58 Changements de l'information professionelle Medikinet 5 mg |
-Instructions spéciales pour la posologie
- +Posologies spéciales
-·Traitement par les inhibiteurs de la monoamine-oxydase (MAO) et pendant au moins 14 jours après l'arrêt d'un IMAO (ce qui pourrait entraîner une hypertension artérielle aiguë) (voir «Interactions»).
- +·Traitement par des inhibiteurs de la monoamine-oxydase (MAO) et pendant au moins 14 jours après l'arrêt d'un IMAO (ce qui pourrait entraîner une hypertension artérielle aiguë) (voir «Interactions»).
-Afin de détecter des maladies cardiaques préexistantes, il faut effectuer, chez les patients que l'on prévoit de traiter avec Medikinet, une anamnèse soigneuse (y compris l'anamnèse familiale de décès subits ou d'arythmies ventriculaires) et un examen physique. Si les premiers résultats indiquent une maladie de ce type, d'autres examens cardiologiques (p.ex. électrocardiogramme, échocardiogramme) doivent être faits).
- +Afin de détecter des maladies cardiaques préexistantes, il faut effectuer, chez les patients que l'on prévoit de traiter avec Medikinet, une anamnèse soigneuse (y compris l'anamnèse familiale de décès subits ou d'arythmies ventriculaires) et un examen physique. Si les premiers résultats indiquent une maladie de ce type, d'autres examens cardiologiques (p.ex. électrocardiogramme, échocardiogramme) doivent être faits.
-Les stimulants à effet sur le système nerveux central, méthylphénidate compris, ont été mis en relation avec le déclenchement ou l'aggravation de tics moteurs ou verbaux. Avant de commencer un traitement par stimulants, le patient doit donc d'abord subir un examen clinique visant à déterminer s'il a des tics ou s'il souffre d'un syndrome de Tourette. L'anamnèse familiale doit être également prise en compte. Medikinet est contre-indiqué en cas de diagnostic ou d'antécédents familiaux de syndrome de Tourette (cf. «Contre-indications»).
- +Les stimulants à effet sur le système nerveux central, méthylphénidate compris, ont été mis en relation avec le déclenchement ou l'aggravation de tics moteurs ou verbaux ou du syndrome de Tourette. Avant de commencer un traitement par des stimulants, le patient doit donc d'abord subir un examen clinique visant à déterminer s'il a des tics ou s'il souffre d'un syndrome de Tourette. L'anamnèse familiale doit être également prise en compte. Medikinet est contre-indiqué en cas de diagnostic ou d'antécédents familiaux de syndrome de Tourette (cf. «Contre-indications»).
- +Syndrome sérotoninergique
- +Comme avec d'autres substances sérotoninergiques, un syndrome sérotoninergique pouvant mettre en jeu le pronostic vital peut survenir au cours du traitement par le méthylphénidate, en particulier lorsque le méthylphénidate est associé à d'autres médicaments sérotoninergiques. Ces médicaments sont notamment les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN), les antidépresseurs tricycliques, les phénothiazines, les triptans, le lithium, le fentanyl, le dextrométhorphane, le tramadol, le tapentadol, la mépéridine, la méthadone, la pentazocine, le millepertuis (Hypericum) ou les principes actifs influençant le métabolisme de la sérotonine, tels que l'antibiotique linézolide et l'inhibiteur non sélectif de la MAO bleu de méthylène entraînant une inhibition non sélective et réversible de la MAO, ou des précurseurs de la sérotonine (tels le tryptophane).
- +L'administration concomitante de méthylphénidate et de médicaments sérotoninergiques n'est pas recommandée, car cela peut provoquer le développement d'un syndrome sérotoninergique. Les symptômes du syndrome sérotoninergique peuvent comprendre: altérations de l'état mental (p.ex. agitation, hallucinations, délire et coma), instabilité du système autonome (p.ex. tachycardie, labilité de la pression artérielle, vertiges, diaphorèse, flush, hyperthermie), symptômes neuromusculaires (p.ex. tremblements, rigidité, myoclonies, hyperréflexie, troubles de la coordination), convulsions et/ou symptômes gastro-intestinaux (p.ex. nausées, vomissements, diarrhée). Le syndrome sérotoninergique dans sa forme la plus sévère peut ressembler à un syndrome malin des neuroleptiques qui comprend des symptômes tels qu'hyperthermie, rigidité musculaire, instabilité du système autonome avec éventuelle fluctuation rapide des signes vitaux et altérations de l'état mental. Il est important d'identifier rapidement ces symptômes.
- +Il convient d'arrêter immédiatement le méthylphénidate et les médicaments sérotoninergiques et d'instaurer un traitement approprié (voir «Interactions»).
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-Anesthésiques: il existe un risque d'augmentation soudaine de la tension artérielle et de la fréquence cardiaque au cours d'une opération. Si une intervention chirurgicale est prévue, le méthylphénidate ne doit pas être pris le jour de l'intervention.
-Antihypertenseurs: Medikinet peut réduire l'efficacité des antihypertenseurs.
-Administration concomitante avec des substances hypertensives:
-Du fait d'une élévation possible de la tension artérielle, Medikinet sera administré avec prudence en cas d'association avec des agents vasopresseurs (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Anesthésiques: Il existe un risque d'augmentation soudaine de la tension artérielle et de la fréquence cardiaque au cours d'une opération. Si une intervention chirurgicale est prévue, le méthylphénidate ne doit pas être pris le jour de l'intervention.
- +Antihypertenseurs: Medikinet peut diminuer l'efficacité des antihypertenseurs.
- +Administration concomitante avec des substances hypertensives
- +Du fait d'une élévation possible de la tension artérielle, Medikinet sera administré avec prudence en cas d'association avec des agents vasopresseurs (voir sous «Mises en garde et précautions»).
-Administration concomitante avec des agonistes alpha-2 à effet central (p.ex. clonidine):
- +Administration concomitante avec des agonistes alpha-2 à effet central (p.ex. clonidine)
-Administration concomitante avec des médicaments dopaminergiques:
- +Administration concomitante avec des médicaments dopaminergiques
-Administration concomitante avec de l'alcool:
- +Administration concomitante de médicaments sérotoninergiques
- +L'administration concomitante de méthylphénidate et d'autres médicaments sérotoninergiques (incluant triptans, ISRS, IRSN, lithium, fentanyl et ses analogues, tramadol, dextrométhorphane, tapentadol, mépéridine, méthadone, pentazocine ou millepertuis (Hypericum), de médicaments inhibiteurs du métabolisme de la sérotonine (dont les iMAO, tels que le bleu de méthylène) ou de précurseurs de la sérotonine (p.ex. tryptophane) n'est pas recommandée, car cela peut provoquer le développement d'un syndrome sérotoninergique (voir «Mises en garde et précautions»). Il a été démontré que le méthylphénidate augmente les concentrations extracellulaires de sérotonine et de noradrénaline et qu'il semble avoir une faible capacité de liaison aux transporteurs de la sérotonine.
- +Administration concomitante avec de l'alcool
-Définition des fréquences: «très fréquents» (>1/10), «fréquents» (>1/100, <1/10), «occasionnels» (>1/1000, <1/100), «rares» (>1/10 000, <1/1000), «très rares» (<1/10 000).
- +Définition des fréquences: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1'000), «rares» (<1/1'000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000).
-Troubles psychiatriques: insomnie, nervosité, anorexie, faiblesse affective, agressivité, excitation, anxiété, dépression, irritabilité, comportement anormal.
-Troubles neurologiques: céphalées, vertiges, dyskinésie, hyperactivité psychomotrice, somnolence.
-Maladies cardiaques: arythmie, tachycardie, palpitations.
-Maladies vasculaires: hypertension.
-Voies respiratoires et cavité thoracique: toux, douleurs pharyngées et laryngées.
-Troubles gastro-intestinaux: douleurs abdominales, diarrhée, nausées, maux d'estomac et vomissements, sécheresse de la bouche.
-Peau: alopécie, prurit, éruptions cutanées, urticaire.
-Appareil locomoteur: arthralgie.
-Troubles généraux: pyrexie, ralentissement de la croissance en cas d'utilisation prolongée chez les enfants.
- +Affections psychiatriques: insomnie, nervosité, anorexie, faiblesse affective, agressivité, excitation, anxiété, dépression, irritabilité, comportement anormal.
- +Affections du système nerveux: céphalées, vertiges, dyskinésie, hyperactivité psychomotrice, somnolence.
- +Affections cardiaques: arythmie, tachycardie, palpitations.
- +Affections vasculaires: hypertension.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales: toux, douleurs pharyngées et laryngées.
- +Affections gastro-intestinales: douleurs abdominales, diarrhée, nausées, maux d'estomac et vomissements, sécheresse de la bouche.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané: alopécie, prurit, éruptions cutanées, urticaire.
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif: arthralgie.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration: pyrexie, ralentissement de la croissance en cas d'utilisation prolongée chez les enfants.
-Troubles psychiatriques: suicide, tentatives de suicide, pensées suicidaires, comportements stéréotypés (souvent répétés de façon pathologique), hallucinations tactiles.
-Troubles neurologiques: mouvements choréiformes, tics ou aggravation des tics existants, troubles nerveux réversibles, migraines, syndrome malin des neuroleptiques.
-Yeux: troubles de l'accommodation.
-Maladies cardiaques: mort cardiaque subite, infarctus du myocarde.
-Maladies vasculaires: troubles cérébrovasculaires ou hémorragie, vasculite, syndrome de Raynaud, sensation de froid dans les extrémités (mains ou pieds froids).
-Troubles gastro-intestinaux: trouble de la fonction hépatique.
-Peau: dermatite exfoliatrice, syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe, exanthème pigmenté.
-Reins et voies urinaires: hématurie.
-Système reproducteur et sein: gynécomastie, priapisme.
- +Affections psychiatriques: suicide, tentatives de suicide, pensées suicidaires, comportements stéréotypés (souvent répétés de façon pathologique), hallucinations tactiles.
- +Affections du système nerveux: mouvements choréiformes, tics ou aggravation des tics existants, troubles nerveux réversibles, migraines, syndrome malin des neuroleptiques.
- +Affections oculaires: troubles de l'accommodation.
- +Affections cardiaques: mort cardiaque subite, infarctus du myocarde.
- +Affections vasculaires: troubles cérébrovasculaires ou hémorragie, vasculite, syndrome de Raynaud, sensation de froid dans les extrémités (mains ou pieds froids).
- +Affections gastro-intestinales: trouble de la fonction hépatique.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané: dermatite exfoliatrice, syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe, exanthème pigmenté.
- +Affections du rein et des voies urinaires: hématurie.
- +Affections des organes de reproduction et du sein: gynécomastie, priapisme.
-Infections
- +Infections et infestations
-Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Système immunitaire
- +Affections du système immunitaire
-Système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Fréquent: céphalées, somnolence, vertiges, dyskinésie, tremblements*.
- +Fréquents: céphalées, somnolence, vertiges, dyskinésie, tremblements*.
-De très rares cas mal documentés de syndrome malin des neuroleptiques (SMN) ont été signalés. Toutefois, les patients avaient pris d'autres médicaments dans la plupart des cas. Le rôle du méthylphénidate dans ces cas est incertain.
-Troubles oculaires
- +De très rares cas mal documentés de syndrome malin des neuroleptiques (neuroleptic malignant syndrome, NMS) ont été signalés. Toutefois, les patients avaient pris d'autres médicaments dans la plupart des cas. Le rôle du méthylphénidate dans ces cas est incertain.
- +Affections oculaires
-Troubles cardiaques
- +Affections cardiaques
-Troubles vasculaires
- +Affections vasculaires
-Voies respiratoires et cavité thoracique
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinaux
-Troubles hépato-biliaires
- +Affections hépatobiliaires
-Troubles cutanés
- +Affections de la peau et du tissu souscutané
-Troubles musculosquelettiques
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Troubles généraux
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Des concentrations plasmatiques maximales d'environ 40 nmol/l (11 ng/ml) sont atteintes en moyenne au bout de 2 h. Cependant, les variations inter- et intraindividuelles sont importantes. L'aire sous la courbe de concentration plasmatique (AUC) et la concentration plasmatique maximale (Cmax) sont proportionnelles à la dose administrée. Il n'y a pas de corrélation entre la concentration plasmatique maximale et l'effet pharmacologique.
- +Des concentrations plasmatiques maximales d'environ 40 nmol/l (11 ng/ml) sont atteintes en moyenne au bout de 2 h. Cependant, les variations inter- et intra-individuelles sont importantes. L'aire sous la courbe de concentration plasmatique (AUC) et la concentration plasmatique maximale (Cmax) sont proportionnelles à la dose administrée. Il n'y a pas de corrélation entre la concentration plasmatique maximale et l'effet pharmacologique.
-Le méthylphénidate est considéré comme potentiellement tératogène chez le lapin. Dans une étude de reproduction effectuée chez le lapin avec le méthylphénidate, des spina bifida et des malrotations des extrémités postérieures ont été observées dans deux portées, à une dose de 200 mg/kg/j. L'exposition (AUC) à cette dose était environ 5,1 fois plus élevée que l'exposition extrapolée à la dose maximale (MRHD) chez l'être humain. L'exposition à la dose inférieure la plus proche pour laquelle aucun cas de spina bifida n'a été observé, correspondait à 0,7 fois l'exposition extrapolée à la DMRH. Une deuxième étude a été réalisée avec une dose élevée (300 mg/kg/j) considérée comme toxique pour la mère. Aucune spina bifida n'a cependant été observée dans 12 portées ayant survécu (92 fœtus). L'exposition (AUC) à la dose de 300 mg/kg correspondait à 7,5 fois l'exposition extrapolée à la MRHD.
- +Le méthylphénidate est considéré comme potentiellement tératogène chez le lapin.
- +Dans une étude de reproduction effectuée chez le lapin avec le méthylphénidate, des spina bifida et des malrotations des extrémités postérieures ont été observées dans deux portées, à une dose de 200 mg/kg/j. L'exposition (AUC) à cette dose était environ 5,1 fois plus élevée que l'exposition extrapolée à la dose maximale (MRHD) chez l'être humain. L'exposition à la dose inférieure la plus proche pour laquelle aucun cas de spina bifida n'a été observé, correspondait à 0,7 fois l'exposition extrapolée à la MRHD.
- +Une deuxième étude a été réalisée avec une dose élevée (300 mg/kg/j) considérée comme toxique pour la mère. Aucune spina bifida n'a cependant été observée dans 12 portées ayant survécu (92 fœtus). L'exposition (AUC) à la dose de 300 mg/kg correspondait à 7,5 fois l'exposition extrapolée à la MRHD.
-Dans une étude in vitro avec le méthyphénidate sur des cellules ovariennes de hamster chinois (cellules CHO), une fréquence accrue d'échange de chromatides-sœurs et d'aberrations chromosomiques a été constatée. Aucun effet génotoxique n'a cependant été observé dans plusieurs autres études in vitro, comprenant notamment trois tests in-vitro (test de mutation inverse d'Ames, test de mutation directe sur le lymphome de souris, test d'aberrations chromosomiques sur lymphocytes humains). Deux tests du micronoyau in vivo sur des cellules de moelle osseuse de souris n'ont révélé aucun effet clastogène ou aneugène à des doses allant jusqu'à 250 mg/kg. Dans l'une de ces études, on a utilisé la même souche de souris B6C3F1 que celle ayant présenté des tumeurs hépatiques lors du bioessay de carcinogénicité. En outre, des mesures des mutations cII dans le foie et les micronoyaux des réticulocytes du sang périphérique de souris Big-Blue, dans les micronoyaux des réticulocytes du sang périphérique du singe Rhésus, des mutations HPRT ainsi que des aberrations chromosomiques chez le singe Rhésus et des mutations du gène PIG-A chez de jeunes rats, de la fréquence dans le sang de réticulocytes contenant des micronoyaux et des altérations de l'ADN dans les cellules sanguines, cérébrales et hépatiques chez les rats mâles adultes traités en continu durant 28 jours, ainsi que la mesure des micronoyaux des érythrocytes dans le sang périphérique de souris n'ont pas mis en évidence de potentiel génotoxique.
- +Dans une étude in vitro avec le méthyphénidate sur des cellules ovariennes de hamster chinois (cellules CHO), une fréquence accrue d'échange de chromosomes sœurs et d'aberrations chromosomiques a été constatée. Aucun effet génotoxique n'a cependant été observé dans plusieurs autres études in vitro, comprenant notamment trois tests in vitro (test de mutation inverse d'Ames, test de mutation directe sur le lymphome de souris, test d'aberrations chromosomiques sur lymphocytes humains). Deux tests du micronoyau in vivo sur des cellules de moelle osseuse de souris n'ont révélé aucun effet clastogène ou aneugène à des doses allant jusqu'à 250 mg/kg. Dans l'une de ces études, on a utilisé la même souche de souris B6C3F1 que celle ayant présenté des tumeurs hépatiques lors du bioessay de carcinogénicité. En outre, des mesures des mutations cII dans le foie et les micronoyaux des réticulocytes du sang périphérique de souris Big-Blue, dans les micronoyaux des réticulocytes du sang périphérique du singe Rhésus, des mutations HPRT ainsi que des aberrations chromosomiques chez le singe Rhésus et des mutations du gène PIG-A chez de jeunes rats, de la fréquence dans le sang de réticulocytes contenant des micronoyaux et des altérations de l'ADN dans les cellules sanguines, cérébrales et hépatiques chez les rats mâles adultes traités en continu durant 28 jours, ainsi que la mesure des micronoyaux des érythrocytes dans le sang périphérique de souris n'ont pas mis en évidence de potentiel génotoxique.
-Décembre 2014.
- +Juin 2017
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