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Accueil - Information professionnelle sur Sertralin Spirig HC - Changements - 26.02.2019
54 Changements de l'information professionelle Sertralin Spirig HC
  • -Excipents: lactosum monohydricum, cellulosum microcristallinum, povidonum, carmellosum natricum conexum, magnesii stearas, hypromellosum, titanii dioxidum (E171), talcum, propylenglycolum
  • +Excipents: lactosum monohydricum, cellulosum microcristallinum, povidonum, carmellosum natricum conexum, magnesii stearas, hypromellosum, titanii dioxidum (E171), talcum, propylenglycolum.
  • -Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh Class A+B),la posologie sera réduite de moitié au moins. Chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique sévère (Child Pugh Class C), l'administration de Sertraline Spirig HC est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
  • +Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh Class A+B), la posologie sera réduite de moitié au moins. Chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique sévère (Child Pugh Class C), l'administration de Sertraline Spirig HC est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
  • -Après mise sur le marché, des cas d'allongement de l'intervalle QTc et de torsades de pointes (TdP) ont été observés avec un traitement par sertraline. La majorité des cas est survenue chez les patients présentant d'autres facteurs de risques d'allongement de l'intervalle QTc/TdP. La sertraline ne doit de ce fait être utilisée qu'avec prudence chez les patients présentant des facteurs de risques d'un allongement de l'intervalle QTc (par ex. syndrome du QT long congénital, hypokaliémie). Le risque d'un allongement de l'intervalle QTc et/ou d'arythmie ventriculaire (par ex. TdP) est également accru en cas de prise simultanée d'autres médicaments qui peuvent provoquer un allongement de l'intervalle QTc (par ex. certains antipsychotiques et antibiotiques).
  • +Après mise sur le marché, des cas d'allongement de l'intervalle QTc et de torsades de pointes (TdP) ont été observés avec un traitement par sertraline. La majorité des cas est survenue chez les patients présentant d'autres facteurs de risques d'allongement de l'intervalle QTc/TdP. La sertraline ne doit de ce fait être utilisée qu'avec prudence chez les patients présentant des facteurs de risques d'un allongement de l'intervalle QTc (par ex. syndrome du QT long congénital, hypokaliémie). Le risque d'un allongement de l'intervalle QTc et/ou d'arythmie ventriculaire (par ex. TdP) est également accru en cas de prise simultanée d'autres médicaments qui peuvent provoquer un allongement de l'intervalle QTc (par ex. certains antipsychotiques et antibiotiques). Voir «Propriétés/Effets – Pharmacodynamie».
  • -Des cas de développement d'un syndrome potentiellement fatal tel que le syndrome sérotoninergique (SS) ou le syndrome neuroleptique malin (SNM) ont été rapportés avec les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ( ISRS), y compris la sertraline. Le risque de SS ou de SNM sous ISRS est augmenté en cas d'utilisation concomitante de médicaments sérotoninergiques (comme par ex. le dextrométhorphane, le fentanyl, la méthadone, le tapentadol, le tramadol ou les triptans), de médicaments influençant le métabolisme de la sérotonine (comme les inhibiteurs de l'IMAO, voir la rubrique s'y rapportant), d'antipsychotiques ou d'autres antagonistes de la dopamine. Les symptômes de SS comprennent des modifications de l'état psychique (par ex. agitation, hallucinations, coma), une instabilité autonome (par ex. tachycardie, labilité de la pression artérielle, hyperthermie), des anomalies neuromusculaires (par ex. hyperréflexie, manque de coordination) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (par ex. nausées, vomissements, diarrhées). Certains signes d'un SS, comme l'hyperthermie, la raideur musculaire, l'instabilité végétative avec de possibles oscillations rapides des signes vitaux et des modifications de l'état psychique, ressemblent à ceux d'un SNM. Les patients devraient être surveillés à la recherche de signes ou de symptômes de SS ou de SNM.
  • +Des cas de développement d'un syndrome potentiellement fatal tel que le syndrome sérotoninergique (SS) ou le syndrome neuroleptique malin (SNM) ont été rapportés avec les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ( ISRS), y compris la sertraline. Le risque de SS ou de SNM sous ISRS est augmenté en cas d'utilisation concomitante d'autres médicaments sérotoninergiques (comme par ex. l'amphétamine, le méthylphénidate, le dextrométhorphane, le fentanyl, la méthadone, le tapentadol, le tramadol ou les triptans), de médicaments influençant le métabolisme de la sérotonine (comme le millepertuis, les inhibiteurs de l'IMAO, voir la rubrique s'y rapportant), d'antipsychotiques ou d'autres antagonistes de la dopamine. Les symptômes de SS comprennent des modifications de l'état psychique (par ex. agitation, hallucinations, coma), une instabilité autonome (par ex. tachycardie, labilité de la pression artérielle, hyperthermie), des anomalies neuromusculaires (par ex. hyperréflexie, manque de coordination) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (par ex. nausées, vomissements, diarrhées). Certains signes d'un SS, comme l'hyperthermie, la raideur musculaire, l'instabilité végétative avec de possibles oscillations rapides des signes vitaux et des modifications de l'état psychique, ressemblent à ceux d'un SNM. Les patients devraient être surveillés à la recherche de signes ou de symptômes de SS ou de SNM.
  • -En conséquence, la sertraline ne sera pas administrée en même temps qu'un IMAO ou dans les 14 jours qui suivent l'arrêt d'un traitement par un IMAO. De même, on respectera un délai d'au moins 14 jours entre l'arrêt d'un traitement par sertraline et le début du traitement par l'IMAO (voir «Contreindications»).
  • +En conséquence, la sertraline ne sera pas administrée en même temps qu'un IMAO ou dans les 14 jours qui suivent l'arrêt d'un traitement par un IMAO. De même, on respectera un délai d'au moins 14 jours entre l'arrêt d'un traitement par sertraline et le début du traitement par l'IMAO (voir «Contre-indications»).
  • -En raison d'une éventuelle interaction pharmacodynamique, la prudence s'impose lors de l'administration concomitante de sertraline et d'autres médicaments qui renforcent l'effet de la transmission neuronale sérotoninergique, comme d'autres ISRS, les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN), la fenfluramine, le fentanyl, le lithium, la sibutramine, les agonistes de la 5-HT (triptans), le L-tryptophane, ou le millepertuis (Hypericum perforatum). Il convient de renoncer à une telle association chaque fois que c'est possible (voir «Interactions»).
  • +En raison d'une éventuelle interaction pharmacodynamique, la prudence s'impose lors de l'administration concomitante de sertraline et d'autres médicaments qui renforcent l'effet de la transmission neuronale sérotoninergique, comme d'autres ISRS, les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN), l'amphétamine, la fenfluramine, le fentanyl, le lithium, la sibutramine, les agonistes de la 5-HT (triptans), le L-tryptophane, ou le millepertuis (Hypericum perforatum). Il convient de renoncer à une telle association chaque fois que c'est possible (voir «Interactions»).
  • -La sertraline est fortement métabolisée par le foie. Une étude de pharmacocinétique a montré que, lors d'administration de doses répétées de sertraline à des insuffisants hépatiques des classes Child Pugh A et B, la demi-vie d'élimination était prolongée, et l'AUC ainsi que la Cmax environ trois fois plus élevées par rapport aux valeurs observées chez les volontaires sains. La liaison aux protéines plasmatiques n'était pas significativement différente entre les deux groupes. La sertraline doit être administrée avec prudence aux patients atteints de troubles de la fonction hépatique. Chez les patients avec insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh Class A+B), la posologie sera réduite de moitié au moins (voir «Posologie/Mode d'emploi, Instructions spéciales pour le dosage»). Chez les patients avec une insuffisance hépatique sévère (Child Pugh Class C), la sertraline ne doit pas être utilisée (voir «Contre-indications»).
  • +La sertraline est fortement métabolisée par le foie. Une étude de pharmacocinétique a montré que, lors d'administration de doses répétées de sertraline à des insuffisants hépatiques des classes Child Pugh A et B, la demi-vie d'élimination était prolongée, et l'AUC ainsi que la Cmax environ trois fois plus élevées par rapport aux valeurs observées chez les volontaires sains. La liaison aux protéines plasmatiques n'était pas significativement différente entre les deux groupes. La sertraline
  • +doit être administrée avec prudence aux patients atteints de troubles de la fonction hépatique. Chez les patients avec insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh Class A+B), la posologie sera réduite de moitié au moins (voir «Posologie/Mode d'emploi, Instructions spéciales pour le dosage»). Chez les patients avec une insuffisance hépatique sévère (Child Pugh Class C), la sertraline ne doit pas être utilisée (voir «Contre-indications»).
  • -Dans une étude randomisée en double aveugle contre placebo, dont l'objectif était de comparer le risque de pharmacodépendance de sertraline, de l'alprazolam et de la D-amphétamine, la sertraline n'a pas induit, contrairement aux deux autres substances, d'effets subjectivement positifs tels que l'euphorie ou une préférence pour un médicament qui feraient craindre un risque d'abus. Avant la mise sur le marché de Sertraline Spirig HC, l'expérience clinique n'a montré aucune tendance en faveur d'un syndrome de sevrage ou d'un besoin impérieux du médicament («drug seeking behavior», par ex. se faire établir des prescriptions par plusieurs médecins). Dans des études réalisées chez l'animal, la sertraline n'a pas montré non plus de risque d'abus semblable à celui des stimulants ou des barbituriques (sédatifs).
  • +Dans une étude randomisée en double aveugle contre placebo, dont l'objectif était de comparer le risque de pharmacodépendance de sertraline, de l'alprazolam et de la D-amphétamine, la sertraline n'a pas induit, contrairement aux deux autres substances, d'effets subjectivement positifs tels que l'euphorie ou une préférence pour un médicament qui feraient craindre un risque d'abus. Avant la mise sur le marché de Sertraline Spirig HC, l'expérience clinique n'a montré aucune tendance en faveur d'un syndrome de sevrage ou d'un besoin impérieux du médicament («drug seeking behavior», par ex. se faire établir des prescriptions par plusieurs médecins). Dans des études réalisées chez l'animal, sertraline n'a pas montré non plus de risque d'abus semblable à celui des stimulants ou des barbituriques (sédatifs).
  • -L'expérience issue d'études cliniques contrôlées concernant le moment optimal pour passer d'autres ISRS, antidépresseurs ou médicaments contre les troubles obsessionnels à la sertraline est limitée. Un jugement médical précis s'impose, en particulier lors du passage d'un traitement par antidépresseur à action prolongée à un traitement par sertraline.
  • +L'expérience issue d'études cliniques contrôlées concernant le moment optimal pour passer d'autres ISRS, antidépresseurs ou médicaments contre les troubles obsessionnels à sertraline est limitée. Un jugement médical précis s'impose, en particulier lors du passage d'un traitement par antidépresseur à action prolongée à un traitement par sertraline.
  • -Occasionnel: hypothyroïdie.
  • -Rare: hyperprolactinémie*, syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique* (SIADH).
  • +Rare: hyperprolactinémie*, syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique* (SIADH), hypothyroïdie.
  • -Fréquent: diminution de l'appétit, augmentation de l'appétit*.
  • -Occasionnel: prise ou perte de poids.
  • -Rare: hyponatrémie* (dans certains cas associée à des symptômes d'un œdème cérébral dans le SIADH), hyperglycémie* et hypoglycémie, diabète sucré, hypercholestérolémie, augmentation des triglycérides*.
  • +Fréquent: diminution de l'appétit, augmentation de l'appétit*, prise de poids.
  • +Occasionnel: perte de poids.
  • +Rare: hyponatrémie* (dans certains cas associée à des symptômes d'un œdème cérébral dans le SIADH), hyperglycémie*, augmentation des triglycérides sanguins*, hypoglycémie, diabète sucré, hypercholestérolémie.
  • -Très fréquent: insomnie (20.4%).
  • -Fréquent: anxiété (y compris nervosité), agitation, diminution de la libido, symptômes dépressifs (y compris apathie).
  • -Occasionnel: bruxisme, confusion mentale, agression, hallucinations, humeur euphorique.
  • -Rare: cauchemars*, troubles psychotiques*, idées suicidaires*/comportement suicidaire*.
  • +Très fréquent: insomnie (18.97%).
  • +Fréquent: anxiété (y compris nervosité), agitation, diminution de la libido, symptômes dépressifs (y compris apathie), cauchemars*, bruxisme.
  • +Occasionnel: confusion mentale, idées suicidaires/comportement suicidaire*, agression, humeur euphorique, hallucinations.
  • +Rare: troubles psychotiques*.
  • -Très fréquent: céphalées (25.1%), vertiges (11%), somnolence (11.4%).
  • -Fréquent: tremblements, paresthésie, hypertonicité musculaire, contractions musculaires involontaires, modifications du goût.
  • -Occasionnel: hypoesthésie, troubles moteurs (y compris symptômes extrapyramidaux tels qu'acathisie, dystonie*, hyperkinésie), migraine, syncope, crises épileptiques, coma (parfois associé à une hyponatrémie et un SIADH).
  • -Rare: De même, des symptômes en rapport avec un syndrome sérotoninergique* ont également été rapportés qui, dans certains cas, étaient liés à la prise concomitante de médicaments sérotoninergiques: agitation, confusion mentale, diaphorèse, diarrhée, fièvre, hypertension, rigidité et tachycardie.
  • +Très fréquent: céphalées (23.38%), vertiges (10.71%).
  • +Fréquent: somnolence, tremblements, paresthésie, hypertonie, troubles moteurs (y compris symptômes extrapyramidaux tels qu'acathisie, dystonie*, hyperkinésie).
  • +Occasionnel: contractions musculaires involontaires, hypoesthésie, troubles du goût, migraine, syncope.
  • +Rare: crises épileptiques. De même, des symptômes en rapport avec un syndrome sérotoninergique* ont également été rapportés qui, dans certains cas, étaient liés à la prise concomitante de médicaments sérotoninergiques: agitation, confusion mentale, diaphorèse, diarrhée, fièvre, hypertension, rigidité et tachycardie, coma (parfois associé à une hyponatrémie et un SIADH).
  • -Occasionnel: œdème périorbitaire, mydriase, diplopie.
  • -Rare: photophobie, glaucome.
  • +Occasionnel: mydriase, œdème périorbitaire.
  • +Rare: diplopie, photophobie, glaucome.
  • -Fréquent: palpitations.
  • +Fréquent: palpitations, douleurs thoraciques (avec, dans certains cas isolés, modifications de l'ECG).
  • -Rare: allongement de l'intervalle QTc*, torsades de pointes*, douleurs thoraciques (avec, dans certains cas isolés, modifications de l'ECG).
  • +Rare: torsades de pointes*, allongement de l'intervalle QT sur le tracé électrocardiographique*.
  • -Occasionnel: hypertension artérielle, saignements.
  • +Occasionnel: hypertension, saignements.
  • -Très fréquent: nausées (25.8%), diarrhée/selles molles (19.9%), bouche sèche (14.3%).
  • -Fréquent: dyspepsie, constipation, douleurs abdominales, vomissements, flatulence.
  • +Très fréquent: nausées (22.05%), diarrhée (17.22%).
  • +Fréquent: bouche sèche, dyspepsie, douleurs abdominales, constipation, vomissements, flatulence.
  • -Occasionnel: augmentation asymptomatique des transaminases sériques (SGOT et SGPT).
  • +Occasionnel: alanine aminotransférase augmentée, aspartate aminotransférase augmentée.
  • -Occasionnel: sécheresse de la peau, prurit, purpura, urticaire, alopécie.
  • -Rare: dermatite*, angioœdème*, photosensibilité*, dermatites exfoliatives sévères telles que syndrome de Stevens-Johnson*, érythème multiforme* ou nécrolyse épidermique*.
  • +Occasionnel: prurit, purpura, dermatite*, urticaire, sécheresse de la peau, alopécie.
  • +Rare: angioœdème*, réaction de sensibilité à la lumière (photosensibilité)*, dermatites exfoliatives sévères telles que syndrome de Stevens-Johnson*, érythème multiforme* ou nécrolyse épidermique*.
  • -Fréquent: arthralgies, myalgies.
  • -Occasionnel: crampes musculaires, fractures osseuses.
  • -Rare: trismus.
  • -
  • +Fréquent: myalgies, arthralgies.
  • +Occasionnel: crampes musculaires.
  • +Rare: rhabdomyolyse, trismus, fractures osseuses.
  • -Fréquent: pollakyurie, troubles de la miction.
  • -Occasionnel: polyurie, rétention urinaire, incontinence urinaire, nycturie.
  • -Rare: énurésie*, hématurie.
  • +Occasionnel: polyurie, pollakiurie, troubles de la miction, incontinence urinaire, rétention urinaire, hématurie.
  • +Rare: énurésie*, nycturie.
  • -Très fréquent: troubles de l'éjaculation (11.3%; y compris éjaculation impossible et éjaculation retardée).
  • -Fréquent: dysfonctionnement sexuel (chez l'homme: 5.9%, y compris anorgasmie, troubles érectiles; chez la femme 1.3%, y compris anorgasmie), perturbations du cycle menstruel.
  • -Rare: gynécomastie*, galactorrhée, priapisme.
  • +Fréquent: troubles de l'éjaculation (y compris éjaculation impossible et éjaculation retardée), dysfonctionnement sexuel, perturbations du cycle menstruel.
  • +Rare: galactorrhée, gynécomastie*, priapisme.
  • -Très fréquent: fatigue (12.5%).
  • -Fréquent: malaise.
  • -Occasionnel: asthénie, fièvre, troubles de la marche, œdèmes périphériques, œdème facial.
  • +Fréquent: fatigue, malaise, fièvre, asthénie.
  • +Occasionnel: œdèmes périphériques, troubles de la marche.
  • +Rare: œdème facial.
  • -Les symptômes d'intoxication possibles sont des nausées et des vomissements, une sécheresse buccale, une mydriase, une obnubilation, des vertiges, des tremblements, une somnolence, une agitation, des crises épileptiques, des symptômes extrapyramidaux ainsi qu'une tachycardie, une hypotension ou une hypertension et des modifications de l'ECG (allongement de l'intervalle QT, torsades de pointe). Des hallucinations, une hyperthermie, une augmentation du taux de CK, une hyponatrémie et un coma ont été décrits dans de rares cas.
  • +Les symptômes d'intoxication possibles sont des nausées et des vomissements, une sécheresse buccale, une mydriase, une obnubilation, des vertiges, des tremblements, une somnolence, une agitation, des crises épileptiques, des symptômes extrapyramidaux ainsi qu'une tachycardie, une hypotension ou une hypertension et des modifications de l'ECG (allongement de l'intervalle QT, torsades de pointe) (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets – Pharmacodynamie»). Des hallucinations, une hyperthermie, une augmentation du taux de CK, une hyponatrémie et un coma ont été décrits dans de rares cas.
  • -Mécanisme d'action
  • +Mécanisme d'action/Pharmacodynamie
  • +Études cliniques
  • +Électrocardiophysiologie
  • +Dans une étude unique de phase I contrôlée par placebo et moxifloxacine, les effets de la sertraline sur la repolarisation cardiaque à l'état d'équilibre lors d'expositions suprathérapeutiques (traitement de 400 mg/jour, c.-à-d. deux fois la dose quotidienne recommandée) ont été testés chez des volontaires sains (étude QTc). Sous sertraline, la limite supérieure de l'intervalle de confiance à 90% bidirectionnel de l'écart des moindres carrés QTcF moyen ajusté dans le temps entre la sertraline et le placebo (11.666 ms) a été supérieure au seuil préétabli de 10 ms enregistré 4 heures après l'administration. L'analyse de la réponse à l'exposition a révélé une corrélation légèrement positive entre l'intervalle QTcF et les concentrations plasmatiques de sertraline [0.036 ms/(ng/ml); p<0.0001]. Sur la base du modèle exposition-réponse, le seuil pour un allongement de l'intervalle QTcF cliniquement significatif (correspondant au dépassement de l'intervalle de confiance à 90% préétabli de 10 ms) est d'au moins 2.6 fois la Cmax moyenne (86 ng/ml) après administration de la dose maximale recommandée de sertraline (200 mg/jour), voir également «Mises en garde et précautions», «Effets indésirables» et «Surdosage».
  • -Mai 2017.
  • +Août 2018.
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