60 Changements de l'information professionelle Paclitaxel Sandoz 30 mg/5 mL |
-Dexaméthasone 20 mg orale orale: env. 12 et 6 h
- +Dexaméthasone 20 mg per os per os: env. 12 et 6 h
-Un cycle de traitement par Paclitaxel Sandoz ne doit pas être envisagé avant que le nombre des granulocytes neutrophiles ait atteint au moins 1'500/mm³ et celui des thrombocytes au moins 100'000/mm³.
- +Un cycle de traitement par Paclitaxel Sandoz ne doit pas être envisagé avant que le nombre des granulocytes neutrophiles ait atteint au moins 1500/mm³ et celui des thrombocytes au moins 100'000/mm³.
-2 à <10× la LNS et ≤1.5 mg/dl 135 mg/m2 100 mg/m2
-<10× la LNS et 1.5-5 mg/dl 90 mg/m2 50 mg/m2
- +2 à <10× la LNS et ≤1,5 mg/dl 135 mg/m2 100 mg/m2
- +<10× la LNS et 1,5 à 5 mg/dl 90 mg/m2 50 mg/m2
- +Vaccins
- +Les mécanismes de défense naturels pouvant être supprimés par Paclitaxel Sandoz, l'usage concomitant de Paclitaxel Sandoz et d'un vaccin vivant peut considérablement accélérer la réplication du pathogène du vaccin et/ou intensifier les réactions indésirables à celui-ci. Chez un patient sous Paclitaxel Sandoz, l'administration d'un vaccin vivant peut entraîner une infection grave. La réponse des anticorps au vaccin peut être réduite. Il convient donc d'éviter l'utilisation de vaccins vivants et de consulter un spécialiste en la matière.
- +
-La prudence est de rigueur lorsque Paclitaxel Sandoz est associé aux substances métabolisées par les isoenzymes 2C8 et 3A4 du CYP ou aux substances qui influencent ces isoenzymes.
-L'administration concomitante avec le kétoconazole, inhibiteur bien connu du CYP 3A4, n'inhibe pas l'élimination du paclitaxel. Par conséquent, les deux médicaments peuvent être coadministrés sans adaptation de la posologie.
- +La prudence est donc de rigueur lorsque le paclitaxel est utilisé avec d'autres médicaments ayant une action inhibitrice sur le CYP 2C8 ou le CYP3A4 (par ex. kétoconazole et autres antifongiques imidazolés, érythromycine, fluoxétine, gemfibrozil, clopidogrel, cimétidine, ritonavir, saquinavir, indinavir et nelfinavir) ou inductrice sur ces isoenzymes (par ex. rifampicine, carbamazépine, phénytoïne, efavirenz, névirapine).
- +Fertilité
- +Compte tenu du potentiel mutagène de Paclitaxel Sandoz, une contraception efficace est nécessaire chez les hommes comme chez les femmes pendant toute la durée du traitement et jusqu'à 6 mois après l'arrêt du traitement. Paclitaxel Sandoz ayant une incidence sur la fertilité masculine, une conservation du sperme peut être envisagée en vue d'une paternité ultérieure (voir «Données précliniques»).
-Occasionnellement: choc septique, pneumonie, péritonite.
- +Occasionnellement: choc septique, péritonite.
-Néoplasies
- +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl. kystes et polypes)
-Sang et système lymphatique
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Système immunitaire
- +Affections du système immunitaire
-Troubles psychiatriques
- +Affections psychiatriques
-Système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Oeil
- +Affections oculaires
-Oreille et conduit auditif
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
-Coeur
- +Affections cardiaques
-Circulation sanguine
- +Affections vasculaires
-Système respiratoire
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Très rarement: toux, pneumonie en réaction à une radiothérapie concomitante
-Troubles gastro-intestinaux
- +Très rarement: toux, pneumonie en réaction à une radiothérapie concomitante.
- +Affections gastro-intestinales
-Foie
- +Affections hépatobiliaires
-Peau et tissus sous-cutanés
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Rarement: prurit, éruption cutanée, phlébite, érythème, cellulite, desquamation, nécrose, fibrose, réapparition de réaction cutanées dues à une radiothérapie («radiation recall»).
- +Rarement: prurit, éruption cutanée, phlébite, érythème, cellulite, desquamation, nécrose, fibrose, réapparition de réactions cutanées dues à une radiothérapie («radiation recall»).
-Système musculosquelettique
- +Affections musculo-squelettiques et systémiques
-Reins et voies urinaires
- +Affections du rein et des voies urinaires
-Réactions générales et réactions au site d'administration
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-La deuxième étude (GOG-111/B-MS CA 139–022) a examiné plus de 400 patientes atteintes d'un carcinome ovarien primaire (stades FIGO III/IV) avec un carcinome résiduel >1 cm après une laparotomie ou d'un carcinome ovarien avec des métastases. Les patientes ont reçu au maximum 6 cycles de paclitaxel (135 mg/m² durant 24 h) suivis par du cisplatine (75 mg/m²) ou le traitement comparatif cyclophosphamide/cisplatine. Temps médian jusqu'à la progression: 16,6 vs 13,0 mois; survie médiane: 35,5 vs 24,2 mois.
- +La deuxième étude (GOG-111/B-MS CA139–022) a examiné plus de 400 patientes atteintes d'un carcinome ovarien primaire (stades FIGO III/IV) avec un carcinome résiduel >1 cm après une laparotomie ou d'un carcinome ovarien avec des métastases. Les patientes ont reçu au maximum 6 cycles de paclitaxel (135 mg/m² durant 24 h) suivis par du cisplatine (75 mg/m²) ou le traitement comparatif cyclophosphamide/cisplatine. Temps médian jusqu'à la progression: 16,6 vs 13,0 mois; survie médiane: 35,5 vs 24,2 mois.
-L'efficacité et l'innocuité de paclitaxel dans le traitement du carcinome bronchique non à petites cellules ont été étudiées dans le cadre de quatre études de phase II (n= 224) et de deux études randomisées de phase III (n= 931) chez des patients sans chimiothérapie préalable.
- +L'efficacité et l'innocuité de paclitaxel dans le traitement du carcinome bronchique non à petites cellules ont été étudiées dans le cadre de quatre études de phase II (n=224) et de deux études randomisées de phase III (n=931) chez des patients sans chimiothérapie préalable.
-Dans une étude multicentrique randomisée de phase III, des patientes ayant subi une récidive après un traitement adjuvant ou après une prémédication avec une chimiothérapie associée ont reçu le paclitaxel à une posologie de 175 mg/m² ou de 135 mg/m² (perfusion de 3 h). Le taux de réponse total pour les 454 patientes évaluables a été de 26% (réponse complète dans 17 cas et réponse partielle dans 99 cas). La durée de réponse médiane, mesurée à partir du premier jour de traitement, a été de 8,1 mois. Le temps médian jusqu'à la progression a été de 3,0 mois pour les patientes traitées à une posologie de 135 mg/m² et de 4,2 mois pour les patientes traitées à une posologie de 175 mg/m². La survie médiane globale (n= 471) a été de 11,7 mois.
- +Dans une étude multicentrique randomisée de phase III, des patientes ayant subi une récidive après un traitement adjuvant ou après une prémédication avec une chimiothérapie associée ont reçu le paclitaxel à une posologie de 175 mg/m² ou de 135 mg/m² (perfusion de 3 h). Le taux de réponse total pour les 454 patientes évaluables a été de 26% (réponse complète dans 17 cas et réponse partielle dans 99 cas). La durée de réponse médiane, mesurée à partir du premier jour de traitement, a été de 8,1 mois. Le temps médian jusqu'à la progression a été de 3,0 mois pour les patientes traitées à une posologie de 135 mg/m² et de 4,2 mois pour les patientes traitées à une posologie de 175 mg/m². La survie médiane globale (n=471) a été de 11,7 mois.
-Une étude «intergroup» américaine, réalisée en ouvert et de façon randomisée, a examiné le traitement adjuvant du carcinome du sein chez 3121 patientes présentant une atteinte des ganglions lymphatiques (stades I à III). Ces patientes ont été traités soit par 4 cycles de paclitaxel 175 mg/m² (T) après une thérapie par AC (doxorubicine + cyclophosphamide), soit par AC seul. Les patientes présentant des récepteurs hormonaux positifs ont reçu additionnellement du tamoxifène. L'analyse intérimaire de cette étude, sur un durée médiane de 52,2 mois, a révélé des résultats significativement plus favorables chez les patientes traitées par AC + T. L'avantage du traitement additionnel par paclitaxel était de 13% (hazard ratio 0,87) pour la survie sans maladie (DFS, disease free survival) et de 14% (hazard ratio 0,86) pour la survie totale (OS, overall survival). Les taux de récidives étaient de 469/1551 (32%) dans le groupe sous AC et de 432/1570 (27,5%) dans le groupe sous AC + T. Seules les patientes aux récepteurs oestrogéniques négatifs (n'ayant pas reçu de tamoxifène) ont atteint des résultats hautement significatifs attribuables au traitement additionnel par paclitaxel: hazard ratio de 0,71 pour la DFS (IC à 95% 0,58–0,88; p <0,001). Chez les patientes à récepteurs oestrogéniques positifs ayant reçu un traitement additionnel au tamoxifène (2/3 des sujets étudiés), les résultats n'ont révélé aucune différence entre les groupes traités par AC et AC + T (hazard ratio 1,0 pour la DFS). De même, le traitement additionnel par paclitaxel n'a pas été associé à des différences significatives chez les patientes dont la tumeur était de faible taille (<2 cm, T1) et les patientes à haut risque avec atteinte de ≥10 ganglions lymphatiques (LN) ou avec une tumeur >5 cm (T3).
- +Une étude «intergroup» américaine, réalisée en ouvert et de façon randomisée, a examiné le traitement adjuvant du carcinome du sein chez 3121 patientes présentant une atteinte des ganglions lymphatiques (stades I à III). Ces patientes ont été traitées soit par 4 cycles de paclitaxel 175 mg/m² (T) après une thérapie par AC (doxorubicine + cyclophosphamide), soit par AC seul. Les patientes présentant des récepteurs hormonaux positifs ont reçu additionnellement du tamoxifène. L'analyse intérimaire de cette étude, sur une durée médiane de 52,2 mois, a révélé des résultats significativement plus favorables chez les patientes traitées par AC + T. L'avantage du traitement additionnel par paclitaxel était de 13% (hazard ratio 0,87) pour la survie sans maladie (DFS, disease free survival) et de 14% (hazard ratio 0,86) pour la survie totale (OS, overall survival). Les taux de récidives étaient de 469/1551 (32%) dans le groupe sous AC et de 432/1570 (27,5%) dans le groupe sous AC + T. Seules les patientes aux récepteurs oestrogéniques négatifs (n'ayant pas reçu de tamoxifène) ont atteint des résultats hautement significatifs attribuables au traitement additionnel par paclitaxel: hazard ratio de 0,71 pour la DFS (IC à 95% 0,58–0,88; p <0,001). Chez les patientes à récepteurs oestrogéniques positifs ayant reçu un traitement additionnel au tamoxifène (2/3 des sujets étudiés), les résultats n'ont révélé aucune différence entre les groupes traités par AC et AC + T (hazard ratio 1,0 pour la DFS). De même, le traitement additionnel par paclitaxel n'a pas été associé à des différences significatives chez les patientes dont la tumeur était de faible taille (<2 cm, T1) et les patientes à haut risque avec atteinte de ≥10 ganglions lymphatiques (LN) ou avec une tumeur >5 cm (T3).
-0.4 g/ml.
- +0,4 g/ml.
-Ne pas utiliser au-delà de la date imprimée «Exp.» sur le récipient.
- +Ne pas utiliser au-delà de la date imprimée «EXP» sur le récipient.
-·solution injectable avec 0,9% de chlorure de sodium,
-·solution injectable avec 5% de glucose,
-·solution injectable avec 5% de glucose et 0,9% de chlorure de sodium,
-·solution injectable de Ringer avec 5% de glucose.
- +solution injectable avec 0,9% de chlorure de sodium,
- +solution injectable avec 5% de glucose,
- +solution injectable avec 5% de glucose et 0,9% de chlorure de sodium,
- +solution injectable de Ringer avec 5% de glucose.
-Novembre 2013.
- +Septembre 2016.
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