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Accueil - Information professionnelle sur Citalopram Axapharm 20 mg - Changements - 16.04.2019
108 Changements de l'information professionelle Citalopram Axapharm 20 mg
  • -Principe actif: Citalopram sous forme de bromhydrate.
  • -Excipients: Excipiens pro compresso obducto.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Comprimés pelliculés avec rainure de fragmentation à 20 mg et à 40 mg de citalopram.
  • +Principe actif
  • +Citalopram ut Citaloprami hydrobromidum.
  • +Excipients
  • +Excipiens pro compresso obducto.
  • -Troubles obsessionnels.
  • +Troubles obsessionnels compulsifs.
  • -La posologie doit être déterminée au cas par cas et adaptée au tableau clinique et à chaque patient individuel.
  • -États dépressifs
  • -Les comprimés pelliculés de Claropram sont administrés 1× par jour.
  • -Claropram se prend au cours ou en dehors des repas.
  • +La posologie sera déterminée individuellement et adaptée au tableau clinique et à chaque patient.
  • +Mode d’emploi
  • +Les comprimés pelliculés de Citalopram Axapharm sont pris 1× par jour. Les comprimés pelliculés peuvent être pris, en principe, à n’importe quel moment de la journée et indépendamment des repas, avec suffisamment de liquide (par exemple 1 verre d’eau), mais il est recommandé de prendre le médicament toujours au même moment de la journée.
  • +États dépressifs:
  • -Troubles paniques
  • -Dose initiale: 10 mg par jour, portée après une semaine à 20 mg par jour. En règle générale, la dose optimale est de 20 à 30 mg par jour. Si la réponse est insuffisante, la dose peut être portée à 40 mg par jour.
  • -Troubles obsessionnels
  • +Durée du traitement
  • +L’effet antidépresseur se fait généralement ressentir après 2 à 4 semaines. Parce que le traitement par antidépresseurs est symptomatique, il doit être poursuivi pendant une période de temps appropriée, normalement jusqu’à 6 mois après la guérison, afin d’éviter les rechutes. Chez les patients souffrant d’une dépression récidivante (unipolaire), un traitement antidépresseur d’entretien de plusieurs années peut être nécessaire afin d’éviter la survenue de nouveaux épisodes d’une dépression unipolaire.
  • +Troubles paniques avec ou sans agoraphobie:
  • +Dose initiale: 10 mg par jour, portée après une semaine à 20 mg par jour. En règle générale, la dose optimale se situe entre 20 et 30 mg par jour. La dose peut être portée à 40 mg par jour en cas de réponse insuffisante.
  • +Durée du traitement
  • +Lors du traitement des troubles paniques avec ou sans agoraphobie, l’effet maximal est atteint au bout d’environ 3 mois de traitement.
  • +Troubles obsessionnels compulsifs:
  • -Lors d’un traitement des troubles obsessionnels compulsifs, l’installation de l’effet survient au bout de 2 à 4 semaines. Le succès thérapeutique augmente avec la poursuite du traitement.
  • -L’effet antidépresseur se fait généralement ressentir après 2 à 4 semaines. Parce que le traitement par antidépresseurs est symptomatique, il doit être poursuivi pendant une période de temps appropriée, normalement jusqu’à 6 mois après la guérison, afin d’éviter les rechutes. Chez les patients souffrant d’une dépression récidivante (unipolaire), un traitement antidépresseur d’entretien de plusieurs années peut être nécessaire afin de diminuer la fréquence de nouvelles dépressions unipolaires. Lors de l’arrêt du traitement, Claropram doit être arrêté progressivement sur quelques semaines (par palier de maximum 10 mg toutes les 1 à 2 semaines).
  • -Posologies spéciales
  • +Lors d’un traitement des troubles obsessionnels compulsifs, l’entrée en action d’un effet se ressent après 2 à 4 semaines. Le succès thérapeutique augmente avec la poursuite du traitement.
  • +Instructions spéciales pour le dosage:
  • -Les patients âgés de plus de 65 ans devraient recevoir environ la moitié de la dose usuelle, c’est-à-dire 10 à 20 mg par jour.
  • +Environ la moitié de la dose usuelle, soit 10 à 20 mg par jour, sera administrée aux patients âgés de plus de 65 ans.
  • +La dose maximale recommandée chez les patients âgés est de 20 mg par jour.
  • -Parce que les études contrôlées par placebo et menées chez les enfants et adolescents souffrant de dépression n’ont pas démontré d’efficacité, l’usage de Claropram n’est pas recommandé dans cette tranche d’âge. Dans les indications de troubles paniques et de troubles obsessionnels également, l’utilisation de Claropram n’est pas recommandée dans cette tranche d’âge car l’efficacité et la sécurité d’emploi n’ont pas été étudiées dans ces indications.
  • -Affections rénales et hépatiques
  • -L’élimination du Claropram est ralentie chez les patients dont la fonction hépatique est réduite, ce qui se traduit par une augmentation pouvant aller jusqu’à 100% des taux plasmatiques de citalopram. Il ne faut par conséquent pas dépasser des doses journalières de 10 à 20 mg de Claropram chez les patients souffrant de troubles de la fonction hépatique. Chez les patients présentant une insuffisance rénale légère ou modérée, le ralentissement de l’élimination du citalopram est minime et une adaptation de la dose n’est généralement pas nécessaire chez ces patients.
  • -On ne dispose pas d’expérience chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min.).
  • -Arrêt du traitement
  • -Au terme d’un traitement de longue durée par Claropram, un arrêt brusque peut provoquer chez certains patients des symptômes de privation tels que vertiges, céphalées, nausées, paresthésies, tremblements, anxiété, palpitations cardiaques, sudation accrue, nervosité et troubles du sommeil. Les réactions de sevrage citées étaient de faible intensité et spontanément résolutives. Pour éviter ces symptômes, un arrêt progressif du traitement sur une période d’une à deux semaines est recommandé.
  • +Parce que les études contrôlées par placebo et menées chez les enfants et adolescents souffrant de dépression n’ont pas démontré d’efficacité, l’usage de Citalopram Axapharm n’est pas recommandé dans cette tranche d’âge. Dans les indications de troubles paniques et de troubles obsessionnels compulsifs également, l’utilisation de Citalopram Axapharm n’est pas recommandée dans cette tranche d’âge car l’efficacité et la sécurité d’emploi n’ont pas été étudiées dans ces indications.
  • +Affections hépatiques
  • +L’élimination de Citalopram Axapharm est ralentie chez les patients dont la fonction hépatique est réduite, ce qui se traduit par une augmentation jusqu’à 100% des taux plasmatiques du citalopram. Par conséquent, les doses journalières entre 10 et 20 mg de Citalopram Axapharm ne doivent pas être dépassées chez les patients souffrant de troubles de la fonction hépatique.
  • +Affections rénales
  • +Chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale légers à modérés, le ralentissement de l’élimination du citalopram est mineur et une adaptation posologique n’est généralement pas nécessaire chez ces patients.
  • +Aucune expérience chez les patients présentant des troubles sévères de la fonction rénale (clairance de la créatinine <30 ml/min) n’est disponible.
  • +Faible métabolisation par le CYP2C19
  • +Chez les patients connus pour un déficit métabolique en CYP2C19, une dose initiale de 10 mg par jour est recommandée pendant les deux premières semaines. En fonction de la réponse individuelle du patient, la dose peut être augmentée à un maximum de 20 mg par jour (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Arrêt du traitement:
  • +Un arrêt brutal doit être évité. Si l’arrêt du traitement est prévu, Citalopram Axapharm doit être arrêté progressivement sur quelques semaines (par palier de maximum 10 mg toutes les 1 à 2 semaines). Au terme d’un traitement de longue durée par Citalopram Axapharm, un arrêt brusque peut provoquer des symptômes de sevrage tels que vertige, céphalées, nausée, paresthésies, tremblements, anxiété, palpitations, sudation accrue, nervosité, troubles du sommeil ou d’autres symptômes. Les réactions de sevrage citées peuvent être de faible intensité et spontanément résolutives ou, chez certains patients, sévères (voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). Pour éviter ces symptômes, un arrêt progressif du traitement sur une période d’une à deux semaines est recommandé.
  • -Hypersensibilité au citalopram ou à l’un des excipients contenus dans le Claropram.
  • -Inhibiteurs de la MAO
  • +Hypersensibilité au citalopram ou à l’un des excipients contenus dans Citalopram Axapharm.
  • +Inhibiteurs de la MAO:
  • -Le traitement par Claropram ne peut être commencé que 14 jours après l’arrêt d’un traitement par inhibiteurs non-sélectifs de la MAO et au plus tôt un jour après l’arrêt d’un traitement par le moclobémide.
  • -Un traitement par un inhibiteur de la MAO autre que la sélégiline pourra débuter 7 jours après l’arrêt d’un traitement par Claropram (voir «Interactions»).
  • -L’utilisation de Claropram avec des médicaments connus pour allonger l’intervalle QT est contre-indiquée (voir «Interactions»)
  • -Le citalopram est contre-indiqué chez les patients présentant un allongement acquis ou congénital de l’intervalle QT.
  • +Le traitement par Citalopram Axapharm ne peut être commencé que 14 jours après l’arrêt d’un traitement par inhibiteurs non-sélectifs de la MAO et au plus tôt un jour après l’arrêt d’un traitement par le moclobémide.
  • +Un traitement par un inhibiteur de la MAO autre que la sélégiline pourra débuter 7 jours après l’arrêt d’un traitement par Citalopram Axapharm (voir «Interactions»).
  • +L’administration simultanée de linézolide est contre-indiquée, sauf si une surveillance étroite et un contrôle de la tension artérielle sont possibles (voir «Interactions»).
  • +L’administration de Citalopram Axapharm est contre-indiqué avec des médicaments qui allongent de façon prouvée l’intervalle QT (voir «Interactions»).
  • +Le citalopram est contre-indiqué chez les patients qui présentent un allongement connu de l’intervalle QT ou un syndrome du QT long congénital.
  • -La prudence est de rigueur chez les patients âgés et chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • +La prudence est de rigueur chez les patients âgés et chez les patients présentant une insuffisance hépatique et rénale (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • -Chez le patient atteint de troubles paniques, l’angoisse peut s’accentuer au début d’un traitement par antidépresseur. Cet effet paradoxal initial est le plus marqué durant les premiers jours du traitement et s’estompe en l’espace de 2 semaines.
  • +Chez le patient atteint de troubles paniques, l’angoisse peut s’accentuer au début d’un traitement par antidépresseur. Ces réactions d’angoisse paradoxales sont le plus marquées durant les premiers jours du traitement et s’estompent généralement en l’espace de 2 semaines.
  • -Une hyponatrémie a été rapportée comme effet indésirable rare et mise en relation avec l’utilisation d’inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, vraisemblablement à la suite d’une sécrétion inappropriée de l’hormone antidiurétique. Le risque d’hyponatrémie augmente avec l’âge, principalement chez les femmes.
  • +Une hyponatrémie a été rapportée comme effet indésirable rare et mise en relation avec l’utilisation d’inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, vraisemblablement à la suite d’une sécrétion inappropriée de l’hormone antidiurétique. Elle disparaît généralement après l’arrêt du traitement. Le risque d’hyponatrémie augmente avec l’âge, principalement chez les femmes.
  • -L’arrêt du traitement par Claropram doit prévoir une réduction progressive de la dose sur une période de 1 à 2 semaines pour éviter l’apparition de symptômes de sevrage (voir «Effets indésirables»).
  • +L’arrêt du traitement par Citalopram Axapharm doit prévoir une réduction progressive de la dose sur une période de 1-2 semaines pour éviter l’apparition de symptômes de sevrage (voir «Posologie/Mode d’emploi» et «Effets indésirables»).
  • +Le risque de survenue de symptômes liés à l’arrêt du traitement peut dépendre de plusieurs facteurs, dont la durée du traitement, la posologie et la vitesse de la réduction de la dose. Les réactions les plus fréquemment rapportées sont les suivantes: sensations vertigineuses, troubles sensoriels (incluant paresthésies), troubles du sommeil (incluant insomnie et rêves intenses), agitation ou anxiété, nausées et/ou vomissements, tremblements, confusion, sudation, céphalées, diarrhée, palpitations, instabilité émotionnelle, irritabilité et troubles visuels. Généralement, ces symptômes sont d’intensité légère à modérée, mais ils peuvent être d’intensité sévère chez certains patients. Ils apparaissent normalement au cours des premiers jours suivant l’arrêt du traitement, mais de très rares cas ont été rapportés chez des patients qui avaient par inadvertance oublié une prise. Généralement, ces symptômes régressent d’eux-mêmes et disparaissent en deux semaines. Chez quelques personnes, ils peuvent persister plus longtemps (2-3 mois ou plus).
  • +
  • -Claropram ne doit pas être utilisé pour traiter l’enfant et l’adolescent de moins de 18 ans. Dans des études cliniques menées chez l’enfant et l’adolescent, une augmentation du comportement suicidaire (tentatives de suicide et pensées suicidaires) ainsi qu’une attitude d’hostilité (principalement un comportement agressif et oppositionnel ainsi que des crises de colère) ont été observées plus fréquemment sous traitement par des antidépresseurs que sous placebo. En cas de nécessité clinique d’un traitement antidépresseur, le patient doit être étroitement surveillé à la recherche de symptômes suicidaires.
  • +Citalopram Axapharm ne doit pas être utilisé pour traiter l’enfant et l’adolescent de moins de 18 ans. Dans des études cliniques menées chez l’enfant et l’adolescent, une augmentation du comportement suicidaire (tentatives de suicide et pensées suicidaires) ainsi qu’une attitude d’hostilité (principalement un comportement agressif et oppositionnel ainsi que des crises de rage) ont été observées plus fréquemment sous traitement par des antidépresseurs que sous placebo. En cas de nécessité clinique d’un traitement antidépresseur, le patient doit être étroitement surveillé à la recherche de symptômes suicidaires.
  • +On ne dispose d’aucune donnée à long terme sur la sécurité chez l’enfant et l’adolescent concernant la croissance, la maturation et le développement cognitif et comportemental.
  • +
  • -Les affections dépressives sont liées à un risque accru de déclenchement de pensées suicidaires, de comportement autodestructeur et de suicide (événements suicidaires). Ce risque accru existe jusqu’à la survenue d’un soulagement significatif des symptômes. Etant donné que celui-ci ne survient pas nécessairement durant les premières semaines du traitement, les patients doivent être surveillés étroitement jusqu’à la survenue d’une amélioration. Jusqu’à présent, l’expérience clinique montre que le risque de suicide peut augmenter au début du traitement.
  • -D’autres affections psychiatriques, attribuées au Claropram, peuvent également être accompagnées d’un risque accru d’événements suicidaires. En outre, ces affections peuvent apparaître en association à une dépression. En conséquence, les mêmes mesures de précaution que celles prises lors du traitement d’affections dépressives doivent être prises lors du traitement des autres affections psychiatriques.
  • -Chez les patients présentant un comportement suicidaire dans l’anamnèse ou chez les patients qui avaient des intentions suicidaires prononcées avant le traitement, le risque de déclenchement de pensées suicidaires ou de tentatives de suicide est accru. Par conséquent, ils seront particulièrement étroitement surveillés pendant le traitement.
  • -Une méta-analyse d’études cliniques contrôlées contre placebo portant sur l’utilisation d’antidépresseurs chez les adultes atteints de troubles psychiatriques a mis en évidence chez les patients de moins de 25 ans prenant des antidépresseurs un risque accru de comportement suicidaire par rapport au placebo.
  • -Le traitement médicamenteux doit être accompagné d’une surveillance étroite des patients, surtout des patients présentant un risque accru de suicide, en particulier au début du traitement et après les ajustements de doses. L’attention des patients et des personnes qui les encadrent doit être attirée sur la nécessité d’une surveillance de toute détérioration clinique, de l’apparition d’un comportement suicidaire et d’altérations comportementales inhabituelles. Ils doivent immédiatement faire appel à un médecin lorsque de tels symptômes apparaissent.
  • -Surtout au début du traitement, le médicament doit être prescrit dans le plus petit conditionnement adéquat afin de réduire le risque d’auto-danger.
  • -De même, après l’interruption du traitement antidépresseur, les patients doivent être soigneusement surveillés car un risque de rechute (accompagné à nouveau d’un potentiel de comportement suicidaire) ou de symptômes de sevrage existe (voir «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
  • -Bien qu’aucune relation entre des symptômes d’agitation, y compris l’acathisie (agitation interne, agitation psychomotorique), et la suicidalité n’existe clairement, les patients doivent être étroitement surveillés à la recherche de ces symptômes pendant un traitement antidépresseur.
  • +La dépression est associée à un risque accru de survenue d’idées suicidaires, dauto-agression et de suicide (événements de type suicidaire). Ce risque persiste jusqu’à l’obtention d’un soulagement significatif des symptômes. Ce résultat pouvant ne pas survenir avant plusieurs semaines de traitement, les patients doivent être surveillés étroitement jusqu’à l’obtention d’une amélioration. L’expérience clinique montre que le risque suicidaire peut augmenter au début d’un traitement.
  • +D’autres troubles psychiatriques pour lesquels Citalopram Axapharm est prescrit peuvent également être associés à un risque accru d’événements suicidaires. De plus, ces troubles peuvent être associés à une dépression. Les mêmes précautions que celles mentionnées pour les patients souffrant de dépression doivent donc être appliquées aux patients présentant d’autres troubles psychiatriques.
  • +Les patients ayant des antécédents de comportement suicidaire ou d’intentions suicidaires significatives avant le traitement ont un risque accru de survenue d’idées suicidaires ou de tentatives de suicide. Ils doivent donc être surveillés avec un soin particulier au cours du traitement.
  • +Une méta-analyse d’études cliniques contrôlées par placebo sur l’utilisation d’antidépresseurs chez ladulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportements de type suicidaire chez les patients de moins de 25 ans sous antidépresseurs, par rapport au placebo.
  • +Une surveillance étroite des patients, en particulier des patients à haut risque de suicide, doit accompagner le traitement médicamenteux, surtout au début du traitement et lors d’ajustements posologiques. Les patients et les personnes qui les encadrent doivent être avertis de la nécessité d’une surveillance pour identifier toute aggravation clinique, apparition de comportements/idées suicidaires ou changement inhabituel du comportement. Si de tels symptômes apparaissent, ces personnes doivent immédiatement demander l’avis du médecin.
  • +Surtout au début du traitement, le plus petit emballage approprié du médicament sera prescrit afin de réduire le risque d’atteinte à soi-même.
  • +Les patients doivent être surveillés soigneusement même après l’arrêt du traitement, en raison du risque de récidive dépressive (créant à nouveau un potentiel de comportements suicidaires) ou de symptômes de sevrage (voir «Effets indésirables»).
  • +Akathisie et agitation psychomotrice
  • +Bien qu’aucun lien de causalité entre des symptômes d’agitation y compris l’akathisie (agitation interne, agitation psychomotrice) et les tendances suicidaires n’ait été clairement établi, les patients doivent être étroitement surveillés à la recherche de ces symptômes pendant un traitement antidépresseur.
  • -Un passage vers une phase maniaque peut survenir chez les patients maniaco-dépressifs. L’interruption du traitement par le citalopram s’impose lors de l’apparition d’une phase maniaque.
  • +Un passage vers une phase maniaque pourrait survenir chez les patients maniaco-dépressifs. L’interruption du traitement par le citalopram s’impose lors de l’apparition d’une phase maniaque.
  • -Bien que l’expérimentation animale n’ait mis aucun potentiel épileptogène pour le citalopram en évidence, Claropram doit être prescrit avec prudence chez les patients avec antécédents de crises convulsives.
  • +Bien que l’expérimentation animale n’ait mis aucun potentiel épileptogène pour le citalopram en évidence, Citalopram Axapharm doit être prescrit avec prudence chez les patients avec antécédents de crises convulsives.
  • -Dans de rares cas, l’apparition d’un «syndrome sérotoninergique» a été rapportée lors d’un traitement par inhibiteurs de la recapture de la sérotonine. Une association de symptômes comprenant probablement les symptômes ci-après peut annoncer l’apparition de ce syndrome: agitation, confusion, tremblements, myoclonie et hyperthermie (voir «Interactions»).
  • -La prudence est de rigueur lorsque Claropram est administré simultanément avec d’autres médicaments à effet sérotoninergique (par exemple sumatriptan ou autres triptans, tramadol et tryptophane).
  • +Dans de rares cas, l’apparition d’un syndrome sérotoninergique a été rapportée lors d’un traitement par des ISRS. Une association de symptômes comprenant possiblement les symptômes ci-après peut annoncer l’apparition de ce syndrome: agitation, confusion, tremblements, myoclonie et hyperthermie (voir «Interactions»).
  • +Dès l’apparition de tels symptômes, il faut interrompre immédiatement la prise de Citalopram Axapharm et procéder à un traitement symptomatique.
  • +La prudence est de rigueur lors d’une utilisation de Citalopram Axapharm en association avec d’autres médicaments ayant des effets sérotoninergiques (par exemple sumatriptan ou autres triptans, tramadol et tryptophane).
  • -Sous traitement par ISRS, une prolongation du temps de saignement et/ou des manifestations hémorragiques (par exemple ecchymoses, hémorragies gynécologiques, saignements gastro-intestinaux et autres saignements de la peau et des muqueuses) ont été rarement observées. La prudence est de rigueur chez les patients présentant des problèmes hémorragiques connus dans l’anamnèse et pendant l’utilisation concomitante de médicaments qui peuvent augmenter le risque d’hémorragie, comme en particulier les anticoagulants et les médicaments agissant sur la fonction thrombocytaire (p.ex. l’acide acétylsalicylique et les anti-inflammatoires non stéroïdiens, la ticlopidine et le dipyridamol) (voir «Interactions»).
  • +On a rapporté dans de rares cas une prolongation du temps de saignement et/ou des manifestations hémorragiques (par exemple ecchymoses, hémorragies gynécologiques, hémorragies gastro-intestinales et autres hémorragies concernant la peau ou les muqueuses) dans le cadre de traitements par des ISRS. La prudence est recommandée chez les patients ayant des antécédents connus d’anomalies hémorragiques et les patients prenant simultanément des médicaments susceptibles d’accroître le risque d’hémorragies, comme en particulier des anticoagulants ou des médicaments agissant sur la fonction plaquettaire (par exemple l’acide acétylsalicylique et les anti-inflammatoires non stéroïdiens, la ticlopidine et le dipyridamole) (voir «Interactions»).
  • +Electroconvulsivothérapie
  • +En raison du peu de données cliniques disponibles sur l’administration d’un ISRS simultanément à une électroconvulsivothérapie, la prudence est recommandée (voir «Interactions»).
  • +Hypericum
  • +Des interactions peuvent se manifester entre les ISRS et les produits à base de millepertuis (Hypericum perforatum), se traduisant par une augmentation des effets indésirables. Par conséquent, le citalopram et les produits à base de millepertuis ne doivent pas être administrés de façon concomitante (voir «Interactions»).
  • +
  • -Il a été démontré que le citalopram pouvait provoquer un allongement dose-dépendant de l’intervalle QT. Depuis la mise sur le marché, des cas d’allongement de l’intervalle QT et darythmies ventriculaires ainsi que de torsades de pointes, ont été rapportés, et ce essentiellement chez les femmes, chez les patients présentant une hypokaliémie, un allongement préexistant de l’intervalle QT ou d’autres cardiopathies (voir «Contre-indications» et «Effets indésirables»).
  • -La prudence est de rigueur chez les patients présentant une bradycardie prononcée ou ayant des antécédents récents d’infarctus du myocarde aigu ou une insuffisance cardiaque non compensée.
  • -Les troubles électrolytiques tels qu’une hypokaliémie et une hypomagnésémie augmentent le risque d’arythmies malignes et doivent être corrigés avant instauration du traitement par citalopram.
  • -Lors du traitement de patients souffrant de cardiopathies cliniquement stables, il convient d’envisager un contrôle ECG avant le début du traitement.
  • -En cas de survenue de signes de troubles du rythme cardiaque pendant le traitement par citalopram, ce dernier doit être arrêté et le patient doit passer un ECG.
  • +Il a été démontré que le citalopram peut entraîner un allongement dose-dépendant de l’intervalle QT. Depuis la mise sur le marché du produit, des cas d’allongement de l’intervalle QT et des arythmies ventriculaires, y compris des torsades de pointes, ont été rapportés et sont survenus précisément surtout chez des patients de sexe féminin, des patients en hypokaliémie, des sujets présentant un allongement préexistant de l’intervalle QT ou d’autres maladies cardiaques (voir «Contre-indications», «Interactions», «Effets indésirables» et «Surdosage»).
  • +La prudence est demandée chez les patients qui présentent une bradycardie importante ou un infarctus du myocarde aigu récent ou encore une insuffisance cardiaque non compensée.
  • +Des troubles électrolytiques comme une hypokaliémie ou une hypomagnésémie augmentent le risque d’arythmie maligne et doivent être corrigés avant de commencer le traitement par le citalopram.
  • +Chez les patients qui présentent une cardiopathie stable, un contrôle ECG doit être envisagé avant de commencer le traitement.
  • +Lorsque surviennent des signes de troubles du rythme cardiaque sous citalopram, le traitement doit être arrêté et un ECG doit être pratiqué.
  • +Fertilité
  • +Des études chez l’animal ont montré que le citalopram affecte la qualité du sperme (voir «Données précliniques»).
  • +Des cas rapportés chez l’homme traité par certains ISRS ont montré que l’effet sur la qualité du sperme est réversible.
  • +Un impact sur la fertilité humaine n’a pas été observé à ce jour.
  • -La biotransformation du citalopram enméthylcitalopram est catalysée par le CYP2C19 (environ 38%), le CYP3A4 (environ 31%) et le CYP2D6 (environ 31%).
  • -Le citalopram et son métabolite le déméthylcitalopram sont des inhibiteurs négligeables du CYP2C9, du CYP2E1 et du CYP3A4. Comparés à d’autres ISRS, ils sont également de faibles inhibiteurs du CYP1A2, du CYP2C19 et du CYP2D6.
  • -Associations contre-indiquées
  • -Les inhibiteurs de la MAO (non-sélectifs tout comme les inhibiteurs sélectifs de la MAO-A [moclobémide]) sont contre-indiqués à cause du risque de syndrome sérotoninergique (voir «Contre-indications»).
  • +Interactions pharmacodynamiques:
  • +Associations contre-indiquées:
  • +Inhibiteurs sélectifs réversibles de la MAO-A (moclobémide)
  • +En raison du risque developpement d’un syndrome sérotoninergique, l’association du citalopram avec un inhibiteur de la MAO-A (comme le moclobémide) est contre-indiquée. Si toutefois une association médicamenteuse de ce genre s’avère nécessaire, le traitement sera instauré avec la dose la plus faible. Une surveillance clinique étroite du patient s’impose.
  • +Autrement une thérapie avec Citalopram Axapharm devrait être commencée au plus tôt 1 jour après l’arrêt du traitement par moclobémide, inhibiteur sélectif réversible de la MAO-A.
  • +Inhibiteurs sélectifs irréversibles de la MAO-B (sélégiline)
  • +En raison du risque de syndrome sérotoninergique, aucune association de Citalopram Axapharm avec la sélégiline (inhibiteur sélectif de la MAO-B) ne devrait avoir lieu. L’administration simultanée de citalopram racémique et de sélégiline (jusqu’à 10 mg par jour) n’a conduit à aucune interaction de pertinence clinique. Aucune expérience à long terme n’existe sur l’administration simultanée de citalopram et de sélégiline chez des patients parkinsoniens.
  • +Inhibiteurs réversibles et non-sélectifs de la MAO (linézolide)
  • +L’antibiotique linézolide est un inhibiteur réversible et non-sélectif de la MAO et ne devrait donc pas être appliqué chez des patients sous traitement par citalopram.
  • +Si la combinaison est absolument nécessaire, une dose aussi faible que possible devrait être donnée. Une surveillance clinique très étroite du patient s’impose.
  • +Inhibiteurs irréversibles et non-sélectifs de la MAO
  • +De graves réactions ont été observées chez des patients qui avaient pris des ISRS en même temps que des inhibiteurs irréversibles et non sélectifs de la MAO et chez d’autres patients qui avaient commencé un traitement par inhibiteurs de la MAO immédiatement après l’arrêt d’un traitement par ISRS. Dans certains cas, une augmentation de l’activité sérotoninergique a été observée (syndrome sérotoninergique).
  • +L’association du citalopram avec des inhibiteurs irréversibles non-sélectifs de la MAO est contre-indiquée. Un traitement par Citalopram Axapharm doit débuter au plus tôt 14 jours après l’arrêt d’un traitement par un inhibiteur irréversible de la MAO. Un traitement par des inhibiteurs irréversibles et non sélectifs de la MAO doit commencer au plus tôt 7 jours après l’arrêt d’un traitement par Citalopram Axapharm.
  • -L’administration concomitante d’une dose unique de 2 mg de pimozide à des personnes traitées pendant 11 jours par 40 mg par jour de citalopram racémique, a entraîné une augmentation de l’AUC et de la Cmax du pimozide; cette augmentation n’a pas été observée constamment. Lors de l’administration concomitante de pimozide et de citalopram, un allongement moyen de l’intervalle QTc d’environ 10 msec. a été observé. Parce que cette interaction a été observée à une faible dose de pimozide, l’administration concomitante de citalopram et de pimozide est contre-indiquée.
  • -Effets d’autres médicaments sur le citalopram
  • -Cimétidine: L’administration simultanée de citalopram et de cimétidine (un inhibiteur puissant des CYP2D6, 3A4 et 1A2) a induit des taux plasmatiques de citalopram plus élevés à l’état d’équilibre. La prudence est recommandée dans le domaine posologique supérieur de citalopram lors de l’administration simultanée de doses élevées de cimétidine. Une accentuation de l’effet peut se manifester lors d’une co-administration avec la cimétidine, rendant une adaptation de la dose de citalopram éventuellement nécessaire.
  • -Lithium: Aucune influence sur la pharmacocinétique du lithium n’a été mise en évidence lors d’une étude d’interactions pharmacocinétique entre le lithium et le citalopram. Aucune interaction pharmacodynamique n’a été observée dans les études cliniques associant le citalopram au lithium. Toutefois, une accentuation de l’effet des ISRS a été rapportée lorsque ceux-ci étaient administrés en même temps que le lithium. C’est pourquoi la prise concomitante aura lieu avec prudence.
  • -Tryptophane: Aucune donnée sur d’éventuelles interactions entre le citalopram et le tryptophane n’est disponible.
  • -Convulsivothérapie
  • -Aucune donnée n’est disponible.
  • -Effets du citalopram sur d’autres médicaments
  • -L’administration simultanée detoprolol (un substrat du CYP2D6) et de citalopram a provoqué un doublement du taux plasmatique du métoprolol. Toutefois, l’association n’a pas conduit à des modifications cliniquement significatives ni de la pression artérielle ni de la fréquence cardiaque.
  • -Effets réciproques
  • -Substances sérotoninergiques: l’administration simultanée de substances sérotoninergiques (par ex. tramadol, sumatriptan) peut provoquer une accentuation des effets associés au 5-HT.
  • +L’administration concomitante d’une dose unique de 2 mg de pimozide à des personnes traitées pendant 11 jours par 40 mg par jour de citalopram racémique, a entraîné une augmentation de l’AUC et de la Cmax du pimozide; cette augmentation n’a pas été observée constamment. Lors de l’administration concomitante de pimozide et de citalopram, un allongement moyen de l’intervalle QTc d’environ 10 msec a été observé. Parce que cette interaction a été observée à une faible dose de pimozide déjà, l’administration concomitante de citalopram et de pimozide est contre-indiquée.
  • +Médicaments allongeant l’intervalle QT
  • +Aucune étude pharmacocinétique et pharmacodynamique sur l’utilisation du citalopram en association avec d’autres médicaments qui allongent l’intervalle QT n’a été réalisée. Un effet additif du citalopram et de ces médicaments ne peut pas être exclu. C’est la raison pour laquelle l’administration de citalopram associée à des médicaments qui allongent l’intervalle QT est contre-indiquée, comme par exemple: antiarythmiques de la classe IA et III, antipsychotiques (par exemple dérivés des phénothiazines, pimozide, halopéridol), antidépresseurs tricycliques, certains antimicrobiens (par exemple moxifloxacine, érythromycine IV, pentamidine, antipaludéens, notamment l’halofantrine), certains antihistaminiques (mizolastine) etc.
  • +Co-administrations médicamenteuses qui requièrent la prudence:
  • +Lithium, tryptophane
  • +Aucune influence sur la pharmacocinétique du lithium n’a été mise en évidence lors d’une étude d’interactions pharmacocinétique entre le lithium et le citalopram. Aucune interaction pharmacodynamique n’a été observée dans les études cliniques associant le citalopram au lithium. Aucune donnée sur d’éventuelles interactions entre le citalopram et le tryptophane n’est disponible.
  • +Toutefois, une accentuation de l’effet des ISRS a été rapportée lorsque ceux-ci étaient administrés en même temps que le lithium ou le tryptophane. C’est pourquoi la prise concomitante aura lieu avec prudence.
  • +Substances sérotoninergiques
  • +L’administration simultanée de substances comme le tramadol, le sumatriptan et d’autres triptanes peut conduire à un renforcement de l’effet associé à la 5-HT. En conséquence, la prudence est recommandée lors de la prise simultanée de Citalopram Axapharm et de substances sérotoninergiques.
  • +Substances qui abaissent le seuil de convulsion
  • +Les ISRS peuvent abaisser le seuil de convulsion. La prudence est recommandée lors d’une administration simultanée avec desdicaments qui abaissent également le seuil de convulsion.
  • +Hémorragie
  • +On a rapporté dans de rares cas une prolongation du temps de saignement et/ou des manifestations hémorragiques (par exemple ecchymoses, hémorragies gynécologiques, hémorragies gastro-intestinales et autres hémorragies concernant la peau ou les muqueuses) dans le cadre de traitements par des ISRS. La prudence est recommandée chez les patients ayant des antécédents connus d’anomalies hémorragiques et les patients prenant simultanément des médicaments susceptibles d’accroître le risque d’hémorragies, comme en particulier des anticoagulants ou des médicaments agissant sur la fonction plaquettaire (par exemple l’acide acétylsalicylique et les anti-inflammatoires non stéroïdiens, la ticlopidine et le dipyridamole) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Electroconvulsivothérapie
  • +On ne dispose actuellement d’aucune étude clinique et que de peu d’expérience clinique de l’utilisation simultanée de citalopram et de l’électroconvulsivothérapie (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Hémorragie
  • -Sous traitement par ISRS, une prolongation du temps de saignement et/ou des manifestations hémorragiques (par exemple ecchymoses, hémorragies gynécologiques, saignements gastro-intestinaux et autres saignements de la peau et des muqueuses) ont été rarement observées. La prudence est de rigueur chez les patients présentant des problèmes hémorragiques connus dans l’anamnèse et pendant l’utilisation concomitante de médicaments qui peuvent augmenter le risque d’hémorragie, comme en particulier les anticoagulants et les médicaments agissant sur la fonction thrombocytaire (par exemple, l’acide acétylsalicylique et les anti-inflammatoires non stéroïdiens, la ticlopidine et le dipyridamol) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -À observer
  • -Des études d’interactions pharmacocinétiques montrent que le polymorphisme génétique de la spartéine comme celui de la méphénytoïne contribuent à la variabilité de la pharmacocinétique du citalopram.
  • -Sélégiline: Lors d’une étude d’interaction pharmacocinétique/pharmacodynamique menée auprès de 18 volontaires jeunes et sains, aucune interaction cliniquement pertinente n’a été observée après l’administration concomitante de citalopram (20 mg par jour) et de sélégiline (10 mg par jour) (un inhibiteur sélectif de la MAO-B).
  • -Aucune expérience à long terme n’est disponible sur l’administration simultanée de citalopram et de sélégiline à des patients atteints de la maladie de Parkinson.
  • -Substrats du CYP2D6 (voir aussi le passage sur l’allongement de l’intervalle QT)
  • -Le citalopram est un inhibiteur du CYP2D6. C’est pourquoi la prudence est recommandée lors d’une administration simultanée avec des médicaments principalement métabolisés par cette enzyme et dont l’index thérapeutique est étroit, comme la flécaïnide, la propafénone et le métoprolol (lorsqu’il est administré dans la défaillance cardiaque). Une adaptation posologique peut s’avérer nécessaire.
  • -L’administration simultanée de citalopram et de métoprolol ou de désipramine a conduit dans les deux cas à un doublement du taux plasmatique des deux substrats du CYP2D6.
  • -Warfarine: Une étude d’interactions entre la warfarine (un substrat des CYP3A4 et 2C9) et le citalopram a montré qu’un effet du citalopram sur la pharmacocinétique de la warfarine ou un effet sur sa pharmacodynamie de pertinence clinique était improbable.
  • -Digoxine: Le citalopram n’a provoqué aucune modification de la pharmacocinétique de la digoxine lors d’une étude d’interactions pharmacocinétique.
  • -Carbamazépine: Une étude d’interactions entre la carbamazépine (un substrat du CYP3A4) à doses répétées et le citalopram a montré qu’un effet du citalopram sur la pharmacocinétique de la carbamazépine et de son métabolite (époxide) était improbable.
  • -Clozapine: Lors d’une co-administration, le citalopram n’a pas influencé les taux plasmatiques de la clozapine (un substrat du CYP1A2).
  • -Kétoconazole: La co-administration de citalopram et de kétoconazole (un inhibiteur puissant du CYP3A4) n’a pas influencé la pharmacocinétique du citalopram.
  • -Théophylline: Le citalopram n’a pas influencé la pharmacocinétique de la théophylline dans une étude d’interactions pharmacocinétique. La théophylline est métabolisée par le CYP1A2 et, dans une moindre mesure, par le CYP2E1.
  • -Triazolam: Aucune interaction pharmacocinétique n’a été observée entre le citalopram et le triazolam, un substrat du CYP3A4.
  • -Allongement de l’intervalle QT
  • -Aucune étude pharmacocinétique ni pharmacodynamique relative à l’utilisation concomitante du citalopram et d’autres médicaments qui allongent l’intervalle QT n’a été menée. Un effet additif entre le citalopram et cesdicaments ne peut pas être exclu. C’est pourquoi l’administration concomitante de citalopram et de médicaments qui allongent l’intervalle QT, tels que p.ex. des antiarythmiques de classes IA et III, des antipsychotiques (p.ex. dérivés de la phénothiazine, pimozide, halopéridol), des antidépresseurs tricycliques, certains principes actifs antimicrobiens (p.ex. moxifloxacine, érythromycine IV, pentamidine, antipaludéens, en particulier l’halofantrine), certains antihistaminiques (mizolastine) etc., est contre-indiquée.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Clozapine
  • +Lors d’une co-administration, le citalopram n’a pas influencé les taux plasmatiques de la clozapine (un substrat du CYP1A2).
  • +Interactions pharmacocinétiques:
  • +Effets d’autres médicaments sur la pharmacocinétique du citalopram
  • +La biotransformation du citalopram en déméthylcitalopram est catalysée par le CYP2C19 (environ 38%), le CYP3A4 (environ 31%) et le CYP2D6 (environ 31%).
  • +Le citalopram et son métabolite le déméthylcitalopram sont des inhibiteurs négligeables du CYP2C9, du CYP2E1 et du CYP3A4. Comparés à d’autres ISRS, ils sont également de faibles inhibiteurs du CYP1A2, du CYP2C19 et du CYP2D6.
  • +Cimétidine
  • +L’administration simultanée de citalopram et de cimétidine (un inhibiteur puissant des CYP2D6, 3A4 et 1A2) a induit des taux plasmatiques de citalopram plus élevés à l’état d’équilibre. La prudence est recommandée dans le domaine posologique supérieur de citalopram lors de l’administration simultanée de doses élevées de cimétidine. Une accentuation de l’effet peut se manifester lors d’une co-administration avec la cimétidine, rendant une adaptation de la dose de citalopram éventuellement nécessaire.
  • +Kétoconazole
  • +La co-administration de citalopram et de kétoconazole (un inhibiteur puissant du CYP3A4) n’a pas influencé la pharmacocinétique du citalopram.
  • +En outre à observer
  • +Des études d’interactions pharmacocinétiques montrent que le polymorphisme de la spartéine comme celui de la méphénytoïne contribuent à la variabilité de la pharmacocinétique du citalopram.
  • +Effets du citalopram sur la pharmacocinétique d’autres médicaments
  • +Le citalopram est un inhibiteur du CYP2D6. C’est pourquoi la prudence est recommandée lors d’une administration simultanée avec des médicaments principalement métabolisés par cette enzyme et dont l’index thérapeutique est étroit, comme la flécaïnide, la propafénone et le métoprolol (lorsqu’il est administré dans la défaillance cardiaque). Une adaptation posologique peut s’avérer nécessaire.
  • +L’administration simultanée de citalopram et de métoprolol a conduit à un doublement du taux plasmatique de métoprolol. Toutefois, l’association n’a pas conduit à des modifications cliniquement significatives ni de la pression artérielle ni de la fréquence cardiaque.
  • +Warfarine
  • +Une étude d’interactions entre la warfarine (un substrat des CYP3A4 et CYP2C9) et le citalopram a montré qu’un effet du citalopram sur la pharmacocinétique de la warfarine ou un effet sur sa pharmacodynamie de pertinence clinique était improbable.
  • +Digoxine
  • +Le citalopram n’a provoqué aucune modification de la pharmacocinétique de la digoxine lors d’une étude d’interactions pharmacocinétique.
  • +Carbamazépine
  • +Une étude d’interactions entre la carbamazépine (un substrat du CYP3A4) à doses répétées et le citalopram a montré qu’un effet du citalopram sur la pharmacocinétique de la carbamazépine et de son métabolite (époxide) était improbable.
  • +Théophylline
  • +Le citalopram n’a pas influencé la pharmacocinétique de la théophylline dans une étude d’interactions pharmacocinétique. La théophylline est métabolisée par le CYP1A2 et, dans une moindre mesure, par le CYP2E1.
  • +Triazolam
  • +Aucune interaction pharmacocinétique n’a été observée entre le citalopram et le triazolam, un substrat du CYP3A4.
  • +Désipramine, imipramine
  • +Au cours d’une étude pharmacocinétique, aucun effet sur la concentration de citalopram ou d’imipramine n’a été observé, bien que la concentration de désipramine, letabolite principal de l’imipramine ait été augmentée. Lors de l’association de la désipramine avec le citalopram, une augmentation de la concentration plasmatique de désipramine a été observée. Une réduction des doses de désipramine peut être nécessaire.
  • +Grossesse, allaitement
  • -Des études testées sur des animaux ont montré une embryotoxicité légère (développement ralenti). Aucune étude clinique contrôlée n’est disponible. Par conséquent, Claropram sera utilisé pendant la grossesse uniquement en cas de nécessité absolue.
  • -Après la prise de citalopram ou d’autres inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) à la fin de la grossesse, les symptômes de sevrage suivants sont survenus chez les nouveau-nés: troubles de l’alimentation et du sommeil, difficultés respiratoires, crises convulsives, variations de la température corporelle, hypoglycémie, tremblements, tonus musculaire anormal, hyperréflexie, vomissements, irritabilité anormale et pleurs permanents.
  • -Dans une étude épidémiologique, il a été établi un lien entre l’utilisation des ISRS après les 20 premières semaines de la grossesse et un risque accru d’hypertension artérielle pulmonaire persistante chez le nouveau-né (HTAP). Selon le rapport, le risque absolu s’élevait à environ 6 à 12 cas par 1000 femmes chez les femmes qui avaient pris les ISRS en fin de grossesse par rapport à 1 à 2 cas par 1000 femmes dans la population générale. Pour l’instant, on ne dispose pas de données étayées en ce qui concerne le risque d’HTAP après la prise d’ISRS durant la grossesse; il s’agit de la première étude ayant examiné le risque potentiel. L’étude ne comprenait cependant pas assez de cas de prise d’ISRS différents pour constater si tous les ISRS constituent le même risque d’HTAP.
  • +Des études testées sur des animaux ont montré une embryotoxicité légère (développement ralenti). Aucune donnée clinique contrôlée n’est disponible. Citalopram Axapharm sera utilisé pendant la grossesse uniquement en cas de nécessité absolue.
  • +Après la prise de citalopram ou d’autres ISRS à la fin de la grossesse, les symptômes de sevrage suivants sont survenus chez les nouveau-nés: Troubles de l’alimentation et du sommeil, difficultés respiratoires, cyanose, apnée, crises convulsives, variations de la température corporelle, hypoglycémie, tremblements, tonus musculaire anormal, hyperréflexie, vomissements, irritabilité anormale, surexcitation, léthargie, somnolence et pleurs permanents.
  • +Dans une étude épidémiologique, l’utilisation dISRS après les 20 premières semaines de la grossesse était associée à un risque accru d’hypertension pulmonaire persistante du nouveau-né (HPPN). Selon ce rapport, le risque absolu chez les femmes ayant pris un ISRS en phase tardive de grossesse était d’environ 6 à 12 cas sur 1’000 femmes, en comparaison avec 1 à 2 cas sur 1’000 femmes dans la population générale. On ne dispose actuellement pas de données confirmées d’un risque d’HPPN après la prise d’ISRS pendant la grossesse; il s’agit de la première étude ayant examiné ce risque potentiel. Les nombres de cas de prise par ISRS individuel n’étaient cependant pas assez grands pour permettre d’établir si tous les ISRS sont associés au même risque d’HPPN.
  • -Le citalopram passe dans le lait maternel. On suppose que le nouveau-né allaité au sein absorbe environ 5% de la dose maternelle journalière. Le sevrage s’impose si un traitement par Claropram s’avère nécessaire.
  • +Le citalopram passe dans le lait maternel. On suppose que l’enfant allaité reçoit env. 5% de la dose de la mère. Le sevrage s’impose si un traitement par Citalopram Axapharm s’avère nécessaire.
  • -Claropram n’entrave le comportement psychomoteur que de façon minime. Toutefois, les patients sous médicaments psychoactifs peuvent faire preuve d’une capacité de réaction diminuée. C’est pourquoi la prudence est de rigueur lors de la conduite de véhicules ou de l’utilisation de machines.
  • +L’influence de citalopram sur le comportement psychomoteur est mineure. Toutefois, les patients sous médicaments psychoactifs peuvent faire preuve d’une capacité de réaction diminuée. C’est pourquoi la prudence est de rigueur lors de la conduite de véhicules ou de l’utilisation de machines.
  • -Les effets secondaires du citalopram surviennent le plus fréquemment durant la première ou les deux premières semaines de traitement et s’estompent généralement par la suite.
  • -Les effets secondaires observés dans les études en double aveugle et contrôlées contre placebo sont classés dans les catégories de fréquence suivantes:
  • +Les effets indésirables du citalopram surviennent le plus fréquemment durant la première ou les deux premières semaines de traitement et s’estompent généralement par la suite.
  • +Les effets indésirables décrits ci-dessous, observés dans le cadre des études réalisées en double aveugle avec contrôle par placebo ou après commercialisation, sont présentés par catégories d’incidence comme suit:
  • -Fréquents (1/100, <1/10).
  • -Occasionnels (1/1000, <1/100).
  • -Rares (≥1/10000, <1/1000).
  • -Très rares (<1/10000 ou inconnus).
  • +Fréquents (<1/10, ≥1/100).
  • +Occasionnels (<1/100, ≥1/1'000).
  • +Rares (<1/1'000, 1/10'000).
  • +Très rares (<1/10'000).
  • +Fréquence indéterminée (ne pouvant être estimée à partir des données disponibles).
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Fréquence indéterminée: thrombocytopénie.
  • +Fréquence indéterminée: réactions anaphylactiques.
  • +Affections endocriniennes
  • +Fréquence indéterminée: sécrétion inappropriée d’ADH (incidence accrue chez les patientes âgées).
  • -Fréquents: diminution de l’appétit – NOS.
  • -Occasionnels: appétit accru.
  • +Fréquents: baisse de l’appétit, perte de poids.
  • +Occasionnels: appétit accru, prise de poids.
  • +Fréquence indéterminée: hyponatrémie (incidence accrue chez les patientes âgées), hypokaliémie.
  • -Fréquents: agitation, diminution de la libido, confusion, modification des rêves, nervosité, anxiété, troubles de la concentration, anorgasmie féminine.
  • +Fréquents: agitation, diminution de la libido, états confusionnels, rêves anormaux, nervosité, anxiété, problèmes de concentration, dysfonctionnement orgasmique chez la femme.
  • +Fréquence indéterminée: manie, hallucinations, dépersonnalisation, attaques de panique, agressivité, bruxisme, états d’inquiétude, idées suicidaires, comportement suicidaire1.
  • -Fréquents: céphalées, tremblement, paresthésie.
  • +Fréquents: céphalées, tremblement, paresthésie, vertige, troubles de l’attention.
  • +Rares: dyskinésies, dysgueusie.
  • +Fréquence indéterminée: convulsions de type grand mal, crises convulsives, syndrome sérotoninergique, troubles extrapyramidaux, agitation psychomotrice/akathisie, troubles du mouvement.
  • +Fréquence indéterminée: troubles visuels.
  • -Occasionnels: acouphènes.
  • +Occasionnels: acouphène.
  • +Fréquence indéterminée: allongement de l’intervalle QT, arythmies ventriculaires, y compris torsades de pointes.
  • +Depuis la mise sur le marché du produit, des cas d’allongement de l’intervalle QT et des arythmies ventriculaires, y compris des torsades de pointes, ont été rapportés et sont survenus précisément surtout chez des patients de sexe féminin, des patients en hypokaliémie, présentant un allongement préexistant de l’intervalle QT ou d’autres maladies cardiaques (voir «Contre-indications», «Mises en garde et précautions», «Interactions», «Surdosage» et «Propriétés/Effets»).
  • -Affections respiratoires
  • +Rares: hémorragie.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Fréquence indéterminée: épistaxis.
  • -Très fréquents: sécheresse buccale (16%), nausées (19%).
  • -Fréquents: diarrhée, vomissements, troubles digestifs, salivation accrue, douleurs abdominales.
  • +Très fréquents: sécheresse buccale (16%), nausée (19%).
  • +Fréquents: diarrhée, vomissements, constipation, salivation accrue, douleurs abdominales.
  • +Fréquence indéterminée: hémorragies gastro-intestinales.
  • +Occasionnels: taux accrus d’enzymes hépatiques.
  • +Fréquence indéterminée: pancréatite.
  • +
  • -Affections musculo-squelettiques et systémiques
  • +Fréquence indéterminée: réactions d’hypersensibilité, ecchymoses, angio-oedème, purpura.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Fréquence indéterminée: arthralgie, rhabdomyolyse.
  • -Fréquents: rétention d’urine.
  • +Fréquents: rétention urinaire.
  • -Fréquents: impuissance, troubles de l’éjaculation, impossibilité d’éjaculer, ménorragie, métrorragie.
  • +Fréquents: impuissance sexuelle, troubles de l’éjaculation, absence d’éjaculation, ménorragie, métrorragie.
  • +Fréquence indéterminée: galactorrhée, priapisme.
  • +
  • -Investigations
  • -Occasionnels: élévation des enzymes hépatiques.
  • -NOS = non défini avec précision.
  • -NEC = non classifié avec précision.
  • -Dans les études comparatives menées en double aveugle avec des antidépresseurs tricycliques et tétracycliques, la fréquence des nausées et des troubles de l’éjaculation étaient significativement plus élevés sous citalopram, alors que la sécheresse buccale, la sudation accrue, la constipation, les tremblements, les vertiges, la somnolence, les troubles de l’accommodation, l’hypotension orthostatique, les palpitations et l’altération du goût étaient significativement plus rares.
  • -Expériences post-marketing
  • -Les effets indésirables suivants proviennent des expériences post-marketing (terminologie selon le dictionnaire MedDRA).
  • -Affections du système immunitaire
  • -Réactions anaphylactiques.
  • -Affections endocriniennes
  • -Sécrétion inadéquate de l’hormone antidiurétique (accrue chez les patientes âgées).
  • -Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • -Hyponatrémie (accrue chez les patientes âgées).
  • -Affections psychiatriques
  • -Angoisse, sensation de dépersonnalisation, attaques de panique, manie, hallucinations, nervosité.
  • -Affections du système nerveux
  • -Troubles extrapyramidaux NEC, crises de crampes, convulsions NOS, grand mal (convulsions), syndrome sérotoninergique.
  • -Affections cardiaques
  • -Allongement de l’intervalle QT, arythmies ventriculaires, y compris torsades de pointes.
  • -Depuis la mise sur le marché, des cas d’allongement de l’intervalle QT et d’arythmies ventriculaires, ainsi que des torsades de pointes, ont été rapportés, et ce essentiellement chez les femmes, chez les patients présentant une hypokaliémie, un allongement préexistant de l’intervalle QT ou d’autres cardiopathies (voir «Contre-indications», «Mises en garde et précautions», «Surdosage», «Propriétés/Effets»).
  • -Affections oculaires
  • -Trouble visuel.
  • -Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Epistaxis.
  • -Affections gastro-intestinales
  • -Hémorragies gastro-intestinales.
  • -Affections hépatobiliaires
  • -Pancréatite.
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Réactions d’hypersensibilité NOS, ecchymose et purpura NOS, angiooedème.
  • -Affections musculo-squelettiques et systémiques
  • -Arthralgie.
  • -Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Galactorrhée, priapisme.
  • -Troubles de sevrage: vertiges, céphalées, nausées, paresthésies, tremblements, anxiété, palpitations, sudation accrue, nervosité et troubles du sommeil (voir «Posologie/Mode d’emploi» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Effet de classe
  • -Des études épidémiologiques menées essentiellement chez des patients âgés de 50 ans ou plus, ont mis en évidence un risque fracturaire accru sous traitement par ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) et sous ATC (antidépresseurs tricycliques). Le mécanisme à l’origine de ce risque n’est pas connu.
  • +Rares: fièvre.
  • +1: Des cas d’idées ou de comportements suicidaires ont été rapportés durant le traitement par citalopram ou peu après son arrêt (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Dans des études comparatives réalisées en double aveugle avec des antidépresseurs tricycliques et tétracycliques, le citalopram a été associé significativement plus souvent à des nausées et des troubles de l’éjaculation, mais significativement plus rarement à des sécheresses buccales, sudations accrues, constipations, tremblements, vertiges, somnolences, troubles de l’accommodation, hypotensions orthostatiques, palpitations et des dysgueusies.
  • +Troubles de sevrage
  • +Vertiges, troubles sensoriels (incluant paresthésies), troubles du sommeil (incluant insomnie et rêves intenses), agitation et anxiété, nausées et/ou vomissements, tremblements, confusion, sudations, céphalées, diarrhée, palpitations, instabilité émotionnelle, irritabilité et troubles visuels.
  • +Généralement, ces événements sont d’intensité légère à modérée et sont spontanément résolutifs, néanmoins, ils peuvent être d’intensité sévère et/ou se prolonger chez certains patients. Il est donc conseillé, lorsqu’un traitement par Citalopram Axapharm n’est plus nécessaire, de diminuer progressivement les doses (voir «Posologie/Mode d’emploi» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Fractures
  • +Des études épidémiologiques incluant essentiellement des patients de 50 ans ou plus âgés ont révélé un risque accru de fractures sous ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) et sous ATC (antidépresseurs tricycliques). Le mécanisme à l’origine de ce risque est inconnu.
  • -On a observé les symptômes suivants après la prise d’une surdose de citalopram: crises convulsives, tachycardie, somnolence, allongement de l’intervalle QT, coma, vomissements, tremblements, hypotension, arrêt cardiaque, nausées, syndrome sérotoninergique, agitation, bradycardie, vertiges, bloc de branche, allongement de l’intervalle QRS, hypertension, mydriase, torsades de pointes, stupeur, cyanose, transpiration, hyperventilation, arythmies auriculaires et ventriculaires.
  • +Les symptômes suivants ont été rapportés après un surdosage en citalopram: crises convulsives, tachycardie, somnolence, allongement de l’intervalle QT, coma, vomissements, tremblements, hypotension artérielle, arrêt cardiaque, nausées, syndrome sérotoninergique, agitation, bradycardie, vertige, bloc de branche, élargissement du complexe QRS, hypertension artérielle, mydriase, torsades de pointes, stupeur, sudation, cyanose, hyperventilation, arythmies auriculaires et ventriculaires.
  • -Un antidote spécifique au citalopram n’est pas connu. Le traitement sera symptomatique et supportif.
  • -– Vidange aussi rapidement que possible.
  • -– Autre traitement symptomatique.
  • -Une surveillance de lECG est recommandée en cas de surdosage, en particulier chez les patients présentant une insuffisance cardiaque/brady-arythmies manifestes, chez les patients qui prennent en concomitance des médicaments qui allongent l’intervalle QT ou chez les patients dont le métabolisme est altéré, p.ex. insuffisance hépatique.
  • +Un antidote spécifique n’est pas connu. Il faut libérer les voies aériennes et les garder dégagées, assurer une oxygénation et une ventilation adéquates. Le lavage gastrique et l’administration de charbon activé doivent être envisagés. Le lavage gastrique doit être effectué dès que possible après ingestion du médicament. La surveillance de la fonction cardiaque par ECG et des signes vitaux en combinaison avec les mesures de soutien générales orientées aux symptômes est conseillée, en particulier chez les patients qui présentent une insuffisance cardiaque/bradyarythmie, chez ceux qui prennent en même temps un médicament qui allonge l’intervalle QT ou chez les patients qui présentent un métabolisme modifié, comme par exemple une insuffisance hépatique.
  • -Le citalopram est un dérivé bicyclique du phtalane, possédant des propriétés antidépressives. Son mécanisme d’action se base sur une inhibition sélective du recaptage de la sérotonine.
  • -Il ne se développe pas d’accoutumance à l’inhibition du recaptage de la sérotonine lors d’un traitement de longue durée au citalopram.
  • -Le citalopram n’influence pas ou peu le recaptage de la noradrénaline (NA), de la dopamine (DA) et de l’acide gamma-aminobutyrique (GABA). Contrairement à beaucoup d’antidépresseurs tricycliques et à quelques inhibiteurs du recaptage de la sérotonine (SSRI) plus récents, le citalopram ne montre pas ou peu d’affinité pour une série de récepteurs tels que les récepteurs 5-HT1A et 5-HT2, les récepteurs dopaminergiques D1 et D2, les récepteurs α1-, α2- et β-adrénergiques, les récepteurs histaminiques H1, les récepteurs cholinergiques muscariniques ainsi que les récepteurs de la benzodiazépine et des opioïdes. Cette absence d’affinité pour les récepteurs a été confirmée par une série d’études fonctionnelles in vitro sur des organes isolés ainsi que par des études fonctionnelles in vivo.
  • -Pharmacodynamie
  • +Le citalopram est un dérivé bicyclique du phtalane, possédant des propriétés antidépressives. Son mécanisme d’action repose sur l’inhibition sélective de la recapture de la sérotonine.
  • +Une accoutumance à l’inhibition de la recapture de la sérotonine ne se développe pas lors d’un traitement de longue durée par citalopram.
  • +Le citalopram n’influence pas ou peu la recapture de la noradrénaline (NA), de la dopamine (DA) et de l’acide gamma-aminobutyrique (GABA). Contrairement à de nombreux antidépresseurs tricycliques et à quelques ISRS plus récents, le citalopram ne montre pas ou peu d’affinité pour une série de récepteurs tels que les récepteurs 5-HT1A et 5-HT2, DA D1 et D2, les récepteurs alpha1-, alpha2- et bêta-adrénergiques, les récepteurs histaminiques H1, les récepteurs cholinergiques muscariniques ainsi que les récepteurs de la benzodiazépine et des opioïdes. Cette absence d’affinité pour les récepteurs a été confirmée par une série d’études fonctionnelles in vitro sur des organes isolés ainsi que par des études fonctionnelles in vivo.
  • +Pharmacodynamique
  • -Chez l’être humain, le citalopram n’entrave que faiblement les performances cognitives (intellectuelle) et psychomotrices.
  • +Chez l’être humain, le citalopram n’entrave que faiblement les performances cognitive (intellectuelle) et psychomotrice.
  • +Il convient néanmoins de renoncer à la prise simultanée de Citalopram Axapharm et d’alcool.
  • -Lors d’une étude menée chez des volontaires, la salivation n’a pas été diminuée après l’administration d’une dose unique de citalopram. Chez les volontaires, le citalopram n’a montré aucune influence de pertinence clinique sur les paramètres cardiovasculaires. Il n’avait aucun effet sur les taux sériques de l’hormone de croissance. Comme d’autres ISRS, le citalopram peut augmenter le taux plasmatique de prolactine. Cet effet repose sur l’action stimulante de la sérotonine sur la prolactine et n’a aucune répercussion clinique.
  • -Dans une étude ECG en double aveugle, contrôlée contre placebo, menée chez des sujets sains, la modification de l’intervalle QTc par rapport aux valeurs initiales (correction de Fridericia) était de 7,5 (IC 90% 5,9–9,1) ms. à une dose 20 mg/jour et de 16,7 (IC 90% 15,0–18,4) ms. à une dose de 60 mg/jour (voir «Contre-indications», «Mises en garde et précautions», «Interactions», «Effets indésirables» et «Surdosage»).
  • +Lors d’une étude menée chez des volontaires, la salivation n’a pas été diminuée après l’administration d’une dose unique de citalopram. Il n’avait aucun effet sur les taux sériques de l’hormone de croissance. Comme d’autres ISRS, le citalopram peut augmenter le taux plasmatique de prolactine. Cet effet repose sur l’action stimulante de la sérotonine sur la prolactine et n’a aucune répercussion clinique.
  • +Dans une étude en double aveugle, contrôlée par placebo, de l’ECG chez des sujets sains, la modification par rapport à la valeur initiale du QTc (correction de Fridericia) était de 7.5 (IC à 90%, 5.9-9.1) ms pour une dose de 20 mg/jour et de 16.7 (IC à 90%, 15.0-18.4) ms pour une dose de 60 mg/jour (voir «Contre-indications», «Mises en garde et précautions», «Interactions», «Effets indésirables» et «Surdosage»).
  • -Après administration orale, le citalopram est rapidement absorbé. Indépendamment du remplissage gastrique, la concentration plasmatique maximale est déjà atteinte après 2 à 4 heures (Tmax en moyenne 3 heures).
  • +Après administration orale, le citalopram est rapidement absorbé. Indépendamment du remplissage gastrique, la concentration plasmatique maximale est déjà atteinte après 2 à 4 heures (Tmax en moyenne de 3 h).
  • -Chez l’homme, les concentrations plasmatiques évoluent linéairement avec la dose. À l’état stationnaire (steady state), atteint au bout de 1 à 2 semaines, une dose journalière orale de 40 mg correspond à un taux plasmatique d’environ 300 nM de citalopram (fourchette de 165 à 405 nM) pour les patients de moins de 65 ans. Dans la plupart des cas, l’état stationnaire est atteint au cours de la première semaine du traitement. Aucune relation entre la concentration plasmatique et l’effet clinique n’a pu être constatée. Il semble également qu’il n’existe pas de corrélation entre la concentration plasmatique et les effets secondaires.
  • +Chez l’être humain, les concentrations plasmatiques évoluent linéairement avec la dose. A l’état d’équilibre, qui est atteint après 1 à 2 semaines, une dose journalière orale de 40 mg prise sous forme de comprimés correspond à un taux plasmatique d’environ 300 nM de citalopram (intervalle entre 165 et 405 nM) pour les patients de moins de 65 ans. Aucune relation entre la concentration plasmatique et l’effet clinique n’a été observée. De même, une corrélation entre la concentration plasmatique et les effets indésirables ne semble pas exister.
  • -Le volume de distribution se situe autour de 14 l/kg environ (fourchette de 12 à 17 l/kg). Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est inférieur à 80%.
  • +Le volume de distribution s’élève à environ 14 l/kg (intervalle entre 12 et 17 l/kg). Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est inférieur à 80%.
  • -Le citalopram est métabolisé en désméthylcitalopram, en didéméthylcitalopram, en citalopram N-oxyde et en dérivé désaminé de l’acide propionique. Alors que le dérivé de l’acide propionique est inactif, le désméthylcitalopram, le didéméthylcitalopram et le citalopram N-oxyde sont également des inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine, mais leur effet est beaucoup plus faible que celui du citalopram. Chez les patients, le citalopram reste en majeure partie sous forme inchangée dans le plasma. Normalement, la concentration du déméthylcitalopram se situe entre 30 et 50% de celle du citalopram, la concentration du didéméthylcitalopram autour de 5 à 10% de celle du citalopram. La biotransformation du citalopram en désméthylcitalopram se fait par le CYP2C19 (près de 38%), le CYP3A4 (près de 31%) et le CYP2D6 (près de 31%).
  • -Elimination
  • -Le citalopram est principalement éliminé par voie hépatique (85%), une petite fraction par voie rénale (15%). En moyenne, la demi-vie biologique est de 1,5 jour, soit 33 heures (fourchette de 19 à 45 heures). La clairance plasmatique systémique est d’environ 0,3 à 0,4 l/min. La clairance hépatique est d’environ 0,3 l/min., la clairance rénale se situe entre 0,05 et 0,08 l/min. environ. Près de 12% (6 à 31%) de la dose se retrouvent dans les urines sous forme de citalopram inchangé.
  • +Le citalopram est métabolisé en déméthylcitalopram, en didéméthylcitalopram, en citalopram N-oxyde et en dérivé désaminé de l’acide propionique. Alors que le dérivé de l’acide propionique est inactif, le déméthylcitalopram, le didéméthylcitalopram et le citalopram N-oxyde sont également des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, avec toutefois un effet beaucoup plus faible que le citalopram. Chez les patients, la forme inchangée du citalopram prédomine dans le plasma. La concentration du déméthylcitalopram se situe généralement entre 30 et 50% de celle du citalopram, la concentration du didéméthylcitalopram autour de 5 à 10% de celle du citalopram. La biotransformation du citalopram en déméthylcitalopram se fait par le CYP2C19 (environ 38%), le CYP3A4 (environ 31%) et le CYP2D6 (environ 31%).
  • +Élimination
  • +Le citalopram est principalement éliminé par voie hépatique (85%), une petite fraction par voie rénale (15%). La demi-vie biologique s’élève en moyenne à 1.5 jour, soit 33 heures (intervalle entre 19 et 45 h). La clairance plasmatique systémique (Cls) s’élève environ à 0.3-0.4 l/min et la clairance plasmatique orale (Clorale) à environ 0.4 l/min. La clairance hépatique est d’environ 0.3 l/min, la clairance rénale se situe entre 0.05 et 0.08 l/min environ. Près de 12% (6-31%) de la dose se retrouvent dans les urines sous forme de citalopram inchangé.
  • -Suite à une diminution du taux de métabolisation chez les personnes âgées, une demi-vie plus longue (1,5 à 3,75 jours) et des valeurs de la clairance plus basses (0,08 à 0,3 l/min.) ont été observés dans cette population, entraînant en moyenne un doublement des taux plasmatiques du citalopram (voir «Posologie/Mode d’emploi»). L’élimination du citalopram est ralentie chez les patients dont la fonction hépatique est réduite.
  • +Suite à une diminution du taux de métabolisation chez les personnes âgées, une demi-vie plus longue (1.5 à 3.75 jours) et des valeurs de la clairance plus basses (0.08-0.3 l/min) ont été observées dans cette population, entraînant en moyenne un doublement des taux plasmatiques du citalopram (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • +L’élimination du citalopram est ralentie chez les patients dont la fonction hépatique est réduite.
  • -Chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale légers à modérés, le ralentissement de l’élimination du citalopram est mineur. Aucune expérience n’est disponible sur les patients présentant des troubles sévères de la fonction rénale (clairance de la créatinine <30 ml/min.).
  • -Polymorphisme
  • -Les études in vivo ont montré que les polymorphismes d’oxydation de la spartéine/débrisoquine (CYP2D6) et d’hydroxylation de la méphénytoïne (CYP2C19) contribuaient à la variabilité de la pharmacocinétique du citalopram lors de son métabolisme. L’importance clinique est actuellement incertaine. Une adaptation posologique est éventuellement nécessaire.
  • +Chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale légers à modérés, le ralentissement de l’élimination du citalopram est mineur. Aucune expérience n’est disponible sur les patients présentant des troubles sévères de la fonction rénale (clairance de la créatinine <30 ml/min) (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • +Polymorphisme:
  • +Les études in vivo ont montré que les polymorphismes (d’oxydation de la spartéine/débrisoquine (CYP2D6) et d’hydroxylation de la méphénytoïne (CYP2C19)) contribuaient à la variabilité de la pharmacocinétique du citalopram lors de son métabolisme. L’importance clinique est actuellement incertaine. Une adaptation posologique est éventuellement nécessaire (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • -Au bout de quelques semaines de traitement par citalopram à doses très élevées (toxiques), des effets cardiaques ont pu être observés chez le rat. Jusqu’à présent, aucune corrélation avec le tableau clinique n’a pu être établie.
  • -Après un traitement au long cours par citalopram, une teneur élevée en phospholipides a pu être mise en évidence dans certains tissus comme le poumon, l’épididyme et le foie chez le rat. Les résultats de l’épididyme et du foie ont été constatés à des doses semblables à celles de l’utilisation clinique. L’effet était réversible à l’arrêt du traitement. En ce qui concerne l’accumulation de phospholipides (phosphatidose) chez les animaux, un lien a pu être établi avec de nombreux médicaments amphiphiles cationiques. On ne sait pas si ceci est d’une importance significative pour l’être humain.
  • -Des études d’embryotoxicité chez le rat menées à des doses de 56 mg/kg/jour toxiques pour la mère, ont provoqué des anomalies osseuses au niveau de la colonne vertébrale et des côtes. Le taux plasmatique chez la mère était 2 à 3 fois supérieur à la concentration thérapeutique observée chez l’être humain.
  • -Aucune influence sur la fertilité n’a été mise en évidence pour le citalopram chez le rat et le lapin. Par contre, le poids des petits à la naissance était plus faible, le taux de mortalité plus élevé et le développement retardé. Les concentrations atteintes par le citalopram et ses métabolites chez le foetus sont 10 à 15 fois supérieures au taux plasmatique maternel. L’expérience clinique avec les femmes enceintes ou qui allaitent est limitée.
  • +Chez le rat, des effets cardiaques ont été observés après administration de très fortes doses (toxiques) de citalopram pendant plusieurs semaines. Aucune corrélation avec la clinique n’a été trouvée à ce jour.
  • +Après administration à long terme de citalopram, des taux accrus de phospholipides ont été mesurés chez le rat dans certains tissus comme ceux des poumons, de l’épididyme et du foie. Les résultats concernant l’épididyme et le foie ont été observés à des doses proches d’une utilisation clinique. L’effet a été réversible après arrêt du traitement. Une accumulation de phospholipides (phospholipidose) chez lanimal a été observée en rapport avec l’utilisation de nombreux médicaments cationiques amphiphiles. On ignore si ce phénomène est pertinent pour l’être humain.
  • +Des études d’embryotoxicité chez le rat menées à des doses de 56 mg/kg/jour toxiques pour la mère ont provoqué des anomalies osseuses au niveau de la colonne vertébrale et des côtes. Le taux plasmatique chez la mère était 2-3 fois supérieur à la concentration thérapeutique observée chez l’être humain.
  • +Aucune influence sur la fertilité n’a été mise en évidence pour le citalopram chez le rat et le lapin. Par contre, le poids des petits à la naissance était plus faible, le taux de mortalité plus élevé et le développement retardé. Les concentrations atteintes par le citalopram et ses métabolites chez le fœtus étaient 10 à 15 fois supérieures au taux plasmatique maternel.
  • +Des études chez l’animal ont montré que le citalopram entraîne une diminution des indices de fécondité et de gestation, ainsi qu’une diminution du nombre de nidation, et un sperme anormal. Dans ces études menées sur l’animal, des doses qui dépassent largement celles recommandées chez l’homme ont été administrées.
  • -Le médicament ne peut être utilisé au-delà de la date imprimée sur l’emballage avec la mention «EXP.».
  • -Précautions particulières de conservation
  • -Conserver à température ambiante (15–25 °C) dans son emballage original hors de la portée des enfants.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP.» sur l’emballage.
  • +Remarques concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15-25°C) dans l’emballage original et hors de la portée des enfants.
  • -Claropram cpr pell 20 mg 14. (B)
  • -Claropram cpr pell 20 mg 98. (B)
  • -Claropram cpr pell 40 mg 14. (B)
  • -Claropram cpr pell 40 mg 98. (B)
  • +Citalopram Axapharm 20 mg: emballages à 14 et 98 comprimés pelliculés sécables. [B]
  • +Citalopram Axapharm 40 mg: emballages à 14 et 98 comprimés pelliculés sécables. [B]
  • -Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen.
  • +Axapharm SA, 6340 Baar.
  • -Décembre 2011.
  • +Mars 2017.
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