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Accueil - Information professionnelle sur Emtriva - Changements - 08.04.2020
84 Changements de l'information professionelle Emtriva
  • -Principe actif: Emtricitabine.
  • -Gélules:
  • -Excipients: Color.: Indigotinum (E132), Excip. pro caps.
  • -Solution buvable:
  • -Excipients: Conserv.: Propylis parahydroxybenzoas (E216), Methylis parahydroxybenzoas (E218); Color.: jaune orangé S (E110); Aromatica; Vanillinum; Excip. ad solutionem.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Gélules à 200 mg d'emtricitabine.
  • -Solution buvable: 1 ml contient 10 mg d'emtricitabine.
  • +Principes actifs
  • +Emtricitabin.
  • +Excipients
  • +Color.: Indigotinum (E132), Excip. pro caps.
  • -Emtriva est indiqué en association avec d'autres antirétroviraux pour le traitement des adultes et des enfants infectés par le VIH-1.
  • +Emtriva est indiqué en association avec d'autres antirétroviraux pour le traitement des adultes, des adolescents et des enfants avec un poids corporel ≥33 kg infectés par le VIH-1.
  • -Emtriva gélules et Emtriva solution buvable peuvent être pris au cours ou en dehors des repas. Une mesurette est fournie avec Emtriva solution buvable (voir «Remarques particulières»).
  • -Adultes
  • -La dose recommandée est d'une gélule d'Emtriva à 200 mg ou 240 mg (24 ml) d'Emtriva solution buvable par voie orale, une fois par jour.
  • -Enfants et adolescents jusqu'à 18 ans
  • -La dose recommandée d'Emtriva chez l'enfant et l'adolescent pesant au minimum 33 kg et qui sont capables d'avaler des gélules, est d'une gélule à 200 mg par voie orale, une fois par jour.
  • -La dose recommandée d'Emtriva solution buvable à 10 mg/ml est de 6 mg/kg jusqu'à un maximum de 240 mg (24 ml) une fois par jour.
  • -Il n'existe aucune donnée relative à l'efficacité et très peu de données relatives à la tolérance de l'emtricitabine chez le nourrisson de moins de 4 mois. C'est pourquoi il n'est pas recommandé d'utiliser Emtriva chez le nourrisson de moins de 4 mois. (Pour les données pharmacocinétiques dans ce groupe d'âge, voir «Pharmacocinétique»).
  • -Emtriva gélules est disponibles pour les adultes, les adolescents et les enfants pesant au minimum 33 kg et capables d'avaler des gélules. Emtriva est disponible sous forme de solution buvable à 10 mg/ml pour les enfants et pour les patients ne pouvant pas avaler de gélules ainsi que pour les patients présentant une insuffisance rénale. En raison d'une différence de biodisponibilité de l'emtricitabine entre les présentations gélule et solution buvable, une concentration plasmatique similaire à celle observée après administration d'une gélule à 200 mg d'emtricitabine peut être atteinte avec 240 mg d'emtricitabine administrés sous forme de solution buvable (24 ml) (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Patients âgés
  • -Aucune donnée de tolérance et d'efficacité n'est disponible chez les patients âgés de plus de 65 ans. Cependant, aucune adaptation de la dose quotidienne recommandée chez l'adulte ne devrait être nécessaire sauf en cas d'insuffisance rénale.
  • -Insuffisance rénale
  • -L'emtricitabine est éliminée par excrétion rénale et l'exposition à l'emtricitabine a été significativement augmentée chez les patients insuffisants rénaux (voir «Pharmacocinétique»). Une adaptation de la dose ou de l'intervalle entre les doses est nécessaire chez tous les patients dont la clairance de la créatinine est <30 ml/min (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Le tableau suivant donne les recommandations d'adaptation de l'intervalle entre les doses de gélules à 200 mg et contient les doses quotidiennes d'Emtriva solution buvable en fonction du degré d'insuffisance rénale. Ni les adaptations des intervalles entre les doses à toutes les 72 ou 96 heures pour les gélules à 200 mg ni les posologies de la solution buvable à 10 mg/ml chez les patients dont la clairance de la créatinine est <30 ml/min n'ont fait l'objet d'étude de tolérance et d'efficacité.
  • +Adultes, adolescents et enfants avec un poids corporel ≥33 kg
  • +La dose recommandée est d'une gélule d'Emtriva à 200 mg par voie orale, une fois par jour.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Aucune donnée n'est disponible permettant d'établir une recommandation posologique chez l'insuffisant hépatique. Cependant, en raison du faible métabolisme de l'emtricitabine et de sa voie d'élimination rénale, il est peu probable qu'un ajustement de la posologie soit nécessaire chez le patient présentant une insuffisance hépatique (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Si Emtriva est arrêté chez des patients co-infectés par le VIH et le VHB, ces patients doivent être étroitement surveillés afin de détecter tout signe d'aggravation de l'hépatite (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +L'emtricitabine est éliminée par excrétion rénale et l'exposition à l'emtricitabine a été significativement augmentée chez les patients insuffisants rénaux (voir «Pharmacocinétique»). Un ajustement de la posologie ou de l'intervalle entre les doses est nécessaire chez tous les patients dont la clairance de la créatinine est <30 ml/min (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Le tableau suivant donne les recommandations d'ajustement de l'intervalle entre les doses de gélules à 200 mg en fonction du degré d'insuffisance rénale. Les ajustements des intervalles entre les doses à toutes les 72 ou 96 heures pour les gélules à 200 mg chez les patients dont la clairance de la créatinine est <30 ml/min n'ont fait pas l'objet d'étude de tolérance et d'efficacité.
  • -Les patients présentant une insuffisance rénale peuvent être traités par Emtriva gélules en adaptant les intervalles entre les doses ou par Emtriva solution buvable afin d'obtenir une dose quotidienne plus faible.
  • - Clairance de la créatinine (Clcr) (ml/min)
  • - ≥30 15-29 <15 (sujet fonctionnellement anéphrique, nécessitant une hémodialyse)*
  • +Les patients présentant une insuffisance rénale peuvent être traités par Emtriva gélules en ajustant les intervalles entre les doses.
  • + Clairance de la créatinine (Clcr) (ml/min)
  • +≥30 15-29 <15 (sujet fonctionnellement anéphrique, nécessitant une hémodialyse)*
  • -Dose d'Emtriva solution buvable recommandée toutes les 24 heures 240 mg (24 ml) 80 mg (8 ml) 60 mg (6 ml)
  • -Insuffisance hépatique
  • -Aucune donnée n'est disponible permettant d'établir une recommandation posologique chez l'insuffisant hépatique. Cependant, en raison du faible métabolisme de l'emtricitabine et de sa voie d'élimination rénale, il est peu probable qu'une adaptation de dose soit nécessaire chez le patient présentant une insuffisance hépatique (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Si Emtriva est arrêté chez des patients co-infectés par le VIH et le VHB, ces patients doivent être étroitement surveillés afin de détecter tout signe d'aggravation de l'hépatite (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients âgés
  • +Aucune donnée de tolérance et d'efficacité n'est disponible chez les patients âgés de plus de 65 ans. Cependant, aucun ajustement de la dose quotidienne recommandée chez l'adulte ne devrait être nécessaire sauf en cas d'insuffisance rénale.
  • +Enfants
  • +Emtriva gélules ne sont pas recommendées pour l'administration chez les enfants avec un poids corporel <33 kg.
  • +Mode d'administration
  • +Emtriva gélules peuvent être pris au cours ou en dehors des repas.
  • +Emtriva gélules sont disponibles pour les adultes, les adolescents et les enfants pesant au minimum 33 kg et capables d'avaler des gélules.
  • -Hypersensibilité au principe actif emtricitabine ou à l'un des excipients.
  • +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients.
  • -L'emtricitabine est principalement éliminée par les reins par filtration glomérulaire et sécrétion tubulaire active. L'exposition à l'emtricitabine peut être fortement augmentée chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) traités par des doses quotidiennes de 200 mg d'emtricitabine administrés en gélules ou de 240 mg administrés en solution buvable. Par conséquent, une adaptation de l'intervalle entre les doses (pour Emtriva gélules) ou une diminution de la dose quotidienne d'emtricitabine (pour Emtriva solution buvable) est nécessaire chez tous les patients dont la clairance de la créatinine est <30 ml/min. Les recommandations d'adaptation de l'intervalle entre les doses et les doses réduites décrites sous «Posologie/Mode d'emploi» se basent sur des données pharmacocinétiques de dose unique et sur des calculs sur modèle; elles n'ont pas été cliniquement évaluées. C'est pourquoi une surveillance étroite de la réponse clinique au traitement et de la fonction rénale est nécessaire chez tous les patients après initiation d'un traitement par l'emtricitabine à intervalles d'administration prolongés ou à doses réduites (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Pharmacocinétique»).
  • +L'emtricitabine est principalement éliminée par les reins par filtration glomérulaire et sécrétion tubulaire active. L'exposition à l'emtricitabine peut être fortement augmentée chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) traités par des doses quotidiennes de 200 mg d'emtricitabine administrés en gélules. Par conséquent, un ajustement de l'intervalle entre les doses est nécessaire chez tous les patients dont la clairance de la créatinine est <30 ml/min. Les recommandations d'ajustement de l'intervalle entre les doses décrites sous «Posologie/Mode d'emploi» se basent sur des données pharmacocinétiques de dose unique et sur des calculs sur modèle; elles n'ont pas été cliniquement évaluées. C'est pourquoi une surveillance étroite de la réponse clinique au traitement et de la fonction rénale est nécessaire chez tous les patients après initiation d'un traitement par l'emtricitabine à intervalles d'administration prolongés (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Pharmacocinétique»).
  • -Les patients ayant des troubles préexistants de la fonction hépatique y compris une hépatite chronique active ont, au cours d'un traitement par ART, une fréquence plus élevée d'anomalies de la fonction hépatique et doivent faire l'objet d'une surveillance appropriée. Les patients atteints d'une hépatite B ou C chronique et traités par ART présentent un risque accru de développer des événements hépatiques indésirables sévères et potentiellement fatals. En cas d'administration concomitante d'un traitement antiviral de l'hépatite B ou C, veuillez consulter les informations professionnelles de ces médicaments.
  • +Les patients ayant des troubles préexistants de la fonction hépatique y compris une hépatite chronique active ont, au cours d'un traitement par ART, une fréquence plus élevée d'anomalies de la fonction hépatique et doivent faire l'objet d'une surveillance appropriée. Les patients atteints d'une hépatite B ou C chronique et traités par ART présentent un risque accru de développer des effets indésirables hépatiques sévères et potentiellement fatals. En cas d'administration concomitante d'un traitement antiviral de l'hépatite B ou C, veuillez consulter les informations professionnelles de ces médicaments.
  • -Les analogues nucléos(t)idiques peuvent avoir un effet variable sur la fonction mitochondriale, l'effet le plus marqué étant observé avec la stavudine, la didanosine et la zidovudine. Des cas de dysfonctionnement mitochondrial ont été rapportés chez des nourrissons non infectés par le VIH, exposés in utero et/ou en période post-natale à des analogues nucléosidiques. Il s'agissait principalement de traitements comportant de la zidovudine. Les effets indésirables principalement rapportés étaient des troubles hématologiques (anémie, neutropénie) et des troubles métaboliques (hyperlactatémie, hyperlipasémie). Ces év�nements étaient transitoires pour la plupart. Des troubles neurologiques d'apparition tardive ont été rapportés dans de rares cas (hypertonie, convulsions, troubles du comportement). Le caractère transitoire ou permanent de ces troubles neurologiques n'est pas établi à ce jour. Ces données doivent être prises en compte chez tout enfant exposé in utero à des analogues nucléos(t)idiques qui présente des manifestations cliniques sévères d'étiologie inconnue, en particulier des manifestations neurologiques. Chaque enfant exposé in utero à des analogues nucléos(t)idiques, y compris les enfants non infectés par le VIH, doit être examiné sur le plan clinique et des paramètres de laboratoire et doit, en cas de signes ou symptômes significatifs, faire l'objet d'investigations complètes à la recherche de possibles troubles de la fonction mitochondriale. Ces données ne modifient pas les recommandations nationales actuelles quant à l'utilisation d'un traitement antirétroviral chez la femme enceinte dans la prévention d'une transmission materno-fœtale du VIH.
  • +Les analogues nucléos(t)idiques peuvent avoir un effet variable sur la fonction mitochondriale, l'effet le plus marqué étant observé avec la stavudine, la didanosine et la zidovudine. Des cas de dysfonctionnement mitochondrial ont été rapportés chez des nourrissons non infectés par le VIH, exposés in utero et/ou en période post-natale à des analogues nucléosidiques. Il s'agissait principalement de traitements comportant de la zidovudine. Les effets indésirables principalement rapportés étaient des troubles hématologiques (anémie, neutropénie) et des troubles métaboliques (hyperlactatémie, hyperlipasémie). Ces év�nements étaient transitoires pour la plupart. Des troubles neurologiques d'apparition tardive ont été rapportés dans de rares cas (hypertonie, convulsions, troubles du comportement). Le caractère transitoire ou permanent de ces troubles neurologiques n'est pas établi à ce jour. Ces données doivent être prises en compte chez tout enfant exposé in utero à des analogues nucléos(t)idiques qui présente des manifestations cliniques sévères d'étiologie inconnue, en particulier des manifestations neurologiques. Chaque enfant exposé in utero à des analogues nucléos(t)idiques, y compris les enfants non infectés par le VIH, doit être examiné sur le plan clinique et des paramètres de laboratoire et doit, en cas de signes ou symptômes significatifs, faire l'objet d'investigations complètes à la recherche de possibles troubles de la fonction mitochondriale. Ces données ne modifient pas les recommandations nationales actuelles quant à l'utilisation d'un traitement antirétroviral chez la femme enceinte dans la prévention d'une transmission materno-fœtale du VIH.
  • -Emtriva solution buvable contient du jaune orangé S (E110) qui peut déclencher des réactions allergiques, ainsi que du méthylparabène (E218) et du propylparabène (E216) qui peuvent déclencher des réactions allergiques (éventuellement retardées). Emtriva solution buvable contient 254 mg de sodium par dose, ce qui est à prendre en compte chez les patients contrôlant leur apport alimentaire en sodium.
  • -Puisque les analogues nucléosidiques n'ont aucun effet significatif sur le système d'enzymes P450, une adaptation de la dose d'emtricitabine en cas de co-administration avec tripanavir n'est pas nécessaire.
  • +Puisque les analogues nucléosidiques n'ont aucun effet significatif sur le système d'enzymes P450, un ajustement de la posologie d'emtricitabine en cas de co-administration avec tripanavir n'est pas nécessaire.
  • -Un nombre modéré de données chez la femme enceinte (entre 300 et 1'000 grossesses) n'a mis en évidence aucune malformation ni effet toxique pour le fœtus ou le nouveau-né associé à l'emtricitabine. Les expérimentations animales n'ont pas mis en évidence de toxicité de reproduction. La prescription d'emtricitabine peut être envisagée pendant la grossesse si nécessaire.
  • +Un nombre modéré de données chez la femme enceinte (entre 300 et 1000 grossesses) n'a mis en évidence aucune malformation ni effet toxique pour le fœtus ou le nouveau-né associé à l'emtricitabine. Les expérimentations animales n'ont pas mis en évidence de toxicité sur la reproduction. La prescription d'emtricitabine peut être envisagée pendant la grossesse si nécessaire.
  • -L'évaluation des effets indésirables est basée sur les données de trois études chez l'adulte (n = 1'479) et de trois études chez l'enfant (n = 169). Dans les études menées chez l'adulte, 1'039 patients naïfs de traitement antirétroviral et 440 patients prétraités ont reçu l'emtricitabine (n = 814) ou un médicament de comparaison (n = 665) pendant 48 semaines en association avec d'autres médicaments antirétroviraux. Dans trois études pédiatriques, des enfants naïfs (n = 123) et des enfants prétraités (n = 46) âgés de 4 mois à 18 ans ont été traités par l'emtricitabine en association avec d'autres antirétroviraux.
  • -Les effets indésirables imputables au traitement chez les adultes sont énumérés ci-dessous par classe d'organe et fréquence absolue. Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre décroissant de gravité. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10), occasionnels (≥1/1'000, <1/100).
  • +L'évaluation des effets indésirables est basée sur les données de trois études chez l'adulte (n = 1479) et de trois études chez l'enfant (n = 169). Dans les études menées chez l'adulte, 1039 patients naïfs de traitement antirétroviral et 440 patients prétraités ont reçu l'emtricitabine (n = 814) ou un médicament de comparaison (n = 665) pendant 48 semaines en association avec d'autres médicaments antirétroviraux. Dans trois études pédiatriques, des enfants naïfs (n = 123) et des enfants prétraités (n = 46) âgés de 4 mois à 18 ans ont été traités par l'emtricitabine en association avec d'autres antirétroviraux.
  • +Les effets indésirables imputables au traitement chez les adultes sont énumérés ci-dessous par classe d'organe et fréquence absolue. Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre décroissant de gravité. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10), occasionnels (≥1/1000, <1/100).
  • -Affections hématologiques et du système lymphatique:
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Affections du système immunitaire:
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles du métabolisme et de la nutrition:
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • -Affections psychiatriques:
  • -Fréquent: insomnie, rêves anormaux
  • -Affections du système nerveux:
  • +Affections psychiatriques
  • +Fréquent: insomnie, rêves anormaux.
  • +Affections du système nerveux
  • -Affections gastro-intestinales:
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Affections hépatobiliaires:
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané:
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Affections musculo-squelettiques:
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles généraux:
  • +Troubles généraux
  • -Paramètres métaboliques: Une augmentation du poids corporel et des taux de lipides et de glucose sanguins peut survenir au cours d'un traitement antirétroviral voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Syndrome de Restauration Immunitaire: Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère au moment de l'instauration du traitement par ART, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire. Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow) ont également été rapportées; cependant, le délai d'apparition décrit est plus variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l'instauration du traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Ostéonécrose: Des cas d'ostéonécrose ont été rapportés, en particulier chez des patients présentant des facteurs de risque connus, un stade avancé de la maladie liée au VIH ou un traitement par ART au long cours. Leur fréquence de survenue est indeterminée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Description de certains effets indésirables
  • +Paramètres métaboliques
  • +Une augmentation du poids corporel et des taux de lipides et de glucose sanguins peut survenir au cours d'un traitement antirétroviral voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Syndrome de Restauration Immunitaire
  • +Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère au moment de l'instauration du traitement par ART, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire. Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow) ont également été rapportées; cependant, le délai d'apparition décrit est plus variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l'instauration du traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Ostéonécrose
  • +Des cas d'ostéonécrose ont été rapportés, en particulier chez des patients présentant des facteurs de risque connus, un stade avancé de la maladie liée au VIH ou un traitement par ART au long cours. Leur fréquence de survenue est indeterminée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Patients co-infectés par le VIH et le VBH: Le profil des effets indésirables chez les patients co-infectés par le VHB est comparable à celui observé chez les patients infectés par le VIH sans co-infection par le VHB. Toutefois, comme attendu pour cette catégorie de patients, les élévations des taux d'ASAT et d'ALAT étaient plus fréquentes que chez les patients infectés par le VIH seul.
  • +Patients coinfectés par le VIH et le VBH: Le profil des effets indésirables chez les patients co-infectés par le VHB est comparable à celui observé chez les patients infectés par le VIH sans co-infection par le VHB. Toutefois, comme attendu pour cette catégorie de patients, les élévations des taux d'ASAT et d'ALAT étaient plus fréquentes que chez les patients infectés par le VIH seul.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -L'administration de doses d'emtricitabine allant jusqu'à 1'200 mg a été associée à la survenue des effets indésirables mentionnés ci-dessus (voir «Effets indésirables»).
  • +L'administration de doses d'emtricitabine allant jusqu'à 1200 mg a été associée à la survenue des effets indésirables mentionnés ci-dessus (voir «Effets indésirables»).
  • -Code ATC: J05AF09
  • +Code ATC
  • +J05AF09
  • +Pharmacodynamique
  • +
  • -Expérience clinique
  • +Efficacité clinique
  • -Au cours d'une étude multicentrique de 48 semaines, menée en double-aveugle, contrôlée contre un traitement actif, menée chez 571 adultes naïfs de traitement antirétroviral, Emtriva (200 mg une fois par jour) utilisé en association avec la didanosine et l'éfavirenz a été comparé à l'association de stavudine, de didanosine et d'éfavirenz. La moyenne d'âge des patients était de 36 ans (intervalle: 18 à 69 ans), 85% des patients étaient du sexe masculin, 52% des Caucasiens, 16% des Afro-américains et 26% des Hispano-Américains. Les patients présentaient un taux initial moyen de cellules CD4+ de 318 cellules/mm3 (intervalle: 5-1'317) et un taux plasmatique initial moyen d'ARN VIH de 4,9 log10 copies/ml (intervalle: 2,6-7,0). Parmi les patients, 38% présentaient des charges virales initiales >100'000 copies/ml et 31% montraient un taux de cellules CD4+ <200 cellules/ml. Les résultats obtenus après le traitement sont présentés dans le tableau ci-après.
  • -Résultats obtenus à la semaine 48 après le traitement attribué par randomisation, chez des patients naïfs de traitement antirétroviral:
  • +Au cours d'une étude multicentrique de 48 semaines, menée en double-aveugle, contrôlée contre un traitement actif, menée chez 571 adultes naïfs de traitement antirétroviral, Emtriva (200 mg une fois par jour) utilisé en association avec la didanosine et l'éfavirenz a été comparé à l'association de stavudine, de didanosine et d'éfavirenz. La moyenne d'âge des patients était de 36 ans (intervalle: 18 à 69 ans), 85% des patients étaient du sexe masculin, 52% des Caucasiens, 16% des Afro-américains et 26% des Hispano-Américains. Les patients présentaient un taux initial moyen de cellules CD4+ de 318 cellules/mm3 (intervalle: 5-1317) et un taux plasmatique initial moyen d'ARN VIH de 4,9 log10 copies/ml (intervalle: 2,6-7,0). Parmi les patients, 38% présentaient des charges virales initiales >100'000 copies/ml et 31% montraient un taux de cellules CD4+ <200 cellules/ml. Les résultats obtenus après le traitement sont présentés dans le tableau ci-après.
  • +Résultats obtenus à la semaine 48 après le traitement attribué par randomisation, chez des patients naïfs de traitement antirétroviral
  • -Interruption de l'étude en raison d'un effet secondaire 7% 13%
  • +Interruption de l'étude en raison d'un effet indésirable 7% 13%
  • -Les patients ont été attribués par randomisation soit à un groupe poursuivant le traitement par la lamivudine (150 mg deux fois par jour), soit à un groupe passant à Emtriva (200 mg une fois par jour), le rapport entre le nombre de patients dans les deux groupes étant de 1:2. Tous les patients ont poursuivi leur traitement de base sans le modifier. La moyenne d'âge des patients était de 42 ans (intervalle: 22-80 ans), 86% des patients étaient du sexe masculin, 64% des Caucasiens, 21% des Afro-américains et 13% des Hispano-Américains. Les patients présentaient un taux initial moyen de cellules CD4+ de 527 cellules/mm3 (intervalle: 37-1'909) et un taux plasmatique initial moyen d'ARN VIH de 1,7 log10 copies/ml (intervalle: 1,7-4,0).
  • +Les patients ont été attribués par randomisation soit à un groupe poursuivant le traitement par la lamivudine (150 mg deux fois par jour), soit à un groupe passant à Emtriva (200 mg une fois par jour), le rapport entre le nombre de patients dans les deux groupes étant de 1:2. Tous les patients ont poursuivi leur traitement de base sans le modifier. La moyenne d'âge des patients était de 42 ans (intervalle: 22-80 ans), 86% des patients étaient du sexe masculin, 64% des Caucasiens, 21% des Afro-américains et 13% des Hispano-Américains. Les patients présentaient un taux initial moyen de cellules CD4+ de 527 cellules/mm3 (intervalle: 37-1909) et un taux plasmatique initial moyen d'ARN VIH de 1,7 log10 copies/ml (intervalle: 1,7-4,0).
  • -Résultats à la semaine 48 du traitement attribué par randomisation, chez des patients prétraités:
  • +Résultats à la semaine 48 du traitement attribué par randomisation, chez des patients prétraités
  • -Interruption de l'étude en raison d'un effet secondaire 4% 0%
  • +Interruption de l'étude en raison d'un effet indésirable 4% 0%
  • -Chez les nourrissons et les enfants âgés de plus de 4 mois, la majorité des patients a obtenu ou maintenu la suppression complète de l'ARN VIH-1 plasmatique au cours de 48 semaines (89% ont atteint un taux ≤400 copies/ml et 77% un taux ≤50 copies/ml).
  • +Sécurité et efficacité en pédiatrie
  • +Chez les petits enfants et les enfants âgés de plus de 4 mois, la majorité des patients a obtenu ou maintenu la suppression complète de l'ARN VIH-1 plasmatique au cours de 48 semaines (89% ont atteint un taux ≤400 copies/ml et 77% un taux ≤50 copies/ml).
  • -L'emtricitabine est absorbée de manière rapide et importante après administration orale, les concentrations plasmatiques maximales étant atteintes 1 à 2 heures après l'administration. Chez 20 sujets d'une étude infectés par le VIH et traités par 200 mg d'emtricitabine sous forme de gélules une fois par jour, les concentrations plasmatiques maximales d'emtricitabine à l'état d'équilibre (Cmax) s'élevaient à 1,8 ± 0,7 µg/ml, les concentrations résiduelles (Cmin) à 0,09 ± 0,07 µg/ml et l'aire sous la courbe de la concentration plasmatique en fonction du temps sur un intervalle de 24 heures entre les doses (ASC) à 10,0 ± 3,1 µg·h/ml. Les concentrations plasmatiques résiduelles à l'état d'équilibre ont atteint des valeurs environ quatre fois supérieures aux valeurs de la CI90 in vitro pour l'activité anti-VIH.
  • -La biodisponibilité absolue de l'emtricitabine, lors d'une étude pilote, a été estimée à 93% après administration d'Emtriva gélules et à 75% après administration d'Emtriva solution buvable.
  • -Dans une étude pilote chez l'enfant et une étude de bioéquivalence chez l'adulte, on a observé que la biodisponibilité d'Emtriva solution buvable représentait environ 80% de celle d'Emtriva gélules. La raison de cette différence de biodisponibilité entre ces formulations n'est pas connue. Compte tenu de cette différence de biodisponibilité, 240 mg d'emtricitabine administrées sous forme de solution buvable permettraient d'obtenir des concentrations plasmatiques similaires à celles observées après administration d'une gélule de 200 mg d'emtricitabine. C'est pourquoi les enfants qui pèsent au moins 33 kg peuvent prendre une fois par jour soit une gélule à 200 mg, soit la solution buvable jusqu'à une dose maximale de 240 mg (24 ml).
  • -L'administration d'Emtriva gélules au cours d'un repas riche en graisse ou d'Emtriva solution buvable au cours d'un repas pauvre ou riche en graisse n'a pas affecté l'exposition systémique (ASC0-∞) à l'emtricitabine. C'est pourquoi Emtriva gélules et Emtriva solution buvable peuvent être administrés au cours ou en dehors des repas.
  • +L'emtricitabine est absorbée de manière rapide et importante après administration orale, les concentrations plasmatiques maximales étant atteintes 1 à 2 heures après l'administration. Chez 20 sujets d'une étude infectés par le VIH et traités par 200 mg d'emtricitabine sous forme de gélules une fois par jour, les concentrations plasmatiques maximales d'emtricitabine à l'état d'équilibre (Cmax) s'élevaient à 1,8 ± 0,7 µg/ml, les concentrations résiduelles (Cmin) à 0,09 ± 0,07 µg/ml et l'aire sous la courbe de la concentration plasmatique en fonction du temps sur un intervalle de 24 heures entre les doses (ASC) à 10,0 ± 3,1 µgh/ml. Les concentrations plasmatiques résiduelles à l'état d'équilibre ont atteint des valeurs environ quatre fois supérieures aux valeurs de la CI90 in vitro pour l'activité anti-VIH.
  • +La biodisponibilité absolue de l'emtricitabine, lors d'une étude pilote, a été estimée à 93% après administration d'Emtriva gélules.
  • +Effets de la prise de nourriture
  • +L'administration d'Emtriva gélules au cours d'un repas riche en graisse n'a pas affecté l'exposition systémique (ASC0-∞) à l'emtricitabine. C'est pourquoi Emtriva gélules peuvent être administrées au cours ou en dehors des repas.
  • -Elimination
  • +Élimination
  • -Linéarité/non linéarité
  • +Linéarité/non-linéarité
  • -Adulte insuffisant rénal
  • -Les paramètres pharmacocinétiques ont été déterminés après administration d'une dose unique de 200 mg d'emtricitabine sous forme de gélule à 30 sujets non infectés par le VIH présentant des degrés divers d'insuffisance rénale. Les sujets étaient groupés selon la valeur de la clairance de la créatinine (Clcr) au début de l'étude (fonction rénale normale: >80 ml/min; insuffisance rénale légère: 50-80 ml/min; insuffisance rénale modérée: 30-49 ml/min; insuffisance rénale sévère: <30 ml/min ainsi que sujet fonctionnellement anéphrique nécessitant une hémodialyse: <15 ml/min).
  • -L'exposition systémique à l'emtricitabine (moyenne ± écart type) est passée de 11,8 ± 2,9 µg·h/ml chez les sujets à fonction rénale normale à 19,9 ± 1,1 µg·h/ml chez les patients atteints d'insuffisance rénale légère, à 25,0 ± 5,7 µg·h/ml chez ceux atteints d'insuffisance rénale modérée et à 34,0 ± 2,1 µg·h/ml chez ceux avec insuffisance rénale sévère.
  • -Chez les patients atteints d'IRT sous hémodialyse, environ 30% de la dose d'emtricitabine a été retrouvée dans le dialysat sur une période de dialyse de 3 heures ayant débuté dans un délai de 1,5 heures après l'administration de l'emtricitabine (débit sanguin de 400 ml/min et débit du dialysat d'environ 600 ml/min).
  • -Insuffisance hépatique
  • -La pharmacocinétique de l'emtricitabine n'a pas été étudiée chez les sujets non infectés par le VHB présentant divers degrés d'insuffisance hépatique. D'une manière générale, la pharmacocinétique de l'emtricitabine chez les sujets infectés par le VHB était comparable à celle retrouvée chez les sujets sains et chez les sujets infectés par le VIH.
  • -Age, sexe et origine ethnique
  • -D'une manière générale, la pharmacocinétique de l'emtricitabine chez le nourrisson, l'enfant et l'adolescent (âgé de 4 mois à 18 ans) était comparable à celle observée chez l'adulte.
  • -L'ASC moyenne chez 77 nourrissons, enfants et adolescents recevant 6 mg/kg d'emtricitabine une fois par jour sous forme de solution buvable ou 200 mg d'emtricitabine une fois par jour sous forme de gélule, était similaire à l'ASC moyenne de 10 µg·h/ml obtenue chez 20 adultes recevant une gélule à 200 mg, une fois par jour.
  • -Dans une étude ouverte, non comparative, des données pharmacocinétiques ont été obtenues chez 20 nouveau-nés de mères infectées par le VIH, lesquels ont reçu deux cures de 4 jours de solution buvable d'emtricitabine (3 mg/kg une fois par jour) entre l'âge d'une semaine et de 3 mois. Cette dose correspond à la moitié de la dose autorisée chez le nourrisson âgé de 4 mois et plus (6 mg/kg). La clairance corporelle totale apparente à l'état d'équilibre (Cl/F) a augmenté avec l'âge sur la période d'étude de 3 mois, avec une diminution correspondante de l'ASC. L'exposition plasmatique à l'emtricitabine chez les nourrissons âgés de 3 mois au plus, ayant reçu 3 mg/kg d'emtricitabine une fois par jour, était similaire à celle observée avec des doses quotidiennes de 6 mg/kg chez des adultes et des enfants âgés de 4 mois et plus infectés par le VIH.
  • -
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Âge, sexe et origine ethnique
  • +D'une manière générale, la pharmacocinétique de l'emtricitabine chez le petit enfant, l'enfant et l'adolescent (âgé de 4 mois à 18 ans) était comparable à celle observée chez l'adulte.
  • +L'ASC moyenne chez 77 petits enfants, enfants et adolescents recevant 200 mg d'emtricitabine une fois par jour sous forme de gélule, était similaire à l'ASC moyenne de 10 µg•h/ml obtenue chez 20 adultes recevant une gélule à 200 mg, une fois par jour.
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +La pharmacocinétique de l'emtricitabine n'a pas été étudiée chez les sujets non infectés par le VHB présentant divers degrés d'insuffisance hépatique. D'une manière générale, la pharmacocinétique de l'emtricitabine chez les sujets infectés par le VHB était comparable à celle retrouvée chez les sujets sains et chez les sujets infectés par le VIH.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Adultes
  • +Les paramètres pharmacocinétiques ont été déterminés après administration d'une dose unique de 200 mg d'emtricitabine sous forme de gélule à 30 sujets non infectés par le VIH présentant des degrés divers d'insuffisance rénale. Les sujets étaient groupés selon la valeur de la clairance de la créatinine (Clcr) au début de l'étude (fonction rénale normale: >80 ml/min; insuffisance rénale légère: 50-80 ml/min; insuffisance rénale modérée: 30-49 ml/min; insuffisance rénale sévère: <30 ml/min ainsi que sujet fonctionnellement anéphrique nécessitant une hémodialyse: <15 ml/min).
  • +L'exposition systémique à l'emtricitabine (moyenne ± écart type) est passée de 11,8 ± 2,9 µgh/ml chez les sujets à fonction rénale normale à 19,9 ± 1,1 µgh/ml chez les patients atteints d'insuffisance rénale légère, à 25,0 ± 5,7 µgh/ml chez ceux atteints d'insuffisance rénale modérée et à 34,0 ± 2,1 µgh/ml chez ceux avec insuffisance rénale sévère.
  • +Chez les patients atteints d'IRT sous hémodialyse, environ 30% de la dose d'emtricitabine a été retrouvée dans le dialysat sur une période de dialyse de 3 heures ayant débuté dans un délai de 1,5 heures après l'administration de l'emtricitabine (débit sanguin de 400 ml/min et débit du dialysat d'environ 600 ml/min).
  • -Les données précliniques basées sur les études conventionnelles de tolérance pharmacologique, de toxicité par administration réitérée, de génotoxicité et de toxicité sur la reproduction et le développement ne mettent en évidence aucun risque particulier pour l'être humain. L'emtricitabine n'a montré aucun potentiel cancérigène lors d'études à long terme menées chez la souris et le rat.
  • +Les données précliniques basées sur les études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, de toxicité en cas d'administration répétée, de génotoxicité et de toxicité sur la reproduction et le développement ne mettent en évidence aucun risque particulier pour l'être humain. L'emtricitabine n'a montré aucun potentiel carcinogène lors d'études à long terme menées chez la souris et le rat.
  • -L'emballage d'Emtriva solution buvable contient également une mesurette de 30 ml en plastique avec graduations de 1 ml, permettant un dosage exact de la solution buvable.
  • +Incompatibilités
  • +Non pertinent.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Emtriva gélules:
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Tenir hors de portée des enfants.
  • -Emtriva solution buvable:
  • -Conserver le flacon encore non ouvert au réfrigérateur (2-8 °C).
  • -Après ouverture du flacon: Ne pas conserver au-dessus de 25 °C. Utiliser la solution buvable dans les 45 jours qui suivent.
  • -56880, 56881 (Swissmedic).
  • +56880 (Swissmedic).
  • -Emtriva gélules: 30 [A]
  • -Emtriva solution buvable: 170 ml [A]
  • -
  • +Emtriva, gélules: 30 [A]
  • -Janvier 2018.
  • +Janvier 2020.
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