44 Changements de l'information professionelle Neupro 2 mg/24h |
-·Matrice auto-adhésive: copolymère de poly(diméthylsiloxane, triméthylsilyl-silicate), povidone K90, métabisulfite de sodium (E223), palmitate d'ascorbyle (E304) et DL-α-tocophérol (E307).
- +·Matrice auto-adhésive: copolymère de poly(diméthylsiloxane, triméthylsilyl-silicate), povidone K90, métabisulfite de sodium (E223), palmitate d'ascorbyle (E304) et DLα-tocophérol (E307).
-Syndrome des jambes sans repos (RLS)
-Neupro est indiqué dans le traitement symptomatique du syndrome des jambes sans repos idiopathique d'intensité modérée à sévère chez l'adulte.
- +Syndrome des jambes sans repos (SJSR)
- +Neupro est indiqué dans le traitement symptomatique du syndrome des jambes sans repos (SJSR) idiopathique d'intensité modérée à sévère chez l'adulte.
-Neupro est appliqué une fois par jour. Le patient peut appliquer le dispositif transdermique à l'heure qui lui convient le mieux. Celui-ci reste sur la peau pendant 24 heures et doit ensuite être remplacé par un dispositif transdermique neuf que l'on appliquera sur un site différent.
-Neupro étant administré par voie transdermique, aucun effet causé par des aliments ou une maladie gastro-intestinale n'est attendu, si bien que le patch peut être appliqué indépendamment de l'heure des repas.
- +Neupro est appliqué une fois par jour. Le patient peut appliquer le dispositif transdermique à l'heure qui lui convient le mieux. Celui-ci reste sur la peau pendant 24 heures et doit ensuite être remplacé par un dispositif transdermique neuf que l'on appliquera sur un site différent.
- +Si le patient oublie d'appliquer le timbre à l'heure habituelle de la journée ou si le timbre se détache, un nouveau timbre doit être appliqué pour le reste de la journée.
- +Neupro étant administré par voie transdermique, aucun effet causé par des aliments ou une maladie gastro-intestinale n'est attendu, si bien que le patch peut être appliqué indépendamment de l'heure des repas.
- +Neupro est destiné à un usage transdermique.
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-Chaque dispositif transdermique est emballé dans un sachet-dose individuel et doit être appliqué immédiatement après ouverture du sachet-dose. Retirer l'un des deux volets de la feuille protectrice et appliquer la face adhésive du dispositif transdermique sur la peau en appuyant fermement. Replier ensuite le dispositif transdermique et enlever l'autre volet de la feuille protectrice. Ne pas toucher la face adhésive du dispositif transdermique. Avec la paume de la main, appuyer fermement sur le dispositif transdermique pendant 20 à 30 secondes pour qu'il adhère bien.
-Si, malgré toutes les précautions, un dispositif transdermique se décolle, appliquer un nouveau patch pour le reste de la journée. On remplacera le dispositif transdermique le lendemain à l'heure habituelle.
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- +Chaque dispositif transdermique est emballé dans un sachet-dose individuel et doit être appliqué immédiatement après ouverture du sachet-dose. Retirer l'un des deux volets de la feuille protectrice et appliquer la face adhésive du dispositif transdermique sur la peau en appuyant fermement. Replier ensuite le dispositif transdermique et enlever l'autre volet de la feuille protectrice. Ne pas toucher la face adhésive du dispositif transdermique. Avec la paume de la main, appuyer fermement sur le dispositif transdermique pendant 30 secondes pour qu'il adhère bien.
-Imagerie par résonance magnétique (IRM) ou cardioversion (voir «Mises en garde et précautions», «Remarques particulières, influence sur les méthodes de diagnostic»).
-Insuffisance hépatique sévère.
- +Imagerie par résonance magnétique (IRM) ou cardioversion. La couche de support de Neupro contient de l'aluminium. Pour éviter des brûlures cutanées, Neupro doit être retiré si le patient doit subir un examen d'imagerie par résonance magnétique (IRM) ou une cardioversion.Insuffisance hépatique sévère.
-Des cas de syncope ont été observés durant les études cliniques avec Neupro, cependant, leur fréquence était également similaire à celle enregistrée chez les patients sous placebo.
- +Des cas de syncope ont été observés durant les études cliniques avec la rotigotine, cependant, leur fréquence était comparable à celle enregistrée chez les patients sous placebo. Étant donné que ces études excluaient les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire cliniquement pertinente, il faut demander aux patients atteints d'une maladie cardiovasculaire grave s'ils présentent des symptômes de syncope et de présyncope.
-Un phénomène d'augmentation peut se produire chez les patients atteints du syndrome des jambes sans repos. Ce phénomène d'augmentation fait référence à une apparition plus précoce des symptômes le soir (voire l'après- midi), à une sévérité accrue des symptômes et à une extension des symptômes à d'autres parties du corps. Sur la base de deux études de suivi en ouvert d'une durée de 1 an, les symptômes reflétant une augmentation cliniquement pertinente ou non, peuvent atteindre une fréquence de 9,4%. Par contre, selon deux études d'une durée de 6 mois, en double aveugle contrôlées versus placebo, un phénomène d'augmentation cliniquement significatif a été observé chez 1,5% des patients traités par rotigotine versus 0,5% des patients sous placebo. Dans deux études en ouvert ayant un suivi complémentaire de 12 mois, le taux a été de 2,9%. Aucun de ces patients n'a arrêté le traitement en raison du phénomène d'augmentation. Les données émanant d'une étude ouverte portant sur le traitement pendant 5 ans ont montré une augmentation chez 11,9% des patients traités par une posologie autorisée pour le RLS (1 à 3 mg/24 h); chez 5,1%, l'augmentation a été jugée comme étant cliniquement significative. La plupart des cas d'augmentation sont survenus au cours de la première et de la seconde année de traitement. La posologie de 4 mg/24 h également autorisée dans cette étude était associée à un taux d'augmentation accru. Une posologie de 4 mg/24 h n'est pas autorisée pour le traitement du RLS (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Un phénomène d'augmentation peut se produire chez les patients atteints du syndrome des jambes sans repos. Ce phénomène d'augmentation fait référence à une apparition plus précoce des symptômes le soir (voire l'après- midi), à une sévérité accrue des symptômes et à une extension des symptômes à d'autres parties du corps.
- +Dans les études cliniques à long terme sur la rotigotine, la plupart des cas d'augmentation sont survenus au cours de la première et de la deuxième année du traitement. Des doses plus élevées que celles permises pour le SJSR devraient être évitées, car cela peut entraîner une hausse du taux d'augmentation.
- +Sur la base de deux études de suivi en ouvert d'une durée de 1 an, les symptômes reflétant une augmentation cliniquement pertinente ou non, peuvent atteindre une fréquence de 9,4%. Par contre, selon deux études d'une durée de 6 mois, en double aveugle contrôlées versus placebo, un phénomène d'augmentation cliniquement significatif a été observé chez 1,5% des patients traités par rotigotine versus 0,5% des patients sous placebo. Dans deux études en ouvert ayant un suivi complémentaire de 12 mois, le taux a été de 2,9%. Aucun de ces patients n'a arrêté le traitement en raison du phénomène d'augmentation. Les données émanant d'une étude ouverte portant sur le traitement pendant 5 ans ont montré une augmentation chez 11,9% des patients traités par une posologie autorisée pour le SJSR (1 à 3 mg/24 h); chez 5,1%, l'augmentation a été jugée comme étant cliniquement significative. La plupart des cas d'augmentation sont survenus au cours de la première et de la seconde année de traitement. La posologie de 4 mg/24 h également autorisée dans cette étude était associée à un taux d'augmentation accru. Une posologie de 4 mg/24 h n'est pas autorisée pour le traitement du SJSR (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Imagerie par résonance magnétique et cardioversion
-La couche de support de Neupro contient de l'aluminium. Pour éviter des brûlures cutanées, Neupro doit être retiré si le patient doit subir un examen d'imagerie par résonance magnétique (IRM) ou une cardioversion (voir «Remarques particulières, influence sur les méthodes de diagnostic»).
-Lors des études cliniques menées chez des patients parkinsoniens, la fréquence des oedèmes périphériques évaluée à 6 mois à environ 4%, s'est maintenue pendant toute la durée d'observation, et cela jusqu'à 36 mois. Des oedèmes périphériques ont été observés lors des études sur les patients avec RLS.
- +Lors des études cliniques menées chez des patients parkinsoniens, la fréquence des oedèmes périphériques évaluée à 6 mois à environ 4%, s'est maintenue pendant toute la durée d'observation, et cela jusqu'à 36 mois. Des oedèmes périphériques ont été observés lors des études sur les patients avec SJSR.
-Comme d'autres agonistes de la dopamine, Neupro peut renforcer les effets indésirables dopaminergiques de la L-dopa et déclencher ou aggraver des dyskinésies existantes.
-La pharmacocinétique de la rotigotine n'est pas influencée par l'administration concomitante de L-dopa ou de carbidopa; de même, la rotigotine n'a eu aucun effet sur la pharmacocinétique de la L-dopa ou de la carbidopa.
- +Comme d'autres agonistes de la dopamine, Neupro peut renforcer les effets indésirables dopaminergiques de la Levodopa et déclencher ou aggraver des dyskinésies existantes.
- +La pharmacocinétique de la rotigotine n'est pas influencée par l'administration concomitante de Levodopa ou de carbidopa; de même, la rotigotine n'a eu aucun effet sur la pharmacocinétique de la Levodopa ou de la carbidopa.
-L'analyse de l'ensemble des études cliniques contrôlées contre placebo, qui incluaient au total 748 patients traités par Neupro et 214 patients traités par placebo, montre que 65,2% des patients traités avec Neupro et 33,2% des patients sous placebo ont rapporté au moins une réaction indésirable.
- +L'analyse de l'ensemble des études cliniques contrôlées contre placebo, qui incluaient au total 748 patients traités par Neupro et 214 patients traités par placebo, montre que 65,5% des patients traités avec Neupro et 33,2% des patients sous placebo ont rapporté au moins une réaction indésirable.
- +Taux d'arrêt
- +Le taux d'arrêt de traitement a été étudié au cours de 3 études cliniques ayant eu jusqu'à 3 ans de durée. Le pourcentage de patients ayant arrêté l'étude a été de 25–38% durant la première année, 10% la seconde année, et 11% la troisième année. Une évaluation périodique de l'efficacité doit être réalisée, accompagnée de l'évaluation de la sécurité, y compris le phénomène d'augmentation.
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-L'analyse de l'ensemble des études cliniques contrôlées par placebo, qui incluaient au total 1'307 patients traités par Neupro et 607 patients traités par placebo, montre que 72,3% des patients traités avec Neupro et 57,8% des patients sous placebo ont rapporté au moins une réaction indésirable.
- +L'analyse de l'ensemble des études cliniques contrôlées par placebo, qui incluaient au total 1'307 patients traités par Neupro et 607 patients traités par placebo, montre que 72,5% des patients traités avec Neupro et 57,8% des patients sous placebo ont rapporté au moins une réaction indésirable.
-Le liste suivante présente les effets indésirables observés lors des études poolées mentionnées ci-dessus et contrôlées contre placebo, réalisées chez des patients atteints de syndrome des jambes sans repos. Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité.
- +La liste suivante présente les effets indésirables observés lors des études poolées mentionnées ci-dessus et contrôlées contre placebo, réalisées chez des patients atteints de syndrome des jambes sans repos. Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre décroissant de gravité.
- +D'autres effets indésirables ont été observés chez les patients atteints de la maladie de Parkinson. Voir la liste des effets indésirables sous la rubrique Maladie de Parkinson.
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-Fréquent: Attaques de sommeil/endormissement soudain, troubles du désir sexuel¹ (y compris hypersexualité, augmentation de la libido), insomnie, troubles du sommeil, rêves anormaux, troubles du contrôle des pulsions¹ (y compris jeu pathologique, comportement compulsif/stéréotypé, comportements d'achats compulsifs²).
-Occasionnel: Troubles obsessionnels compulsifs, désorientation, agitation.
-Rare: Comportement agressif, agression, hyperphagie/trouble de l'alimentation, idées délirantes, délire.
- +Fréquent: Attaques de sommeil/endormissement soudain, troubles du désir sexuel¹ (y compris hypersexualité, augmentation de la libido), insomnie, troubles du sommeil, rêves anormaux, troubles du contrôle des pulsions¹,3 (y compris jeu pathologique, comportement compulsif/stéréotypé, hyperphagie/trouble de l'alimentation, comportements d'achats compulsifs²).
- +Occasionnel: Troubles obsessionnels compulsifs.
- +Rare: Comportement agressif/agression, désorientation3.
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Inconnu: augmentation des taux de créatine phosphokinase (CPK)3.
-Inconnu: Élévation des CPK (voir «Maladie de Parkinson; expérience depuis la mise sur le marché pour les deux domaines d'indications; créatine-phosphokinase»).
-Le taux d'arrêt de traitement a été étudié au cours de 3 études cliniques ayant eu jusqu'à 3 ans de durée. Le pourcentage de patients ayant arrêté l'étude a été de 25–38% durant la première année, 10% la seconde année, et 11% la troisième année. Une évaluation périodique de l'efficacité doit être réalisée, accompagnée de l'évaluation de la sécurité, y compris le phénomène d'augmentation.
- +3 Données provenant d'études poolées, à double insu et contrôlées contre placebo.
-Fréquent: Troubles de la perception¹ (incl. hallucinations, hallucination visuelle, hallucination auditive, illusion), insomnie, trouble du sommeil, cauchemar, rêves anormaux, troubles du contrôle des pulsions¹ (y compris jeu pathologique, comportement compulsif/stéréotypé, comportements d'achats compulsifs²).
-Occasionnel: Attaques de sommeil/endormissement soudain, paranoia, troubles du désir sexuel¹ (incl. hypersexualité, augmentation de la libido), état confusionnel, désorientation, agitation.
- +Fréquent: Troubles de la perception¹ (incl. hallucinations, hallucination visuelle, hallucination auditive, illusion), insomnie, trouble du sommeil, cauchemar, rêves anormaux, troubles du contrôle des pulsions¹,3 (y compris jeu pathologique, comportement compulsif/stéréotypé, hyperphagie/trouble de l'alimentation2, comportements d'achats compulsifs²).
- +Occasionnel: Attaques de sommeil/endormissement soudain, paranoia, troubles du désir sexuel¹ (incl. hypersexualité, augmentation de la libido), état confusionnel, désorientation3, agitation3.
- +Inconnu: diarrhée2
- +Affections hépatobiliaires
- +Inconnu: Élévation des enzymes hépatiques (y c. ASAT, ALAT, GGT).
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Inconnu: augmentation des taux de créatine phosphokinase (CPK)3.
-Occasionnel: Élévation des enzymes hépatiques (y c. ASAT, ALAT, GGT), prise de pois, augmentation du rythme cardiaque.
-Inconnu: Élévation des CPK (voir «Expérience depuis la mise sur le marché pour les deux domaines d'indication; créatine-phosphokinase»).
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- +Occasionnel: Prise de pois, augmentation du rythme cardiaque.
-Expériences depuis la mise sur le marché pour les deux domaines d'indication
-Les expériences faites jusqu'à présent en matière de sécurité depuis la mise sur le marché correspondent au profil d'effets indésirables observé dans les études cliniques.
- +3 Données provenant d'études poolées, à double insu et contrôlées contre placebo.
-Les deux domaines d'application
-Attaques de sommeil subites et somnolence
- +Endormissement soudain et somnolence
-Créatine-phospokinase
-Des effets indésirables d'augmentation du taux de la créatine-phosphokinase (CPK) ont été rapportés lors d'études cliniques effectuées au Japon en particulier pour les patients parkinsoniens traités avec la rotigotine. Dans les études en double aveugle, une augmentation de la CPK a été observée chez 3.4% des patients recevant de la rotigotine contre 1.9% des patients dans le groupe placebo. La majorité de ces observations d'augmentation de la CPK dans toutes les études en double aveugle et les études ouvertes se sont résolus et ont été classifiées de sévérité légère. Le taux de CPK n'a pas été systématiquement mesuré dans d'autres populations.
- +Groupe de patients spéciaux
- +Des effets indésirables d'augmentation du taux de la créatine-phosphokinase (CPK) ont été rapportés lors d'études cliniques effectuées au Japon en particulier pour les patients atteints de la maladie de Parkinson et de SJSR traités avec la rotigotine. Dans les études en double aveugle, une augmentation de la CPK a été observée chez 3.4% des patients recevant de la rotigotine contre 1.9% des patients dans le groupe placebo. La majorité de ces observations d'effets indésirables d'augmentation du taux de CPK dans toutes les études en double aveugle et les études ouvertes se sont résolus et ont été classifiées de sévérité légère. Le taux de CPK n'a pas été systématiquement mesuré dans d'autres populations.
-Le mécanisme d'action précis de la rotigotine dans le traitement du RLS n'est pas connu. On suppose que la rotigotine exerce principalement son effet par le biais des récepteurs dopaminergiques.
- +Le mécanisme d'action précis de la rotigotine dans le traitement du SJSR n'est pas connu. On suppose que la rotigotine exerce principalement son effet par le biais des récepteurs dopaminergiques.
-Deux études pivots ont porté sur l'efficacité de Neupro en monothérapie dans le traitement symptomatique de la maladie de Parkinson idiopathique au stade précoce. Les patients inclus dans ces études ne recevaient aucun traitement par un agoniste de la dopamine et la durée d'un éventuel traitement antérieur par la L-dopa était au moins inférieure à 6 mois avant l'inclusion dans l'étude.
- +Deux études pivots ont porté sur l'efficacité de Neupro en monothérapie dans le traitement symptomatique de la maladie de Parkinson idiopathique au stade précoce. Les patients inclus dans ces études ne recevaient aucun traitement par un agoniste de la dopamine et la durée d'un éventuel traitement antérieur par la Levodopa était au moins inférieure à 6 mois avant l'inclusion dans l'étude.
-Août 2017.
- +Août 2018.
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