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Accueil - Information professionnelle sur Adartrel 0,25 mg - Changements - 24.04.2020
78 Changements de l'information professionelle Adartrel 0,25 mg
  • -Principe actif:
  • -Ropinirolum ut Ropiniroli hydrochloridum.
  • -Excipients:
  • -Comprimés enrobés à 0,25 mg et 2,0 mg: Lactosum, carmellosum natricum conexum*, Excip. pro compresso obducto.
  • -Comprimés enrobés à 0,5 mg: Color: E132, Lactosum, carmellosum natricum conexum*, Excip. pro compresso obducto.
  • +Principes actifs
  • +Ropinirole sous forme de chlorhydrate de ropinirole.
  • +Excipients
  • +Comprimés pelliculés à 0,25 mg:
  • +Noyau du comprimé: cellulose microcristalline, monohydrate de lactose 47,715 mg, croscarmellose sodique* (équivalant à 0,6 mg de sodium), stéarate de magnésium.
  • +Pelliculage: hypromellose, macrogol 400, dioxyde de titane (E 171), polysorbate 80 (E 433).
  • +Comprimés pelliculés à 0,5 mg:
  • +Noyau du comprimé: cellulose microcristalline, monohydrate de lactose 47,43 mg, croscarmellose sodique* (équivalant à 0,6 mg de sodium), stéarate de magnésium.
  • +Pelliculage: hypromellose, macrogol 400, dioxyde de titane (E 171), oxyde de fer jaune (E 172), oxyde de fer rouge (E 172), indigotine (E 132).
  • +Comprimés pelliculés à 2 mg:
  • +Noyau du comprimé: cellulose microcristalline, monohydrate de lactose 46,92 mg, croscarmellose sodique* (équivalant à 0,6 mg de sodium), stéarate de magnésium.
  • +Pelliculage: hypromellose, macrogol 400, dioxyde de titane (E 171), oxyde de fer jaune (E 172), oxyde de fer rouge (E 172).
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Comprimés enrobés à 0,25 mg, 0,5 mg et 2,0 mg de ropinirole.
  • -Il est recommandé de procéder à une titration individuelle de la dose en fonction de l'efficacité et de la tolérance. La dose devrait être administrée immédiatement avant le coucher. Elle peut toutefois aussi être prise jusqu'à trois heures avant le coucher. Les comprimés enrobés d'Adartrel peuvent être pris pendant ou en dehors des repas.
  • +Il est recommandé de procéder à une titration individuelle de la dose en fonction de l'efficacité et de la tolérance. La dose devrait être administrée immédiatement avant le coucher. Elle peut toutefois aussi être prise jusqu'à trois heures avant le coucher. Les comprimés pelliculés d'Adartrel peuvent être pris pendant ou en dehors des repas.
  • -La dose initiale préconisée est de 0,25 mg une fois par jour pendant 2 jours. Si cette dose est bien tolérée, elle devrait être augmentée à 0,5 mg une fois par jour pour le reste de la 1ère semaine.
  • +La dose initiale recommandée est de 0,25 mg une fois par jour pendant 2 jours. Si cette dose est bien tolérée, elle devrait être augmentée à 0,5 mg une fois par jour pour le reste de la 1ère semaine.
  • -Semaine Dose (mg)/une fois par jour
  • +Semaine Dose (mg) / une fois par jour
  • -Comme pour d'autres agonistes dopaminergiques, le traitement par Adartrel doit être arrêté graduellement en diminuant le nombre de doses journalières pendant une semaine (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Au cas où le traitement serait interrompu pour plus longtemps que quelques jours, la posologie devrait être à nouveau ajustée selon le schéma décrit plus haut lors de la reprise du traitement.
  • -Durée du traitement:
  • +Comme pour d'autres agonistes dopaminergiques, le traitement par Adartrel doit être arrêté graduellement en diminuant le nombre de doses journalières pendant une semaine (voir «Mises en garde et précautions»). Au cas où le traitement serait interrompu pour plus longtemps que quelques jours, la posologie devrait être à nouveau ajustée selon le schéma décrit plus haut lors de la reprise du traitement.
  • +Durée du traitement
  • -Instructions posologiques particulières:
  • -Enfants et adolescents:
  • -On ne dispose pas de données sur l'administration du ropinirole aux patients de moins de 18 ans souffrant du syndrome des jambes sans repos. L'emploi d'Adartrel dans ce groupe d'âge n'est donc pas recommandé.
  • -Patients âgés:
  • -Bien que la clairance du ropinirole chez les patients à partir de 65 ans soit réduite, la posologie peut être ajustée de manière habituelle chez ces patients.
  • -Insuffisance rénale:
  • -Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine de 30 à 50 ml/min.), aucun ajustement de la dose n'est requis.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +L'utilisation du ropinirole chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique n'a pas été étudiée. L'administration du ropinirole n'est donc pas recommandée chez ces patients.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine de 30 à 50 mL/min.), aucun ajustement de la dose n'est requis.
  • -L'utilisation du ropinirole chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clearance de la créatinine inférieure à 30 ml/min) et ne se soumettant pas régulièrement à une dialyse n'a pas été étudiée.
  • -Insuffisance hépatique:
  • -L'utilisation du ropinirole chez les patients insuffisants hépatiques n'a pas été étudiée. L'administration du ropinirole n'est donc pas recommandée chez ces patients.
  • +L'utilisation du ropinirole chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min) et ne se soumettant pas régulièrement à une dialyse n'a pas été étudiée.
  • +Patients âgés
  • +Bien que la clairance du ropinirole chez les patients à partir de 65 ans soit réduite, la posologie peut être ajustée de manière habituelle chez ces patients.
  • +Enfants et adolescents
  • +On ne dispose pas de données sur l'administration du ropinirole aux patients de moins de 18 ans souffrant du syndrome des jambes sans repos. L'emploi d'Adartrel dans ce groupe d'âge n'est donc pas recommandé.
  • -·une hypersensibilité au ropinirole ou à l'un des excipients d'Adartrel
  • -·une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) sans dialyse régulière (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +·une hypersensibilité au ropinirole ou à l'un des excipients d'Adartrel,
  • +·une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) sans dialyse régulière (voir «Posologie/Mode d'emploi»),
  • -Des troubles du contrôle des impulsions ont été rapportés (incapacité à résister aux impulsions) chez des patients traités par des principes actifs dopaminergiques, dont le ropinirole. Ainsi, ont été signalés, p.ex. une passion pathologique pour les jeux, une augmentation de la libido, y compris une hypersexualité, des achats compulsifs et des fringales (binge eating) (voir «Effets indésirables – Expériences tirées de rapports post-marketing»). Ces symptômes étaient en général réversibles lors d'une réduction de la dose ou d'un arrêt du traitement. Dans certains cas signalés sous ropinirole, il y avait également d'autres facteurs, par exemple un antécédent de comportement compulsif ou un traitement dopaminergique concomitant.
  • +Des troubles du contrôle des impulsions ont été rapportés (incapacité à résister aux impulsions) chez des patients traités par des principes actifs dopaminergiques, dont le ropinirole. Ainsi, ont été signalés, p.ex. une addiction pathologique au jeu, une augmentation de la libido, y compris une hypersexualité, des achats compulsifs et des fringales (binge eating) (voir «Effets indésirables après commercialisation»). Ces symptômes étaient en général réversibles lors d'une réduction de la dose ou d'un arrêt du traitement. Dans certains cas signalés sous ropinirole, il y avait également d'autres facteurs, par exemple un antécédent de comportement compulsif ou un traitement dopaminergique concomitant.
  • -Lors de l'arrêt du traitement, la dose de ropinirole doit être réduite progressivement (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Des effets indésirables non-moteurs peuvent survenir lors de la réduction progressive de la dose ou de l'arrêt des agonistes dopaminergiques y compris le ropinirole. Les symptômes comprennent: insomnie, apathie, anxiété, dépression, fatigue, sueurs et parfois fortes douleurs. Les patients doivent en être informés avant de réduire la dose, puis être surveillés régulièrement. En cas de symptômes persistants, il pourrait s'avérer nécessaire d'augmenter temporairement la dose de ropinirole (voir «Effets indésirables»).
  • +Lors de l'arrêt du traitement, la dose de ropinirole doit être réduite progressivement (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Des effets indésirables non-moteurs peuvent survenir lors de la réduction progressive de la dose ou de l'arrêt des agonistes dopaminergiques y compris le ropinirole. Les symptômes comprennent: insomnie, apathie, anxiété, dépression, épuisement, sueurs et parfois fortes douleurs. Les patients doivent en être informés avant de réduire la dose, puis être surveillés régulièrement. En cas de symptômes persistants, il pourrait s'avérer nécessaire d'augmenter temporairement la dose de ropinirole (voir «Effets indésirables»).
  • +Les patients présentant une intolérance héréditaire rare au galactose, une carence totale en lactase ou une malabsorption du glucose-galactose ne devraient pas utiliser ce médicament.
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est pratiquement «sans sodium».
  • +
  • -Une étude d'interaction portant sur le ropinirole (à une posologie de 2 mg trois fois par jour) et la théophylline (un substrat du CYP1A2) n'a pas mis en évidence de modification de la pharmacocinétique du ropinirole ou de la théophylline.
  • +Une étude d'interaction portant sur le ropinirole (à une posologie de 2 mg trois fois par jour) et la théophylline (un substrat du CYP1A2) n'a pas mis en évidence de modification de la pharmacocinétique du ropinirole ni de la théophylline.
  • -Une élévation des concentrations plasmatiques du ropinirole a été constatée chez les patientes maintenues sous substitution hormonale. Chez les patientes recevant déjà une substitution hormonale avant le début du traitement par ropinirole, celui-ci peut être commencé de façon habituelle, en faisant appel à une posologie progressive. Néanmoins, un ajustement de la dose de ropinirole peut s'avérer nécessaire, en fonction de l'efficacité clinique ou de l'apparition d'effets indésirables, en cas de début ou d'arrêt d'une substitution hormonale sous traitement par ropinirole.
  • -Il n'a été observé, entre le ropinirole et la dompéridone (un médicament destiné au traitement des nausées et des vomissements), aucune interaction pharmacocinétique nécessitant un ajustement de la posologie de l'un ou l'autre de ces médicaments.
  • +Une élévation des concentrations plasmatiques du ropinirole a été constatée chez les patientes traitées par substitution hormonale. Chez les patientes recevant déjà une substitution hormonale avant le début du traitement par ropinirole, celui-ci peut être commencé de façon habituelle, en suivant une posologie progressive. Néanmoins, un ajustement de la dose de ropinirole peut s'avérer nécessaire, en fonction de l'efficacité clinique ou de l'apparition d'effets indésirables, en cas de début ou d'arrêt d'une substitution hormonale sous traitement par ropinirole.
  • +Aucune interaction pharmacocinétique n'a été observée entre le ropinirole et la dompéridone (un médicament destiné au traitement des nausées et des vomissements), qui nécessiterait un ajustement de la posologie de l'un ou l'autre de ces médicaments.
  • -Fertilité:
  • -On ne dispose d'aucune donnée sur les effets du ropinirole sur la fertilité humaine. Dans des études sur la fertilité des rats femelles, une influence sur l'implantation a été constatée (voir «Données précliniques»). Aucune influence sur la fertilité des mâles n'a été observée chez les rats.
  • -Grossesse:
  • -On ne dispose pas de données suffisantes sur l'emploi d'Adartrel chez la femme enceinte. Les études expérimentales, réalisées chez l'animal (voir «Données précliniques») ont révélé une toxicité de reproduction. Le risque potentiel pour l'homme n'est pas connu. Le médicament est contre-indiqué pendant la grossesse.
  • +Grossesse
  • +On ne dispose pas de données suffisantes sur l'administration d'Adartrel chez la femme enceinte. Les études expérimentales, réalisées chez l'animal (voir «Données précliniques») ont révélé une toxicité de reproduction. Le risque potentiel pour l'homme n'est pas connu. Le médicament est contre-indiqué pendant la grossesse.
  • -Allaitement:
  • -On ne dispose d'aucune information sur l'excrétion du ropinirole dans le lait maternel. Du ropinirole a été retrouvé dans le lait de rattes (voir «Données précliniques»). Etant donné que le ropinirole risque d'inhiber la lactation, ce médicament est contre-indiqué pendant l'allaitement.
  • +Allaitement
  • +On ne dispose d'aucune information sur l'excrétion du ropinirole dans le lait maternel. Du ropinirole a été retrouvé dans le lait de rattes (voir «Données précliniques»). Comme le ropinirole risque d'inhiber la lactation, ce médicament est contre-indiqué pendant l'allaitement.
  • +Fertilité
  • +On ne dispose d'aucune donnée sur les effets du ropinirole sur la fertilité humaine. Dans des études sur la fertilité des rats femelles, une influence sur l'implantation a été constatée (voir «Données précliniques»). Aucune influence sur la fertilité des mâles n'a été observée chez les rats.
  • +
  • -A ce jour, aucune étude n'a été effectuée concernant les effets du ropinirole sur l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Cependant, il faut prévenir les patients que des épisodes d'endormissement soudain sans signes avant-coureurs, une somnolence ou un état vertigineux (y compris vertiges) peuvent apparaître surtout au début du traitement.
  • +A ce jour, aucune étude n'a été effectuée concernant les effets du ropinirole sur l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines. Cependant, il faut prévenir les patients que des épisodes d'endormissement soudain sans signes avant-coureurs, une somnolence ou un état vertigineux (y compris vertiges) peuvent apparaître, surtout au début du traitement.
  • -Ces effets indésirables sont répertoriés en fonction de leur classe d'organe et de leur fréquence d'apparition. Les fréquences ont été établies dans des études cliniques par rapport au placebo, les effets étant classés comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1000), rares (<1/1000, ≥1/10'000), très rares (<1/10'000).
  • +Ces effets indésirables sont répertoriés en fonction de leur classe de systèmes d'organes et de leur fréquence. Les fréquences ont été établies dans des études cliniques par rapport au placebo, les effets étant classés comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (1/100, <1/10), occasionnels (1/1000, <1/100), rares (1/10'000, <1/1'000), très rares (<1/10'000).
  • -Fréquents: état vertigineux (y compris vertiges), somnolence, syncopes, augmentation (soit survenue plus précoce, intensité accrue ou extension des symptômes à des membres encore non affectés auparavant), phénomène de rebond tôt le matin (réapparition des symptômes dans les premières heures du matin) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquents: état vertigineux (y compris vertiges), somnolence, syncopes, augmentation (soit survenue plus précoce, intensité accrue ou extension des symptômes à des membres encore non affectés auparavant), phénomène de rebond tôt le matin (réapparition des symptômes dans les premières heures du matin) (voir «Mises en garde et précautions»)
  • -Fréquents: fatigue.
  • +Fréquents: fatigue
  • -Les effets indésirables suivants ont été observés dans les études cliniques ayant utilisé des doses allant jusqu'à 24 mg/jour dans le traitement de la maladie de Parkinson. Ces effets indésirables sont répertoriés selon leur classe d'organe et leur fréquence. Les fréquences ont été établies dans des études cliniques par rapport au placebo, les effets étant classés comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, 1/1000), rares (<1/1000, 1/10'000), très rares (<1/10'000).
  • +Les effets indésirables suivants ont été observés dans les études cliniques ayant utilisé des doses allant jusqu'à 24 mg/jour dans le traitement de la maladie de Parkinson. Ces effets indésirables sont répertoriés selon leur classe de systèmes d'organes et leur fréquence. Les fréquences ont été établies dans des études cliniques par rapport au placebo, les effets étant classés comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (1/100, <1/10), occasionnels (≥1/1'000, <1/100), rares (1/10'000, <1/1000), très rares (<1/10'000).
  • -Expériences tirées de rapports post-marketing:
  • +Effets indésirables après commercialisation
  • -Très rares: réactions d'hypersensibilité (dont urticaire, angiœdème, éruption cutanée, prurit). Un cas isolé d'anaphylaxie a été rapporté, mais le lien causal avec la prise de ropinirole n'a pas pu être établi.
  • +Très rares: réactions d'hypersensibilité (dont urticaire, angiœdème, éruption cutanée, prurit). Un cas isolé d'anaphylaxie a été rapporté, mais le lien causal avec la prise de ropinirole n'a pas pu être démontré.
  • -Troubles du contrôle des impulsions. Ont été signalés, p.ex., une passion pathologique pour les jeux, augmentation de la libido, y compris hypersexualité, achats compulsifs et fringales (binge eating) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Troubles du contrôle des impulsions. Ont été signalés, p.ex., addiction pathologique au jeu, augmentation de la libido, y compris hypersexualité, achats compulsifs et fringales (binge eating) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -**Comme pour d'autres traitements dopaminergiques, des rapports font état de somnolence extrême et d'endormissement soudain, notamment chez les patients parkinsoniens. Les patients frappés par ce phénomène ne peuvent pas résister au besoin de sommeil et au réveil, ils ne se souviennent souvent pas d'avoir été fatigués avant l'endormissement (voir «Mises en garde et précautions»). Dans les cas où l'on dispose des données issues de rapports spontanés, les patients se sont rétablis après une réduction de la dose ou l'arrêt du médicament. La plupart des patients prenaient en même temps d'autres médicaments à effet potentiellement sédatif.
  • +** Comme pour d'autres traitements dopaminergiques, des rapports font état de somnolence extrême et d'endormissement soudain, notamment chez les patients parkinsoniens. Les patients frappés par ce phénomène ne peuvent pas résister au besoin de sommeil et au réveil, ils ne se souviennent souvent pas d'avoir été fatigués avant l'endormissement (voir «Mises en garde et précautions»). Dans les cas où l'on dispose des données issues de rapports spontanés, les patients se sont rétablis après une réduction de la dose ou l'arrêt du médicament. La plupart des patients prenaient en même temps d'autres médicaments à effet potentiellement sédatif.
  • -†† Syndrome de sevrage aux agonistes dopaminergiques (incluant insomnie, apathie, anxiété, dépression, fatigue, sueurs et douleurs).
  • +†† Syndrome de sevrage aux agonistes dopaminergiques (incluant insomnie, apathie, anxiété, dépression, épuisement, sueurs et douleurs).
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -En cas de surdosage de ropinirole, il faut s'attendre à des symptômes relevant de l'activité dopaminergique du principe actif. Ces symptômes peuvent être atténués par un traitement par des antagonistes dopaminergiques, tels que des neuroleptiques ou le métoclopramide.
  • +Signes et symptômes
  • +En cas de surdosage de ropinirole, il faut s'attendre à des symptômes relevant de l'activité dopaminergique du principe actif.
  • +Traitement
  • +Ces symptômes peuvent être atténués par un traitement par des antagonistes dopaminergiques, tels que des neuroleptiques ou le métoclopramide.
  • -Code ATC: N04BC04
  • -Mécanisme d'action:
  • +Code ATC
  • +N04BC04
  • +Mécanisme d'action
  • -Efficacité clinique:
  • +Pharmacodynamique
  • +Voir sous «Mécanisme d'action».
  • +Efficacité clinique
  • -Dans les deux études pivots portant sur l'efficacité et effectuées sur une période de 12 semaines chacune, des patients souffrant du syndrome des jambes sans repos ont été attribués par randomisation aux groupes ropinirole ou placebo. L'efficacité a été évaluée dans la 12e semaine au moyen de l'échelle internationale du syndrome des jambes sans repos (International Restless Legs Syndrome Scale) et du score CGI (Clinical Global Impression) par comparaison aux valeurs établies au début de l'étude (baseline). La dose moyenne de ropinirole était de 1,9 mg par jour. Dans les deux études, des différences statistiquement significatives entre le ropinirole et le placebo ont été constatées. Déjà au bout d'une semaine de traitement seulement, des différences significatives entre le ropinirole et le placebo ont été observées, tant au niveau du score sur l'échelle internationale du syndrome des jambes sans repos que du score CGI. Dans une analyse réunissant les données recueillies sur 12 semaines, le taux de réponses à Adartrel était comparable chez les patients des deux sexes; cependant, le nombre des femmes ayant répondu au traitement par placebo était nettement supérieur à celui des hommes. Cela signifie que la différence thérapeutique observée était nettement plus faible chez les femmes que chez les hommes.
  • -Dans une étude contrôlée par un placebo, effectuée sur une période de 12 semaines chez des patients atteints du syndrome des jambes sans repos, l'efficacité d'un traitement par le ropinirole sur les mouvements périodiques nocturnes des jambes, de même que sur les mouvements périodiques nocturnes ayant entraîné un réveil, a été examinée en faisant appel à une polysomnographie. Des différences statistiquement significatives entre le ropinirole et le placebo y ont été observées tout au long du traitement, tant au niveau des mouvements périodiques nocturnes (p ≤0,001) que de l'indice de mouvements périodiques nocturnes entraînant un réveil (p = 0,0096).
  • +Dans les deux études pivots portant sur l'efficacité et effectuées sur une période de 12 semaines chacune, des patients souffrant du syndrome des jambes sans repos ont été attribués par randomisation aux groupes ropinirole ou placebo. L'efficacité a été évaluée dans la 12e semaine au moyen de l'échelle internationale du syndrome des jambes sans repos (International Restless Legs Syndrome Scale) et du score CGI (Clinical Global Impression) par comparaison aux valeurs établies au début de l'étude (baseline). La dose moyenne de ropinirole était de 1,9 mg par jour. Dans les deux études, des différences statistiquement significatives entre le ropinirole et le placebo ont été constatées. Déjà au bout d'une semaine de traitement seulement, des différences significatives entre le ropinirole et le placebo ont été observées, tant au niveau du score sur l'échelle internationale du syndrome des jambes sans repos que du score CGI. Dans une analyse réunissant les données recueillies sur 12 semaines, le taux de réponse à Adartrel était comparable chez les patients des deux sexes; cependant, le nombre des femmes ayant répondu au traitement par placebo était nettement supérieur à celui des hommes. Cela signifie que la différence thérapeutique observée était nettement plus faible chez les femmes que chez les hommes.
  • +Dans une étude contrôlée par un placebo, effectuée sur une période de 12 semaines chez des patients atteints du syndrome des jambes sans repos, l'efficacité d'un traitement par le ropinirole sur les mouvements périodiques nocturnes des jambes, de même que sur les mouvements périodiques nocturnes ayant entraîné un réveil, a été examinée en faisant appel à une polysomnographie. Des différences statistiquement significatives entre le ropinirole et le placebo y ont été observées tout au long du traitement, tant au niveau des mouvements périodiques nocturnes (p ≤ 0,001) que de l'indice de mouvements périodiques nocturnes entraînant un réveil (p = 0,0096).
  • -Le maintien de l'efficacité à long terme dans le traitement du RLS a été démontré dans une étude de 36 semaines. Après une phase thérapeutique de 24 semaines, effectuée en simple aveugle (posologie flexible de 0,25 mg à 4 mg de ropinirole une fois par jour), les patients ayant répondu au traitement (définis par un recul du score global >6 points sur l'échelle IRLS par rapport aux valeurs initiales) ont été attribués par randomisation, par une méthode en double insu, au traitement par placebo ou à la poursuite du traitement par le ropinirole pour 12 semaines supplémentaires. Après la randomisation, 45 patients ont reçu le ropinirole (24 hommes et 21 femmes) et 47 patients le placebo (17 hommes et 30 femmes). Le taux de récidives a été défini comme une augmentation d'au moins 6 points dans le score global sur l'échelle IRLS sur un score global d'au moins 15 points ou comme un arrêt du traitement en raison du manque d'efficacité. Pour les patients ayant répondu au traitement, la dose moyenne de ropinirole, administrée à la 24e semaine, a été de l'ordre de 2,0 mg (écart compris entre 0,25 et 4 mg). Les patients du sexe masculin ayant poursuivi le traitement par le ropinirole, ont présenté un taux de récidives significativement plus faible que les patients du sexe masculin ayant reçu le traitement par placebo (22,7% versus 62,6%, p = 0,0080). Le taux de récidives a été moindre chez les patients du sexe féminin ayant poursuivi la prise du ropinirole que chez les patients du même sexe attribués par randomisation au traitement par placebo, mais cette différence n'était pas statistiquement significative (42,9% versus 55,2%, p = 0,4680). Il est possible que ce manque de significativité statistique soit attribuable au nombre de patients relativement faible au sein de chaque sous-groupe. Au total, les patients ayant poursuivi la prise du ropinirole ont présenté un taux de récidives significativement plus faible que les patients attribués par randomisation au traitement par placebo (32,6% versus 57,8%, p = 0,0156).
  • +Le maintien de l'efficacité à long terme dans le traitement du RLS a été démontré dans une étude de 36 semaines. Après une phase thérapeutique de 24 semaines, effectuée en simple aveugle (posologie flexible de 0,25 mg à 4 mg de ropinirole une fois par jour), les patients ayant répondu au traitement (définis par un recul du score global >6 points sur l'échelle IRLS par rapport aux valeurs initiales) ont été attribués par randomisation, par une méthode en double insu, au traitement par placebo ou à la poursuite du traitement par le ropinirole pour 12 semaines supplémentaires. Après la randomisation, 45 patients ont reçu le ropinirole (24 hommes et 21 femmes) et 47 patients le placebo (17 hommes et 30 femmes). Le taux de récidive a été défini comme une augmentation d'au moins 6 points dans le score global sur l'échelle IRLS sur un score global d'au moins 15 points ou comme un arrêt du traitement en raison du manque d'efficacité. Pour les patients ayant répondu au traitement, la dose moyenne de ropinirole, administrée à la 24ème semaine, a été de l'ordre de 2 mg (écart compris entre 0,25 et 4 mg). Les patients du sexe masculin ayant poursuivi le traitement par le ropinirole, ont présenté un taux de récidive significativement plus faible que les patients du sexe masculin ayant reçu le traitement par placebo (22,7% versus 62,6%, p = 0,0080). Le taux de récidives a été moindre chez les patients du sexe féminin ayant poursuivi la prise du ropinirole que chez les patients du même sexe attribués par randomisation au traitement par placebo, mais cette différence n'était pas statistiquement significative (42,9% versus 55,2%, p = 0,4680). Il est possible que ce manque de significativité statistique soit attribuable au nombre de patients relativement faible au sein de chaque sous-groupe. Au total, les patients ayant poursuivi la prise du ropinirole ont présenté un taux de récidive significativement plus faible que les patients attribués par randomisation au traitement par placebo (32,6% versus 57,8%, p = 0,0156).
  • -Absorption:
  • -Après administration orale, le ropinirole est rapidement et presque intégralement absorbé. La biodisponibilité du ropinirole est d'environ 50% (de 36% jusqu'à 57%). Après la prise à jeun d'une dose unique, les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes au bout de 1,5 heures en moyenne. La biodisponibilité du ropinirole lors de la prise après les repas a été semblable à celle lors de la prise à jeun. Un repas riche en graisses influence cependant le taux d'absorption du ropinirole. Cela se traduit par un allongement du temps moyen nécessaire pour atteindre la concentration plasmatique maximale (Tmax) de 2,6 heures et une diminution de la concentration plasmatique maximale (Cmax) d'en moyenne 25%. Les paramètres pharmacocinétiques ont été soumis à une forte variabilité interindividuelle.
  • +Absorption
  • +Après administration orale, le ropinirole est rapidement et presque intégralement sorbé. La biodisponibilité du ropinirole est d'environ 50% (de 36% jusqu'à 57%). Après la prise à jeun d'une dose unique, les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes au bout de 1,5 heures en moyenne. La biodisponibilité du ropinirole lors de la prise après les repas a été semblable à celle lors de la prise à jeun. Un repas riche en graisses influence cependant le taux d'absorption du ropinirole. Cela se traduit par un allongement du temps moyen nécessaire pour atteindre la concentration plasmatique maximale (Tmax) de 2,6 heures et une diminution de la concentration plasmatique maximale (Cmax) d'en moyenne 25%. Les paramètres pharmacocinétiques ont été soumis à une forte variabilité interindividuelle.
  • -Distribution:
  • -La liaison du médicament aux protéines plasmatiques est faible (de 10 à 40%). En raison de sa forte lipophilie, le ropinirole présente un volume de distribution important (env. 7 l/kg).
  • -Métabolisme:
  • +Distribution
  • +La liaison du médicament aux protéines plasmatiques est faible (de 10 à 40%). En raison de sa forte lipophilie, le ropinirole présente un volume de distribution important (env. 7 L/kg).
  • +Métabolisme
  • -Elimination:
  • +Élimination
  • -Cinétique dans des situations cliniques particulières:
  • -Patients âgés:
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine entre 30 et 50 mL/min), aucune modification de la clairance du ropinirole n'a été observée.
  • +Chez les patients atteints d'une néphropathie au stade terminal et qui se soumettent régulièrement à une dialyse, la clairance du ropinirole après administration orale est réduite de 30% environ. La dose maximale recommandée est de 3 mg/jour (voir «Posologie/Mode d'emploi - Patients présentant des troubles de la fonction rénale»).
  • +Patients âgés
  • -Insuffisance rénale
  • -Chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine entre 30 et 50 ml/min), aucune modification de la clairance du ropinirole n'a été observée.
  • -Chez les patients atteints d'une néphropathie au stade terminal et se soumettant régulièrement à une dialyse, la clairance du ropinirole après administration orale est réduite de 30% environ. La dose maximale recommandée est de 3 mg/jour (voir «Posologie/Mode d'emploi; insuffisance rénale»).
  • -Grossesse:
  • +Grossesse
  • -Stabilité:
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Remarques concernant le stockage:
  • -Conserver dans l'emballage d'origine. Ne pas conserver au-dessus de 25 °C et tenir hors de portée des enfants.
  • +Stabilité
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver dans l'emballage d'origine. Ne pas conserver au-dessus de 25 °C et conserver hors de portée des enfants.
  • -Comprimés enrobés à 0,25 mg: 12 (emballage initial pour la première semaine de traitement) (B).
  • -Comprimés enrobés à 0,5 mg: 28 (B).
  • -Comprimés enrobés à 0,5 mg: 84 (B).
  • -Comprimés enrobés à 2,0 mg: 28 (B).
  • -Comprimés enrobés à 2,0 mg: 84 (B).
  • +Comprimés pelliculés à 0,25 mg: 12 (emballage initial pour la première semaine de traitement) (B).
  • +Comprimés pelliculés à 0,5 mg: 28 (B).
  • +Comprimés pelliculés à 0,5 mg: 84 (B).
  • +Comprimés pelliculés à 2 mg: 28 (B).
  • +Comprimés pelliculés à 2 mg: 84 (B).
  • -Septembre 2019.
  • +Décembre 2019.
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