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Accueil - Information professionnelle sur Fluimucil Grippe Day & Night - Changements - 31.07.2019
114 Changements de l'information professionelle Fluimucil Grippe Day & Night
  • -La dose quotidienne maximale de 4 comprimés effervescents en total ne doit pas être dépassée. Afin d’éviter tout risque de surdosage, il faut s’assurer que les médicaments pris simultanément ne contiennent pas de paracétamol.
  • +La dose quotidienne maximale de 4 comprimés effervescents en total ne doit pas être dépassée. Afin d'éviter tout risque de surdosage, il faut s'assurer que les médicaments pris simultanément ne contiennent pas de paracétamol.
  • -1 comprimé effervescent trois fois par jour (matin, midi, après-midi). Observer un intervalle d’au moins 4 heures entre une prise et l’autre.
  • +1 comprimé effervescent trois fois par jour (matin, midi, après-midi). Observer un intervalle d'au moins 4 heures entre une prise et l'autre.
  • -Dissoudre 1 comprimé effervescent dans un verre d’eau (froide ou chaude) et le prendre.
  • +Dissoudre 1 comprimé effervescent dans un verre d'eau (froide ou chaude) et le prendre.
  • -Le poids minimum des patients > 12 ans doit être respecté.
  • +Le poids minimum des patients >12 ans doit être respecté.
  • -Aucune étude spéciale n’a été menée sur des patients âgés. L’expérience montre que la dose de pseudoéphédrine normale pour adultes est adéquate bien que les patients âgés peuvent réagir aux amines sympathomimétiques telles que la pseudoéphédrine en présentant une sensibilité.
  • +Aucune étude spéciale n'a été menée sur des patients âgés. L'expérience montre que la dose normale de pseudoéphédrine chez l'adulte est appropriée, bien que les patients plus âgés puissent être sensibles aux amines sympathomimétiques comme la pseudoéphédrine.
  • -Chez les patients ayant une maladie hépatique chronique ou compensée active, en particulier une insuffisance hépatocellulaire, alcoolisme chronique, déficit d’alimentation chronique (faibles réserves de glutathion hépatique) ou déshydratation, le paracétamol devrait être administré avec prudence (cf. aussi « Contre-indications » et « Mises en garde et précautions » et « Pharmacocinétique »).
  • +Chez les patients ayant une maladie hépatique chronique ou compensée active, en particulier une insuffisance hépatocellulaire, alcoolisme chronique, déficit d'alimentation chronique (faibles réserves de glutathion hépatique) ou déshydratation, le paracétamol devrait être administré avec prudence (cf. aussi «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»).
  • -Chez les patients atteints de troubles graves de la fonction rénale, l’intervalle minimal entre les prises doit être adapté conformément au tableau suivant.
  • +Chez les patients atteints de troubles graves de la fonction rénale, l'intervalle minimal entre les prises doit être adapté conformément au tableau suivant.
  • -cl ³ 50 ml/min 4 heures
  • +cl ≥50 ml/min 4 heures
  • -Hypersensibilité à l’acétylcystéine, au paracétamol et aux substances apparentées (p. ex. propacetamol), au chlorhydrate de pseudoéphédrine, au maléate de chlorphénamine ou à l’un des autres excipients du médicament.
  • +Hypersensibilité à l'acétylcystéine, au paracétamol et aux substances apparentées (p.ex. propacetamol), au chlorhydrate de pseudoéphédrine, au maléate de chlorphénamine ou à l'un des autres excipients du médicament.
  • -Ulcère peptique actif; glaucome à angle fermé; troubles mictionnels, par exemple liés à un adénome de la prostate avancé; crise d’asthme bronchique aiguë.
  • +Ulcère peptique actif; glaucome à angle fermé; troubles mictionnels, par exemple liés à un adénome de la prostate avancé; crise d'asthme bronchique aiguë.
  • -Le traitement concomitant par des antitussifs à action centrale ne présente pas d’utilité médicale (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Le traitement concomitant par des antitussifs à action centrale ne présente pas d'utilité médicale (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Une consultation médicale est nécessaire avant le début du traitement dans les cas suivants :
  • -§insuffisance rénale (clairance de la créatinine <50 ml/min)
  • -§insuffisance hépatique
  • -§carence en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (peut entraîner une anémie hémolytique)
  • -§utilisation simultanée de médicaments potentiellement hépatotoxiques ou d’inducteurs d’enzymes hépatiques
  • -Les dosages dépassant la posologie recommandée présentent le risque d’endommager très gravement le foie. Les symptômes cliniques d’une lésion hépatique surviennent généralement 1 à 2 jours après le surdosage de paracétamol. Une lésion hépatique maximale s’observe généralement après 3 à 4 jours. Le traitement avec un antidote doit débuter dès que possible (cf. « Surdosage »).
  • -Le paracétamol et l’acétylcystéine peuvent entraîner des réactions cutanées graves comme un syndrome de Stevens-Johnson (SJS) et une nécrolyse épidermique toxique (NET), qui peuvent entraîner le décès. Les patients doivent être informés des symptômes des réactions cutanées graves, et l’utilisation du médicament doit être interrompue dès la première apparition de réactions cutanées ou d’autres signes d’hypersensibilité.
  • -Comme toutes les amines sympathomimétiques, la pseudoéphédrine doit être utilisée avec prudence chez les patients atteints d’hypertension, d’affections cardiocirculatoires, présentant une prédisposition au glaucome, souffrant d’hypertrophie de la prostate et de diabète sucré.
  • +Une consultation médicale est nécessaire avant le début du traitement dans les cas suivants:
  • +·Insuffisance rénale (clairance de la créatinine <50 ml/min)
  • +·Insuffisance hépatique
  • +·Carence en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (peut entraîner une anémie hémolytique)
  • +·Utilisation simultanée de médicaments potentiellement hépatotoxiques ou d'inducteurs d'enzymes hépatiques
  • +Les dosages dépassant la posologie recommandée présentent le risque d'endommager très gravement le foie. Les symptômes cliniques d'une lésion hépatique surviennent généralement 1 à 2 jours après le surdosage de paracétamol. Une lésion hépatique maximale s'observe généralement après 3 à 4 jours. Le traitement avec un antidote doit débuter dès que possible (cf. «Surdosage»).
  • +Le paracétamol et la pseudoéphédrine peuvent entraîner des réactions cutanées graves telles que la pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG). Le paracétamol et l'acétylcystéine peuvent entraîner des réactions cutanées graves comme un syndrome de Stevens-Johnson (SJS) et une nécrolyse épidermique toxique (NET), qui peuvent entraîner le décès.
  • +En cas de PEAG l'éruption pustuleuse aiguë peut survenir dans les 2 premiers jours de traitement, avec de la fièvre et de nombreuses petites pustules non folliculaires survenant sur un érythème Å“démateux étendu, et principalement localisée au niveau des plis cutanés, sur le tronc et les membres supérieurs. Les patients doivent être surveillés attentivement. Les patients doivent être informés des symptômes des réactions cutanées graves, tels que fièvre, érythème ou petites pustules, et l'utilisation du médicament doit être interrompue dès la première apparition de réactions cutanées ou d'autres signes d'hypersensibilité et des mesures appropriées doivent être prises si nécessaire.
  • +Comme toutes les amines sympathomimétiques, la pseudoéphédrine doit être utilisée avec prudence chez les patients atteints d'hypertension, d'affections cardio-circulatoires, présentant une prédisposition au glaucome, souffrant d'hypertrophie de la prostate et de diabète sucré.
  • -Comme tous les antihistaminiques de la première génération, la chlorphénamine doit être utilisée avec prudence chez les patients atteints d’asthme, de bronchoconstriction, d’insuffisance respiratoire (emphysème, bronchite chronique), de prédisposition au glaucome, souffrant d’hypertrophie de la prostate, d’état suite à un ulcère gastrique ainsi que de sténose du pylore.
  • -La chlorphénamine peut provoquer de la somnolence et, par conséquent, diminuer la capacité de réaction; cet effet peut être potentialisé par l’alcool.
  • -La prudence est de rigueur en cas de consommation excessive d’alcool. Celui-ci peut potentialiser l’hépatotoxicité du paracétamol, en particulier en cas de carence alimentaire concomitante. Dans ces cas, une dose thérapeutique de paracétamol peut déjà provoquer une lésion hépatique.
  • -Chez les patients ayant une réserve réduite de glutathion, p. ex. en cas de sepsis, l’utilisation de paracétamol peut augmenter le risque d’une acidose métabolique.
  • -L’acétylcystéine administrée oralement peut déclencher des vomissements. Par conséquent, la prudence s’impose chez les patients présentant un risque d’hémorragies gastro-intestinales (par exemple en cas d’ulcère peptique latent ou de varices oesophagiennes).
  • -L'utilisation de l'acétylcystéine peut, en particulier au début du traitement, conduire à la liquéfaction des sécrétions bronchiques et favoriser l'expectoration. Si le patient n’est pas en mesure de suffisamment les expectorer, il est possible de le soutenir avec un drainage de posture et une aspiration bronchique.
  • -L’administration simultanée d’un antitussif à action centrale avec de l’acétylcystéine peut, par l’inhibition du réflexe de la toux et de l’autonettoyage physiologique des voies respiratoires, entraîner un encombrement du mucus avec risque de bronchospasme et d’infection des voies respiratoires (cf. «Contre-indications»).
  • -À cause du risque de bronchospasmes, la prudence s’impose également lors de l’administration d’acétylcystéine chez les patients atteints d’asthme bronchique et d’un système bronchique hyperréactif.
  • -Lors de l'apparition de réactions d'hypersensibilité ou d’un bronchospasme, il faut interrompre immédiatement la prise du médicament et prendre, le cas échéant, des mesures appropriées.
  • +Comme tous les antihistaminiques de la première génération, la chlorphénamine doit être utilisée avec prudence chez les patients atteints d'asthme, de bronchoconstriction, d'insuffisance respiratoire (emphysème, bronchite chronique), de prédisposition au glaucome, souffrant d'hypertrophie de la prostate, d'état suite à un ulcère gastrique ainsi que de sténose du pylore.
  • +La chlorphénamine peut provoquer de la somnolence et, par conséquent, diminuer la capacité de réaction; cet effet peut être potentialisé par l'alcool.
  • +La prudence est de rigueur en cas de consommation excessive d'alcool. Celui-ci peut potentialiser l'hépatotoxicité du paracétamol, en particulier en cas de carence alimentaire concomitante. Dans ces cas, une dose thérapeutique de paracétamol peut déjà provoquer une lésion hépatique.
  • +Chez les patients ayant une réserve réduite de glutathion, p.ex. en cas de sepsis, l'utilisation de paracétamol peut augmenter le risque d'une acidose métabolique.
  • +L'acétylcystéine administrée oralement peut déclencher des vomissements. Par conséquent, la prudence s'impose chez les patients présentant un risque d'hémorragies gastro-intestinales (par exemple en cas d'ulcère peptique latent ou de varices Å“sophagiennes).
  • +L'utilisation de l'acétylcystéine peut, en particulier au début du traitement, conduire à la liquéfaction des sécrétions bronchiques et favoriser l'expectoration. Si le patient n'est pas en mesure de suffisamment les expectorer, il est possible de le soutenir avec un drainage de posture et une aspiration bronchique.
  • +L'administration simultanée d'un antitussif à action centrale avec de l'acétylcystéine peut, par l'inhibition du réflexe de la toux et de l'autonettoyage physiologique des voies respiratoires, entraîner un encombrement du mucus avec risque de bronchospasme et d'infection des voies respiratoires (cf. «Contre-indications»).
  • +À cause du risque de bronchospasmes, la prudence s'impose également lors de l'administration d'acétylcystéine chez les patients atteints d'asthme bronchique et d'un système bronchique hyperréactif.
  • +Lors de l'apparition de réactions d'hypersensibilité ou d'un bronchospasme, il faut interrompre immédiatement la prise du médicament et prendre, le cas échéant, des mesures appropriées.
  • -Des études sur les interactions n’ont été menées que chez des adultes.
  • -L’utilisation de charbon actif peut diminuer l’effet de l’acétylcystéine.
  • -Les rapports concernant une inactivation des antibiotiques (tétracyclines, aminoglycosides, pénicillines) par l’acétylcystéine concernent jusqu’à présent exclusivement des tests in vitro au cours desquels les molécules concernées ont été mélangées directement. Néanmoins, pour des raisons de sécurité, l’administration orale d’antibiotiques doit être séparée en respectant un intervalle de deux heures au moins.
  • -Lors d’administration concomitante de trinitrate de glycéryle, l’effet vasodilatateur et inhibant l’agrégation des thrombocytes peut être potentialisé.
  • +Des études sur les interactions n'ont été menées que chez des adultes.
  • +L'utilisation de charbon actif peut diminuer l'effet de l'acétylcystéine.
  • +Les rapports concernant une inactivation des antibiotiques (tétracyclines, aminoglycosides, pénicillines) par l'acétylcystéine concernent jusqu'à présent exclusivement des tests in vitro au cours desquels les molécules concernées ont été mélangées directement. Néanmoins, pour des raisons de sécurité, l'administration orale d'antibiotiques doit être séparée en respectant un intervalle de deux heures au moins.
  • +Lors d'administration concomitante de trinitrate de glycéryle, l'effet vasodilatateur et inhibant l'agrégation des thrombocytes peut être potentialisé.
  • -Les médicaments inducteurs d’enzymes comme le phénobarbital, la phénytoïne, la carbamazépine, l’hydrazide de l’acide isonicotinique (isoniazide, HIN) et la rifampicine aggravent l’hépatotoxicité du paracétamol.
  • +Les médicaments inducteurs d'enzymes comme le phénobarbital, la phénytoïne, la carbamazépine, l'hydrazide de l'acide isonicotinique (isoniazide, HIN) et la rifampicine aggravent l'hépatotoxicité du paracétamol.
  • -Les préparations qui ralentissent la vidange gastrique (p. ex. propanthéline) diminuent la vitesse d’absorption.
  • -Les préparations qui accélèrent la vidange gastrique (p. ex. métoclopramide) augmentent la vitesse d’absorption.
  • -Chloramphénicol: la demi-vie d’élimination du chloramphénicol est allongée de cinq fois par le paracétamol.
  • -Chlorzoxazone : l’administration concomitante de paracétamol et de chlorzoxazone majore l’hépatotoxicité des deux substances.
  • -Zidovudine: le risque d’une neutropénie se trouve renforcé par une administration simultanée de zidovudine et de paracétamol.
  • -Salicylamide : allonge la demi-vie d’élimination du paracétamol et accroît la formation de métabolites hépatotoxiques.
  • -Probénécide inhibe la conjugaison du paracétamol à l’acide glucuronique, d’où une clairance réduite du paracétamol. En cas d’administration concomitante de ces deux produits, la dose de paracétamol doit être diminuée.
  • -Cholestyramine réduit l’absorption du paracétamol.
  • -L’effet anticoagulant de la warfarine et des autres coumarines peut être renforcé en cas d’utilisation quotidienne prolongée de paracétamol et ainsi augmenter le risque de saignements. Des prises occasionnelles n’ont pas d’effet significatif. Il n’existe pas de données concernant l’interaction entre le paracétamol et les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban, apixaban).
  • +Les préparations qui ralentissent la vidange gastrique (p.ex. propanthéline) diminuent la vitesse d'absorption.
  • +Les préparations qui accélèrent la vidange gastrique (p.ex. métoclopramide) augmentent la vitesse d'absorption.
  • +Chloramphénicol: la demi-vie d'élimination du chloramphénicol est allongée de cinq fois par le paracétamol.
  • +Chlorzoxazone: l'administration concomitante de paracétamol et de chlorzoxazone majore l'hépatotoxicité des deux substances.
  • +Zidovudine: le risque d'une neutropénie se trouve renforcé par une administration simultanée de zidovudine et de paracétamol.
  • +Salicylamide: allonge la demi-vie d'élimination du paracétamol et accroît la formation de métabolites hépatotoxiques.
  • +Probénécide inhibe la conjugaison du paracétamol à l'acide glucuronique, d'où une clairance réduite du paracétamol. En cas d'administration concomitante de ces deux produits, la dose de paracétamol doit être diminuée.
  • +Cholestyramine réduit l'absorption du paracétamol.
  • +L'effet anticoagulant de la warfarine et des autres coumarines peut être renforcé en cas d'utilisation quotidienne prolongée de paracétamol et ainsi augmenter le risque de saignements. Des prises occasionnelles n'ont pas d'effet significatif. Il n'existe pas de données concernant l'interaction entre le paracétamol et les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban, apixaban).
  • -Un traitement concomitant par les inhibiteurs de la MAO qui peuvent causer une potentialisation de l’effet de la pseudoéphédrine devrait être évité.
  • +Un traitement concomitant par les inhibiteurs de la MAO qui peuvent causer une potentialisation de l'effet de la pseudoéphédrine devrait être évité.
  • -L’absorption de pseudoéphédrine dans le tractus gastro-intestinal peut être augmentée par l’administration concomitante d’hydroxyde d’aluminium.
  • +L'absorption de pseudoéphédrine dans le tractus gastro-intestinal peut être augmentée par l'administration concomitante d'hydroxyde d'aluminium.
  • -L’interaction entre la chlorphénamine et la phénytoïne (antiépileptique) se traduit par une élévation de la tension artérielle. Une crise hypertensive peut survenir en cas d’association à un inhibiteur de la MAO (cf. «Contre-indications»). La chlorphénamine peut potentialiser l’effet de la procarbazine et diminuer l’effet de la bétahistine et des corticostéroïdes. Il faut s’attendre à un effet potentialisé lors de l’administration concomitante d’un calmant à action centrale (barbituriques, benzodiazépines, clonidine, dérivés de la morphine, etc.). L’atropine et les autres substances semblables à l’atropine (antidépresseurs tricycliques, antiparkinsoniens et spasmolytiques du type anticholinergique, etc.) potentialisent les effets secondaires anticholinergiques (cf. «Effets indésirables»).
  • -L’alcool peut potentialiser l’effet sédatif du maléate de chlorphénamine. La consommation d’alcool est par conséquent déconseillée durant le traitement.
  • +L'interaction entre la chlorphénamine et la phénytoïne (antiépileptique) se traduit par une élévation de la tension artérielle. Une crise hypertensive peut survenir en cas d'association à un inhibiteur de la MAO (cf. «Contre-indications»). La chlorphénamine peut potentialiser l'effet de la procarbazine et diminuer l'effet de la bétahistine et des corticostéroïdes. Il faut s'attendre à un effet potentialisé lors de l'administration concomitante d'un calmant à action centrale (barbituriques, benzodiazépines, clonidine, dérivés de la morphine, etc.). L'atropine et les autres substances semblables à l'atropine (antidépresseurs tricycliques, antiparkinsoniens et spasmolytiques du type anticholinergique, etc.) potentialisent les effets secondaires anticholinergiques (cf. «Effets indésirables»).
  • +L'alcool peut potentialiser l'effet sédatif du maléate de chlorphénamine. La consommation d'alcool est par conséquent déconseillée durant le traitement.
  • -Les études de reproduction chez l’animal avec du paracétamol et de l’acétylcystéine n’ont mis en évidence de risque fÅ“tal, mais on ne dispose pas d’études contrôlées chez la femme enceinte.
  • -On ne dispose pas d’informations suffisantes sur la toxicité de reproduction du chlorhydrate de pseudoéphédrine chez les animaux. Le chlorhydrate de pseudoéphédrine traverse la barrière placentaire. Le chlorhydrate de pseudoéphédrine ne devrait pas être utilisé pendant la grossesse (en particulier au cours des 3 premiers mois) à cause de son effet vasoconstricteur.
  • -On ne dispose pas d’informations suffisantes sur la toxicité de reproduction du maléate de chlorphénamine chez les animaux. Il n’est pas exclu que le maléate de chlorphénamine puisse causer des effets indésirables sévères, comme par exemple des convulsions chez le fÅ“tus et chez le nouveau-né.
  • -On ne dispose pas d’études contrôlées chez la femme enceinte pour les principes actifs pris séparément et on ne dispose pas d’expérience quant à leur administration concomitante chez la femme enceinte.
  • +Les études de reproduction chez l'animal avec du paracétamol et de l'acétylcystéine n'ont mis en évidence de risque fÅ“tal, mais on ne dispose pas d'études contrôlées chez la femme enceinte.
  • +On ne dispose pas d'informations suffisantes sur la toxicité de reproduction du chlorhydrate de pseudoéphédrine chez les animaux. Le chlorhydrate de pseudoéphédrine traverse la barrière placentaire. Le chlorhydrate de pseudoéphédrine ne devrait pas être utilisé pendant la grossesse (en particulier au cours des 3 premiers mois) à cause de son effet vasoconstricteur.
  • +On ne dispose pas d'informations suffisantes sur la toxicité de reproduction du maléate de chlorphénamine chez les animaux. Il n'est pas exclu que le maléate de chlorphénamine puisse causer des effets indésirables sévères, comme par exemple des convulsions chez le fÅ“tus et chez le nouveau-né.
  • +On ne dispose pas d'études contrôlées chez la femme enceinte pour les principes actifs pris séparément et on ne dispose pas d'expérience quant à leur administration concomitante chez la femme enceinte.
  • -Le paracétamol, le chlorhydrate de pseudoéphédrine et la chlorphénamine passent dans le lait maternel. L’antihistaminique maléate de chlorphénamine peut entraîner des effets secondaires potentiellement sévères chez le nourrisson.
  • -On ne sait pas si l’acétylcystéine passe dans le lait maternel.
  • -Le médicament ne doit pas être pris pendant la période d’allaitement. En cas d’indication urgente, la mère doit cesser d’allaiter.
  • +Le paracétamol, le chlorhydrate de pseudoéphédrine et la chlorphénamine passent dans le lait maternel. L'antihistaminique maléate de chlorphénamine peut entraîner des effets secondaires potentiellement sévères chez le nourrisson.
  • +On ne sait pas si l'acétylcystéine passe dans le lait maternel.
  • +Le médicament ne doit pas être pris pendant la période d'allaitement. En cas d'indication urgente, la mère doit cesser d'allaiter.
  • -Le maléate de chlorphénamine peut entraîner de la somnolence et diminuer la capacité de réaction. Par conséquent, la prudence s’impose chez les patients qui participent au trafic routier ou qui utilisent des machines. En cas de doute, il faut renoncer à effectuer de telles activités. La consommation d’alcool concomitante peut entraîner une potentialisation considérable de cet effet.
  • +Le maléate de chlorphénamine peut entraîner de la somnolence et diminuer la capacité de réaction. Par conséquent, la prudence s'impose chez les patients qui participent au trafic routier ou qui utilisent des machines. En cas de doute, il faut renoncer à effectuer de telles activités. La consommation d'alcool concomitante peut entraîner une potentialisation considérable de cet effet.
  • -Dans une étude clinique menée sur des patients atteints de refroidissement et d’affections grippales, les effets indésirables de Fluimucil Grippe Day & Night les plus fréquemment survenus sous cette médication étaient la sédation et la somnolence (6,7%) ainsi que des troubles gastro-intestinaux (6,7%).
  • -Lors de l’évaluation des effets indésirables, les fréquences suivantes ont été utilisées: très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100 à <1/10); occasionnel (≥1/1’000 à <1/100); rare (≥1/10’000 à <1/1’000); très rare (<1/10’000).
  • +Dans une étude clinique menée sur des patients atteints de refroidissement et d'affections grippales, les effets indésirables de Fluimucil Grippe Day & Night les plus fréquemment survenus sous cette médication étaient la sédation et la somnolence (6,7%) ainsi que des troubles gastro-intestinaux (6,7%).
  • +Lors de l'évaluation des effets indésirables, les fréquences suivantes ont été utilisées: très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100 à <1/10); occasionnel (≥1/1'000 à <1/100); rare (≥1/10'000 à <1/1'000); très rare (<1/10'000).
  • -Rare: thrombopénie de nature allergique (parfois avec formation d’épanchements sanguins et d’hémorragies), leucopénie, agranulocytose, pancytopénie, neutropénie, anémie hémolytique (paracétamol).
  • +Rare: thrombopénie de nature allergique (parfois avec formation d'épanchements sanguins et d'hémorragies), leucopénie, agranulocytose, pancytopénie, neutropénie, anémie hémolytique (paracétamol).
  • -Différentes études confirment une diminution de l’agrégation thrombocytaire pendant l’utilisation de l’acétylcystéine. La signification clinique de ce phénomène est jusqu’à présent peu claire.
  • +Différentes études confirment une diminution de l'agrégation thrombocytaire pendant l'utilisation de l'acétylcystéine. La signification clinique de ce phénomène est jusqu'à présent peu claire.
  • -Rare: anaphylaxie, réactions allergiques telles que l’œdème de Quincke (angioedème), difficultés respiratoires, bronchospasme, accès de sueur, nausées, chute de la tension jusqu’à l’état de choc (paracétamol).
  • -Rare: une petite partie (5-10%) des patients souffrant d’asthme induit par l’acide acétylsalicylique ou d’autres manifestations d’une intolérance à l’acide acétylsalicylique peuvent réagir de même au paracétamol (asthme analgésique).
  • +Rare: anaphylaxie, réactions allergiques telles que l'Å“dème de Quincke (angiÅ“dème), difficultés respiratoires, bronchospasme, accès de sueur, nausées, chute de la tension jusqu'à l'état de choc (paracétamol).
  • +Rare: une petite partie (5-10%) des patients souffrant d'asthme induit par l'acide acétylsalicylique ou d'autres manifestations d'une intolérance à l'acide acétylsalicylique peuvent réagir de même au paracétamol (asthme analgésique).
  • -Fréquent: sédation, somnolence, perturbation de l’attention (chlorphénamine).
  • +Fréquent: sédation, somnolence, perturbation de l'attention (chlorphénamine).
  • -Occasionnel: effets anticholinergiques, comme p. ex. trouble de l’accommodation, glaucome (chlorphénamine).
  • -Affections de l’oreille et du labyrinthe
  • +Occasionnel: effets anticholinergiques, comme p.ex. trouble de l'accommodation, glaucome (chlorphénamine).
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • -Chez les patients prédisposés, une hypersensibilité à l’acétylcystéine qui se manifeste sous forme de réactions des organes respiratoires peut survenir, et chez les patients présentant un système bronchique hyperréactif, des bronchospasmes peuvent se manifester en cas d’asthme bronchique (cf. «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Chez les patients prédisposés, une hypersensibilité à l'acétylcystéine qui se manifeste sous forme de réactions des organes respiratoires peut survenir, et chez les patients présentant un système bronchique hyperréactif, des bronchospasmes peuvent se manifester en cas d'asthme bronchique (cf. «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Occasionnel: réactions cutanées érythémateuses, urticariennes et rougeurs cutanées (paracétamol); urticaire, rash, angioedème, prurit (acétylcystéine).
  • -Très rare: pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) (paracétamol), nécrolyse épidermique toxique (NET, syndrome de Lyell), syndrome de Stevens-Johnson (SJS) (paracétamol, acétylcystéine).
  • +Occasionnel: réactions cutanées érythémateuses, urticariennes et rougeurs cutanées (paracétamol); urticaire, rash, angiÅ“dème, prurit (acétylcystéine).
  • +Très rare: pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) (paracétamol, pseudoéphédrine), syndrome de Stevens-Johnson (SJS), nécrolyse épidermique toxique (NET, syndrome de Lyell) (paracétamol, acétylcystéine).
  • -Occasionnel: effets anticholinergiques, comme p. ex. trouble mictionnel (chlorphénamine).
  • -Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • +Occasionnel: effets anticholinergiques, comme p.ex. trouble mictionnel (chlorphénamine).
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -L’air expiré peut temporairement – vraisemblablement à cause de la libération de sulfure d’hydrogène du principe actif acétylcystéine – avoir une odeur désagréable.
  • +L'air expiré peut temporairement – vraisemblablement à cause de la libération de sulfure d'hydrogène du principe actif acétylcystéine – avoir une odeur désagréable.
  • -Avec les formulations orales de l’acétylcystéine, aucun cas de surdosage toxique n’a été rapporté jusqu’à maintenant. Des volontaires sains ont été traités pendant 3 mois par 11,2 g d’acétylcystéine par jour sans apparition d’effets indésirables sévères. Des doses orales allant jusqu’à 500 mg d’acétylcystéine par kg de poids corporel ont été supportées sans manifestations de toxicité.
  • +Avec les formulations orales de l'acétylcystéine, aucun cas de surdosage toxique n'a été rapporté jusqu'à maintenant. Des volontaires sains ont été traités pendant 3 mois par 11,2 g d'acétylcystéine par jour sans apparition d'effets indésirables sévères. Des doses orales allant jusqu'à 500 mg d'acétylcystéine par kg de poids corporel ont été supportées sans manifestations de toxicité.
  • -En cas de surdosage, une prise en charge médicale immédiate est nécessaire, même en l’absence de symptômes.
  • -Après la prise orale de 7,5 à 10 g de paracétamol chez l’adulte et de 140 à 200 mg/kg poids corporel chez l’enfant (déjà à faibles doses chez les patients prédisposés, comme p. ex. ceux dont la consommation d’alcool est excessive ou dont la réserve de glutathion est réduite du fait d’une carence alimentaire), des symptômes d’intoxication aiguë des cellules du foie et des tubules rénaux se manifestent sous la forme de nécroses cellulaires menaçant le pronostic vital.
  • -Des concentrations plasmatiques de >200 mg/l après 4 h, de >100 mg/l après 8 h, de >50 mg/l après 12 h et de >30 mg/l après 15 h entrainent des lésions hépatiques à issue fatale par coma hépatique. L’hépatotoxicité dépend directement de la concentration plasmatique.
  • -Les premiers signes de symptômes cliniques d’une lésion hépatique surviennent généralement après 1 à 2 jours, atteignant leur maximum en 3 à 4 jours.
  • +En cas de surdosage, une prise en charge médicale immédiate est nécessaire, même en l'absence de symptômes.
  • +Après la prise orale de 7,5 à 10 g de paracétamol chez l'adulte et de 140 à 200 mg/kg poids corporel chez l'enfant (déjà à faibles doses chez les patients prédisposés, comme p.ex. ceux dont la consommation d'alcool est excessive ou dont la réserve de glutathion est réduite du fait d'une carence alimentaire), des symptômes d'intoxication aiguë des cellules du foie et des tubules rénaux se manifestent sous la forme de nécroses cellulaires menaçant le pronostic vital.
  • +Des concentrations plasmatiques de >200 mg/l après 4 h, de >100 mg/l après 8 h, de >50 mg/l après 12 h et de >30 mg/l après 15 h entrainent des lésions hépatiques à issue fatale par coma hépatique. L'hépatotoxicité dépend directement de la concentration plasmatique.
  • +Les premiers signes de symptômes cliniques d'une lésion hépatique surviennent généralement après 1 à 2 jours, atteignant leur maximum en 3 à 4 jours.
  • -1ère phase (= 1er jour): nausées, vomissements, douleurs abdominales, manque d’appétit, sentiment général de malaise, pâleur, transpiration.
  • +1ère phase (= 1er jour): nausées, vomissements, douleurs abdominales, manque d'appétit, sentiment général de malaise, pâleur, transpiration.
  • -Un traitement efficace doit être instauré sans délai dès qu’une intoxication est suspectée. Il comprend les mesures suivantes: lavage gastrique (utile seulement dans les 1 à 2 premières heures); puis administration de charbon actif. Administration orale de N-acétylcystéine ou de méthionine. Dans les situations dans lesquelles l’administration de l’antidote par voie orale n’est pas réalisable ou difficile (p. ex. en raison de vomissements violents, de troubles de la conscience), celle-ci peut avoir lieu par voie intraveineuse, si possible dans l’espace de 8 heures. La Nacétylcystéine peut encore apporter une certaine protection après 16 heures. Détermination de la concentration plasmatique de paracétamol (pas plus tôt que 4 heures après l’administration).
  • +Un traitement efficace doit être instauré sans délai dès qu'une intoxication est suspectée. Il comprend les mesures suivantes: lavage gastrique (utile seulement dans les 1 à 2 premières heures); puis administration de charbon actif. Administration orale de N-acétylcystéine ou de méthionine. Dans les situations dans lesquelles l'administration de l'antidote par voie orale n'est pas réalisable ou difficile (p.ex. en raison de vomissements violents, de troubles de la conscience), celle-ci peut avoir lieu par voie intraveineuse, si possible dans l'espace de 8 heures. La N-acétylcystéine peut encore apporter une certaine protection après 16 heures. Détermination de la concentration plasmatique de paracétamol (pas plus tôt que 4 heures après l'administration).
  • -Symptômes: un surdosage de pseudoéphédrine peut entraîner des sensations d’angoisse, de la tachycardie, des troubles du rythme cardiaque ou de l’hypertension. Les patients âgés peuvent réagir aux amines sympathomimétiques de façon très sensible. Un surdosage peut déclencher des hallucinations ainsi qu’une dépression du SNC.
  • -Traitement: les mesures nécessaires doivent être prises afin de soutenir la respiration et de contrôler les crampes. Si nécessaire, un lavage gastrique doit être effectué. Un cathétérisme vésical peut être indiqué. Si nécessaire, l’élimination de la pseudoéphédrine peut être accélérée par une diurèse acide ou la dialyse.
  • +Symptômes: un surdosage de pseudoéphédrine peut entraîner des sensations d'angoisse, de la tachycardie, des troubles du rythme cardiaque ou de l'hypertension. Les patients âgés peuvent réagir aux amines sympathomimétiques de façon très sensible. Un surdosage peut déclencher des hallucinations ainsi qu'une dépression du SNC.
  • +Traitement: les mesures nécessaires doivent être prises afin de soutenir la respiration et de contrôler les crampes. Si nécessaire, un lavage gastrique doit être effectué. Un cathétérisme vésical peut être indiqué. Si nécessaire, l'élimination de la pseudoéphédrine peut être accélérée par une diurèse acide ou la dialyse.
  • -Symptômes: ces effets se manifestent entre 30 minutes et 2 heures après l’absorption de la dose et peuvent durer plusieurs jours: excitation (surtout chez l’enfant), dépression du système nerveux central (surtout chez l’adulte), contractions musculaires, convulsions, hyperthermie, hypotension, collapsus cardiovasculaire, paralysie du centre respiratoire et coma. Les enfants réagissent de façon particulièrement sensible à un surdosage de chlorphénamine.
  • -Traitement: un traitement symptomatique et un traitement d’entretien sont indiqués, y compris la respiration artificielle et les spasmolytiques, si nécessaires.
  • +Symptômes: ces effets se manifestent entre 30 minutes et 2 heures après l'absorption de la dose et peuvent durer plusieurs jours: excitation (surtout chez l'enfant), dépression du système nerveux central (surtout chez l'adulte), contractions musculaires, convulsions, hyperthermie, hypotension, collapsus cardiovasculaire, paralysie du centre respiratoire et coma. Les enfants réagissent de façon particulièrement sensible à un surdosage de chlorphénamine.
  • +Traitement: un traitement symptomatique et un traitement d'entretien sont indiqués, y compris la respiration artificielle et les spasmolytiques, si nécessaires.
  • -Mécanisme d’action
  • -L’acétylcystéine possède des propriétés mucolytiques ainsi que des propriétés antioxydantes. Son effet mucolytique repose sur la propriété du groupe SH de réduire les ponts disulfures des mucoprotéines du mucus. L’acétylcystéine fluidifie le mucus visqueux des voies respiratoires, favorise l’expectoration et calme le réflexe de la toux. De cette manière, la respiration est facilitée. La propriété antioxydante de Fluimucil Grippe Day provient du fait que des liaisons électrophiles et oxydantes sont inactivées directement par l’acétylcystéine et indirectement par le glutathion. À travers la cystéine, l’acétylcystéine met à disposition un précurseur essentiel de la synthèse du glutathion et augmente ainsi les réservoirs endogènes de glutathion.
  • -Le paracétamol est un analgésique et antipyrétique à action centrale et périphérique. Le mécanisme d’action n’est pas complètement élucidé. En ce qui concerne l’effet analgésique, il a été démontré que l’inhibition de la synthèse des prostaglandines était plus forte au niveau central qu’au niveau périphérique. L’effet antipyrétique se base sur l’inhibition de l’effet des pyrogènes endogènes sur le centre thermorégulateur dans l’hypothalamus.
  • -Le paracétamol n'a pas d'effet antiphlogistique marqué et n'a pas d’influence ni sur l'hémostase, ni sur la muqueuse gastrique.
  • +Mécanisme d'action
  • +L'acétylcystéine possède des propriétés mucolytiques ainsi que des propriétés antioxydantes. Son effet mucolytique repose sur la propriété du groupe SH de réduire les ponts disulfures des mucoprotéines du mucus. L'acétylcystéine fluidifie le mucus visqueux des voies respiratoires, favorise l'expectoration et calme le réflexe de la toux. De cette manière, la respiration est facilitée. La propriété antioxydante de Fluimucil Grippe Day provient du fait que des liaisons électrophiles et oxydantes sont inactivées directement par l'acétylcystéine et indirectement par le glutathion. À travers la cystéine, l'acétylcystéine met à disposition un précurseur essentiel de la synthèse du glutathion et augmente ainsi les réservoirs endogènes de glutathion.
  • +Le paracétamol est un analgésique et antipyrétique à action centrale et périphérique. Le mécanisme d'action n'est pas complètement élucidé. En ce qui concerne l'effet analgésique, il a été démontré que l'inhibition de la synthèse des prostaglandines était plus forte au niveau central qu'au niveau périphérique. L'effet antipyrétique se base sur l'inhibition de l'effet des pyrogènes endogènes sur le centre thermorégulateur dans l'hypothalamus.
  • +Le paracétamol n'a pas d'effet antiphlogistique marqué et n'a pas d'influence ni sur l'hémostase, ni sur la muqueuse gastrique.
  • -Le maléate de chlorphénamine est un antihistaminique H1. Il antagonise plusieurs effets physiologiques et pathologiques de l’histamine, comme par exemple la constriction de la musculature des bronches et de la paroi intestinale. Il possède en outre des propriétés sédatives.
  • +Le maléate de chlorphénamine est un antihistaminique H1. Il antagonise plusieurs effets physiologiques et pathologiques de l'histamine, comme par exemple la constriction de la musculature des bronches et de la paroi intestinale. Il possède en outre des propriétés sédatives.
  • -Aucune étude pharmacocinétique n’a été réalisée avec les principes actifs associés tels qu’ils sont présents dans Fluimucil Grippe Day & Night. Les différents principes actifs possèdent les propriétés pharmacocinétiques suivantes:
  • +Aucune étude pharmacocinétique n'a été réalisée avec les principes actifs associés tels qu'ils sont présents dans Fluimucil Grippe Day & Night. Les différents principes actifs possèdent les propriétés pharmacocinétiques suivantes:
  • -La résorption de l’acétylcystéine après administration orale est rapide et complète. En raison d’un premier passage hépatique élevé, la biodisponibilité de la N-acétylcystéine est d’environ 10% seulement.
  • +La résorption de l'acétylcystéine après administration orale est rapide et complète. En raison d'un premier passage hépatique élevé, la biodisponibilité de la N-acétylcystéine est d'environ 10% seulement.
  • -Après administration orale, la concentration plasmatique maximale de maléate de chlorphénamine est atteinte au bout d’environ 2 à 3 heures. Le maléate de chlorphénamine est soumis à un effet de premier passage marqué, la biodisponibilité est d’environ 40%.
  • +Après administration orale, la concentration plasmatique maximale de maléate de chlorphénamine est atteinte au bout d'environ 2 à 3 heures. Le maléate de chlorphénamine est soumis à un effet de premier passage marqué, la biodisponibilité est d'environ 40%.
  • -Dans l'organisme l‘acétylcystéine se trouve en partie sous forme inchangée, en partie sous forme de métabolites oxydatifs tant sous forme libre que liée aux protéines plasmatiques de manière réversible par des ponts disulfures.
  • -L’acétylcystéine se diffuse principalement dans le milieu aqueux de l’espace extracellulaire. Elle se localise surtout au niveau du foie, des reins, des poumons et dans le mucus bronchique.
  • -Le paracétamol se diffuse de façon pratiquement homogène dans la plupart des liquides corporels. Le volume de distribution est d’environ 1,3 l/kg. A la posologie thérapeutique, la liaison aux protéines plasmatiques est faible (<20%), en cas de surdosage 50%. Le paracétamol passe dans le lait maternel.
  • -Le volume de distribution du chlorhydrate de pseudoéphédrine est de 2,6 à 3,5 l/kg. On ne dispose pas d’autres informations relatives à la distribution de la pseudoéphédrine dans les tissus; cependant, il est à supposer qu’elle a lieu rapidement, comme c’est le cas pour les autres bases organiques. La pseudoéphédrine traverse la barrière hémato-encéphalique et la barrière placentaire.
  • -Le volume de distribution du maléate de chlorphénamine est d’environ 3,2 l/kg, la liaison aux protéines plasmatiques est d’environ 70%. La chlorphénamine passe la barrière hémato-encéphalique et est excrétée dans le lait maternel. On ne sait pas si elle est capable de passer la barrière placentaire.
  • +Dans l'organisme l'acétylcystéine se trouve en partie sous forme inchangée, en partie sous forme de métabolites oxydatifs tant sous forme libre que liée aux protéines plasmatiques de manière réversible par des ponts disulfures.
  • +L'acétylcystéine se diffuse principalement dans le milieu aqueux de l'espace extracellulaire. Elle se localise surtout au niveau du foie, des reins, des poumons et dans le mucus bronchique.
  • +Le paracétamol se diffuse de façon pratiquement homogène dans la plupart des liquides corporels. Le volume de distribution est d'environ 1,3 l/kg. A la posologie thérapeutique, la liaison aux protéines plasmatiques est faible (<20%), en cas de surdosage 50%. Le paracétamol passe dans le lait maternel.
  • +Le volume de distribution du chlorhydrate de pseudoéphédrine est de 2,6 à 3,5 l/kg. On ne dispose pas d'autres informations relatives à la distribution de la pseudoéphédrine dans les tissus; cependant, il est à supposer qu'elle a lieu rapidement, comme c'est le cas pour les autres bases organiques. La pseudoéphédrine traverse la barrière hémato-encéphalique et la barrière placentaire.
  • +Le volume de distribution du maléate de chlorphénamine est d'environ 3,2 l/kg, la liaison aux protéines plasmatiques est d'environ 70%. La chlorphénamine passe la barrière hémato-encéphalique et est excrétée dans le lait maternel. On ne sait pas si elle est capable de passer la barrière placentaire.
  • -La métabolisation de la N-acétylcystéine commence immédiatement après la prise du produit. Elle est déacétylée au niveau de la paroi intestinale et lors de son premier passage hépatique en L-cystéine, également active, et ensuite métabolisée en liaisons inactives.
  • -Le paracétamol est métabolisé dans le foie et est principalement soumis à deux voies de biotransformation: il est éliminé dans l’urine sous forme glucuronidée (60 à 80%) ou sulfatée (20 à 40%). Une plus petite quantité (<4%) est oxydée par le cytochrome P450 et probablement transformée en un métabolite hépatotoxique. Il est normalement épuré par la conjugaison avec le glutathion.
  • -La pseudoéphédrine n’est métabolisée dans le foie par Ndéméthylisation qu’à environ 1%.
  • +La métabolisation de la N-acétylcystéine commence immédiatement après la prise du produit. Elle est désacétylé au niveau de la paroi intestinale et lors de son premier passage hépatique en L-cystéine, également active, et ensuite métabolisée en liaisons inactives.
  • +Le paracétamol est métabolisé dans le foie et est principalement soumis à deux voies de biotransformation: il est éliminé dans l'urine sous forme glucuronidée (60 à 80%) ou sulfatée (20 à 40%). Une plus petite quantité (<4%) est oxydée par le cytochrome P450 et probablement transformée en un métabolite hépatotoxique. Il est normalement épuré par la conjugaison avec le glutathion.
  • +La pseudoéphédrine n'est métabolisée dans le foie par N-déméthylation qu'à environ 1%.
  • -Environ 30% de la dose d’acétylcystéine administrée sont éliminés directement par voie rénale. Les métabolites principaux sont la cystine et la cystéine. En outre, de petites quantités de taurine et sulfates sont excrétées. En ce qui concerne l’élimination de la partie non excrétée par voie rénale, on ne dispose, jusqu’à présent, pas d’études. Chez 6 sujets avec administration intraveineuse de 200 mg d’acétylcystéine on a trouvé une demi-vie d’élimination pour les formes réduites de 1.95 (0.95-3.57) heures et pour l’acétylcystéine totale de 5.58 (4.1-9.5) heures. Après administration par voie orale d’un comprimé effervescent de 400 mg (pas identique aux formulations Fluimucil), la demi-vie pour l’acétylcystéine totale revient à 6.25 (4.59-10.6) heures.
  • -L’élimination du paracétamol inchangé (2 à 5%) ainsi que des métabolites a lieu par voie rénale. La demi-vie des doses thérapeutiques de paracétamol est de 1 à 3 heures chez l’adulte. La durée de l’effet est de 3 à 4 heures. Jusqu’à 98% de la dose de paracétamol prise sont éliminés dans l’urine dans les 24 heures, plus de 80% sous forme conjuguée comme glucuronide et sulfate.
  • -La demi-vie d’élimination de la pseudoéphédrine est de plusieurs heures et dépend de l’acidité: pour des valeurs de pH de 5,6 à 6 dans l’urine, des demi-vies d’élimination de 5 à 8 heures ont été mesurées, pour une valeur de pH de 8, elles étaient de 9 à 15 heures. Environ 90% sont éliminés dans l’urine sous forme inchangée. Par sa propriété d’acidifier l’urine, l’acétylcystéine peut augmenter l’élimination de la pseudoéphédrine.
  • -L’élimination de la chlorphénamine et de ses métabolites a lieu principalement par voie rénale; 20 à 35% de la dose résorbée de chlorphénamine sont éliminés sous forme inchangée. La demi-vie d’élimination peut fortement varier entre 13 et 30 heures et dépend du pH de l’urine; dans de l’urine alcaline, elle atteint des valeurs plus basses. Par contre, l’acétylcystéine peut augmenter l’élimination de la chlorphénamine en acidifiant l’urine.
  • +Environ 30% de la dose d'acétylcystéine administrée sont éliminés directement par voie rénale. Les métabolites principaux sont la cystine et la cystéine. En outre, de petites quantités de taurine et sulfates sont excrétées. En ce qui concerne l'élimination de la partie non excrétée par voie rénale, on ne dispose, jusqu'à présent, pas d'études. Chez 6 sujets avec administration intraveineuse de 200 mg d'acétylcystéine on a trouvé une demi-vie d'élimination pour les formes réduites de 1.95 (0.95-3.57) heures et pour l'acétylcystéine totale de 5.58 (4.1-9.5) heures. Après administration par voie orale d'un comprimé effervescent de 400 mg (pas identique aux formulations Fluimucil), la demi-vie pour l'acétylcystéine totale revient à 6.25 (4.59-10.6) heures.
  • +L'élimination du paracétamol inchangé (2 à 5%) ainsi que des métabolites a lieu par voie rénale. La demi-vie des doses thérapeutiques de paracétamol est de 1 à 3 heures chez l'adulte. La durée de l'effet est de 3 à 4 heures. Jusqu'à 98% de la dose de paracétamol prise sont éliminés dans l'urine dans les 24 heures, plus de 80% sous forme conjuguée comme glucuronide et sulfate.
  • +La demi-vie d'élimination de la pseudoéphédrine est de plusieurs heures et dépend de l'acidité: pour des valeurs de pH de 5,6 à 6 dans l'urine, des demi-vies d'élimination de 5 à 8 heures ont été mesurées, pour une valeur de pH de 8, elles étaient de 9 à 15 heures. Environ 90% sont éliminés dans l'urine sous forme inchangée. Par sa propriété d'acidifier l'urine, l'acétylcystéine peut augmenter l'élimination de la pseudoéphédrine.
  • +L'élimination de la chlorphénamine et de ses métabolites a lieu principalement par voie rénale; 20 à 35% de la dose résorbée de chlorphénamine sont éliminés sous forme inchangée. La demi-vie d'élimination peut fortement varier entre 13 et 30 heures et dépend du pH de l'urine; dans de l'urine alcaline, elle atteint des valeurs plus basses. Par contre, l'acétylcystéine peut augmenter l'élimination de la chlorphénamine en acidifiant l'urine.
  • -Pour les patients sous hémodialyse, la durée de demi-vie peut diminuer de 40-50 % après la prise de doses thérapeutiques de paracétamol.
  • -Patients âgés: la demi-vie du paracétamol peut être prolongée chez les patients âgés et être accompagnée d’une diminution de la clairance des médicaments. Normalement aucune adaptation de posologie n’est nécessaire pour ce groupe.
  • +Pour les patients sous hémodialyse, la durée de demi-vie peut diminuer de 40-50% après la prise de doses thérapeutiques de paracétamol.
  • +Patients âgés: la demi-vie du paracétamol peut être prolongée chez les patients âgés et être accompagnée d'une diminution de la clairance des médicaments. Normalement aucune adaptation de posologie n'est nécessaire pour ce groupe.
  • -Des études de toxicité aiguë ont permis de déterminer une LD50 orale à 8 et > 10 g / kg poids corporel chez des souris et des rats.
  • -En s’appuyant sur les résultats d’essais in vitro et in vivo, l’acétylcystéine a été considérée comme non génotoxique. Des études portant sur le potentiel tumorigène de l’acétylcystéine n’ont pas été réalisées.
  • -Des études sur l‘embryo/fÅ“totoxicité ont été effectuées chez la lapine et la rate gravides auxquelles une dose d’acétylcystéine a été administrée par voie orale durant la période d’organogenèse. Aucune de ces études expérimentales n’a révélé des malformations fÅ“tales.
  • -Des études de fertilité ont été effectuées sur des rats avec l’acétylcystéine orale.
  • -Le traitement de rates femelles par des doses orales jusqu’à 1000 mg/kg/jour n’a pas permis d’observer de signes d’impact sur la fertilité des femelles.
  • -Le traitement de rats mâles avec l’acétylcystéine par des doses orales de 250 mg/kg/jour pendant 16 semaines n’a pas d’influence sur la fertilité ou la capacité de reproduction générale des animaux. En revanche, une baisse de la fertilité masculine et une atteinte des paramètres spermatiques ont été observées à partir d’une dose de 500 mg/kg/jour (équivalent à environ quarante fois la dose journalière maximale thérapeutique).
  • +Des études de toxicité aiguë ont permis de déterminer une LD50 orale à 8 et >10 g/kg poids corporel chez des souris et des rats.
  • +En s'appuyant sur les résultats d'essais in vitro et in vivo, l'acétylcystéine a été considérée comme non génotoxique. Des études portant sur le potentiel tumorigène de l'acétylcystéine n'ont pas été réalisées.
  • +Des études sur l'embryo/fÅ“totoxicité ont été effectuées chez la lapine et la rate gravides auxquelles une dose d'acétylcystéine a été administrée par voie orale durant la période d'organogenèse. Aucune de ces études expérimentales n'a révélé des malformations fÅ“tales.
  • +Des études de fertilité ont été effectuées sur des rats avec l'acétylcystéine orale.
  • +Le traitement de rates femelles par des doses orales jusqu'à 1000 mg/kg/jour n'a pas permis d'observer de signes d'impact sur la fertilité des femelles.
  • +Le traitement de rats mâles avec l'acétylcystéine par des doses orales de 250 mg/kg/jour pendant 16 semaines n'a pas d'influence sur la fertilité ou la capacité de reproduction générale des animaux. En revanche, une baisse de la fertilité masculine et une atteinte des paramètres spermatiques ont été observées à partir d'une dose de 500 mg/kg/jour (équivalent à environ quarante fois la dose journalière maximale thérapeutique).
  • -Dans plusieurs études, un potentiel génotoxique a été mis en évidence. Celui-ci doit cependant être relativisé, étant donné qu’il est dose-dépendant. En raison des mécanismes présumés qui déclenchent ces effets, il peut être supposé qu’à des doses inférieures à certaines valeurslimites aucun effet génotoxique ne se manifeste. Toutefois, si les réserves de glutathion sont réduites, les valeurs-seuil peuvent être plus basses. Les valeursseuil, à partir desquelles un effet génotoxique a été mis en évidence au cours des études réalisées sur des animaux expérimentaux, se situent clairement au niveau des doses toxiques entrainent des lésions hépatiques et des lésions médullaires. De plus, les doses non hépatotoxiques (jusqu’à 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas carcinogènes. On peut donc pratiquement exclure que des doses thérapeutiques ont un effet génotoxique ou carcinogène.
  • -Les études toxicologiques n’ont montré aucun effet sur la reproduction et aucun effet tératogène sur les animaux traités par le paracétamol.
  • +Dans plusieurs études, un potentiel génotoxique a été mis en évidence. Celui-ci doit cependant être relativisé, étant donné qu'il est dose-dépendant. En raison des mécanismes présumés qui déclenchent ces effets, il peut être supposé qu'à des doses inférieures à certaines valeurs-limites aucun effet génotoxique ne se manifeste. Toutefois, si les réserves de glutathion sont réduites, les valeurs-seuil peuvent être plus basses. Les valeurs-seuil, à partir desquelles un effet génotoxique a été mis en évidence au cours des études réalisées sur des animaux expérimentaux, se situent clairement au niveau des doses toxiques entrainent des lésions hépatiques et des lésions médullaires. De plus, les doses non hépatotoxiques (jusqu'à 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas carcinogènes. On peut donc pratiquement exclure que des doses thérapeutiques ont un effet génotoxique ou carcinogène.
  • +Les études toxicologiques n'ont montré aucun effet sur la reproduction et aucun effet tératogène sur les animaux traités par le paracétamol.
  • -Il n’existe pas d’indice de potentiel mutagène de la pseudoéphédrine.
  • -Des études de fertilité ou des études périnatales et postnatales portant sur la pseudoéphédrine n’ont pas été effectuées.
  • +Il n'existe pas d'indice de potentiel mutagène de la pseudoéphédrine.
  • +Des études de fertilité ou des études périnatales et postnatales portant sur la pseudoéphédrine n'ont pas été effectuées.
  • -Dans le test Ames pour évaluer la mutagénicité de micro-organismes, dans des cellules de lymphome chez la souris, avec ou sans activation métabolique, ou dans les cellules ovariennes d’hamster chinois avec activation métabolique, aucun signe d’une mutagenèse induite par la chlorphénamine n’a été mis en évidence.
  • -Des études de reproduction effectuées chez le lapin et le rat avec du maléate de chlorphénamine à des posologies 50 à 85 fois supérieures à la dose habituelle chez l’homme n’ont mis en évidence aucune lésion fÅ“tale.
  • +Dans le test Ames pour évaluer la mutagénicité de micro-organismes, dans des cellules de lymphome chez la souris, avec ou sans activation métabolique, ou dans les cellules ovariennes d'hamster chinois avec activation métabolique, aucun signe d'une mutagenèse induite par la chlorphénamine n'a été mis en évidence.
  • +Des études de reproduction effectuées chez le lapin et le rat avec du maléate de chlorphénamine à des posologies 50 à 85 fois supérieures à la dose habituelle chez l'homme n'ont mis en évidence aucune lésion fÅ“tale.
  • -L’addition d’autres médicaments aux comprimés effervescents de Fluimucil Grippe Day ou Fluimucil Grippe Night dissous est à éviter.
  • -L’acétylcystéine est incompatible avec la plupart des métaux et est inactivée par des substances oxydantes.
  • +L'addition d'autres médicaments aux comprimés effervescents de Fluimucil Grippe Day ou Fluimucil Grippe Night dissous est à éviter.
  • +L'acétylcystéine est incompatible avec la plupart des métaux et est inactivée par des substances oxydantes.
  • -L’acétylcystéine peut influencer la détermination colorimétrique de la concentration en salicylates.
  • -Concernant les analyses d’urine, l’acétylcystéine peut influencer les résultats de la détermination des corps cétoniques.
  • -La pseudoéphédrine peut causer des tests rapides d’identification des amphétamines faux positifs.
  • -Le paracétamol peut induire des perturbations dans la mesure de la glycémie par la méthode dite à la glucose oxydase. Il peut également être responsable d’une élévation apparente de l’uricémie lorsqu’elle est dosée par la méthode de réduction du phosphotungstate.
  • +L'acétylcystéine peut influencer la détermination colorimétrique de la concentration en salicylates.
  • +Concernant les analyses d'urine, l'acétylcystéine peut influencer les résultats de la détermination des corps cétoniques.
  • +La pseudoéphédrine peut causer des tests rapides d'identification des amphétamines faux positifs.
  • +Le paracétamol peut induire des perturbations dans la mesure de la glycémie par la méthode dite à la glucose oxydase. Il peut également être responsable d'une élévation apparente de l'uricémie lorsqu'elle est dosée par la méthode de réduction du phosphotungstate.
  • -N’utiliser Fluimucil Grippe Day & Night que jusqu’à la date indiquée par «EXP:» sur le récipient.
  • +N'utiliser Fluimucil Grippe Day & Night que jusqu'à la date indiquée par «EXP:» sur le récipient.
  • -Conserver à température ambiante (15–25 °C), dans un endroit sec, dans l’emballage original et hors de portée des enfants.
  • +Conserver à température ambiante (15–25 °C), dans un endroit sec, dans l'emballage original et hors de portée des enfants.
  • -Zambon Suisse SA
  • -6814 Cadempino
  • +Zambon Suisse SA, 6814 Cadempino.
  • -Février 2017
  • +Juillet 2019.
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