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Accueil - Information professionnelle sur Bonviva 150 mg - Changements - 21.09.2016
82 Changements de l'information professionelle Bonviva 150 mg
  • -Comprimés pelliculés à 150 mg dacide ibandronique (sous forme de sel monosodique monohydraté dacide ibandronique).
  • +Comprimés pelliculés à 150 mg d'acide ibandronique (sous forme de sel monosodique monohydraté d'acide ibandronique).
  • -Traitement de lostéoporose chez la femme ménopausée, pour la réduction du risque de fractures vertébrales.
  • +Traitement de l'ostéoporose chez la femme ménopausée, pour la réduction du risque de fractures vertébrales.
  • -La posologie recommandée est dun comprimé pelliculé à 150 mg une fois par mois. De préférence, toujours prendre le comprimé pelliculé à la même date.
  • -Bonviva 150 mg doit être pris le matin 60 minutes avant la première ingestion daliments ou de liquide (y compris deau minérale), et 60 minutes également avant la prise de médicaments oraux (y compris de calcium) (voir «Interactions»).
  • -·Avaler les comprimés pelliculés avec un verre deau du robinet (au moins 200 ml), sans les croquer, en position assise ou debout. Les patientes ne doivent pas sallonger pendant les 60 minutes qui suivent la prise de Bonviva 150 mg.
  • -·Ne prendre les comprimés pelliculés de Bonviva 150 mg quavec de leau du robinet. Les patientes doivent être informées que certaines eaux minérales présentent une teneur élevée en calcium et que celles-ci ne doivent, par conséquent, pas être utilisées pour la prise de Bonviva 150 mg.
  • -·Les patientes ne doivent ni croquer ni sucer les comprimés pelliculés de Bonviva 150 mg en raison du risque potentiel dulcération oropharyngée.
  • -Si la patiente a oublié de prendre son médicament, elle doit avoir pour instruction de prendre un comprimé de Bonviva 150 mg le matin du jour suivant celui où elle a remarqué son oubli, à moins que le délai jusquà la prise normale du prochain comprimé soit inférieur à sept jours.
  • -Si la prise normale du prochain comprimé doit avoir lieu dans les sept jours, la patiente doit attendre jusquà la date prévue et continuer à prendre son comprimé chaque mois à la date initialement fixée.
  • +La posologie recommandée est d'un comprimé pelliculé à 150 mg une fois par mois. De préférence, toujours prendre le comprimé pelliculé à la même date.
  • +Bonviva 150 mg doit être pris le matin 60 minutes avant la première ingestion d'aliments ou de liquide (y compris d'eau minérale), et 60 minutes également avant la prise de médicaments oraux (y compris de calcium) (voir «Interactions»).
  • +·Avaler les comprimés pelliculés avec un verre d'eau du robinet (au moins 200 ml), sans les croquer, en position assise ou debout. Les patientes ne doivent pas s'allonger pendant les 60 minutes qui suivent la prise de Bonviva 150 mg.
  • +·Ne prendre les comprimés pelliculés de Bonviva 150 mg qu'avec de l'eau du robinet. Les patientes doivent être informées que certaines eaux minérales présentent une teneur élevée en calcium et que celles-ci ne doivent, par conséquent, pas être utilisées pour la prise de Bonviva 150 mg.
  • +·Les patientes ne doivent ni croquer ni sucer les comprimés pelliculés de Bonviva 150 mg en raison du risque potentiel d'ulcération oropharyngée.
  • +Si la patiente a oublié de prendre son médicament, elle doit avoir pour instruction de prendre un comprimé de Bonviva 150 mg le matin du jour suivant celui où elle a remarqué son oubli, à moins que le délai jusqu'à la prise normale du prochain comprimé soit inférieur à sept jours.
  • +Si la prise normale du prochain comprimé doit avoir lieu dans les sept jours, la patiente doit attendre jusqu'à la date prévue et continuer à prendre son comprimé chaque mois à la date initialement fixée.
  • -En cas dapport insuffisant par lalimentation, les patientes doivent également prendre du calcium et/ou de la vitamine D (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -La durée optimale du traitement dune ostéoporose par des bisphosphonates nest pas établie. La nécessité de poursuivre le traitement par Bonviva doit être réévaluée à intervalles réguliers, en tenant compte du bénéfice et des risques éventuels pour le patient en question, notamment après une durée dutilisation de cinq ans ou plus.
  • +En cas d'apport insuffisant par l'alimentation, les patientes doivent également prendre du calcium et/ou de la vitamine D (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +La durée optimale du traitement d'une ostéoporose par des bisphosphonates n'est pas établie. La nécessité de poursuivre le traitement par Bonviva doit être réévaluée à intervalles réguliers, en tenant compte du bénéfice et des risques éventuels pour le patient en question, notamment après une durée d'utilisation de cinq ans ou plus.
  • -Aucun ajustement de la dose nest nécessaire chez les patientes présentant une insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine ≥30 ml/min).
  • -Si la clairance de la créatinine est inférieure à 30 ml/min, il convient dadministrer Bonviva 150 mg après avoir évalué au cas par cas le bénéfice pour la patiente par rapport aux risques encourus (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire chez les patientes présentant une insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine ≥30 ml/min).
  • +Si la clairance de la créatinine est inférieure à 30 ml/min, il convient d'administrer Bonviva 150 mg après avoir évalué au cas par cas le bénéfice pour la patiente par rapport aux risques encourus (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Aucun ajustement de la dose nest nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Aucun ajustement de la dose nest nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
  • -On ne dispose daucun élément sur la sécurité demploi et lefficacité de Bonviva chez les patientes de moins de 18 ans.
  • +On ne dispose d'aucun élément sur la sécurité d'emploi et l'efficacité de Bonviva chez les patientes de moins de 18 ans.
  • -Hypersensibilité au principe actif ou à lun des excipients conformément à la composition.
  • +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients conformément à la composition.
  • -Anomalies œsophagiennes retardant la vidange de lœsophage, telles que strictures ou achalasie.
  • +Anomalies œsophagiennes retardant la vidange de l'œsophage, telles que strictures ou achalasie.
  • -Avant le début du traitement par Bonviva 150 mg, on devra traiter efficacement toute hypocalcémie et dautres troubles éventuels du métabolisme osseux et minéral. Un apport suffisant de calcium et de vitamine D est essentiel chez toutes les patientes.
  • -La prise orale de diphosphonates peut provoquer des irritations locales de la muqueuse de la partie supérieure de lestomac. En raison de ces possibles effets irritatifs et dun potentiel daggravation de la maladie sous-jacente, il convient dutiliser Bonviva avec prudence chez les patientes présentant des problèmes actifs du tractus gastro-intestinal supérieur (par ex. œsophage de Barrett, dysphagie, autre affection œsophagienne, gastrite, duodénite ou ulcère).
  • -Dysphagie, œsophagite et ulcérations œsophagiennes et gastriques ont été observées sous bisphosphonates. Ces ulcérations ont été sévères dans quelques cas, nécessitant une hospitalisation ou étaient suivies de strictures œsophagiennes ou de perforations, mais nont que rarement engendré des hémorragies. Cest pourquoi les patientes doivent suivre scrupuleusement les recommandations relatives à la posologie, et être en mesure de les respecter (voir «Posologie/Mode demploi»).
  • -Le traitement doit être interrompu en cas de symptômes évoquant une irritation de lœsophage, tels que lapparition ou laggravation de troubles de la déglutition, douleurs à la déglutition, douleurs rétrosternales ou pyrosis.
  • -Tout comme les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), les bisphosphonates peuvent provoquer des irritations gastro-intestinales; la prudence est donc de rigueur lors dadministration simultanée dAINS et de Bonviva 150 mg.
  • -Des ostéonécroses de la mâchoire, généralement associées à une extraction dentaire et/ou à une infection locale (ostéomyélite comprise), ont été signalées chez des cancéreux recevant un traitement par des bisphosphonates administrés essentiellement par voie intraveineuse. Nombre de ces patients recevaient simultanément une chimiothérapie et des corticoïdes. Une ostéonécrose de la mâchoire a également été rapportée chez des patients ostéoporotiques traités par des bisphosphonates oraux.
  • -Un examen dentaire accompagné éventuellement des mesures de prévention appropriées devrait être envisagé avant un traitement par des bisphosphonates chez des patientes présentant des facteurs de risque (cancer, chimiothérapie, radiothérapie, corticoïdes, mauvaise hygiène buccale, par exemple).
  • -Les patients développant une ostéonécrose de la mâchoire sous traitement par des bisphosphonates doivent être adressés à un spécialiste en chirurgie maxillo-faciale.
  • +Avant le début du traitement par Bonviva 150 mg, on devra traiter efficacement toute hypocalcémie et d'autres troubles éventuels du métabolisme osseux et minéral. Un apport suffisant de calcium et de vitamine D est essentiel chez toutes les patientes.
  • +La prise orale de diphosphonates peut provoquer des irritations locales de la muqueuse de la partie supérieure de l'estomac. En raison de ces possibles effets irritatifs et d'un potentiel d'aggravation de la maladie sous-jacente, il convient d'utiliser Bonviva avec prudence chez les patientes présentant des problèmes actifs du tractus gastro-intestinal supérieur (par ex. œsophage de Barrett, dysphagie, autre affection œsophagienne, gastrite, duodénite ou ulcère).
  • +Dysphagie, œsophagite et ulcérations œsophagiennes et gastriques ont été observées sous bisphosphonates. Ces ulcérations ont été sévères dans quelques cas, nécessitant une hospitalisation ou étaient suivies de strictures œsophagiennes ou de perforations, mais n'ont que rarement engendré des hémorragies. C'est pourquoi les patientes doivent suivre scrupuleusement les recommandations relatives à la posologie, et être en mesure de les respecter (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Le traitement doit être interrompu en cas de symptômes évoquant une irritation de l'œsophage, tels que l'apparition ou l'aggravation de troubles de la déglutition, douleurs à la déglutition, douleurs rétrosternales ou pyrosis.
  • +Tout comme les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), les bisphosphonates peuvent provoquer des irritations gastro-intestinales; la prudence est donc de rigueur lors d'administration simultanée d'AINS et de Bonviva 150 mg.
  • +Une ostéonécrose de la mâchoire (ONM) a été rapportée chez des patients traités par des bisphosphonates. La plupart des cas concernaient des patients atteints de cancer ayant subi des interventions dentaires, mais certains cas sont survenus chez des patients atteints d'ostéoporose postménopausique et porteurs d'autres diagnostics. Les ostéonécroses de la mâchoire sont généralement en rapport avec des extractions dentaires et/ou des infections locales (dont une ostéomyélite). Les facteurs de risque connus d'une ostéonécrose de la mâchoire comprennent des affections cancéreuses, des traitements associés (p.ex. chimiothérapie, y compris inhibiteurs de l'angiogenèse, radiothérapie, corticostéroïdes) et des comorbidités (p.ex. anémie, coagulopathie, infection, affections dentaires préexistantes). La plupart des cas rapportés concernaient des patients ayant reçu un traitement intraveineux par des bisphosphonates, mais certains cas sont survenus chez des patients traités par voie orale.
  • +Chez les patients développant une ostéonécrose de la mâchoire (ONM) pendant un traitement par bisphosphonates, une chirurgie dentaire peut entraîner une aggravation de leur état. Pour les patients nécessitant des interventions dentaires, on ne dispose d'aucune donnée indiquant si l'arrêt du traitement par les bisphosphonates réduit le risque d'ONM. Avant l'instauration d'un traitement par des bisphosphonates, un examen dentaire avec des mesures de précaution appropriées doit être envisagé chez les patients présentant des facteurs de risque simultanés (p.ex. cancer, chimiothérapie, radiothérapie, corticostéroïdes, mauvaise hygiène buccale). L'évaluation clinique par le médecin traitant doit servir de guide pour établir le plan thérapeutique de chaque patient, en tenant compte du rapport bénéfice-risque individuel.
  • +Des cas d'ostéonécrose au niveau d'autres sites buccofaciaux, y compris le conduit auditif externe, ont également été rapportés chez des patients traités par des bisphosphonates, dont l'acide ibandronique. Les facteurs de risque sont similaires à ceux de l'ONM. De petites blessures répétées (p.ex. usage habituel de bâtonnets ouatés) peuvent figurer parmi les facteurs de risque supplémentaires. La possibilité d'une ostéonécrose du conduit auditif externe doit être envisagée chez les patients traités par des bisphosphonates qui présentent des symptômes auriculaires, y compris des otites chroniques.
  • -Des fractures fémorales atypiques, sous-trochantériennes et diaphysaires, ont été rapportées au cours du traitement par des bisphosphonates, essentiellement chez des patients ayant reçu un traitement antiostéoporotique prolongé. Ces fractures transversales ou obliques courtes peuvent survenir à un endroit quelconque le long du fémur, entre la région située immédiatement au-dessous du petit trochanter et les condyles. Ces fractures surviennent après un traumatisme minime ou en labsence de traumatisme et certains patients ressentent déjà des semaines ou des mois avant la formation dune fracture fémorale complète, des douleurs au niveau de la cuisse ou de laine, souvent associées à des signes radiologiques dune fracture de stress. Les fractures sont souvent bilatérales; une fracture controlatérale doit donc être recherchée chez les patients qui sont traités par des bisphosphonates et souffrent dune fracture du fût fémoral. Une mauvaise consolidation de ces fractures a également été rapportée. Chez les patients chez qui lon suspecte une fracture atypique du fémur, il faut envisager larrêt du traitement par les bisphosphonates jusquà lévaluation du patient basée sur le rapport bénéfice/risques individuel.
  • +Des fractures fémorales atypiques, sous-trochantériennes et diaphysaires, ont été rapportées au cours du traitement par des bisphosphonates, essentiellement chez des patients ayant reçu un traitement antiostéoporotique prolongé. Ces fractures transversales ou obliques courtes peuvent survenir à un endroit quelconque le long du fémur, entre la région située immédiatement au-dessous du petit trochanter et les condyles. Ces fractures surviennent après un traumatisme minime ou en l'absence de traumatisme et certains patients ressentent déjà des semaines ou des mois avant la formation d'une fracture fémorale complète, des douleurs au niveau de la cuisse ou de l'aine, souvent associées à des signes radiologiques d'une fracture de stress. Les fractures sont souvent bilatérales; une fracture controlatérale doit donc être recherchée chez les patients qui sont traités par des bisphosphonates et souffrent d'une fracture du fût fémoral. Une mauvaise consolidation de ces fractures a également été rapportée. Chez les patients chez qui l'on suspecte une fracture atypique du fémur, il faut envisager l'arrêt du traitement par les bisphosphonates jusqu'à l'évaluation du patient basée sur le rapport bénéfice/risques individuel.
  • -Les comprimés pelliculés de Bonviva contiennent du lactose et ne doivent pas être administrés aux patients souffrant dune intolérance au galactose (maladie héréditaire rare), dun déficit en lactase de Lapp ou dune malabsorption du glucose et du galactose.
  • +Les comprimés pelliculés de Bonviva contiennent du lactose et ne doivent pas être administrés aux patients souffrant d'une intolérance au galactose (maladie héréditaire rare), d'un déficit en lactase de Lapp ou d'une malabsorption du glucose et du galactose.
  • -La prise daliments et de liquides, notamment de produits contenant du calcium et dautres cations polyvalents (par ex. aluminium, magnésium, fer), y compris de lait et deau minérale, influe sur labsorption de lacide ibandronique. Par conséquent, les patientes ne peuvent prendre des aliments, des boissons, des comprimés de calcium et dautres médicaments que 60 minutes au plus tôt après la prise orale de Bonviva 150 mg.
  • -Des études pharmacocinétiques sur les interactions, réalisées chez des femmes ménopausées, nont mis en évidence aucun potentiel dinteraction avec le tamoxifène ni avec un traitement hormonal substitutif (estrogènes). Aucune interaction na été observée chez les patientes avec plasmocytome lors de ladministration simultanée de Bonviva 150 mg et de melphalan/prednisolone.
  • -Une étude pharmacocinétique dinteractions chez des sujets sains a montré que ladministration de 75 mg de ranitidine (25 mg par voie intraveineuse 90 et 15 minutes avant et 30 minutes après la prise dibandronate) a accru de 20% la biodisponibilité orale de 10 mg dibandronate. Lampleur de cette augmentation nest pas considérée comme importante sur le plan clinique.
  • -Libandronate nest pas métabolisé par le foie et ninhibe pas le cytochrome P450 hépatique. Libandronate est éliminé par voie rénale. Sur la base dune étude effectuée chez le rat, la voie délimination de libandronate ne semble impliquer aucun système de transport acide ou basique connu intervenant dans lélimination dautres médicaments.
  • -Dans une étude dun an menée chez des femmes souffrant dostéoporose postménopausique (BM 16549), lincidence des événements dans la portion supérieure du tractus gastro-intestinal chez des femmes prenant simultanément de laspirine ou des anti-inflammatoires et Bonviva à raison de 2,5 mg par jour ou de 150 mg une fois par mois a été similaire.
  • -Sur plus de 1500 patientes de létude BM 16549 chez lesquelles le schéma posologique mensuel de lacide ibandronique a été comparé au schéma posologique journalier, 14% des patientes ont dû recevoir des inhibiteurs des récepteurs H2 (histaminiques) ou des inhibiteurs de la pompe à protons. Au sein de ce collectif, lincidence des événements dans la partie supérieure du tractus gastro-intestinal chez les patientes recevant 150 mg de Bonviva une fois par mois a été semblable à celle constatée chez les patientes recevant 2,5 mg de Bonviva par jour.
  • +La prise d'aliments et de liquides, notamment de produits contenant du calcium et d'autres cations polyvalents (par ex. aluminium, magnésium, fer), y compris de lait et d'eau minérale, influe sur l'absorption de l'acide ibandronique. Par conséquent, les patientes ne peuvent prendre des aliments, des boissons, des comprimés de calcium et d'autres médicaments que 60 minutes au plus tôt après la prise orale de Bonviva 150 mg.
  • +Des études pharmacocinétiques sur les interactions, réalisées chez des femmes ménopausées, n'ont mis en évidence aucun potentiel d'interaction avec le tamoxifène ni avec un traitement hormonal substitutif (estrogènes). Aucune interaction n'a été observée chez les patientes avec plasmocytome lors de l'administration simultanée de Bonviva 150 mg et de melphalan/prednisolone.
  • +Une étude pharmacocinétique d'interactions chez des sujets sains a montré que l'administration de 75 mg de ranitidine (25 mg par voie intraveineuse 90 et 15 minutes avant et 30 minutes après la prise d'ibandronate) a accru de 20% la biodisponibilité orale de 10 mg d'ibandronate. L'ampleur de cette augmentation n'est pas considérée comme importante sur le plan clinique.
  • +L'ibandronate n'est pas métabolisé par le foie et n'inhibe pas le cytochrome P450 hépatique. L'ibandronate est éliminé par voie rénale. Sur la base d'une étude effectuée chez le rat, la voie d'élimination de l'ibandronate ne semble impliquer aucun système de transport acide ou basique connu intervenant dans l'élimination d'autres médicaments.
  • +Dans une étude d'un an menée chez des femmes souffrant d'ostéoporose postménopausique (BM 16549), l'incidence des événements dans la portion supérieure du tractus gastro-intestinal chez des femmes prenant simultanément de l'aspirine ou des anti-inflammatoires et Bonviva à raison de 2,5 mg par jour ou de 150 mg une fois par mois a été similaire.
  • +Sur plus de 1500 patientes de l'étude BM 16549 chez lesquelles le schéma posologique mensuel de l'acide ibandronique a été comparé au schéma posologique journalier, 14% des patientes ont dû recevoir des inhibiteurs des récepteurs H2 (histaminiques) ou des inhibiteurs de la pompe à protons. Au sein de ce collectif, l'incidence des événements dans la partie supérieure du tractus gastro-intestinal chez les patientes recevant 150 mg de Bonviva une fois par mois a été semblable à celle constatée chez les patientes recevant 2,5 mg de Bonviva par jour.
  • -Bonviva 150 mg ne doit pas être utilisé durant la grossesse et lallaitement.
  • -On ne dispose pas de données suffisantes sur lutilisation de ce médicament chez la femme enceinte. Des études chez le rat ont mis en évidence certains effets toxiques sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Le risque potentiel pour lêtre humain nest pas connu.
  • -On ignore si lacide ibandronique peut passer dans le lait maternel. Dans des études réalisées chez le rat en période dallaitement, de faibles concentrations dacide ibandronique ont été observées dans le lait maternel après administration intraveineuse.
  • +Bonviva 150 mg ne doit pas être utilisé durant la grossesse et l'allaitement.
  • +On ne dispose pas de données suffisantes sur l'utilisation de ce médicament chez la femme enceinte. Des études chez le rat ont mis en évidence certains effets toxiques sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Le risque potentiel pour l'être humain n'est pas connu.
  • +On ignore si l'acide ibandronique peut passer dans le lait maternel. Dans des études réalisées chez le rat en période d'allaitement, de faibles concentrations d'acide ibandronique ont été observées dans le lait maternel après administration intraveineuse.
  • -Aucune étude correspondante na été effectuée.
  • +Aucune étude correspondante n'a été effectuée.
  • -Dans une étude de deux ans menée chez des femmes souffrant dostéoporose postménopausique (BM 16549), le profil de tolérance sous 150 mg de Bonviva une fois par mois était semblable à celui constaté avec 2,5 mg de Bonviva une fois par jour. La proportion de patientes avec effet indésirable, autrement dit un évènement indésirable présentant une relation possible ou probable avec le médicament à lessai, a été de 25% avec 150 mg de Bonviva une fois par mois et de 22,5% avec 2,5 mg de Bonviva une fois par jour après deux ans. La plupart de ces effets indésirables étaient dintensité légère à modérée. Dans la majorité des cas, ils nont pas nécessité larrêt du traitement.
  • -Les effets indésirables rapportés comme étant reliés à Bonviva dans les études sont consignés ci-dessous répartis par les classes dorganes.
  • -Les fréquences ont été définies comme suit: fréquemment (≥1/100 à <1/10), occasionnellement (≥1/1'000 à <1/100), rarement (≥1/10000 à <1/1000) et très rarement (<1/10'000). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés selon un degré de gravité décroissant.
  • +Dans une étude de deux ans menée chez des femmes souffrant d'ostéoporose postménopausique (BM 16549), le profil de tolérance sous 150 mg de Bonviva une fois par mois était semblable à celui constaté avec 2,5 mg de Bonviva une fois par jour. La proportion de patientes avec effet indésirable, autrement dit un évènement indésirable présentant une relation possible ou probable avec le médicament à l'essai, a été de 25% avec 150 mg de Bonviva une fois par mois et de 22,5% avec 2,5 mg de Bonviva une fois par jour après deux ans. La plupart de ces effets indésirables étaient d'intensité légère à modérée. Dans la majorité des cas, ils n'ont pas nécessité l'arrêt du traitement.
  • +Les effets indésirables rapportés comme étant reliés à Bonviva dans les études sont consignés ci-dessous répartis par les classes d'organes.
  • +Les fréquences ont été définies comme suit: fréquemment (≥1/100 à <1/10), occasionnellement (≥1/1'000 à <1/100), rarement (≥1/10'000 à <1/1'000) et très rarement (<1/10'000). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés selon un degré de gravité décroissant.
  • -Rarement: réactions dhypersensibilité.
  • -Très rarement: Des cas de réactions anaphylactiques/choc anaphylactique, y compris des événements avec issue mortelle, ont été rapportés chez des patients traités par lacide ibandronique.
  • +Rarement: réactions d'hypersensibilité.
  • +Très rarement: Des cas de réactions anaphylactiques/choc anaphylactique, y compris des événements avec issue mortelle, ont été rapportés chez des patients traités par l'acide ibandronique.
  • -Très rarement: uvéite, iridosclérite, sclérite. Des événements oculaires inflammatoires, tels quune uvéite, une épisclérite et une sclérite ont été rapportés au cours du traitement par des bisphosphonates, dont lacide ibandronique. Dans certains cas, ces événements nont pas guéri avant larrêt du bisphosphonate.
  • +Très rarement: uvéite, iridosclérite, sclérite. Des événements oculaires inflammatoires, tels qu'une uvéite, une épisclérite et une sclérite ont été rapportés au cours du traitement par des bisphosphonates, dont l'acide ibandronique. Dans certains cas, ces événements n'ont pas guéri avant l'arrêt du bisphosphonate.
  • -Très rarement: Une ostéonécrose de la mâchoire a été signalée chez des patients recevant d’acide ibandronique. La plupart des rapports concernaient des patients cancéreux, mais il était aussi question de patients traités pour une ostéoporose. Les ostéonécroses de la mâchoire surviennent généralement en relation avec des extractions dentaires et/ou des infections locales (ostéomyélite comprise). Un diagnostic de cancer, une chimiothérapie, une radiothérapie, l’administration de corticoïdes ainsi qu’une mauvaise hygiène buccale ont également été évoqués en tant que facteurs de risque (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Très rarement: osteonécrose de la mâchoire et d'autres sites buccofaciaux, y compris du conduit auditif externe (voir «Mises en garde et précautions»)
  • -Aucune information spécifique nest disponible concernant le traitement dun surdosage par Bonviva 150 mg. Si lon se base sur lexpérience acquise avec cette classe de substances, un surdosage par voie orale peut toutefois entraîner des effets indésirables au niveau de la portion supérieure du tractus gastro-intestinal, tels quembarras gastrique, dyspepsie, œsophagite, gastrite ou ulcère destomac. Faire alors prendre du lait ou des anti-acides au patient afin de lier Bonviva 150 mg. Eviter de provoquer des vomissements en raison du risque dirritation œsophagienne. La patiente doit rester en position verticale.
  • -Bonviva est dialysable. On ne dispose toutefois daucune information sur le recours à la dialyse en cas de surdosage.
  • +Aucune information spécifique n'est disponible concernant le traitement d'un surdosage par Bonviva 150 mg. Si l'on se base sur l'expérience acquise avec cette classe de substances, un surdosage par voie orale peut toutefois entraîner des effets indésirables au niveau de la portion supérieure du tractus gastro-intestinal, tels qu'embarras gastrique, dyspepsie, œsophagite, gastrite ou ulcère d'estomac. Faire alors prendre du lait ou des anti-acides au patient afin de lier Bonviva 150 mg. Eviter de provoquer des vomissements en raison du risque d'irritation œsophagienne. La patiente doit rester en position verticale.
  • +Bonviva est dialysable. On ne dispose toutefois d'aucune information sur le recours à la dialyse en cas de surdosage.
  • -Mécanisme daction
  • -Lacide ibandronique fait partie du groupe des bisphosphonates azotés, qui agissent sur le tissu osseux. Son effet sélectif repose sur sa haute affinité pour la substance minérale de los. Il inhibe lactivité des ostéoclastes sans toutefois compromettre leur recrutement.
  • -Lacide ibandronique réduit la résorption osseuse sans avoir daction directe sur la formation des os.
  • +Mécanisme d'action
  • +L'acide ibandronique fait partie du groupe des bisphosphonates azotés, qui agissent sur le tissu osseux. Son effet sélectif repose sur sa haute affinité pour la substance minérale de l'os. Il inhibe l'activité des ostéoclastes sans toutefois compromettre leur recrutement.
  • +L'acide ibandronique réduit la résorption osseuse sans avoir d'action directe sur la formation des os.
  • -Ladministration du médicament au long cours à la posologie tant journalière quintermittente (avec intervalles prolongés sans médicament) chez le rat, le chien et le singe sest traduite par la formation de nouveaux os de qualité normale et de résistance mécanique constante ou accrue, même à des doses toxiques. Chez lhomme, lefficacité de ladministration quotidienne et intermittente, avec intervalle de 9-10 semaines sans acide ibandronique, a été confirmée dans létude clinique MF 4411 dans laquelle Bonviva a fait preuve dun effet antifracturaire.
  • -Chez lanimal, les marqueurs biochimiques du remodelage osseux (désoxypyridinoline ainsi que télopeptides C et N réticulés du collagène de type I, par exemple) dans le sérum et lurine diminuent, la densité minérale osseuse augmente (DMO) et la fréquence des fractures baisse.
  • -Dans une étude de bioéquivalence de phase I à laquelle ont participé 72 femmes ménopausées ayant reçu au total 4 doses orales de 150 mg à intervalle de 28 jours, une inhibition du CTX sérique a déjà été constatée dans les 24 heures ayant suivi la prise de la première dose (inhibition médiane: 28%). Linhibition médiane maximale (69%) a été atteinte 6 jours plus tard. Six jours après la troisième et la quatrième dose, linhibition médiane maximale était de 74%; 28 jours après la quatrième dose, linhibition médiane avait baissé à 56%. A larrêt des doses dibandronate, il a été constaté une suppression de linhibition des marqueurs biochimiques de la résorption osseuse.
  • +L'administration du médicament au long cours à la posologie tant journalière qu'intermittente (avec intervalles prolongés sans médicament) chez le rat, le chien et le singe s'est traduite par la formation de nouveaux os de qualité normale et de résistance mécanique constante ou accrue, même à des doses toxiques. Chez l'homme, l'efficacité de l'administration quotidienne et intermittente, avec intervalle de 9-10 semaines sans acide ibandronique, a été confirmée dans l'étude clinique MF 4411 dans laquelle Bonviva a fait preuve d'un effet antifracturaire.
  • +Chez l'animal, les marqueurs biochimiques du remodelage osseux (désoxypyridinoline ainsi que télopeptides C et N réticulés du collagène de type I, par exemple) dans le sérum et l'urine diminuent, la densité minérale osseuse augmente (DMO) et la fréquence des fractures baisse.
  • +Dans une étude de bioéquivalence de phase I à laquelle ont participé 72 femmes ménopausées ayant reçu au total 4 doses orales de 150 mg à intervalle de 28 jours, une inhibition du CTX sérique a déjà été constatée dans les 24 heures ayant suivi la prise de la première dose (inhibition médiane: 28%). L'inhibition médiane maximale (69%) a été atteinte 6 jours plus tard. Six jours après la troisième et la quatrième dose, l'inhibition médiane maximale était de 74%; 28 jours après la quatrième dose, l'inhibition médiane avait baissé à 56%. A l'arrêt des doses d'ibandronate, il a été constaté une suppression de l'inhibition des marqueurs biochimiques de la résorption osseuse.
  • -Dans une étude multicentrique de 2 ans en double insu (BM 16549) chez des femmes ménopausées atteintes dostéoporose (score T inférieur de plus de 2,5 à la valeur initiale au niveau de la colonne lombaire), Bonviva 150 mg une fois par mois sest avéré aussi efficace que Bonviva 2,5 mg une fois par jour. Dans lanalyse primaire defficacité, laugmentation moyenne de la DMO lombaire par rapport à la valeur initiale était de 4,9% après un an (4,4%, 5,3%; intervalle de confiance à 95% [IC]) dans le groupe recevant 150 mg une fois par mois (n= 327) et de 3,9% (3,4%, 4,3%; IC à 95%) dans le groupe recevant 2,5 mg par jour (n= 318).
  • -De plus, Bonviva 150 mg une fois par mois sest avéré supérieur à Bonviva 2,5 mg une fois par jour en termes de densité minérale osseuse au niveau de la colonne lombaire dans le cadre dune évaluation prospective planifiée (p= 0,002). Des augmentations moyennes de la DMO de respectivement 3,1% et 2,0% ont été observées au niveau de la hanche totale, de respectivement 2,2% et 1,7% au niveau du col du fémur et de respectivement 4,6% et 3,2% au niveau du trochanter dans les groupes sous 150 mg une fois par mois et 2,5 mg par jour.
  • -En ce qui concerne la DMO de la colonne lombaire, 91,3% des patientes recevant 150 mg par mois ont répondu au traitement (cette réponse correspondant à une augmentation de la DMO lombaire par rapport à la valeur initiale) contre 84% des patientes ayant reçu 2,5 mg par jour (p= 0,005). En ce qui concerne la DMO de la hanche totale, 90,0% des patientes recevant 150 mg par mois ont répondu au traitement (cette réponse correspondant à une augmentation de la DMO de la hanche totale par rapport à la valeur initiale) contre 76,7% des patientes ayant reçu 2,5 mg par jour (p <0,001). Sur la base dun critère dévaluation plus strict, à savoir la DMO au niveau de la colonne lombaire et de la hanche totale, 83,9% des patientes sous 150 mg une fois par mois ont répondu au traitement en lespace dun an, contre 67,5% des patientes recevant 2,5 mg par jour (p <0,001).
  • -Lanalyse après deux ans a démontré une poursuite au cours de la deuxième année, de laugmentation significative de la DMO au niveau de la colonne lombaire (6.6%), de la hanche totale (4.2%) et du col du fémur (3.1%) et du trochanter (6.2%) dans le groupe qui recevait 150 mg une fois par mois (n= 291).
  • +Dans une étude multicentrique de 2 ans en double insu (BM 16549) chez des femmes ménopausées atteintes d'ostéoporose (score T inférieur de plus de 2,5 à la valeur initiale au niveau de la colonne lombaire), Bonviva 150 mg une fois par mois s'est avéré aussi efficace que Bonviva 2,5 mg une fois par jour. Dans l'analyse primaire d'efficacité, l'augmentation moyenne de la DMO lombaire par rapport à la valeur initiale était de 4,9% après un an (4,4%, 5,3%; intervalle de confiance à 95% [IC]) dans le groupe recevant 150 mg une fois par mois (n=327) et de 3,9% (3,4%, 4,3%; IC à 95%) dans le groupe recevant 2,5 mg par jour (n=318).
  • +De plus, Bonviva 150 mg une fois par mois s'est avéré supérieur à Bonviva 2,5 mg une fois par jour en termes de densité minérale osseuse au niveau de la colonne lombaire dans le cadre d'une évaluation prospective planifiée (p=0,002). Des augmentations moyennes de la DMO de respectivement 3,1% et 2,0% ont été observées au niveau de la hanche totale, de respectivement 2,2% et 1,7% au niveau du col du fémur et de respectivement 4,6% et 3,2% au niveau du trochanter dans les groupes sous 150 mg une fois par mois et 2,5 mg par jour.
  • +En ce qui concerne la DMO de la colonne lombaire, 91,3% des patientes recevant 150 mg par mois ont répondu au traitement (cette réponse correspondant à une augmentation de la DMO lombaire par rapport à la valeur initiale) contre 84% des patientes ayant reçu 2,5 mg par jour (p=0,005). En ce qui concerne la DMO de la hanche totale, 90,0% des patientes recevant 150 mg par mois ont répondu au traitement (cette réponse correspondant à une augmentation de la DMO de la hanche totale par rapport à la valeur initiale) contre 76,7% des patientes ayant reçu 2,5 mg par jour (p<0,001). Sur la base d'un critère d'évaluation plus strict, à savoir la DMO au niveau de la colonne lombaire et de la hanche totale, 83,9% des patientes sous 150 mg une fois par mois ont répondu au traitement en l'espace d'un an, contre 67,5% des patientes recevant 2,5 mg par jour (p<0,001).
  • +L'analyse après deux ans a démontré une poursuite au cours de la deuxième année, de l'augmentation significative de la DMO au niveau de la colonne lombaire (6.6%), de la hanche totale (4.2%) et du col du fémur (3.1%) et du trochanter (6.2%) dans le groupe qui recevait 150 mg une fois par mois (n=291).
  • -Des diminutions cliniquement significatives du taux sérique de CTX ont été enregistrées lors de toutes les mesures, cest-à-dire après 3, 6 et 12 et 24 mois. Au bout de 12 mois, la modification relative médiane était de 76% par rapport à la valeur initiale sous 150 mg par mois, au bout de 24 mois de -68%, alors quaprès 24 mois, 83% des patients recevant 150 mg par mois avaient été déclarés répondeurs (cest-à-dire présentant une baisse de plus de 50% par rapport à la valeur initiale).
  • -Sur la base des résultats de létude BM 16549, il y a tout lieu de penser que Bonviva 150 mg une fois par mois est aussi efficace que Bonviva 2,5 mg par jour dans la prévention des fractures.
  • +Des diminutions cliniquement significatives du taux sérique de CTX ont été enregistrées lors de toutes les mesures, c'est-à-dire après 3, 6 et 12 et 24 mois. Au bout de 12 mois, la modification relative médiane était de -76% par rapport à la valeur initiale sous 150 mg par mois, au bout de 24 mois de -68%, alors qu'après 24 mois, 83% des patients recevant 150 mg par mois avaient été déclarés répondeurs (c'est-à-dire présentant une baisse de plus de 50% par rapport à la valeur initiale).
  • +Sur la base des résultats de l'étude BM 16549, il y a tout lieu de penser que Bonviva 150 mg une fois par mois est aussi efficace que Bonviva 2,5 mg par jour dans la prévention des fractures.
  • -Une étude randomisée menée en double insu pendant 3 ans, contrôlée contre placebo, a mis en évidence, au niveau de la colonne lombaire (CL), une diminution statistiquement significative du nombre de nouvelles fractures vertébrales cliniques et de nouvelles fractures attestées par radiographie et morphométrie. Ont été incluses dans létude des femmes âgées de 55 à 80 ans, ménopausées depuis au moins 5 ans, présentant une densité minérale osseuse (DMO) lombaire inférieure de -2 à -5 ET à la valeur moyenne préménopausique (score T) dans au moins une vertèbre (L1-L4) et ayant déjà eu une à quatre fractures vertébrales. Toutes les patientes ont reçu 500 mg de calcium et 400 UI de vitamine D par jour. Lefficacité du traitement a été analysée chez 2929 patientes.
  • +Une étude randomisée menée en double insu pendant 3 ans, contrôlée contre placebo, a mis en évidence, au niveau de la colonne lombaire (CL), une diminution statistiquement significative du nombre de nouvelles fractures vertébrales cliniques et de nouvelles fractures attestées par radiographie et morphométrie. Ont été incluses dans l'étude des femmes âgées de 55 à 80 ans, ménopausées depuis au moins 5 ans, présentant une densité minérale osseuse (DMO) lombaire inférieure de -2 à -5 ET à la valeur moyenne préménopausique (score T) dans au moins une vertèbre (L1-L4) et ayant déjà eu une à quatre fractures vertébrales. Toutes les patientes ont reçu 500 mg de calcium et 400 UI de vitamine D par jour. L'efficacité du traitement a été analysée chez 2929 patientes.
  • -Lors dadministration quotidienne, on a observé au bout de 3 ans une augmentation de 5,3% de la DMO lombaire par rapport au groupe placebo (plus calcium et vitamine D) et de 6,5% par rapport à la valeur initiale.
  • -Après un arrêt du traitement, la résorption osseuse retrouve les valeurs qui étaient les siennes avant linstauration du traitement.
  • -Lanalyse histologique des biopsies osseuses effectuées chez des femmes ménopausées après 2 et 3 ans de traitement a mis en évidence une qualité normale des os et na fourni aucun élément indiquant un trouble de la minéralisation.
  • +Lors d'administration quotidienne, on a observé au bout de 3 ans une augmentation de 5,3% de la DMO lombaire par rapport au groupe placebo (plus calcium et vitamine D) et de 6,5% par rapport à la valeur initiale.
  • +Après un arrêt du traitement, la résorption osseuse retrouve les valeurs qui étaient les siennes avant l'instauration du traitement.
  • +L'analyse histologique des biopsies osseuses effectuées chez des femmes ménopausées après 2 et 3 ans de traitement a mis en évidence une qualité normale des os et n'a fourni aucun élément indiquant un trouble de la minéralisation.
  • -Les effets pharmacologiques de lacide ibandronique ne sont pas directement corrélés aux concentrations plasmatiques.
  • +Les effets pharmacologiques de l'acide ibandronique ne sont pas directement corrélés aux concentrations plasmatiques.
  • -La biodisponibilité absolue est de 0,6% environ. Labsorption est entravée lorsque lacide ibandronique est pris en même temps que des aliments ou des boissons (à lexception de leau du robinet). Lorsque Bonviva est pris en même temps quun petit déjeuner standard, la biodisponibilité est réduite de 90%. Jusquà une prise orale de 50 mg, les concentrations plasmatiques augmentent proportionnellement à la dose; au-delà de 50 mg, les augmentations sont plus que proportionnelles. A jeun, les concentrations plasmatiques maximales ont été atteintes après 0,5 à 2 heures (médiane: une heure). Cependant, si lacide ibandronique est pris 60 minutes avant un repas, il ny a pas de diminution notable de la biodisponibilité. La biodisponibilité et laugmentation de la DMO sont limitées si de la nourriture ou des boissons sont ingérées au cours des 60 minutes suivant la prise de Bonviva.
  • -Les études cliniques prévoyaient quune période de 6 heures devait sécouler entre la dernière ingestion de nourriture et la prise de Bonviva.
  • +La biodisponibilité absolue est de 0,6% environ. L'absorption est entravée lorsque l'acide ibandronique est pris en même temps que des aliments ou des boissons (à l'exception de l'eau du robinet). Lorsque Bonviva est pris en même temps qu'un petit déjeuner standard, la biodisponibilité est réduite de 90%. Jusqu'à une prise orale de 50 mg, les concentrations plasmatiques augmentent proportionnellement à la dose; au-delà de 50 mg, les augmentations sont plus que proportionnelles. A jeun, les concentrations plasmatiques maximales ont été atteintes après 0,5 à 2 heures (médiane: une heure). Cependant, si l'acide ibandronique est pris 60 minutes avant un repas, il n'y a pas de diminution notable de la biodisponibilité. La biodisponibilité et l'augmentation de la DMO sont limitées si de la nourriture ou des boissons sont ingérées au cours des 60 minutes suivant la prise de Bonviva.
  • +Les études cliniques prévoyaient qu'une période de 6 heures devait s'écouler entre la dernière ingestion de nourriture et la prise de Bonviva.
  • -Après lexposition systémique initiale, lacide ibandronique se lie rapidement aux os ou est éliminé dans lurine. Le volume de distribution terminal apparent est dau moins 90 l et on estime que 40-50% de la dose circulante atteignent le tissu osseux. Dans une étude, la liaison aux protéines dans du sérum humain in vitro était comprise entre 99,5 et 90,0% pour des concentrations dibandronate allant de 2 à 10 ng/ml; dans une autre étude, elle était denviron 85,7% pour des concentrations allant de 0,5 à 10 ng/ml.
  • +Après l'exposition systémique initiale, l'acide ibandronique se lie rapidement aux os ou est éliminé dans l'urine. Le volume de distribution terminal apparent est d'au moins 90 l et on estime que 40-50% de la dose circulante atteignent le tissu osseux. Dans une étude, la liaison aux protéines dans du sérum humain in vitro était comprise entre 99,5 et 90,0% pour des concentrations d'ibandronate allant de 2 à 10 ng/ml; dans une autre étude, elle était d'environ 85,7% pour des concentrations allant de 0,5 à 10 ng/ml.
  • -On ne dispose daucune donnée laissant supposer que lacide ibandronique est métabolisé chez lanimal ou chez lhomme.
  • +On ne dispose d'aucune donnée laissant supposer que l'acide ibandronique est métabolisé chez l'animal ou chez l'homme.
  • -4050% de la fraction dacide ibandronique absorbée sont soustraits à la circulation par le biais de labsorption osseuse, le reste étant éliminé sous forme inchangée par voie rénale. La fraction dacide ibandronique non absorbée est éliminée sous forme inchangée dans les selles.
  • -La demi-vie délimination terminale est de lordre de 10 à 72 heures. Les concentrations plasmatiques diminuent rapidement au début; huit heures après ladministration orale, elles ne correspondent plus quà 10% des valeurs maximales.
  • -La clairance totale de lacide ibandronique, soit 84-160 ml/min, est faible. La clairance rénale (environ 60 ml/min chez la femme saine ménopausée) représente 50-60% de la clairance totale et est corrélée avec la clairance de la créatinine.
  • +40-50% de la fraction d'acide ibandronique absorbée sont soustraits à la circulation par le biais de l'absorption osseuse, le reste étant éliminé sous forme inchangée par voie rénale. La fraction d'acide ibandronique non absorbée est éliminée sous forme inchangée dans les selles.
  • +La demi-vie d'élimination terminale est de l'ordre de 10 à 72 heures. Les concentrations plasmatiques diminuent rapidement au début; huit heures après l'administration orale, elles ne correspondent plus qu'à 10% des valeurs maximales.
  • +La clairance totale de l'acide ibandronique, soit 84-160 ml/min, est faible. La clairance rénale (environ 60 ml/min chez la femme saine ménopausée) représente 50-60% de la clairance totale et est corrélée avec la clairance de la créatinine.
  • -Il nexiste aucun élément renvoyant à des différences interethniques.
  • +Il n'existe aucun élément renvoyant à des différences interethniques.
  • -Il existe une relation linéaire entre la clairance rénale de lacide ibandronique et la clairance de la créatinine.
  • -Aucun ajustement de la dose nest nécessaire chez les patientes présentant une insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine ≥30 ml/min).
  • -Les patientes avec insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) qui ont pris, une fois par jour et pendant 21 jours, 10 mg dacide ibandronique par voie orale ont présenté des concentrations sériques 2 à 3 fois plus élevées que celles des patientes ayant une fonction rénale normale, et la clairance totale de lacide ibandronique était de 44 ml/min. Chez de telles patientes, ladministration intraveineuse de 0,5 mg dacide ibandronique a entraîné une baisse de la clairance totale, de la clairance rénale et de la clairance non rénale de respectivement 67%, 77% et 50%. Lexposition plus importante nest cependant pas allée de pair avec une tolérance moindre. Chez les patientes présentant des troubles sévères de la fonction rénale, le bénéfice pour la patiente doit être évalué au cas par cas par rapport aux risques encourus.
  • +Il existe une relation linéaire entre la clairance rénale de l'acide ibandronique et la clairance de la créatinine.
  • +Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire chez les patientes présentant une insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine ≥30 ml/min).
  • +Les patientes avec insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) qui ont pris, une fois par jour et pendant 21 jours, 10 mg d'acide ibandronique par voie orale ont présenté des concentrations sériques 2 à 3 fois plus élevées que celles des patientes ayant une fonction rénale normale, et la clairance totale de l'acide ibandronique était de 44 ml/min. Chez de telles patientes, l'administration intraveineuse de 0,5 mg d'acide ibandronique a entraîné une baisse de la clairance totale, de la clairance rénale et de la clairance non rénale de respectivement 67%, 77% et 50%. L'exposition plus importante n'est cependant pas allée de pair avec une tolérance moindre. Chez les patientes présentant des troubles sévères de la fonction rénale, le bénéfice pour la patiente doit être évalué au cas par cas par rapport aux risques encourus.
  • -On ne dispose daucune donnée pharmacocinétique sur lacide ibandronique chez les patientes présentant une insuffisance hépatique. Le foie ne joue pas de rôle déterminant dans la clairance de lacide ibandronique, puisque celui-ci est non pas métabolisé, mais soustrait à la circulation générale par élimination rénale et par absorption dans le tissu osseux. Cest pourquoi aucun ajustement de la dose nest nécessaire chez les insuffisants hépatiques.
  • +On ne dispose d'aucune donnée pharmacocinétique sur l'acide ibandronique chez les patientes présentant une insuffisance hépatique. Le foie ne joue pas de rôle déterminant dans la clairance de l'acide ibandronique, puisque celui-ci est non pas métabolisé, mais soustrait à la circulation générale par élimination rénale et par absorption dans le tissu osseux. C'est pourquoi aucun ajustement de la dose n'est nécessaire chez les insuffisants hépatiques.
  • -La diminution de la fonction rénale avec lâge doit être prise en considération.
  • +La diminution de la fonction rénale avec l'âge doit être prise en considération.
  • -Aucune donnée pharmacocinétique nest disponible en ce qui concerne les patientes de moins de 18 ans.
  • +Aucune donnée pharmacocinétique n'est disponible en ce qui concerne les patientes de moins de 18 ans.
  • -Dans des études sur ladministration chronique du médicament, le rein a été le siège principal des effets toxiques, indépendamment du schéma posologique et de la voie dadministration (i.v. ou orale); la toxicité secondaire sest exercée au niveau du foie et du tractus intestinal.
  • -Il na pas été effectué détudes sur ladministration orale intermittente de doses élevées.
  • +Dans des études sur l'administration chronique du médicament, le rein a été le siège principal des effets toxiques, indépendamment du schéma posologique et de la voie d'administration (i.v. ou orale); la toxicité secondaire s'est exercée au niveau du foie et du tractus intestinal.
  • +Il n'a pas été effectué d'études sur l'administration orale intermittente de doses élevées.
  • -On na observé aucun signe évocateur dun potentiel cancérogène. Des tests de génotoxicité nont fourni aucun indice sur une éventuelle activité génétique de lacide ibandronique.
  • +On n'a observé aucun signe évocateur d'un potentiel cancérogène. Des tests de génotoxicité n'ont fourni aucun indice sur une éventuelle activité génétique de l'acide ibandronique.
  • -Ladministration orale dacide ibandronique chez le rat et le lapin na permis de mettre en évidence aucun effet toxique ou tératogène sur le fœtus. Chez le rat, ladministration dune dose au moins 35 fois supérieure à lexposition prévisible chez lhomme na montré aucun effet indésirable sur le développement de la descendance F1. Les effets indésirables de lacide ibandronique, observés dans le cadre détudes portant sur la toxicité sur la reproduction chez le rat, étaient semblables à ceux observés pour la classe des bisphosphonates en général. Font partie de ces effets indésirables: diminution du nombre de points de nidation, influence négative sur laccouchement naturel (dystocie) et augmentation des altérations viscérales (syndrome pyélo-urétéral).
  • +L'administration orale d'acide ibandronique chez le rat et le lapin n'a permis de mettre en évidence aucun effet toxique ou tératogène sur le fœtus. Chez le rat, l'administration d'une dose au moins 35 fois supérieure à l'exposition prévisible chez l'homme n'a montré aucun effet indésirable sur le développement de la descendance F1. Les effets indésirables de l'acide ibandronique, observés dans le cadre d'études portant sur la toxicité sur la reproduction chez le rat, étaient semblables à ceux observés pour la classe des bisphosphonates en général. Font partie de ces effets indésirables: diminution du nombre de points de nidation, influence négative sur l'accouchement naturel (dystocie) et augmentation des altérations viscérales (syndrome pyélo-urétéral).
  • -Mars 2015.
  • +Mai 2016.
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