68 Changements de l'information professionelle Alvesco 80 ug |
-OEMéd
-1 dose à inhaler d’Alvesco 80 contient: Ciclesonidum 80 µg «ex actuator»*.
-1 dose à inhaler d’Alvesco 160 contient: Ciclesonidum 160 µg «ex actuator»*.
-* 80 µg «ex actuator» (dose libérée à partir de l’embout buccal) = 100 µg Alvesco «ex valve» (dose libérée à partir de la valve).
- +Solution aérosol pour l'inhalation
- +1 dose à inhaler d'Alvesco 80 contient: Ciclesonidum 80 μg «ex actuator»*.
- +1 dose à inhaler d'Alvesco 160 contient: Ciclesonidum 160 μg «ex actuator»*.
- +* 80 μg «ex actuator» (dose libérée à partir de l'embout buccal) = 100 μg Alvesco «ex valve» (dose libérée à partir de la valve).
-Pour le traitement anti-inflammatoire à long terme de l’asthme chez les adultes, les adolescents et les enfants dès 6 ans.
- +Pour le traitement anti-inflammatoire à long terme de l'asthme chez les adultes, les adolescents et les enfants dès 6 ans.
-Alvesco est destiné exclusivement à l’inhalation par voie orale.
-Étant donné qu’il s’agit d’un traitement à long terme, Alvesco doit être utilisé tous les jours pendant une période prolongée.
-La posologie d’Alvesco est fixée individuellement. La dose initiale doit être adaptée au degré de gravité de la maladie. Dès que l’efficacité clinique souhaitée a été obtenue, la dose doit être diminuée progressivement, jusqu’à la dose la plus faible nécessaire pour le contrôle des symptômes.
- +Alvesco est destiné exclusivement à l'inhalation par voie orale.
- +Étant donné qu'il s'agit d'un traitement à long terme, Alvesco doit être utilisé tous les jours pendant une période prolongée.
- +La posologie d'Alvesco est fixée individuellement. La dose initiale doit être adaptée au degré de gravité de la maladie. Dès que l'efficacité clinique souhaitée a été obtenue, la dose doit être diminuée progressivement, jusqu'à la dose la plus faible nécessaire pour le contrôle des symptômes.
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-Asthme léger à modéré: la dose journalière recommandée varie entre 160 et 640 µg et doit être répartie en une à deux administrations par jour.
-Asthme sévère: la dose peut être portée jusqu’à 2× 640 µg par jour.
-Les symptômes de l’asthme s’améliorent en l’espace de 24 heures après le début du traitement par Alvesco. Il faut partir du principe que, comme pour d’autres corticostéroïdes à inhaler, l’effet maximal est obtenu après une durée de traitement de deux à trois mois.
-Les patients ne doivent pas interrompre le traitement, même lorsqu’ils ne ressentent plus de symptômes asthmatiques.
- +Asthme léger à modéré: la dose journalière recommandée varie entre 160 et 640 μg et doit être répartie en une à deux administrations par jour.
- +Asthme sévère: la dose peut être portée jusqu'à 2× 640 μg par jour.
- +Les symptômes de l'asthme s'améliorent en l'espace de 24 heures après le début du traitement par Alvesco. Il faut partir du principe que, comme pour d'autres corticostéroïdes à inhaler, l'effet maximal est obtenu après une durée de traitement de deux à trois mois.
- +Les patients ne doivent pas interrompre le traitement, même lorsqu'ils ne ressentent plus de symptômes asthmatiques.
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-Asthme léger à modéré: la dose journalière recommandée se situe entre 80 et 160 µg une fois par jour ou 80 µg deux fois par jour.
-Asthme sévère: la posologie adéquate ainsi que l’efficacité et la sécurité d’emploi pour cette indication n’ont à ce jour pas été confirmées directement par des études.
- +Asthme léger à modéré: la dose journalière recommandée se situe entre 80 et 160 μg une fois par jour ou 80 μg deux fois par jour.
- +Asthme sévère: la posologie adéquate ainsi que l'efficacité et la sécurité d'emploi pour cette indication n'ont à ce jour pas été confirmées directement par des études.
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-Aucune adaptation de la dose n’est nécessaire chez les patients âgés ou les patients atteints d’insuffisance hépatique ou rénale.
- +Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire chez les patients âgés ou les patients atteints d'insuffisance hépatique ou rénale.
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-Chez les patients atteints d’asthme persistant sévère, qui dépendent d’un traitement oral par la prednisone, la dose d’Alvesco se monte à 640 µg deux fois par jour. Pour faire passer un patient d’un stéroïde oral à Alvesco, il devrait se trouver en phase stable. La dose d’Alvesco (deux fois par jour 640 µg) doit être administrée durant 10 jours en association avec le stéroïde oral. Ensuite, la dose du stéroïde oral doit être réduite progressivement toutes les semaines, jusqu’au niveau le plus bas possible, la dose journalière ne devant toutefois pas être réduite de plus de 2,5 mg par jour.
- +Chez les patients atteints d'asthme persistant sévère, qui dépendent d'un traitement oral par la prednisone, la dose d'Alvesco se monte à 640 µg deux fois par jour. Pour faire passer un patient d'un stéroïde oral à Alvesco, il devrait se trouver en phase stable. La dose d'Alvesco (deux fois par jour 640 µg) doit être administrée durant 10 jours en association avec le stéroïde oral. Ensuite, la dose du stéroïde oral doit être réduite progressivement toutes les semaines, jusqu'au niveau le plus bas possible, la dose journalière ne devant toutefois pas être réduite de plus de 2,5 mg par jour.
-Hypersensibilité connue au principe actif ou à l’un des excipients.
- +Hypersensibilité connue au principe actif ou à l'un des excipients.
-L’emploi d’Alvesco chez les patients atteints d’une tuberculose pulmonaire active ou latente, d’infections bactériennes, virales ou de mycoses de l’appareil respiratoire requiert une prudence particulière.
-Alvesco n’est pas indiqué pour le traitement du status asthmaticus ou d’autres crises asthmatiques aiguës nécessitant des mesures thérapeutiques intenses.
-Alvesco n’est pas indiqué pour soulager des symptômes asthmatiques aigus nécessitant un traitement par des bronchodilatateurs à inhaler de courte durée d’action. Il faut expliquer aux patients qu’ils doivent porter sur eux de tels médicaments d’urgence.
-Les patients atteints d’asthme sévère sont exposés à un risque de crise asthmatique aiguë. Chez ces patients, il convient de procéder à des contrôles réguliers de l’asthme, qui doivent comprendre un test de la fonction pulmonaire. Une augmentation de l’utilisation des bronchodilatateurs à courte durée d’action destinés à soulager les symptômes asthmatiques indique que le contrôle de l’asthme est insuffisant. Lorsque le patient a l’impression que l’effet des bronchodilatateurs à courte durée d’action diminue ou qu’il a besoin d’un plus grand nombre d’inhalations qu’habituellement, il convient de réadapter le traitement. Une augmentation de la dose d’Alvesco ou un traitement par des corticostéroïdes oraux peut éventuellement s’avérer nécessaire. Les exacerbations sévères de l’asthme doivent être traitées avec les mesures habituelles.
-Les corticostéroïdes à inhaler peuvent avoir des effets systémiques, notamment lors de l’utilisation de doses élevées durant une période prolongée. Toutefois, l’apparition d’effets systémiques sous corticostéroïdes oraux est plus probable. Les effets systémiques possibles comprennent, à côté d’un syndrome de Cushing et de symptômes cushingoïdes, également une inhibition de la fonction corticosurrénalienne (suppression adrénergique), incluant des épisodes hypoglycémiques, un ralentissement de la croissance chez les enfants et les adolescents, une diminution de la densité osseuse, des cataractes et des glaucomes. C’est pourquoi il est important de choisir la dose de corticostéroïdes à inhaler la plus faible encore efficace permettant d’obtenir un contrôle satisfaisant de l’asthme.
-L’effet à long terme des stéroïdes à inhaler chez les enfants n’a pas été entièrement élucidé. De manière générale, on considère que le médecin doit surveiller de près la croissance des enfants qui bénéficient d’un traitement prolongé aux glucocorticostéroïdes.
-Un traitement par Alvesco à inhaler devrait baisser le besoin du patient en corticostéroïdes oraux. Toutefois, la diminution de la fonction adrénergique de réserve pourrait persister longtemps après le passage à un traitement par inhalation par Alvesco chez les patients ayant utilisé auparavant une corticothérapie orale. L’apparition d’effets indésirables des stéroïdes oraux est encore possible pendant quelques temps. Un contrôle particulier peut éventuellement être indiqué chez ces patients avant l’instauration d’un traitement, afin de déterminer l’ampleur de l’altération de la fonction adrénergique. Dans des situations d’urgence médicale ou chirurgicale, ainsi que dans d’autres situations isolées susceptibles de provoquer une réaction de stress, il faut toujours prendre en considération la possibilité d’une insuffisance corticosurrénalienne restante et instaurer un traitement approprié aux corticoïdes.
-En cas d’inefficacité ou d’exacerbations sévères, il faut augmenter la dose d’Alvesco à inhaler ou administrer des stéroïdes oraux si nécessaire. Lors d’une infection, il convient d’administrer des antibiotiques.
- +L'emploi d'Alvesco chez les patients atteints d'une tuberculose pulmonaire active ou latente, d'infections bactériennes, virales ou de mycoses de l'appareil respiratoire requiert une prudence particulière.
- +Alvesco n'est pas indiqué pour le traitement du status asthmaticus ou d'autres crises asthmatiques aiguës nécessitant des mesures thérapeutiques intenses.
- +Alvesco n'est pas indiqué pour soulager des symptômes asthmatiques aigus nécessitant un traitement par des bronchodilatateurs à inhaler de courte durée d'action. Il faut expliquer aux patients qu'ils doivent porter sur eux de tels médicaments d'urgence.
- +Les patients atteints d'asthme sévère sont exposés à un risque de crise asthmatique aiguë. Chez ces patients, il convient de procéder à des contrôles réguliers de l'asthme, qui doivent comprendre un test de la fonction pulmonaire. Une augmentation de l'utilisation des bronchodilatateurs à courte durée d'action destinés à soulager les symptômes asthmatiques indique que le contrôle de l'asthme est insuffisant. Lorsque le patient a l'impression que l'effet des bronchodilatateurs à courte durée d'action diminue ou qu'il a besoin d'un plus grand nombre d'inhalations qu'habituellement, il convient de réadapter le traitement. Une augmentation de la dose d'Alvesco ou un traitement par des corticostéroïdes oraux peut éventuellement s'avérer nécessaire. Les exacerbations sévères de l'asthme doivent être traitées avec les mesures habituelles.
- +Les corticostéroïdes à inhaler peuvent avoir des effets systémiques, notamment lors de l'utilisation de doses élevées durant une période prolongée. Toutefois, l'apparition d'effets systémiques sous corticostéroïdes oraux est plus probable. Les effets systémiques possibles comprennent, à côté d'un syndrome de Cushing et de symptômes cushingoïdes, également une inhibition de la fonction corticosurrénalienne (suppression adrénergique), incluant des épisodes hypoglycémiques, un ralentissement de la croissance chez les enfants et les adolescents, une diminution de la densité osseuse, des cataractes et des glaucomes. C'est pourquoi il est important de choisir la dose de corticostéroïdes à inhaler la plus faible encore efficace permettant d'obtenir un contrôle satisfaisant de l'asthme.
- +L'effet à long terme des stéroïdes à inhaler chez les enfants n'a pas été entièrement élucidé. De manière générale, on considère que le médecin doit surveiller de près la croissance des enfants qui bénéficient d'un traitement prolongé aux glucocorticostéroïdes.
- +Un traitement par Alvesco à inhaler devrait baisser le besoin du patient en corticostéroïdes oraux. Toutefois, la diminution de la fonction adrénergique de réserve pourrait persister longtemps après le passage à un traitement par inhalation par Alvesco chez les patients ayant utilisé auparavant une corticothérapie orale. L'apparition d'effets indésirables des stéroïdes oraux est encore possible pendant quelques temps. Un contrôle particulier peut éventuellement être indiqué chez ces patients avant l'instauration d'un traitement, afin de déterminer l'ampleur de l'altération de la fonction adrénergique. Dans des situations d'urgence médicale ou chirurgicale, ainsi que dans d'autres situations isolées susceptibles de provoquer une réaction de stress, il faut toujours prendre en considération la possibilité d'une insuffisance corticosurrénalienne restante et instaurer un traitement approprié aux corticoïdes.
- +En cas d'inefficacité ou d'exacerbations sévères, il faut augmenter la dose d'Alvesco à inhaler ou administrer des stéroïdes oraux si nécessaire. Lors d'une infection, il convient d'administrer des antibiotiques.
-Un bronchospasme paradoxal avec une augmentation du nombre de râles respiratoires ou d’autres symptômes d’une bronchoconstriction apparaissant immédiatement après l’inhalation doit être traité avec un bronchodilatateur à inhaler de courte durée d’action, ce qui permet habituellement de soulager rapidement les symptômes. Le patient doit être examiné, et le traitement par Alvesco ne doit être poursuivi que si une évaluation soigneuse de la situation laisse supposer que les bénéfices attendus dépassent le risque potentiel. Il convient de prendre en considération une interaction entre le degré de gravité de l’asthme et une prédisposition générale aux réactions bronchiques aiguës (voir également sous «Effets indésirables»):
-La technique d’inhalation du patient devrait être contrôlée régulièrement, afin d’assurer que la dose inhalée est administrée correctement et que le principe actif atteint les poumons de manière optimale.
- +Un bronchospasme paradoxal avec une augmentation du nombre de râles respiratoires ou d'autres symptômes d'une bronchoconstriction apparaissant immédiatement après l'inhalation doit être traité avec un bronchodilatateur à inhaler de courte durée d'action, ce qui permet habituellement de soulager rapidement les symptômes. Le patient doit être examiné, et le traitement par Alvesco ne doit être poursuivi que si une évaluation soigneuse de la situation laisse supposer que les bénéfices attendus dépassent le risque potentiel. Il convient de prendre en considération une interaction entre le degré de gravité de l'asthme et une prédisposition générale aux réactions bronchiques aiguës (voir également sous «Effets indésirables»).
- +La technique d'inhalation du patient devrait être contrôlée régulièrement, afin d'assurer que la dose inhalée est administrée correctement et que le principe actif atteint les poumons de manière optimale.
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-Le passage d’un traitement par des stéroïdes oraux à un traitement par Alvesco et le suivi nécessaire requièrent une attention particulière, car le rétablissement des fonctions diminuées de la corticosurrénale sous le traitement prolongé par stéroïdes systémiques peut prendre un certain temps.
- +Le passage d'un traitement par des stéroïdes oraux à un traitement par Alvesco et le suivi nécessaire requièrent une attention particulière, car le rétablissement des fonctions diminuées de la corticosurrénale sous le traitement prolongé par stéroïdes systémiques peut prendre un certain temps.
-Après une semaine environ, la dose des stéroïdes systémiques peut être réduite progressivement par une diminution de la dose de prednisolone ou de son équivalent par paliers de 1 mg par jour. Lors de doses d’entretien supérieures à 10 mg de prednisolone par jour, il peut être indiqué de procéder à des réductions plus importantes des doses de prednisolone à des intervalles hebdomadaires.
-Il est possible que certains patients se sentent mal durant la phase de la réduction posologique, même si la fonction respiratoire est maintenue ou s’améliore. Le médecin doit alors contrôler immédiatement la présence d’une éventuelle insuffisance corticosurrénalienne chez ces patients.
-Les patients qui avaient préalablement été traités avec des stéroïdes oraux et qui continuent à présenter une insuffisance corticosurrénalienne devraient porter sur eux un certificat attestant du fait qu’ils ont besoin de stéroïdes systémiques supplémentaires lors de stress (p.ex. crises asthmatiques sévères, infections du thorax, maladies intercurrentes majeures, interventions chirurgicales, traumatismes, etc.).
-La substitution de stéroïdes systémiques par une thérapie par inhalation déclenche parfois des allergies qui étaient masquées jusqu’alors par le traitement systémique, notamment un rhume des foins ou un eczéma. Ces allergies doivent être traitées symptomatiquement avec des antihistaminiques et/ou des préparations topiques, y compris des stéroïdes topiques.
- +Après une semaine environ, la dose des stéroïdes systémiques peut être réduite progressivement par une diminution de la dose de prednisolone ou de son équivalent par paliers de 1 mg par jour. Lors de doses d'entretien supérieures à 10 mg de prednisolone par jour, il peut être indiqué de procéder à des réductions plus importantes des doses de prednisolone à des intervalles hebdomadaires.
- +Il est possible que certains patients se sentent mal durant la phase de la réduction posologique, même si la fonction respiratoire est maintenue ou s'améliore. Le médecin doit alors contrôler immédiatement la présence d'une éventuelle insuffisance corticosurrénalienne chez ces patients.
- +Les patients qui avaient préalablement été traités avec des stéroïdes oraux et qui continuent à présenter une insuffisance corticosurrénalienne devraient porter sur eux un certificat attestant du fait qu'ils ont besoin de stéroïdes systémiques supplémentaires lors de stress (p.ex. crises asthmatiques sévères, infections du thorax, maladies intercurrentes majeures, interventions chirurgicales, traumatismes, etc.).
- +La substitution de stéroïdes systémiques par une thérapie par inhalation déclenche parfois des allergies qui étaient masquées jusqu'alors par le traitement systémique, notamment un rhume des foins ou un eczéma. Ces allergies doivent être traitées symptomatiquement avec des antihistaminiques et/ou des préparations topiques, y compris des stéroïdes topiques.
-Des données in vitro montrent que le CYP3A4 est la principale enzyme impliquée dans le métabolisme du métabolite actif M1 (des-ciclésonide) du ciclésonide dans l’organisme humain.
-Les concentrations sériques du ciclésonide et de son métabolite actif sont faibles, et généralement une influence notable sur le métabolisme d’autres médicaments n’est pas à craindre. Toutefois, l’application d’un inhibiteur puissant du cytochrome P450 3A4 (p.ex. kétokonazole, itraconazole, nelfinavir ou ritonavir) fera l’objet d’une évaluation soigneuse, car une augmentation de la concentration sérique du ciclésonide respectivement du métabolite est possible, et le risque d’effets secondaires systémiques liés aux corticostéroïdes ne peut être exclu (p.ex. un syndrome de Cushing).
-Une étude portant sur l’interaction entre le ciclésonide et l’érythromycine, un substrat du CYP3A4, n’a pas montré d’interaction entre les deux substances.
- +Des données in vitro montrent que le CYP3A4 est la principale enzyme impliquée dans le métabolisme du métabolite actif M1 (des-ciclésonide) du ciclésonide dans l'organisme humain.
- +Les concentrations sériques du ciclésonide et de son métabolite actif sont faibles, et généralement une influence notable sur le métabolisme d'autres médicaments n'est pas à craindre. Toutefois, l'application d'un inhibiteur puissant du cytochrome P450 3A4 (p.ex. kétokonazole, itraconazole, nelfinavir ou ritonavir) fera l'objet d'une évaluation soigneuse, car une augmentation de la concentration sérique du ciclésonide respectivement du métabolite est possible, et le risque d'effets secondaires systémiques liés aux corticostéroïdes ne peut être exclu (p.ex. un syndrome de Cushing).
- +Une étude portant sur l'interaction entre le ciclésonide et l'érythromycine, un substrat du CYP3A4, n'a pas montré d'interaction entre les deux substances.
-Aucune étude contrôlée n’a été réalisée chez des femmes enceintes. Toutefois, les concentrations sériques du ciclésonide après administration par inhalation sont généralement très faibles; par conséquent, l’exposition foetale est négligeable et le potentiel d’une toxicité de reproduction est faible. Le passage du ciclésonide ou de ses métabolites dans le lait maternel n’a pas fait l’objet d’études.
-Comme d’autres corticostéroïdes à inhaler, le ciclésonide ne doit être utilisé durant la grossesse ou en période d’allaitement qu’en cas d’indication expresse. Les nouveau-nés dont la mère a été traitée par des corticostéroïdes durant la grossesse doivent faire l’objet d’une surveillance étroite quant à la présence d’un hypoadrénalisme.
- +Aucune étude contrôlée n'a été réalisée chez des femmes enceintes. Toutefois, les concentrations sériques du ciclésonide après administration par inhalation sont généralement très faibles; par conséquent, l'exposition fœtale est négligeable et le potentiel d'une toxicité de reproduction est faible. Le passage du ciclésonide ou de ses métabolites dans le lait maternel n'a pas fait l'objet d'études.
- +Comme d'autres corticostéroïdes à inhaler, le ciclésonide ne doit être utilisé durant la grossesse ou en période d'allaitement qu'en cas d'indication expresse. Les nouveau-nés dont la mère a été traitée par des corticostéroïdes durant la grossesse doivent faire l'objet d'une surveillance étroite quant à la présence d'un hypoadrénalisme.
-L’effet d’Alvesco sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines n’a pas fait l’objet d’études particulières. Il est peu probable qu’Alvesco ait une influence sur la capacité à conduire et l’utilisation de machines.
- +L'effet d'Alvesco sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines n'a pas fait l'objet d'études particulières. Il est peu probable qu'Alvesco ait une influence sur la capacité à conduire et l'utilisation de machines.
-Au cours d’études cliniques, près de 5% des patients ont présenté des effets indésirables sous des doses journalières d’Alvesco situées entre 80 et 1280 µg. Dans la plupart des cas, ces effets indésirables étaient légers et n’ont pas imposé l’arrêt du traitement par Alvesco.
- +Au cours d'études cliniques, près de 5% des patients ont présenté des effets indésirables sous des doses journalières d'Alvesco situées entre 80 et 1280 µg. Dans la plupart des cas, ces effets indésirables étaient légers et n'ont pas imposé l'arrêt du traitement par Alvesco.
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-Occasionnels: muguet buccal* (la fréquence variant en fonction de la dose, sous des doses moyennes [2× 320 µg] = 2%; le rinçage de la bouche à l’eau ou la prise de nourriture immédiatement après l’emploi d’Alvesco permet de diminuer les risques d’apparition d’un muguet).
- +Occasionnels: muguet buccal* (la fréquence variant en fonction de la dose, sous des doses moyennes [2× 320 µg] = 2%; le rinçage de la bouche à l'eau ou la prise de nourriture immédiatement après l'emploi d'Alvesco permet de diminuer les risques d'apparition d'un muguet).
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-Occasionnels: dysphonie, toux après l’inhalation*, bronchospasme paradoxal*.
- +Occasionnels: dysphonie, toux après l'inhalation*, bronchospasme paradoxal*.
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-Troubles généraux et réactions au site d’application
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- +Troubles généraux et réactions au site d'application
-** Dans le cadre des études cliniques, des palpitations n’ont été observées, la plupart du temps, qu’en cas de prise concomitante de médicaments à effets cardiaques connus (par ex. théophylline ou salbutamol).
-Un bronchospasme paradoxal peut apparaître immédiatement après l’inhalation. Il s’agit d’une réaction non spécifique à tous les médicaments inhalés. Cet effet peut être dû au principe actif, aux excipients ou au froid produit par l’évaporation apparaissant lors de l’utilisation d’aérosols-doseurs. Dans la plupart des cas, il s’agit d’une réaction indésirable légère, qui ne nécessite pas l’arrêt du traitement par Alvesco et qui peut même s’atténuer spontanément. Dans les cas sévères, l’arrêt du traitement par Alvesco doit être envisagé (voir également sous «Mises en garde et précautions»).
- +** Dans le cadre des études cliniques, des palpitations n'ont été observées, la plupart du temps, qu'en cas de prise concomitante de médicaments à effets cardiaques connus (par ex. théophylline ou salbutamol).
- +Un bronchospasme paradoxal peut apparaître immédiatement après l'inhalation. Il s'agit d'une réaction non spécifique à tous les médicaments inhalés. Cet effet peut être dû au principe actif, aux excipients ou au froid produit par l'évaporation apparaissant lors de l'utilisation d'aérosols-doseurs. Dans la plupart des cas, il s'agit d'une réaction indésirable légère, qui ne nécessite pas l'arrêt du traitement par Alvesco et qui peut même s'atténuer spontanément. Dans les cas sévères, l'arrêt du traitement par Alvesco doit être envisagé (voir également sous «Mises en garde et précautions»).
-L’inhalation d’une dose unique de 2880 µg de ciclésonide a été bien tolérée par des volontaires sains. Le potentiel d’apparition de réactions aiguës de toxicité après un surdosage de ciclésonide inhalé est faible. Aucun traitement spécifique n’est nécessaire après un surdosage aigu.
- +Aigu
- +L'inhalation d'une dose unique de 2880 µg de ciclésonide a été bien tolérée par des volontaires sains. Le potentiel d'apparition de réactions aiguës de toxicité après un surdosage de ciclésonide inhalé est faible. Aucun traitement spécifique n'est nécessaire après un surdosage aigu.
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-Aucun symptôme clinique d’une suppression adrénergique n’a été observé après l’administration prolongée de 1280 µg de ciclésonide. Il ne faut toutefois pas exclure que la fonction adrénergique diminue jusqu’à un certain degré lorsque des doses supérieures aux doses recommandées sont administrées de manière continue pendant une période prolongée. Une surveillance de la fonction corticosurrénalienne pourrait être nécessaire. Lors d’un surdosage d’Alvesco, le traitement peut tout de même être poursuivi à la posologie permettant de contrôler l’asthme.
- +Aucun symptôme clinique d'une suppression adrénergique n'a été observé après l'administration prolongée de 1280 µg de ciclésonide. Il ne faut toutefois pas exclure que la fonction adrénergique diminue jusqu'à un certain degré lorsque des doses supérieures aux doses recommandées sont administrées de manière continue pendant une période prolongée. Une surveillance de la fonction corticosurrénalienne pourrait être nécessaire. Lors d'un surdosage d'Alvesco, le traitement peut tout de même être poursuivi à la posologie permettant de contrôler l'asthme.
- +Mécanisme d'action et pharmacodynamie
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-Au cours de trois études cliniques, le ciclésonide a réussi à diminuer la réactivité respiratoire vis-à-vis de l’adénosine monophosphate des patients hyperréactifs. Au cours d’une autre étude, le traitement préalable par ciclésonide durant 7 jours a entraîné une diminution significative des réactions précoces et tardives après une exposition par inhalation à des allergènes. En outre, l’augmentation du nombre de cellules inflammatoires (total éosinophiles) et des médiateurs de l’inflammation dans l’expectoration induite était atténuée après le traitement par ciclésonide à inhaler.
-Au cours d’une étude avec le principe actif et un contrôle placebo, les taux plasmatiques (AUC) sur 24 heures du cortisol ont été comparés chez 26 asthmatiques adultes après 7 jours de traitement par ciclésonide. Le taux plasmatique moyen de cortisol sur 24 heures (AUC(0–24) /24 h) avait diminué de 11%, de 10% et de 11% (p ≥0,05) par rapport au placebo après l’administration de respectivement 320 µg, 640 µg et 1280 µg/jour de ciclésonide.
- +Au cours de trois études cliniques, le ciclésonide a réussi à diminuer la réactivité respiratoire vis-à-vis de l'adénosine monophosphate des patients hyperréactifs. Au cours d'une autre étude, le traitement préalable par ciclésonide durant 7 jours a entraîné une diminution significative des réactions précoces et tardives après une exposition par inhalation à des allergènes. En outre, l'augmentation du nombre de cellules inflammatoires (total éosinophiles) et des médiateurs de l'inflammation dans l'expectoration induite était atténuée après le traitement par ciclésonide à inhaler.
- +Au cours d'une étude avec le principe actif et un contrôle placebo, les taux plasmatiques (AUC) sur 24 heures du cortisol ont été comparés chez 26 asthmatiques adultes après 7 jours de traitement par ciclésonide. Le taux plasmatique moyen de cortisol sur 24 heures (AUC(0-24)/24 h) avait diminué de 11%, de 10% et de 11% (p≥0,05) par rapport au placebo après l'administration de respectivement 320 µg, 640 µg et 1280 µg/jour de ciclésonide.
-Alvesco est disponible sous forme d’une solution aérosol avec le gaz propulseur norflurane (HFA-134a) et de l’éthanol. Il montre une relation linéaire entre la posologie, les concentrations dans les bouffées et l’exposition systémique.
- +Alvesco est disponible sous forme d'une solution aérosol avec le gaz propulseur norflurane (HFA-134a) et de l'éthanol. Il montre une relation linéaire entre la posologie, les concentrations dans les bouffées et l'exposition systémique.
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-Après administration par voie orale et intraveineuse de ciclésonide marqué radioactivement, il s’est avéré que l’absorption orale est incomplète (24,5%). La biodisponibilité orale du ciclésonide et du métabolite actif est négligeable (<0,5% pour le ciclésonide, <1% pour le métabolite) en raison d’un effet de premier passage élevé. D’après des examens par γ-scintigraphie chez des volontaires sains, le ciclésonide se dépose dans les poumons à hauteur de plus de 50%. Cette valeur correspond également à la biodisponibilité systémique du métabolite actif après une dose inhalée, supérieure à 50%. Etant donné que la biodisponibilité orale du métabolite actif est inférieure à 1%, la fraction avalée du médicament inhalé n’influence pas l’exposition systémique.
- +Après administration par voie orale et intraveineuse de ciclésonide marqué radioactivement, il s'est avéré que l'absorption orale est incomplète (24,5%). La biodisponibilité orale du ciclésonide et du métabolite actif est négligeable (<0,5% pour le ciclésonide, <1% pour le métabolite) en raison d'un effet de premier passage élevé. D'après des examens par γ-scintigraphie chez des volontaires sains, le ciclésonide se dépose dans les poumons à hauteur de plus de 50%. Cette valeur correspond également à la biodisponibilité systémique du métabolite actif après une dose inhalée, supérieure à 50%. Etant donné que la biodisponibilité orale du métabolite actif est inférieure à 1%, la fraction avalée du médicament inhalé n'influence pas l'exposition systémique.
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-Après administration intraveineuse de ciclésonide à des volontaires sains, la phase initiale de distribution du ciclésonide était rapide et homogène en raison de son caractère lipophile marqué. Le volume de distribution était en moyenne de 2,9 l/kg pour le ciclésonide et de 12,1 l/kg pour le des-ciclésonide. Le ciclésonide se lie aux protéines plasmatiques à hauteur de 99% environ, le métabolite actif à hauteur de 98–99%, ce qui est équivalent à une liaison quasiment complète du ciclésonide en circulation et de son métabolite actif. Seule la fraction libre d’un médicament présent dans la circulation systémique est disponible pour un effet pharmacodynamique supplémentaire.
- +Après administration intraveineuse de ciclésonide à des volontaires sains, la phase initiale de distribution du ciclésonide était rapide et homogène en raison de son caractère lipophile marqué. Le volume de distribution était en moyenne de 2,9 l/kg pour le ciclésonide et de 12,1 l/kg pour le des-ciclésonide. Le ciclésonide se lie aux protéines plasmatiques à hauteur de 99% environ, le métabolite actif à hauteur de 98-99%, ce qui est équivalent à une liaison quasiment complète du ciclésonide en circulation et de son métabolite actif. Seule la fraction libre d'un médicament présent dans la circulation systémique est disponible pour un effet pharmacodynamique supplémentaire.
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-Le ciclésonide est hydrolysé en son métabolite biologiquement actif. Des études relatives à l’enzymologie de la suite du métabolisme par des microsomes hépatiques humains ont montré que le métabolite actif du ciclésonide est transformé par catalyse par le CYP3A4 en métabolites hydroxylés inactifs. La clairance du ciclésonide (environ 152 l/h) et la clairance apparente du des-ciclésonide (environ 228 l/h) laissent supposer que l’extraction hépatique est élevée.
- +Le ciclésonide est hydrolysé en son métabolite biologiquement actif. Des études relatives à l'enzymologie de la suite du métabolisme par des microsomes hépatiques humains ont montré que le métabolite actif du ciclésonide est transformé par catalyse par le CYP3A4 en métabolites hydroxylés inactifs. La clairance du ciclésonide (environ 152 l/h) et la clairance apparente du des-ciclésonide (environ 228 l/h) laissent supposer que l'extraction hépatique est élevée.
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-Aussi bien après administration orale qu’intraveineuse, le ciclésonide est éliminé principalement par les fèces, ce qui laisse supposer que l’élimination se fait principalement par voie biliaire.
- +Aussi bien après administration orale qu'intraveineuse, le ciclésonide est éliminé principalement par les fèces, ce qui laisse supposer que l'élimination se fait principalement par voie biliaire.
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-La pharmacocinétique du ciclésonide chez des patients atteints d’un asthme léger n’est pas différente de celle chez des volontaires sains.
-Patients atteints d’insuffisance rénale ou hépatique, patients âgés
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-Les propriétés pharmacocinétiques du ciclésonide déterminées chez des patients âgés montrent qu’aucune adaptation de la dose n’est nécessaire chez ce groupe de patients.
-Etant donné que le métabolite actif n’est pas éliminé par voie rénale, aucune étude n’a été réalisée chez des patients atteints de troubles de la fonction rénale.
-Une demi-vie légèrement prolongée ainsi qu’une faible augmentation de l’exposition ont été constatées chez les patients atteints d’insuffisance hépatique. C’est pourquoi, au vu des données disponibles actuellement, une accumulation ne peut pas être exclue sous des doses élevées.
- +Patients asthmatiques
- +La pharmacocinétique du ciclésonide chez des patients atteints d'un asthme léger n'est pas différente de celle chez des volontaires sains.
- +Patients atteints d'insuffisance rénale ou hépatique, patients âgés
- +Les propriétés pharmacocinétiques du ciclésonide déterminées chez des patients âgés montrent qu'aucune adaptation de la dose n'est nécessaire chez ce groupe de patients.
- +Etant donné que le métabolite actif n'est pas éliminé par voie rénale, aucune étude n'a été réalisée chez des patients atteints de troubles de la fonction rénale.
- +Une demi-vie légèrement prolongée ainsi qu'une faible augmentation de l'exposition ont été constatées chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. C'est pourquoi, au vu des données disponibles actuellement, une accumulation ne peut pas être exclue sous des doses élevées.
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-Au cours de deux études cliniques relatives à la sécurité d’emploi et à l’efficacité chez des patients atteints d’asthme, âgés entre 4 et 11 ans, des échantillons sériques ont été prélevés chez 53 patients à des fins d’analyse pharmacocinétique. Les paramètres pharmacocinétiques observés du des-ciclésonide étaient similaires chez les enfants et les adultes.
- +Au cours de deux études cliniques relatives à la sécurité d'emploi et à l'efficacité chez des patients atteints d'asthme, âgés entre 4 et 11 ans, des échantillons sériques ont été prélevés chez 53 patients à des fins d'analyse pharmacocinétique. Les paramètres pharmacocinétiques observés du des-ciclésonide étaient similaires chez les enfants et les adultes.
-Des études ont été réalisées avec une série de différentes espèces animales. Les animaux ont été exposés quotidiennement pendant une période pouvant aller jusqu’à 2 ans à des concentrations très élevées de gaz propulseur HFA-134a (norflurane), exempt de CFC. Les concentrations dans les bouffées étaient largement supérieures aux doses utilisées par les patients et n’ont pas mis en évidence d’effet toxique du HFA-134a.
-Des études précliniques avec le ciclésonide relatives à la pharmacologie de sécurité, à la toxicité après des administrations répétées, à la génotoxicité, à la fertilité et à la cancérogénicité montrent que le ciclésonide ne présente pas de risque significatif pour l’homme en ce qui concerne ces aspects.
-Au cours d’études animales destinées à examiner la toxicité de reproduction, les glucocorticoïdes ont présenté un potentiel pour l’induction de malformations (fente labio-palatine, malformations osseuses). Toutefois, ces résultats obtenus chez des animaux ne semblent pas être significatifs pour l’être humain aux doses recommandées pour l’homme.
- +Des études ont été réalisées avec une série de différentes espèces animales. Les animaux ont été exposés quotidiennement pendant une période pouvant aller jusqu'à 2 ans à des concentrations très élevées de gaz propulseur HFA-134a (norflurane), exempt de CFC. Les concentrations dans les bouffées étaient largement supérieures aux doses utilisées par les patients et n'ont pas mis en évidence d'effet toxique du HFA-134a.
- +Des études précliniques avec le ciclésonide relatives à la pharmacologie de sécurité, à la toxicité après des administrations répétées, à la génotoxicité, à la fertilité et à la cancérogénicité montrent que le ciclésonide ne présente pas de risque significatif pour l'homme en ce qui concerne ces aspects.
- +Au cours d'études animales destinées à examiner la toxicité de reproduction, les glucocorticoïdes ont présenté un potentiel pour l'induction de malformations (fente labio-palatine, malformations osseuses). Toutefois, ces résultats obtenus chez des animaux ne semblent pas être significatifs pour l'être humain aux doses recommandées pour l'homme.
-Le médicament ne peut être utilisé que jusqu’à la date indiquée sur le récipient avec la mention «EXP».
- +Stabilité
- +Le médicament ne peut être utilisé que jusqu'à la date indiquée sur le récipient avec la mention «EXP».
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-Le patient doit être instruit sur la manière correcte d’utiliser l’aérosol-doseur.
-Lors d’un premier emploi de l’aérosol-doseur ou si l’aérosol-doseur n’a pas été utilisé depuis plus d’une semaine, les 3 premières doses à inhaler doivent être propulsées dans l’air. Étant donné qu’il s’agit d’une solution aérosol, il n’est pas nécessaire d’agiter le récipient. Le patient doit recevoir les instructions suivantes:
-1. Ôter le capuchon protecteur de l’embout buccal.
-2. Expirer aussi longtemps qu’il est possible de le faire sans effort.
-3. Placer l’embout buccal dans la bouche, serrer fortement avec les lèvres et inspirer lentement et profondément, aussi longtemps qu’il est possible de le faire sans effort.
-4. Pendant l’inspiration par la bouche, presser sur la partie supérieure de l’aérosol-doseur.
-5. Ensuite, ôter l’embout buccal de la bouche et retenir la respiration aussi longtemps que possible (env. 10 secondes).
-6. Expirer lentement et replacer le capuchon de protection sur l’embout buccal. Ne pas expirer par l’embout buccal.
-7. L’embout buccal doit être nettoyé une fois par semaine avec un chiffon sec. L’aérosol-doseur et ses parties ne doivent pas être nettoyés avec de l’eau.
-8. Après l’inhalation, rincer la bouche à l’eau.
-Un mode d’emploi détaillé pour Alvesco figure dans l’information destinée aux patients.
- +Le patient doit être instruit sur la manière correcte d'utiliser l'aérosol-doseur.
- +Lors d'un premier emploi de l'aérosol-doseur ou si l'aérosol-doseur n'a pas été utilisé depuis plus d'une semaine, les 3 premières doses à inhaler doivent être propulsées dans l'air. Étant donné qu'il s'agit d'une solution aérosol, il n'est pas nécessaire d'agiter le récipient. Le patient doit recevoir les instructions suivantes:
- +1.Ôter le capuchon protecteur de l'embout buccal.
- +2.Expirer aussi longtemps qu'il est possible de le faire sans effort.
- +3.Placer l'embout buccal dans la bouche, serrer fortement avec les lèvres et inspirer lentement et profondément, aussi longtemps qu'il est possible de le faire sans effort.
- +4.Pendant l'inspiration par la bouche, presser sur la partie supérieure de l'aérosol-doseur.
- +5.Ensuite, ôter l'embout buccal de la bouche et retenir la respiration aussi longtemps que possible (env. 10 secondes).
- +6.Expirer lentement et replacer le capuchon de protection sur l'embout buccal. Ne pas expirer par l'embout buccal.
- +7.L'embout buccal doit être nettoyé une fois par semaine avec un chiffon sec. L'aérosol-doseur et ses parties ne doivent pas être nettoyés avec de l'eau.
- +8.Après l'inhalation, rincer la bouche à l'eau.
- +Un mode d'emploi détaillé pour Alvesco figure dans l'information destinée aux patients.
- +Présentation
- +Alvesco 80: 1 aérosol-doseur à 120 doses (B)
- +Alvesco 160: 1 aérosol-doseur à 120 doses (B)
- +L'aérosol-doseur est constitué d'une boîte d'aluminium, fermée avec une valve de dosage et munie d'un embout buccal ainsi que d'un capuchon de protection. Le contenu de chaque récipient suffit pour 120 bouffées avec soit 80, soit 160 µg de ciclésonide administré par l'embout buccal.
- +
-Takeda Pharma SA, Freienbach.
- +AstraZeneca AG, 6301 Zug.
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