64 Changements de l'information professionelle Lamotrin-Mepha 5 mg |
-Enfants entre 2 et 12 ans:
- +Enfants de 2 à 12 ans:
-Si la dose calculée en fonction du poids corporel (par exemple, chez l'enfant ou l'insuffisant hépatique) ne correspond pas à un nombre de comprimés entiers, la dose à administrer doit être arrondie au nombre immédiatement inférieur de comprimés entiers.
- +Si la dose calculée en fonction du poids corporel (p.ex., chez l'enfant ou l'insuffisant hépatique) ne correspond pas à un nombre de comprimés entiers, la dose à administrer doit être arrondie au nombre immédiatement inférieur de comprimés entiers.
-A partir de la semaine 7: si nécessaire, augmenter la dose à une dose d'entretien de 200 mg 2 fois par jour
- +A partir de la semaine 7: si nécessaire, augmenter la dose à une dose d'entretien de 200 mg 2 fois par jour.
-Une fois que la dose d'entretien de la lamotrigine est atteinte, les autres psychotropes peuvent être arrêtés lentement, si indiqué sur le plan clinique. Le schéma posologique suivant peut être utilisé pour arrêter d'autres psychotropes:
- +Une fois que la dose d'entretien de la lamotrigine est atteinte, les autres psychotropes peuvent être arrêtés lentement, si cela est indiqué sur le plan clinique. Le schéma posologique suivant peut être utilisé pour arrêter d'autres psychotropes:
-a) Femmes prenant des contraceptifs hormonaux (cf. aussi les rubriques «Mises en garde et précautions» et «Interactions»)
- +a) Femmes prenant des contraceptifs hormonaux et des traitements hormonaux substitutifs (cf. aussi les rubriques «Mises en garde et précautions» et «Interactions»)
- +·Début de la prise d'un traitement hormonal substitutif aux œstrogènes chez les patientes recevant déjà des doses d'entretien de lamotrigine et AUCUN inducteur de la glucuronidation de la lamotrigine:
- +Un traitement hormonal substitutif peut augmenter la clairance de la lamotrigine. Une surveillance étroite avec une éventuelle augmentation de la dose de lamotrigine peut être nécessaire.
- +·Arrêt de la prise d'un traitement hormonal substitutif aux œstrogènes chez les patientes prenant déjà des doses d'entretien de lamotrigine et AUCUN inducteur de la glucuronidation de la lamotrigine:
- +Une surveillance étroite avec diminution de la dose de lamotrigine peut être nécessaire.
- +
-En particulier chez l'enfant, la survenue d'un exanthème peut être prise à tort pour une infection. Par conséquent, si des symptômes tels qu'exanthème et fièvre apparaissent au cours des 8 premières semaines de traitement chez un patient, il faut impérativement envisager la possibilité d'un effet indésirable du médicament. En outre, il semble exister un lien étroit entre le risque global de réactions cutanées et les facteurs suivants (cf. «Posologie/mode d'emploi»):
- +En particulier chez l'enfant, la survenue d'un exanthème peut être prise à tort pour une infection. Par conséquent, si des symptômes tels qu'une éruption cutanée et de la fièvre apparaissent au cours des 8 premières semaines de traitement chez un patient, il faut impérativement envisager la possibilité d'un effet indésirable du médicament. En outre, il semble exister un lien étroit entre le risque global de réactions cutanées et les facteurs suivants (cf. «Posologie/mode d'emploi»):
-Des exanthèmes ont aussi été décrits dans le contexte d'un syndrome DRESS (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms), également connu sous le nom de syndrome d'hypersensibilité. Cette maladie est associée aux symptômes systémiques les plus divers tels que fièvre, lymphadénopathie, œdème facial, altérations des paramètres hématologiques, hépatiques et rénaux, ainsi que méningite aseptique (cf. «Effets indésirables»). Le degré de sévérité clinique de ce syndrome est très variable et peut conduire dans de rares cas à une coagulopathie de consommation aiguë (coagulation intravasculaire disséminée, CIVD) et à une défaillance multiviscérale. Il est important de noter que les signes systémiques d'une hypersensibilité (par exemple fièvre et lymphadénopathie) peuvent se manifester même si aucune altération cutanée n'est visible.
- +Des exanthèmes ont aussi été décrits dans le contexte d'un syndrome DRESS (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms), également connu sous le nom de syndrome d'hypersensibilité. Cette maladie est associée aux symptômes systémiques les plus divers tels que fièvre, lymphadénopathie, œdème facial, altérations des paramètres hématologiques, hépatiques et rénaux, ainsi que méningite aseptique (cf. «Effets indésirables»). Le degré de sévérité clinique de ce syndrome est très variable et peut conduire dans de rares cas à une coagulopathie de consommation aiguë (coagulation intravasculaire disséminée, CIVD) et à une défaillance multiviscérale. Il est important de noter que les signes systémiques d'une hypersensibilité (p.ex. fièvre et lymphadénopathie) peuvent se manifester même si aucune altération cutanée n'est visible.
-Comme avec les autres antiépileptiques, un arrêt brutal de Lamotrin-Mepha peut provoquer un rebond des crises épileptiques. C'est pourquoi, sauf dans les cas où un arrêt brutal est nécessaire pour des raisons de sécurité (par exemple à cause de réactions cutanées), il faut arrêter progressivement le traitement par Lamotrin-Mepha, en diminuant les doses par paliers sur une période de 2 semaines.
- +Comme avec les autres antiépileptiques, un arrêt brutal de Lamotrin-Mepha peut provoquer un rebond des crises épileptiques. C'est pourquoi, sauf dans les cas où un arrêt brutal est nécessaire pour des raisons de sécurité (p.ex. à cause de réactions cutanées), il faut arrêter progressivement le traitement par Lamotrin-Mepha, en diminuant les doses par paliers sur une période de 2 semaines.
-Une LHH est survenue chez des patients adultes et pédiatriques en lien avec la prise de lamotrigine (cf. «Effets indésirables»). La LHH est un syndrome menaçant potentiellement le pronostic vital avec une activation pathologique du système immunitaire. Si la LHH n'est pas détectée et traitée précocement, son évolution est fréquemment fatale. La maladie se caractérise par des signes cliniques et des symptômes d'une grave inflammation systémique tels que fièvre, éruption cutanée, hépato-splénomégalie, cytopénie (notamment anémie et thrombocytopénie), lymphadénopathie, symptômes neurologiques, ferritine sérique élevée, hypertriglycéridémie, ainsi que troubles de la fonction hépatique et de la coagulation. Les symptômes apparaissent généralement en l'espace de quelques jours et jusqu'à 4 semaines après le début du traitement. Les patients chez qui de tels signes et symptômes se manifestent doivent être examinés immédiatement et leur état doit être évalué en vue d'un éventuel diagnostic de LHH. L'administration de lamotrigine est suspendue aussi longtemps qu'une étiologie alternative ne peut être établie.
- +Une LHH est survenue chez des patients adultes et pédiatriques en lien avec la prise de lamotrigine (cf. «Effets indésirables»). La LHH est un syndrome menaçant potentiellement le pronostic vital avec une activation pathologique du système immunitaire. Si la LHH n'est pas détectée et traitée précocement, son évolution est fréquemment fatale. La maladie se caractérise par des signes cliniques et des symptômes d'une grave inflammation systémique tels que fièvre, éruption cutanée, hépato-splénomégalie, cytopénie (notamment anémie et thrombocytopénie), lymphadénopathie, symptômes neurologiques, ferritine sérique élevée, hypertriglycéridémie, ainsi que troubles de la fonction hépatique et de la coagulation. Les symptômes apparaissent généralement en l'espace de quelques jours et jusqu'à 4 semaines après le début du traitement. Les patients chez lesquels de tels signes et symptômes se manifestent doivent être examinés immédiatement et leur état doit être évalué en vue d'un éventuel diagnostic de LHH. L'administration de lamotrigine est suspendue aussi longtemps qu'une étiologie alternative ne peut être établie.
-Contraceptifs hormonaux
- +Contraceptifs hormonaux et traitements hormonaux substitutifs
-L'association éthinylestradiol/lévonorgestrel multiplie environ par deux la clairance de la lamotrigine, entraînant ainsi une diminution de la concentration de lamotrigine (cf. «Interactions»). Après la titration de la dose, de plus fortes doses d'entretien de lamotrigine sont donc nécessaires dans la majorité des cas pour obtenir un effet thérapeutique optimal (cf. «Posologie/Mode d'emploi, Instructions posologiques particulières»). Chez les femmes ne recevant pas déjà un inducteur de la glucuronidation de la lamotrigine mais prenant un contraceptif hormonal prévoyant un intervalle sans principe actif (par ex. «semaine sans prise»), une augmentation progressive temporaire des taux de lamotrigine pendant l'intervalle sans principe actif est observée, laquelle est susceptible de provoquer des effets indésirables. Ces augmentations sont plus importantes lorsque les élévations de la dose de lamotrigine sont effectuées durant la semaine sans principe actif ou les jours précédents. Il faut attirer l'attention des patientes sur des fluctuations correspondantes.
- +Un contraceptif oral combiné avec l'association éthinylestradiol/lévonorgestrel multiplie environ par deux la clairance de la lamotrigine, entraînant ainsi une diminution de la concentration de lamotrigine (cf. «Interactions»). Après la titration de la dose, de plus fortes doses d'entretien de lamotrigine sont donc nécessaires dans la majorité des cas pour obtenir un effet thérapeutique optimal (cf. «Posologie/Mode d'emploi, Instructions posologiques particulières»). Chez les femmes ne recevant pas déjà un inducteur de la glucuronidation de la lamotrigine mais prenant un contraceptif hormonal prévoyant un intervalle sans principe actif (p.ex. «semaine sans prise»), une augmentation progressive temporaire des taux de lamotrigine pendant l'intervalle sans principe actif est observée, laquelle est susceptible de provoquer des effets indésirables. Ces augmentations sont plus importantes lorsque les élévations de la dose de lamotrigine sont effectuées durant la semaine sans principe actif ou les jours précédents. Il faut attirer l'attention des patientes sur des fluctuations correspondantes.
- +Effets des traitements hormonaux substitutifs sur l'efficacité de la lamotrigine:
- +Certains rapports ont évoqué une possible interaction avec des traitements hormonaux substitutifs aux œstrogènes, qui pourraient entraîner une diminution de l'efficacité de la lamotrigine. Une surveillance étroite avec adaptation éventuelle de la dose de lamotrigine est donc recommandée si un traitement hormonal substitutif est mis en place. Après l'arrêt de la préparation hormonale, les concentrations de lamotrigine peuvent à nouveau augmenter, de sorte que la patiente devrait aussi faire l'objet d'une surveillance pendant cette phase pour éventuellement réduire la dose de lamotrigine.
- +
-Dans de très rares cas, une corrélation a été constatée avec un tracé d'ECG typique de Brugada, bien qu'aucun lien de causalité n'ai pu être confirmé. Aussi, l'utilisation de la lamotrigine chez des patients présentant un syndrome de Brugada ne doit être envisagée qu'avec une prudence particulière, s'il n'existe aucune autre alternative thérapeutique (voir «Propriétés/Effets» sous Pharmacodynamique).
- +Dans de très rares cas, une corrélation a été constatée avec un tracé d'ECG typique de Brugada, bien qu'aucun lien de causalité n'ait pu être confirmé. Aussi, l'utilisation de la lamotrigine chez des patients présentant un syndrome de Brugada ne doit être envisagée qu'avec une prudence particulière, s'il n'existe aucune autre alternative thérapeutique (voir «Propriétés/Effets» sous Pharmacodynamique).
-Les uridine-5'-diphospho (UDP)-glucuronyltransférases (UGT) semblent être les enzymes responsables du métabolisme de la lamotrigine.
-Les médicaments qui induisent ou inhibent la glucuronidation peuvent par conséquent modifier la clairance apparente de la lamotrigine. En outre, les inducteurs puissants ou modérés de l'isoenzyme 3A4 du cytochrome P450 (CYP3A4), qui sont également connus pour induire les UGT, peuvent potentialiser le métabolisme de la lamotrigine. Rien ne prouve que la lamotrigine provoque une induction ou une inhibition cliniquement significative des enzymes du cytochrome P450. La lamotrigine peut certes induire son propre métabolisme, mais cet effet n'est que modéré et des conséquences cliniques pertinentes sont peu probables.
- +Les uridine-5'-diphospho (UDP)-glucuronyltransférases (UGT) semblent être les enzymes responsables du métabolisme de la lamotrigine. Les médicaments qui induisent ou inhibent la glucuronidation peuvent par conséquent modifier la clairance apparente de la lamotrigine. En outre, les inducteurs puissants ou modérés de l'isoenzyme 3A4 du cytochrome P450 (CYP3A4), qui sont également connus pour induire les UGT, peuvent potentialiser le métabolisme de la lamotrigine. Rien ne prouve que la lamotrigine provoque une induction ou une inhibition cliniquement significative des enzymes du cytochrome P450. La lamotrigine peut certes induire son propre métabolisme, mais cet effet n'est que modéré et des conséquences cliniques pertinentes sont peu probables.
-Pour les instructions posologiques, voir «Posologie/Mode d'emploi» sous «Instructions posologiques particulières en cas d'épilepsie et de trouble bipolaire»; chez les femmes qui prennent des contraceptifs hormonaux, voir aussi «Mises en garde et précautions» – «Contraceptifs hormonaux».
- +Pour les instructions posologiques, voir «Posologie/Mode d'emploi» sous «Instructions posologiques particulières en cas d'épilepsie et de trouble bipolaire»; chez les femmes qui prennent des contraceptifs hormonaux ou des traitements hormonaux substitutifs, voir aussi «Mises en garde et précautions» – «Contraceptifs hormonaux et traitements hormonaux substitutifs».
-Chez 20 volontaires sains ayant reçu pendant 6 jours 2 g de gluconate de lithium anhydre 2 fois par jour ainsi que 100 mg de lamotrigine une fois par jour, la pharmacocinétique du lithium n'était pas fondamentalement modifiée (< 10% de réduction de l'AUC). L'influence de cette association sur la pharmacocinétique de la lamotrigine n'a pas été évalué dans cette étude. Une dose de 100 mg de lamotrigine correspond à la moitié de la dose d'entretien recommandée pour l'indication «trouble bipolaire», si bien que les résultats de cette étude ne permettent pas d'exclure des effets éventuellement plus marqués sur la pharmacocinétique du lithium lors de l'administration de la lamotrigine à des doses thérapeutiques.
-Interactions avec les contraceptifs hormonaux (cf. «Posologie/Mode d'emploi», «Instructions posologiques particulières» et «Mises en garde et précautions»)
- +Chez 20 volontaires sains ayant reçu pendant 6 jours 2 g de gluconate de lithium anhydre 2 fois par jour ainsi que 100 mg de lamotrigine une fois par jour, la pharmacocinétique du lithium n'était pas fondamentalement modifiée (< 10% de réduction de l'AUC). L'influence de cette association sur la pharmacocinétique de la lamotrigine n'a pas été évaluée dans cette étude. Une dose de 100 mg de lamotrigine correspond à la moitié de la dose d'entretien recommandée pour l'indication «trouble bipolaire», si bien que les résultats de cette étude ne permettent pas d'exclure des effets éventuellement plus marqués sur la pharmacocinétique du lithium lors de l'administration de la lamotrigine à des doses thérapeutiques.
- +Interactions avec les contraceptifs hormonaux et les traitements hormonaux substitutifs (cf. «Posologie/Mode d'emploi», «Instructions posologiques particulières» et «Mises en garde et précautions»)
-Effet de la lamotrigine sur la pharmacocinétique du contraceptif hormonal:
-Dans une étude menée chez 16 sujets de sexe féminin, une dose à l'état d'équilibre de 300 mg de lamotrigine n'a eu aucun impact sur la pharmacocinétique du composant éthinylestradiol d'un contraceptif oral combiné. Une augmentation modérée de la clairance du composant lévonorgestrel a été observée, ce qui a entraîné une réduction moyenne de 19% de l'AUC respectivement de 12% de la Cmax du lévonorgestrel. La mesure des concentrations sériques de FSH, de LH et d'estradiol au cours de l'étude a révélé chez quelques femmes une certaine perte d'efficacité en ce qui concerne la suppression de l'activité hormonale ovarienne, bien que la détermination des taux sériques de progestérone n'ait mis en évidence de signe hormonal d'ovulation chez aucune des 16 volontaires. L'effet de l'augmentation modérée de la clairance du lévonorgestrel et des modifications des taux sériques de FSH et LH sur l'activité ovarienne est inconnu. Une diminution de l'efficacité contraceptive ne peut être exclue de façon certaine. Aucune étude n'a été réalisée jusqu'à présent avec une posologie autre que 300 mg/jour de lamotrigine ou avec d'autres produits contenant des hormones féminines.
- +Certains rapports montrent que les THS aux œstrogènes peuvent limiter l'efficacité de la lamotrigine.
- +Effet de la lamotrigine sur la pharmacocinétique du contraceptif hormonal et des traitements hormonaux substitutifs:
- +Dans une étude menée chez 16 sujets de sexe féminin, une dose à l'état d'équilibre de 300 mg de lamotrigine n'a eu aucun impact sur la pharmacocinétique du composant éthinylestradiol d'un contraceptif oral combiné. Une augmentation modérée de la clairance du composant lévonorgestrel a été observée, ce qui a entraîné une réduction moyenne de 19% de l'AUC respectivement de 12% de la Cmax du lévonorgestrel. La mesure des concentrations sériques de FSH, de LH et d'estradiol au cours de l'étude a révélé chez quelques femmes une certaine perte d'efficacité en ce qui concerne la suppression de l'activité hormonale ovarienne, bien que la détermination des taux sériques de progestérone n'ait mis en évidence de signe hormonal d'ovulation chez aucune des 16 volontaires. L'effet de l'augmentation modérée de la clairance du lévonorgestrel et des modifications des taux sériques de FSH et LH sur l'activité ovarienne est inconnu. Une diminution de l'efficacité contraceptive ne peut être exclue de façon certaine. Aucune étude n'a été réalisée jusqu'à présent avec une posologie autre que 300 mg/jour de lamotrigine ou avec d'autres produits contenant des hormones féminines (y compris de la progestérone/des traitements hormonaux substitutifs à la progestérone).
-Dans l'ensemble, les données sur la lamotrigine n'indiquent pas d'augmentation nette du risque de malformations congénitales et de troubles du développement neurologique. Le traitement par une association d'antiépileptiques a été associé à un risque accru de malformations congénitales et de troubles du développement neurologique par rapport à la monothérapie. Toutefois, les données sur l'utilisation de la lamotrigine en association sont insuffisantes pour permettre d'évaluer si l'administration concomitante de lamotrigine peut influencer les malformations et troubles du développement neurologique associé à d'autres principes actifs. Il faut, dans la mesure du possible, administrer une monothérapie pendant la grossesse.
- +Dans l'ensemble, les données sur la lamotrigine n'indiquent pas d'augmentation nette du risque de malformations congénitales et de troubles du développement neurologique. Le traitement par une association d'antiépileptiques a été associé à un risque accru de malformations congénitales et de troubles du développement neurologique par rapport à la monothérapie. Toutefois, les données sur l'utilisation de la lamotrigine en association sont insuffisantes pour permettre d'évaluer si l'administration concomitante de lamotrigine peut influencer les malformations et troubles du développement neurologique associés à d'autres principes actifs. Il faut, dans la mesure du possible, administrer une monothérapie pendant la grossesse.
-Très rare: autres anomalies hématologiques (notamment neutropénie, anémie, pancytopénie, anémie aplasique, agranulocytose, à l'issue fatale dans des cas isolés), lymphadénopathie, lympho-histiocytose hémophagocytaire (cf. «Mises en garde et précautions»).
-Des troubles hématologiques et une lymphadénopathie ont été observés aussi bien dans le contexte du syndrome DRESS/d'hypersensibilité qu'en dehors de ce syndrome (cf. «Mises en garde et précautions» et «Affections du système immunitaire»).
- +Très rare: autres anomalies hématologiques (notamment neutropénie, anémie, pancytopénie, anémie aplasique, agranulocytose, à l'issue fatale dans des cas isolés), lymphadénopathie.
- +Fréquence inconnue: lymphohistiocytose hémophagocytairea (cf. «Mises en garde et précautions»).
-Très rare: syndrome DRESS/d'hypersensibilité incluant des symptômes tels qu'exanthèmes, fièvre, lymphadénopathie, œdème facial, modifications des paramètres hématologiques, des valeurs hépatiques et rénales (cf. «Mises en garde et précautions»), hypogammaglobulinémie.
- +Fréquence inconnue: hypogammaglobulinémiea.
-Très rare: tics, hallucinations, cauchemars.
-Fréquence inconnue: trouble obsessionnel compulsif.
- +Très rare: tics, hallucinations.
- +Fréquence inconnue: trouble obsessionnel compulsifa, cauchemarsa.
-Rare: méningite aseptique (cf. «Mises en garde et précautions»).
-Très rare: instabilité, troubles moteurs, aggravation d'un syndrome de Parkinson préexistant, effets extrapyramidaux, choréoathétose*, augmentation de la fréquence des crises.
-* Dans des cas isolés, des troubles moteurs extrapyramidaux et une choréoathétose ont été décrits chez des patients sans maladie préexistante correspondante.
- +Très rare: instabilité, troubles moteurs, aggravation d'un syndrome de Parkinson préexistant, effets extrapyramidaux, choréoathétose.
- +Fréquence inconnue: méningite aseptiquea (cf. «Mises en garde et précautions»), augmentation de la fréquence des crisesa.
-Rare: conjonctivite.
- +Fréquence inconnue: conjonctivitea.
-Rare: syndrome de Stevens-Johnson, angio-œdème, alopécie.
-Très rare: nécrolyse épidermique toxique.
-Des exanthèmes ont aussi été décrits dans le contexte d'un syndrome DRESS (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms), également connu sous le nom de syndrome d'hypersensibilité. Cette maladie est associée aux symptômes systémiques les plus divers (cf. «Mises en garde et précautions» et «Affections du système immunitaire»).
- +Occasionnel: réaction de photosensibilité.
- +Rare: erythème multiforme, syndrome de Stevens-Johnson, angio-œdème, dermatite exfoliative, Leucodermie.
- +Très rare: nécrolyse épidermique toxique, DRESS/syndrome d'hypersensibilité (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms).
- +Fréquence inconnue: alopéciea.
-Il existe des rapports de cas signalant une perte de densité osseuse, une ostéopénie, une ostéoporose et des fractures chez des patients ayant pris de la lamotrigine pendant une longue période. On ignore par quel mécanisme la lamotrigine a une influence sur le métabolisme osseux.
- +Fréquence inconnue: Diminution de la densité osseusea, ostéoporosea, fracturesa.
-Très rare: néphrite tubulo-interstitielle*
-* peut survenir en relation avec une uvéite.
- +Fréquence inconnue: néphrite tubulo-interstitiellea (*peut survenir en relation avec une uvéite).
- +a Effets indésirables issus de l'expérience post-marketing
- +Description d'effets indésirables spécifiques et informations complémentaires
- +Troubles hématologiques et lymphadénopathie
- +Des troubles hématologiques et une lymphadénopathie ont été observés aussi bien dans le contexte du syndrome DRESS/d'hypersensibilité qu'en dehors de ce syndrome (cf. «Mises en garde et précautions» et «Affections du système immunitaire».
- +Exanthèmes associés à un syndrome DRESS
- +Des exanthèmes ont aussi été décrits dans le contexte d'un syndrome DRESS (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms), également connu sous le nom de syndrome d'hypersensibilité. Cette maladie est associée aux symptômes systémiques les plus divers (cf. la section suivante et «Mises en garde et précautions»).
- +Syndrome DRESS/d'hypersensibilité
- +Syndrome DRESS/d'hypersensibilité incluant des symptômes tels qu'exanthèmes, fièvre, lymphadénopathie, œdème facial, modifications des paramètres hématologiques, des valeurs hépatiques et rénales (cf. «Mises en garde et précautions») a été observé.
- +Troubles moteurs extrapyramidaux et choréoathétose
- +Dans des cas isolés, des troubles moteurs extrapyramidaux et une choréoathétose ont été décrits chez des patients sans maladie préexistante correspondante.
- +Diminution de la densité osseuse, ostéopénie, ostéoporose et fractures
- +Il existe des rapports de cas signalant une perte de densité osseuse, une ostéopénie, une ostéoporose et des fractures chez des patients ayant pris de la lamotrigine pendant une longue période. On ignore par quel mécanisme la lamotrigine a une influence sur le métabolisme osseux.
- +Suicidalité
-idées suicidaires 19/1212 (1,6%) 15/1054 (1,4%) 1,08 (0,54; 2,18) 0,86
-actes préliminaires 1/1212 (0,1%) 0/1054 (0,0%) inf (0,05; inf) 0,50
-tentatives de suicide 7/1212 (0,6%) 4/1054 (0,4%) 1,51 (0,43; 5,98) 0,56
-suicide accompli 2/1212 (0,2%) 0/1054 (0,0%) inf (0,21; inf) 0,50
- +idées suicidaires actes préliminaires tentatives de suicide suicide accompli 19/1212 (1,6%) 1/1212 (0,1%) 7/1212 (0,6%) 2/1212 (0,2%) 15/1054 (1,4%) 0/1054 (0,0%) 4/1054 (0,4%) 0/1054 (0,0%) 1,08 (0,54; 2,18) inf (0,05; inf) 1,51 (0,43; 5,98) inf (0,21; inf) 0,86 0,50 0,56 0,50
-Suicidalité totale 104/27863 0,37% 38/16029 0,24% 1,58
- +Suicidalité totale 104/27 863 0,37% 38/16 029 0,24% 1,58
-idées suicidaires 67/27863 0,24% 29/16029 0,18% 1,33
-actes préliminaires 3/27863 0,01% 1/16029 <0,01% 1,73
-tentatives de suicide 30/27863 0,11% 8/16029 0,04% 2,16
-suicide accompli 4/27863 0.01% 0/16029 0.00% –
- +idées suicidaires actes préliminaires tentatives de suicide suicide accompli 67/27 863 3/27 863 30/27 863 4/27 863 0,24% 0,01% 0,11% 0,01% 29/16 029 1/16 029 8/16 029 0/16 029 0,18% <0,01% 0,04% 0,00% 1,33 1,73 2,16 -
-Tableau 1. Proportion estimée de participants «sans intervention/sans événement»: population pour l'évaluation de l'efficacité du traitement selon le critère TIME (ABE)*
- +Tableau 1. Proportion estimée de participants «sans intervention/sans événement»: population pour l'évaluation de l'efficacité expérimentale selon le critère TIME (ABE)*
-Tableau 2. Proportion estimée de participants «sans intervention/sans événement»: population pour l'évaluation de l'efficacité du traitement selon le critère TIDep
- +Tableau 2. Proportion estimée de participants «sans intervention/sans événement»: population pour l'évaluation de l'efficacité expérimentale selon le critère TIDep
-Tableau 3. Proportion estimée de participants «sans intervention/sans événement»: population pour l'évaluation de l'efficacité du traitement selon le critère TIMan
- +Tableau 3. Proportion estimée de participants «sans intervention/sans événement»: population pour l'évaluation de l'efficacité expérimentale selon le critère TIMan
-Mars 2023
-Numéro de version interne: 20.2
- +Juin 2024
- +Numéro de version interne: 21.1
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