ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Sertralin Helvepharm 50 mg - Changements - 29.11.2017
78 Changements de l'information professionelle Sertralin Helvepharm 50 mg
  • -Sertralin Helvepharm doit être pris une fois par jour, soit le matin soit le soir, avec ou sans aliment. Les comprimés pelliculés présentent une rainure et peuvent être divisés pour réduire la posologie de moitié.
  • +Sertralin Helvepharm doit être pris une fois par jour, soit le matin soit le soir, pendant ou en dehors des repas. Les comprimés pelliculés présentent une rainure et peuvent être divisés pour réduire la posologie de moitié.
  • -Chez les adolescents de 13 à 17 ans souffrant de troubles obsessionnels compulsifs, la dose initiale recommandée est de 50 mg/jour (un comprimé pelliculé). Chez les enfants de 6 à 12 ans souffrant de troubles obsessionnels compulsifs, la dose initiale recommandée est de 25 mg/jour (un ½ comprimé pelliculé) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse à une dose de 50 mg/jour est insuffisante, la dose peut être augmentée par palier de 50 mg pour atteindre 200 mg par jour. Lorsque la dose est augmentée à plus de 50 mg jour, il convient cependant de tenir compte du poids corporel de l'enfant, plus bas que celui de l'adulte, afin d'éviter un dosage trop élevé. Compte tenu de la demi-vie d'élimination qui est d'environ 24 heures, l'intervalle entre les augmentations de la dose ne doit pas être inférieur à une semaine.
  • +Chez les adolescents de 13 à 17 ans souffrant de troubles obsessionnels compulsifs, la dose initiale recommandée est de 50 mg/jour (un comprimé pelliculé). Chez les enfants de 6 à 12 ans souffrant de troubles obsessionnels compulsifs, la dose initiale recommandée est de 25 mg/jour (un ½ comprimé pelliculé) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse à une dose de 50 mg/jour est insuffisante, la dose peut être augmentée par palier de 50 mg pour atteindre 200 mg par jour. Lorsque la dose est augmentée à plus de 50 mg jour, il convient cependant de tenir compte du poids corporel de l'enfant, inférieur à celui de l'adulte, afin d'éviter une posologie trop élevée. Compte tenu de la demi-vie d'élimination qui est d'environ 24 heures, l'intervalle entre les augmentations de la dose ne doit pas être inférieur à une semaine.
  • -Des cas de développement d'un syndrome potentiellement fatal tel que le syndrome sérotoninergique (SS) ou le syndrome neuroleptique malin (SNM) ont été rapportés avec les ISRS, y compris la sertraline. Le risque de SS ou de SNM sous ISRS est augmenté en cas d'utilisation concomitante de médicaments sérotoninergiques (comme par ex. le dextrométhorphane, le fentanyl, la méthadone, le tapentadol, le tramadol ou les triptans), de médicaments influençant le métabolisme de la sérotonine (comme les inhibiteurs de l'IMAO, voir la rubrique s'y rapportant), d'antipsychotiques ou d'autres antagonistes de la dopamine. Les symptômes de SS comprennent des modifications de l'état psychique (par ex. agitation, hallucinations, coma), une instabilité autonome (par ex. tachycardie, labilité de la pression artérielle, hyperthermie), des anomalies neuromusculaires (par ex. hyperréflexie, manque de coordination) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (par ex. nausées, vomissements, diarrhées). Certains signes d'un SS, comme l'hyperthermie, la raideur musculaire, l'instabilité végétative avec de possibles oscillations rapides des signes vitaux et des modifications de l'état psychique, ressemblent à ceux d'un SNM. Les patients devraient être surveillés à la recherche de signes ou de symptômes de SS ou de SNM.
  • +Des cas de développement d'un syndrome potentiellement fatal tel que le syndrome sérotoninergique (SS) ou le syndrome neuroleptique malin (SNM) ont été rapportés avec les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), y compris la sertraline. Le risque de SS ou de SNM sous ISRS est augmenté en cas d'utilisation concomitante de médicaments sérotoninergiques (comme par ex. le dextrométhorphane, le fentanyl, la méthadone, le tapentadol, le tramadol ou les triptans), de médicaments influençant le métabolisme de la sérotonine (comme les inhibiteurs de l'IMAO, voir la rubrique s'y rapportant), d'antipsychotiques ou d'autres antagonistes de la dopamine. Les symptômes de SS comprennent des modifications de l'état psychique (par ex. agitation, hallucinations, coma), une instabilité autonome (par ex. tachycardie, labilité de la pression artérielle, hyperthermie), des anomalies neuromusculaires (par ex. hyperréflexie, manque de coordination) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (par ex. nausées, vomissements, diarrhées). Certains signes d'un SS, comme l'hyperthermie, la raideur musculaire, l'instabilité végétative avec de possibles oscillations rapides des signes vitaux et des modifications de l'état psychique, ressemblent à ceux d'un SNM. Les patients devraient être surveillés à la recherche de signes ou de symptômes de SS ou de SNM.
  • -En conséquence, Sertralin Helvepharm ne sera pas administré en même temps qu'un IMAO ou dans les 14 jours qui suivent l'arrêt d'un traitement par un IMAO. De même, on respectera un délai d'au moins 14 jours entre l'arrêt d'un traitement par Sertralin Helvepharm et le début du traitement par l'IMAO (voir «Contre-indications»).
  • +En conséquence, la sertraline ne sera pas administrée en même temps qu'un IMAO ou dans les 14 jours qui suivent l'arrêt d'un traitement par un IMAO. De même, on respectera un délai d'au moins 14 jours entre l'arrêt d'un traitement par sertraline et le début du traitement par l'IMAO (voir «Contre-indications»).
  • -En raison d'une éventuelle interaction pharmacodynamique, la prudence s'impose lors de l'administration concomitante de Sertralin Helvepharm et d'autres médicaments qui renforcent l'effet de la transmission neuronale sérotoninergique, comme d'autres ISRS, les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN), la fenfluramine, le fentanyl, le lithium, la sibutramine, les agonistes de la 5-HT (triptans), le L-tryptophane, ou le millepertuis (Hypericum perforatum). Il convient de renoncer à une telle association chaque fois que c'est possible (voir «Interactions»).
  • +En raison d'une éventuelle interaction pharmacodynamique, la prudence s'impose lors de l'administration concomitante de sertraline et d'autres médicaments qui renforcent l'effet de la transmission neuronale sérotoninergique, comme d'autres ISRS, les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN), la fenfluramine, le fentanyl, le lithium, la sibutramine, les agonistes de la 5-HT (triptans), le L-tryptophane, ou le millepertuis (Hypericum perforatum). Il convient de renoncer à une telle association chaque fois que c'est possible (voir «Interactions»).
  • -En cas de pathologie dépressive chez l'adulte de même qu'en pédiatrie, le risque de suicide est toujours augmenté, avec ou sans traitement, tant qu'une amélioration significative de la symptomatologie dépressive n'est pas survenue. En conséquence, le patient doit être surveillé étroitement pendant le traitement, et en particulier au début et en cas de modification de la posologie, à la recherche de modifications du comportement et/ou de signes de pensées suicidaires ou de comportement suicidaire (suicidalité) ou de tout autre signe d'aggravation clinique. Aucune relation de causalité entre les pensées suicidaires ou le comportement suicidaire et le traitement par Sertralin Helvepharm n'a été démontrée. De même, les patients doivent également être surveillés étroitement après l'arrêt du traitement, les symptômes pouvant réapparaître.
  • +En cas de pathologie dépressive chez l'adulte de même qu'en pédiatrie, le risque de suicide est toujours augmenté, avec ou sans traitement, tant qu'une amélioration significative de la symptomatologie dépressive n'est pas survenue. En conséquence, le patient doit être surveillé étroitement pendant le traitement, et en particulier au début et en cas de modification de la posologie, à la recherche de modifications du comportement et/ou de signes de pensées suicidaires ou de comportement suicidaire (suicidalité) ou de tout autre signe d'aggravation clinique. Aucune relation de causalité entre les pensées suicidaires ou le comportement suicidaire et le traitement par sertraline n'a été démontrée. De même, les patients doivent également être surveillés étroitement après l'arrêt du traitement, les symptômes pouvant réapparaître.
  • -La sertraline n'est pas recommandée pour le traitement d'une dépression chez les patients de moins de 18 ans. Dans des études cliniques menées avec des antidépresseurs, une suicidalité (tentatives de suicide et pensées suicidaires) ainsi qu'une attitude d'hostilité (principalement un comportement agressif et oppositionnel ainsi que des accès de colère) ont été observées plus fréquemment chez l'enfant et l'adolescent sous traitement par des antidépresseurs que sous placebo. Une telle attitude d'hostilité a été également rapportée chez l'enfant ayant des troubles obsessionnels compulsifs.
  • +La sertraline nest pas recommandée pour le traitement dune dépression chez les patients de moins de 18 ans. Dans des études cliniques menées avec des antidépresseurs, une suicidalité (tentatives de suicide et pensées suicidaires) ainsi qu'une attitude d'hostilité (principalement un comportement agressif et oppositionnel ainsi que des accès de colère) ont été observées plus fréquemment chez lenfant et ladolescent sous traitement par des antidépresseurs que sous placebo. Une telle attitude d'hostilité a été également rapportée chez lenfant ayant des troubles obsessionnels compulsifs.
  • -La sertraline est fortement métabolisée par le foie. Une étude de pharmacocinétique a montré que, lors d'administration de doses répétées de sertraline à des insuffisants hépatiques des classes Child Pugh A et B, la demi-vie d'élimination était prolongée, et l'AUC ainsi que la Cmax environ trois fois plus élevées par rapport aux valeurs observées chez les volontaires sains. La liaison aux protéines plasmatiques n'était pas significativement différente entre les deux groupes. La sertraline doit être administrée avec prudence aux patients atteints de troubles de la fonction hépatique. Chez les patients avec insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh Class A+B), la posologie sera réduite de moitié au moins (voir «Posologie/Mode d'emploi, Instructions spéciales pour le dosage»). Chez les patients avec une insuffisance hépatique sévère (Child Pugh Class C), la sertraline ne doit pas être utilisée (voir «Contre-indications»).
  • +La sertraline est fortement métabolisée par le foie. Une étude de pharmacocinétique a montré que, lors d'administration de doses répétées de sertraline à des insuffisants hépatiques des classes Child Pugh A et B, la demi-vie d'élimination était prolongée, et l'AUC ainsi que la Cmax environ trois fois plus élevées par rapport aux valeurs observées chez les volontaires sains. La liaison aux protéines plasmatiques nétait pas significativement différente entre les deux groupes. La sertraline doit être administrée avec prudence aux patients atteints de troubles de la fonction hépatique. Chez les patients avec insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh Class A+B), la posologie sera réduite de moitié au moins (voir «Posologie/Mode demploi, Instructions spéciales pour le dosage»). Chez les patients avec une insuffisance hépatique sévère (Child Pugh Class C), la sertraline ne doit pas être utilisée (voir «Contre-indications»).
  • -Dans une étude randomisée en double aveugle contre placebo, dont l'objectif était de comparer le risque de pharmacodépendance de sertraline, de l'alprazolam et de la D-amphétamine, sertraline n'a pas induit, contrairement aux deux autres substances, d'effets subjectivement positifs tels que l'euphorie ou une préférence pour un médicament qui feraient craindre un risque d'abus. Avant la mise sur le marché de sertraline, l'expérience clinique n'a montré aucune tendance en faveur d'un syndrome de sevrage ou d'un besoin impérieux du médicament («drug seeking behavior», par ex. se faire établir des prescriptions par plusieurs médecins). Dans des études réalisées chez l'animal, sertraline n'a pas montré non plus de risque d'abus semblable à celui des stimulants ou des barbituriques (sédatifs).
  • +Dans une étude randomisée en double aveugle contre placebo, dont lobjectif était de comparer le risque de pharmacodépendance de sertraline, de lalprazolam et de la D-amphétamine, la sertraline n'a pas induit, contrairement aux deux autres substances, d'effets subjectivement positifs tels que l'euphorie ou une préférence pour un médicament qui feraient craindre un risque dabus. Avant la mise sur le marché de sertraline, l'expérience clinique n'a montré aucune tendance en faveur d'un syndrome de sevrage ou d'un besoin impérieux du médicament («drug seeking behavior», par ex. se faire établir des prescriptions par plusieurs médecins). Dans des études réalisées chez l'animal, la sertraline n'a pas montré non plus de risque dabus semblable à celui des stimulants ou des barbituriques (sédatifs).
  • -L'expérience issue d'études cliniques contrôlées concernant le moment optimal pour passer d'autres ISRS, antidépresseurs ou médicaments contre les troubles obsessionnels à la sertraline est limitée. Un jugement médical précis s'impose, en particulier lors du passage d'un traitement par antidépresseur à action prolongée à un traitement par sertraline.
  • +L'expérience issue d'études cliniques contrôlées concernant le moment optimal pour passer d'autres ISRS, antidépresseurs ou médicaments contre les troubles obsessionnels à sertraline est limitée. Un jugement médical précis s'impose, en particulier lors du passage d'un traitement par antidépresseur à action prolongée à un traitement par sertraline.
  • -Un arrêt brutal de la sertraline peut entraîner des symptômes tels que vertiges, céphalées, troubles du sommeil, paresthésies, agitation, anxiété, confusion mentale, tremblements, nausées et sueurs. Pour éviter ces symptômes, il convient d'arrêter progressivement le traitement, sur une période d'une à deux semaines. Les symptômes décrits ne représentent pas des signes de dépendance.
  • +Un arrêt brutal de sertraline peut entraîner des symptômes tels que vertiges, céphalées, troubles du sommeil, paresthésies, agitation, anxiété, confusion mentale, tremblements, nausées et sueurs. Pour éviter ces symptômes, il convient d'arrêter progressivement le traitement, sur une période d'une à deux semaines. Les symptômes décrits ne représentent pas des signes de dépendance.
  • -Inhibiteurs de l'enzyme CYP: la prise simultanée d'inhibiteurs de l'enzyme CYP pourrait augmenter la concentration plasmatique de la sertraline.
  • +Inhibiteurs de l'enzyme cytochrome P450 (CYP): la prise simultanée d'inhibiteurs de l'enzyme CYP pourrait augmenter la concentration plasmatique de la sertraline.
  • -Des taux élevés de pimozide ont été mesurés au cours d'une étude portant sur l'administration concomitante de sertraline et d'une dose unique faible de pimozide (2 mg). Ces taux augmentés n'étaient pas associés à une modification du tracé électrocardiographique. Le mécanisme de cette interaction est inconnu. L'administration concomitante de sertraline et de pimozide est contre-indiquée en raison de l'étroitesse de la fenêtre thérapeutique du pimozide (voir «Contre-indications»).
  • +Des taux élevés de pimozide ont été mesurés au cours d'une étude portant sur l'administration concomitante de sertraline et d'une dose unique faible de pimozide (2 mg). Ces taux augmentés n'étaient pas associés à une modification du tracé électrocardiographique (ECG). Le mécanisme de cette interaction est inconnu. L'administration concomitante de sertraline et de pimozide est contre-indiquée en raison de l'étroitesse de la fenêtre thérapeutique du pimozide (voir «Contre-indications»).
  • -D'autres médicaments sérotoninergiques (par ex. d'autres ISRS, les IRSN, le lithium, les triptans, le L-tryptophane, le millepertuis (Hypericum perforatum)) ne devraient être administrés en même temps que la sertraline qu'avec prudence. Chaque fois que c'est possible, il convient de renoncer à une telle association (voir «Mises en garde et précautions, Autres médicaments sérotoninergiques»).
  • +D'autres médicaments sérotoninergiques (par ex. d'autres ISRS, les IRSN, le lithium, les triptans, le L-tryptophane, le millepertuis (Hypericum perforatum)) ne devraient être administrés en même temps que sertraline qu'avec prudence. Chaque fois que c'est possible, il convient de renoncer à une telle association (voir «Mises en garde et précautions, Autres médicaments sérotoninergiques»).
  • -Depuis la mise sur le marché, des cas spontanés d'événements indésirables ont été rapportés, qui pourraient vraisemblablement être liés à des interactions médicamenteuses. On ne sait toutefois pas si ces événements indésirables sont imputables au traitement par sertraline, à une interaction médicamenteuse entre la sertraline et l'une des substances mentionnées ci-dessous ou à d'autres causes: amiodarone, bupropion, clonazépam, digoxine, dihydroergotamine, hydroxychloroquine, ibuprofène, protoxyde d'azote, méthylphénidate, métoclopramide, naproxène, paracétamol, paroxétine, phénobarbital, phénytoïne, propranolol, zolpidem,
  • +Depuis la mise sur le marché, des cas spontanés d'événements indésirables ont été rapportés, qui pourraient vraisemblablement être liés à des interactions médicamenteuses. On ne sait toutefois pas si ces événements indésirables sont imputables au traitement par sertraline, à une interaction médicamenteuse entre sertraline et l'une des substances mentionnées ci-dessous ou à d'autres causes: amiodarone, bupropion, clonazépam, digoxine, dihydroergotamine, hydroxychloroquine, ibuprofène, protoxyde d'azote, méthylphénidate, métoclopramide, naproxène, paracétamol, paroxétine, phénobarbital, phénytoïne, propranolol, zolpidem.
  • -Etant donné qu'un risque augmenté de naissances prématurées et d'autres complications périnatales au cours du dernier trimestre a été observé lors d'un traitement par un autre inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine, cette éventualité doit également être prise en compte avec la sertraline. Dans des cas où de la sertraline ou d'autres inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine avaient été pris au cours de la grossesse et de l'allaitement, les symptômes de sevrage suivants ont été observés chez quelques nouveau-nés: troubles de l'alimentation ou du sommeil, difficultés à respirer, crises convulsives, variations de la température corporelle, hypoglycémie, tremblements, anomalies du tonus musculaire, surréflectivité, vomissements, irritabilité anormale et pleurs permanents.
  • -L'exposition à un ISRS lors de la phase tardive de la grossesse peut augmenter le risque d'hypertension artérielle pulmonaire persistante (HTAPP) chez le nouveau-né. Dans la population générale, une HTAPP survient lors de 1 à 2 naissances d'enfant vivant sur 1000 et est associée à une morbidité et une mortalité néonatales importantes. Au cours d'une étude cas-témoins rétrospective ayant porté sur 377 femmes ayant accouché d'un enfant atteint d'HTAPP et 836 femmes ayant accouché d'un enfant en bonne santé, le risque d'HTAPP était environ 6 fois plus élevé chez les nourrissons dont les mères avaient pris des ISRS après les 20 premières semaines de la grossesse que chez ceux dont les mères n'avaient pas pris d'antidépresseurs. Au cours d'une étude de population prospective incluant 831'324 nourrissons nés en Suède entre 1997 et 2005, le risque relatif (RR) d'HTAPP s'est élevé à 2.4 (IC 95% 1.2-4.3) en cas d'utilisation maternelle d'ISRS lors de la «phase précoce» de la grossesse. Dans l'analyse de sous-groupes comparant la prise d'un ISRS lors de la «phase précoce» de la grossesse et la prescription d'un ISRS lors de la «phase tardive» de la grossesse, le risque relatif (RR) d'HTAPP s'est élevé à 3.6 (IC 95% 1.2-8.3).
  • +Etant donné qu'un risque augmenté de naissances prématurées et d'autres complications périnatales au cours du dernier trimestre a été observé lors d'un traitement par un autre inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine, cette éventualité doit également être prise en compte avec sertraline. Dans des cas où de la sertraline ou d'autres inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine avaient été pris au cours de la grossesse et de l'allaitement, les symptômes de sevrage suivants ont été observés chez quelques nouveau-nés: troubles de l'alimentation ou du sommeil, difficultés à respirer, crises convulsives, variations de la température corporelle, hypoglycémie, tremblements, anomalies du tonus musculaire, surréflectivité, vomissements, irritabilité anormale et pleurs permanents.
  • +L'exposition à un ISRS lors de la phase tardive de la grossesse peut augmenter le risque d'hypertension artérielle pulmonaire persistante (HTAPP) chez le nouveau-né. Dans la population générale, une HTAPP survient lors de 1 à 2 naissances d'enfant vivant sur 1000 et est associée à une morbidité et une mortalité néonatales importantes. Au cours d'une étude cas-témoins rétrospective ayant porté sur 377 femmes ayant accouché d'un enfant atteint d'HTAPP et 836 femmes ayant accouché d'un enfant en bonne santé, le risque d'HTAPP était environ 6 fois plus élevé chez les nourrissons dont les mères avaient pris des ISRS après les 20 premières semaines de la grossesse que chez ceux dont les mères n'avaient pas pris d'antidépresseurs. Au cours d'une étude de population prospective incluant 831 324 nourrissons nés en Suède entre 1997 et 2005, le risque relatif (RR) d'HTAPP s'est élevé à 2.4 (IC 95% 1.2-4.3) en cas d'utilisation maternelle d'ISRS lors de la «phase précoce» de la grossesse. Dans l'analyse de sous-groupes comparant la prise d'un ISRS lors de la «phase précoce» de la grossesse et la prescription d'un ISRS lors de la «phase tardive» de la grossesse, le risque relatif (RR) d'HTAPP s'est élevé à 3.6 (IC 95% 1.2-8.3).
  • -Système sanguin et lymphatique
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Système immunitaire
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles endocriniens
  • +Affections endocriniennes
  • -Troubles métaboliques et nutritionnels
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • -Troubles psychiatriques
  • +Affections psychiatriques
  • -Système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Oreille et oreille interne
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • -Cœur
  • +Affections cardiaques
  • -Vaisseaux sanguins
  • +Affections vasculaires
  • -Système respiratoire
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastrointestinales
  • -Foie et voies biliaires
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Troubles cutanés
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Système musculo-squelettique
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Reins et voies urinaires
  • +Rare: trismus.
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Appareil reproducteur et glande mammaire
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Atteintes d'ordre général
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -In vitro, la sertraline ne présente aucune affinité pour les récepteurs cholinergiques, sérotoninergiques, dopaminergiques, adrénergiques, histaminergiques, GABA-ergiques ou benzodiazépinergiques.
  • +In vitro, la sertraline ne présente aucune affinité pour les récepteurs cholinergiques, sérotoninergiques, dopaminergiques, adrénergiques, histaminergiques, acide gammaaminobutyrique (GABA)ergiques ou benzodiazépinergiques.
  • -La nourriture n'a pas d'influence notable sur la biodisponibilité des comprimés pelliculés et du concentré oral.
  • +La nourriture n'a pas d'influence notable sur la biodisponibilité des comprimés pelliculés.
  • -Une grande partie de la sertraline subit un important effet de premier passage dans le foie. La N-desméthylsertraline, le métabolite plasmatique le plus important de la sertraline, est nettement moins active in vitro que la sertraline (environ 20 fois moins). Dans des études pharmacologiques in vivo utilisant un modèle de dépression, il s'est avéré que la N-desméthylsertraline est considérablement moins efficace que la sertraline.
  • -La sertraline et la N-desméthylsertraline sont essentiellement métabolisées par désamination oxydative, suivie d'une réduction, d'une hydroxylation et d'une glucuroconjugaison.
  • +Une grande partie de la sertraline subit un important effet de premier passage dans le foie. La Ndesméthylsertraline, le métabolite plasmatique le plus important de la sertraline, est nettement moins active in vitro que la sertraline (environ 20 fois moins). Dans des études pharmacologiques in vivo utilisant un modèle de dépression, il s'est avéré que la Ndesméthylsertraline est considérablement moins efficace que la sertraline.
  • +La sertraline et la Ndesméthylsertraline sont essentiellement métabolisées par désamination oxydative, suivie d'une réduction, d'une hydroxylation et d'une glucuroconjugaison.
  • -La demi-vie d'élimination plasmatique terminale de la N-desméthylsertraline se situe entre 62 et 104 heures. Les métabolites qui en résultent sont excrétés en quantités égales dans les selles et les urines. Moins de 0.2% de la dose appliquée sont excrétés par le rein sous forme de sertraline inchangée.
  • +La demi-vie d'élimination plasmatique terminale de la Ndesméthylsertraline se situe entre 62 et 104 heures. Les métabolites qui en résultent sont excrétés en quantités égales dans les selles et les urines. Moins de 0.2% de la dose appliquée sont excrétés par le rein sous forme de sertraline inchangée.
  • -La sertraline est largement métabolisée par le foie. Une étude de pharmacocinétique a montré que des doses répétées de sertraline administrées à des patients atteints d'une cirrhose stable de nature légère, prolongeaient la demi-vie d'élimination et augmentaient l'AUC, par rapport aux valeurs observées chez les volontaires sains (voir «Mises et garde et précautions»).
  • +La sertraline est largement métabolisée par le foie. Une étude de pharmacocinétique a montré que des doses répétées de sertraline administrées à des patients atteints d'une cirrhose stable de nature légère, prolongeaient la demi-vie d'élimination et augmentaient l'AUC, par rapport aux valeurs observées chez les volontaires sains (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Études sur la fertilité chez l'animal
  • +Une réduction significative de la fertilité a été observée dans une étude chez le rat à la dose de 80 mg/kg/j de sertraline, ce qui correspond à 4 fois la dose maximale thérapeutique en mg/m². La cause de la réduction de fertilité est inconnue. Cependant, dans une autre étude de fertilité (également à une dose de 80 mg/kg/j) chez des rats, aucune altération de la fertilité n'a été observée. On ignore la pertinence de ces résultats pour l'humain.
  • +
  • -Mars 2015.
  • +Mai 2017.
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home