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Accueil - Information professionnelle sur Nalbuphin OrPha - Changements - 25.09.2019
42 Changements de l'information professionelle Nalbuphin OrPha
  • -OEMéd
  • +On ne dispose pas de données suffisantes pour le traitement des enfants de moins de 1,5 an. Étant donné que le chlorhydrate de nalbuphine est métabolisé dans le foie et éliminé par voie rénale, Nalbuphin OrPha est contre-indiqué chez les patients présentant des lésions hépatiques ou des lésions rénales graves (voir «Contre-indications»). La prudence est de mise chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale modérés ou légers.
  • -Hypersensibilité à la nalbuphine ou l’un des excipients du produit, selon la composition.
  • +Hypersensibilité au chlorhydrate de nalbuphine ou l’un des excipients du produit, selon la composition.
  • +-Lésions rénales graves.
  • +-Lésions hépatiques.
  • +-Traitement concomitant par des opioïdes μ-agonistes, p. ex. morphine ou fentanyl (voir «Interactions»).
  • +
  • -A une dose de 10 mg pour un poids corporel de 70 kg la nalbuphine peut provoquer une certaine dépression respiratoire comparable à celle entraînée par une dose équivalente de morphine. Néanmoins, contrairement à la morphine, cette gêne respiratoire n’augmente pas avec des doses de nalbuphine (effet plafond). Une dépression respiratoire provoquée par la nalbuphine peut être levée par du chlorhydrate de naloxone. Il convient donc d’administrer Nalbuphin OrPha avec précaution et à faibles doses aux patients présentant des troubles respiratoires.
  • -Puisque la nalbuphine traverse la barrière placentaire, elle risque de causer une dépression respiratoire chez un nouveau-né dont la mère a reçu Nalbuphin OrPha au moment de l’accouchement.
  • +Dépendance aux opioïdes
  • +Nalbuphin OrPha ne peut pas substituer l’héroïne, la méthadone ou d’autres narcotiques chez les toxicomanes car ce médicament provoque des symptômes de sevrage chez ces patients. Le pouvoir antagoniste de la nalbuphine est égal à ¼ de celui de la nalorphine et 1/40 de celui de la naloxone.
  • +Nalbuphin OrPha présente un risque d’abus moindre que la morphine. Néanmoins, il ne doit être prescrit qu’avec réserve aux patients présentant une instabilité émotionnelle ainsi qu’aux patients ayant des antécédents de toxicomanie. Si des symptômes de sevrage aux opiacés surviennent pendant le traitement par nalbuphine, tels que p. ex. crampes abdominales, céphalées, nausées, vomissements, irritabilité, accès de sueurs, larmoiement, nervosité, diarrhée, hyperthermie, ceux-ci peuvent être levés par l’administration IV de morphine dosée avec précaution.
  • +Dépression respiratoire
  • +Á une dose de 10 mg pour un poids corporel de 70 kg, le chlorhydrate de nalbuphine peut provoquer une certaine dépression respiratoire comparable à celle entraînée par une dose équivalente de morphine. Néanmoins, contrairement à la morphine, cette gêne respiratoire n’augmente pas avec des doses de nalbuphine (effet plafond). Une dépression respiratoire provoquée par le chlorhydrate de nalbuphine peut être levée par du chlorhydrate de naloxone. Il convient donc d’administrer Nalbuphin OrPha avec précaution et à faibles doses aux patients présentant une insuffisance respiratoire (p. ex. troubles respiratoires causés par des médicaments, urémie, asthme bronchique, infections sévères, cyanose ou blocage des voies respiratoires).
  • +Utilisation pendant l’accouchement
  • +Étant donné que le chlorhydrate de nalbuphine traverse la barrière placentaire, elle risque de causer une dépression respiratoire ainsi qu’une bradycardie et tachycardie fœtales chez un nouveau-né dont la mère a reçu Nalbuphin OrPha au moment de l’accouchement.
  • +Le chlorhydrate de nalbuphine ne sera administré pendant le travail et l’accouchement que s’il est clairement indiqué et que le bénéfice éventuel surpasse le risque pour l’enfant.
  • +Par conséquent, les nouveau-nés seront surveillés à la recherche de dépression respiratoire, d’apnée, de bradycardie et d’arythmies cardiaques (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • +
  • -
  • -L’effet dépressif respiratoire que pourraient avoir les analgésiques puissants et leur potentielle capacité d’entraîner une élévation de la pression céphalorachidienne (par vasodilatation après rétention de CO) peuvent être nettement accrus en cas de lésions céphaliques, de lésions intracrâniennes ou d’élévation préexistante de la pression intracrânienne. Par conséquent, il convient de ne prescrire Nalbuphin OrPha qu’en observant strictement les indications et avec une prudence extrême en présence des affections précitées.
  • +L’effet dépressif respiratoire que pourraient avoir les analgésiques puissants et leur potentielle capacité d’entraîner une élévation de la pression céphalorachidienne (par vasodilatation après rétention de CO2) peuvent être nettement accrus en cas de lésions céphaliques, de lésions intracrâniennes ou d’élévation préexistante de la pression intracrânienne. Par conséquent, il convient de ne prescrire Nalbuphin OrPha qu’en observant strictement les indications et avec une prudence extrême en présence des affections précitées.
  • -
  • -Nalbuphin OrPha devrait être utilisé avec précaution et à une posologie réduite chez les patients souffrant de troubles hépatiques ou rénaux (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Étant donné que le chlorhydrate de nalbuphine est métabolisé dans le foie et éliminé par voie rénale, Nalbuphin OrPha est contre-indiqué chez les patients présentant des lésions hépatiques ou des lésions rénales graves (voir «Contre-indications»). Nalbuphin OrPha devrait être utilisé avec précaution et à une posologie réduite chez les patients souffrant de troubles rénaux modérés ou légers (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Autres affections et états
  • +Le chlorhydrate de nalbuphine devrait être administré avec la plus grande prudence aux patients atteints d’insuffisance cardiaque, d’iléus paralytique, de coliques biliaires, d’épilepsie et d’hyperthyroïdie.
  • +Lors de l'administration, un antagoniste (chlorhydrate de naloxone) doit être disponible.
  • +
  • -Les effets peuvent se renforcer si Nalbuphin OrPha est pris conjointement avec desdicaments ayant une action sédative sur le système nerveux central ou avec de l’alcool. Lorsqu’une telle association est prévue, la posologie de l’un ou des deux médicaments doit être réduite. En raison de son effet antagoniste partiel des opiacés, la nalbuphine risque de provoquer un syndrome de priva- tion aigu chez des sujets dépendants; il s’agit notamment des personnes traitées par les opiacés purs (p.ex. patients algiques maintenus sous morphine ou héroïnomanes).
  • -A l’apparition des symptômes de privation, la morphine peut être administrée, à titre d’antidote, par voie intraveineuse.
  • +Les purs μ-agonistes réduisent l’effet analgésique en raison du blocage compétitif des récepteurs. L’utilisation concomitante de Nalbuphin OrPha et d’agonistes morphiniques purs (tels que morphine, péthidine, dextromoramide, dihydrocodéine, dextropropoxyphène,thadone, lévacéthylméthadol) est par conséquent contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
  • +L’utilisation concomitante de Nalbuphin OrPha et d’alcool n’est pas recommandée. L’alcool potentialise l’effet sédatif des analgésiques analogues à la morphine.
  • +La prudence est de mise lorsque Nalbuphin OrPha est utilisé concomitamment avec les médicaments suivants: médicaments ayant une action sédative sur le système nerveux central, tels que les dérivés morphiniques (analgésiques et antitussifs), les antidépresseurs sédatifs, les antihistaminiques H1 sédatifs, les barbituriques, les benzodiazépines, les anxiolytiques qui ne sont pas des benzodiazépines, les neuroleptiques, la clonidine et les substances apparentées. Celles-ci peuvent augmenter le risque de dépression respiratoire qui, dans le cas d’un surdosage, peut menacer le pronostic vital.
  • +On ne dispose pas de données relatives au potentiel d’interactions pharmacocinétiques entre le chlorhydrate de nalbuphine et d’autres médicaments. La prudence est de mise lors de l’administration concomitante de chlorhydrate de nalbuphine et de puissants inhibiteurs enzymatiques ou de médicaments possédant un index thérapeutique étroit (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Les études contrôlées chez la femme enceinte ou chez l’animal ne sont pas disponibles. Dans ces conditions, le médicament ne doit être administré qu’en cas de nécessité absolue. L’emploi du produit pendant l’accouchement peut provoquer une dépression respiratoire et/ou une dépression circulatoire entraînant des séquelles chez le nouveau-né. La naloxone pourrait lever cet effet.
  • -On ignore si la substance diffuse dans le lait maternel. Il est donc déconseillé d’utiliser le produit pendant la période d’allaitement.
  • +Il n’existe pas de données suffisantes concernant l’emploi chez la femme enceinte.
  • +Les expérimentations animales ont révélé une toxicité de reproduction (voir «Données précliniques»). Le risque potentiel pour l’être humain n’est pas connu. Le médicament ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • +L’emploi du produit pendant l’accouchement peut provoquer une dépression respiratoire et/ou une dépression circulatoire entraînant des séquelles chez le nouveau-né. Les nouveau-nés doivent être observés à la recherche de dépression respiratoire, d’apnée, de bradycardie et d’arythmies cardiaques (voir «Mises en garde et précautions»). Dans de tels cas, le chlorhydrate de naloxone doit être disponible comme antidote.
  • +Le chlorhydrate de nalbuphine est excrété dans le lait maternel. L’allaitement sera par conséquent interrompu dans les 24 heures qui suivent un traitement par Nalbuphin OrPha.
  • -Nalbuphin OrPha est un analgésique puissant pouvant aussi avoir pour effet une sédation cérébrale. Une somnolence temporaire et, par conséquent, une limitation des capacités de perception et de réaction sont possibles. Après l’administration de Nalbuphin OrPha, il est donc déconseillé de conduire, de manipuler des machines ou d’exercer toute autre activité exigeant une grande attention.
  • +Nalbuphin OrPha est un analgésique puissant pouvant aussi avoir pour effet une sédation cérébrale. Une somnolence temporaire et, par conséquent, une limitation des capacités de perception et de réaction sont possibles. Après l’administration de chlorhydrate de nalbuphine, il est donc déconseillé de conduire, de manipuler des machines ou d’exercer toute autre activité exigeant une grande attention.
  • -Troubles psychiatriques
  • +Affections psychiatriques
  • +Très rares: trouble de la personnalité.
  • -Système nerveux
  • -
  • -
  • +Occasionnels: confusion, dépression.
  • +Affections du système nerveux
  • -Fréquents: désorientation avec vertiges, céphalées.
  • -Occasionnels: nervosité, confusion mentale, dépression, agitation.
  • -Très rares: problèmes en parlant.
  • -Troubles oculaires
  • -
  • -Occasionnels: vue brouillée.
  • -Troubles cardiaques
  • -
  • -Occasionnels: hypertension ou hypotension artérielle, bradycardie, tachycardie.
  • -Organes respiratoire
  • -
  • +Fréquents: désorientation avec vertiges, céphalées, somnolence.
  • +Occasionnels: nervosité, agitation.
  • +Rares: tremblement, symptômes de sevrage, paresthésie.
  • +Très rares: problèmes d’élocution, euphorie.
  • +Affections oculaires
  • +Occasionnels: yeux larmoyants, vue brouillée.
  • +Affections cardiaques
  • +Occasionnels: bradycardie, tachycardie.
  • +Affections vasculaires
  • +Occasionnels: hypertension, hypotension.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -
  • +Affections gastrointestinales
  • -Troubles cutanés
  • -
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles au site d’administration
  • -
  • -Très fréquent: douleurs, brûlures et/ou gonflement (26%).
  • +Affections gravidiques, puerpérales et périnatales
  • +Très rares: dépression respiratoire chez le nouveau-né, dépression circulatoire chez le nouveau-né.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • +Très fréquents: douleurs, brûlures et/ou gonflement (26%).
  • +Très rares: flush.
  • +
  • -Lors de l’utilisation de Nalbuphin OrPha pendant l’accouchement, une dépression respiratoire et/ou une dépression circulatoire pourraient survenir chez le nouveau-né.
  • -Pharmacodépendance
  • -
  • -Nalbuphin OrPha ne peut pas remplacer l’héroïne ou la méthadone ni d’autres narcotiques chez les toxicomanes chez lesquels il provoque des symptômes de privation. Le pouvoir antagoniste de la nalbuphine comporte 1/4 de celui de la nalorphine et 1/40 de celui de la naloxone.
  • -Nalbuphin OrPha présente un risque d’abus moindre que la morphine. Néanmoins, il ne doit être prescrit qu’avec réserve aux patients présentant une instabilité émotive ou ayant des antécédents de toxicomanie. Une apparition éventuelle de manifestations de privation d’opiacés, telles que crampes abdominales, céphalées, nausées, vomissements, irritabilité, sueurs, larmoiement, nervosité, diarrhée ou hyperthermie, au cours du traitement, peut être apaisée par une dose bien contrôlée de morphine injectée par voie intraveineuse.
  • +Lors de l’utilisation de Nalbuphin OrPha pendant l’accouchement, une dépression respiratoire et/ou une dépression circulatoire pourraient survenir chez le nouveau-né, accompagnées de séquelles graves. Dans de tels cas, du chlorhydrate de naloxone doit être disponible comme antidote. Nalbuphin OrPha peut entraîner des symptômes de sevrage chez les toxicomanes.
  • +Symptômes
  • -La nalbuphine est un analgésique doué d’une activité agoniste/antagoniste sur les récepteurs opiacés. Il agit à la fois en agoniste sur les récepteurs κ et en antagoniste partiel sur les récepteurs µ; aucun effet significatif n’a été observé sur les récepteurs σ. Dans des études portant sur son pouvoir analgésique chez l’homme, la nalbuphine administrée par voie intramusculaire s’est avérée (rapport basé sur le poids), quasi équivalente à la morphine et environ trois fois plus efficace que la pentazocine. Cependant, il va de soi que toute évaluation du pouvoir antalgique d’un analgésique, comparé à celui d’autres analgésiques, s’avère bien difficile. Par conséquent, les données relatives aux doses analgésiques équivalentes à 10 mg de morphine varient de 8 mg à 20 mg d’un investigateur à l’autre. Tout comme la morphine, la nalbuphine permet de réduire la dose d’anesthésiques requise pour induire une anesthésie chez l’animal; cependant, la nalbuphine atteint cet effet à une valeur limite supérieure au-delà de laquelle d’autres doses ne déploient aucune action supplémentaire, par une réduction de la CAM à un niveau bien inférieur à celui pouvant être obtenu par la morphine.
  • -Les effets antagonistes des opiacés produits par la nalbuphine ont été mis en évidence dans différentes expériences sur l’animal; ils se situaient entre ceux de la nalorphine plus puissante et ceux de la pentazocine moins efficace.
  • -La dépression respiratoire, provoquée par les doses thérapeutiques (10 mg/70 kg) de nalbuphine, est analogue à celle causée par des doses équivalentes de morphine. Cependant, par opposition à la dépression respiratoire observée sous morphine, la dépression respiratoire induite par la nalbuphine atteint, chez les personnes saines, une valeur limite à des doses de 20 mg/70 kg de poids corporel. Au-delà de cette valeur, la fonction respiratoire ne subit plus d’atteinte supplémentaire.
  • -En période postopératoire, la nalbuphine permet de lever une dépression respiratoire induite par opioïdes après anesthésie, p.ex. suite à une anesthésie combinée au fentanyl. Une dépression respiratoire relève d’une interaction du fentanyl ou de la morphine avec les récepteurs µ. Il est supposé que la nalbuphine, en tant qu’antagoniste partiel, déplace le fentanyl ou la morphine de ces sites de liaison et parvient ainsi à lever la dépression respiratoire.
  • +Pharmacologie
  • +Le chlorhydrate de nalbuphine est un analgésique doué d’une activité agoniste/antagoniste sur les récepteurs opiacés. Il agit à la fois en agoniste sur les récepteurs κ et en antagoniste partiel sur les récepteurs µ; aucun effet significatif n’a été observé sur les récepteurs σ. Dans des études portant sur son pouvoir analgésique chez l’homme, le chlorhydrate de nalbuphine administrée par voie intramusculaire s’est avérée (rapport basé sur le poids), quasi équivalente à la morphine et environ trois fois plus efficace que la pentazocine. Cependant, il va de soi que toute évaluation du pouvoir antalgique d’un analgésique, comparé à celui d’autres analgésiques, s’avère bien difficile. Par conséquent, les données relatives aux doses analgésiques équivalentes à 10 mg de morphine varient de 8 mg à 20 mg d’un investigateur à l’autre. Tout comme la morphine, le chlorhydrate de nalbuphine permet de réduire la dose d’anesthésiques requise pour induire une anesthésie chez l’animal; cependant, le chlorhydrate de nalbuphine atteint cet effet à une valeur limite supérieure au-delà de laquelle d’autres doses ne déploient aucune action supplémentaire, par une réduction de la CAM à un niveau bien inférieur à celui pouvant être obtenu par la morphine.
  • +Les effets antagonistes des opiacés produits par le chlorhydrate de nalbuphine ont été mis en évidence dans différentes expériences sur l’animal; ils se situaient entre ceux de la nalorphine plus puissante et ceux de la pentazocine moins efficace.
  • +La dépression respiratoire, provoquée par les doses thérapeutiques (10 mg/70 kg) de chlorhydrate de nalbuphine, est analogue à celle causée par des doses équivalentes de morphine. Cependant, par opposition à la dépression respiratoire observée sous morphine, la dépression respiratoire induite par la nalbuphine atteint, chez les personnes saines, une valeur limite à des doses de 20 mg/70 kg de poids corporel. Au-delà de cette valeur, la fonction respiratoire ne subit plus d’atteinte supplémentaire.
  • +En période postopératoire, le chlorhydrate de nalbuphine permet de lever une dépression respiratoire induite par opioïdes après anesthésie, p.ex. suite à une anesthésie combinée au fentanyl. Une dépression respiratoire relève d’une interaction du fentanyl ou de la morphine avec les récepteurs µ. Il est supposé que le chlorhydrate de nalbuphine, en tant qu’antagoniste partiel, déplace le fentanyl ou la morphine de ces sites de liaison et parvient ainsi à lever la dépression respiratoire.
  • -Les données cinétiques obtenues à partir d’expériences cliniques chez l’homme correspondent au modèle ouvert à 2 compartiments. Rien n’indique qu’il existe une liaison solide avec les protéines plasmatiques ou les composants tissulaires. L’injection intramusculaire de 10 mg de nalbuphine entraîne, au bout d’une demi-heure, un pic plasmatique de 48 ng/ml. Avec une posologie de 10 à 20 mg de nalbuphine, l’action commence au bout de 2 à 3 minutes après une administration i.v. et en moins de 10 minutes après une administration i.m. ou s.c. L’effet analgésique se maintient pendant 3 à 6 heures. La demi-vie d’élimination de la nalbuphine est de 2,5 à 3 heures.
  • +Les données cinétiques obtenues à partir d’expériences cliniques chez l’homme correspondent au modèle ouvert à 2 compartiments. Rien n’indique qu’il existe une liaison solide avec les protéines plasmatiques ou les composants tissulaires. L’injection intramusculaire de 10 mg de chlorhydrate de nalbuphine entraîne, au bout d’une demi-heure, un pic plasmatique de 48 ng/ml. Avec une posologie de 10 à 20 mg de chlorhydrate de nalbuphine, l’action commence au bout de 2 à 3 minutes après une administration i.v. et en moins de 10 minutes après une administration i.m. ou s.c. L’effet analgésique se maintient pendant 3 à 6 heures. La demi-vie d’élimination du chlorhydrate de nalbuphine est de 2,5 à 3 heures.
  • -
  • -La nalbuphine étant métabolisée dans le foie (passage sous forme conjuguée) et éliminée par les reins, les patients souffrant de troubles hépatiques ou rénaux peuvent présenter des signes de surdosage, même avec une dose normale. Il convient donc d’administrer Nalbuphin OrPha avec précaution et à une posologie réduite à ces patients.
  • -
  • +Le chlorhydrate de nalbuphine étant métabolisé dans le foie (passage sous forme conjuguée) et éliminé par les reins, les patients souffrant de troubles hépatiques ou rénaux peuvent présenter des signes de surdosage, même avec une dose normale. Nalbuphin OrPha est par conséquent contre-indiqué chez les patients présentant des lésions hépatiques ou des lésions rénales graves (voir «Contre-indications»). Il convient d’administrer Nalbuphin OrPha avec précaution et à une posologie réduite aux patients souffrant de troubles de la fonction rénale modérés ou légers.
  • +Des études de toxicité de reproduction ont été effectuées sur des rats et des lapins auxquels du chlorhydrate de nalbuphine a été administré par voie parentérale. Un taux accru de mortalité prénatale et postnatale ainsi qu’une diminution du poids à la naissance ont été observés à hautes doses. Aucun effet sur la fertilité n’a été observé. Le chlorhydrate de nalbuphine n’était pas tératogène chez le rat et le lapin.
  • +Conservation
  • +
  • -
  • -56989 (Swissmedic).
  • +56989 (Swissmedic)
  • +Présentation
  • +Nalbuphin OrPha sol inj 10 amp 2 ml. (A)
  • -OrPha Swiss GmbH, 8700 Küsnacht.
  • +OrPha Swiss GmbH, 8700 Küsnacht
  • -Juillet 2004.
  • +Juillet 2019
2025 ©ywesee GmbH
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