52 Changements de l'information professionelle Kivexa |
-Noyau du comprimé: cellulose microcristalline, carboxyméthylamidon sodique (type A) (correspond à 2,31 mg de sodium/comprimé pelliculé), stéarate de magnésium.
-Pelliculage: hypromellose, dioxyde de titane (E171), macrogol 400, polysorbate 80, jaune orangé S (E110) 1,7 mg/comprimé pelliculé.
- +Noyau du comprimé:
- +Inconnus.
- +Pelliculage:
- +Inconnus.
-Adultes et enfants pesant au moins 25 kg:
- +Adultes et enfants pesant au moins 25 kg
- +Enfants
-L'administration de Kivexa n'est pas recommandée chez les patients ayant une clairance de la créatinine < 30 ml/min. Étant donné que Kivexa étant une association fixe et qu'un ajustement des différents principes actifs n'est pas possible, les monopréparations doivent être utilisées lorsqu'une réduction de la dose des différents principes actifs est nécessaire en raison de troubles de la fonction rénale. L'exposition à la lamivudine est significativement augmentée chez les patients ayant une clairance de la créatinine < 50 ml/min (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
- +L'administration de Kivexa n'est pas recommandée chez les patients ayant une clairance de la créatinine < 50 ml/min (voir „Pharmacocinétique”).
-Kivexa est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue à l'abacavir, à la lamivudine ou à l'un de ses excipients. Voir aussi l'information sur LES REACTIONS D'HYPERSENSIBILITE sous «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»
- +Kivexa est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue à l'abacavir, à la lamivudine ou à l'un de ses excipients. Voir aussi l'information sur LES REACTIONS D'HYPERSENSIBILITE sous «Mises en garde et précautions» et « Effets indésirables »
-La quasi-totalité des RHS à l'abacavir s'accompagnent de fièvre et/ou d'une éruption cutanée qui font partie du syndrome. Les autres signes et symptômes observés dans le cadre de RHS à l'abacavir ont inclus entre autres des symptômes respiratoires et gastro-intestinaux qui peuvent conduire à une erreur diagnostique entre réaction d'hypersensibilité et affection respiratoire (pneumonie, bronchite, pharyngite) ou gastro-entérite (voir «Effets indésirables»). Les symptômes liés à une RHS s'aggravent avec la poursuite du traitement et peuvent menacer le pronostic vital. Ces symptômes disparaissent généralement à l'arrêt du traitement par l'abacavir.
-Insuffisance rénale:
-Administration chez les patients ayant une insuffisance rénale modérée: les patients dont la clairance de la créatinine est comprise entre 30 et 49 ml/min et qui reçoivent Kivexa peuvent avoir une exposition à la lamivudine (AUC) 1,6 à 3,3 fois plus élevée que celle des patients ayant une clairance de la créatinine ≥50 ml/min. Il n'existe pas de données de sécurité issues d'essais randomisés contrôlés comparant Kivexa aux composants individuels chez des patients présentant une clairance de la créatinine comprise entre 30 et 49 ml/min et ayant eu une adaptation de la dose de lamivudine. Dans les premiers essais menés avec la lamivudine en association avec la zidovudine, des expositions plus élevées à la lamivudine étaient associées à une toxicité hématologique plus fréquente (neutropénie et anémie), bien que des arrêts dus à une neutropénie ou à une anémie aient été rapportés pour chacune des toxicités chez < 1% des patients. D'autres événements indésirables associés à la lamivudine (tels que des troubles gastro-intestinaux et des atteintes hépatiques) peuvent survenir.
-Les patients ayant une clairance de la créatinine constante comprise entre 30 et 49 ml/min et qui reçoivent Kivexa doivent être surveillés afin de rechercher des événements indésirables liés à la lamivudine, notamment une toxicité hématologique. En cas d'apparition ou d'aggravation d'une neutropénie ou d'une anémie, une adaptation posologique de la lamivudine, conformément à l'information professionnelle de la lamivudine, est indiquée. Étant donné que cette adaptation ne peut pas être obtenue avec Kivexa, Kivexa doit être arrêté et les composants individuels doivent être utilisés pour établir le schéma thérapeutique.
- +La quasi-totalité des RHS à l'abacavir s'accompagnent de fièvre et/ou d'une éruption cutanée qui font partie du syndrome. Les autres signes et symptômes observés dans le cadre de RHS à l'abacavir ont inclus entre autres des symptômes respiratoires et gastro-intestinaux qui peuvent conduire à une erreur diagnostique entre réaction d'hypersensibilité et affection respiratoire (pneumonie, bronchite, pharyngite) ou gastro-entérite (voir « Effets indésirables »). Les symptômes liés à une RHS s'aggravent avec la poursuite du traitement et peuvent menacer le pronostic vital. Ces symptômes disparaissent généralement à l'arrêt du traitement par l'abacavir.
- +Insuffisance rénale: Fautes d'études adéquates, il est impossible de formuler des recommandations posologiques spécifiques. En cas d'insuffisance rénale, il faut étroitement surveiller le patient.
-L'acidose lactique est liée à un taux de mortalité élevé et peut être associée à une pancréatite, une insuffisance hépatique ou rénale. L'acidose lactique apparaît généralement après quelques mois de traitement ou plus.
-Le traitement par analogues nucléosidiques doit être arrêté à l'apparition d'une hyperlactatémie (symptomatique) et d'une acidose métabolique/lactique (avec ou sans hépatite), d'une hépatomégalie évolutive ou d'une élévation rapide des transaminases. Les analogues nucléosidiques doivent être utilisés avec prudence chez tous les patients, mais notamment chez les femmes obèses, présentant une hépatomégalie, une hépatite ou tout autre facteur de risque connu d'une affection et d'une stéatose hépatiques (certains médicaments et alcool compris). Les patients co-infectés par l'hépatite C et traités par un interféron-alpha et la ribavirine sont exposés à un risque particulier.
- +L'acidose lactique est liée à un taux de mortalité élevé et peut être associée à une pancréatite, une insuffisance hépatique ou rénale.
- +L'acidose lactique apparaît généralement après quelques mois de traitement ou plus.
- +Le traitement par analogues nucléosidiques doit être arrêté à l'apparition d'une hyperlactatémie (symptomatique) et d'une acidose métabolique/lactique (avec ou sans hépatite), d'une hépatomégalie évolutive ou d'une élévation rapide des transaminases.
- +Les analogues nucléosidiques doivent être utilisés avec prudence chez tous les patients, mais notamment chez les femmes obèses, présentant une hépatomégalie, une hépatite ou tout autre facteur de risque connu d'une affection et d'une stéatose hépatiques (certains médicaments et alcool compris). Les patients co-infectés par l'hépatite C et traités par un interféron-alpha et la ribavirine sont exposés à un risque particulier.
-L'innocuité et l'efficacité de Kivexa n'ont pas encore été établies chez les patients présentant des troubles sous-jacents significatifs de la fonction hépatique. Kivexa est contre-indiqué chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique modérée à sévère (voir «Contre-indications»).
- +L'innocuité et l'efficacité de Kivexa n'ont pas encore été établies chez les patients présentant des troubles sous-jacents significatifs de la fonction hépatique. Kivexa est contreindiqué chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique modérée à sévère (voir «Contre-indications»).
- +Excipients: Kivexa contient le colorant azoïque jaune orangé S, susceptible de provoquer des réactions allergiques.
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement «sans sodium».
- +
-Transmission du VIH: Les résultats des études d'observation ont montré qu'il n'y a pas de risque de transmission sexuelle du VIH, si la suppression virologique a été atteinte et maintenue. Toutefois, le risque de transmission sexuelle du VIH ne peut pas être exclu si le TAR prescrit n'est pas pris régulièrement et/ou si la suppression virologique n'a pas été atteinte et maintenue.
- +Transmission du VIH: Les patients doivent être informés que les traitements antirétroviraux disponibles, y compris Kivexa, n'ont pas démontré leur capacité à réduire la transmission par voie sexuelle ou par voie sanguine du VIH. Les précautions appropriées doivent donc être maintenues.
-L'administration concomitante d'abacavir et de riociguat peut provoquer une élévation des taux de riociguat et un risque accru d'hypotension (voir «Interactions»).
-Excipients: Kivexa contient le colorant azoïque jaune orangé S, susceptible de provoquer des réactions allergiques.
-Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement «sans sodium».
-Les enzymes du cytochrome P450 (tels que CYP 3A4, CYP 2C9 ou CYP 2D6) ne jouent pas un rôle majeur dans le métabolisme de l'abacavir ni dans celui de la lamivudine qui ne sont eux-mêmes pas des inducteurs de ce système enzymatique.
-La lamivudine n'inhibe pas les enzymes du cytochrome P450. L'abacavir a un potentiel limité à inhiber le métabolisme médié par le CYP3A4 et il n'inhibe pas in vitro les enzymes CYP2C9 ou CYP2D6. Des études in vitro ont montré que l'abacavir peut inhiber le cytochrome P450 1A1 (CYP1A1). Par conséquent, le risque d'interactions avec les antirétroviraux inhibiteurs de la protéase, les analogues non nucléosidiques et les autres médicaments métabolisés par les principales enzymes du cytochrome P450 est faible.
- +Les enzymes du cytochrome P450 (tels que CYP 3A4, CYP 2C9 ou CYP 2D6) ne jouent pas un rôle majeur dans le métabolisme de l'abacavir ni dans celui de la lamivudine qui ne sont eux-mêmes ni inhibiteurs ni inducteurs de ce système enzymatique. Par conséquent, le risque d'interactions avec les antirétroviraux inhibiteurs de la protéase, les analogues non nucléosidiques et les autres médicaments métabolisés par les principales enzymes du cytochrome P450 est faible.
-Riociguat: In vitro, l'abacavir inhibe le CYP1A1. L'administration concomitante d'une dose unique de riociguat (0,5 mg) à des patients infectés par le VIH recevant l'association abacavir/dolutégravir/lamivudine (600 mg/50 mg/300 mg une fois par jour) a conduit à une ASC(0-∞) du riociguat environ trois fois plus élevée comparée à l'ASC(0-∞) historique du riociguat rapportée chez des sujets sains.
-Une augmentation de l'exposition au riociguat liée à l'abacavir est associée à un risque d'hypotension. Lorsque le traitement par le riociguat est instauré chez des patients recevant des doses stables d'abacavir, une réduction de la dose de riociguat doit être envisagée. Se référer à l'information professionnelle du riociguat pour les recommandations posologiques. Les patients traités simultanément par l'abacavir et le riociguat doivent être surveillés à la recherche de signes et de symptômes d'une hypotension. L'instauration d'un traitement par l'abacavir n'est pas recommandée chez les patients recevant des doses stables de riociguat.
-Affections du système nerveux / Affections psychiatriques: céphalées,paresthésies.
- +Affections du système nerveux / Affections psychiatriques: céphalées, paresthésies.
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif: myalgies, rarement myolyse, arthralgies, élévation de la créatine phosphokinase.
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif: myalgies, rarement myolyse, arthralgies, élévation de la créatine phosphokinase.
-Troubles généraux Fréquent : fièvre, léthargie, fatigue Fréquent: fatigue, malaise, fièvre
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Fréquent : fièvre, léthargie, fatigue Fréquent: fatigue, malaise, fièvre
-Mécanisme d'action et résistance
- +Mécanisme d'action
-Non pertinent.
- +Aucune donnée.
- 2x par jour n/N (%) 1x par jour n/N (%)
- + 2x par jour N (%) 1x par jour N (%)
-ARN du VIH-1<80 c/ml dans le plasma 250/331 (76) 237/335 (71)
- +ARN du VIH-1 <80 c/ml dans le plasma 250/331 (76) 237/335 (71)
-ARN du VIH-1<80 c/ml dans le plasma 242/331 (73) 236/330 (72)
-Différence de risque (1x/jour vs 2x/jour) -1,6% (IC à 95%: -8,4%, +5,2%), p = 0,65
- +ARN du VIH-1 <80 c/ml dans le plasma 242/331 (73) 236/330 (72)
- +Différence de risque (1x/jour vs 2x/jour) -1,6% (IC à 95%: -8,4 %, +5,2%), p = 0,65
-ARN du VIH-1<80 c/ml dans le plasma 234/326 (72) 230/331 (69)
- +ARN du VIH-1 <80 c/ml dans le plasma 234/326 (72) 230/331 (69)
-Dans l'étude CAL30001, 182 patients prétraités et en échec virologique recevaient, par randomisation, soit Kivexa en une prise par jour, soit 300 mg d'abacavir deux fois par jour et 300 mg de lamivudine une fois par jour, dans les deux cas en association avec du ténofovir et un inhibiteur de la protéase ou un inhibiteur non-nucléosidique de la transcriptase inverse, sur 48 semaines de traitement. Les résultats de cette étude révèlent que sur la base de réductions analogues de l' ARN-VIH-1, mesurées par l'évolution de l'aire moyenne sous la courbe (AAUCMB, -1,65 log10 copies/ml vs -1,83 log10 copies/ml [- 0,13; 0,38] IC 95%), le groupe Kivexa n'était pas inférieur au groupe recevant de l'abacavir deux fois par jour. La proportion des patients avec une charge virale ARN-VIH-1< 50 copies/ml (50% vs 47%) et < 400 copies/ml (54% vs 57%) était comparable dans les deux groupes (population ITT). Cependant, étant donné que seuls les patients modérément prétraités ont été inclus dans cette étude, avec un déséquilibre entre les volets d'étude par rapport à la charge virale, ces résultats doivent être interprétés avec précaution.
-Dans l'étude ESS30008, 260 patients en succès virologique sous un traitement de première intention contenant 300 mg d'abacavir et 150 mg de lamivudine (les deux administrés deux fois par jour), associés à un inhibiteur de la protéase ou un inhibiteur non-nucléosidique de la transcriptase inverse, ont été randomisés, afin de poursuivre ce schéma posologique ou de changer pour Kivexa associé à un inhibiteur de la protéase ou un inhibiteur non-nucléosidique de la transcriptase inverse, pendant 48 semaines. Les résultats montrent que, sur la base de la proportion des patients ayant une charge virale ARN-VIH-1< 50 copies/ml, le groupe Kivexa a présenté une réponse virologique comparable (non-infériorité) à celle constatée dans le groupe abacavir / lamivudine (respectivement 90% et 85%, [-1,4; 12,2] IC 90%).
- +Dans l'étude CAL30001, 182 patients prétraités et en échec virologique recevaient, par randomisation, soit Kivexa en une prise par jour, soit 300 mg d'abacavir deux fois par jour et 300 mg de lamivudine une fois par jour, dans les deux cas en association avec du ténofovir et un inhibiteur de la protéase ou un inhibiteur non-nucléosidique de la transcriptase inverse, sur 48 semaines de traitement. Les résultats de cette étude révèlent que sur la base de réductions analogues de l'ARN-VIH-1, mesurées par l'évolution de l'aire moyenne sous la courbe (AAUCMB, -1,65 log10 copies/ml vs -1,83 log10 copies/ml [- 0,13; 0,38] IC 95%), le groupe Kivexa n'était pas inférieur au groupe recevant de l'abacavir deux fois par jour. La proportion des patients avec une charge virale ARN-VIH-1 < 50 copies/ml (50% vs 47%) et < 400 copies/ml (54% vs 57%) était comparable dans les deux groupes (population ITT). Cependant, étant donné que seuls les patients modérément prétraités ont été inclus dans cette étude, avec un déséquilibre entre les volets d'étude par rapport à la charge virale, ces résultats doivent être interprétés avec précaution.
- +Dans l'étude ESS30008, 260 patients en succès virologique sous un traitement de première intention contenant 300 mg d'abacavir et 150 mg de lamivudine (les deux administrés deux fois par jour), associés à un inhibiteur de la protéase ou un inhibiteur non-nucléosidique de la transcriptase inverse, ont été randomisés, afin de poursuivre ce schéma posologique ou de changer pour Kivexa associé à un inhibiteur de la protéase ou un inhibiteur non-nucléosidique de la transcriptase inverse, pendant 48 semaines. Les résultats montrent que, sur la base de la proportion des patients ayant une charge virale ARN-VIH-1 < 50 copies/ml, le groupe Kivexa a présenté une réponse virologique comparable (non-infériorité) à celle constatée dans le groupe abacavir / lamivudine (respectivement 90% et 85%, [-1,4; 12,2] IC 90%).
-La demi-vie d'élimination de la lamivudine est comprise entre 18 et 19 heures. La clairance systémique moyenne de la lamivudine est d'environ 0,32 l/h/kg, avec une élimination essentiellement rénale (> 70%), de par une sécrétion tubulaire active. Des études effectuées chez l'insuffisant rénal révèlent que l'élimination de la lamivudine est altérée lors d'un trouble de la fonction rénale. La posologie doit être réduite chez les patients ayant une clairance de la créatinine < 30 ml/min (voir «Mises en garde et précautions»).
- +La demi-vie d'élimination de la lamivudine est comprise entre 5 et 7 heures. La clairance systémique moyenne de la lamivudine est d'environ 0,32 l/h/kg, avec une élimination essentiellement rénale (> 70%), de par une sécrétion tubulaire active. Des études effectuées chez l'insuffisant rénal révèlent que l'élimination de la lamivudine est altérée lors d'un trouble de la fonction rénale. La posologie doit être réduite chez les patients ayant une clairance de la créatinine < 50 ml/min (voir «Mises en garde et précautions»).
-Pour les patients traités par la lamivudine (300 mg une fois / jour), la demi-vie intracellulaire terminale de la lamivudine-TP était prolongée jusqu'à 16 à 19 heures, alors que la demi-vie plasmatique de la lamivudine était de 18 à 19 heures.
- +Pour les patients traités par la lamivudine (300 mg une fois / jour), la demi-vie intracellulaire terminale de la lamivudine-TP était prolongée jusqu'à 16 à 19 heures, alors que la demi-vie plasmatique de la lamivudine était de 5 à 7 heures.
-L'abacavir est principalement métabolisé par le foie. La pharmacocinétique de l'abacavir a été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (score de Child-Pugh de 5-6), recevant une dose unique de 600 mg. Les résultats ont révélé une augmentation moyenne de l'ASC et de la demi-vie de l'élimination de l'abacavir respectivement d'un facteur 1,89 [1,32; 2,70] et 1,58 [1,22; 2,04]. En raison de la forte variabilité de la disponibilité plasmatique en abacavir, aucune recommandation de réduction posologique ne peut être émise pour les patients souffrant d'une insuffisance hépatique légère (voir «Posologie/Mode d'emploi», «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
- +L'abacavir est principalement métabolisé par le foie. La pharmacocinétique de l'abacavir a été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (score de Child-Pugh de 5-6), recevant une dose unique de 600 mg. Les résultats ont révélé une augmentation moyenne de l'ASC et de la demi-vie de l'élimination de l'abacavir respectivement d'un facteur 1,89 [1,32; 2,70] et 1,58 [1,22; 2,04]. En raison de la forte variabilité de la disponibilité plasmatique en abacavir, aucune recommandation de réduction posologique ne peut être émise pour les patients souffrant d'une insuffisance hépatique légère (voir « Posologie/Mode d'emploi », «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions »).
-Des données pharmacocinétiques ne sont disponibles que pour l'abacavir et la lamivudine administrés séparément. L'abacavir est essentiellement métabolisé par le foie, env. 2% de la dose administrée étant éliminés sous forme inchangée dans les urines. La pharmacocinétique de l'abacavir chez les patients au stade terminal d'insuffisance rénale est similaire à celle des patients ayant une fonction rénale normale. Des études réalisées avec la lamivudine révèlent une augmentation des concentrations plasmatiques (ASC) chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale du fait d'une diminution de la clairance. Les patients dont la clairance de la créatinine est comprise entre 30 et 49 ml/min et qui reçoivent Kivexa peuvent avoir une exposition à la lamivudine (ASC) 1,6 à 3,3 fois élevée que celle des patients ayant une clairance de la créatinine ≥50 ml/min (voir «Mises en garde et précautions»). Une réduction de la posologie est nécessaire chez les patients ayant une clairance de la créatinine < 30 ml/min (voir «Posologie chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale»).
- +Des données pharmacocinétiques ne sont disponibles que pour l'abacavir et la lamivudine administrés séparément. L'abacavir est essentiellement métabolisé par le foie, env. 2% de la dose administrée étant éliminés sous forme inchangée dans les urines. La pharmacocinétique de l'abacavir chez les patients au stade terminal d'insuffisance rénale est similaire à celle des patients ayant une fonction rénale normale. Des études réalisées avec la lamivudine révèlent une augmentation des concentrations plasmatiques (ASC) chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale du fait d'une diminution de la clairance. Une réduction de la posologie est nécessaire chez les patients ayant une clairance de la créatinine < 50 ml/min.
-56977 (Swissmedic)
- +Numéro d'autorisation (Original)
- +56977 (Swissmedic).
- +Numéro d'autorisation (Importateur)
- +68251 (Swissmedic) (Belgique).
- +68455 (Swissmedic) (France).
- +68253 (Swissmedic) (Lituanie).
-ViiV Healthcare GmbH, 6340 Baar
- +Titulaire de l'autorisation (Original)
- +ViiV Healthcare GmbH, 3053 Münchenbuchsee
- +Titulaire de l'autorisation (Importateur)
- +APS-Arzneimittel-Parallelimport-Service AG, 6330 Cham.
-Juillet 2023
- +Août 2020
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