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Accueil - Information professionnelle sur Pravastatin Sandoz 20 - Changements - 11.10.2016
64 Changements de l'information professionelle Pravastatin Sandoz 20
  • -Enfants et adolescents souffrant d'hypercholésterolémie hétérozygote familiale
  • +Enfants et adolescents souffrant d'hypercholestérolémie hétérozygote familiale
  • -Traitement associé à l'acide nicotinique, au probucol, au gemfibrozil et aux résines échangeuses d'ions
  • -Les études pharmacocinétiques portant sur les interactions pharmacocinétiques associant pravastatine à l'acide nicotinique, au probucol et au gemfibrozil n'ont révélé aucune affection de la biodisponibilité de la pravastatine; voir aussi «Interactions».
  • +Traitement associé à l'acide nicotinique, au probucol et aux résines échangeuses d'ions
  • +Les études pharmacocinétiques portant sur les interactions pharmacocinétiques associant pravastatine à l'acide nicotinique et au probucol n'ont révélé aucune affection de la biodisponibilité de la pravastatine; voir aussi «Interactions».
  • -Maladie hépatique active et élévation persistante inconnue des transaminases (SGOT [ASAT], SGPT [ALAT]; >3 fois la valeur normale supérieure) et cholestase (voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables: Foie»).
  • +Maladie hépatique active et élévation persistante inconnue des transaminases (SGOT [ASAT], SGPT [ALAT] >3 fois la valeur normale supérieure) et cholestase (voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables: Foie»).
  • -·Il n'est pas recommandé de faire des contrôles de routine du taux de la créatine kinase (CK) ou d'autres enzymes musculaires chez les patients asymptomatiques recevant un inhibiteur de la HMG-CoA réductase. Cependant, avant l'administration d'un inhibiteur de la HMG-CoA réductase, on recommande de mesurer la CK chez les personnes particulièrement prédisposées et les patients qui ont subi des symptômes musculaires sous le traitement par un inhibiteur de la HMG-CoA réductase (voir description ci-dessous). Au cas où la valeur initiale de la CK serait significativement élevée (>5 fois la limite supérieure de la norme), on recommande de mesurer la créatine kinase encore une fois environ 5 à 7 jours plus tard afin de confirmer les résultats. Le taux mesuré sera évalué en relation avec d'autres facteurs potentiels qui pourraient provoquer des troubles musculaires passagers (p.ex. efforts physiques intenses, traumatisme musculaire).
  • -·Avant le traitement: La prudence s'impose chez les patients avec une prédisposition (p.ex. insuffisance rénale, hypothyroïdie, antécédents de toxicité musculaire sous traitement par des inhibiteurs de la HMG-CoA réductase ou par des fibrates, maladie musculaire héréditaire ou prédisposition pour une maladie musculaire en raison d'anamnèse familiale, abus d'alcool). Dans ces cas, on devrait mesurer la CK avant l'instauration du traitement. Un contrôle de la CK avant la thérapie sera aussi envisagé chez les patients âgés de plus de 70 ans, particulièrement lorsqu'ils ont d'autres prédispositions. Au cas où la CK serait significativement élevée (valeur initiale >5 fois la limite supérieure de la norme) on renoncera au traitement et on mesurera la CK encore une fois 5 à 7 jours plus tard. La valeur initiale de la créatine kinase pourrait être utile comme référence au cas où le taux augmenterait plus tard durant la thérapie par l'inhibiteur de la HMG-CoA réductase.
  • -·Durant le traitement: Les patients devraient être avisés d'informer leur médecin immédiatement de tous les troubles musculaires (douleurs, tensions, faiblesses, crampes) d'étiologie inconnue. Dans ces cas, on procédera au contrôle de la CK. Si celle-ci est significativement élevée (>5 fois la limite supérieure de la norme), il faudrait arrêter le traitement par l'inhibiteur de la HMG-CoA réductase. L'arrêt du traitement sera également envisagé si les symptômes musculaires sont sévères et posent une gêne quotidienne pour le patient, même au cas où la CK serait ≤5 fois de la norme. Si les symptômes régressent et le taux de la CK se normalise, on pourrait envisager la réintroduction du traitement par l'inhibiteur de la HMG-CoA réductase, tout en utilisant la dose la plus basse et en surveillant le patient de près. Si l'on suspecte le patient d'avoir une maladie musculaire héréditaire, on ne recommandera pas la réintroduction du traitement par l'inhibiteur de la HMG-CoA réductase.
  • +Il n'est pas recommandé de faire des contrôles de routine du taux de la créatine kinase (CK) ou d'autres enzymes musculaires chez les patients asymptomatiques recevant une thérapie par une statine. Cependant, avant l'administration d'une statine, on recommande de mesurer la CK chez les personnes particulièrement prédisposées et les patients qui ont subi des symptômes musculaires sous le traitement par une statine (voir description ci-dessous). Au cas où la valeur initiale de la CK serait significativement élevée (>5 fois la limite supérieure de la norme), on recommande de mesurer la créatine kinase encore une fois environ 5 à 7 jours plus tard afin de confirmer les résultats. Le taux mesuré sera évalué en relation avec d'autres facteurs potentiels qui pourraient provoquer des troubles musculaires passagers (p.ex. efforts physiques intenses, traumatisme musculaire).
  • +·Avant le traitement: La prudence s'impose chez les patients avec une prédisposition (p.ex. âge avancé (>65)), insuffisance rénale, hypothyroïdie non contrôlée (hypothyréose), antécédents de toxicité musculaire sous traitement par des statines ou par des fibrates, maladie musculaire héréditaire ou prédisposition pour une maladie musculaire en raison d'anamnèse familiale, abus d'alcool). Dans ces cas, on devrait mesurer la CK avant l'instauration du traitement. Un contrôle de la CK avant la thérapie sera aussi envisagé chez les patients âgés de plus de 70 ans, particulièrement lorsqu'ils ont d'autres prédispositions. Au cas où la CK serait significativement élevée (valeur initiale >5 fois la limite supérieure de la norme) on renoncera au traitement et on mesurera la CK encore une fois 5 à 7 jours plus tard. La valeur initiale de la créatine kinase pourrait être utile comme référence au cas où le taux augmenterait plus tard durant la thérapie par la statine.
  • +·Durant le traitement: Les patients devraient être avisés d'informer leur médecin immédiatement de tous les troubles musculaires (douleurs, tensions, faiblesses, crampes) d'étiologie inconnue. Dans ces cas, on procédera au contrôle de la CK. Si celle-ci est significativement élevée (>5 fois la limite supérieure de la norme), il faudrait arrêter le traitement par la statine. L'arrêt du traitement sera également envisagé si les symptômes musculaires sont sévères et posent une gêne quotidienne pour le patient, même au cas où la CK serait ≤5 fois de la norme. Si les symptômes régressent et le taux de la CK se normalise, on pourrait envisager la réintroduction du traitement par la statine, tout en utilisant la dose la plus basse et en surveillant le patient de près. Si l'on suspecte le patient d'avoir une maladie musculaire héréditaire, on ne recommandera pas la réintroduction du traitement par la statine.
  • +Dans de très rares cas, une myopathie nécrosante immuno-médiée (immune-mediated necrotizing myopathy, IMNM) a été signalée pendant ou après le traitement par certaines statines, en ce compris la pravastatine. Les caractéristiques cliniques d'une IMNM sont une faiblesse musculaire proximale persistante et des valeurs accrues de créatine kinase sérique, qui demeurent importantes malgré l'arrêt du traitement aux statines.
  • +Les inhibiteurs de la HMG-CoA réductase (statines), Pravastatine Sandoz y compris, ne doivent pas être utilisés conjointement à des préparations systémiques à base d'acide fusidique.
  • +Des cas de rhabdomyolyse (avec décès dans quelques cas) ont été signalés chez des patients qui recevaient des préparations systémiques à base d'acide fusidique en association à des statines (voir «Interactions»).
  • +Le traitement par Pravastatine Sandoz doit être arrêté pendant une thérapie systémique à base d'acide fusidique qui s'avère indispensable. Les patients doivent être informés qu'ils doivent solliciter un avis médical immédiatement s'ils remarquent des signes de faiblesse, de douleurs ou de sensibilité musculaire.
  • +Le traitement aux statines peut reprendre 7 jours après la dernière dose d'acide fusidique.
  • +Dans des situations exceptionnelles, si un traitement systémique continu par acide fusidique est nécessaire, l'utilisation concomitante de Pravastatine Sandoz et d'acide fusidique ne doit être envisagée qu'au cas par cas et sous étroite surveillance médicale.
  • +Pneumopathie interstitielle
  • +Avec certaines statines, dont la pravastatine, des cas isolés de pneumopathie interstitielle ont été signalés, en particulier en cas de traitement à long terme (voir «Effets indésirables, Étude observationnelle postmarketing»). Les symptômes peuvent comprendre: détresse respiratoire (dyspnée), toux sèche et détérioration de la santé globale (fatigue, perte de poids et fièvre). Si l'on suspecte que le patient a contracté une pneumopathie interstitielle, le traitement aux statines doit être arrêté.
  • -Des études in-vitro ont démontré que la pravastatine ne présente qu'une faible affinité pour le cytochrome P-450 3A4. Donc, le métabolisme par l'isoenzyme 3A4 du cytochrome P-450 ne joue aucun rôle important (voir aussi «Pharmacocinétique: Métabolisme»).
  • +Des études in vitro ont démontré que la pravastatine ne présente qu'une faible affinité pour le cytochrome P-450 3A4. Donc, le métabolisme par l'isoenzyme 3A4 du cytochrome P-450 ne joue aucun rôle important (voir aussi «Pharmacocinétique: Métabolisme»).
  • -Lorsque pravastatine a été administré au moins 1 heure avant ou 4 heures après la colestyramine, ou 1 heure avant le colestipol et un repas standard, on n'a observé aucune réduction cliniquement significative de la biodisponibilité ou de l'effet clinique du médicament (voir «Posologie/Mode d'emploi: Instructions posologiques spéciales»). La biodisponibilité de la pravastatine se trouve diminuée lors de l'administration simultanée (diminution de l'AUC: 40-50%).
  • +Lorsque pravastatine a été administré au moins 1 heure avant ou 4 heures après la colestyramine, ou 1 heure avant le colestipol et un repas standard, on n'a observé aucune réduction cliniquement significative de la biodisponibilité ou de l'effet clinique du médicament (voir «Posologie/Mode d'emploi: Instructions posologiques spéciales»). La biodisponibilité de la pravastatine se trouve diminuée lors de l'administration simultanée (diminution de l'AUC: 4050%).
  • -Erythromycine/clarithromycine
  • -Dans une étude d'interaction avec l'érythromycine, une augmentation statistiquement significative de l'AUC (70%) et de la Cmax (121%) a été observée pour la pravastatine; dans une étude avec la clarithromycine, ces paramètres de la pravastatine ont été significativement augmentés sur le plan statistique (AUC = 110% et Cmax = 127%). Aucune élévation de la demi-vie (T) n'a été observée.
  • -Ces altérations modérées de la biodisponibilité de la pravastatine pourraient être le résultat d'une accélération de la vidange gastrique provoquée par des «mycines», mais cela ne semble pas être cliniquement significatif.
  • +Macrolides
  • +Les macrolides peuvent augmenter l'exposition aux statines s'ils sont utilisés en association.
  • +Dans une étude d'interaction avec l'érythromycine, une augmentation statistiquement significative de l'AUC (70%) et de la Cmax (121%) a été observée pour la pravastatine; dans une étude avec la clarithromycine, ces paramètres de la pravastatine ont été significativement augmentés sur le plan statistique (AUC = 110% et Cmax = 127%). Aucune élévation de la demi-vie (T½) n'a été observée.
  • +Même si ces variations de la biodisponibilité de la pravastatine étaient modérées, la pravastatine ne doit être utilisée qu'avec prudence lorsqu'elle est associée à des antibiotiques macrolides en raison du risque potentiel accru de myopathies.
  • +L'utilisation de fibrates seuls a occasionnellement été associé à une myopathie. Un risque accru d'événements indésirables musculosquelettiques, y compris la rhabdomyolyse, a été signalé lorsque les fibrates étaient administrés avec d'autres statines. Ces événements indésirables ne pouvant pas être exclus avec la pravastatine, il faut généralement éviter l'association de pravastatine et de fibrates (p.ex. gemfibrozil, fénofibrate). Lorsque cette association est considérée comme nécessaire, une surveillance clinique étroite s'impose, couplée à une surveillance de la créatine phosphokinase (CPK) sérique.
  • -En général, la co-administration de pravastatine avec des fibrates devrait être évitée.
  • +La co-administration de pravastatine avec des fibrates devrait être évitée.
  • -Les inhibiteurs de la HMG-CoA réductase et les antifongiques de la classe des dérivés azolés inhibent la biosynthèse du cholestérol à différents niveaux. Chez les patients recevant de la ciclosporine et nécessitant un traitement systémique par un agent azolé, il faudrait interrompre l'administration de pravastatine temporairement. Les patients qui ne reçoivent pas de ciclosporine devraient être surveillés attentivement lorsqu'ils sont mis sous traitement systémique par un antifongique azolé.
  • +Les statines et les antifongiques de la classe des dérivés azolés inhibent la biosynthèse du cholestérol à différents niveaux. Chez les patients recevant de la ciclosporine et nécessitant un traitement antifongique systémique par un agent azolé, il faudrait interrompre l'administration de pravastatine temporairement. Les patients qui ne reçoivent pas de ciclosporine devraient être surveillés attentivement lorsqu'ils sont mis sous traitement systémique par un antifongique azolé.
  • +Préparations systémiques à base d'acide fusidique
  • +L'association de statines, Pravastatine Sandoz y compris, et d'acide fusidique peut entraîner des rhabdomyolyses potentiellement mortelles. Des cas de rhabdomyolyse (dont certains ont entraîné le décès) ont été signalés chez des patients qui recevaient des préparations systémiques à base d'acide fusidique en association à des statines (voir «Mises en garde et précautions»). Le mécanisme régissant cette interaction n'est pas connu.
  • +Le traitement par Pravastatine Sandoz doit être arrêté pendant une thérapie systémique à base d'acide fusidique qui s'avère indispensable.
  • +Le traitement par Pravastatine Sandoz peut reprendre sept jours après l'administration de la dernière dose d'acide fusidique.
  • +
  • -On ne connaît aucune interaction cliniquement significative entre pravastatine et les agents thérapeutiques suivants: diurétiques, antihypertenseurs, glucosides digitaliques, inhibiteurs de l'ECA, anticalciques, bêta-bloquants ou nitroglycérine.
  • +On ne connaît aucune interaction cliniquement significative entre pravastatine et les agents thérapeutiques suivants: diurétiques, antihypertenseurs, glucosides digitaliques, inhibiteurs de l'ECA, antagonistes de calcium, bêta-bloquants ou nitroglycérine.
  • -L'athérosclérose est un processus chronique, et une interruption du traitement hypolipémiant chez la femme enceinte n'a qu'une légère influence, à long terme, sur l'hypercholestérolémie primaire. Le cholestérol et ses dérivés sont essentiels pour le développement du fœtus (y compris la synthèse des stéroïdes et des membranes cellulaires). Comme les inhibiteurs de la HMG-CoA réductase pourraient également inhiber la synthèse d'autres dérivés bioactifs du cholestérol, on ne peut pas exclure une affection du fœtus lors du traitement par ces agents durant la grossesse.
  • -On connaît quelques cas de malformations congénitales chez des nourrissons dont les mères, lorsqu'elles étaient enceintes, avaient pris un inhibiteur de la HMG-CoA réductase.
  • +L'athérosclérose est un processus chronique, et une interruption du traitement hypolipémiant chez la femme enceinte n'a qu'une légère influence, à long terme, sur l'hypercholestérolémie primaire. Le cholestérol et ses dérivés sont essentiels pour le développement du fœtus (y compris la synthèse des stéroïdes et des membranes cellulaires). Comme les statines pourraient également inhiber la synthèse d'autres dérivés bioactifs du cholestérol, on ne peut pas exclure une affection du fœtus lors du traitement par ces agents durant la grossesse.
  • +On connaît quelques cas de malformations congénitales chez des nourrissons dont les mères, lorsqu'elles étaient enceintes, avaient pris une statine.
  • -Lorsqu'une patiente tombe enceinte au cours de la thérapie par Pravastatine Sandoz, il faut arrêter le traitement et informer la patiente sur le risque pour le foetus.
  • +Lorsqu'une patiente tombe enceinte au cours de la thérapie par Pravastatine Sandoz, il faut arrêter le traitement et informer la patiente sur le risque pour le fœtus.
  • -Des myalgies, myopathies, rhabdomyolyses, polyneuropathies et arthralgies ont été rapportées lors du traitement par des inhibiteurs de la HMG-CoA réductase (voir aussi ci-dessous «Muscles du squelette» et chapitre «Mises en garde et précautions»).
  • +Des myalgies, myopathies, rhabdomyolyses, polyneuropathies et arthralgies ont été rapportées lors du traitement par des statines (voir aussi ci-dessous «Muscles du squelette» et chapitre «Mises en garde et précautions»).
  • -Les inhibiteurs de la HMG-CoA réductase ont été mis en rapport avec une élévation des taux sériques des enzymes hépatiques. On a occasionnellement observé chez les patients traités par pravastatine une élévation des transaminases sériques à moins de 3 fois la valeur normale supérieure. La signification clinique de cette élévation, qui survient généralement durant les premiers mois du traitement, n'est pas connue à ce jour. Dans le cadre d'études cliniques, on a observé chez 0,5% (6 sur 1139) des patients une élévation marquée (plus de 3 fois la valeur normale supérieure) et persistante des taux enzymatiques; aucun symptôme clinique d'une maladie hépatique ne s'est manifesté et les valeurs élevées se sont normalisées après l'arrêt du traitement (à l'exception de deux patients). Voir aussi «Contre-Indications» et «Mises en garde et précautions: Foie».
  • +Les statines ont été mises en rapport avec une élévation des taux sériques des enzymes hépatiques. On a occasionnellement observé chez les patients traités par pravastatine une élévation des transaminases sériques à moins de 3 fois la valeur normale supérieure. La signification clinique de cette élévation, qui survient généralement durant les premiers mois du traitement, n'est pas connue à ce jour. Dans le cadre d'études cliniques, on a observé chez 0,5% (6 sur 1139) des patients une élévation marquée (plus de 3 fois la valeur normale supérieure) et persistante des taux enzymatiques; aucun symptôme clinique d'une maladie hépatique ne s'est manifesté et les valeurs élevées se sont normalisées après l'arrêt du traitement (à l'exception de deux patients). Voir aussi «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions: Foie».
  • -Des myalgies non compliqués ont été observées lors du traitement par pravastatine (même incidence que lors du traitement par placebo). Dans le cadre d'études cliniques, on a observé chez moins de 0,1% des patients des myopathies (définition: douleur ou faiblesse musculaire accompagnée d'une élévation de la créatine kinase à 10 fois la valeur normale supérieure) qui ont été en corrélation possible avec pravastatine.
  • +Des myalgies non compliquées ont été observées lors du traitement par pravastatine (même incidence que lors du traitement par placebo). Dans le cadre d'études cliniques, on a observé chez moins de 0,1% des patients des myopathies (définition: douleur ou faiblesse musculaire accompagnée d'une élévation de la créatine kinase à 10 fois la valeur normale supérieure) qui ont été en corrélation possible avec pravastatine.
  • -Le risque de myopathie est accru lorsque certains inhibiteurs de la HMG-CoA réductase sont co-administrés avec des fibrates, des immunosuppresseurs (y compris la ciclosporine), l'érythromycine ou la niacine (acide nicotinique).
  • +Le risque de myopathie est accru lorsque certaines statines sont co-administrées avec des fibrates, des immunosuppresseurs (y compris la ciclosporine), l'érythromycine ou la niacine (acide nicotinique).
  • -Partie du corps Pravastatine (n= 10'764) % Placebo (n= 10'719) %
  • -Troubles gastrointestinaux
  • -Dyspepsie/aigreurs 3.5 3.7
  • -Douleurs abdominales 2.4 2.5
  • -Nausées/vomissements 1.6 1.6
  • -Flatulence 1.2 1.1
  • -Constipation 1.2 1.3
  • -Troubles musculosquelettiques
  • -Douleurs musculosquelettiques (y compris arthralgie) 6.0 5.8
  • -Crampes musculaires 2.0 1.8
  • -Myalgie 1.4 1.4
  • -Organes respiratoires
  • -Dyspnée 1.6 1.6
  • -Infections des voies respiratoires supérieures 1.3 1.3
  • -Toux 1.0 1.0
  • -Système nerveux
  • -Obnubilation 2.2 2.1
  • -Maux de tête 1.9 1.8
  • -Troubles du sommeil 1.0 0.9
  • -Dépression 1.0 1.0
  • -Angoisse/nervosité 1.0 1.2
  • -Troubles cutanés
  • -Eruptions cutanées (rash) 2.1 2.2
  • -Troubles cardiaques
  • -Angine de poitrine 3.1 3.4
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • -Troubles de la miction (y compris dysurie, nocturie) 1.0 0.8
  • -Troubles oculaires
  • -Troubles visuels (y compris vision floue, diplopie) 1.6 1.3
  • +Discipline médicale Pravastatine (n = 10'764) % Placebo (n = 10'719) %
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Dyspepsie/aigreurs 3,5 3,7
  • +Douleurs abdominales 2,4 2,5
  • +Nausées/vomissements 1,6 1,6
  • +Flatulence 1,2 1,1
  • +Constipation 1,2 1,3
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Douleurs musculo-squelettiques (y compris arthralgie) 6,0 5,8
  • +Crampes musculaires 2,0 1,8
  • +Myalgie 1,4 1,4
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Dyspnée 1,6 1,6
  • +Infections des voies respiratoires supérieures 1,3 1,3
  • +Toux 1,0 1,0
  • +Affections du système nerveux
  • +Obnubilation 2,2 2,1
  • +Maux de tête 1,9 1,8
  • +Troubles du sommeil 1,0 0,9
  • +Dépression 1,0 1,0
  • +Angoisse/nervosité 1,0 1,2
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Eruptions cutanées (rash) 2,1 2,2
  • +Affections cardiaques
  • +Angine de poitrine 3,1 3,4
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Troubles de la miction (y compris dysurie, nocturie) 1,0 0,8
  • +Affections oculaires
  • +Troubles visuelles (y compris vision floue, diplopie) 1,6 1,3
  • -Fatigue 3.4 3.3
  • -Douleur thoracique 2.6 2.6
  • +Fatigue 3,4 3,3
  • +Douleur thoracique 2,6 2,6
  • -Tableau des effets indésirables observés chez <1,0% (incidence totale) des patients; ces effets ont également été observés lors du traitement par d'autres inhibiteurs de la HMG-CoA réductase et dans l'expérience postmarketing
  • -Partie du corps Pravastatine (n= 10'764) % Placebo (n= 10'719) %
  • -Troubles gastrointestinaux
  • -Diminution de l'appétit 0.3 0.3
  • -Troubles musculosquelettiques
  • -Faiblesse musculaire 0.1 <0.1
  • -Système nerveux
  • -Paresthésies 0.9 0.9
  • -Vertige 0.4 0.4
  • -Insomnie 0.3 0.2
  • -Troubles de mémoire 0.3 0.3
  • -Tremblement 0.1 0.1
  • -Neuropathie (y compris neuropathie périphérique) 0.1 0.1
  • -Troubles cutanés
  • -Prurit 0.9 1.0
  • -Dermatite 0.4 0.5
  • -Sécheresse de la peau 0.2 0.1
  • -Altérations au niveau du cuir chevelu et des cheveux (y compris alopécie) 0.1 0.1
  • -Urticaire 0.1 0.1
  • -Troubles oculaires
  • -Opacité du cristallin 0.5 0.4
  • -Système immunitaire
  • -Allergie 0.1 0.1
  • -Oedèmes au niveau de la tête et de la gorge 0.1 0.1
  • -Troubles endocriniens
  • -Dysfonction sexuelle 0.7 0.7
  • -Troubles de la libido 0.3 0.3
  • +Tableau des effets indésirables observés chez <1,0% (incidence totale) des patients; ces effets ont également été observés lors du traitement par d'autres statines et dans l'expérience postmarketing
  • +Discipline médicale Pravastatine (n= 10'764) % Placebo (n = 10'719) %
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Diminution de l'appétit 0,3 0,3
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Faiblesse musculaire 0,1 <0,1
  • +Affections du système nerveux
  • +Paresthésies 0,9 0,9
  • +Vertige 0,4 0,4
  • +Insomnie 0,3 0,2
  • +Troubles de mémoire 0,3 0,3
  • +Tremblement 0,1 0,1
  • +Neuropathie (y compris neuropathie périphérique) 0,1 0,1
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Prurit 0,9 1,0
  • +Dermatite 0,4 0,5
  • +Sécheresse de la peau 0,2 0,1
  • +Altérations au niveau du cuir chevelu et des cheveux (y compris alopécie) 0,1 0,1
  • +Urticaire 0,1 0,1
  • +Affections oculaires
  • +Opacité du cristallin 0,5 0,4
  • +Affections du système immunitaire
  • +Allergie 0,1 0,1
  • +Oedèmes au niveau de la tête et de la gorge 0,1 0,1
  • +Affections endocriniennes
  • +Dysfonction sexuelle 0,7 0,7
  • +Troubles de la libido 0,3 0,3
  • -Troubles de la gustation 0.1 0.1
  • -Fièvre 0.2 0.2
  • -Flushing 0.1 0.1
  • +Troubles de la gustation 0,1 0,1
  • +Fièvre 0,2 0,2
  • +Flushing 0,1 0,1
  • -Autres effets indésirables observés dans l'expérience postmarketing
  • -Très rarement on a rapporté les effets suivants sans avoir établi un lien de cause: œdème de Quincke, ictère (y compris ictère cholestatique), hépatite et nécroses hépatiques fulminantes, symptômes similaires au lupus érythémateux, pancréatite et thrombocytopénie.
  • -Des cas isolés relatifs aux problèmes du tendon ont été rapportés, parfois compliqués par rupture.
  • -Traitement associé à la colestyramine, au colestipol, à l'acide nicotinique et au probucol
  • -Pravastatine a été co-administré avec la colestyramine, le colestipol, l'acide nicotinique et le probucol. On n'a observé ni d'effets indésirables spécifiques provoqués par une telle association, ni d'effets autres que ceux relatifs aux substances en monothérapie.
  • +Etude observationnelle postmarketing
  • +En plus des événements susmentionnés, les effets indésirables suivants ont également été signalés:
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Angio-œdème, réaction de photosensibilité, dermatomyosite.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Jaunisse, ictère cholestatique, hépatite, nécrose hépatique fulminante, anomalies au test de la fonction hépatique.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Syndrome de type lupus érythémateux, tendinopathie (en particulier tendinite et rupture de tendons), polymyosite et myopathie nécrosante immuno-médiée.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Pancréatite.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Thrombopénie.
  • +Affections psychiatriques
  • +Cauchemars.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Pneumopathie interstitielle.
  • -Code ATC: C10AA03, Inhibiteur de la HMG-CoA réductase (statine)
  • -La pravastatine est un principe actif appartenant à la famille des inhibiteurs de la HMG-CoA réductase. Pravastatine inhibe de manière compétitive la HMG-CoA réductase, l'enzyme qui catalyse l'étape déterminant la vitesse de la biosynthèse du cholestérol. L'effet hypolipémiant repose sur deux mécanismes: d'une part, l'inhibition de la HMG-CoA réductase entraîne une diminution modérée du pool intracellulaire de cholestérol (d'où l'augmentation compensatoire des récepteurs des LDL à la surface des cellules) et une stimulation de la clairance et du catabolisme des LDL circulants; d'autre part, la pravastatine entrave la néosynthèse des LDL par une inhibition de la synthèse hépatique des VLDL, précurseurs des LDL. Les essais in vitro et l'expérimentation animale ont montré que la pravastatine hydrophile agit très sélectivement sur les tissus hépatique et iléal, c'est-à-dire les tissus où la synthèse du cholestérol est la plus prononcée. Contrairement à d'autres inhibiteurs de la HMG-CoA réductase, la pravastatine ne manifeste qu'une activité faible, voire nulle, dans les autres tissus (p.ex. le cristallin, les testicules, les muscles).
  • +Code ATC: C10AA03
  • +Inhibiteur de la HMG-CoA réductase (statine)
  • +La pravastatine est un principe actif appartenant à la famille des inhibiteurs de la HMG-CoA réductase (statine). Pravastatine inhibe de manière compétitive la HMG-CoA réductase, l'enzyme qui catalyse l'étape déterminant la vitesse de la biosynthèse du cholestérol. L'effet hypolipémiant repose sur deux mécanismes: d'une part, l'inhibition de la HMG-CoA réductase entraîne une diminution modérée du pool intracellulaire de cholestérol (d'où l'augmentation compensatoire des récepteurs des LDL à la surface des cellules) et une stimulation de la clairance et du catabolisme des LDL circulants; d'autre part, la pravastatine entrave la néosynthèse des LDL par une inhibition de la synthèse hépatique des VLDL, précurseurs des LDL. Les essais in vitro et l'expérimentation animale ont montré que la pravastatine hydrophile agit très sélectivement sur les tissus hépatique et iléal, c'est-à-dire les tissus où la synthèse du cholestérol est la plus prononcée. Contrairement à d'autres statines, la pravastatine ne manifeste qu'une activité faible, voire nulle, dans les autres tissus (p.ex. le cristallin, les testicules, les muscles).
  • -Relation dose-effet de pravastatine*, administration une fois par jour avant le coucher:
  • +Relation dose-effet de pravastatine*, administration une fois par jour avant le coucher
  • -Outre un traitement standard et des conseils diététiques, les patients ont reçu pendant une durée médiane de 4,8 ans, soit pravastatine (n= 3302) à raison de 40 mg 1 fois par jour, soit un placebo (n= 3293).
  • +Outre un traitement standard et des conseils diététiques, les patients ont reçu pendant une durée médiane de 4,8 ans, soit pravastatine (n= 3302) à raison de 40 mg une fois par jour, soit un placebo (n= 3293).
  • -Coronaropathie, Angiographie Etat après infarctus du myocarde ou coronaropathie angiographique et sclérose carotidienne
  • +Coronaropathie, angiographie Etat après infarctus du myocarde ou coronaropathie angiographique et sclérose carotidienne
  • -Posologie 40 mg 1040 mg
  • -Infarctus du myocarde* Placebo: 10.5% Placebo: 13.3%
  • - Pravastatine: 2.7% Pravastatine: 2.7%
  • - p= 0.006 p= 0.018
  • -Infarctus du myocarde non mortel et mortalité totale Placebo: 11.6% Placebo: 17.1%
  • -Pravastatine: 4.4% Pravastatine: 6.7%
  • -p= 0.02 p= 0.049
  • +Posologie 40 mg 10-40 mg
  • +Infarctus du myocarde* Placebo: 10,5% Pravastatine: 2,7% p = 0,006 Placebo: 13,3% Pravastatine: 2,7% p = 0,018
  • +Infarctus du myocarde non mortel et mortalité totale Placebo: 11,6% Pravastatine: 4,4% p = 0,02 Placebo: 17,1% Pravastatine: 6,7% p = 0,049
  • -Mortalité totale chez les patients avec des antécédents d'infarctus du myocarde -21% <0,01
  • +Mortalité totale chez les patients avec antécédents d'infarctus du myocarde -21% <0,01
  • -Dans une étude en double-aveugle contrôlée par placebo on a traité durant 2 ans 214 patients pédiatriques âgés d'au moins 8 ans et souffrant d'hypercholéstérolémie hétérozygote familiale.
  • +Dans une étude en double-aveugle contrôlée par placebo on a traité durant 2 ans 214 patients pédiatriques âgés d'au moins 8 ans et souffrant d'hypercholestérolémie hétérozygote familiale.
  • -La demi-vie d'élimination plasmatique (Tβ) de la pravastatine, après administration par voie orale, est de 1,5 à 2 h. Environ 20% de substance marquée avec un traceur radioactif sont éliminés dans les urines et 70% dans les selles. Après l'application (par voie intraveineuse) de principe actif marqué avec un traceur radioactif aux sujets bien portants, la clairance corporelle totale s'est répartie comme suit: excrétion rénale 47% et voies d'élimination non rénales 53% (p.ex. excrétion biliaire et biotransformation).
  • +La demi-vie d'élimination plasmatique (T½β) de la pravastatine, après administration par voie orale, est de 1,5 à 2 h. Environ 20% de substance marquée avec un traceur radioactif sont éliminés dans les urines et 70% dans les selles. Après l'application (par voie intraveineuse) de principe actif marqué avec un traceur radioactif aux sujets bien portants, la clairance corporelle totale s'est répartie comme suit: excrétion rénale 47% et voies d'élimination non rénales 53% (p.ex. excrétion biliaire et biotransformation).
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «Exp.» sur l'emballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Conserver dans l'emballage original, à température ambiante (15-25 °C), à l'abri de la lumière et de l'humidité et hors de la portée des enfants.
  • +Conserver dans l'emballage original, à température ambiante (1525 °C), à l'abri de la lumière et de l'humidité et hors de la portée des enfants.
  • -Août 2013.
  • +Décembre 2015.
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