastases mesurables. Environ 40% des patientes ont été enrôlées en Russie et en Ukraine. Les patients inscrits en Europe de l'Est ont reçu une chimiothérapie néoadjuvante et/ou adjuvante antérieure plus fréquemment que le reste de la population de l'étude (27,1% contre 9,8%).
  • -Dans le groupe Faslodex, une amélioration statistiquement significative de la SSP a été observée par rapport au groupe anastrozole [RR=0,797 (IC à 95%: 0,637-0,999; p bilatéral=0,0486)]. Au moment de l'évaluation, 143 patientes (62,2%) du groupe Faslodex ne présentaient aucune progression, contre 166 (71,6%) dans le groupe anastrozole. La SSP médiane était de 16,6 mois (IC à 95%: 13,83; 20,99) dans le groupe Faslodex et de 13,8 mois (IC à 95%: 11,99;16,59) dans le groupe anastrozole. Au moment de l'analyse, les données relatives à la survie globale (SG) n'étaient pas encore connues (31%). À ce moment-là, il n'y avait aucune différence de SG statistiquement significative entre les deux groupes de traitement (RR 0,875; IC à 95% 0,629–1,217; p bilatéral=0,4277).
  • +Les patientes qui ont participé à l'étude avaient en moyenne 63 ans (3690). La majorité d'entre-elles (87,0%) présentait des métastases au début de l'étude. 55,0% des patientes présentaient des métastases viscérales. Au total, 17,1% des patientes avaient précédemment reçu un cycle de chimiothérapie pour leur maladie avancée; 84,2% des patientes avaient des métastases mesurables. Environ 40% des patientes ont été enrôlées en Russie et en Ukraine. Les patients inscrits en Europe de l'Est ont reçu une chimiothérapie néoadjuvante et/ou adjuvante antérieure plus fréquemment que le reste de la population de l'étude (27,1% contre 9,8%).
  • +Dans le groupe Faslodex, une amélioration statistiquement significative de la SSP a été observée par rapport au groupe anastrozole [RR=0,797 (IC à 95%: 0,6370,999; p bilatéral=0,0486)]. Au moment de l'évaluation, 143 patientes (62,2%) du groupe Faslodex ne présentaient aucune progression, contre 166 (71,6%) dans le groupe anastrozole. La SSP médiane était de 16,6 mois (IC à 95%: 13,83; 20,99) dans le groupe Faslodex et de 13,8 mois (IC à 95%: 11,99; 16,59) dans le groupe anastrozole. Au moment de l'analyse, les données relatives à la survie globale (SG) n'étaient pas encore connues (31%). À ce moment-là, il n'y avait aucune différence de SG statistiquement significative entre les deux groupes de traitement (RR 0,875; IC à 95% 0,629–1,217; p bilatéral=0,4277).
  • -L'utilisation de palbociclib plus fulvestrant a été comparée à l'utilisation d'un placebo plus fulvestrant chez des femmes souffrant d'un cancer du sein HR-positif et HER2-négatif avancé, dont la maladie avait progressé ayant reçu une thérapie endocrine antérieurement dans le cadre d'une étude multicentrique internationale en groupes parallèle, randomisée et en double aveugle, (étude 1023, N=521).
  • -Les patientes ont été stratifiées en fonction de leur sensibilité documentée à une hormonothérapie antérieure, de leur statut ménopausique à l'inclusion dans l'étude (pré, péri ou post-ménopause) et de la présence ou non de métastases viscérales. Les deux groupes étaient bien équilibrés en termes de données démographiques et de caractéristiques pronostiques. Dans les deux groupes de traitement, la plupart des patientes avaient suivi un cycle de chimiothérapie antérieur. 61,8% avaient un indice de performance ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) de 0, 59,7% présentaient des métastases viscérales et 59,7% avaient reçu plus d'un traitement hormonal antérieur pour leur diagnostic initial. L'âge médian était de 57 ans (29-88).
  • +L'utilisation de palbociclib plus fulvestrant a été comparée à l'utilisation d'un placebo plus fulvestrant chez des femmes souffrant d'un cancer du sein HR-positif et HER2-négatif avancé, dont la maladie avait progressé ayant reçu une thérapie endocrine antérieurement dans le cadre d'une étude multicentrique internationale en groupes parallèle, randomisée et en double aveugle, (étude 1023, n=521).
  • +Les patientes ont été stratifiées en fonction de leur sensibilité documentée à une hormonothérapie antérieure, de leur statut ménopausique à l'inclusion dans l'étude (pré, péri ou post-ménopause) et de la présence ou non de métastases viscérales. Les deux groupes étaient bien équilibrés en termes de données démographiques et de caractéristiques pronostiques. Dans les deux groupes de traitement, la plupart des patientes avaient suivi un cycle de chimiothérapie antérieur. 61,8% avaient un indice de performance ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) de 0, 59,7% présentaient des métastases viscérales et 59,7% avaient reçu plus d'un traitement hormonal antérieur pour leur diagnostic initial. L'âge médian était de 57 ans (2988).
  • -Concernant le critère d'évaluation principal de la SSP, palbociclib plus fulvestrant (N=347) ont présenté un bénéfice significatif par rapport au groupe témoin (N=174), avec une SSP médiane de 11,2 mois (IC à 95%: 9,5-12,9) contre 4,6 mois (IC à 95%: 3,5-5,6) (RR 0,497, IC à 95%: 0,398-0,620; p unilatéral<0,0001).
  • +Concernant le critère d'évaluation principal de la SSP, palbociclib plus fulvestrant (n=347) ont présenté un bénéfice significatif par rapport au groupe témoin (n=174), avec une SSP médiane de 11,2 mois (IC à 95%: 9,512,9) contre 4,6 mois (IC à 95%: 3,55,6) (RR 0,497, IC à 95%: 0,3980,620; p unilatéral<0,0001).
  • +Après un suivi médian de 45 mois, l'analyse finale de l'OS a été effectuée sur la base de 310 événements (59.5% des patientes randomisées). Une différence de 6.9 mois sur l'OS médiane a été constatée pour le groupe sous palbociclib plus fulvestrant (34.9 mois [IC à 95% (28.8, 40.0)]) par rapport au bras comparateur (28.0 mois [IC à 95% (23.6, 34.6)]) (HR 0.814, IC à 95% 0.644, 1.029; p unilatéral = 0.0429); ce résultat n'est pas statistiquement significatif puisque le niveau de signification prédéfini était de 0.0235 (unilatéral).
  • +
  • -Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Cinétique pour certains groupes de patientes
  • -Patients âgés
  • +Patientes âgées
  • -56778 (Swissmedic).
  • +56778 (Swissmedic)
  • -AstraZeneca AG, 6340 Baar.
  • +AstraZeneca AG, 6340 Baar
  • -Février 2020.
  • +Juin 2021
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