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Accueil - Information professionnelle sur Eligard 7.5 mg - Changements - 11.04.2018
32 Changements de l'information professionelle Eligard 7.5 mg
  • -La quantité délivrée après reconstitution est de 7,5 mg d'acétate de leuproréline (voir «Remarques particulières»).
  • +Lors d'une utilisation correcte, la quantité délivrée après reconstitution est de 7,5 mg d'acétate de leuproréline (voir «Remarques particulières»).
  • -La quantité délivrée après reconstitution est de 22,5 mg d'acétate de leuproréline (voir «Remarques particulières»).
  • +Lors d'une utilisation correcte, la quantité délivrée après reconstitution est de 22,5 mg d'acétate de leuproréline (voir «Remarques particulières»).
  • -La quantité délivrée après reconstitution est de 45 mg d'acétate de leuproréline (voir «Remarques particulières»).
  • +Lors d'une utilisation correcte, la quantité délivrée après reconstitution est de 45 mg d'acétate de leuproréline (voir «Remarques particulières»).
  • -En règle générale, le traitement du carcinome avancé de la prostate est une thérapie à long terme qui ne devrait pas être suspendue lors d'une rémission ou d'une amélioration.
  • +En règle générale, le traitement du carcinome avancé de la prostate est une thérapie à long terme qui ne devrait pas être suspendue en cas de rémission ou d'une amélioration.
  • +Pour les patients non orchidectomisés souffrant d'un cancer de la prostate métastasé résistant à la castration, recevant un agoniste de la GnRH (tel que la leuproréline) et pour lesquels un traitement par un inhibiteur de la biosynthèse des androgènes ou un inhibiteur des récepteurs des androgènes est indiqué, le traitement par agonistes de la GnRH peut être poursuivi.
  • +Affections cardiovasculaires
  • +Plusieurs études épidémiologiques de grande envergure menées chez des patients souffrant d’un cancer de la prostate ont mis en évidence un lien entre l’utilisation d’agonistes de la GnRH et un risque accru de développer un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral. Ce risque doit être évalué attentivement en conjonction aux éventuels autres facteurs de risque cardiovasculaires préexistants (hypertension artérielle, diabète, hypercholestérolémie) des patients atteints d’un cancer de la prostate lors du choix du traitement. Sous traitement par agonistes de la GnRH, il faut régulièrement contrôler la tension artérielle, la glycémie et les lipides sériques et rechercher des signes éventuels évoquant une maladie cardiovasculaire chez les patients. Les facteurs de risque déjà présents doivent être traités conformément aux recommandations en vigueur. La thérapie anti-androgénique peut allonger l’intervalle QT.
  • +Chez les patients qui présentent des antécédents d’allongement de l’intervalle QT ou ceux qui présentent des facteurs de risque d’allongement de l’intervalle QT, ainsi que chez les patients qui peuvent prendre de manière concomitante d’autres médicaments qui allongent l’intervalle QT (voir «Interactions»), le médecin traitant doit évaluer soigneusement avant le début du traitement par Eligard le rapport bénéfice/risque compte tenu de la survenue possible de torsades de pointes.
  • -Dans le cadre de la surveillance post-marketing, de rares cas d'apoplexie hypophysaire (syndrome clinique secondaire à un infarctus de l'hypophyse) ont été rapportés à la suite de l'administration d'agonistes de la gonadoréline (GnRH). Un adénome hypophysaire a été diagnostiqué dans la plupart de ces cas. La majorité de ces cas se sont produits en l'espace de 2 semaines et certains même en l'espace d'une heure après l'administration de la première dose. Les symptômes possibles d'une apoplexie hypophysaire sont des céphalées soudaines, des vomissements, des anomalies de la vision, une ophtalmoplégie, un état mental altéré et, occasionnellement, un collapsus cardiovasculaire. Un traitement médical immédiat est nécessaire.
  • -Pour cette raison, en présence d'un adénome hypophysaire connu, il ne faut pas utiliser d'agonistes de la GnRH.
  • +Dans le cadre de la surveillance post-marketing, de rares cas dapoplexie hypophysaire (syndrome clinique secondaire à un infarctus de lhypophyse) ont été rapportés à la suite de ladministration dagonistes de la gonadoréline (GnRH). Un adénome hypophysaire a été diagnostiqué dans la plupart de ces cas. La majorité de ces cas se sont produits en lespace de 2 semaines et certains même en lespace dune heure après ladministration de la première dose. Les symptômes possibles dune apoplexie hypophysaire sont des céphalées soudaines, des vomissements, des anomalies de la vision, une ophtalmoplégie, un état mental altéré et, occasionnellement, un collapsus cardiovasculaire. Un traitement médical immédiat est nécessaire.
  • +Pour cette raison, en présence dun adénome hypophysaire connu, il ne faut pas utiliser dagonistes de la GnRH.
  • -Des cas d'obstruction urétrale et de compression de la moelle épinière, qui peuvent entraîner une paralysie avec ou sans complication fatale, ont été rapportés avec des analogues de la GnRH.
  • -S'il survenait une compression de la moelle épinière ou des troubles de la fonction rénale, un traitement standard de ces complications devrait être instauré.
  • -Les patients atteints de métastases vertébrales et/ou cérébrales ou ceux souffrant d'obstruction du tractus urinaire doivent être suivis attentivement, si possible en milieu hospitalier, durant les toutes premières semaines du traitement.
  • -Une proportion de patients développent des tumeurs non hormono-dépendantes. L'absence d'amélioration clinique en dépit de suppression adéquate de testostérone indique que le patient ne peut pas tirer bénéfice d'une thérapie avec Eligard.
  • -Après une castration chirurgicale, Eligard n'entraîne pas de diminution du taux de testostérone sérique chez les patients de sexe masculin.
  • +Une proportion de patients développent des tumeurs non hormono-dépendantes. Labsence damélioration clinique en dépit de suppression adéquate de testostérone indique que le patient ne peut pas tirer bénéfice dune thérapie avec Eligard.
  • +Après une castration chirurgicale, Eligard n'entraîne pas de diminution du taux de testostérone sérique chez les patients de sexe masculin. La décision de la poursuite de la thérapie doit être prise conformément aux directives thérapeutiques actuelles.
  • -Une diminution de la densité minérale osseuse (DMO) a été rapportée dans la littérature médicale chez les hommes orchidectomisés ou qui ont été traités par un analogue de la GnRH. Le risque de réduction de la DMO est particulièrement accru en présence d'autres facteurs de risque d'ostéoporose, tels que l'âge avancé, le tabagisme et l'alcoolisme, une surcharge pondérale ou une activité physique insuffisante.
  • -La thérapie anti-androgénique augmente significativement le risque de fractures liées à l'ostéoporose. Seules des données limitées sont disponibles sur ce sujet. Les fractures d'origine ostéoporotique ont été observées chez 5% des patients après 22 mois de privation pharmacologique androgénique et chez 4% des patients après 5 à 10 ans de traitement.
  • +Une diminution de la densité minérale osseuse (DMO) a été rapportée dans la littérature médicale chez les hommes orchidectomisés ou qui ont été traités par un analogue de la GnRH. Le risque de réduction de la DMO est particulièrement accru en présence dautres facteurs de risque dostéoporose, tels que lâge avancé, le tabagisme et lalcoolisme, une surcharge pondérale ou une activité physique insuffisante.
  • +La thérapie anti-androgénique augmente significativement le risque de fractures liées à l'ostéoporose. Seules des données limitées sont disponibles sur ce sujet. Les fractures dorigine ostéoporotique ont été observées chez 5% des patients après 22 mois de privation pharmacologique androgénique et chez 4% des patients après 5 à 10 ans de traitement.
  • -Des cas d'hyperglycémie et une augmentation du risque de développer un diabète sucré ont été rapportés chez des hommes traités par des agonistes de la GnRH. Une hyperglycémie peut être le signe initial du développement d'un diabète sucré ou le signe d'une aggravation du contrôle glycémique chez des patients déjà diabétiques. Chez les patients traités par un agoniste de la GnRH, il faut surveiller régulièrement la glycémie et/ou l'hémoglobine glyquée (HbA1c) et, le cas échéant, prendre en charge ces patients selon les pratiques cliniques courantes.
  • -Affections cardiovasculaires
  • -Plusieurs études épidémiologiques de grande envergure menées chez des patients souffrant d’un cancer de la prostate ont mis en évidence un lien entre l’utilisation d’agonistes de la GnRH et un risque accru de développer un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral. Ce risque doit être évalué attentivement en conjonction aux éventuels autres facteurs de risque cardiovasculaires préexistants (hypertension artérielle, diabète, hypercholestérolémie) des patients atteints d’un cancer de la prostate lors du choix du traitement. Sous traitement par agonistes de la GnRH, il faut régulièrement contrôler la tension artérielle, la glycémie et les lipides sériques et rechercher des signes éventuels évoquant une maladie cardiovasculaire chez les patients. Les facteurs de risque déjà présents doivent être traités conformément aux recommandations en vigueur. La thérapie anti-androgénique peut allonger l’intervalle QT.
  • -Chez les patients qui présentent des antécédents d’allongement de l’intervalle QT ou ceux qui présentent des facteurs de risque d’allongement de l’intervalle QT, ainsi que chez les patients qui peuvent prendre de manière concomitante d’autres médicaments qui allongent l’intervalle QT (voir «Interactions»), le médecin traitant doit évaluer soigneusement avant le début du traitement par Eligard le rapport bénéfice/risque compte tenu de la survenue possible de torsades de pointes.
  • +Des cas dhyperglycémie et une augmentation du risque de développer un diabète sucré ont été rapportés chez des hommes traités par des agonistes de la GnRH. Une hyperglycémie peut être le signe initial du développement dun diabète sucré ou le signe dune aggravation du contrôle glycémique chez des patients déjà diabétiques. Chez les patients traités par un agoniste de la GnRH, il faut surveiller régulièrement la glycémie et/ou lhémoglobine glyquée (HbA1c) et, le cas échéant, prendre en charge ces patients selon les pratiques cliniques courantes.
  • +Convulsions
  • +Des rapports post-marketing ont fait état de convulsions chez des patients traités par acétate de leuproréline, tant avec que sans prédispositions. Les convulsions devraient être maîtrisées conformément aux normes cliniques actuelles.
  • +Autres précautions
  • +Des cas d’obstruction urétrale et de compression de la moelle épinière, qui peuvent entraîner une paralysie avec ou sans complication fatale, ont été rapportés avec des agonistes de la GnRH. S’il survenait une compression de la moelle épinière ou des troubles de la fonction rénale, un traitement standard de ces complications devrait être instauré.
  • +Les patients atteints de métastases vertébrales et/ou cérébrales ou ceux souffrant d’obstruction du tractus urinaire doivent être suivis attentivement, si possible en milieu hospitalier, durant les toutes premières semaines du traitement.
  • +Forcer l’embase de l’aiguille de sécurité lors de la reconstitution peut entraîner la rupture de l’embase, et par conséquent une fuite du médicament pendant l’injection ainsi qu’un risque potentiel de manque d’efficacité en raison d’un sous-dosage. En cas de suspicion de mauvaise manipulation d’Eligard, le taux de testostérone doit être contrôlé. Ce contrôle doit être adapté individuellement à chaque patient (voir chapitre «Évolution de la concentration de testostérone et complications en début de traitement»).
  • -Fréquents: modifications hématologiques, allongement du temps de coagulation.
  • +Fréquents: modifications hématologiques, allongement du temps de coagulation, anémie.
  • -Fréquents: nausées, diarrhées, dyspepsie.
  • -Occasionnels: constipation, sécheresse buccale, vomissements.
  • -Rares: flatulence, éructations, ballonnements douloureux.
  • +Fréquents: nausées, diarrhées, gastro-entérite/colite.
  • +Occasionnels: constipation, sécheresse buccale, dyspepsie, vomissements.
  • +Rares: flatulence, éructations.
  • -Fréquents: seins sensibles, gynécomastie, atrophie des testicules, testicules douloureux, infertilité.
  • +Fréquents: seins sensibles, gynécomastie, atrophie des testicules, testicules douloureux, infertilité, dysfonction érectile, taille de pénis réduite.
  • -Occasionnels: léthargie, augmentation de la transpiration, douleur, fièvre; au site de l'injection: prurit.
  • +Occasionnels: léthargie, augmentation de la transpiration, douleur, fièvre; au site de l'injection: prurit, induration.
  • -D'autres effets indésirables ont été rapportés lors d'un traitement par acétate de leuproréline, comprenant entre autres: leucopénie, thrombopénie, modifications de la tolérance au glucose, faiblesse musculaire, frissons et sensibilité cutanée.
  • +D'autres effets indésirables ont été rapportés lors d'un traitement par acétate de leuproréline, comprenant entre autres: leucopénie, thrombopénie, modifications de la tolérance au glucose, faiblesse musculaire, frissons et sensibilité cutanée, fonte musculaire (en cas de traitement prolongé) et convulsions. Dans de rares cas, des réactions anaphylactiques/anaphylactoïde ont été rapportées à la suite de l'administration d'agonistes de la GnRH.
  • -Remarque: Il peut rester une grande bulle ou quelques petites bulles d'air dans la préparation – ce qui est acceptable. Ne pas éliminer les bulles d'air de la seringue B à ce stade, cela pourrait entraîner une perte de produit!
  • +Remarque: Il peut rester une grande bulle ou quelques petites bulles d'air dans la préparation – ce qui est acceptable.
  • +Ne pas éliminer les bulles d'air de la seringue B à ce stade, cela pourrait entraîner une perte de produit!
  • -11ème étape: Maintenir la seringue B en position verticale. Ouvrir l'emballage de l'aiguille de sécurité en détachant la languette de papier et retirer l'aiguille de sécurité. Fixer l'aiguille de sécurité à la seringue B en tenant la seringue droite et en faisant tourner la seringue dans le sens des aiguilles d'une montre jusqu'à ce qu'elle soit parfaitement en place (figure 11). Ne pas forcer.
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  • +11ème étape: Maintenir la seringue B en position verticale et laisser le piston de couleur blanche dans le fond afin d’éviter toute perte de produit. Ouvrir lemballage de laiguille de sécurité en détachant la languette de papier et retirer laiguille de sécurité. Fixer laiguille de sécurité à la seringue B en tenant la seringue droite et en faisant tourner minutieusement la seringue dans le sens des aiguilles dune montre avec une rotation d’environ trois quarts jusquà ce quelle soit parfaitement en place (figure 11).
  • +Ne pas forcer car cela peut entraîner la rupture de l’embase de l’aiguille et provoquer ainsi une fuite pendant l’injection.
  • +Si l’embase de l’aiguille se rompt, est endommagée ou fuit, le produit ne peut pas être utilisé. L’aiguille défectueuse ne doit pas être remplacée et le produit utilisé ne doit pas être injecté. Le produit doit être complètement éliminé de façon sûre. Si l’embase de l’aiguille est endommagée, il convient d’utiliser un nouveau produit.
  • +(image)
  • +
  • -Août 2016.
  • +Février 2018.
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