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Accueil - Information professionnelle sur Zolpidem Spirig HC 10 mg - Changements - 09.03.2017
84 Changements de l'information professionelle Zolpidem Spirig HC 10 mg
  • -Traitement à court terme de linsomnie, dans le cas où celle-ci est invalidante pour le patient.
  • +Traitement à court terme de l'insomnie, dans le cas où celle-ci est invalidante pour le patient.
  • -Adultes: la posologie recommandée est de 1 comprimé pelliculé à 10 mg.
  • -Comme cest le cas pour tous les hypnotiques, lutilisation à long terme de zolpidem nest pas recommandée.
  • +Adultes: la posologie recommandée est de 1 comprimé à 10 mg. Le traitement sera initié à la dose efficace la plus faible et la dose maximale ne sera pas dépassée.
  • +Comme c'est le cas pour tous les hypnotiques, l'utilisation à long terme de zolpidem n'est pas recommandée.
  • -Dans certains cas, il peut être nécessaire de poursuivre le traitement au delà de 4 semaines; cela ne devrait pas intervenir sans réévaluation de létat du patient.
  • -Dans tous les cas, la prise doit avoir lieu à distance du repas immédiatement avant le coucher ou lorsque lon est déjà au lit.
  • +Dans certains cas, il peut être nécessaire de poursuivre le traitement au-delà de 4 semaines; cela ne devrait pas intervenir sans réévaluation de l'état du patient.
  • +Dans tous les cas, la prise doit avoir lieu à distance du repas immédiatement avant le coucher ou lorsque l'on est déjà au lit, et ne doit pas dépasser 1 comprimé durant la même nuit.
  • -Enfants: la tolérance et lefficacité du zolpidem chez les patients pédiatriques en-dessous de lâge de 18 ans nont pas été établies. Cest pourquoi le zolpidem ne doit pas être prescrit à cette population.
  • -Sujets âgés (65 ans et plus), fragilisés: les sujets âgés ou fragilisés pouvant être particulièrement sensibles aux effets du zolpidem, la posologie recommandée est de ½ comprimé pelliculé et ne peut être quexceptionnellement portée à 1 comprimé pelliculé.
  • -Insuffisance hépatique: la clairance et le métabolisme du zolpidem étant diminués en cas dinsuffisance hépatique, la dose initiale devrait être de 5 mg en cas dinsuffisance hépatique avec une prudence particulière pour les patients âgés.
  • +Enfants: la tolérance et l'efficacité du zolpidem chez les patients pédiatriques en-dessous de l'âge de 18 ans n'ont pas été établies. C'est pourquoi le zolpidem ne doit pas être prescrit à cette population.
  • +Sujets âgés (65 ans et plus), fragilisés: les sujets âgés ou fragilisés pouvant être particulièrement sensibles aux effets du zolpidem, la posologie recommandée est de ½ comprimé et ne peut être qu'exceptionnellement portée à 1 comprimé.
  • +Insuffisance hépatique: la clairance et le métabolisme du zolpidem étant diminués en cas d'insuffisance hépatique, la dose initiale devrait être de 5 mg en cas d'insuffisance hépatique avec une prudence particulière pour les patients âgés.
  • -·une hypersensibilité au zolpidem ou à lun des excipients,
  • -·un syndrome dapnée obstructive du sommeil,
  • +·une hypersensibilité au zolpidem ou à l'un des excipients,
  • +·un syndrome d'apnée obstructive du sommeil,
  • -Patients pédiatriques: La tolérance et lefficacité nont pas été établies en pédiatrie. Lors dune étude sur 8 semaines chez des patients (de 6 à 17 ans) souffrant dinsomnie en association au trouble déficit de lattention/hyperactivité (TDAH), les troubles psychiatriques et du système nerveux central comprenaient les effets indésirables émergents du traitement les plus fréquents observés avec le zolpidem en comparaison au placébo et incluaient vertiges (23,5% vs 1,5%), céphalées (12,5% vs 9,2%) et hallucinations (7,4% vs 0%).
  • -Sujets âgés, insuffisance hépatique: voir «Instructions posologiques particulières».
  • -La prescription dun hypnotique quel quil soit impose les précautions suivantes
  • -La cause de linsomnie doit si possible être identifiée, et les éventuels facteurs sous-jacents traités avant la prescription dun hypnotique.
  • -La persistance de linsomnie après 7 à 14 jours de traitement peut indiquer la présence dune pathologie psychiatrique ou physique sous-jacente. En particulier, une dépression préexistante peut être révélée au cours dun traitement par le zolpidem, linsomnie pouvant être un symptôme témoin dune dépression. Létat du patient devrait être réévalué soigneusement à intervalles réguliers.
  • -Lors de la prescription dhypnotiques, les prescripteurs doivent prendre en compte les éléments suivants:
  • +Insuffisance hépatique: Le zolpidem ne doit pas être utilisé chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique sévère car il est susceptible d'entraîner une encéphalopathie (voir «Instructions posologiques particulières», «Contre-indications» et «Effets indésirables»).
  • +Patients pédiatriques: La tolérance et l'efficacité n'ont pas été établies en pédiatrie. Lors d'une étude sur 8 semaines chez des patients (de 6 à 17 ans) souffrant d'insomnie en association au trouble déficit de l'attention/hyperactivité (TDAH), les troubles psychiatriques et du système nerveux central comprenaient les effets indésirables émergents du traitement les plus fréquents observés avec le zolpidem en comparaison au placébo et incluaient vertiges (23,5% vs. 1,5%), céphalées (12,5% vs. 9,2%) et hallucinations (7,4% vs. 0%).
  • +Sujets âgés: voir «Instructions posologiques particulières».
  • +La prescription d'un hypnotique quel qu'il soit impose les précautions suivantes:
  • +La cause de l'insomnie doit si possible être identifiée, et les éventuels facteurs sous-jacents traités avant la prescription d'un hypnotique.
  • +La persistance de l'insomnie après 7 à 14 jours de traitement peut indiquer la présence d'une pathologie psychiatrique ou physique sous-jacente. En particulier, une dépression préexistante peut être révélée au cours d'un traitement par le zolpidem, l'insomnie pouvant être un symptôme témoin d'une dépression. L'état du patient devrait être réévalué soigneusement à intervalles réguliers.
  • +Lors de la prescription d'hypnotiques, les prescripteurs doivent prendre en compte les éléments suivants:
  • -Dépression: Les hypnotiques ne doivent pas être utilisés seuls pour traiter la dépression. Bien quaucune interaction pharmacocinétique cliniquement significative ou pharmacodynamique nait été démontrée avec les antidépresseurs ISRS (voir «Interactions»), comme pour les autres hypnotiques, le zolpidem ne doit être administré quavec prudence chez les patients présentant des symptômes de dépression. En raison dun risque suicidaire accru, le nombre de boîtes prescrites doit être le plus faible possible pour éviter tout surdosage intentionnel.
  • -Une dépression préexistante peut être révélée au cours dun traitement par le zolpidem. Linsomnie pouvant être le symptôme dune dépression, le patient devra être réévalué si linsomnie persiste.
  • +Dépression: Les hypnotiques ne doivent pas être utilisés seuls pour traiter la dépression. Bien qu'aucune interaction pharmacocinétique cliniquement significative ou pharmacodynamique n'ait été démontrée avec les antidépresseurs ISRS (voir «Interactions»), comme pour les autres hypnotiques, le zolpidem ne doit être administré qu'avec prudence chez les patients présentant des symptômes de dépression. En raison d'un risque suicidaire accru, le nombre de boîtes prescrites doit être le plus faible possible pour éviter tout surdosage intentionnel.
  • +Une dépression préexistante peut être révélée au cours d'un traitement par le zolpidem. L'insomnie pouvant être le symptôme d'une dépression, le patient devra être réévalué si l'insomnie persiste.
  • -Dans ce cas, le traitement doit être interrompu. Ces symptômes sont plus susceptibles dapparaître chez le sujet âgé.
  • -Somnambulisme et comportements associés: Somnambulisme et comportements associés ont été rapportés par des patients qui avaient pris du zolpidem (Zolpidem Helvepharm) ou des somnifères apparentés à cette préparation et nétaient pas complètement réveillés. Parmi ces comportements, on peut citer le somnambulisme en conduisant, en préparant des repas et en mangeant, en téléphonant ou pendant des rapports sexuels, sans que les personnes concernées ne sen souviennent (amnésie). Des cas isolés de comportement dautomutilation ont également été rapportés dans ce contexte. La prise dalcool et dautres dépresseurs du SNC ou substances daction centrale semble accroître le risque de tels comportements en association avec le zolpidem (Zolpidem Helvepharm). Le même principe sapplique en cas de prise de Zolpidem Helvepharm à des doses supérieures à la dose maximale recommandée. Le traitement avec Zolpidem Helvepharm doit être arrêté chez les patients rapportant de tels comportements (par exemple, le somnambulisme en conduisant) à cause du risque pour le patient et les autres personnes.
  • -Accoutumance: Une certaine perte defficacité par rapport aux effets hypnotiques des sédatifs/hypnotiques comme le zolpidem peut survenir au cours de lutilisation répétée durant quelques semaines.
  • -Dépendance: Bien que sans parenté chimique avec les benzodiazépines, le zolpidem (une imidazopyridine) agit sur le même complexe du récepteur GABAA. Jusquà ce que lon dispose dune plus ample expérience, les précautions suivantes sont de rigueur avec Zolpidem Helvepharm en raison de lapparition possible dun phénomène de dépendance:
  • -La prise de sédatifs/hypnotiques comme le zolpidem peut mener à une dépendance physique et psychologique. Ce risque augmente lors de prise prolongée, de doses élevées ou chez des patients prédisposés. Il est aussi important chez les patients ayant des antécédents de troubles psychiatriques, de dépendance alcoolique ou de toxicomanie. Ces patients devront faire lobjet dune surveillance attentive.
  • -Une fois que la dépendance physique sest développée, larrêt brusque du traitement saccompagne de symptômes de sevrage. Ils peuvent consister en maux de tête ou douleur musculaire, très forte anxiété et tension, nervosité, confusion et irritabilité. Dans les cas graves, les symptômes suivants peuvent se présenter: déréalisation, dépersonnalisation, hyperacousie, engourdissement et fourmillements dans les extrémités, hypersensibilité à la lumière, au bruit et au contact physique, hallucinations ou crises épileptiques.
  • -Les symptômes de sevrage surviennent après brusque interruption et se limitent, dans les cas les plus bénins, à des tremblements, de lagitation, des troubles du sommeil, des angoisses, des maux de tête et des troubles de la concentration. Toutefois, dautres symptômes tels que sudation, crampes musculaires et abdominales, troubles de la perception, et dans de rares cas, délires et crises dépilepsie peuvent se manifester.
  • -Selon la durée daction de la substance, les symptômes de sevrage apparaissent de quelques heures à une semaine ou plus après interruption de la thérapie.
  • -Afin de diminuer au maximum le risque de dépendance, les hypnotiques ne devraient être prescrits quaprès examen approfondi de lindication, et être pris pour une période aussi brève que possible (en règle générale, pas au-delà de 4 semaines). La nécessité de continuer le traitement doit être périodiquement réexaminée. Un traitement prolongé nest indiqué que chez certains patients, et son bénéfice, en comparaison des risques est moins évident.
  • -Afin déviter des symptômes de sevrage, un arrêt progressif, pendant lequel les doses seront réduites graduellement, est conseillé. Lors dapparition de symptômes de sevrage, une surveillance médicale très étroite et la prise en charge du patient sont indispensables.
  • -Rebond dinsomnie: Linterruption dun traitement hypnotique peut entraîner un rebond dinsomnie transitoire (réapparition de manière exagérée de linsomnie initiale).
  • -Il peut également saccompagner dautres symptômes comme: modification de lhumeur, anxiété et agitation («restlessness»).
  • -Il est important que le patient soit informé de la possibilité de survenue de ces phénomènes de rebond, ce qui permettra de minimiser lintensité de lanxiété et des autres symptômes à larrêt du traitement.
  • -En cas dutilisation de sédatifs/hypnotiques à demi-vie courte, certains symptômes de sevrage peuvent survenir entre deux prises consécutives.
  • +Dans ce cas, le traitement doit être interrompu. Ces symptômes sont plus susceptibles d'apparaître chez le sujet âgé.
  • +Somnambulisme et comportements associés: Somnambulisme et comportements associés ont été rapportés par des patients qui avaient pris du zolpidem (Zolpidem Spirig HC) ou des somnifères apparentés à cette préparation et n'étaient pas complètement réveillés. Parmi ces comportements, on peut citer le somnambulisme en conduisant, en préparant des repas et en mangeant, en téléphonant ou pendant des rapports sexuels, sans que les personnes concernées ne s'en souviennent (amnésie). Des cas isolés de comportement d'automutilation ont également été rapportés dans ce contexte. La prise d'alcool et d'autres dépresseurs du SNC ou substances d'action centrale semble accroître le risque de tels comportements en association avec le zolpidem (Zolpidem Spirig HC). Le même principe s'applique en cas de prise de Zolpidem Spirig HC à des doses supérieures à la dose maximale recommandée. Le traitement avec Zolpidem Spirig HC doit être arrêté chez les patients rapportant de tels comportements (par exemple, le somnambulisme en conduisant) à cause du risque pour le patient et les autres personnes.
  • +Troubles de l'appareil psychomoteur: Le risque de troubles de l'appareil psychomoteur, incluant des capacités réduites à la conduite, est augmenté si: zolpidem est pris moins de 7 à 8 heures avant de pratiquer des activités demandant une certaine vigilance, ou si zolpidem est co-administré avec un autre dépresseurs du SNC, ou d'autres substances pouvant augmenter les taux sanguins de zolpidem.
  • +Accoutumance: Une certaine perte d'efficacité par rapport aux effets hypnotiques des sédatifs/hypnotiques comme le zolpidem peut survenir au cours de l'utilisation répétée durant quelques semaines.
  • +Dépendance: Bien que sans parenté chimique avec les benzodiazépines, le zolpidem (une imidazopyridine) agit sur le même complexe du récepteur GABA A. Jusqu'à ce que l'on dispose d'une plus ample expérience, les précautions suivantes sont de rigueur avec Zolpidem Spirig HC en raison de l'apparition possible d'un phénomène de dépendance:
  • +La prise de sédatifs/hypnotiques comme le zolpidem peut mener à une dépendance physique et psychologique. Ce risque augmente lors de prise prolongée, de doses élevées ou chez des patients prédisposés. Il est aussi important chez les patients ayant des antécédents de troubles psychiatriques, de dépendance alcoolique ou de toxicomanie. Ces patients devront faire l'objet d'une surveillance attentive.
  • +Une fois que la dépendance physique s'est développée, l'arrêt brusque du traitement s'accompagne de symptômes de sevrage. Ils peuvent consister en maux de tête ou douleur musculaire, très forte anxiété et tension, nervosité, confusion et irritabilité. Dans les cas graves, les symptômes suivants peuvent se présenter: déréalisation, dépersonnalisation, hyperacousie, engourdissement et fourmillements dans les extrémités, hypersensibilité à la lumière, au bruit et au contact physique, hallucinations ou crises épileptiques.
  • +Les symptômes de sevrage surviennent après brusque interruption et se limitent, dans les cas les plus bénins, à des tremblements, de l'agitation, des troubles du sommeil, des angoisses, des maux de tête et des troubles de la concentration. Toutefois, d'autres symptômes tels que sudation, crampes musculaires et abdominales, troubles de la perception, et dans de rares cas, délires et crises d'épilepsie peuvent se manifester.
  • +Selon la durée d'action de la substance, les symptômes de sevrage apparaissent de quelques heures à une semaine ou plus après interruption de la thérapie.
  • +Afin de diminuer au maximum le risque de dépendance, les hypnotiques ne devraient être prescrits qu'après examen approfondi de l'indication, et être pris pour une période aussi brève que possible (en règle générale, pas au-delà de 4 semaines). La nécessité de continuer le traitement doit être périodiquement réexaminée. Un traitement prolongé n'est indiqué que chez certains patients, et son bénéfice, en comparaison des risques est moins évident.
  • +Afin d'éviter des symptômes de sevrage, un arrêt progressif, pendant lequel les doses seront réduites graduellement, est conseillé. Lors d'apparition de symptômes de sevrage, une surveillance médicale très étroite et la prise en charge du patient sont indispensables.
  • +Rebond d'insomnie: L'interruption d'un traitement hypnotique peut entraîner un rebond d'insomnie transitoire (réapparition de manière exagérée de l'insomnie initiale).
  • +Somnolence: En raison de ses propriétés pharmacologiques, la prise de zolpidem peut entraîner une somnolence et diminuer le niveau de conscience, ce qui peut engendrer des chutes et par conséquent de graves blessures.
  • +Il peut également s'accompagner d'autres symptômes comme: modification de l'humeur, anxiété et agitation («restlessness»).
  • +Il est important que le patient soit informé de la possibilité de survenue de ces phénomènes de rebond, ce qui permettra de minimiser l'intensité de l'anxiété et des autres symptômes à l'arrêt du traitement.
  • +En cas d'utilisation de sédatifs/hypnotiques à demi-vie courte, certains symptômes de sevrage peuvent survenir entre deux prises consécutives.
  • -La prise simultanée dalcool est déconseillée. Risque de majoration par lalcool de leffet sédatif.
  • +La prise simultanée d'alcool est déconseillée. Risque de majoration par l'alcool de l'effet sédatif.
  • -Leffet dépresseur central peut être accru en cas dassociation avec des antipsychotiques (neuroleptiques), hypnotiques, anxiolytiques/sédatifs, antidépresseurs, dérivés morphiniques (analgésiques et antitussifs), analgésiques narcotiques, antiépileptiques, anesthésiques, antihistaminiques H1 sédatifs. Néanmoins, dans le cas dassociation avec la fluoxétine ou la sertraline, antidépresseurs ISRS, il est à remarquer que:
  • -avec la fluoxétine, aucune interaction cliniquement significative, que cela soit du point de vue pharmacocinétique ou pharmacodynamique, na été observée,
  • -avec la sertraline, la concentration maximale du zolpidem est significativement élevée et le Tmax diminué. Bien que cela nait pas été démontré sur le plan clinique, ces changements pourraient théoriquement accélérer leffet hypnotique du zolpidem.
  • -Lors de la prise danalgésiques narcotiques, lamplification de leuphorie peut également faciliter lapparition dune dépendance psychologique.
  • +L'effet dépresseur central peut être accru en cas d'association avec des antipsychotiques (neuroleptiques), hypnotiques, anxiolytiques/sédatifs, antidépresseurs, dérivés morphiniques (analgésiques et antitussifs), analgésiques narcotiques, antiépileptiques, anesthésiques, antihistaminiques H1 sédatifs. L'association de zolpidem avec ces substances peut augmenter les effets de somnolence et de troubles psychomoteurs, incluant des capacités réduites à la conduite.
  • +Néanmoins, dans le cas d'association avec la fluoxétine ou la sertraline, antidépresseurs ISRS, il est à remarquer que:
  • +·avec la fluoxétine, aucune interaction cliniquement significative, que cela soit du point de vue pharmacocinétique ou pharmacodynamique, n'a été observée,
  • +·avec la sertraline, la concentration maximale du zolpidem est significativement élevée et le Tmax diminué. Bien que cela n'ait pas été démontré sur le plan clinique, ces changements pourraient théoriquement accélérer l'effet hypnotique du zolpidem.
  • +Lors de la prise d'analgésiques narcotiques, l'amplification de l'euphorie peut également faciliter l'apparition d'une dépendance psychologique.
  • -Les inhibiteurs du cytochrome P450 peuvent augmenter lactivité de certains hypnotiques comme le zolpidem. Le métabolisme du zolpidem chez lhomme dépend principalement de lenzyme CYP450 3A4, avec la contribution de lenzyme CYP450 1A2. Leffet pharmacodynamique de zolpidem est diminué lorsquil est administré avec la rifampicine (un inducteur du CYP450 3A4).
  • -Une étude dinteraction avec litraconazole, inhibiteur du CYP450 3A, a été réalisée. Malgré une augmentation de 35% de lAUC, aucune conséquence clinique na été observée. En conclusion, il nest pas nécessaire de modifier la dose de zolpidem en présence de litraconazole.
  • -Ladaptation en routine des doses de zolpidem nest pas considérée comme nécessaire, mais ladministration concomitante de zolpidem et de kétoconazole peut entraîner laugmentation des effets sédatifs. Laugmentation par un facteur de 1,83 de lAUC a été observée.
  • -Des études avec dautres inhibiteurs du CYP450 3A ne sont pas disponibles.
  • +Les inhibiteurs du cytochrome P450 peuvent augmenter l'activité de certains hypnotiques comme le zolpidem. Le métabolisme du zolpidem chez l'homme dépend principalement de l'enzyme CYP450 3A4, avec la contribution de l'enzyme CYP450 1A2. L'effet pharmacodynamique du zolpidem est diminué lorsqu'il est administré avec un inducteur du CYP450 3A4 comme la rifampicine et le millepertuis. Le millepertuis peut diminuer les taux sanguins du zolpidem (diminution de 33,7% de la Cmax moyenne, et de 30% de l'AUC); la co-administration n'est donc pas recommandée.
  • +Une étude d'interaction avec l'itraconazole, inhibiteur du CYP450 3A, a été réalisée. Malgré une augmentation de 35% de l'AUC, aucune conséquence clinique n'a été observée. En conclusion, il n'est pas nécessaire de modifier la dose de zolpidem en présence de l'itraconazole.
  • +L'adaptation en routine des doses de zolpidem n'est pas considérée comme nécessaire, mais l'administration concomitante de zolpidem et de kétoconazole peut entraîner l'augmentation des effets sédatifs. L'augmentation par un facteur de 1,83 de l'AUC a été observée.
  • +Des études avec d'autres inhibiteurs du CYP450 3A ne sont pas disponibles.
  • -Aucune interaction pharmacocinétique significative na été observée en cas dadministration concomitante du zolpidem avec la warfarine, la digoxine, la ranitidine ou la cimétidine.
  • +La fluvoxamine et la ciprofloxacine peuvent augmenter les taux sanguins de zolpidem. Leur co-administration avec du zolpidem n'est donc pas recommandée.
  • +Aucune interaction pharmacocinétique significative n'a été observée en cas d'administration concomitante du zolpidem avec la warfarine, la digoxine, la ranitidine ou la cimétidine.
  • -Bien quaucun effet tératogène ou embryotoxique nait été mis en évidence chez lanimal, par mesure de précaution, ce médicament ne doit pas être administré en cas de grossesse.
  • +Bien qu'aucun effet tératogène ou embryotoxique n'ait été mis en évidence chez l'animal, par mesure de précaution, ce médicament ne doit pas être administré en cas de grossesse.
  • -Les nouveau-nés de mères ayant pris du zolpidem en fin de grossesse ou au moment de laccouchement peuvent présenter des symptômes tels que hypothermie, hypotonie et une dépression respiratoire modérée. Des cas de dépression respiratoire sévère chez les nouveau-nés ont été observés lorsque zolpidem était utilisé avec dautres dépresseurs du SNC à la fin de la grossesse. De plus, les enfants de mères ayant pris des sédatifs/hypnotiques chroniquement en fin de grossesse peuvent avoir développé une dépendance physique. Lenfant peut présenter des symptômes de sevrage, bien quaucun cas nait été signalé avec le zolpidem.
  • +Les nouveaux-nés de mères ayant pris du zolpidem en fin de grossesse ou au moment de l'accouchement peuvent présenter des symptômes tels que hypothermie, hypotonie et une dépression respiratoire modérée. Des cas de dépression respiratoire sévère chez les nouveaux-nés ont été observés lorsque zolpidem était utilisé avec d'autres dépresseurs du SNC à la fin de la grossesse. De plus, les enfants de mères ayant pris des sédatifs/hypnotiques chroniquement en fin de grossesse peuvent avoir développé une dépendance physique. L'enfant peut présenter des symptômes de sevrage, bien qu'aucun cas n'ait été signalé avec le zolpidem.
  • -Bien que le passage du zolpidem dans le lait maternel soit faible, ce produit ne doit pas être administré en cas dallaitement.
  • +Bien que le passage du zolpidem dans le lait maternel soit faible, ce produit ne doit pas être administré en cas d'allaitement.
  • -L’altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l’utilisation de machines.
  • -Afin de réduire ce risque et au vu de la durée daction du médicament (voir «Pharmacocinétique»), une nuit complète de sommeil est recommandée.
  • -Le risque en liaison avec lamnésie antérograde doit aussi être pris en compte.
  • +La conduite de véhicules et l'utilisation de machines peut être rendue dangereuse, due aux réactions adverses suivantes, pouvant se manifester lors de la prise de zolpidem: risque de somnolence, temps de réactivité allongé, étourdissement, envie de dormir, vision trouble/floue, vigilance réduite, capacité réduite à conduire.
  • +Afin de réduire ce risque et au vu de la durée d'action du médicament (voir «Pharmacocinétique»), une nuit complète de sommeil (7-8 h) est recommandée.
  • +De plus, l'administration concomitante de zolpidem avec de l'alcool ou d'autres dépresseurs du SNC augmente le risque de tels effets. Les patients doivent être informés afin d'éviter la prise simultanée d'alcool ou d'autres substances psychoactives pendant leur traitement avec du zolpidem.
  • +Le risque en liaison avec l'amnésie antérograde doit aussi être pris en compte.
  • -Ils apparaissent en rapport avec la dose, particulièrement pour certains effets concernant le SNC. Comme recommandé dans le chapitre «Posologie/Mode demploi», il devrait en théorie y avoir moins deffets indésirables si le zolpidem est pris immédiatement avant le coucher. Ils sont plus souvent observés chez les sujets âgés.
  • -Les fréquences suivantes ont été utilisées: très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100; <1/10), occasionnel (≥1/1000; <1/100); rare (≥1/10000; <1/1000), très rare (<1/10000).
  • +Ils apparaissent en rapport avec la dose, particulièrement pour certains effets concernant le SNC. Comme recommandé dans le chapitre «Posologie/Mode d'emploi», il devrait en théorie y avoir moins d'effets indésirables si le zolpidem est pris immédiatement avant le coucher. Ils sont plus souvent observés chez les sujets âgés.
  • +Les fréquences suivantes ont été utilisées: très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100; <1/10), occasionnel (≥1/1000; <1/100); rare (≥1/10'000; <1/1000), très rare (<1/10'000).
  • -Cas isolés: oedème angioneurotique.
  • +Cas isolés: œdème angio-neurotique.
  • -Cas isolés: nervosité, agressivité, illusion, colère, comportement inapproprié, somnambulisme (voir «Mises en garde et précautions: Somnambulisme et comportements associés»), dépendance (syndrome de sevrage ou effet rebond peuvent se produire après larrêt du traitement), modification de la libido, dépression.
  • -La plupart de ces effets indésirables psychiatriques sont liés à des réactions paradoxales.
  • +Cas isolés: nervosité, agressivité, illusion, colère, comportement inapproprié, somnambulisme (voir «Mises en garde et précautions: Somnambulisme et comportements associés»), dépendance (syndrome de sevrage ou effet rebond peuvent se produire après l'arrêt du traitement), modification de la libido, dépression.
  • +La plupart de ces effets indésirables psychiatriques sont liés à des réactions paradoxales, à des états euphoriques.
  • -Fréquents: somnolence diurne, fatigue, céphalées, vertiges, aggravation de linsomnie, amnésie antérograde (isolée ou associée à un comportement inadapté).
  • -Cas isolés: baisse de la vigilance, troubles de la démarche.
  • +Fréquents: somnolence diurne, fatigue, céphalées, vertiges, aggravation de l'insomnie, troubles cognitifs tels qu'amnésie antérograde (isolée ou associée à un comportement inadapté).
  • +Occasionnels: paresthésie, tremblements.
  • +Cas isolés: baisse de la vigilance, troubles de la démarche, trouble de l'attention, trouble du langage.
  • -Occasionnels: diplopie.
  • +Occasionnels: diplopie, vision floue.
  • +Très rares: troubles visuels.
  • -Cas isolés: hépatites sévères avec ictère, élévation des enzymes hépatiques.
  • +Cas isolés: hépatites sévères avec ictère, élévation des enzymes hépatiques, lésions hépatocellulaires, cholestatiques ou hépatiques mixtes.
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Occasionnels: troubles de l'appétit.
  • -Cas isolés: éruption, oedème angio-neurotique, prurit, urticaire, hyperhydrose.
  • +Cas isolés: éruption, œdème angio-neurotique, prurit, urticaire, hyperhydrose.
  • +Fréquent: douleurs du dos.
  • +Occasionnels: arthralgie, myalgie, spasmes musculaires, cervicalgie.
  • +
  • -Cas isolés: tolérance, chute (principalement chez les patients âgés et lorsque le zolpidem nest pas utilisé selon les recommandations).
  • +Cas isolés: tolérance, chute (principalement chez les patients âgés et lorsque le zolpidem n'est pas utilisé selon les recommandations).
  • -Comme dans tous les surdosages, léventualité dune poly-intoxication doit toujours être envisagée, car elle peut aggraver le pronostic.
  • +Comme dans tous les surdosages, l'éventualité d'une poly-intoxication doit toujours être envisagée, car elle peut aggraver le pronostic.
  • -Au cours de surdosage avec le zolpidem seul ou associé à dautres traitements dépresseurs du SNC (y compris lalcool), des troubles de la conscience allant jusquau coma et une symptomatologie plus sévère, dévolution parfois fatale, ont été signalés.
  • +Au cours de surdosage avec le zolpidem seul ou associé à d'autres traitements dépresseurs du SNC (y compris l'alcool), des troubles de la conscience allant jusqu'au coma et une symptomatologie plus sévère, d'évolution parfois fatale, ont été signalés.
  • -En cas de surdosage, il convient de prendre les mesures habituelles de précaution: transfert en milieu spécialisé, surveillance des paramètres cardio-respiratoires, éventuellement lavage gastrique. Sil ny a pas davantage à vider lestomac, administrer du charbon actif pour réduire labsorption.
  • -Des produits sédatifs ne doivent pas être administrés, même en cas dagitation.
  • -Ladministration de flumazénil peut être envisagée en fonction de la gravité des symptômes. Elle peut être utile pour le diagnostic et/ou le traitement dun surdosage intentionnel ou accidentel en zolpidem.
  • -Lantagonisme par le flumazénil de leffet du zolpidem peut favoriser lapparition de troubles neurologiques (convulsions).
  • -Le zolpidem nest pas dialysable.
  • +En cas de surdosage, il convient de prendre les mesures habituelles de précaution: transfert en milieu spécialisé, surveillance des paramètres cardio-respiratoires, éventuellement lavage gastrique. S'il n'y a pas d'avantage à vider l'estomac, administrer du charbon actif pour réduire l'absorption.
  • +Des produits sédatifs ne doivent pas être administrés, même en cas d'agitation.
  • +L'administration de flumazénil peut être envisagée en fonction de la gravité des symptômes. Elle peut être utile pour le diagnostic et/ou le traitement d'un surdosage intentionnel ou accidentel en zolpidem.
  • +L'antagonisme par le flumazénil de l'effet du zolpidem peut favoriser l'apparition de troubles neurologiques (convulsions).
  • +Le zolpidem n'est pas dialysable.
  • -Mécanisme daction
  • -Le zolpidem est une imidazopyridine, agoniste sélectif de la sous classe des récepteurs oméga 1 (ou benzodiazépinique 1), qui constitue lunité alpha du complexe récepteur macromoléculaire GABAA. Il se fixe de façon préférentielle sur le sous type oméga 1, contrairement aux benzodiazépines qui se fixent de façon non sélective sur les trois sous types de récepteurs oméga. La modulation de louverture du canal chlore par lintermédiaire de ce récepteur conduit à leffet hypnotique spécifique du zolpidem.
  • -Chez lanimal
  • -La fixation sélective du zolpidem sur les récepteurs oméga 1 peut expliquer labsence aux doses usuelles, deffet myorelaxant et anticonvulsivant qui sont normalement constatés avec les hypnotiques non sélectifs des récepteurs oméga 1.
  • +Mécanisme d'action
  • +Le zolpidem est une imidazopyridine, agoniste sélectif de la sous classe des récepteurs oméga 1 (ou benzodiazépinique 1), qui constitue l'unité alpha du complexe récepteur macromoléculaire GabaA. Il se fixe de façon préférentielle sur le sous type oméga 1, contrairement aux benzodiazépines qui se fixent de façon non sélective sur les trois sous types de récepteurs oméga. La modulation de l'ouverture du canal chlore par l'intermédiaire de ce récepteur conduit à l'effet hypnotique spécifique du zolpidem.
  • +Chez l'animal
  • +La fixation sélective du zolpidem sur les récepteurs oméga 1 peut expliquer l'absence aux doses usuelles, d'effet myorelaxant et anticonvulsivant qui sont normalement constatés avec les hypnotiques non sélectifs des récepteurs oméga 1.
  • -Chez lhomme
  • -Ces effets sont associés à un profil électroencéphalographique caractéristique différent des benzodiazépines. Les études denregistrement du sommeil de nuit ont montré que le zolpidem prolonge le stade II aussi bien que les stades de sommeil profond (III et IV).
  • -Ceci peut être expliqué par la fixation sélective du zolpidem sur les récepteurs oméga 1. A la posologie recommandée, le zolpidem na pas dinfluence sur la durée totale du sommeil paradoxal (REM ou «Rapid Eye Movement»).
  • +Chez l'homme
  • +Ces effets sont associés à un profil électroencéphalographique caractéristique différent des benzodiazépines. Les études d'enregistrement du sommeil de nuit ont montré que le zolpidem prolonge le stade II aussi bien que les stades de sommeil profond (III et IV).
  • +Ceci peut être expliqué par la fixation sélective du zolpidem sur les récepteurs oméga 1. A la posologie recommandée, le zolpidem n'a pas d'influence sur la durée totale du sommeil paradoxal (REM ou «Rapid Eye Movement»).
  • -Après administration orale, le zolpidem présente une biodisponibilité denviron 70%, due à un effet modéré de premier passage, avec une concentration plasmatique maximale atteinte entre 0,5 et 3 heures. Cette dernière est de 140 ± 12 ng/ml après administration orale dun comprimé de 10 mg.
  • +Après administration orale, le zolpidem présente une biodisponibilité d'environ 70%, due à un effet modéré de premier passage, avec une concentration plasmatique maximale atteinte entre 0,5 et 3 heures. Cette dernière est de 140 ±12 ng/ml après administration orale d'un comprimé de 10 mg.
  • -Aux doses thérapeutiques, la pharmacocinétique est linéaire. La fixation aux protéines plasmatiques est de 92,5% ± 0,1%. La demi-vie délimination plasmatique chez le sujet sain est en moyenne de 2,4 heures ± 0,2 h et la durée daction persiste 6 heures après la prise. Le volume de distribution chez ladulte est de 0,54 ± 0,02 l/kg.
  • +Aux doses thérapeutiques, la pharmacocinétique est linéaire. La fixation aux protéines plasmatiques est de 92,5% ± 0,1%. La demi-vie d'élimination plasmatique chez le sujet sain est en moyenne de 2,4 heures ± 0,2 h et la durée d'action persiste 6 heures après la prise. Le volume de distribution chez l'adulte est de 0,54 ± 0,02 l/kg.
  • -La biotransformation du zolpidem est assurée principalement par le CYP3A4, mais dautres isoformes participent également à la première étape doxydation.
  • +La biotransformation du zolpidem est assurée principalement par le CYP 3A4, mais d'autres isoformes participent également à la première étape d'oxydation.
  • -Le zolpidem est éliminé par métabolisme hépatique sous forme de métabolites inactifs, principalement dans les urines (56%) et les fèces (37%). Ils ninfluencent pas la fixation du zolpidem aux protéines.
  • +Le zolpidem est éliminé par métabolisme hépatique sous forme de métabolites inactifs, principalement dans les urines (56%) et les fèces (37%). Ils n'influencent pas la fixation du zolpidem aux protéines.
  • -Chez le sujet âgé, une diminution de la clairance hépatique est observée. La concentration au pic est augmentée denviron 50% sans quil y ait dallongement significatif de la demi-vie (3 heures en moyenne). Le volume de distribution diminue à 0,34 ± 0,05 l/kg.
  • +Chez le sujet âgé, une diminution de la clairance hépatique est observée. La concentration au pic est augmentée d'environ 50% sans qu'il y ait d'allongement significatif de la demi-vie (3 heures en moyenne). Le volume de distribution diminue à 0,34 ± 0,05 l/kg.
  • -Chez les insuffisants rénaux, dialysés ou non, on observe une diminution modérée de la clairance. Les autres paramètres cinétiques ne sont pas modifiés. Le zolpidem nest pas dialysable.
  • +Chez les insuffisants rénaux, dialysés ou non, on observe une diminution modérée de la clairance. Les autres paramètres cinétiques ne sont pas modifiés. Le zolpidem n'est pas dialysable.
  • -Chez les insuffisants hépatiques, les concentrations plasmatiques du zolpidem sont augmentées. Sa clairance est sensiblement réduite et la demi-vie délimination est allongée (environ 10 heures).
  • +Chez les insuffisants hépatiques, les concentrations plasmatiques du zolpidem sont augmentées. Sa clairance est sensiblement réduite et la demi-vie d'élimination est allongée (environ 10 heures).
  • -Les données de sécurité préclinique nont pas révélé de risque particulier pour lhomme sur la base dune batterie détudes conventionnelles de pharmacologie de sécurité, de toxicité à dose répétée, de génotoxicité, de reprotoxicité et de carcénogénocité. Le zolpidem est considéré comme dépourvu deffets sur les paramètres de reproduction et na pas montré de potentiel tératogène, génotoxique ou carcinogène.
  • +Les données de sécurité préclinique n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme sur la base d'une batterie d'études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, de toxicité à dose répétée, de génotoxicité, de reprotoxicité et de carcénogénocité. Le zolpidem est considéré comme dépourvu d'effets sur les paramètres de reproduction et n'a pas montré de potentiel tératogène, génotoxique ou carcinogène.
  • -Ne pas utiliser au-delà de la date indiquée sur lemballage avec la mention «EXP».
  • +Ne pas utiliser au-delà de la date indiquée sur l'emballage avec la mention «Exp».
  • -Médicament à conserver à température ambiante (1525 °C) dans lemballage original et hors de la portée des enfants.
  • +Médicament à conserver à température ambiante (15-25 °C), dans l'emballage original et hors de portée des enfants.
  • -Zolpidem Helvepharm cpr pell 10 (sécables). (B)
  • -Zolpidem Helvepharm cpr pell 30 (sécables). (B)
  • +Comprimés pelliculés sécables à 10 mg: 10 et 30 (B)
  • -Helvepharm AG, Frauenfeld.
  • +Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen/Suisse.
  • -Septembre 2012.
  • +Novembre 2016.
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