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Accueil - Information professionnelle sur Kivexa - Changements - 31.08.2018
16 Changements de l'information professionelle Kivexa
  • -Kivexa ne doit pas être administré aux patients pesant moins de 25 kg, car Kivexa est une association fixe (comprimé combiné) ne permettant pas de réduction de la posologie. Chez les patients pesant moins de 25 kg, il faut recourir aux monosubstances abacavir (Ziagen) et lamivudine (3TC).
  • -Lorsquun arrêt du traitement par Kivexa ou un ajustement de la dose est indiqué, il faut administrer les deux substances, l’abacavir (Ziagen) ou la lamivudine (3TC), séparément. Dans ces cas, le médecin traitant est tenu de procéder conformément à linformation professionnelle respective.
  • +Kivexa ne doit pas être administré aux patients pesant moins de 25 kg, car Kivexa est une association fixe (comprimé combiné) ne permettant pas de réduction de la posologie. Chez les patients pesant moins de 25 kg, il faut recourir aux monopréparations contenant le principe actif correspondant abacavir et lamivudine.
  • +Lorsqu'un arrêt du traitement par Kivexa ou un ajustement de la dose est indiqué, il faut administrer les monopréparations contenant le principe actif correspondant abacavir ou lamivudine. Dans ces cas, le médecin traitant est tenu de procéder conformément à l'information professionnelle respective.
  • -L'administration de Kivexa n'est pas recommandée pour le traitement des enfants pesant moins de 25 kg, du fait de l'impossibilité de procéder aux ajustements posologiques nécessaires. Le médecin traitant est tenu de procéder conformément à l’information professionnelle respective concernant Ziagen ou 3TC.
  • +L'administration de Kivexa n'est pas recommandée pour le traitement des enfants pesant moins de 25 kg, du fait de l'impossibilité de procéder aux ajustements posologiques nécessaires. Le médecin traitant est tenu de procéder conformément à l’information professionnelle des monopréparations contenant le principe actif abacavir ou lamivudine.
  • -Syndrome de restauration immunitaire: Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère au moment de l’instauration du traitement par association d’antirétroviraux (ART), une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut apparaître, entraînant des manifestations cliniques graves ou une aggravation des symptômes. De telles réactions ont été observées classiquement au cours des premières semaines ou mois suivant l’instauration du traitement par association d’antirétroviraux. Des exemples pertinents sont les rétinites à cytomégalovirus, les infections mycobactériennes généralisées et/ou localisées, et les pneumopathies à P. carinii. Tout symptôme inflammatoire doit être évalué et un traitement doit être instauré si nécessaire.
  • +Syndrome de restauration immunitaire: Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère au moment de l’instauration du traitement par association d’antirétroviraux (ART), une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut apparaître, entraînant des manifestations cliniques graves ou une aggravation des symptômes. De telles réactions ont été observées classiquement au cours des premières semaines ou mois suivant l’instauration du traitement par association d’antirétroviraux. Des exemples pertinents sont les rétinites à cytomégalovirus, les infections mycobactériennes généralisées et/ou localisées, et les pneumopathies à Pneumocystis jiroveci (souvent désignées par PCP ou PJP). Tout symptôme inflammatoire doit être évalué et un traitement doit être instauré si nécessaire.
  • -Infarctus du myocarde: Dans une étude épidémiologique prospective d’observation, visant à évaluer le taux d’infarctus du myocarde chez des patients recevant un traitement antirétroviral combiné, l’utilisation de labacavir pendant les 6 derniers mois a été mise en rapport avec un risque accru dinfarctus du myocarde. Dans l’analyse d’un pool d’études cliniques sponsorisées par GSK, aucun risque accru dinfarctus du myocarde n’a été observé lors de l’utilisation de l’abacavir. Il n’a pas été constaté de mécanisme biologique susceptible dexpliquer léventuelle augmentation du risque dinfarctus du myocarde.
  • -Au total, les données disponibles, provenant des cohortes dobservation et des études cliniques contrôlées, sur le lien entre un infarctus du myocarde et le traitement par labacavir ne permettent pas de tirer de conclusions claires.
  • +Infarctus du myocarde:
  • +Dans plusieurs études épidémiologiques d'observation, l'utilisation de l'abacavir a été associée à un risque accru d'infarctus du myocarde. Les méta-analyses d'études contrôlées randomisées n'ont révélé aucun risque accru d'infarctus du myocarde chez les patients sous abacavir. Jusqu'à présent, il n'a pas été constaté de mécanisme biologique susceptible d'expliquer l'éventuelle augmentation du risque d'infarctus du myocarde.
  • +Dans l'ensemble, les données disponibles provenant des études d'observation et des études cliniques contrôlées sont hétérogènes et ne fournissent donc pas de preuve concluante d'un lien de causalité entre le traitement par l'abacavir et le risque d'infarctus du myocarde.
  • -L’administration de triméthoprime (160 mg) et de sulfaméthoxazole (800 mg) entraîne une augmentation de 40% du taux plasmatique de lamivudine en raison du triméthoprime. Il n’est cependant pas nécessaire d’adapter la posologie de la lamivudine, sauf en cas d’insuffisance rénale (voir «Posologie/Mode d’emploi»). La pharmacocinétique du triméthoprime et du sulfaméthoxazole n’est pas modifiée par la lamivudine. Lorsque l’administration concomitante de Kivexa et de cotrimoxazole est indiquée, les patients doivent être maintenus sous surveillance clinique. La coadministration de Kivexa et de fortes doses de cotrimoxazole pour le traitement de la pneumonie à Pneumocystis carinii (PCP) et de la toxoplasmose est déconseillée.
  • -En l’absence de données complémentaires, la coadministration de lamivudine avec le ganciclovir ou le foscarnet intraveineux n’est pas recommandée.
  • -La lamivudine risque d’inhiber la phosphorylation intracellulaire de la zalcitabine lorsque ces deux médicaments sont administrés en même temps. Par conséquent, une administration concomitante de Kivexa et de zalcitabine n’est pas recommandée.
  • -La lamivudine peut inhiber la phosphorylation intracellulaire de l’emtricitabine lorsque ces deux médicaments sont utilisés simultanément. En outre, le mécanisme de résistance du virus à la lamivudine et à l’emtricitabine est médié par une mutation du même gène de la transcriptase virale (M184V) et l’efficacité thérapeutique de ces deux substances médicamenteuses en association peut être diminuée. L’utilisation concomitante de la lamivudine et de l’emtricitabine ou d'associations à dose fixe contenant de l'emtricitabine n’est pas recommandée.
  • +Sorbitol: la coadministration d’une solution à base de sorbitol (3,2 g; 10,2 g; 13,4 g) et d’une dose unique d’une solution buvable de lamivudine à 300 mg a entrainé chez l’adulte une baisse dose-dépendante de l’exposition à la lamivudine (ASC∞) respectivement de 14%, 32% ou 36% et de la Cmax de la lamivudine respectivement de 28%, 52% ou 55%. La coadministration de médicaments contenant du sorbitol et de lamivudine doit être évitée dans la mesure du possible.
  • +Triméthoprime: l’administration de triméthoprime (160 mg) et de sulfaméthoxazole (800 mg) entraîne une augmentation de 40% du taux plasmatique de lamivudine en raison du triméthoprime. Il n’est cependant pas nécessaire d’adapter la posologie de la lamivudine, sauf en cas d’insuffisance rénale (voir «Posologie/Mode d’emploi). La pharmacocinétique du triméthoprime et du sulfaméthoxazole n’est pas modifiée par la lamivudine. Lorsque l’administration concomitante de Kivexa et de cotrimoxazole est indiquée, les patients doivent être maintenus sous surveillance clinique. La coadministration de Kivexa et de fortes doses de cotrimoxazole pour le traitement de la pneumonie à Pneumocystis jiroveci et de la toxoplasmose est déconseillée.
  • +Ganciclovir i.v., foscarnet i.v.: en l’absence de données complémentaires, la coadministration de lamivudine avec le ganciclovir ou le foscarnet intraveineux n’est pas recommandée.
  • +Emtricitabine: la lamivudine peut inhiber la phosphorylation intracellulaire de l’emtricitabine lorsque ces deux médicaments sont utilisés simultanément. En outre, le mécanisme de résistance du virus à la lamivudine et à l’emtricitabine est médié par une mutation du même gène de la transcriptase virale (M184V) et l’efficacité thérapeutique de ces deux substances médicamenteuses en association peut être diminuée. L’utilisation concomitante de la lamivudine et de l’emtricitabine ou d'associations à dose fixe contenant de l'emtricitabine n’est pas recommandée.
  • -Dans l'étude ESS30008, 260 patients en succès virologique sous un traitement de première intention contenant 300 mg d'abacavir et 150 mg de lamivudine (les deux administrés deux fois par jour), associés à un inhibiteur de la protéase ou un inhibiteur non-nucléosidique de la transcriptase inverse, ont été randomisés, afin de poursuivre ce schéma posologique ou de changer pour Kivexa associé à un inhibiteur de la protéase ou un inhibiteur non-nucléosidique de la transcriptase inverse, pendant 48 semaines. Les résultats montrent que, sur la base de la proportion des patients ayant une charge virale ARN-VIH-1 <50 copies/ml, le groupe Kivexa a présenté une réponse virologique comparable (non-infériorité) à celle constatée dans le groupe abacavir/lamivudine (respectivement 90% et 85%, [-1,4 ;12,2] IC 90%).
  • +Dans l'étude ESS30008, 260 patients en succès virologique sous un traitement de première intention contenant 300 mg d'abacavir et 150 mg de lamivudine (les deux administrés deux fois par jour), associés à un inhibiteur de la protéase ou un inhibiteur non-nucléosidique de la transcriptase inverse, ont été randomisés, afin de poursuivre ce schéma posologique ou de changer pour Kivexa associé à un inhibiteur de la protéase ou un inhibiteur non-nucléosidique de la transcriptase inverse, pendant 48 semaines. Les résultats montrent que, sur la base de la proportion des patients ayant une charge virale ARN-VIH-1 <50 copies/ml, le groupe Kivexa a présenté une réponse virologique comparable (non-infériorité) à celle constatée dans le groupe abacavir/lamivudine (respectivement 90% et 85%, [-1,4; 12,2] IC 90%).
  • -Dans une étude croisée réalisée chez 60 volontaires sains, les paramètres pharmacocinétiques de la lamivudine-TP intracellulaire étaient similaires (ASC24 h à l’état d’équilibre et Cmax24 h à l’état d’équilibre) ou inférieurs (-24% pour la Crésiduelle) à la posologie de 300 mg de lamivudine administrés une fois par jour pendant 7 jours comparé à la posologie de 150 mg de lamivudine administrés deux fois par jour pendant 7 jours. La variabilité entre les sujets était plus importante pour les concentrations intracellulaires de lamivudine-TP que pour les concentrations plasmatiques minimales. Ces données corroborent l’emploi de la lamivudine (300 mg) et de l’abacavir (600 mg), administrés une fois par jour pour le traitement des patients infectés par le VIH. De plus, l’efficacité et la securité de cette association, administrée une fois par jour, a été démontrée dans une étude clinique pivot (CNA30021 – voir «Expérience clinique»).
  • +Dans une étude croisée réalisée chez 60 volontaires sains, les paramètres pharmacocinétiques de la lamivudine-TP intracellulaire étaient similaires (ASC24 h à l’état d’équilibre et Cmax24 h à l’état d’équilibre) ou inférieurs (-24% pour la Crésiduelle) à la posologie de 300 mg de lamivudine administrés une fois par jour pendant 7 jours comparé à la posologie de 150 mg de lamivudine administrés deux fois par jour pendant 7 jours. La variabilité entre les sujets était plus importante pour les concentrations intracellulaires de lamivudine-TP que pour les concentrations plasmatiques minimales. Ces données corroborent l’emploi de la lamivudine (300 mg) et de l’abacavir (600 mg), administrés une fois par jour pour le traitement des patients infectés par le VIH. De plus, l’efficacité et la sécurité de cette association, administrée une fois par jour, a été démontrée dans une étude clinique pivot (CNA30021 – voir «Expérience clinique»).
  • -Novembre 2016.
  • +Mars 2018.
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