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Accueil - Information professionnelle sur Fosavance 70/2800 - Changements - 16.07.2021
84 Changements de l'information professionelle Fosavance 70/2800
  • -Alendronate sous forme de trihydrate sodique d'alendronate, cholécalciférol.
  • +Alendronate sous forme d'alendronate de sodium trihydraté, cholécalciférol.
  • -Comprimés: Excipiens pro compresso.
  • +Cellulose microcristalline, lactose anhydre, triglycérides à chaîne moyenne, gélatine, croscarmellose sodique, saccharose, silice colloïdale anhydre, stéarate de magnésium, butylhydroxytoluène, amidon modifié (maïs), silicate d'aluminium et de sodium. Chaque comprimé de 70 mg/2800 UI contient 62,3 mg de lactose, 8 mg de saccharose et 6,52 mg de sodium (voir sous «Mises en garde et précautions»). Chaque comprimé de 70 mg/5600 UI contient 63 mg de lactose, 16 mg de saccharose et 6,53 mg de sodium (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • -La posologie recommandée est d'un comprimé hebdomadaire de 70 mg/2800 UI par semaine. La durée optimale d'utilisation n'a pas été déterminée. Chez tous les patients sous traitement aux bisphosphonates, la nécessité de poursuivre le traitement doit être réévaluée sur une base périodique (voir sous «Efficacité clinique»). Les patients doivent recevoir en même temps du calcium et/ou de la vitamine D si l'apport alimentaire est insuffisant (voir la section «Mises en garde et précautions»). L'apport de vitamine D sous forme de préparations de vitamines et de compléments alimentaires doit être pris en compte par le médecin. Chez les patients sans apport de vitamine D d'autres sources, la posologie recommandée est d'un comprimé hebdomadaire de 70 mg/5600 UI par semaine. Les comprimés Fosavance de 70 mg/2800 UI et de 70 mg/5600 UI correspondent à une dose hebdomadaire de vitamine D équivalente à une dose journalière de 400 UI ou de 800 UI.
  • -Fosavance devrait être pris au moins une demi-heure avant le premier repas, la première boisson ou d'autres médicaments, avec un grand verre d'eau (du robinet), parce que d'autres boissons (p.ex. l'eau minérale, les jus de fruits ou le café), les aliments et certains médicaments sont susceptibles d'influencer l'absorption d'alendronate (voir sous «Interactions» et «Pharmacocinétique»).
  • -Pour faciliter le transport dans l'estomac et prévenir le risque d'irritations/d'effets indésirables au niveau de l'oesophage (voir sous «Mises en garde et précautions»):
  • +La posologie recommandée est d'un comprimé de 70 mg/2800 UI par semaine. La durée optimale d'utilisation n'a pas été déterminée. Chez tous les patients sous traitement aux bisphosphonates, la nécessité de poursuivre le traitement doit être réévaluée sur une base périodique (voir sous «Efficacité clinique»). Les patients doivent recevoir en même temps du calcium et/ou de la vitamine D si l'apport alimentaire est insuffisant (voir la section «Mises en garde et précautions»). L'apport de vitamine D sous forme de préparations de vitamines et de compléments alimentaires doit être pris en compte par le médecin. Chez les patients sans apport de vitamine D d'autres sources, la posologie recommandée est d'un comprimé de 70 mg/5600 UI par semaine. Les comprimés Fosavance de 70 mg/2800 UI et de 70 mg/5600 UI correspondent à une dose hebdomadaire de vitamine D équivalente à une dose journalière de 400 UI ou de 800 UI.
  • +Fosavance devrait être pris au moins une demi-heure avant le premier repas, la première boisson ou d'autres médicaments, avec un grand verre d'eau du robinet, parce que d'autres boissons (p.ex. l'eau minérale, les jus de fruits ou le café), les aliments et certains médicaments sont susceptibles d'influencer l'absorption d'alendronate (voir sous «Interactions» et «Pharmacocinétique»).
  • +Pour faciliter le transport dans l'estomac et prévenir le risque d'irritations/d'effets indésirables au niveau de l'Å“sophage (voir sous «Mises en garde et précautions»):
  • -·après la prise de Fosavance, les patients ne devraient se recoucher, au besoin, qu'au plus tôt 30 minutes plus tard et après la première prise d'aliments;
  • +·les patients doivent se recoucher au plus tôt 30 minutes après la prise de Fosavance et seulement après la prise de leur premier repas;
  • -Populations particulières
  • -Chez les patients âgés ou présentant une insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine comprise entre 30 et 60 ml/min), aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire. Vu le manque d'expérience, Fosavance n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) (voir sous «Contre-indications»).
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Chez les patients âgés ou présentant une insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine comprise entre 30 et 60 ml/min), aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire.
  • +Vu le manque d'expérience, Fosavance n'est pas recommandé chez les patients présentant des troubles sévères de la fonction rénale (clairance de la créatinine <30 ml/min) (voir sous «Contre-indications»).
  • -Pathologies de l'oesophage susceptibles de retarder le transport dans l'estomac, telles que sténoses ou achalasie.
  • +Pathologies de l'Å“sophage susceptibles de retarder le transport dans l'estomac, telles que sténoses ou achalasie.
  • -Une hypocalcémie doit être corrigée avant l'instauration d'un traitement par Fosavance (voir sous «Contre-indications»). C'est pourquoi il convient de veiller chez ces patients à un apport adéquat de calcium. D'autres perturbations du métabolisme minéral (p.ex. une carence en vitamine D) devraient également être traitées (voir sous «Interactions»). Durant le traitement à Fosavance, il faut suivre le taux sérique de calcium et veiller à d'éventuels symptômes d'une hypocalcémie chez les patients présentant ces troubles.
  • +Une hypocalcémie doit être corrigée avant l'instauration d'un traitement par Fosavance (voir sous «Contre-indications»). C'est pourquoi il convient de veiller chez ces patients à un apport adéquat de calcium. D'autres perturbations du métabolisme minéral telles que p.ex. une carence en vitamine D devraient également être traitées (voir sous «Interactions»). Durant le traitement à Fosavance, il faut suivre le taux sérique de calcium et veiller à d'éventuels symptômes d'une hypocalcémie chez les patients présentant ces troubles.
  • -Fosavance, comme d'autres préparations contenant des bisphosphonates, peut provoquer une irritation locale de la muqueuse du tractus gastro-intestinal supérieur. On a rapporté des effets indésirables au niveau de l'oesophage – tels qu'une oesophagite, un ulcère ou une érosion de l'oesophage, suivis dans de rares cas de sténoses ou de perforations – au cours d'un traitement avec l'alendronate. Dans quelques cas, ces effets indésirables ont été sévères et ont nécessité une hospitalisation. Pour cette raison, le médecin devrait être attentif aux signes ou symptômes d'une éventuelle réaction oesophagienne et les patients doivent être informés de la nécessité d'interrompre le traitement par Fosavance et de s'adresser à leur médecin en cas d'apparition de troubles ou de douleurs à la déglutition, d'apparition de douleurs rétrosternales ou d'apparition ou aggravation de brûlures d'estomac. Le risque d'effets indésirables sur l'oesophage semble plus grand chez les patients ne se conformant pas aux prescriptions concernant la prise de Fosavance ou continuant à prendre le médicament après l'apparition de symptômes oesophagiens. Pour garantir l'efficacité et une bonne tolérance, il est donc particulièrement important que les patients soient informés des conditions de prise du médicament et l'on s'assurera que ces explications aient été bien comprises (voir sous «Posologie/Mode d'emploi»). Il faut également attirer l'attention des patients sur le fait que le non-respect des conseils relatifs à la bonne utilisation du médicament peut accroître le risque d'effets indésirables au niveau de l'oesophage.
  • +Fosavance, comme d'autres préparations contenant des bisphosphonates, peut provoquer une irritation locale de la muqueuse du tractus gastro-intestinal supérieur. On a rapporté des effets indésirables au niveau de l'Å“sophage – tels qu'une Å“sophagite, un ulcère ou une érosion de l'Å“sophage, suivis dans de rares cas de sténoses ou de perforations – au cours d'un traitement avec l'alendronate. Dans quelques cas, ces effets indésirables ont été sévères et ont nécessité une hospitalisation. Pour cette raison, le médecin devrait être attentif aux signes ou symptômes d'une éventuelle réaction Å“sophagienne et les patients doivent être informés de la nécessité d'interrompre le traitement par Fosavance et de s'adresser à leur médecin en cas d'apparition de troubles ou de douleurs à la déglutition, d'apparition de douleurs rétrosternales ou d'apparition ou aggravation de brûlures d'estomac.
  • +Le risque d'effets indésirables sur l'Å“sophage semble plus grand chez les patients ne se conformant pas aux prescriptions concernant la prise de Fosavance ou continuant à prendre le médicament après l'apparition de symptômes Å“sophagiens. Pour garantir l'efficacité et une bonne tolérance, il est donc particulièrement important d'expliquer aux patients les instructions posologiques complètes et de s'assurer qu'ils les ont comprises (voir sous «Posologie/Mode d'emploi»). Il faut également attirer l'attention des patients sur le fait que le non-respect des conseils relatifs à la bonne utilisation du médicament peut accroître le risque d'effets indésirables au niveau de l'Å“sophage.
  • -En raison d'une irritation possible de la muqueuse par l'alendronate et de la possibilité d'une aggravation d'une maladie déjà présente, Fosavance doit être prescrit avec prudence lors de troubles existants du tractus gastro-intestinal supérieur tels que des troubles de la déglutition, un reflux gastro-oesophagien, un oesphage de Barrett, une gastrite, une duodénite ou un ulcère.
  • -Une ostéonécrose localisée de la mâchoire – généralement en rapport avec une extraction dentaire, et/ou une infection locale (y compris ostéomyélite) – associée à une cicatrisation retardée a été rapportée dans de rares cas sous des bisphosphonates oraux (voir sous «Effets indésirables»). La plupart des cas concernaient des patients cancéreux, traités par des bisphosphonates administrés par voie intraveineuse. Les facteurs de risque connus des nécroses localisées de la mâchoire sont des affections malignes et le traitement de ces affections (p.ex. chimiothérapie, radiothérapie, corticostéroïdes, inhibiteurs de l'angiogenèse), une mauvaise hygiène buccale, des co-morbidités telles qu'affections parodontaires et dentaires préexistantes, anémie, coagulopathie, infections et fumer. Les patients qui développent des nécroses osseuses maxillaires localisées doivent recevoir un traitement par un spécialiste compétent et l'arrêt du traitement doit être considéré sur la base du rapport risque-bénéfice individuel du patient. Les traitements dentaires chirurgicaux peuvent renforcer le problème. Chez les patients nécessitant une intervention de chirurgie dentaire invasive (par exemple extraction, implant), le médecin traitant et/ou le chirurgien dentaire doivent adapter le traitement prévu – y compris le traitement aux bisphosphonates – au patient individuel en fonction de l'analyse correspondante des bénéfices et des risques.
  • -Des douleurs osseuses, articulaires et/ou musculaires ont été observées chez des patients traités aux bisphosphonates. Ces symptômes ont été décrits dans de rares cas seulement comme étant sévères et/ou invalidants dans des rapports réalisés après la mise sur le marché (voir sous «Effets Indésirables»). Le délai avant l'apparition de ces symptômes variait entre un jour et plusieurs mois après le début du traitement. Chez la plupart des patients, les symptômes ont disparu après l'arrêt du traitement. Chez certains patients, les symptômes sont réapparus après la reprise du traitement avec le même bisphosphonate ou avec un autre bisphosphonate.
  • -Des fractures «à faible énergie» en localisation sous-trochantérienne ou diaphysaire proximale du fémur ont été rapportées chez un faible nombre de patients traités aux bisphosphonates au cours prolongé (habituellement plus long que 3 ans). Certaines d'entre elles étaient des fractures de stress (bien que certaines d'entre elles aient été décrites comme fractures par insuffisance) qui s'étaient produites en l'absence d'un traumatisme apparent. Certains patients avaient ressenti antérieurement (des semaines ou des mois avant la fracture complète) des douleurs dans la zone en question, souvent associées à des signes radiologiques d'une fracture de stress. Environ un tiers de ces fractures ont été bilatérales. Le fémur contro-lateral doit donc aussi être examiné chez les patients ayant souffert d'une fracture de stress de la diaphyse fémorale. Des fractures de stress avec une clinique similaire ont été observées également chez des patients non traités aux bisphosphonates. Les patients chez lesquels une fracture de stress est suspectée doivent être soumis à une évaluation incluant les causes et facteurs de risque connus (par exemple carence en vitamine D, malabsorption, traitement aux glucocorticoïdes, antécédents de fractures de stress, arthrite ou fracture de membres inférieurs, contraintes physiques accrues ou extrêmes, diabète sucré, abus chronique d'alcool) et recevoir un traitement orthopédique approprié. Chez les patients ayant subi une fracture de stress, on considérera un arrêt du traitement aux bisphosphonates sur la base d'une analyse individuelle des bénéfices et des risques.
  • -Les patients devraient savoir que lorsqu'ils oublient de prendre le comprimé hebdomadaire de Fosavance, ils peuvent le prendre également le lendemain matin. Ils ne doivent en aucun cas prendre 2 comprimés le même jour, mais ils doivent revenir au schéma posologique hebdomadaire et prendre le comprimé au jour de semaine choisi initialement.
  • +En raison d'une irritation possible de la muqueuse par l'alendronate et de la possibilité d'une aggravation d'une maladie déjà présente, Fosavance doit être prescrit avec prudence lors de troubles existants du tractus gastro-intestinal supérieur tels que des troubles de la déglutition, un reflux gastro-Å“sophagien, un Å“sophage de Barrett, une gastrite, une duodénite ou un ulcère.
  • +Une ostéonécrose localisée de la mâchoire (ONM) – généralement en rapport avec une extraction dentaire, et/ou une infection locale (y compris ostéomyélite) – associée à une cicatrisation retardée a été rapportée dans de rares cas sous des bisphosphonates oraux (voir sous «Effets indésirables»). La plupart des cas rapportés d'ONM associée aux bisphosphonates concernaient des patients cancéreux, traités par des bisphosphonates administrés par voie intraveineuse. Les facteurs de risque connus d'ONM sont des maladies cancéreuses et le traitement de ces affections (p.ex. chimiothérapie, radiothérapie, corticostéroïdes, inhibiteurs de l'angiogenèse), une mauvaise hygiène buccale, des co-morbidités (p.ex. affections parodontales et/ou autres affections dentaires préexistantes, anémie, coagulopathie, infections) et un tabagisme. Les patients qui développent une ONM doivent recevoir un traitement par un spécialiste compétent et l'arrêt du traitement doit être considéré sur la base du rapport risque-bénéfice individuel du patient. Les traitements dentaires chirurgicaux peuvent renforcer le problème.
  • +Chez les patients nécessitant une intervention de chirurgie dentaire invasive (par exemple extraction, implant), le médecin traitant et/ou le chirurgien dentaire doivent adapter le traitement prévu – y compris le traitement aux bisphosphonates – au patient individuel en fonction de l'analyse correspondante des bénéfices et des risques.
  • +Des douleurs osseuses, articulaires et/ou musculaires ont été observées chez des patients traités aux bisphosphonates. Ces symptômes ont été décrits dans de rares cas seulement comme étant sévères et/ou invalidants dans des rapports réalisés après la mise sur le marché (voir sous «Effets indésirables»). Le délai avant l'apparition de ces symptômes variait entre un jour et plusieurs mois après le début du traitement. Chez la plupart des patients, les symptômes se sont améliorés après l'arrêt du traitement. Chez certains patients, les symptômes sont réapparus après la reprise du traitement avec le même bisphosphonate ou avec un autre bisphosphonate.
  • +Des fractures «à faible énergie» en localisation sous-trochantérienne ou diaphysaire proximale du fémur ont été rapportées chez un faible nombre de patients traités aux bisphosphonates au cours prolongé (habituellement plus long que 3 ans). Certaines d'entre elles étaient des fractures de stress (bien que certaines d'entre elles aient été décrites comme fractures par insuffisance) qui s'étaient produites en l'absence d'un traumatisme apparent. Certains patients avaient ressenti antérieurement (des semaines ou des mois avant la fracture complète) des douleurs dans la zone en question, souvent associées à des signes radiologiques d'une fracture de stress. Environ un tiers de ces fractures ont été bilatérales. Le fémur controlatéral doit donc aussi être examiné chez les patients ayant souffert d'une fracture de stress de la diaphyse fémorale. Des fractures de stress avec une clinique similaire ont été observées également chez des patients non traités aux bisphosphonates. Les patients chez lesquels une fracture de stress est suspectée doivent être soumis à une évaluation incluant les causes et facteurs de risque connus (par exemple carence en vitamine D, malabsorption, traitement aux glucocorticoïdes, antécédents de fractures de stress, arthrite ou fracture de membres inférieurs, contraintes physiques accrues ou extrêmes, diabète sucré, abus chronique d'alcool) et recevoir un traitement orthopédique approprié. Chez les patients ayant subi une fracture de stress, on considérera un arrêt du traitement aux bisphosphonates sur la base d'une analyse individuelle des bénéfices et des risques.
  • +Les patients doivent être informés que lorsqu'ils ont oublié de prendre une dose de Fosavance, ils devraient la prendre le lendemain matin. Cependant, ils ne doivent en aucun cas prendre 2 comprimés le même jour. Ils devraient ensuite revenir au schéma posologique hebdomadaire et prendre le comprimé au jour de semaine choisi initialement.
  • -Dans le cadre d'études cliniques, de nombreux patients ont reçu, outre l'alendronate, également des préparations multivitaminiques (y compris des préparations de vitamine D); les prescriptions concernant le moment de la prise doivent toutefois être prises en considération. L'administration supplémentaire d'analogues actifs de vitamine D (p.ex. de calcitriol) avec Fosavance n'a pas fait l'objet d'études et n'est donc pas recommandée.
  • +Dans le cadre d'études cliniques, de nombreux patients ont reçu, outre l'alendronate, également des préparations vitaminiques (y compris des préparations de vitamine D). L'administration supplémentaire d'analogues actifs de vitamine D (p.ex. de calcitriol) avec Fosavance n'a pas fait l'objet d'études et n'est donc pas recommandée.
  • +Excipients
  • +Ce médicament contient du lactose et du saccharose. Les patients présentant des problèmes héréditaires rares d'intolérance au fructose, une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase ne doivent pas prendre ce médicament.
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +
  • -Des aliments à forte teneur en calcium, comme par exemple le lait et les produits laitiers, ainsi que les suppléments calciques (préparations de sels minéraux, vitamines avec complément de minéraux), les anti-acides, le magnésium et certains médicaments pris par voie orale influencent l'absorption de l'alendronate. Pour cette raison, les patients doivent attendre au moins une demi-heure après la prise de Fosavance avant de prendre un autre médicament, des aliments ou des boissons. Une co-médication avec des analogues actifs de la vitamine D (p.ex. Calcitriol) ou du fluor pour le traitement de l'ostéoporose n'a pas été étudiée et n'est pas recommandée (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • +Des aliments à forte teneur en calcium, comme par exemple le lait et les produits laitiers, ainsi que les suppléments calciques (préparations de sels minéraux, vitamines avec compléments de minéraux), les anti-acides, le magnésium et certains médicaments pris par voie orale influencent l'absorption de l'alendronate lorsqu'ils sont pris simultanément. Pour cette raison, les patients doivent attendre au moins une demi-heure après la prise de Fosavance avant de prendre un autre médicament, des aliments ou des boissons. Une co-médication avec des analogues actifs de la vitamine D (p.ex. calcitriol) ou du fluor pour le traitement de l'ostéoporose n'a pas été étudiée et n'est pas recommandée (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • -Les études de reproduction sur l'alendronate chez l'animal n'ont pas montré de risque pour le foetus mais on ne dispose d'aucune étude contrôlée chez les femmes enceintes. C'est pourquoi Fosavance ne devrait pas être administré à des femmes enceintes (voir sous «Contre-indications»).
  • +Les études de reproduction sur l'alendronate chez l'animal n'ont pas montré de risque pour le fÅ“tus, mais on ne dispose d'aucune étude contrôlée chez les femmes enceintes. C'est pourquoi Fosavance ne devrait pas être administré à des femmes enceintes (voir sous «Contre-indications»).
  • -Les effets indésirables suivants ont été observés sous alendronate dans le cadre des études cliniques et/ou après la commercialisation: fréquent: ≥1/100, <1/10; occasionnel: ≥1/1000, <1/100; rare: ≥1/10'000, <1/1000; très rare <1/10'000, y compris cas individuels:
  • +Les effets indésirables suivants ont été observés sous alendronate dans le cadre des études cliniques et/ou après la commercialisation: fréquents: ≥1/100, <1/10; occasionnels: ≥1/1000, <1/100; rares: ≥1/10 000, <1/1000; très rares <1/10 000, y compris cas isolés:
  • -Rare: réactions d'hypersensibilité, y compris urticaire et angio-oedème.
  • +Rares: réactions d'hypersensibilité, y compris urticaire et angio-oedème.
  • -Rare: hypocalcémie symptomatique, généralement en association avec des facteurs de prédisposition (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • +Rares: hypocalcémie symptomatique, généralement en association avec des facteurs de prédisposition (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • -Fréquent: céphalées.
  • -Des vertiges et dysgueusie ont été rapportés depuis la mise sur le marché.
  • +Fréquents: céphalées.
  • +Des vertiges et une dysgueusie ont été rapportés depuis la mise sur le marché.
  • -Rare: uvéite, sclérite, épisclérite.
  • +Rares: uvéite, sclérite, épisclérite.
  • -Depuis la mise sur le marché, des vertiges et rarement cholestéatome du conduit auditif externe (ostéonécrose focale) ont été rapportés.
  • +Depuis la mise sur le marché, des vertiges et rarement un cholestéatome du conduit auditif externe (ostéonécrose focale) ont été rapportés.
  • -Fréquent: douleurs abdominales, dyspepsie, constipation, diarrhée, ballonnements, ulcère oesophagien, dysphagie, sensation de réplétion, reflux gastro-oesophagien.
  • -Occasionnel: nausée, vomissement, gastrite, oesophagite, érosions oesophagiennes, méléna.
  • -Rare: sténose oesophagienne, ulcère oro-pharyngé, ulcère gastrique, ulcère duodénal, perforations/ulcères/hémorragies des voies gastro-intestinales supérieures (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquents: douleurs abdominales, dyspepsie, constipation, diarrhée, ballonnements, ulcère Å“sophagien, dysphagie, sensation de réplétion, reflux gastro-Å“sophagien.
  • +Occasionnels: nausée, vomissement, gastrite, oesophagite, érosions Å“sophagiennes, méléna.
  • +Rares: sténose Å“sophagienne, ulcère oropharyngé, ulcère gastrique, ulcère duodénal, perforations/ulcères/hémorragies des voies gastro-intestinales supérieures (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • -Occasionnel: éruption cutanée, prurit, érythème, alopécie.
  • -Rare: éruption cutanée avec photosensibilité.
  • +Occasionnels: éruption cutanée, prurit, érythème, alopécie.
  • +Rares: éruption cutanée avec photosensibilité.
  • -Fréquent: douleurs musculo-squelettiques (os, muscles ou articulations).
  • -Rare: articulations enflées, douleurs musculo-squelettiques sévères (os, muscles ou articulations) (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • -Des cas d'ostéonécrose localisée de la mâchoire avec – généralement en rapport avec une extraction dentaire et/ou une infection locale (y compris ostéomyélite) – avec cicatrisation retardée, ont été rapportés depuis la mise sur le marché.
  • +Fréquents: douleurs musculo-squelettiques (os, muscles ou articulations).
  • +Rares: articulations enflées, douleurs musculo-squelettiques sévères (os, muscles ou articulations) (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • +Des cas d'ostéonécrose localisée de la mâchoire – généralement en rapport avec une extraction dentaire et/ou une infection locale (y compris ostéomyélite) – avec cicatrisation retardée, ont été rapportés depuis la mise sur le marché.
  • -Rare: des oedèmes périphériques et des symptômes transitoires au sens d'une réaction de phase aiguë (myalgie, malaise, asthénie et fièvre) ont été observés, généralement au début du traitement.
  • +Rares: des Å“dèmes périphériques et des symptômes transitoires au sens d'une réaction de phase aiguë (myalgie, malaise, asthénie et fièvre) ont été observés, généralement au début du traitement.
  • -Il n'existe pas d'information spécifique concernant le traitement d'un surdosage de l'alendronate chez l'homme. Une hypocalcémie, une hypophosphatémie et des effets indésirables gastro-intestinaux supérieurs tels que: indigestion, aigreurs d'estomac, oesophagite, gastrite ou ulcère seraient susceptibles de survenir après un surdosage par voie orale. Il y a lieu d'administrer du lait ou des anti-acides, chélateurs de l'alendronate. En raison du risque d'irritation oesophagienne, il faut éviter de provoquer des vomissements et le patient devrait rester en position verticale.
  • +Il n'existe pas d'information spécifique concernant le traitement d'un surdosage de l'alendronate chez l'homme. Une hypocalcémie, une hypophosphatémie et des effets indésirables gastro-intestinaux supérieurs tels que: indigestion, aigreurs d'estomac, Å“sophagite, gastrite ou ulcère seraient susceptibles de survenir après un surdosage par voie orale. Il y a lieu d'administrer du lait ou des anti-acides, chélateurs de l'alendronate. En raison du risque d'irritation Å“sophagienne, il ne faut pas provoquer de vomissements et le patient doit rester en position verticale.
  • -A des doses inférieures à 10'000 UI par jour, aucune toxicité de la vitamine D n'a été documentée lors de traitements à long terme chez des adultes sains. Au cours d'une étude clinique avec des adultes sains, une dose journalière de 4'000 UI de vitamine D3 durant une période pouvant aller jusqu'à 5 mois n'a pas été associée à une hypercalciurie ou une hypercalcémie.
  • +A des doses inférieures à 10 000 UI par jour, aucune toxicité de la vitamine D n'a été documentée lors de traitements à long terme chez des adultes sains. Au cours d'une étude clinique avec des adultes sains, une dose journalière de 4000 UI de vitamine D3 durant une période pouvant aller jusqu'à 5 mois n'a pas été associée à une hypercalciurie ou une hypercalcémie.
  • -M05BB33
  • -Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
  • +M05BB03
  • +Pharmacodynamique
  • +Voir «Mécanisme d'action».
  • +Mécanisme d'action
  • -L'alendronate est un bisphosphonate pour lequel l'expérimentation animale a montré qu'il se dépose préférentiellement au niveau des zones de résorption osseuse (principalement sous les ostéoclastes) et qu'il inhibe la résorption osseuse ostéoclastique sans effet direct sur la formation osseuse. Etant donné que la formation et la résorption sont couplées, la formation osseuse diminue également mais dans une moindre mesure que la résorption osseuse. Ceci entraîne une augmentation progressive de la masse osseuse. Sous traitement par l'alendronate, l'os formé est de qualité normale et l'alendronate est intégré dans la matrice osseuse sous une forme pharmacologiquement inactive.
  • +L'alendronate est un bisphosphonate pour lequel l'expérimentation animale a montré qu'il se dépose préférentiellement au niveau des zones de résorption osseuse (principalement sous les ostéoclastes) et qu'il inhibe la résorption osseuse ostéoclastique sans effet direct sur la formation osseuse. Étant donné que la formation et la résorption sont couplées, la formation osseuse diminue également, mais dans une moindre mesure que la résorption osseuse. Ceci entraîne une augmentation progressive de la masse osseuse. Sous traitement par l'alendronate, l'os formé est de qualité normale et l'alendronate est intégré dans la matrice osseuse sous une forme pharmacologiquement inactive.
  • -La vitamine D3 est produite dans la peau sous l'action du rayonnement UV par transformation du 7-déhydrocholestérol en provitamine D3, qui est ensuite isomérisée de manière non enzymatique en vitamine D3. Lorsque l'exposition au soleil est insuffisante, la vitamine D3 devient un élément nutritif essentiel. La vitamine D3 provenant de la peau et de l'alimentation (stockée dans des chylomicrons) est transformée en 25-hydroxyvitamine D3 dans le foie. La transformation dans les reins en hormone active mobilisant le calcium, la 1,25-dihydroxyvitamine D3 (calcitriol), est stimulée par la parathormone et par l'hypophosphatémie. Le principal effet de la 1,25-dihydroxyvitamine D3 est l'augmentation de l'absorption intestinale de calcium et de phosphate ainsi que la régulation du calcium sérique, du calcium rénal et de l'élimination de phosphate, la formation d'os et la résorption osseuse.
  • +La vitamine D3 est produite dans la peau sous l'action du rayonnement UV par transformation du 7-déshydrocholestérol en provitamine D3, qui est ensuite isomérisée de manière non enzymatique en vitamine D3. Lorsque l'exposition au soleil est insuffisante, la vitamine D3 devient un élément nutritif essentiel. La vitamine D3 provenant de la peau et de l'alimentation (stockée dans des chylomicrons) est transformée en 25-hydroxyvitamine D3 dans le foie. La transformation dans les reins en hormone active mobilisant le calcium, la 1,25-dihydroxyvitamine D3 (calcitriol), est stimulée par la parathormone et par l'hypophosphatémie. Le principal effet de la 1,25-dihydroxyvitamine D3 est l'augmentation de l'absorption intestinale de calcium et de phosphate ainsi que la régulation du calcium sérique, du calcium rénal et de l'élimination de phosphate, la formation d'os et la résorption osseuse.
  • -Etudes avec Fosavance
  • -L'effet de Fosavance (70 mg d'alendronate/2'800 UI de vitamine D3) sur la vitamine D a été démontré par une étude multinationale de 15 semaines auprès de 717 femmes en post-ménopause et hommes atteints d'ostéoporose (taux sérique moyen initial de la 25-hydroxyvitamine D: 22,2 ng/ml [56 nmol/l]: fourchette 9 à 90 ng/ml [22,5 à 225 nmol/l]). Les patients ont reçu Fosavance (70 mg/2'800 UI) (n= 350 femmes, 10 hommes) ou Fosamax (70 mg d'alendronate) (n= 332 femmes, 25 hommes) une fois par semaine; d'autres suppléments de vitamine D étaient interdits. Le pourcentage de patients ayant présenté un taux sérique de 25-hydroxyvitamine D ≥15 ng/ml (37,5 nmol/l) était significativement plus élevé sous Fosavance (70 mg/2'800 UI) (89%) que sous l'alendronate seul (68%). Le pourcentage de patients ayant présenté un taux sérique de 25-hydroxyvitamine D ≥9 ng/ml (22,5 nmol/l) était significativement plus élevé sous Fosavance (70 mg/2'800 UI) (99%) que sous l'alendronate seul (87%). En ce qui concerne les moyennes des taux sériques de calcium, de phosphate ou des taux de calcium dans l'urine prélevée durant 24 heures, aucune différence entre les groupes de traitement n'a été notée.
  • -L'efficacité de Fosavance (70 mg d'alendronate/2'800 UI de vitamine D3) avec une dose supplémentaire de 2'800 UI de vitamine D3 – dose totale de 5'600 UI par semaine – a été démontrée dans une étude d'extension de 24 semaines auprès de 652 femmes en post-ménopause et d'hommes souffrant d'ostéoporose. Les patients du groupe avec 2'800 UI de vitamine D ont reçu Fosavance (70 mg/2'800 UI) (n= 305 femmes et 21 hommes) et les patients du groupe avec 5'600 UI de vitamine D ont reçu de façon supplémentaire une dose de 2'800 UI de vitamine D par semaine (n= 314 femmes et 12 hommes); un ajout de suppléments de vitamine D était autorisé. Au bout de 24 semaines, les taux sériques moyens de 25-hydroxyvitamine D étaient significativement plus élevés dans le groupe avec 5'600 UI de vitamine D (27,9 ng/ml; 70 nmol/l) que dans le groupe avec 2'800 UI de vitamine D (25,6 ng/ml; 64 nmol/l). Le pourcentage de patients présentant un taux sérique de 25-hydroxyvitamine D ≥15 ng/ml (37,5 nmol/l) était plus important dans le groupe avec 5'600 UI de vitamine D que dans le groupe avec 2'800 UI de vitamine D (96,9% vs 94,4%). Le pourcentage de patients présentant un taux sérique de 25-hydroxyvitamine D ≥9 ng/ml (22,5 nmol/l) était plus important dans le groupe avec 5'600 UI de vitamine D que dans le groupe avec 2'800 UI de vitamine D (100% vs 99,7%). Aucune différence n'a été constatée entre les deux groupes en ce qui concerne les taux sériques moyens de calcium et de phosphate ou du calcium dans l'urine de 24 h. À la fin de l'extension de 24 semaines, les deux groupes avaient un pourcentage similaire de patients présentant une hypercalciurie.
  • -Études Fosamax
  • +Études avec Fosavance
  • +L'effet de Fosavance (70 mg d'alendronate/2800 UI de vitamine D3) sur la vitamine D a été démontré par une étude multinationale de 15 semaines auprès de 717 femmes en post-ménopause et hommes atteints d'ostéoporose (taux sérique moyen initial de la 25-hydroxyvitamine D: 22,2 ng/ml [56 nmol/l]; fourchette 9 à 90 ng/ml [22,5 à 225 nmol/l]). Les patients ont reçu Fosavance (70 mg/2800 UI) (n= 350 femmes, 10 hommes) ou Fosamax (70 mg d'alendronate) (n= 332 femmes, 25 hommes) une fois par semaine; d'autres suppléments de vitamine D étaient interdits. Le pourcentage de patients ayant présenté un taux sérique de 25-hydroxyvitamine D ≥15 ng/ml (37,5 nmol/l) était significativement plus élevé sous Fosavance (70 mg/2800 UI) (89%) que sous l'alendronate seul (68%). Le pourcentage de patients ayant présenté un taux sérique de 25-hydroxyvitamine D ≥9 ng/ml (22,5 nmol/l) était significativement plus élevé sous Fosavance (70 mg/2800 UI) (99%) que sous l'alendronate seul (87%). En ce qui concerne les moyennes des taux sériques de calcium, de phosphate ou des taux de calcium dans l'urine prélevée durant 24 heures, aucune différence entre les groupes de traitement n'a été notée.
  • +L'efficacité de Fosavance (70 mg d'alendronate/2800 UI de vitamine D3) avec une dose supplémentaire de 2800 UI de vitamine D3 – dose totale de 5600 UI par semaine – a été démontrée dans une étude d'extension de 24 semaines auprès de 652 femmes en post-ménopause et d'hommes souffrant d'ostéoporose. Les patients du groupe avec 2800 UI de vitamine D ont reçu Fosavance (70 mg/2800 UI) (n= 305 femmes et 21 hommes) et les patients du groupe avec 5600 UI de vitamine D ont reçu de façon supplémentaire une dose de 2800 UI de vitamine D par semaine (n= 314 femmes et 12 hommes); un ajout de suppléments de vitamine D était autorisé. Au bout de 24 semaines, les taux sériques moyens de 25-hydroxyvitamine D étaient significativement plus élevés dans le groupe avec 5600 UI de vitamine D (27,9 ng/ml; 70 nmol/l) que dans le groupe avec 2800 UI de vitamine D (25,6 ng/ml; 64 nmol/l). Le pourcentage de patients présentant un taux sérique de 25-hydroxyvitamine D ≥15 ng/ml (37,5 nmol/l) était plus important dans le groupe avec 5600 UI de vitamine D que dans le groupe avec 2800 UI de vitamine D (96,9% vs 94,4%). Le pourcentage de patients présentant un taux sérique de 25-hydroxyvitamine D ≥9 ng/ml (22,5 nmol/l) était plus important dans le groupe avec 5600 UI de vitamine D que dans le groupe avec 2800 UI de vitamine D (100% vs 99,7%). Aucune différence n'a été constatée entre les deux groupes en ce qui concerne les taux sériques moyens de calcium et de phosphate ou du calcium dans l'urine de 24 h. À la fin de l'extension de 24 semaines, les deux groupes avaient un pourcentage similaire de patients présentant une hypercalciurie.
  • +Études avec Fosamax
  • -Les augmentations de la masse osseuse ont été, dans chaque étude et pour chacun des sites étudiés, statistiquement significatives tant par rapport aux valeurs initiales que par rapport au groupe de contrôle sous placebo. La masse osseuse du squelette entier a également augmenté de manière significative dans les deux études, de sorte que l'on peut admettre que l'augmentation de la masse osseuse au niveau de la colonne vertébrale et du fémur proximal ne s'est pas produite au détriment d'autres sites squelettiques. Une augmentation de la masse osseuse a pu être observée après le troisième mois, puis tout au long des trois années de traitement. Ainsi, Fosamax inverse le cours de l'ostéoporose.
  • +Les augmentations de la masse osseuse ont été, dans chaque étude et pour chacun des sites étudiés, statistiquement significatives tant par rapport aux valeurs initiales que par rapport au groupe de contrôle sous placebo. La densité osseuse du squelette entier a également augmenté de manière significative dans les deux études, de sorte que l'on peut admettre que l'augmentation de la masse osseuse au niveau de la colonne vertébrale et du fémur proximal ne s'est pas produite au détriment d'autres sites squelettiques. Une augmentation de la densité osseuse a déjà pu être observée après le troisième mois, puis tout au long des trois années de traitement. Ainsi, Fosamax inverse le cours de l'ostéoporose.
  • -Chez les patientes souffrant d'ostéoporose post-ménopausique, l'évolution après l'arrêt d'un traitement d'une ou deux années avec Fosamax a été contrôlée. Après l'arrêt du traitement de Fosamax, le taux de remaniement osseux est revenu progressivement au niveau antérieur au traitement; on n'a constaté ni une augmentation supplémentaire de la masse osseuse, ni une destruction accélérée de l'os. Ces données suggèrent que le traitement journalier de Fosamax doit être poursuivi pour obtenir une augmentation progressive de la masse osseuse.
  • -L'équivalence thérapeutique du comprimé hebdomadaire de Fosamax et de Fosamax 10 mg par jour a pu être démontrée lors d'études d'une année chez des femmes souffrant d'ostéoporose post-ménopausique. La hausse moyenne de la densité osseuse dans la colonne vertébrale lombaire après une année était de 5,1% (4,8, 5,4%; 95% IC) dans le groupe sous le comprimé hebdomadaire et de 5,4% (5,0, 5,8%; 95% IC) dans le groupe sous 10 mg de Fosamax par jour. Les deux groupes de traitement étaient également comparables du point de vue de la hausse de la densité osseuse à d'autres sites du squelette. En ce qui concerne le comprimé hebdomadaire, seule l'influence sur la densité osseuse et non l'effet sur la fréquence des fractures a été étudiée. Ces données corroborent toutefois le résultat attendu, à savoir que le comprimé hebdomadaire de Fosamax diminue l'incidence des fractures de la même manière que le traitement journalier.
  • +Chez les patientes souffrant d'ostéoporose post-ménopausique, l'évolution après l'arrêt d'un traitement d'une ou deux années avec Fosamax a été contrôlée. Après l'arrêt du traitement, le taux de remaniement osseux est revenu progressivement au niveau antérieur au traitement; on n'a constaté ni une augmentation supplémentaire de la masse osseuse, ni une destruction accélérée de l'os. Ces données suggèrent que le traitement journalier de Fosamax doit être poursuivi pour obtenir une augmentation progressive de la masse osseuse.
  • +L'équivalence thérapeutique du comprimé hebdomadaire de Fosamax 70 mg et de Fosamax 10 mg par jour a pu être démontrée lors d'une étude d'une année chez des femmes souffrant d'ostéoporose post-ménopausique. La hausse moyenne de la densité osseuse dans la colonne vertébrale lombaire après une année était de 5,1% (4,8, 5,4%; IC à 95%) dans le groupe sous le comprimé hebdomadaire et de 5,4% (5,0, 5,8%; IC à 95%) dans le groupe sous 10 mg de Fosamax par jour. Les deux groupes de traitement étaient également comparables du point de vue de la hausse de la densité osseuse à d'autres sites du squelette. En ce qui concerne le comprimé hebdomadaire, seule l'influence sur la densité osseuse et non l'effet sur la fréquence des fractures a été étudiée. Ces données corroborent le résultat attendu, à savoir que le comprimé hebdomadaire de Fosamax 70 mg diminue l'incidence des fractures de la même manière que le traitement journalier (voir ci-dessous).
  • -Les résultats obtenus en trois ans durant la Fracture-Intervention-Study (FIT) chez les femmes en post-ménopause souffrant d'ostéoporose et ayant présenté au moins une fracture des vertèbres (par compression) avant le début de l'étude ont montré on outre la réduction de l'incidence des fractures par Fosamax. Le traitement à Fosamax a montré une réduction statistiquement et cliniquement significative de la proportion de patientes avec une ou plusieurs nouvelles fractures des vertèbres (Fosamax 7,9% contre placebo 15,0%; une réduction de 47%); deux ou plus de nouvelles fractures vertébrales (0,5% contre 4,9%; une réduction de 90%); une ou plusieurs fractures vertébrales douloureuses (2,3% contre 5,0%; une réduction de 54%); n'importe quelle fracture clinique (c'est-à-dire douloureuse) (13,8% contre 18,1%; une réduction de 26%), des fractures de la hanche (1,1% contre 2,2%; une réduction de 51%, p= 0,047) et des fractures du poignet (2,2% contre 4,1%; une réduction de 48%, p= 0,013). L'analyse des données poolées de 5 autres études de l'ostéoporose a démontré une réduction des fractures de la hanche et du poignet de proportion similaire.
  • -Durant trois ans, la réduction de la fréquence des fractures vertébrales (Fosamax contre placebo) dans la Vertebral-Fracture-Study de FIT (dans le cadre de laquelle toutes les femmes ont présenté au moins une fracture vertébrale comme critère d'inclusion) était congruente avec les résultats des deux grandes études antérieures (voir plus haut), dans le cadre desquelles 20% des femmes présentaient une fracture vertébrale avant le début de l'étude.
  • -Globalement, ces résultats consistants montrent l'efficacité de Fosamax pour la réduction de l'incidence des fractures ostéoporotiques au niveau de la colonne vertébrale, de la hanche et du poignet et par conséquent dans les localisations plus fréquentes avec des fractures ostéoporotiques chez les femmes en post-ménopause.
  • +Une réduction de l'incidence de nouvelles fractures avec Fosamax a également été démontrée dans la Vertebral Fracture Study, une sous-étude de la Fracture Intervention Study (FIT). Cette sous-étude a inclus des femmes en post-ménopause souffrant d'ostéoporose et présentant au moins une fracture vertébrale (par compression) avant le début de l'étude. Après 3 ans, on a observé une réduction statistiquement significative et cliniquement pertinente de la proportion de patientes présentant: une ou plusieurs nouvelles fractures vertébrales (Fosamax 7,9% contre placebo 15,0%; réduction du risque de 47%); deux ou plusieurs nouvelles fractures vertébrales (0,5% contre 4,9%; réduction de 90%); une ou plusieurs fractures vertébrales douloureuses (2,3% contre 5,0%; réduction de 54%); toute fracture clinique (c.-à-d. douloureuse) (13,8% contre 18,1%; réduction de 26%); fractures de la hanche (1,1% contre 2,2%; réduction de 51%, p= 0,047) et fractures du poignet (2,2% contre 4,1%; réduction de 48%, p= 0,013).
  • +Durant trois ans, la réduction de la fréquence des fractures vertébrales (Fosamax contre placebo) dans cette étude était cohérente avec les résultats des deux grandes études antérieures (voir plus haut), dans le cadre desquelles 20% des femmes présentaient une fracture vertébrale avant le début de l'étude.
  • +L'analyse des données poolées de 5 autres études sur l'ostéoporose a montré une réduction des fractures de la hanche et du poignet de proportion similaire. Globalement, ces résultats consistants montrent l'efficacité de Fosamax pour la réduction de l'incidence des fractures ostéoporotiques au niveau de la colonne vertébrale, de la hanche et du poignet et par conséquent dans les localisations les plus fréquentes des fractures ostéoporotiques chez les femmes en post-ménopause.
  • -Dans une étude de deux ans, tous les patients (âgés de 31 à 87 ans, moyenne 63 ans) de l'étude présentaient soit 1) une densité osseuse (BMD) avec un score T de ≤–2 au col du fémur et de ≤–1 à la colonne lombaire, ou 2) la présence d'une fracture ostéoporotique et une BMD avec un score T de ≤–1 au col du fémur. 86 hommes présentaient une diminution du taux de testostérone libre au début de l'étude. Les hommes qui présentaient une affection plus sévère du tractus gastro-intestinal supérieur (ulcère, etc.) en l'espace d'une année avant le début de l'étude avaient été exclus de l'étude. Les patients des groupes placebo et verum ont reçu 500 mg de calcium et 400 UI de vitamine D par jour. Après 2 ans, les hausses moyennes de la densité osseuse sous 10 mg de Fosamax par jour par rapport au placebo étaient les suivantes: colonne lombaire 5,3%; col du fémur 2,6%; trochanter 3,1% et densité osseuse totale 1,6% (tous p ≤0,001). De manière consistante avec les études à plus large envergure menées chez des femmes en post-ménopause, Fosamax à la dose de 10 mg par jour a provoqué chez les hommes une réduction de l'incidence de nouvelles fractures vertébrales (évaluées par diagnostic quantitatif aux rayons X) par rapport au placebo (0,8% contre 7,1%, p= 0,017) et par conséquent également une réduction de la diminution de la taille corporelle (–0,6 contre –2,4 mm; p= 0,022).
  • -Lors d'une étude d'une année (âge entre 38 et 91, moyenne 66 ans), la hausse moyenne de la densité osseuse sous traitement de Fosamax 70 mg une fois par semaine a été significative par rapport au placebo aux sites suivants: colonne lombaire 2,8% (p ≤0,001); col fémoral 1,9% (p= 0,007), trochanter 2,0% (p ≤0,001) et densité osseuse totale 1,2% (p= 0,018). L'augmentation de la densité osseuse a été comparable à celle observée en l'espace d'une année lors de l'étude avec 10 mg de Fosamax.
  • +Dans une étude de deux ans, tous les patients (âgés de 31 à 87 ans, moyenne 63 ans) de l'étude présentaient soit 1) une densité osseuse (BMD) avec un score T de ≤–2 au col du fémur et de ≤–1 à la colonne lombaire, ou 2) la présence d'une fracture ostéoporotique et une BMD avec un score T de ≤–1 au col du fémur. 86 hommes présentaient une diminution du taux de testostérone libre au début de l'étude. Les hommes qui présentaient une affection sévère du tractus gastro-intestinal supérieur (p.ex. ulcère) en l'espace d'une année avant le début de l'étude avaient été exclus de l'étude. Les patients des groupes placebo et verum ont reçu en supplément 500 mg de calcium et 400 UI de vitamine D par jour. Après 2 ans, les hausses moyennes de la densité osseuse sous 10 mg de Fosamax par jour par rapport au placebo étaient les suivantes: colonne lombaire 5,3%; col du fémur 2,6%; trochanter 3,1% et densité osseuse totale 1,6% (tous p ≤0,001). De manière consistante avec les études à plus large envergure menées chez des femmes en post-ménopause, Fosamax à la dose de 10 mg par jour a provoqué chez ces hommes une réduction de l'incidence de nouvelles fractures vertébrales (évaluées par diagnostic quantitatif aux rayons X) par rapport au placebo (0,8% contre 7,1%, p= 0,017) et par conséquent également une réduction de la diminution de la taille corporelle (–0,6 contre –2,4 mm; p= 0,022).
  • +Lors d'une étude d'une année (âge entre 38 et 91, moyenne 66 ans), la hausse moyenne de la densité osseuse sous traitement de Fosamax 70 mg une fois par semaine a été significative par rapport au placebo aux sites suivants: colonne lombaire 2,8% (p ≤0,001); col fémoral 1,9% (p= 0,007), trochanter 2,0% (p ≤0,001) et densité osseuse totale 1,2% (p= 0,018). Ces augmentations de la densité osseuse ont été comparables à celles observées en l'espace d'une année lors de l'étude avec 10 mg de Fosamax une fois par jour.
  • -Comparativement à une dose de référence administrée par voie intraveineuse, la biodisponibilité moyenne de l'alendronate après prise orale chez les femmes était de 0,64% pour des doses de 5 à 70 mg administrées après une nuit de jeûne et 2 heures avant un petit-déjeuner standard. L'alendronate des comprimés Fosavance (70 mg/2'800 UI) et (70 mg/5'600 UI) et celui des comprimés hebdomadaires Fosamax (70 mg) sont bioéquivalents.
  • -Chez les hommes, la biodisponibilité orale était semblable (0,6%) à celle des femmes. Lorsque l'alendronate était administré une demi-heure ou une heure avant un petit-déjeuner standard, la biodisponibilité était réduite dans les deux groupes d'environ 40%. Les deux études contrôlées les plus importantes chez les femmes souffrant d'ostéoporose post-ménopausique ont montré que 10 mg de Fosamax par jour, administrés une heure avant le premier repas ou la première boisson, sont efficaces. Dans le cadre des études sur l'ostéoporose, Fosamax était efficace lors d'une prise 30 minutes au moins avant la première prise de nourriture.
  • +Comparativement à une dose de référence administrée par voie intraveineuse, la biodisponibilité moyenne de l'alendronate après prise orale chez les femmes était de 0,64% pour des doses de 5 à 70 mg administrées après une nuit de jeûne et 2 heures avant un petit-déjeuner standard.
  • +L'alendronate des comprimés Fosavance (70 mg/2800 UI) et (70 mg/5600 UI) et celui des comprimés Fosamax 70 mg sont bioéquivalents.
  • +Chez les hommes, la biodisponibilité orale était semblable (0,6%) à celle des femmes. Lorsque l'alendronate était administré une demi-heure ou une heure avant un petit-déjeuner standard, la biodisponibilité était réduite (d'environ 40%). Dans le cadre des études sur l'ostéoporose, Fosamax était efficace lors d'une prise 30 minutes au moins avant le premier repas ou la première boisson de la journée.
  • -Lors de l'administration de Fosavance (70 mg/2'800 UI) après un jeûne nocturne et deux heures avant la prise d'un petit-déjeuner standard, l'aire moyenne sous la courbe de la concentration sérique en fonction du temps (AUC0–120 h) (non ajustée pour tenir compte de la vitamine D endogène) pour la vitamine D3 était de 296,4 ng × h/ml. La concentration maximale (Cmax) moyenne de vitamine D3 était de 5,9 ng/ml et le temps médian jusqu'à l'obtention de la concentration sérique maximale (Tmax) était de 12 heures. À la suite de l'administration de Fosavance (70 mg/5'600 UI) deux heures avant la prise d'un petit-déjeuner standardisé chez des sujets ayant jeûné la nuit, l'aire moeyenne sous la courbe de la concentration sérique en fonction du temps (AUC0–80 h) (non ajustée pour la vitamine D endogène) pour la vitamine D3 était de 490,2 ng × h/ml. La Cmax moyenne de la vitamine D3 était de 12,2 ng/ml et la durée médiane jusqu'à l'obtention de la concentration sérique maximale (Tmax) était de 10,6 heures. La biodisponibilité de la vitamine D3 contenue dans Fosavance est comparable à celle de la vitamine D3 administrée seule.
  • +Lors de l'administration de Fosavance (70 mg/2800 UI) après un jeûne nocturne et deux heures avant la prise d'un petit-déjeuner standard, l'aire moyenne sous la courbe de la concentration sérique en fonction du temps (AUC0–120 h) (non ajustée pour tenir compte du taux de vitamine D3 endogène) pour la vitamine D3 était de 296,4 ng × h/ml. La concentration sérique maximale (Cmax) moyenne de vitamine D3 était de 5,9 ng/ml et le temps médian jusqu'à l'obtention de la concentration sérique maximale (Tmax) était de 12 heures. À la suite de l'administration de Fosavance (70 mg/5600 UI) deux heures avant la prise d'un petit-déjeuner standardisé chez des sujets ayant jeûné la nuit, l'aire moyenne sous la courbe de la concentration sérique en fonction du temps (AUC0–80 h) (non ajustée pour tenir compte du taux de vitamine D3 endogène) pour la vitamine D3 était de 490,2 ng × h/ml. La Cmax moyenne de la vitamine D3 était de 12,2 ng/ml et la durée médiane jusqu'à l'obtention de la concentration sérique maximale (Tmax) était de 10,6 heures. La biodisponibilité de la vitamine D3 contenue dans Fosavance (70 mg/2800 UI et 70 mg/5600 UI) est comparable à celle de la vitamine D3 administrée seule.
  • -Lors de l'administration à des volontaires sains de vitamine D3 marquée radioactivement, l'élimination moyenne de la radioactivité dans l'urine s'est élevée à 2,4% après 48 heures et dans les fèces à 4,9% après quatre jours. Dans les deux cas, la radioactivité a été éliminée quasiment exclusivement sous forme de métabolites de la substance de départ. La demi-vie moyenne de la vitamine D3 dans le sérum se monte à environ 24 heures après une dose orale de Fosavance (70 mg/2'800 UI).
  • +Lors de l'administration à des volontaires sains de vitamine D3 marquée radioactivement, l'élimination moyenne de la radioactivité dans l'urine s'est élevée à 2,4% après 48 heures et dans les fèces à 4,9% après quatre jours. Dans les deux cas, la radioactivité a été éliminée quasiment exclusivement sous forme de métabolites de la substance de départ. La demi-vie moyenne de la vitamine D3 dans le sérum se monte à environ 24 heures après une dose orale de Fosavance (70 mg/2800 UI).
  • -Insuffisance hépatique: Aucune étude n'a été conduite. Etant donné que l'alendronate n'est pas métabolisé ni éliminé par voie biliaire, il n'y a vraisemblablement pas lieu de s'attendre à des effets indésirables.
  • +Insuffisance hépatique: Aucune étude n'a été conduite. Étant donné que l'alendronate n'est pas métabolisé ni éliminé par voie biliaire, il n'y a vraisemblablement pas lieu de s'attendre à des effets indésirables.
  • -Les données précliniques issues d'études conventionnelles sur la pharmacologie de la sécurité, sur la toxicité chronique, sur la génotoxicité et sur le potentiel cancérigène ne fournissent aucun élément laissant supposer qu'il existe un danger particulier pour l'être humain, qui n'est pas cité dans la section «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions». Des études réalisées chez des rats ont montré que l'administration d'alendronate à des rates gestantes est accompagnée de l'apparition de dystocie chez les rates mères, cette dystocie ayant été attribuée à une hypocalcémie. Au cours d'études, des doses élevées chez des rates ont entraîné une augmentation du nombre d'ossifications incomplètes chez les foetus. La signification de cette observation pour l'être humain n'est pas connue.
  • -Au cours d'études de reproduction avec l'alendronate chez des animaux, aucun effet secondaire n'a été observé chez des rates avec des doses pouvant aller jusqu'à 25 mg/kg/jour et chez des lapins avec des doses pouvant aller jusqu'à 35 mg/kg/jour.
  • +Les données précliniques issues d'études conventionnelles sur la pharmacologie de la sécurité, sur la toxicité chronique, sur la génotoxicité et sur le potentiel cancérigène ne fournissent aucun élément laissant supposer qu'il existe un danger particulier pour l'être humain, qui n'est pas cité dans la section «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions». Des études réalisées chez des rats ont montré que l'administration d'alendronate à des rates gestantes est accompagnée de l'apparition de dystocie chez les rates mères, cette dystocie ayant été attribuée à une hypocalcémie. Au cours d'études, des doses élevées chez des rates ont entraîné une augmentation du nombre d'ossifications incomplètes chez les fÅ“tus. La signification de cette observation pour l'être humain n'est pas connue. Au cours d'études de reproduction avec l'alendronate chez des animaux, aucun effet secondaire n'a été observé chez des rates avec des doses pouvant aller jusqu'à 25 mg/kg/jour et chez des lapins avec des doses pouvant aller jusqu'à 35 mg/kg/jour.
  • -Fosavance ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «Exp» sur l'emballage.
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «Exp» sur le récipient.
  • -Ne pas conserver au-dessus de 30 °C. Tenir à l'abri de la lumière et de l'humidité. Conserver les comprimés dans le blister d'origine jusqu'à la prise. Conserver hors de portée des enfants.
  • +Ne pas conserver au-dessus de 30 °C. Protéger de la lumière et de l'humidité. Conserver les comprimés dans le blister d'origine jusqu'à la prise. Conserver hors de portée des enfants.
  • -Fosavance 70/2800 cpr hebdomadaires 4 (B)
  • -Fosavance 70/2800 cpr hebdomadaires 12 (B)
  • -Fosavance 70/5600 cpr hebdomadaires 4 (B)
  • -Fosavance 70/5600 cpr hebdomadaires 12 (B)
  • +Fosavance 70/2800 comprimés hebdomadaires et Fosavance 70/5600 comprimés hebdomadaires: 4 et 12* comprimés (B)
  • -MSD MERCK SHARP & DOHME AG, Lucerne.
  • +MSD MERCK SHARP & DOHME AG
  • +Lucerne
  • -Juillet 2020.
  • -S-WPC-MK0217A-T-052015-ATC-Code/RCN000016630-CH
  • +Janvier 2021.
  • +S-WPC-MK0217A-T-052015-full declaration/000013251-CH
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