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-(* Les études d'enregistrement ont porté sur des patients atteints d'une UCS évoluant depuis 6 mois à 66 ans, en moyenne depuis 6 ans)
- +(*Les études d'enregistrement ont porté sur des patients atteints d'une UCS évoluant depuis 6 mois à 66 ans, en moyenne depuis 6 ans)
-Tableau 1: Correspondance de la dose pour chaque administration en nombre de flacons, nombre d'injections et en volume total à injecter
-Dose (mg) Nombre de flacons Nombre d'injections Volume total à injecter (ml)
- +Tableau 1: Correspondance de la dose pour chaque administration en nombre d'ampoules perforables, nombre d'injections et en volume total à injecter
- +Dose (mg) Nombre d'ampoules perforables Nombre d'injections Volume total à injecter (ml)
-a 0.6 ml = volume maximal de produit par flacon de Xolair 75 mg. b 1.2 ml = volume maximal de produit par flacon de Xolair 150 mg. c ou utiliser 0.6 ml prélevé d'un flacon de Xolair 150 mg
- +a 0.6 ml = volume maximal de produit par ampoule perforable de Xolair 75 mg. b 1.2 ml = volume maximal de produit par ampoule perforable de Xolair 150 mg. c ou utiliser 0.6 ml prélevé d'une ampoule perforable de Xolair 150 mg
-Taux initial d'IgE (UI/ml) > 20–25 > 25–30 > 30–40 > 40–50 > 50–60 > 60–70 > 70–80 > 80-90 > 90–125 > 125 –150
- +Taux initial d'IgE (UI/ml) > 20–25 > 25–30 > 30–40 > 40–50 > 50–60 > 60–70 > 70–80 > 80-90 > 90–125 > 125–150
-Taux initial d'IgE (UI/ml) > 20–25 > 25–30 > 30–40 > 40–50 > 50–60 > 60–70 > 70–80 > 80–90 > 90– 125 > 125–150
- +Taux initial d'IgE (UI/ml) > 20–25 > 25–30 > 30–40 > 40–50 > 50–60 > 60–70 > 70–80 > 80–90 > 90–125 > 125–150
-Il n'existe pas d'études cliniques bien contrôlées sur Xolair chez les femmes enceintes. Une étude prospective portant sur un registre de grossesse (EXPECT) menée sur 250 femmes enceintes asthmatiques traitées par Xolair a montré que la prévalence des anomalies congénitales majeures était similaire (8.1% vs 8.9%) chez les patientes ayant été traitées par Xolair (EXPECT) et les patientes asthmatiques (asthme modéré à sévère) n'ayant pas reçu Xolair. La proportion des enfants avec un poids à la naissance < 2.5 kg était plus élevée sous Xolair (13.7% vs 9.8%), ce qui peut toutefois également avoir été causé par des différences de degré de gravité de l'asthme. Dans l'ensemble, le risque d'anomalies congénitales ne peut pas non plus être évalué définitivement sur la base de cette étude en raison des limites méthodologiques, dont une conception non randomisée de l'étude et d'éventuelles différences entre la population du registre et le groupe comparatif (cf. «Efficacité clinique»).
- +Il n'existe pas d'études cliniques bien contrôlées sur Xolair chez les femmes enceintes. Une étude prospective portant sur un registre de grossesse (EXPECT) menée sur 250 femmes enceintes asthmatiques traitées par Xolair a montré que la prévalence des anomalies congénitales majeures était similaire (8.1% vs 8.9%) chez les patientes ayant été traitées par Xolair (EXPECT) et les patientes asthmatiques (asthme modéré à sévère) n'ayant pas reçu Xolair. La proportion des enfants avec un poids à la naissance < 2.5 kg était plus élevé sous Xolair (13.7% vs 9.8%), ce qui peut toutefois également avoir été causé par des différences de degré de gravité de l'asthme. Dans l'ensemble, le risque d'anomalies congénitales ne peut pas non plus être évalué définitivement sur la base de cette étude en raison des limites méthodologiques, dont une conception non randomisée de l'étude et d'éventuelles différences entre la population du registre et le groupe comparatif (cf. «Efficacité clinique»).
-«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à < 1/100), «rares» (≥1/10 000 à < 1/1000), «très rares» (< 1/10 000).
- +«Très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (≥1/100 à < 1/10), «occasionnel» (≥1/1000 à < 1/100), «rare» (≥1/10 000 à < 1/1000), «très rare» (< 1/10 000).
-Occasionnels: pharyngite.
-Rares: infestations parasitaires.
- +Occasionnel: pharyngite.
- +Rare: infestations parasitaires.
-Rares: réactions anaphylactiques et autres réactions allergiques telles que maladie sérique, symptômes pseudo-grippaux tels que fièvre, douleurs articulaires, malaise. Développement d'anticorps anti-thérapeutiques.
- +Rare: réactions anaphylactiques et autres réactions allergiques telles que maladie sérique, symptômes pseudo-grippaux tels que fièvre, douleurs articulaires, malaise. Développement d'anticorps anti-thérapeutiques.
-Fréquents: céphalées**.
-Occasionnels: étourdissements, somnolence, paresthésies, syncope.
- +Fréquent: céphalées**.
- +Occasionnel: étourdissements, somnolence, paresthésies, syncope.
-Occasionnels: hypotension orthostatique, bouffées congestives.
- +Occasionnel: hypotension orthostatique, bouffées congestives.
-Occasionnels: toux, bronchospasme allergique.
-Rares: œdème du larynx.
- +Occasionnel: toux, bronchospasme allergique.
- +Rare: œdème du larynx.
-Fréquents: douleurs abdominales hautes*.
-Occasionnels: nausées, diarrhées, dyspepsie.
- +Fréquent: douleurs abdominales hautes*.
- +Occasionnel: nausées, diarrhées, dyspepsie.
-Occasionnels: urticaire, rash, prurit, photosensibilité.
-Rares: angio-œdème.
- +Occasionnel: urticaire, rash, prurit, photosensibilité.
- +Rare: angio-œdème.
-Très fréquents: pyrexie*.
-Fréquents: douleurs, érythème, prurit, gonflement.
-Occasionnels: gain pondéral, fatigue, gonflement au niveau des bras, symptômes grippaux.
- +Très fréquent: pyrexie*.
- +Fréquent: douleurs, érythème, prurit, gonflement.
- +Occasionnel: gain pondéral, fatigue, gonflement au niveau des bras, symptômes grippaux.
-* chez les enfants de 6 ans à moins de 12 ans
-** très fréquent chez les enfants de 6 ans à moins de 12 ans
- +* chez les enfants de 6 ans à < 12 ans
- +** très fréquent chez les enfants de 6 ans à < 12 ans
-Dans le tableau 4, les effets indésirables qui sont survenus lors des études cliniques dans la population atteinte de polypes nasaux traitée par Xolair et surveillée dans son ensemble sont répertoriés par classes d'organes et en fonction de leur fréquence. Les catégories de fréquence sont définies de la manière suivante: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à < 1/10), occasionnels (≥1/1000 à < 1/100); rares (≥1/10 000 à < 1/1000) et très rares (< 1/10 000).
- +Dans le tableau 4, les effets indésirables qui sont survenus lors des études cliniques dans la population atteinte de polypes nasaux traitée par Xolair et surveillée dans son ensemble sont répertoriés par classes d'organes et en fonction de leur fréquence. Les catégories de fréquence sont définies de la manière suivante: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100 à < 1/10), occasionnel (≥1/1000 à < 1/100); rare (≥1/10 000 à < 1/1000) et très rare (< 1/10 000).
-Placebo N = 130 Omalizumab N = 135
- + Placebo N = 130 Omalizumab N = 135
-Céphalées 7 (5.4%) 11 (8.1%) fréquents
-Sensation vertigineuse 1 (0.8%) 4 (3.0%) fréquents
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Arthralgie 2 (1.5%) 4 (3.0%) fréquents
- +Céphalées 7 (5.4%) 11 (8.1%) fréquent
- +Sensation vertigineuse 1 (0.8%) 4 (3.0%) fréquent
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Arthralgie 2 (1.5%) 4 (3.0%) fréquent
-Douleur abdominale 1 (0.8%) 4 (3.0%) fréquents
- +Douleur abdominale 1 (0.8%) 4 (3.0%) fréquent
-(Réactions au site d'injection, réaction liée à l'injection, douleurs au site d'injection) 2 (1.5%) 7 (5.2%) fréquents
- +(Réactions au site d'injection, réaction liée à l'injection, douleurs au site d'injection) 2 (1.5%) 7 (5.2%) fréquent
-Placebo N = 242 150 mg N = 175 300 mg N = 412
- + Placebo N = 242 150 mg N = 175 300 mg N = 412
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
-Affections du système nerveux: céphalées, douleurs sinusales (placebo 0%, 150 mg 2.3%, 300 mg 0.3%).
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif: myalgies (placebo 0%, 150 mg 2.3%, 300 mg 0.9%); douleurs des extrémités (placebo 0%, 150 mg 3.4%, 300 mg 0.9%); douleurs musculo-squelettiques (placebo 0%, 150 mg 2.3%, 300 mg 0.9%).
- +Affections du système nerveux: céphalées sinusales (placebo 0%, 150 mg 2.3%, 300 mg 0.3%).
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif: myalgies (placebo 0%, 150 mg 2.3%, 300 mg 0.9%); douleurs des extrémités (placebo 0%, 150 mg 3.4%, 300 mg 0.9%); douleurs musculo-squelettiques (placebo 0%, 150 mg 2.3%, 300 mg 0.9%).
-Effets indésirables après commercialisation
- +Dans une étude d'une durée de 48 semaines, 81 patients atteints d'UCS ont reçu 300 mg d'omalizumab toutes les 4 semaines (voir «Efficacité clinique – UCS»). Le profil de sécurité en cas d'utilisation à long terme était similaire à celui observé dans les études portant sur l'UCS et d'une durée de 24 semaines.
- +Effets indésirables identifiés après commercialisation
-Lors des premiers essais cliniques chez les adultes et les adolescents âgés d'au moins 12 ans, un déséquilibre du nombre de cancers dans le groupe traité par Xolair a été observé par rapport au groupe contrôle. Des cas de cancer sont survenus occasionnellement (< 1/100) aussi bien dans le groupe actif que dans le groupe contrôle. Dans une étude observationnelle ultérieure sur 5 ans ayant comparé 5007 patients traités par Xolair et 2829 patients non traités par Xolair, le risque relatif de cancers sous Xolair n'était pas accru. Le taux d'incidence de cancers primaires pour 1000 années-patients était respectivement de 16.01 (295/18426 années-patients) et de 19.07 (190/9963 années-patients), ce qui correspond à un rapport des risques de 0.84 (intervalle de confiance à 95%, 0.62–1.13). Dans une analyse prospective des études cliniques randomisées en double aveugle, contrôlées versus placebo et menées chez 4254 patients traités par Xolair et 3178 patients sous placebo, il a été conclu sur la base des taux d'incidence pour 1000 années-patients de 4.14 (14/3382 années-patients) chez les patients sous Xolair et de 4.45 (11/2474 années-patients) chez les patients sous placebo, que le traitement par Xolair n'est pas associé à un risque accru de cancer (rapport des risques de 0.93, intervalle de confiance à 95%, 0.39–2.27). Cependant, l'ensemble des données actuellement disponibles ne permet pas encore d'exclure complètement l'éventualité d'un léger déséquilibre.
- +Lors des premiers essais cliniques chez les adultes et les adolescents âgés d'au moins 12 ans, un déséquilibre du nombre de cancers dans le groupe traité par Xolair a été observé par rapport au groupe contrôle. Des cas de cancer sont survenus occasionnellement (< 1/100) aussi bien dans le groupe actif que dans le groupe contrôle. Dans une étude observationnelle ultérieure sur 5 ans ayant comparé 5007 patients traités par Xolair et 2829 patients non traités par Xolair, le risque relatif de cancers sous Xolair n'était pas accru. Le taux d'incidence de cancers primaires pour 1000 années-patients était respectivement de 16.01 (295/18 426 années-patients) et de 19.07 (190/9963 années-patients), ce qui correspond à un rapport des risques de 0.84 (intervalle de confiance à 95%, 0.62–1.13). Dans une analyse prospective des études cliniques randomisées en double aveugle, contrôlées versus placebo et menées chez 4254 patients traités par Xolair et 3178 patients sous placebo, il a été conclu sur la base des taux d'incidence pour 1000 années-patients de 4.14 (14/3382 années-patients) chez les patients sous Xolair et de 4.45 (11/2474 années-patients) chez les patients sous placebo, que le traitement par Xolair n'est pas associé à un risque accru de cancer (rapport des risques de 0.93, intervalle de confiance à 95%, 0.39–2.27). Cependant, l'ensemble des données actuellement disponibles ne permet pas encore d'exclure complètement l'éventualité d'un léger déséquilibre.
-Dans des études cliniques contrôlées et au cours des analyses intermédiaires d'une étude observationnelle, un déséquilibre numérique des ETA a été observé. Les ETA ont compris les accidents vasculaires cérébraux, les accidents ischémiques transitoires, les infarctus du myocarde, l'angor instable et les décès d'origine cardiovasculaire (y compris les décès de cause inconnue). Dans l'analyse finale de l'étude observationnelle, l'incidence des ETA pour 1000 années-patients était de 7.52 (115/15286 années-patients) pour les patients traités par Xolair et de 5.12 (51/9963 années-patients) pour les patients du groupe contrôle. Dans une analyse multivariée avec rectification tenant compte des facteurs de risque cardiovasculaires associés au niveau de base, le rapport des risques (hazard ratio) était de 1.32 (intervalle de confiance à 95%, 0.91–1.91).
- +Dans des études cliniques contrôlées et au cours des analyses intermédiaires d'une étude observationnelle, un déséquilibre numérique des ETA a été observé. Les ETA ont compris les accidents vasculaires cérébraux, les accidents ischémiques transitoires, les infarctus du myocarde, l'angor instable et les décès d'origine cardiovasculaire (y compris les décès de cause inconnue). Dans l'analyse finale de l'étude observationnelle, l'incidence des ETA pour 1000 années-patients était de 7.52 (115/15 286 années-patients) pour les patients traités par Xolair et de 5.12 (51/9963 années-patients) pour les patients du groupe contrôle. Dans une analyse multivariée avec rectification tenant compte des facteurs de risque cardiovasculaires associés au niveau de base, le rapport des risques (hazard ratio) était de 1.32 (intervalle de confiance à 95%, 0.91–1.91).
-Aucun cas de surdosage n'a été rapporté à ce jour.
-Une autre hypothèse relative au mécanisme d'action de l'omalizumab dans l'UCS avance une diminution des taux d'anticorps IgE libres dans le sang et par conséquent aussi dans la peau. Ceci induirait une régulation négative des récepteurs de surface des IgE avec diminution de la transmission des signaux descendants par la voie FcεRI et inhibition de l'activation cellulaire et de la réaction inflammatoire. Il en résulterait une diminution de la fréquence et de la sévérité de symptômes de l'UCS. Une autre hypothèse repose sur une diminution des taux d'IgE libre qui aurait pour conséquence une désensibilisation non spécifique rapide des mastocytes cutanés. La régulation négative de la voie FcεRI pourrait favoriser le maintien de cette réaction.
-Dans les essais cliniques conduits auprès de patients atteints d'UCS, le traitement d'omalizumab a induit une diminution dose-dépendante des taux d'IgE libre et une augmentation des taux sériques d'IgE totale, comme c'était le cas chez les patients avec asthme allergique. La suppression maximale de l'IgE libre a été observée 3 jours après la dose sous-cutanée initiale. Après des doses multiples une fois toutes les 4 semaines, les taux sériques d'IgE libre mesurés avant l'administration sont restés stables de la semaine 12 à la semaine 24. Les taux sériques d'IgE totale ont augmenté après la dose initiale à la suite de la formation de complexes omalizumab-IgE, dont la vitesse d'élimination est inférieure à celle de l'IgE libre. Après des doses multiples de 75 mg à 300 mg toutes les 4 semaines, les taux d'IgE totale moyens mesurés dans le sérum avant la dose de la semaine 12 étaient deux à trois fois supérieurs à ceux mesurés avant le début du traitement et sont restés stables de la semaine 12 à la semaine 24. À la fin du traitement de Xolair, les taux d'IgE libre ont augmenté au cours d'une période de follow-up de 16 semaines sans traitement, tandis que les taux d'IgE totale ont diminué, tous deux en direction des valeurs observées avant le traitement.
- +Une hypothèse relative au mécanisme d'action de l'omalizumab dans l'UCS avance une diminution des taux d'anticorps IgE libres dans le sang et par conséquent aussi dans la peau. Ceci induirait une régulation négative des récepteurs de surface des IgE avec diminution de la transmission des signaux descendants par la voie FcεRI et inhibition de l'activation cellulaire et de la réaction inflammatoire. Il en résulterait une diminution de la fréquence et de la sévérité de symptômes de l'UCS. Une autre hypothèse repose sur une diminution des taux d'IgE libre qui aurait pour conséquence une désensibilisation non spécifique rapide des mastocytes cutanés. La régulation négative de la voie FcεRI pourrait favoriser le maintien de cette réaction.
- +Dans les essais cliniques conduits auprès de patients atteints d'UCS, le traitement d'omalizumab a induit une diminution dose-dépendante des taux d'IgE libre et une augmentation des taux sériques d'IgE totale, comme c'était le cas chez les patients avec asthme allergique. La suppression maximale de l'IgE libre a été observée 3 jours après la dose sous-cutanée initiale. Après des doses multiples une fois toutes les 4 semaines, les taux sériques d'IgE libre mesurés avant l'administration sont restés stables de la semaine 12 à la semaine 24. Les taux sériques d'IgE totale ont augmenté après la dose initiale à la suite de la formation de complexes omalizumab-IgE, dont la vitesse d'élimination est inférieure à celle de l'IgE libre. Après des doses multiples de 75 mg à 300 mg toutes les 4 semaines, les taux d'IgE totale moyens mesurés dans le sérum avant la dose de la semaine 12 étaient deux à trois fois supérieurs à ceux mesurés avant le début du traitement et sont restés stables de la semaine 12 à la semaine 24. À la fin du traitement par Xolair, les taux d'IgE libre ont augmenté au cours d'une période de follow-up de 16 semaines sans traitement, tandis que les taux d'IgE totale ont diminué, tous deux en direction des valeurs observées avant le traitement.
-L'efficacité et la compatibilité de Xolair ont été démontrées dans une étude pivot de 28 semaines, contrôlée contre placebo (étude 5) conduite chez 419 patients atteints d'asthme allergique sévère, âgés de 12 à 79 ans, ayant une réduction de la fonction pulmonaire (volume expiratoire maximal pendant la 1ère seconde: VEMS 40–80% des valeurs prédites) et dont les symptômes de l'asthme étaient mal contrôlés en dépit d'un traitement de > 1000 µg de dipropionate de béclométasone (ou équivalent) et de bêta2-agonistes à longue durée d'action. Les patients éligibles avaient présenté de multiples exacerbations de l'asthme ayant nécessité une corticothérapie systémique, avaient été hospitalisés ou s'étaient présentés dans un service d'urgences en raison d'une exacerbation sévère de l'asthme au cours de l'année précédente malgré un traitement continu par corticothérapie inhalée à fortes doses et de bêta2-agonistes à longue durée d'action. Xolair ou un placebo a été administré par voie sous-cutanée en addition à un traitement par > 1000 μg de dipropionate de béclométasone (ou équivalent) et de bêta2agonistes à longue durée d'action. Les patients ont de plus reçu des traitements de fond par corticoïde oral (22% des patients), théophylline (27%) et anti-leucotriènes (35%). Durant la phase de traitement, les thérapies additives contre l'asthme sont restées inchangées.
- +L'efficacité et la tolérance de Xolair ont été démontrées dans une étude pivot de 28 semaines, contrôlée contre placebo (étude 5) conduite chez 419 patients atteints d'asthme allergique sévère, âgés de 12 à 79 ans, ayant une réduction de la fonction pulmonaire (volume expiratoire maximal pendant la 1ère seconde: VEMS 40–80% des valeurs prédites) et dont les symptômes de l'asthme étaient mal contrôlés en dépit d'un traitement de > 1000 µg de dipropionate de béclométasone (ou équivalent) et de bêta2-agonistes à longue durée d'action. Les patients éligibles avaient présenté de multiples exacerbations de l'asthme ayant nécessité une corticothérapie systémique, avaient été hospitalisés ou s'étaient présentés dans un service d'urgences en raison d'une exacerbation sévère de l'asthme au cours de l'année précédente malgré un traitement continu par corticothérapie inhalée à fortes doses et de bêta2-agonistes à longue durée d'action. Xolair ou un placebo a été administré par voie sous-cutanée en addition à un traitement par > 1000 μg de dipropionate de béclométasone (ou équivalent) et de bêta2agonistes à longue durée d'action. Les patients ont de plus reçu des traitements de fond par corticoïde oral (22% des patients), théophylline (27%) et anti-leucotriènes (35%). Durant la phase de traitement, les thérapies additives contre l'asthme sont restées inchangées.
-Dans une analyse de sous-groupe, la probabilité de tirer un bénéfice cliniquement significatif du traitement par Xolair a été plus élevée chez les patients avec des taux pré-thérapeutiques d'IgE totales ≥76 UI/ml. Chez les patients de l'étude 1, Xolair a réduit de 40% (p = 0.002) la fréquence des exacerbations de l'asthme. Par ailleurs, les patients de la population avec des IgE totales ≥76 UI/ml de l'ensemble du programme de Xolair dans l'asthme sévère ont été plus nombreux à présenter des réponses cliniquement significatives (cf. tableau 6).
- +Dans une analyse de sous-groupe, la probabilité de tirer un bénéfice cliniquement significatif du traitement par Xolair a été plus élevée chez les patients avec des taux pré-thérapeutiques d'IgE totales ≥76 UI/ml. Chez ces patients de l'étude 1, Xolair a réduit de 40% (p = 0.002) la fréquence des exacerbations de l'asthme. Par ailleurs, les patients de la population avec des IgE totales ≥76 UI/ml de l'ensemble du programme de Xolair dans l'asthme sévère ont été plus nombreux à présenter des réponses cliniquement significatives (cf. tableau 6).
-Dans l'étude 6, un nombre significativement supérieur de patients atteints d'asthme allergique sévère ont pu réduire leur dose de fluticasone à ≤500 μg/jour par Xolair (60.3%) sans détérioration du contrôle de l'asthme, et ce par rapport aux patients du groupe placebo (45.8%, p < 0.05).
-Tableau 6: résultats de l'étude
- +Dans l'étude 6, un nombre significativement supérieur de patients atteints d'asthme allergique sévère ont pu réduire leur dose de fluticasone à ≤500 μg/jour avec Xolair (60.3%) sans détérioration du contrôle de l'asthme, et ce par rapport aux patients du groupe placebo (45.8%, p < 0.05).
- +Tableau 6: résultats de l'étude
-Enfants âgés de 6 à moins de 12 ans
-Les principales données concernant la sécurité d'emploi et l'efficacité de Xolair dans le groupe d'âge de 6 ans à moins de 12 ans sont issues d'une étude multicentrique randomisée, en double aveugle et contrôlée contre placebo (étude 7).
- +Enfants âgés de 6 à < 12 ans
- +Les principales données concernant la sécurité d'emploi et l'efficacité de Xolair dans le groupe d'âge de 6 ans à < 12 ans sont issues d'une étude multicentrique randomisée, en double aveugle et contrôlée contre placebo (étude 7).
-Tableau 7 Données démographiques et caractéristiques de référence dans les études de polypes nasaux
- +Tableau 7: Données démographiques et caractéristiques de référence dans les études de polypes nasaux
-Score NPS endoscopique bilatéral moyen (SD), marge: 0–8 6.2 (1.0) 6.3 (0.9)
-Score moyen de congestion nasale (NC)* (SD), marge: 0–3 2.4 (0.6) 2.3 (0.7)
-Score olfactif moyen* (SD), marge: 0–3 2.7 (0.7) 2.7 (0.7)
-Score total SNOT-22 * (SD), marge: 0–110 60.1 (17.7) 59.5 (19.3)
- +Score NPS endoscopique bilatéral moyen (SD), intervalle: 0–8 6.2 (1.0) 6.3 (0.9)
- +Score moyen de congestion nasale (NC)* (SD), intervalle: 0–3 2.4 (0.6) 2.3 (0.7)
- +Score olfactif moyen* (SD), intervalle: 0–3 2.7 (0.7) 2.7 (0.7)
- +Score total SNOT-22 * (SD), intervalle: 0–110 60.1 (17.7) 59.5 (19.3)
- +SD = écart-type; NPS = score de polypes nasaux (nasal polyps score); SNOT 22 = questionnaire sur le test de résultats sino-nasaux comportant 22 questions; IgE = immunoglobulines E; UI = unités internationales.
- +
-SD = écart-type; NPS = score de polypes nasaux (nasal polyps score);
-SNOT-22 = questionnaire sur le test de résultats sino-nasaux comportant 22 questions;
-IgE = immunoglobulines E; UI = unités internationales.
-Les co-critères d'évaluation principaux étaient le score bilatéral de polypes nasaux (NPS) et le score quotidien moyen de congestion nasale (NCS), tous deux déterminés à la semaine 24. Le NPS a été déterminé par endoscopie au début de l'étude et à des moments déterminés au préalable (marge: 0–4 par narine), et le NPS total a été calculé à partir de ces valeurs (marge: 0 = meilleure valeur à 8 = valeur la plus mauvaise). La congestion nasale a été évaluée tous les jours à l'aide de l'échelle NCS (marge: 0 = meilleure valeur à 3 = valeur la plus mauvaise). Avant d'être randomisés, les patients devaient présenter un NPS ≥5 et un NCS hebdomadaire moyen > 1 malgré l'utilisation de mométasone par voie intranasale. Dans les deux études, les NPS moyens des deux groupes de traitement au début de l'étude étaient équilibrés.
- +Les co-critères d'évaluation principaux étaient le score bilatéral de polypes nasaux (NPS) et le score quotidien moyen de congestion nasale (NCS), tous deux déterminés à la semaine 24. Le NPS a été déterminé par endoscopie au début de l'étude et à des moments déterminés au préalable (intervalle: 0–4 par narine), et le NPS total a été calculé à partir de ces valeurs (intervalle: 0 = meilleure valeur à 8 = valeur la plus mauvaise). La congestion nasale a été évaluée tous les jours à l'aide de l'échelle NCS (intervalle: 0 = meilleure valeur à 3 = valeur la plus mauvaise). Avant d'être randomisés, les patients devaient présenter un NPS ≥5 et un NCS hebdomadaire moyen > 1 malgré l'utilisation de mométasone par voie intranasale. Dans les deux études, les NPS moyens des deux groupes de traitement au début de l'étude étaient équilibrés.
-Tableau 8 Modification du score de polypes nasaux et du score moyen de congestion nasale sur 7 jours à la semaine 24 par rapport à la valeur initiale dans les études 1 et 2 des polypes nasaux
- +Tableau 8: Modification du score de polypes nasaux et du score moyen de congestion nasale sur 7 jours à la semaine 24 par rapport à la valeur initiale dans les études 1 et 2 des polypes nasaux
-Score de polypes nasaux
- +Score de polypes nasaux
-Valeur moyenne sur 7 jours du score quotidien de congestion nasale
- +Valeur moyenne sur 7 jours du score quotidien de congestion nasale
-Figure 1 Modification moyenne par rapport à la valeur initiale des scores de congestion nasale et de polypes nasaux en fonction du groupe de traitement dans les études 1 et 2 des polypes nasaux
- +Figure 1: Modification moyenne par rapport à la valeur initiale des scores de congestion nasale et de polypes nasaux en fonction du groupe de traitement dans les études 1 et 2 des polypes nasaux
-Un critère d'évaluation principal secondaire a été l'évaluation de la modification du score total des symptômes nasaux (total nasal symptom score, TNSS) à la semaine 24 par rapport à la valeur initiale. Le TNSS rapporté par les patients était un score qui correspondait à la somme de 4 scores de symptômes quotidiens équipondérés. Ceux-ci étaient: le NCS, le score olfactif, le score de rhinorrhée postérieure et le score de rhinorrhée antérieure. La marge du TNSS était comprise entre 0 = meilleure valeur et 12 = valeur la plus mauvaise. Dans le cadre du traitement par Xolair, il y a eu une amélioration significative du TNSS quotidien moyen par rapport au placebo. La différence des moyennes des LS pour la modification par rapport à la valeur initiale jusqu'à la semaine 24 était de -1.91 points (IC à 95%: -2.85, -0.96; p = 0.0001) dans l'étude 1 et de -2.09 points (IC à 95%: -3.00, -1.18; p < 0.0001) dans l'étude 2.
-Dans le cadre du traitement par Xolair, il y a eu une amélioration significative dans le SNOT-22 (Sino-Nasal OutcomeTest) qui combine des questions du domaine des symptômes sino-nasaux, de la psychologie et de la qualité du sommeil. Le SNOT-22 était compris entre 0 et 110 (0 = meilleure valeur, 110 = valeur la plus mauvaise). La différence des moyennes des LS pour la modification dans le SNOT-22 par rapport à la valeur initiale jusqu'à la semaine 24 dans le cadre du traitement par Xolair, en comparaison avec le placebo, était de -16.12 (IC à 95%: -21.86, -10.38; p < 0.0001) dans l'étude 1 et de -15.04 (IC à 95%: -21.26, -8.82; p < 0.0001) dans l'étude 2.
- +Un critère d'évaluation principal secondaire a été l'évaluation de la modification du score total des symptômes nasaux (total nasal symptom score, TNSS) à la semaine 24 par rapport à la valeur initiale. Le TNSS rapporté par les patients était un score qui correspondait à la somme de 4 scores de symptômes quotidiens équipondérés. Ceux-ci étaient: le NCS, le score olfactif, le score de rhinorrhée postérieure et le score de rhinorrhée antérieure. L'intervalle du TNSS était de 0 = meilleure valeur à 12 = valeur la plus mauvaise. Dans le cadre du traitement par Xolair, il y a eu une amélioration significative du TNSS quotidien moyen par rapport au placebo. La différence des moyennes des LS pour la modification par rapport à la valeur initiale jusqu'à la semaine 24 était de -1.91 points (IC à 95%: -2.85, -0.96; p = 0.0001) dans l'étude 1 et de -2.09 points (IC à 95%: -3.00, -1.18; p < 0.0001) dans l'étude 2.
- +Dans le cadre du traitement par Xolair, il y a eu une amélioration significative dans le SNOT-22 (Sino-Nasal OutcomeTest) qui combine des questions du domaine des symptômes sino-nasaux, de la psychologie et de la qualité du sommeil. Le SNOT-22 était compris entre 0 et 110 (0 = meilleure valeur, 110 = valeur la plus mauvaise). La différence des moyennes des LS pour la modification du SNOT-22 par rapport à la valeur initiale jusqu'à la semaine 24 dans le cadre du traitement par Xolair, en comparaison avec le placebo, était de -16.12 (IC à 95%: -21.86, -10.38; p < 0.0001) dans l'étude 1 et de -15.04 (IC à 95%: -21.26, -8.82; p < 0.0001) dans l'étude 2.
-Dans les deux études, l'effet sur le TNSS et le SNOT-22 a déjà été observé lors de la première évaluation à la semaine 4. En outre, l'effet sur le score UPSIT a été observé dans les deux études lors de la première évaluation à la semaine 8.
- +Dans les deux études, l'effet sur le TNSS et le SNOT-22 a déjà été observé dès la première évaluation à la semaine 4. En outre, l'effet sur le score UPSIT a été observé dans les deux études lors de la première évaluation à la semaine 8.
-Tableau 9 Critères d'efficacité
- +Tableau 9 Critères d'évaluation de l'efficacité
-Différence des LS means vs placebo1 - -2.95 -5.80
- +Différence des moyennes des LS vs placebo1 - -2.95 -5.80
-Différence des LS means vs placebo1 - -3.04 -4.81
- +Différence des moyennes des LS vs placebo1 - -3.04 -4.81
-Différence des LS means vs placebo1 - - -4.52
- +Différence des moyennes des LS vs placebo1 - - -4.52
-Dans les études Q4881g et Q4882g, le délai médian jusqu'à l'obtention d'un MID de 5 points de l'ISS hebdomadaire était de 2 semaines chez les patients du groupe recevant 150 mg (p = 0.0301 dans l'étude Q4881g; p = 0.0101 dans l'étude Q4882g) et d'1 semaine chez les patients sous 300 mg (p < 0.0001) versus 4 semaines chez les patients des groupes placebo. Des résultats comparables ont été rapportés dans l'étude Q4883g avec un délai médian de 2 semaines jusqu'à l'obtention d'un MID dans le groupe sous 300 mg (p < 0.0001) contre 5 semaines dans le groupe placebo.
- +Dans les études Q4881g et Q4882g, le délai médian jusqu'à l'obtention d'une MID de 5 points de l'ISS hebdomadaire était de 2 semaines chez les patients du groupe recevant 150 mg (p = 0.0301 dans l'étude Q4881g; p = 0.0101 dans l'étude Q4882g) et de 1 semaine chez les patients sous 300 mg (p < 0.0001) versus 4 semaines chez les patients des groupes placebo. Des résultats comparables ont été rapportés dans l'étude Q4883g avec un délai médian de 2 semaines jusqu'à l'obtention d'une MID dans le groupe sous 300 mg (p < 0.0001) contre 5 semaines dans le groupe placebo.
-Figure 5: Proportion des patients avec un UAS7 = 0 à la semaine 12, études Q4881g,Q4882g et Q4883g
- +Figure 5: Proportion des patients avec un UAS7 = 0 à la semaine 12, études Q4881g, Q4882g et Q4883g
-Dans les trois essais de phase III, le changement moyen du score hebdomadaire relatif au nombre de papules à la semaine 12 versus valeur initiale était statistiquement significatif dans le groupe traité par 300 mg (p < 0.001) avec une diminution du nombre de papules par rapport au placebo (-11.35 dans Q4881g, -11.97 dans Q4882g et -10.46 dans Q4883g versus -4.37, -5.22 resp. -4.49 dans les groupes placebo correspondants). Dans le groupe traité par 150 mg, le changement moyen était de -7.78 (p = 0.0017) dans Q4881g et de -9.75 (p < 0.0001) dans Q4882g.
- +Dans les trois essais de phase III, le changement moyen du score hebdomadaire relatif au nombre de papules à la semaine 12 versus valeur initiale était statistiquement significatif dans le groupe traité par 300 mg (p < 0.001) avec une diminution du nombre de papules par rapport au placebo(-11.35 dans Q4881g, -11.97 dans Q4882g et -10.46 dans Q4883g versus -4.37, -5.22 resp. -4.49 dans les groupes placebo correspondants). Dans le groupe traité par 150 mg, le changement moyen était de -7.78 (p = 0.0017) dans Q4881g et de -9.75 (p < 0.0001) dans Q4882g.
-Changement vs valeur initiale du Severity Score (BOCF) hebdomadaire, valeur moyenne
-Étude Q4881g Semaine 24 -5.41 -6.47 -9.84**
-Étude Q4883g Semaine 24 -4.03 NA -8.60**
-Changement vs valeur initiale de l'UAS7 (BOCF), valeur moyenne
-Étude Q4881g Semaine 24 -11.73 -14.21 -22.11**
-Étude Q4883g Semaine 24 -8.85 NA -19.15**
-Proportion des patients avec UAS7 ≤6, % de patients
-Étude Q4881g Semaine 24 25.0 36.3 61.7**
-Étude Q4883g Semaine 24 16.9 NA 55.6**
-Proportion des patients avec UAS7 = 0, % de patients
-Étude Q4881g Semaine 24 12.5 20.0 48.1**
-Étude Q4883g Semaine 24 3.6 NA 42.5**
- +Variation vs ligne de base du Itch Severity Score (BOCF) hebdomadaire, valeur moyenne
- +Étude Q4881g Semaine 24 -5.41 -6.47 -9.84**
- +Étude Q4883g Semaine 24 -4.03 NA -8.60**
- +Variation vs ligne de base de l'UAS7 (BOCF), valeur moyenne
- +Étude Q4881g Semaine 24 -11.73 -14.21 -22.11**
- +Étude Q4883g Semaine 24 -8.85 NA -19.15**
- +Proportion de patients avec UAS7 ≤6, % de patients
- +Étude Q4881g Semaine 24 25.0 36.3 61.7**
- +Étude Q4883g Semaine 24 16.9 NA 55.6**
- +Proportion de patients avec UAS7 = 0, % de patients
- +Étude Q4881g Semaine 24 12.5 20.0 48.1**
- +Étude Q4883g Semaine 24 3.6 NA 42.5**
- +Efficacité après 48 semaines de traitement
- +Dans une étude d'une durée de 48 semaines, 206 patients atteints d'UCS non contrôlée par un traitement par antihistaminique H1, âgés de 12 à 75 ans, ont participé à une phase de traitement en ouvert par l'omalizumab 300 mg toutes les 4 semaines, d'une durée de 24 semaines, en tant que traitement d'appoint. Les patients qui ont répondu au traitement pendant cette phase en ouvert ont ensuite reçu à l'aveugle de manière aléatoire, l'omalizumab 300 mg (81 patients) ou un placebo (53 patients), toutes les 4 semaines pendant 24 semaines supplémentaires.
- +Parmi les patients ayant été traités par l'omalizumab pendant un total de 48 semaines, 21% ont présenté une dégradation clinique (valeur UAS7 de 12 ou plus pendant au moins 2 semaines consécutives après la randomisation entre les semaines 24 et 48), par comparaison à 60.4% des patients traités par le placebo à la semaine 48 (La différence est de -39.4%, p <0.0001, IC à 95%: -54.5%, -22.5%).
- +
-L'élimination de l'omalizumab fait intervenir des processus d'élimination des IgG ainsi qu'une élimination par une fixation spécifique et la formation de complexes avec le coordinat cible, l'IgE. L'élimination hépatique des IgG fait intervenir une dégradation par le système réticulo-endothélial (SRE) et les cellules endothéliales. Les IgG intacts sont également éliminées dans la bile. Chez les patients asthmatiques, la demi-vie d'élimination sérique de l'omalizumab a été en moyenne de 26 jours, avec une élimination apparente de 2.4 ± 1.1 ml/kg/jour en moyenne.
- +L'élimination de l'omalizumab fait intervenir des processus d'élimination des IgG ainsi qu'une élimination par une fixation spécifique et la formation de complexes avec le ligand cible, l'IgE. L'élimination hépatique des IgG fait intervenir une dégradation par le système réticulo-endothélial (SRE) et les cellules endothéliales. Les IgG intacts sont également éliminées dans la bile. Chez les patients asthmatiques, la demi-vie d'élimination sérique de l'omalizumab a été en moyenne de 26 jours, avec une élimination apparente de 2.4 ± 1.1 ml/kg/jour en moyenne.
-Toutes les études d'administration d'omalizumab chez le singe ont montré la présence de complexes d'anticorps IgEomalizumab circulants, sans pour autant qu'une réaction de complexes immuns puisse être détectée dans un organe quelconque (même dans les reins). Les complexes omalizumab-IgE ne peuvent pas se lier au complément ni développer de cytotoxicité dépendante du complément.
-Des anticorps dirigés contre l'omalizumab ont été détectés chez certains singes après administration sous-cutanée ou intraveineuse. Après l'administration d'une protéine hétérologue, on pouvait s'attendre à un tel effet. Certains animaux n'ont pas pu être évalués à cause de concentrations sériques d'omalizumab trop élevées, de taux d'IgE élevés, ou les deux à la fois. Pendant toute la durée du traitement lors de l'étude, les animaux ont présenté des concentrations sériques d'omalizumab élevées, et il n'y a pas eu de toxicité manifeste suite à la présence des anticorps antiomalizumab.
- +Toutes les études d'administration d'omalizumab chez le singe ont montré la présence de complexes d'anticorps IgEomalizumab circulants, sans pour autant qu'une réaction liée aux complexes immuns puisse être détectée dans un organe quelconque (même dans les reins). Les complexes omalizumab-IgE ne peuvent pas se lier au complément ni développer de cytotoxicité dépendante du complément.
- +Des anticorps dirigés contre l'omalizumab ont été détectés chez certains singes après administration sous-cutanée ou intraveineuse. Après l'administration d'une protéine hétérologue, on pouvait s'attendre à un tel effet. Certains animaux n'ont pas pu être évalués à cause de concentrations sériques d'omalizumab trop élevées, de taux d'IgE élevés, ou les deux à la fois. Pendant toute la durée du traitement lors de l'étude, les animaux ont cependant présenté des concentrations sériques d'omalizumab élevées, et il n'y a pas eu de toxicité manifeste suite à la présence des anticorps antiomalizumab.
-Toxicité à long terme (ou toxicité en cas d'administration répétée)
-Chez les singes (aussi bien adultes que juvéniles), l'administration à long terme de l'omalizumab à des doses allant jusqu'à 250 mg/kg (dose clinique maximale autorisée pour l'asthme ou l'UCS selon les recommandations: 15 mg/kg) a été bien tolérée, à l'exception d'une diminution dose-dépendante des plaquettes chez plusieurs primates ayant une concentration sérique généralement supérieure à la dose maximale d'exposition chez l'homme lors d'études cliniques pivots. Les singes juvéniles ont été plus sensibles aux effets sur les thrombocytes que les singes adultes. Par ailleurs, une hémorragie aiguë et une inflammation ont été observées au site d'injection chez le singe Cynomolgus. Ces événements sont liés à une réponse immune localisée en réponse à des administrations répétées d'une protéine hétérologue par voie sous-cutanée.
- +Toxicité à long terme (ou toxicité en administration répétée)
- +Chez les singes (aussi bien adultes que juvéniles), l'administration à long terme de l'omalizumab à des doses allant jusqu'à 250 mg/kg (dose clinique maximale autorisée pour l'asthme ou l'UCS selon les recommandations: 15 mg/kg) a été bien tolérée, à l'exception d'une diminution dose-dépendante des plaquettes chez plusieurs primates ayant une concentration sérique généralement supérieure à la dose maximale d'exposition chez l'homme lors des études cliniques pivots. Les singes juvéniles ont été plus sensibles aux effets sur les thrombocytes que les singes adultes. Par ailleurs, des hémorragies aiguës et des inflammations ont été observées au site d'injection chez le singe Cynomolgus. Ces événements correspondent à une réponse immune localisée en réponse à des administrations répétées d'une protéine hétérologue par voie sous-cutanée.
-Toxicité sur la reproduction
- +Toxicité pour la reproduction
-On ne dispose d'aucune donnée concernant l'influence de l'omalizumab sur la fertilité chez l'être humain. Au cours des études non cliniques spécialement conçues pour évaluer la fertilité, y compris des essais concernant l'accouplement, aucun trouble de la fertilité masculine ou féminine n'a été constaté après l'administration de doses répétées d'omalizumab allant jusqu'à 75 mg/kg.
- +On ne dispose d'aucune donnée concernant l'influence de l'omalizumab sur la fertilité chez l'être humain. Au cours des études non cliniques spécialement conçues pour évaluer la fertilité, y compris des essais concernant l'accouplement, aucun trouble de la fertilité mâle ou femelle n'a été constaté après l'administration de doses répétées d'omalizumab allant jusqu'à 75 mg/kg.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-La préparation ne contient pas de conservateur. La stabilité chimique et physique «in use» du produit reconstitué a été démontrée pendant 8 heures en cas de stockage au réfrigérateur (2–8 °C) et pendant 4 heures à 30 °C. Pour des raisons microbiologiques, la préparation prête à l'emploi devrait être utilisée immédiatement après la reconstitution. Si cela n'est pas possible, le délai d'utilisation et les conditions de stockage relèvent de la responsabilité de l'utilisateur mais, de manière générale, l'entreposage ne devrait pas dépasser 8 heures à une température comprise entre 2 et 8 °C et 2 heures à 25 °C, sauf si la reconstitution se déroule dans des conditions aseptiques contrôlées et validées.
- +La préparation ne contient pas de conservateur. La stabilité chimique et physique «in use» du produit reconstitué a été démontrée pendant 8 heures en cas de stockage au réfrigérateur (2–8 °C) et pendant 4 heures à 30 °C. Pour des raisons microbiologiques, la préparation prête à l'emploi doit être utilisée immédiatement après la reconstitution. Si cela n'est pas possible, le délai d'utilisation et les conditions de stockage relèvent de la responsabilité de l'utilisateur mais, de manière générale, l'entreposage ne devrait pas dépasser 8 heures à une température comprise entre 2 et 8 °C et 2 heures à 25 °C, sauf si la dilution/reconstitution se déroule dans des conditions aseptiques contrôlées et validées.
-La poudre Xolair 75 mg et 150 mg pour solution injectable est livrée dans un flacon à usage unique.
- +La poudre Xolair 75 mg et 150 mg pour solution injectable est livrée dans une ampoule perforable à usage unique.
-Conserver le récipient dans son carton pour le protéger de la lumière (et/ou de l'humidité).
-Conserver hors de portée des enfants.
- +Conserver dans l'emballage d'origine pour le protéger de la lumière (et/ou de l'humidité).
- +Tenir hors de portée des enfants.
-Il faut habituellement 15–20 minutes pour dissoudre totalement le produit lyophilisé, mais dans certains cas, cela peut prendre plus de temps. Le produit ainsi reconstitué est limpide ou légèrement opaque et il peut se former quelques petites bulles ou un peu de mousse à proximité du bord du flacon. Compte tenu de la légère viscosité du produit reconstitué, il faudra veiller à aspirer tout le produit contenu dans le flacon avant d'expulser les bulles d'air ou excédent de solution éventuellement présents dans la seringue afin d'obtenir la dose pleine de 0.6 ml, resp. 1.2 ml.
- +Il faut habituellement 15–20 minutes pour dissoudre totalement le produit lyophilisé, mais dans certains cas, cela peut prendre plus de temps. Le produit ainsi reconstitué est limpide ou légèrement opaque et il peut se former quelques petites bulles ou un peu de mousse à proximité du bord de l'ampoule perforable. Compte tenu de la légère viscosité du produit reconstitué, il faudra veiller à aspirer tout le produit contenu dans l'ampoule perforable avant d'expulser les bulles d'air ou excédent de solution éventuellement présents dans la seringue afin d'obtenir la dose pleine de 0.6 ml, resp. 1.2 ml.
-2.Le flacon contenant l'omalizumab placé bien droit sur une surface plate, insérer l'aiguille et transférer l'eau pour préparations injectables dans le flacon contenant la poudre lyophilisée dans des conditions aseptiques standard, en dirigeant l'eau pour préparations injectables directement sur la poudre.
-3.Tout en maintenant le flacon bien droit, déplacez-les en cercle (ne pas secouer) pendant 1 minute environ afin de mouiller la poudre de manière homogène.
-4.Pour favoriser la dissolution après l'étape 3, agiter doucement le flacon par rotation pendant 5 à 10 secondes environ toutes les 5 minutes afin de dissoudre les résidus solides éventuels.* A noter que dans certains cas, il faudra plus de 20 minutes pour parvenir à la dissolution complète de la poudre. Dans ce cas, répéter l'étape 4 jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de particules gélatineuses visibles dans la solution.Lorsque le produit est complètement dissous, il ne doit y avoir aucune particule gélatineuse visible dans la solution. La présence de petites bulles ou de mousse à proximité du bord du flacon est courante. Le produit reconstitué a un aspect limpide ou légèrement opaque. Ne pas utiliser en présence de corps étrangers.
-5.Retourner le flacon pendant au moins 15 secondes afin de permettre à la solution de s'écouler vers le bouchon. Prendre une nouvelle seringue de 2 ou 5 ml munie d'une aiguille de calibre 18 et insérer l'aiguille dans le flacon retourné. Tout en maintenant le flacon retourné, placer l'extrémité de l'aiguille au niveau le plus bas de la solution dans le flacon pendant l'aspiration de la solution dans la seringue. Avant de retirer l'aiguille du flacon, tirer le piston jusqu'au bout du corps de la seringue pour aspirer toute la solution contenue dans le flacon retourné.
- +2.L'ampoule perforable contenant l'omalizumab placé bien droite sur une surface plate, insérer l'aiguille et transférer l'eau pour préparations injectables dans l'ampoule perforable contenant la poudre lyophilisée dans des conditions aseptiques standard, en dirigeant l'eau pour préparations injectables directement sur la poudre.
- +3.Tout en maintenant l'ampoule perforable bien droite, l'agiter énergiquement par rotation (ne pas secouer) pendant 1 minute environ afin de mouiller la poudre de manière homogène.
- +4.Pour favoriser la dissolution après l'étape 3, agiter doucement le flacon par rotation pendant 5 à 10 secondes environ toutes les 5 minutes afin de dissoudre les résidus solides éventuels.* A noter que dans certains cas, il faudra plus de 20 minutes pour parvenir à la dissolution complète de la poudre. Dans ce cas, répéter l'étape 4 jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de particules gélatineuses visibles dans la solution.Lorsque le produit est complètement dissous, il ne doit y avoir aucune particule gélatineuse visible dans la solution. La présence de petites bulles ou de mousse à proximité du bord de l'ampoule perforable est courante. Le produit reconstitué a un aspect limpide ou légèrement opaque. Ne pas utiliser en présence de corps étrangers.
- +5.Retourner l'ampoule perforable pendant au moins 15 secondes afin de permettre à la solution de s'écouler vers le bouchon. Prendre une nouvelle seringue de 2 ou 5 ml munie d'une aiguille de calibre 18 et insérer l'aiguille dans l'ampoule perforable retournée. Tout en maintenant le flacon retourné, placer l'extrémité de l'aiguille au niveau le plus bas de la solution dans le flacon pendant l'aspiration de la solution dans la seringue. Avant de retirer l'aiguille du flacon, tirer le piston jusqu'au bout du corps de la seringue pour aspirer toute la solution contenue dans l'ampoule perforable retournée.
-7.Expulser l'air, les grosses bulles et tout excédent éventuel de solution afin d'obtenir la dose requise de 0.6 ml (75 mg), resp. 1.2 ml (150 mg). Il est possible qu'une fine couche de petites bulles demeure en haut de la solution dans la seringue. Comme la solution est légèrement visqueuse, l'administration de la solution par injection sous-cutanée peut prendre 5 à 10 secondes. Le flacon délivre 0.6 ml (75 mg), resp. 1.2 ml (150 mg), de Xolair.Pour administrer une dose de 75 mg, il est également possible de prélever 0.6 ml de solution d'un flacon de 150 mg dans la seringue et de jeter le reste.
- +7.Expulser l'air, les grosses bulles et tout excédent éventuel de solution afin d'obtenir la dose requise de 0.6 ml (75 mg), resp. 1.2 ml (150 mg). Il est possible qu'une fine couche de petites bulles demeure en haut de la solution dans la seringue. Comme la solution est légèrement visqueuse, l'administration de la solution par injection sous-cutanée peut prendre 5 à 10 secondes. L'ampoule perforable délivre 0.6 ml (75 mg), resp. 1.2 ml (150 mg), de Xolair.Pour administrer une dose de 75 mg, il est également possible de prélever 0.6 ml de solution d'une ampoule perforable de 150 mg dans la seringue et de jeter le reste.
-1 flacon de 75 mg d'omalizumab avec 1 flacon de solvant de 2 ml. [B]
-1 flacon de 150 mg d'omalizumab avec 1 flacon de solvant de 2 ml. [B]
- +1 ampoule perforable de 75 mg d'omalizumab avec 1 flacon de solvant de 2 ml. [B]
- +1 ampoule perforable de 150 mg d'omalizumab avec 1 flacon de solvant de 2 ml. [B]
-Avril 2021
- +Mars 2025
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