94 Changements de l'information professionelle Sertragen |
-Principe actif: Sertralinum ut Sertralini hydrochloridum.
- +Principe actif: Sertralinum ut sertralini hydrochloridum.
-Comprimés pelliculés (sécables): Sertralinum 50 mg ut Sertralini hydrochloridum.
- +Comprimés pelliculés (sécables): Sertralinum 50 mg ut sertralini hydrochloridum.
-Etat de stress post-traumatique
- +État de stress post-traumatique
-L'administration de 50 mg de sertraline une fois par jour (un comprimé pelliculé) est recommandée au début du traitement de la dépression, ainsi que comme dose thérapeutique usuelle.
-Si la réponse est insuffisante, mais que le médicament est bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
- +L'administration de 50 mg de sertraline une fois par jour (un comprimé pelliculé) est recommandée au début du traitement de la dépression, ainsi que comme dose thérapeutique usuelle. Si la réponse est insuffisante, mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
-La dose initiale usuelle est de 50 mg/jour (un comprimé pelliculé). Si la réponse est insuffisante mais que le médicament est bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
- +La dose initiale usuelle est de 50 mg/jour (un comprimé pelliculé). Si la réponse est insuffisante mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
-Le traitement devra débuter par une dose de 25 mg/jour (un ½ comprimé pelliculé) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine.
-Si la réponse est insuffisante, mais que le médicament est bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
- +Le traitement devra débuter par une dose de 25 mg/jour (un ½ comprimé pelliculé) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse est insuffisante, mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
-Etat de stress post-traumatique
-Le traitement devra débuter par une dose de 25 mg/jour (un ½ comprimé pelliculé) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse est insuffisante, mais que le médicament est bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
-L'expérience acquise dans le traitement médicamenteux à long terme de l'état chronique de stress post-traumatique est encore limitée.
-Il convient donc de vérifier périodiquement chez chaque patient le bénéfice du traitement par Sertragen.
- +État de stress post-traumatique
- +Le traitement devra débuter par une dose de 25 mg/jour (un ½ comprimé pelliculé) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse est insuffisante, mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
- +L'expérience acquise dans le traitement médicamenteux à long terme de l'état chronique de stress post-traumatique est encore limitée. Il convient donc de vérifier périodiquement chez chaque patient le bénéfice du traitement par Sertragen.
-Le traitement devra débuter par une dose de 25 mg/jour (un ½ comprimé pelliculé) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine.
-Si la réponse est insuffisante mais le médicament est bien toléré, la dose pourra être augmentée, par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
- +Le traitement devra débuter par une dose de 25 mg/jour (un ½ comprimé pelliculé) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse est insuffisante mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée, par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
-Chez les adolescents de 13 à 17 ans souffrant de troubles obsessionnels compulsifs, la dose initiale recommandée est de 50 mg/jour (un comprimé pelliculé). Chez les enfants de 6 à 12 ans souffrant de troubles obsessionnels compulsifs, la dose initiale recommandée est de 25 mg/jour (un ½ comprimé pelliculé) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse à une dose de 50 mg/jour est insuffisante, la dose peut être augmentée par palier de 50 mg pour atteindre 200 mg par jour.
-Lorsque la dose est augmentée à plus de 50 mg/jour, il convient cependant de tenir compte du poids corporel de l'enfant, inférieur à celui de l'adulte, afin d'éviter une posologie trop élevée. Compte tenu de la demi-vie d'élimination qui est d'environ 24 heures, l'intervalle entre les augmentations de la dose ne doit pas être inférieur à une semaine.
- +Chez les adolescents de 13 à 17 ans souffrant de troubles obsessionnels compulsifs, la dose initiale recommandée est de 50 mg/jour (un comprimé pelliculé). Chez les enfants de 6 à 12 ans souffrant de troubles obsessionnels compulsifs, la dose initiale recommandée est de 25 mg/jour (un ½ comprimé pelliculé) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse à une dose de 50 mg/jour est insuffisante, la dose peut être augmentée par palier de 50 mg pour atteindre 200 mg par jour. Lorsque la dose est augmentée à plus de 50 mg/jour, il convient cependant de tenir compte du poids corporel de l'enfant, inférieur à celui de l'adulte, afin d'éviter une posologie trop élevée. Compte tenu de la demi-vie d'élimination qui est d'environ 24 heures, l'intervalle entre les augmentations de la dose ne doit pas être inférieur à une semaine.
-Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légere à modérée (Child Pugh Class A+B), la posologie sera réduite de moitié au moins.
- +Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh Class A+B), la posologie sera réduite de moitié au moins.
-Utilisation simultanée de pimozide (voir «Interactions»)
- +Utilisation simultanée de pimozide (voir «Interactions»).
-Des cas de développement d'un syndrome potentiellement fatal tel que le syndrome sérotoninergique (SS) ou le syndrome neuroleptique malin (SNM) ont été rapportés avec les ISRS, y compris la sertraline. Le risque de SS ou de SNM sous ISRS est augmenté en cas d'utilisation concomitante de médicaments sérotoninergiques (comme par ex. le dextrométhorphane, le fentanyl, la méthadone, le tapentadol, le tramadol ou les triptans), de médicaments influençant le métabolisme de la sérotonine (comme les inhibiteurs de l'IMAO, voir la rubrique s'y rapportant), d'antipsychotiques ou d'autres antagonistes de la dopamine. Les symptômes de SS comprennent des modifications de l'état psychique (par ex. agitation, hallucinations, coma), une instabilité autonome (par ex. tachycardie, labilité de la pression artérielle, hyperthermie), des anomalies neuromusculaires (par ex. hyperréflexie, manque de coordination) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (par ex. nausées, vomissements, diarrhées). Certains signes d'un SS, comme l'hyperthermie, la raideur musculaire, l'instabilité végétative avec de possibles oscillations rapides des signes vitaux et des modifications de l'état psychique, ressemblent à ceux d'un SNM. Les patients devraient être surveillés à la recherche de signes ou de symptômes de SS ou de SNM.
- +Des cas de développement d'un syndrome potentiellement fatal tel que le syndrome sérotoninergique (SS) ou le syndrome neuroleptique malin (SNM) ont été rapportés avec les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), y compris la sertraline. Le risque de SS ou de SNM sous ISRS est augmenté en cas d'utilisation concomitante de médicaments sérotoninergiques (comme par ex. le dextrométhorphane, le fentanyl, la méthadone, le tapentadol, le tramadol ou les triptans), de médicaments influençant le métabolisme de la sérotonine (comme les inhibiteurs de l'IMAO, voir la rubrique s'y rapportant), d'antipsychotiques ou d'autres antagonistes de la dopamine. Les symptômes de SS comprennent des modifications de l'état psychique (par ex. agitation, hallucinations, coma), une instabilité autonome (par ex. tachycardie, labilité de la pression artérielle, hyperthermie), des anomalies neuromusculaires (par ex. hyperréflexie, manque de coordination) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (par ex. nausées, vomissements, diarrhées). Certains signes d'un SS, comme l'hyperthermie, la raideur musculaire, l'instabilité végétative avec de possibles oscillations rapides des signes vitaux et des modifications de l'état psychique, ressemblent à ceux d'un SNM. Les patients devraient être surveillés à la recherche de signes ou de symptômes de SS ou de SNM.
-Des réactions graves, parfois fatales, ont été observées chez des patients recevant simultanément de la sertraline et des IMAO, y compris la sélégiline, un IMAO-B sélectif, le moclobémide, un IMAO-A réversible, et d'autres IMAO (par ex. linézolide [un antibiotique, IMAO réversible non sélectif] ou bleu de méthylène). Dans quelques cas sont apparus des signes de syndrome sérotoninergique dont les symptômes regroupent hyperthermie, rigidité, crampes musculaires, labilité végétative avec d'éventuelles variations rapides des signes vitaux, modifications de l'état de conscience, y compris confusion mentale, irritabilité et agitation extrême susceptible de progresser vers le délire et le coma.
-En conséquence, sertraline ne sera pas administré en même temps qu'un IMAO ou dans les 14 jours qui suivent l'arrêt d'un traitement par un IMAO. De même, on respectera un délai d'au moins 14 jours entre l'arrêt d'un traitement par sertraline et le début du traitement par l'IMAO (voir «Contre-indications»).
- +Des réactions graves, parfois fatales, ont été observées chez des patients recevant simultanément sertraline et des IMAO, y compris la sélégiline, un IMAO-B sélectif, le moclobémide, un IMAO-A réversible, et d'autres IMAO (par ex. linézolide [un antibiotique, IMAO réversible non sélectif] ou bleu de méthylène). Dans quelques cas sont apparus des signes de syndrome sérotoninergique dont les symptômes regroupent hyperthermie, rigidité, crampes musculaires, labilité végétative avec d'éventuelles variations rapides des signes vitaux, modifications de l'état de conscience, y compris confusion mentale, irritabilité et agitation extrême susceptible de progresser vers le délire et le coma.
- +En conséquence, la sertraline ne sera pas administrée en même temps qu'un IMAO ou dans les 14 jours qui suivent l'arrêt d'un traitement par un IMAO. De même, on respectera un délai d'au moins 14 jours entre l'arrêt d'un traitement par sertraline et le début du traitement par l'IMAO (voir «Contre-indications»).
-Sertraline n'est pas recommandé pour le traitement d'une dépression chez les patients de moins de 18 ans. Dans des études cliniques menées avec des antidépresseurs, une suicidalité (tentatives de suicide et pensées suicidaires) ainsi qu'une attitude d'hostilité (principalement un comportement agressif et oppositionnel ainsi que des accès de colère) ont été observées plus fréquemment chez l'enfant et l'adolescent sous traitement par des antidépresseurs que sous placebo. Une telle attitude d'hostilité a été également rapportée chez l'enfant ayant des troubles obsessionnels compulsifs.
- +La sertraline n'est pas recommandée pour le traitement d'une dépression chez les patients de moins de 18 ans. Dans des études cliniques menées avec des antidépresseurs, une suicidalité (tentatives de suicide et pensées suicidaires) ainsi qu'une attitude d'hostilité (principalement un comportement agressif et oppositionnel ainsi que des accès de colère) ont été observées plus fréquemment chez l'enfant et l'adolescent sous traitement par des antidépresseurs que sous placebo. Une telle attitude d'hostilité a été également rapportée chez l'enfant ayant des troubles obsessionnels compulsifs.
-Durant les études portant sur la dépression, une crise d'épilepsie a été rapportée chez 3 patients sur environ 4000 patients dépressifs (environ 0,08%). Aucune crise d'épilepsie n'a été observée chez les patients sous sertraline inclus dans le programme de développement clinique pour le traitement du trouble panique. Dans le cadre du programme de développement clinique pour le traitement des troubles obsessionnels compulsifs, 4 patients sur près de 1800 exposés à la sertraline (environ 0,2%) ont présenté des crises d'épilepsie. Trois de ces patients étaient des adolescents, dont deux souffraient de crises d'épilepsie, et un patient présentait une anamnèse familiale de crises d'épilepsie. Aucun de ces patients n'était traité par des antiépileptiques.
- +Durant les études portant sur la dépression, une crise d'épilepsie a été rapportée chez 3 patients sur environ 4000 patients dépressifs (environ 0,08%). Aucune crise d'épilepsie n'a été observée chez les patients sous sertraline inclus dans le programme de développement clinique pour le traitement du trouble panique. Dans le cadre du programme de développement clinique pour le traitement des troubles obsessionnels compulsifs, 4 patients sur près de 1800 exposés à sertraline (environ 0,2%) ont présenté des crises d'épilepsie. Trois de ces patients étaient des adolescents, dont deux souffraient de crises d'épilepsie, et un patient présentait une anamnèse familiale de crises d'épilepsie. Aucun de ces patients n'était traité par des antiépileptiques.
-La sertraline est fortement métabolisée par le foie. Une étude de pharmacocinétique a montré que, lors d'administration de doses répétées de sertraline à des insuffisants hépatiques des classes Child Pugh A et B, la demi-vie d'élimination était prolongée, et l'AUC ainsi que la Cmax environ trois fois plus élevées par rapport aux valeurs observées chez les volontaires sains. La liaison aux protéines plasmatiques n'était pas significativement différente entre les deux groupes. La sertraline doit être administrée avec prudence aux patients atteints de troubles de la fonction hépatique. Chez les patients avec insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh Class A+B), la posologie sera réduite de moitié au moins (voir «Posologie/Mode d'emploi», Instructions spéciales pour le dosage). Chez les patients avec une insuffisance hépatique sévère (Child Pugh Class C), la sertraline ne doit pas être utilisée (voir «Contre-indications»).
- +La sertraline est fortement métabolisée par le foie. Une étude de pharmacocinétique a montré que, lors d'administration de doses répétées de sertraline à des insuffisants hépatiques des classes Child Pugh A et B, la demi-vie d'élimination était prolongée, et l'AUC ainsi que la Cmax environ trois fois plus élevées par rapport aux valeurs observées chez les volontaires sains. La liaison aux protéines plasmatiques n'était pas significativement différente entre les deux groupes. La sertraline doit être administrée avec prudence aux patients atteints de troubles de la fonction hépatique. Chez les patients avec insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh Class A+B), la posologie sera réduite de moitié au moins (voir «Posologie/Mode d'emploi, Instructions spéciales pour le dosage»). Chez les patients avec une insuffisance hépatique sévère (Child Pugh Class C), la sertraline ne doit pas être utilisée (voir «Contre-indications»).
-La prudence s'impose toutefois chez les insuffisants rénaux (voir également «Pharmacocinétique», Cinétique pour certains groupes de patients).
- +La prudence s'impose toutefois chez les insuffisants rénaux (voir également «Pharmacocinétique, Cinétique pour certains groupes de patients»).
-Dans une étude randomisée en double aveugle contre placebo, dont l'objectif était de comparer le risque de pharmacodépendance de la sertraline, de l'alprazolam et de la D-amphétamine, la sertraline n'a pas induit, contrairement aux deux autres substances, d'effets subjectivement positifs tels que l'euphorie ou une préférence pour un médicament qui feraient craindre un risque d'abus.
-Avant la mise sur le marché de sertraline, l'expérience clinique n'a montré non plus aucune tendance en faveur d'un syndrome de sevrage ou d'un besoin impérieux du médicament («drug seeking behavior», par ex. se faire établir des prescriptions par plusieurs médecins).
-Dans des études réalisées chez l'animal, la sertraline n'a pas montré de risque d'abus semblable à celui des stimulants ou des barbituriques (sédatifs).
- +Dans une étude randomisée en double aveugle contre placebo, dont l'objectif était de comparer le risque de pharmacodépendance de sertraline, de l'alprazolam et de la D-amphétamine, la sertraline n'a pas induit, contrairement aux deux autres substances, d'effets subjectivement positifs tels que l'euphorie ou une préférence pour un médicament qui feraient craindre un risque d'abus. Avant la mise sur le marché de sertraline, l'expérience clinique n'a montré aucune tendance en faveur d'un syndrome de sevrage ou d'un besoin impérieux du médicament («drug seeking behavior», par ex. se faire établir des prescriptions par plusieurs médecins). Dans des études réalisées chez l'animal, la sertraline n'a pas montré non plus de risque d'abus semblable à celui des stimulants ou des barbituriques (sédatifs).
-Des réactions allergiques aiguës (par ex. urticaire, bronchospasme, angio-oedème ont été rapportées après utilisation d'ISRS.
- +Des réactions allergiques aiguës (par ex. urticaire, bronchospasme, angiœdème) ont été rapportées après utilisation d'ISRS.
-Inhibiteurs de l'enzyme CYP: la prise simultanée d'inhibiteurs de l'enzyme CYP pourrait augmenter la concentration plasmatique de la sertraline.
-Lors de l'administration concomitante de cimétidine et de sertraline, l'AUC de sertraline a augmenté de 50% en moyenne, la Cmax de 24% et la demi-vie t½ de 26%. La signification clinique de cette interaction pharmacocinétique n'est pas connue.
- +Inhibiteurs de l'enzyme cytochrome P450 (CYP-): la prise simultanée d'inhibiteurs de l'enzyme CYP pourrait augmenter la concentration plasmatique de la sertraline.
- +Lors de l'administration concomitante de cimétidine et de sertraline, l'AUC de la sertraline a augmenté de 50% en moyenne, la Cmax de 24% et la demi-vie t½ de 26%. La signification clinique de cette interaction pharmacocinétique n'est pas connue.
-Des taux élevés de pimozide ont été mesurés au cours d'une étude portant sur l'administration concomitante de sertraline et d'une dose unique faible de pimozide (2 mg). Ces taux augmentés n'étaient pas associés à une modification du tracé électrocardiographique. Le mécanisme de cette interaction est inconnu. L'administration concomitante de sertraline et de pimozide est contre-indiquée en raison de l'étroitesse de la fenêtre thérapeutique du pimozide (voir «Contre-indications»).
- +Des taux élevés de pimozide ont été mesurés au cours d'une étude portant sur l'administration concomitante de sertraline et d'une dose unique faible de pimozide (2 mg). Ces taux augmentés n'étaient pas associés à une modification du tracé électrocardiographique (ECG). Le mécanisme de cette interaction est inconnu. L'administration concomitante de sertraline et de pimozide est contre-indiquée en raison de l'étroitesse de la fenêtre thérapeutique du pimozide (voir «Contre-indications»).
-Sertraline ne doit pas être pris en même temps que des IMAO ou dans les 14 jours qui suivent l'arrêt d'un traitement par un IMAO (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
- +La sertraline ne doit pas être prise en même temps que des IMAO ou dans les 14 jours qui suivent l'arrêt d'un traitement par un IMAO (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
-Etant donné qu'un risque augmenté de naissances prématurées et d'autres complications périnatales au cours du dernier trimestre a été observé lors d'un traitement par un autre inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine, cette éventualité doit également être prise en compte avec sertraline. Dans des cas où de la sertraline resp. d'autres inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine avaient été pris au cours de la grossesse et de l'allaitement, les symptômes de sevrage suivants ont été observés chez quelques nouveau-nés: troubles de l'alimentation ou du sommeil, difficultés à respirer, crises convulsives, variations de la température corporelle, hypoglycémie, tremblements, anomalies du tonus musculaire, surréflectivité, vomissements, irritabilité anormale et pleurs permanents.
-L'exposition à un ISRS lors de la phase tardive de la grossesse peut augmenter le risque d'hypertension artérielle pulmonaire persistante (HTAPP) chez le nouveau-né. Dans la population générale, une HTAPP survient lors de 1 à 2 naissances d'enfant vivant sur 1000 et est associée à une morbidité et une mortalité néonatales importantes. Au cours d'une étude cas-témoins rétrospective ayant porté sur 377 femmes ayant accouché d'un enfant atteint d'HTAPP et 836 femmes ayant accouché d'un enfant en bonne santé, le risque d'HTAPP était environ 6 fois plus élevé chez les nourrissons dont les mères avaient pris des ISRS après les 20 premières semaines de la grossesse que chez ceux dont les mères n'avaient pas pris d'antidépresseurs. Au cours d'une étude de population prospective incluant 831'324 nourrissons nés en Suède entre 1997 et 2005, le risque relatif (RR) d'HTAPP s'est élevé à 2,4 (IC 95% 1,2–4,3) en cas d'utilisation maternelle d'ISRS lors de la «phase précoce» de la grossesse. Dans l'analyse de sous-groupes comparant la prise d'un ISRS lors de la «phase précoce» de la grossesse et la prescription d'un ISRS lors de la «phase tardive» de la grossesse, le risque relatif d'HTAPP s'est élevé à 3,6 (IC 95% 1,2–8,3).
- +Etant donné qu'un risque augmenté de naissances prématurées et d'autres complications périnatales au cours du dernier trimestre a été observé lors d'un traitement par un autre inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine, cette éventualité doit également être prise en compte avec sertraline. Dans des cas où de la sertraline ou d'autres inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine avaient été pris au cours de la grossesse et de l'allaitement, les symptômes de sevrage suivants ont été observés chez quelques nouveau-nés: troubles de l'alimentation ou du sommeil, difficultés à respirer, crises convulsives, variations de la température corporelle, hypoglycémie, tremblements, anomalies du tonus musculaire, surréflectivité, vomissements, irritabilité anormale et pleurs permanents.
- +L'exposition à un ISRS lors de la phase tardive de la grossesse peut augmenter le risque d'hypertension artérielle pulmonaire persistante (HTAPP) chez le nouveau-né. Dans la population générale, une HTAPP survient lors de 1 à 2 naissances d'enfant vivant sur 1000 et est associée à une morbidité et une mortalité néonatales importantes. Au cours d'une étude cas-témoins rétrospective ayant porté sur 377 femmes ayant accouché d'un enfant atteint d'HTAPP et 836 femmes ayant accouché d'un enfant en bonne santé, le risque d'HTAPP était environ 6 fois plus élevé chez les nourrissons dont les mères avaient pris des ISRS après les 20 premières semaines de la grossesse que chez ceux dont les mères n'avaient pas pris d'antidépresseurs. Au cours d'une étude de population prospective incluant 831'324 nourrissons nés en Suède entre 1997 et 2005, le risque relatif (RR) d'HTAPP s'est élevé à 2.4 (IC 95% 1.2–4.3) en cas d'utilisation maternelle d'ISRS lors de la «phase précoce» de la grossesse. Dans l'analyse de sous-groupes comparant la prise d'un ISRS lors de la «phase précoce» de la grossesse et la prescription d'un ISRS lors de la «phase tardive» de la grossesse, le risque relatif (RR) d'HTAPP s'est élevé à 3.6 (IC 95% 1.2–8.3).
-Des études pharmacodynamiques ont montré qu'en règle générale, la sertraline n'altérait pas le comportement psychomoteur.
-Un traitement par Sertragen pouvant provoquer de la somnolence et des vertiges, la prudence est de mise lors de la conduite d'un véhicule ou de l'utilisation d'une machine. L'attention des patients doit être attirée sur ce danger.
- +Des études pharmacodynamiques ont montré qu'en règle générale, la sertraline n'altérait pas le comportement psychomoteur. Un traitement par Sertragen pouvant provoquer de la somnolence et des vertiges, la prudence est de mise lors de la conduite d'un véhicule ou de l'utilisation d'une machine. L'attention des patients doit être attirée sur ce danger.
-Système sanguin et lymphatique
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Système immunitaire
- +Affections du système immunitaire
-Troubles endocriniens
- +Affections endocriniennes
-Troubles métaboliques et nutritionnels
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition
-Troubles psychiatriques
- +Affections psychiatriques
-Système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Oreille et oreille interne
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
-Cœur
- +Affections cardiaques
-Vaisseaux sanguins
- +Affections vasculaires
-Système respiratoire
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Foie et voies biliaires
- +Affections hépatobiliaires
-Troubles cutanés
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Système musculo-squelettique
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Reins et voies urinaires
- +Rare: trismus.
- +Affections du rein et des voies urinaires
-Appareil reproducteur et glande mammaire
- +Affections des organes de reproduction et du sein
-Atteintes d'ordre général
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-La sertraline présente une marge de sécurité en cas de surdosage qui dépend des caractéristiques des patients ainsi que du traitement d'accompagnement. Des rapports font état d'un surdosage allant jusqu'à 13.5 g, sans symptômes d'intoxication graves.
-Cependant, des patients ayant présenté des crises épileptiques après l'ingestion d'une dose de 500-1000 mg ont également été décrits dans la littérature.
-Les décès observés après un surdosage de sertraline seule ou en combinaison avec d'autres médicaments et/ou de l'alcool sont surtout survenus lors d'une association avec d'autres médicaments et/ou de l'alcool.
-Une prudence particulière est de rigueur en cas d'intoxications mixtes avec d'autres substances à action sérotoninergique (p.ex. antidépresseurs tricycliques) car des évolutions sévères s'inscrivant dans le cadre d'un syndrome sérotoninergique sont alors possibles.
- +La sertraline présente une marge de sécurité en cas de surdosage qui dépend des caractéristiques des patients ainsi que du traitement d'accompagnement. Des rapports font état d'un surdosage allant jusqu'à 13.5 g, sans symptômes d'intoxication graves. Cependant, des patients ayant présenté des crises épileptiques après l'ingestion d'une dose de 500-1000 mg ont également été décrits dans la littérature. Les décès observés après un surdosage de sertraline seule ou en combinaison avec d'autres médicaments et/ou de l'alcool sont surtout survenus lors d'une association avec d'autres médicaments et/ou de l'alcool. Une prudence particulière est de rigueur en cas d'intoxications mixtes avec d'autres substances à action sérotoninergique (p.ex. antidépresseurs tricycliques) car des évolutions sévères s'inscrivant dans le cadre d'un syndrome sérotoninergique sont alors possibles.
-In vitro, la sertraline ne présente aucune affinité pour les récepteurs cholinergiques, sérotoninergiques, dopaminergiques, adrénergiques, histaminergiques, GABA-ergiques ou benzodiazépinergiques.
- +In vitro, la sertraline ne présente aucune affinité pour les récepteurs cholinergiques, sérotoninergiques, dopaminergiques, adrénergiques, histaminergiques, acide gamma-aminobutyrique (GABA-)-ergiques ou benzodiazépinergiques.
-Une grande partie de la sertraline subit un important effet de premier passage dans le foie. La N-desméthylsertraline, le métabolite plasmatique le plus important de la sertraline, est nettement moins active in vitro que la sertraline (environ 20 fois moins).
-Dans des études pharmacologiques in vivo utilisant un modèle de dépression, il s'est avéré que la N-desméthylsertraline est considérablement moins efficace que la sertraline.
- +Une grande partie de la sertraline subit un important effet de premier passage dans le foie. La N-desméthylsertraline, le métabolite plasmatique le plus important de la sertraline, est nettement moins active in vitro que la sertraline (environ 20 fois moins). Dans des études pharmacologiques in vivo utilisant un modèle de dépression, il s'est avéré que la N-desméthylsertraline est considérablement moins efficace que la sertraline.
-La demi-vie d'élimination plasmatique terminale de la N-desméthylsertraline se situe entre 62 et 104 heures.
-Les métabolites qui en résultent sont excrétés en quantités égales dans les selles et les urines. Moins de 0,2% de la dose appliquée sont excrétés par le rein sous forme de sertraline inchangée.
- +La demi-vie d'élimination plasmatique terminale de la N-desméthylsertraline se situe entre 62 et 104 heures. Les métabolites qui en résultent sont excrétés en quantités égales dans les selles et les urines. Moins de 0.2% de la dose appliquée sont excrétés par le rein sous forme de sertraline inchangée.
-Des études de reproduction chez le rat et chez le lapin n'ont mis aucun indice suggérant un effet tératogène en évidence; toutefois, à des doses (en mg/kg) environ 2,5 à 10 fois supérieures à la dose quotidienne maximale recommandée chez l'être humain, la sertraline a été associée à un retard de l'ossification chez le foetus.
-Ces troubles sont probablement dus à des effets toxiques pour la mère.
- +Des études de reproduction chez le rat et chez le lapin n'ont mis aucun indice suggérant un effet tératogène en évidence; toutefois, à des doses (en mg/kg) environ 2,5 à 10 fois supérieures à la dose quotidienne maximale recommandée chez l'être humain, la sertraline a été associée à un retard de l'ossification chez le foetus. Ces troubles sont probablement dus à des effets toxiques pour la mère.
- +Études sur la fertilité chez l'animal
- +Une réduction significative de la fertilité a été observée dans une étude chez le rat à la dose de 80 mg/kg/j de sertraline, ce qui correspond à 4 fois la dose maximale thérapeutique en mg/m². La cause de la réduction de fertilité est inconnue. Cependant, dans une autre étude de fertilité (également à une dose de 80 mg/kg/j) chez des rats, aucune altération de la fertilité n'a été observée. On ignore la pertinence de ces résultats pour l'humain.
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-Mars 2015.
- +Mai 2017.
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