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Accueil - Information professionnelle sur Eligard 7.5 mg - Changements - 18.08.2021
130 Changements de l'information professionelle Eligard 7.5 mg
  • -Principe actif: Acétate de leuproréline 10,6 mg (équivalent à 9,83 mg de base).
  • -Excipients du solvant: Poly (DL-lactide-co-glycolide), N-méthyl-2-pyrrolidone.
  • +Principe actif : Acétate de leuproréline 10,6 mg (équivalent à 9,83 mg de base).
  • +Excipients du solvant : Poly (DL-lactide-co-glycolide), N-méthyl-2-pyrrolidone.
  • -Principe actif: Acétate de leuproréline 29,2 mg (équivalent à 27,1 mg de base).
  • -Excipients du solvant: Poly (DL-lactide-co- glycolide), N-méthyl-2-pyrrolidone.
  • +Principe actif : Acétate de leuproréline 29,2 mg (équivalent à 27,1 mg de base).
  • +Excipients du solvant : Poly (DL-lactide-co- glycolide), N-méthyl-2-pyrrolidone.
  • -Principe actif: Acétate de leuproréline 59,2 mg (équivalent à 54,86 mg de base).
  • -Excipients du solvant: Poly (DL-lactide-co-glycolide), N-méthyl-2-pyrrolidone.
  • +Principe actif : Acétate de leuproréline 59,2 mg (équivalent à 54,86 mg de base).
  • +Excipients du solvant : Poly (DL-lactide-co-glycolide), N-méthyl-2-pyrrolidone.
  • -Seringue pré-remplie contenant la poudre (seringue B):
  • +Seringue pré-remplie contenant la poudre (seringue B) :
  • -10,6 mg d'acétate de leuproréline (poudre stérile).
  • +10,6 mg dacétate de leuproréline (poudre stérile)
  • -29,2 mg d'acétate de leuproréline (poudre stérile).
  • +29,2 mg dacétate de leuproréline (poudre stérile)
  • -59,2 mg d'acétate de leuproréline (poudre stérile).
  • -Seringue pré-remplie contenant le solvant (seringue A):
  • +59,2 mg dacétate de leuproréline (poudre stérile)
  • +Seringue pré-remplie contenant le solvant (seringue A) :
  • -Lors d'une utilisation correcte, la quantité délivrée après reconstitution est de 7,5 mg d'acétate de leuproréline (voir «Remarques particulières»).
  • +Lors d'une utilisation correcte, la quantité délivrée après reconstitution est de 7,5 mg dacétate de leuproréline (voir « Remarques particulières »).
  • -Lors d'une utilisation correcte, la quantité délivrée après reconstitution est de 22,5 mg d'acétate de leuproréline (voir «Remarques particulières»).
  • +Lors d'une utilisation correcte, la quantité délivrée après reconstitution est de 22,5 mg dacétate de leuproréline (voir « Remarques particulières »).
  • -Lors d'une utilisation correcte, la quantité délivrée après reconstitution est de 45 mg d'acétate de leuproréline (voir «Remarques particulières»).
  • +Lors d'une utilisation correcte, la quantité délivrée après reconstitution est de 45 mg d'acétate de leuproréline (voir « Remarques particulières »).
  • -Cancer de la prostate: traitement palliatif symptomatique des carcinomes prostatiques avancés hormono-dépendants.
  • +Cancer de la prostate : traitement palliatif symptomatique des carcinomes prostatiques avancés hormono-dépendants.
  • -Eligard 7,5 mg/22,5 mg/45 mg est administré en une injection sous-cutanée unique, respectivement chaque mois, chaque 3 mois ou chaque 6 mois. La solution/suspension injectée forme un dépôt solide et permet une libération continue d'acétate de leuproréline pendant respectivement 1 mois, 3 mois et 6 mois.
  • +Eligard 7,5 mg / 22,5 mg / 45 mg est administré en une injection sous-cutanée unique, respectivement chaque mois, chaque 3 mois ou chaque 6 mois. La solution/suspension injectée forme un dépôt solide et permet une libération continue dacétate de leuproréline pendant respectivement 1 mois, 3 mois et 6 mois.
  • -L'administration d'Eligard ne doit se faire que sous la surveillance d'un médecin, par exemple un urologue, expérimenté en oncologie.
  • -La réponse thérapeutique à Eligard devrait être évaluée par les paramètres cliniques et par la mesure des taux sériques de l'antigène prostato-spécifique (PSA).
  • +L'administration d'Eligard ne doit se faire que sous la surveillance d'un médecin, par exemple un urologue, expérimenté en oncologie.La réponse thérapeutique à Eligard devrait être évaluée par les paramètres cliniques et par la mesure des taux sériques de l'antigène prostato-spécifique (PSA).
  • -Pour les patients non orchidectomisés souffrant d'un cancer de la prostate métastasé résistant à la castration, recevant un agoniste de la GnRH (tel que la leuproréline) et pour lesquels un traitement par un inhibiteur de la biosynthèse des androgènes ou un inhibiteur des récepteurs des androgènes est indiqué, le traitement par agonistes de la GnRH peut être poursuivi.
  • +Pour les patients non orchidectomisés souffrant dun cancer de la prostate métastasé résistant à la castration, recevant un agoniste de la GnRH (tel que la leuproréline) et pour lesquels un traitement par un inhibiteur de la biosynthèse des androgènes ou un inhibiteur des récepteurs des androgènes est indiqué, le traitement par agonistes de la GnRH peut être poursuivi.
  • -Les contenus des 2 seringues stériles pré-remplies doivent être mélangés immédiatement avant l'administration sous-cutanée d'Eligard.
  • -Une injection accidentelle par voie intra-artérielle ou intraveineuse doit absolument être évitée.
  • -Préparation de la solution/suspension pour emploi immédiat: voir «Remarques particulières», «Instructions pour la préparation de la suspension injectable».
  • +Les contenus des 2 seringues stériles pré-remplies doivent être mélangés immédiatement avant l'administration sous-cutanée d'Eligard. Une injection accidentelle par voie intra-artérielle ou intraveineuse doit absolument être évitée.
  • +Préparation de la solution /suspension pour emploi immédiat: voir «Remarques particulières», «Instructions pour la préparation de la suspension injectable».
  • -Il n'existe pas de données chez les enfants de moins de 18 ans.
  • +Il nexiste pas de données chez les enfants de moins de 18 ans.
  • -Aucun ajustement posologique n'est nécessaire en fonction de l'âge.
  • +Aucun ajustement posologique nest nécessaire en fonction de lâge.
  • -·Patients orchidectomisés (les agonistes de la GnRH n'induisent pas de baisse de la testostérone sérique lors de castration chirurgicale).
  • +·Patients orchidectomisés (les agonistes de la GnRH ninduisent pas de baisse de la testostérone sérique lors de castration chirurgicale)
  • -·Femmes et enfants.
  • -·Hypersensibilité à la gonadoréline (GnRH), aux agonistes de la GnRH, à l'acétate de leuproréline ou à l'un des excipients de la préparation.
  • +·Femmes et enfants
  • +·Hypersensibilité à la gonadoréline (GnRH), aux agonistes de la GnRH, à lacétate de leuproréline ou à lun des excipients de la préparation.
  • -Plusieurs études épidémiologiques de grande envergure menées chez des patients souffrant d'un cancer de la prostate ont mis en évidence un lien entre l'utilisation d'agonistes de la GnRH et un risque accru de développer un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral. Ce risque doit être évalué attentivement en conjonction aux éventuels autres facteurs de risque cardiovasculaires préexistants (hypertension artérielle, diabète, hypercholestérolémie) des patients atteints d'un cancer de la prostate lors du choix du traitement. Sous traitement par agonistes de la GnRH, il faut régulièrement contrôler la tension artérielle, la glycémie et les lipides sériques et rechercher des signes éventuels évoquant une maladie cardiovasculaire chez les patients. Les facteurs de risque déjà présents doivent être traités conformément aux recommandations en vigueur. La thérapie anti-androgénique peut allonger l'intervalle QT.
  • -Chez les patients qui présentent des antécédents d'allongement de l'intervalle QT ou ceux qui présentent des facteurs de risque d'allongement de l'intervalle QT, ainsi que chez les patients qui peuvent prendre de manière concomitante d'autres médicaments qui allongent l'intervalle QT (voir «Interactions»), le médecin traitant doit évaluer soigneusement avant le début du traitement par Eligard le rapport bénéfice/risque compte tenu de la survenue possible de torsades de pointes.
  • +Plusieurs études épidémiologiques de grande envergure menées chez des patients souffrant dun cancer de la prostate ont mis en évidence un lien entre lutilisation dagonistes de la GnRH et un risque accru de développer un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral. Ce risque doit être évalué attentivement en conjonction aux éventuels autres facteurs de risque cardiovasculaires préexistants (hypertension artérielle, diabète, hypercholestérolémie) des patients atteints dun cancer de la prostate lors du choix du traitement. Sous traitement par agonistes de la GnRH, il faut régulièrement contrôler la tension artérielle, la glycémie et les lipides sériques et rechercher des signes éventuels évoquant une maladie cardiovasculaire chez les patients. Les facteurs de risque déjà présents doivent être traités conformément aux recommandations en vigueur. La thérapie anti-androgénique peut allonger lintervalle QT.Chez les patients qui présentent des antécédents dallongement de lintervalle QT ou ceux qui présentent des facteurs de risque dallongement de lintervalle QT, ainsi que chez les patients qui peuvent prendre de manière concomitante dautres médicaments qui allongent lintervalle QT (voir « Interactions »), le médecin traitant doit évaluer soigneusement avant le début du traitement par Eligard le rapport bénéfice/risque compte tenu de la survenue possible de torsades de pointes.
  • -Dans le cadre de la surveillance post-marketing, de rares cas d'apoplexie hypophysaire (syndrome clinique secondaire à un infarctus de l'hypophyse) ont été rapportés à la suite de l'administration d'agonistes de la gonadoréline (GnRH). Un adénome hypophysaire a été diagnostiqué dans la plupart de ces cas. La majorité de ces cas se sont produits en l'espace de 2 semaines et certains même en l'espace d'une heure après l'administration de la première dose. Les symptômes possibles d'une apoplexie hypophysaire sont des céphalées soudaines, des vomissements, des anomalies de la vision, une ophtalmoplégie, un état mental altéré et, occasionnellement, un collapsus cardiovasculaire. Un traitement médical immédiat est nécessaire.
  • -Pour cette raison, en présence d'un adénome hypophysaire connu, il ne faut pas utiliser d'agonistes de la GnRH.
  • +Dans le cadre de la surveillance post-marketing, de rares cas dapoplexie hypophysaire (syndrome clinique secondaire à un infarctus de lhypophyse) ont été rapportés à la suite de ladministration dagonistes de la gonadoréline (GnRH). Un adénome hypophysaire a été diagnostiqué dans la plupart de ces cas. La majorité de ces cas se sont produits en lespace de 2 semaines et certains même en lespace dune heure après ladministration de la première dose. Les symptômes possibles dune apoplexie hypophysaire sont des céphalées soudaines, des vomissements, des anomalies de la vision, une ophtalmoplégie, un état mental altéré et, occasionnellement, un collapsus cardiovasculaire. Un traitement médical immédiat est nécessaire.
  • +Pour cette raison, en présence dun adénome hypophysaire connu, il ne faut pas utiliser dagonistes de la GnRH.
  • -Ces symptômes s'apaisent avec la continuation du traitement.
  • -L'administration supplémentaire d'anti-androgènes appropriés peut être envisagée 3 jours avant le début du traitement et poursuivie durant 2 à 3 semaines afin d'atténuer ainsi les effets possibles inhérents à l'élévation initiale du taux de testostérone et à la péjoration des symptômes cliniques.
  • -Une proportion de patients développent des tumeurs non hormono-dépendantes. L'absence d'amélioration clinique en dépit de suppression adéquate de testostérone indique que le patient ne peut pas tirer bénéfice d'une thérapie avec Eligard.
  • +Ces symptômes s'apaisent avec la continuation du traitement.L'administration supplémentaire d'anti-androgènes appropriés peut être envisagée 3 jours avant le début du traitement et poursuivie durant 2 à 3 semaines afin d'atténuer ainsi les effets possibles inhérents à l'élévation initiale du taux de testostérone et à la péjoration des symptômes cliniques.
  • +Une proportion de patients développent des tumeurs non hormono-dépendantes. Labsence damélioration clinique en dépit de suppression adéquate de testostérone indique que le patient ne peut pas tirer bénéfice dune thérapie avec Eligard.
  • -Densité osseuse/risque de fracture
  • -Une diminution de la densité minérale osseuse (DMO) a été rapportée dans la littérature médicale chez les hommes orchidectomisés ou qui ont été traités par un analogue de la GnRH. Le risque de réduction de la DMO est particulièrement accru en présence d'autres facteurs de risque d'ostéoporose, tels que l'âge avancé, le tabagisme et l'alcoolisme, une surcharge pondérale ou une activité physique insuffisante.
  • -La thérapie anti-androgénique augmente significativement le risque de fractures liées à l'ostéoporose. Seules des données limitées sont disponibles sur ce sujet. Les fractures d'origine ostéoporotique ont été observées chez 5% des patients après 22 mois de privation pharmacologique androgénique et chez 4% des patients après 5 à 10 ans de traitement.
  • +Densité osseuse /risque de fracture
  • +Une diminution de la densité minérale osseuse (DMO) a été rapportée dans la littérature médicale chez les hommes orchidectomisés ou qui ont été traités par un analogue de la GnRH. Le risque de réduction de la DMO est particulièrement accru en présence dautres facteurs de risque dostéoporose, tels que lâge avancé, le tabagisme et lalcoolisme, une surcharge pondérale ou une activité physique insuffisante.
  • +La thérapie anti-androgénique augmente significativement le risque de fractures liées à l'ostéoporose. Seules des données limitées sont disponibles sur ce sujet. Les fractures dorigine ostéoporotique ont été observées chez 5% des patients après 22 mois de privation pharmacologique androgénique et chez 4% des patients après 5 à 10 ans de traitement.
  • -Des cas d'hyperglycémie et une augmentation du risque de développer un diabète sucré ont été rapportés chez des hommes traités par des agonistes de la GnRH. Une hyperglycémie peut être le signe initial du développement d'un diabète sucré ou le signe d'une aggravation du contrôle glycémique chez des patients déjà diabétiques. Chez les patients traités par un agoniste de la GnRH, il faut surveiller régulièrement la glycémie et/ou l'hémoglobine glyquée (HbA1c) et, le cas échéant, prendre en charge ces patients selon les pratiques cliniques courantes.
  • +Des cas dhyperglycémie et une augmentation du risque de développer un diabète sucré ont été rapportés chez des hommes traités par des agonistes de la GnRH. Une hyperglycémie peut être le signe initial du développement dun diabète sucré ou le signe dune aggravation du contrôle glycémique chez des patients déjà diabétiques. Chez les patients traités par un agoniste de la GnRH, il faut surveiller régulièrement la glycémie et/ou lhémoglobine glyquée (HbA1c) et, le cas échéant, prendre en charge ces patients selon les pratiques cliniques courantes.
  • -Autres précautions
  • -Des cas d'obstruction urétrale et de compression de la moelle épinière, qui peuvent entraîner une paralysie avec ou sans complication fatale, ont été rapportés avec des agonistes de la GnRH. S'il survenait une compression de la moelle épinière ou des troubles de la fonction rénale, un traitement standard de ces complications devrait être instauré.
  • -Les patients atteints de métastases vertébrales et/ou cérébrales ou ceux souffrant d'obstruction du tractus urinaire doivent être suivis attentivement, si possible en milieu hospitalier, durant les toutes premières semaines du traitement.
  • +Autres précautionsDes cas dobstruction urétrale et de compression de la moelle épinière, qui peuvent entraîner une paralysie avec ou sans complication fatale, ont été rapportés avec des agonistes de la GnRH. Sil survenait une compression de la moelle épinière ou des troubles de la fonction rénale, un traitement standard de ces complications devrait être instauré.
  • +Les patients atteints de métastases vertébrales et/ou cérébrales ou ceux souffrant dobstruction du tractus urinaire doivent être suivis attentivement, si possible en milieu hospitalier, durant les toutes premières semaines du traitement.
  • -En cas de préparation incorrecte du produit (reconstitution), l'efficacité clinique peut être réduite. La préparation est décrite dans le paragraphe «Remarques particulières».
  • -Forcer l'embase de l'aiguille de sécurité lors de la reconstitution peut entraîner la rupture de l'embase, et par conséquent une fuite du médicament pendant l'injection ainsi qu'un risque potentiel de manque d'efficacité en raison d'un sous-dosage. En cas de suspicion de mauvaise manipulation d'Eligard, le taux de testostérone doit être contrôlé. Ce contrôle doit être adapté individuellement à chaque patient (voir chapitre «Évolution de la concentration de testostérone et complications en début de traitement»).
  • +En cas de préparation incorrecte du produit (reconstitution), lefficacité clinique peut être réduite. La préparation est décrite dans le paragraphe « Remarques particulières ».
  • +Forcer lembase de laiguille de sécurité lors de la reconstitution peut entraîner la rupture de lembase, et par conséquent une fuite du médicament pendant linjection ainsi quun risque potentiel de manque defficacité en raison dun sous-dosage. En cas de suspicion de mauvaise manipulation dEligard, le taux de testostérone doit être contrôlé. Ce contrôle doit être adapté individuellement à chaque patient (voir chapitre « Évolution de la concentration de testostérone et complications en début de traitement »).
  • -Aucune étude d'interaction pharmacocinétique médicamenteuse n'a été effectuée avec Eligard. Aucun rapport d'interaction entre l'acétate de leuproréline et d'autres médicaments n'est disponible jusqu'ici.
  • -Vu que la thérapie anti-androgénique peut entraîner un allongement de l'intervalle QT, y compris la survenue de torsades de pointes, il convient d'évaluer soigneusement l'utilisation concomitante d'Eligard avec d'autres médicaments qui peuvent entraîner un allongement de l'intervalle QT ou des torsades de pointes, comme les antiarythmiques de la classe IA (p.ex. quinidine, disopyramide) ou de la classe III (p.ex. amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide), la méthadone, la moxifoxacine, les antipsychotiques, etc. (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Aucune étude d'interaction pharmacocinétique médicamenteuse n'a été effectuée avec Eligard. Aucun rapport d'interaction entre l'acétate de leuproréline et d'autres médicaments n'est disponible jusquici.
  • +Vu que la thérapie anti-androgénique peut entraîner un allongement de lintervalle QT, y compris la survenue de torsades de pointes, il convient dévaluer soigneusement lutilisation concomitante dEligard avec dautres médicaments qui peuvent entraîner un allongement de lintervalle QT ou des torsades de pointes, comme les antiarythmiques de la classe IA (p. ex. quinidine, disopyramide) ou de la classe III (p. ex. amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide), la méthadone, la moxifoxacine, les antipsychotiques, etc. Voir « Mises en garde et précautions »).
  • -Aucune étude spécifique sur l'aptitude à la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines suite à l'administration d'Eligard n'a été effectuée.
  • -Cependant l'aptitude à la conduite et à l'utilisation de machines peut être altérée par de la fatigue, de vertiges et des troubles visuels, effets observés durant le traitement ou résultant de la maladie sous-jacente.
  • +Aucune étude spécifique sur l'aptitude à la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines suite à l'administration d'Eligard n'a été effectuée.Cependant laptitude à la conduite et à lutilisation de machines peut être altérée par de la fatigue, de vertiges et des troubles visuels, effets observés durant le traitement ou résultant de la maladie sous-jacente.
  • -La fréquence des effets indésirables est citée selon la classification suivante: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100<1/10), occasionnels (≥1/1'000<1/100), rares (≥1/10'000<1/1'000) ou très rares (<1/10'000) ou «fréquence inconnue» (essentiellement basée sur des signalements spontanés après la commercialisation; la fréquence exacte ne peut donc pas être évaluée).
  • -Les effets indésirables suivants ont été observés lors des études cliniques:
  • +La fréquence des effets indésirables est citée selon la classification suivante: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 <1/10), occasionnels (≥1/1'000 <1/100), rares (≥1/10'000 <1/1'000) ou très rares (<1/10'000) ou «fréquence inconnue» (essentiellement basée sur des signalements spontanés après la commercialisation; la fréquence exacte ne peut donc pas être évaluée).
  • +Les effets indésirables suivants ont été observés lors des études cliniques :
  • -Fréquents: modifications hématologiques, allongement du temps de coagulation, anémie.
  • +Fréquents: modifications hématologiques, allongement du temps de coagulation, anémie
  • -Fréquence inconnue: apoplexie pituitaire (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquence inconnue: apoplexie pituitaire (voir Mises en garde / Précautions).
  • -Occasionnel: prise de poids, aggravation d'un diabète sucré, élévation des triglycérides sériques.
  • +Occasionnel: prise de poids, aggravation dun diabète sucré, élévation des triglycérides sériques.
  • -Occasionnels: vertiges, maux de tête, insomnies, troubles du goût et de l'odorat.
  • +Occasionnels: vertiges, maux de tête, insomnies, troubles du goût et de lodorat.
  • -Très fréquent: bouffées de chaleur.
  • -Occasionnels: hypotension, hypertension.
  • -Rares: palpitations, syncope et collapsus, embolie pulmonaire.
  • -Fréquence inconnue: allongement de l'intervalle QT.
  • +Très fréquent: bouffées de chaleur.Occasionnels: hypotension, hypertension.
  • +Rares: palpitations, syncope et collapsus, embolie pulmonaire.Fréquence inconnue: allongement de lintervalle QT.
  • -Occasionnels: augmentation de l'alanine aminotransférase
  • +Occasionnels: augmentation de lalanine aminotransférase
  • -Fréquents: augmentation de la créatinine phosphokinase sanguine, raideur musculaire, arthralgies, douleur dans les extrémités, myalgies.
  • -Rares: douleurs dorsales, crampes musculaires.
  • +Fréquents: augmentation de la créatinine phosphokinase sanguine, raideur musculaire, arthralgies, douleur dans les extrémités, myalgies.Rares: douleurs dorsales, crampes musculaires.
  • -Fréquents: difficultés de miction, mictions rares, dysurie, nycturie, oligurie.
  • +Fréquents: difficultés de miction, mictions rares, dysurie, nycturie, oligurie,
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Très fréquents: fatigue; au site de l'injection: brûlure et paresthésies.
  • -Fréquents: malaise, sueurs nocturnes, faiblesse; au site de l'injection: picotements, douleurs et hématome.
  • -Occasionnels: léthargie, augmentation de la transpiration, douleur, fièvre; au site de l'injection: prurit, induration.
  • -Rares: œdèmes périphériques; au site de l'injection: ulcération.
  • -Très rares: au site de l'injection: nécrose.
  • -D'autres effets indésirables ont été rapportés lors d'un traitement par acétate de leuproréline, comprenant entre autres: leucopénie, thrombopénie, modifications de la tolérance au glucose, faiblesse musculaire, frissons et sensibilité cutanée, fonte musculaire (en cas de traitement prolongé) et convulsions. Dans de rares cas, des réactions anaphylactiques/anaphylactoïde ont été rapportées à la suite de l'administration d'agonistes de la GnRH.
  • -L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • +Très fréquents: fatigue ; au site de linjection : brûlure et paresthésies.
  • +Fréquents: malaise, sueurs nocturnes, faiblesse; au site de linjection: picotements, douleurs et hématome.
  • +Occasionnels: léthargie, augmentation de la transpiration, douleur, fièvre; au site de linjection: prurit, induration.
  • +Rares: œdèmes périphériques; au site de linjection: ulcération.
  • +Très rares: au site de linjection: nécrose.
  • +D'autres effets indésirables ont été rapportés lors dun traitement par acétate de leuproréline, comprenant entre autres: leucopénie, thrombopénie, modifications de la tolérance au glucose, faiblesse musculaire, frissons et sensibilité cutanée, fonte musculaire (en cas de traitement prolongé) et convulsions. Dans de rares cas, des réactions anaphylactiques/anaphylactoïde ont été rapportées à la suite de ladministration dagonistes de la GnRH.
  • +Lannonce deffets secondaires présumés après lautorisation est dune grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion deffet secondaire nouveau ou grave via le portail dannonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Eligard n'a pas de potentiel d'abus de consommation et un surdosage délibéré est improbable. Aucun rapport d'abus ou de surdosage n'a été observé en pratique clinique avec l'acétate de leuproréline, cependant dans l'éventualité d'une exposition excessive, les patients seront surveillés attentivement et un traitement symptomatique sera instauré.
  • +Eligard na pas de potentiel dabus de consommation et un surdosage délibéré est improbable. Aucun rapport dabus ou de surdosage na été observé en pratique clinique avec lacétate de leuproréline, cependant dans léventualité dune exposition excessive, les patients seront surveillés attentivement et un traitement symptomatique sera instauré.
  • -Code ATC: L02AE02
  • -Groupe pharmacothérapeutique: traitement endocrinien, analogue GnRH
  • +Code ATC: L02A E02Groupe pharmacothérapeutique: traitement endocrinien, analogue GnRH
  • -L'acétate de leuproréline est un nonapeptide synthétique analogue de l'hormone physiologique GnRH (gonadotropine releasing hormone ou gonadoréline) qui, administrée en continu, inhibe la sécrétion de gonadotropine pituitaire et supprime la stéroïdogénèse testiculaire chez les hommes. Cet effet est réversible lors de l'arrêt du traitement. Cependant, cet analogue est plus puissant que l'hormone naturelle et le temps de rétablissement des taux de testostérone peut varier d'un patient à l'autre.
  • -L'administration d'acétate de leuproréline entraîne initialement une augmentation des taux circulants d'hormone lutéinisante (LH) et de l'hormone stimulant les follicules (FSH), conduisant chez les individus de sexe masculin à une augmentation passagère des taux sériques des hormones stéroïdes gonadiques, de la testostérone et de la dihydrotestostérone. L'administration en continu d'acétate de leuproréline provoque une diminution des taux de LH et FSH. Chez l'homme, le taux de testostérone est réduit à des valeurs inférieures à celles observées lors de castration (≤50 ng/dl). Avec l'administration d'Eligard 7,5 mg/22,5 mg/45 mg, cette diminution commence dans les 3 à 5 semaines suivant le début du traitement. Les taux moyens de testostérone à 6 mois sont respectivement de 6,1 (± 0,4) ng/dl, de 10,1 (± 0,7) ng/dl et de 10,4 (± 0,53) ng/dl, ainsi comparables aux taux suivant une orchidectomie bilatérale.
  • -A l'exception d'un seul cas, des taux correspondant à un niveau de castration ont été atteints en 4 à 6 semaines chez tous les patients qui ont reçu la dose totale de 45 mg de leuproréline. Chez la grande majorité des patients, les taux de testostérone étaient en dessous de 20 ng/dl, bien que le bénéfice de ces bas niveaux n'ait pas encore été établi jusqu'ici.
  • -Les études à long terme ont démontré qu'un traitement prolongé maintient la testostérone en dessous du taux sérique de castration pendant jusqu'à 7 ans (et ceci probablement indéfiniment).
  • -La taille de la tumeur n'a pas été mesurée directement durant les études cliniques, mais il y a eu une réponse positive indirecte de la tumeur au traitement par Eligard comme démontré par une réduction de 94%, de 98% et respectivement de 97% du taux moyen de PSA sur six mois.
  • +L'acétate de leuproréline est un nonapeptide synthétique analogue de l'hormone physiologique GnRH (gonadotropine releasing hormone ou gonadoréline) qui, administrée en continu, inhibe la sécrétion de gonadotropine pituitaire et supprime la stéroïdogénèse testiculaire chez les hommes. Cet effet est réversible lors de l'arrêt du traitement. Cependant, cet analogue est plus puissant que l'hormone naturelle et le temps de rétablissement des taux de testostérone peut varier dun patient à lautre.
  • +L'administration d'acétate de leuproréline entraîne initialement une augmentation des taux circulants d'hormone lutéinisante (LH) et de l'hormone stimulant les follicules (FSH), conduisant chez les individus de sexe masculin à une augmentation passagère des taux sériques des hormones stéroïdes gonadiques, de la testostérone et de la dihydrotestostérone. L'administration en continu d'acétate de leuproréline provoque une diminution des taux de LH et FSH. Chez l'homme, le taux de testostérone est réduit à des valeurs inférieures à celles observées lors de castration (≤50 ng/dl). Avec ladministration dEligard 7,5 mg / 22,5 mg / 45 mg, cette diminution commence dans les 3 à 5 semaines suivant le début du traitement. Les taux moyens de testostérone à 6 mois sont respectivement de 6,1 (± 0,4) ng/dl, de 10,1 (± 0,7) ng/dl et de 10,4 (± 0,53) ng/dl, ainsi comparables aux taux suivant une orchidectomie bilatérale.
  • +A lexception dun seul cas, des taux correspondant à un niveau de castration ont été atteints en 4 à 6 semaines chez tous les patients qui ont reçu la dose totale de 45 mg de leuproréline. Chez la grande majorité des patients, les taux de testostérone étaient en dessous de 20 ng/dl, bien que le bénéfice de ces bas niveaux nait pas encore été établi jusquici.
  • +Les études à long terme ont démontré qu'un traitement prolongé maintient la testostérone en dessous du taux sérique de castration pendant jusquà 7 ans (et ceci probablement indéfiniment).
  • +La taille de la tumeur na pas été mesurée directement durant les études cliniques, mais il y a eu une réponse positive indirecte de la tumeur au traitement par Eligard comme démontré par une réduction de 94%, de 98% et respectivement de 97% du taux moyen de PSA sur six mois.
  • -Chez les patients avec un carcinome avancé de la prostate, les concentrations sériques moyennes de leuproréline mesurées respectivement 5, 4,6 et 4,4 heures après la première injection s'élevaient à 25,3 ng/ml, 127 ng/ml et 82 ng/ml (Cmax). Après l'augmentation initiale qui suit chaque injection (plateau respectivement de 2 à 28 jours, de 3 à 84 jours et de 3 à 168 jours après chaque injection), les concentrations sériques restent relativement constantes (0,22 ng/ml). Il n'y a pas d'évidence d'accumulation lors de répétition de doses.
  • +Chez les patients avec un carcinome avancé de la prostate, les concentrations sériques moyennes de leuproréline mesurées respectivement 5, 4,6 et 4,4 heures après la première injection sélevaient à 25,3 ng/ml, 127 ng/ml et 82 ng/ml (Cmax). Après laugmentation initiale qui suit chaque injection (plateau respectivement de 2 à 28 jours, de 3 à 84 jours et de 3 à 168 jours après chaque injection), les concentrations sériques restent relativement constantes (0,22 ng/ml). Il ny a pas dévidence daccumulation lors de répétition de doses.
  • -La métabolisation d'Eligard n'a pas été étudiée.
  • +La métabolisation dEligard na pas été étudiée.
  • -Aucune étude relative à l'élimination du principe actif n'a été menée avec Eligard. Après l'injection intraveineuse d'un bolus d'1 mg d'acétate de leuproréline à des volontaires sains de sexe masculin, une clairance systémique moyenne de 8,34 l/h, avec une demi-vie d'élimination d'environ 3 heures a été mise en évidence sur la base d'un modèle à 2 compartiments.
  • -Il n'y a eu aucune étude d'excrétion conduite avec Eligard.
  • +Aucune étude relative à lélimination du principe actif na été menée avec Eligard. Après linjection intraveineuse dun bolus d1 mg dacétate de leuproréline à des volontaires sains de sexe masculin, une clairance systémique moyenne de 8,34 l/h, avec une demi-vie délimination denviron 3 heures a été mise en évidence sur la base dun modèle à 2 compartiments.
  • +Il ny a eu aucune étude dexcrétion conduite avec Eligard.
  • -Les études précliniques conduites avec l'acétate de leuproréline ont révélé, chez les deux sexes, les effets attendus sur le système reproducteur découlant des propriétés pharmacologiques.
  • -Ces effets étaient réversibles après l'arrêt du traitement et une période de régénération appropriée.
  • -L'acétate de leuproréline ne présente aucune tératogénicité. Une embryotoxicité/létalité a été observée chez les lapins en raison des effets pharmacologiques de l'acétate de leuproréline sur l'appareil reproducteur.
  • -Les études de carcinogénicité ont été réalisées chez les rats et les souris durant 24 mois. Chez le rat, après administration cutanée, des adénomes pituitaires dose-dépendants ont été observés à des doses de 0,6 à 4 mg/kg/jour. De tels effets n'ayant pas été observés chez la souris, l'effet observé chez le rat est considéré comme spécifique à l'espèce sans signification pour l'homme.
  • -L'acétate de leuproréline ne s'est pas montré mutagène dans une série de tests in vitro et in vivo.
  • +Les études précliniques conduites avec lacétate de leuproréline ont révélé, chez les deux sexes, les effets attendus sur le système reproducteur découlant des propriétés pharmacologiques.
  • +Ces effets étaient réversibles après larrêt du traitement et une période de régénération appropriée.
  • +Lacétate de leuproréline ne présente aucune tératogénicité. Une embryotoxicité/létalité a été observée chez les lapins en raison des effets pharmacologiques de lacétate de leuproréline sur lappareil reproducteur.
  • +Les études de carcinogénicité ont été réalisées chez les rats et les souris durant 24 mois. Chez le rat, après administration cutanée, des adénomes pituitaires dose-dépendants ont été observés à des doses de 0,6 à 4 mg/kg/jour. De tels effets n'ayant pas été observés chez la souris, leffet observé chez le rat est considéré comme spécifique à lespèce sans signification pour lhomme.
  • +Lacétate de leuproréline ne sest pas montré mutagène dans une série de tests in vitro et in vivo.
  • -La leuproréline présente dans la seringue B doit seulement être mélangée avec le solvant de la seringue A. Elle ne doit pas être mélangée à d'autres produits.
  • +La leuproréline présente dans la seringue B doit seulement être mélangée avec le solvant de la seringue A. Elle ne doit pas être mélangée à dautres produits.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Après l'ouverture d'un des plateaux (emballage avec plateaux), la poudre et le solvant pour la solution/suspension injectable doivent être reconstitués sans délai et administrés immédiatement au patient.
  • -Une fois reconstitué, la stabilité chimique et physique a été démontrée durant 30 minutes à 25 °C. La viscosité de la solution augmente avec le temps.
  • -Conserver Eligard dans l'emballage original, au réfrigérateur (2-8 °C) et hors de portée des enfants. Une fois sorti du réfrigérateur, le produit peut être conservé dans son emballage original exceptionnellement jusqu'à 4 semaines à température ambiante (à 25 °C au maximum).
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur lemballage.
  • +Après l'ouverture dun des plateaux (emballage avec plateaux), la poudre et le solvant pour la solution/suspension injectable doivent être reconstitués sans délai et administrés immédiatement au patient.
  • +Une fois reconstitué, la stabilité chimique et physique a été démontrée durant 30 minutes à 25°C. La viscosité de la solution augmente avec le temps.
  • +Conserver Eligard dans l'emballage original, au réfrigérateur (2-8 °C) et hors de portée des enfants. Une fois sorti du réfrigérateur, le produit peut être conservé dans son emballage original exceptionnellement jusquà 4 semaines à température ambiante (à 25 ° C au maximum).
  • -Les 2 seringues pré-remplies doivent être mélangées immédiatement avant l'administration sous-cutanée au patient. Avant d'être injecté, le produit doit avoir atteint la température ambiante et il doit donc être retiré du réfrigérateur environ 30 minutes avant son utilisation.
  • +Les 2 seringues pré-remplies doivent être mélangées immédiatement avant l'administration sous-cutanée au patient. Avant dêtre injecté, le produit doit avoir atteint la température ambiante et il doit donc être retiré du réfrigérateur environ 30 minutes avant son utilisation.
  • -1ère étape: Le produit doit être à la température de la pièce avant la préparation.
  • -Ouvrir les 2 plateaux (enlever la feuille en tirant à partir d'un coin qui peut être reconnu par une petite bulle) et en placer le contenu sur un espace propre.
  • +1ère étape: Le produit doit être à la température de la pièce avant la préparation.Ouvrir les 2 plateaux (enlever la feuille en tirant à partir dun coin qui peut être reconnu par une petite bulle) et en placer le contenu sur un espace propre.
  • +(image)
  • +
  • -6ème étape: Relier les deux seringues l'une à l'autre en poussant et tournant la seringue B dans la seringue A jusqu'à la sécurité (figures 6a et 6b). Ne pas forcer.
  • +6ème étape: Relier les deux seringues lune à lautre en poussant et tournant la seringue B dans la seringue A jusquà la sécurité (figures 6a et 6b). Ne pas forcer.
  • -7ème étape: Retourner l'assemblage, maintenir les seringues en position verticale avec la seringue B en bas et injecter le liquide contenu dans la seringue A dans la seringue B contenant la poudre (acétate de leuproréline) (figure 7).
  • +7ème étape: Retourner lassemblage, maintenir les seringues en position verticale avec la seringue B en bas et injecter le liquide contenu dans la seringue A dans la seringue B contenant la poudre (acétate de leuproréline) (figure 7).
  • -8ème étape: En position horizontale, mélanger le produit soigneusement en poussant doucement le contenu des deux seringues en avant et en arrière (60 fois au total, ce qui prend environ 60 secondes) pour obtenir une solution homogène et visqueuse (figure 8). Ne pas plier l'assemblage des seringues (cela pourrait entraîner une fuite suite à un dévissage partiel des seringues).
  • +8ème étape : En position horizontale, mélanger le produit soigneusement en poussant doucement le contenu des deux seringues en avant et en arrière (60 fois au total, ce qui prend environ 60 secondes) pour obtenir une solution homogène et visqueuse (figure 8). Ne pas plier lassemblage des seringues (cela pourrait entraîner une fuite suite à un dévissage partiel des seringues).
  • -Lorsqu'elle est bien mélangée, la solution visqueuse devient incolore à blanche ou jaune pâle.
  • -Important: Après le mélange, passer immédiatement à l'étape suivant car la viscosité du produit augmente progressivement. Ne pas mettre le produit mélangé au réfrigérateur.
  • -Remarque: Le produit doit être mélangé selon la description faite: le fait d'agiter ne permet pas d'obtenir un mélange utilisable.
  • -9ème étape: Tenir les seringues en position verticale, la seringue B étant en bas. Les seringues doivent rester bien assemblées. Transférer tout le produit mélangé dans la seringue B (la seringue large et courte) en poussant le piston de la seringue A et en tirant doucement le piston de la seringue B en même temps (figure 9).
  • +Lorsquelle est bien mélangée, la solution visqueuse devient incolore à blanche ou jaune pâle.
  • +Important : Après le mélange, passer immédiatement à létape suivant car la viscosité du produit augmente progressivement. Ne pas mettre le produit mélangé au réfrigérateur.
  • +Remarque : Le produit doit être mélangé selon la description faite : le fait d'agiter ne permet pas d'obtenir un mélange utilisable.
  • +9ème étape : Tenir les seringues en position verticale, la seringue B étant en bas. Les seringues doivent rester bien assemblées. Transférer tout le produit mélangé dans la seringue B (la seringue large et courte) en poussant le piston de la seringue A et en tirant doucement le piston de la seringue B en même temps (figure 9).
  • -10ème étape: Dévisser la seringue A tout en maintenant le piston de la seringue A complètement enfoncé (figure 10). S'assurer que le produit ne fuit pas car sinon l'aiguille ne sera pas correctement sécurisé.
  • -Remarque: Il peut rester une grande bulle ou quelques petites bulles d'air dans la préparation – ce qui est acceptable. Ne pas éliminer les bulles d'air de la seringue B à ce stade, cela pourrait entraîner une perte de produit!
  • +10ème étape : Dévisser la seringue A tout en maintenant le piston de la seringue A complètement enfoncé (figure 10). Sassurer que le produit ne fuit pas car sinon laiguille ne sera pas correctement sécurisé.
  • +Remarque : Il peut rester une grande bulle ou quelques petites bulles dair dans la préparation – ce qui est acceptable. Ne pas éliminer les bulles dair de la seringue B à ce stade, cela pourrait entraîner une perte de produit !
  • -11ème étape: Maintenir la seringue B en position verticale et laisser le piston de couleur blanche dans le fond afin d'éviter toute perte de produit. Ouvrir l'emballage de l'aiguille de sécurité en détachant la languette de papier et retirer l'aiguille de sécurité. Ne pas retirer le dispositif de sécurité articulé. Fixer l'aiguille de sécurité à la seringue B en tenant la seringue droite et en faisant tourner minutieusement la seringue dans le sens des aiguilles d'une montre avec une rotation d'environ trois quarts jusqu'à ce qu'elle soit parfaitement en place (figure 11).
  • -Ne pas forcer car cela peut entraîner la rupture de l'embase de l'aiguille et provoquer ainsi une fuite pendant l'injection.
  • -Si l'embase de l'aiguille se rompt, est endommagée ou fuit, le produit ne peut pas être utilisé. L'aiguille défectueuse ne doit pas être remplacée et le produit utilisé ne doit pas être injecté. Le produit doit être complètement éliminé de façon sûre. Si l'embase de l'aiguille est endommagée, il convient d'utiliser un nouveau produit.
  • +11ème étape : Maintenir la seringue B en position verticale et laisser le piston de couleur blanche dans le fond afin déviter toute perte de produit. Ouvrir lemballage de laiguille de sécurité en détachant la languette de papier et retirer laiguille de sécurité. Ne pas retirer le dispositif de sécurité articulé. Fixer laiguille de sécurité à la seringue B en tenant la seringue droite et en faisant tourner minutieusement la seringue dans le sens des aiguilles dune montre avec une rotation denviron trois quarts jusquà ce quelle soit parfaitement en place (figure 11).
  • +Ne pas forcer car cela peut entraîner la rupture de lembase de laiguille et provoquer ainsi une fuite pendant linjection.
  • +Si lembase de laiguille se rompt, est endommagée ou fuit, le produit ne peut pas être utilisé. Laiguille défectueuse ne doit pas être remplacée et le produit utilisé ne doit pas être injecté. Le produit doit être complètement éliminé de façon sûre. Si lembase de laiguille est endommagée, il convient dutiliser un nouveau produit.
  • -12ème étape: Ecarter le dispositif de sécurité de l'aiguille et retirer le capuchon protecteur de l'aiguille avant l'administration du produit (figure 12).
  • -Important: Ne pas activer le mécanisme de l'aiguille de sécurité avant l'administration (activer le mécanisme de l'aiguille de sécurité voir 14ème étape).
  • +12ème étape : Ecarter le dispositif de sécurité de laiguille et retirer le capuchon protecteur de laiguille avant ladministration du produit (figure 12).
  • +Important : Ne pas activer le mécanisme de laiguille de sécurité avant ladministration (activer le mécanisme de laiguille de sécurité voir 14ème étape).
  • -13ème étape: Avant l'administration, éliminer les grandes bulles d'air de la seringue B. Administrer le produit pas voie sous-cutanée tout en maintenant le dispositif de sécurité écarté de l'aiguille. Veiller à injecter tout le produit contenu dans la seringue B.
  • -14ème étape: Après l'injection, verrouiller le dispositif de sécurité à l'aide d'une des méthodes listées ci-dessous:
  • +13ème étape : Avant ladministration, éliminer les grandes bulles dair de la seringue B. Administrer le produit pas voie sous-cutanée tout en maintenant le dispositif de sécurité écarté de laiguille. Veiller à injecter tout le produit contenu dans la seringue B.
  • +14ème étape : Après linjection, verrouiller le dispositif de sécurité à laide dune des méthodes listées ci-dessous :
  • -Appuyer sur le dispositif de sécurité, levier en bas, sur une surface plane (figures 14.1a et b) pour recouvrir l'aiguille et verrouiller le dispositif de sécurité.
  • -Un «Clic» confirme, de façon sonore et tactile, que le dispositif est verrouillé. En position verrouillée, la pointe de l'aiguille est complètement recouverte (figure 14.1b).
  • +Appuyer sur le dispositif de sécurité, levier en bas, sur une surface plane (figures 14.1a et b) pour recouvrir laiguille et verrouiller le dispositif de sécurité.
  • +Un « Clic » confirme, de façon sonore et tactile, que le dispositif est verrouillé. En position verrouillée, la pointe de laiguille est complètement recouverte (figure 14.1b).
  • -Placer votre pouce sur le dispositif de sécurité (figure 14.2a), recouvrir la pointe de l'aiguille et verrouiller le dispositif de sécurité.
  • -Un «Clic» confirme, de façon sonore et tactile, que le dispositif est verrouillé. En position verrouillée, la pointe de l'aiguille est complètement recouverte (figure 14.2b).
  • +Placer votre pouce sur le dispositif de sécurité (figure 14.2a), recouvrir la pointe de laiguille et verrouiller le dispositif de sécurité.
  • +Un « Clic » confirme, de façon sonore et tactile, que le dispositif est verrouillé. En position verrouillée, la pointe de laiguille est complètement recouverte (figure 14.2b).
  • -15ème étape: Une fois que le dispositif de sécurité est verrouillé, jeter l'aiguille et la seringue immédiatement dans une poubelle appropriée.
  • +15ème étape : Une fois que le dispositif de sécurité est verrouillé, jeter laiguille et la seringue immédiatement dans une poubelle appropriée.
  • -56852, 56892, 58431 (Swissmedic).
  • +56'852, 56892, 58'431 (Swissmedic)
  • -Eligard 7,5 mg et 22,5 mg sont délivrés dans les conditionnements suivants (A):
  • -·Un kit constitué de 2 plateaux thermoformés dans un étui en carton. Un plateau contient la seringue A pré-remplie, un grand piston et un sachet dessiccatif. L'autre plateau contient la seringue B pré-remplie, une aiguille stérile (20 gauge) et un sachet dessiccatif à base de silicone.
  • -Eligard 45 mg (A)
  • -·Un kit constitué de 2 plateaux thermoformés dans un étui en carton. Un plateau contient la seringue A pré-remplie, un grand piston et un sachet dessiccatif. L'autre plateau contient la seringue B pré-remplie, une aiguille stérile (18 gauge) et un sachet dessiccatif.
  • +Eligard 7,5 mg et 22,5 mg sont délivrés dans les conditionnements suivants:
  • +- Un kit constitué de 2 plateaux thermoformés dans un étui en carton. Un plateau contient la seringue A pré-remplie, un grand piston et un sachet dessiccatif. Lautre plateau contient la seringue B pré-remplie, une aiguille stérile (20 gauge) et un sachet dessiccatif à base de silicone.
  • +Eligard 45 mg
  • +- Un kit constitué de 2 plateaux thermoformés dans un étui en carton. Un plateau contient la seringue A pré-remplie, un grand piston et un sachet dessiccatif. Lautre plateau contient la seringue B pré-remplie, une aiguille stérile (18 gauge) et un sachet dessiccatif.
  • -·Un emballage hospitalier à 3 (7.5 mg), resp. 2 (22.5 et 45 mg) kits comprenant par kit 1× 2 seringues pré-remplies [1× seringue A; 1× seringue B], une aiguille stérile (20, 20 resp. 18 gauge) et un sachet dessiccatif à base de silicone.
  • +- Un emballage hospitalier à 3 (7.5 mg), resp. 2 (22.5 et 45 mg) kits comprenant par kit 1 × 2 seringues pré-remplies [1 × seringue A; 1 × seringue B], une aiguille stérile (20, 20 resp. 18 gauge) et un sachet dessiccatif à base de silicone.
  • -Astellas Pharma AG, 8304 Wallisellen.
  • +Recordati AG, 6340 Baar
  • -Mars 2019.
  • +Mars 2019
2025 ©ywesee GmbH
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