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-a) Femmes prenant des contraceptifs hormonaux (voir aussi à cet égard les rubriques «Mises en garde et précautions» et «Interactions»)
- +a) Femmes prenant des contraceptifs hormonaux et des traitements hormonaux substitutifs (voir aussi à cet égard les rubriques «Mises en garde et précautions» et «Interactions»)
- +-Début de la prise d'un traitement hormonal substitutif aux œstrogènes chez les patientes recevant déjà des doses d'entretien de lamotrigine et AUCUN inducteur de la glucuronidation de la lamotrigine:
- +Un traitement hormonal substitutif peut augmenter la clairance de la lamotrigine. Une surveillance étroite avec une éventuelle augmentation de la dose de lamotrigine peut être nécessaire.
- +-Arrêt de la prise d'un traitement hormonal substitutif aux œstrogènes chez les patientes prenant déjà des doses d'entretien de lamotrigine et AUCUN inducteur de la glucuronidation de la lamotrigine:
- +Une surveillance étroite avec diminution de la dose de lamotrigine peut être nécessaire.
- +
-Contraceptifs hormonaux
- +Contraceptifs hormonaux et traitements hormonaux substitutifs
-Une association éthinylestradiol/lévonorgestrel a pour effet d’augmenter d’environ un facteur 2 la clairance de la lamotrigine, ce qui entraîne une réduction des taux de lamotrigine (voir «Interactions»). Après la titration de la dose, des doses d’entretien plus élevées de lamotrigine s’avèrent donc dans la plupart des cas nécessaires en vue d’obtenir un effet thérapeutique optimal (voir «Posologie/Mode d’emploi, Instructions posologiques particulières»). Chez les femmes ne recevant pas déjà un inducteur de la glucuronidation de la lamotrigine, mais prenant un contraceptif hormonal pour lequel est prévu un intervalle sans principe actif (p. ex. «semaine sans prise»), une augmentation graduelle temporaire des taux de lamotrigine est observée dans cet intervalle, pouvant entrainer des effets indésirables. Ces augmentations sont plus importantes lorsque les augmentations de la dose de lamotrigine sont effectuées durant la semaine sans principe actif ou les jours précédents. Il convient de rendre les patientes attentives à ces fluctuations.
- +Un contraceptif oral combiné avec l'association éthinylestradiol/lévonorgestrel multiplie environ par deux la clairance de la lamotrigine, entraînant ainsi une diminution de la concentration de lamotrigine (voir «Interactions»). Après la titration de la dose, des doses d’entretien plus élevées de lamotrigine s’avèrent donc dans la plupart des cas nécessaires en vue d’obtenir un effet thérapeutique optimal (voir «Posologie/Mode d’emploi, Instructions posologiques particulières»). Chez les femmes ne recevant pas déjà un inducteur de la glucuronidation de la lamotrigine, mais prenant un contraceptif hormonal pour lequel est prévu un intervalle sans principe actif (p. ex. «semaine sans prise»), une augmentation graduelle temporaire des taux de lamotrigine est observée dans cet intervalle, pouvant entrainer des effets indésirables. Ces augmentations sont plus importantes lorsque les augmentations de la dose de lamotrigine sont effectuées durant la semaine sans principe actif ou les jours précédents. Il convient de rendre les patientes attentives à ces fluctuations.
- +Effets des traitements hormonaux substitutifs sur l'efficacité de la lamotrigine:
- +Certains rapports ont évoqué une possible interaction avec des traitements hormonaux substitutifs aux œstrogènes, qui pourraient entraîner une diminution de l'efficacité de la lamotrigine. Une surveillance étroite avec adaptation éventuelle de la dose de lamotrigine est donc recommandée si un traitement hormonal substitutif est mis en place. Après l'arrêt de la préparation hormonale, les concentrations de lamotrigine peuvent à nouveau augmenter, de sorte que la patiente devrait aussi faire l'objet d'une surveillance pendant cette phase pour éventuellement réduire la dose de lamotrigine.
- +
-Pour les instructions posologiques, voir «Posologie/Mode d’emploi» sous «Instructions posologiques particulières en cas d’épilepsie et de trouble bipolaire»; chez les femmes qui prennent des contraceptifs hormonaux, voir aussi «Mises en garde et précautions» – «Contraceptifs hormonaux».
- +Pour les instructions posologiques, voir «Posologie/Mode d’emploi» sous «Instructions posologiques particulières en cas d’épilepsie et de trouble bipolaire»; chez les femmes qui prennent des contraceptifs hormonaux ou des traitements hormonaux substitutifs, voir aussi «Mises en garde et précautions» – «Contraceptifs hormonaux et traitements hormonaux substitutifs».
-Interactions avec les contraceptifs hormonaux (voir «Posologie/Mode d’emploi», «Instructions posologiques particulières» et «Mises en garde et précautions»)
- +Interactions avec les contraceptifs hormonaux et les traitements hormonaux substitutifs (voir «Posologie/Mode d’emploi», «Instructions posologiques particulières» et «Mises en garde et précautions»)
-Dans le cadre d’une étude menée sur 16 sujets, l’administration d’une association de 30 μg d’éthinylestradiol et de 150 μg de lévonorgestrel ont provoqué une augmentation de près du double de la clairance orale de la lamotrigine, ce qui a entraîné une diminution moyenne de l’AUC de la lamotrigine de 52% et une diminution moyenne de la Cmax de 39%. Les concentrations sériques de la lamotrigine ont augmenté progressivement au cours de la période sans principe actif (semaine «sans pilule»), les concentrations mesurées avant la prise à la fin de la semaine sans principe actif représentant en moyenne près du double des concentrations mesurées sous la co-médication.
-D’autres contraceptifs oraux et traitements de substitution hormonale (HET) n’ont pas été investigués bien que ceux-ci puissent avoir un effet semblable sur les paramètres pharmacocinétiques de la lamotrigine.
-Effet de la lamotrigine sur la pharmacocinétique du contraceptif hormonal
-Dans le cadre d’une étude menée chez 16 sujets, une dose stable de 300 mg de lamotrigine n’a montré aucun effet sur la pharmacocinétique de l’éthinylestradiol dans un contraceptif oral combiné. Une augmentation modérée de la clairance du lévonorgestrel a été observée, cette augmentation ayant entraîné une réduction moyenne de l’AUC du lévonorgestrel de 19% et une réduction moyenne de la Cmax de 12%. La mesure des concentrations sériques de FSH, de LH et d’œstradiol au cours de l’étude a indiqué chez quelques femmes un certain déficit au niveau de la suppression de l’activité hormonale ovarienne bien que la détermination des taux de progestérone dans le sérum n’ait révélé aucune indication hormonale d’une ovulation chez les 16 sujets. L’effet de l’augmentation modérée de la clairance du lévonorgestrel et des modifications des taux sériques de FSH et LH sur l’activité ovarienne est inconnu. Une diminution de l’efficacité contraceptive ne peut être exclue de façon certaine (voir «Mises en garde et précautions»). A ce jour, aucune étude n’a été conduite avec une posologie de lamotrigine autre que 300 mg/jour, ni des études sur d’autres médicaments contenant des hormones féminines.
- +Dans une étude menée chez 16 sujets de sexe féminin, l’administration d’un contraceptif oral combiné composé de 30 μg d’éthinylestradiol et de 150 μg de lévonorgestrel a presque multiplié par deux la clairance de la lamotrigine, ce qui a entraîné une diminution moyenne de l'AUC de la lamotrigine de 52% et de la Cmax de 39%. Les concentrations sériques de la lamotrigine ont augmenté progressivement au cours de la période sans principe actif (semaine «sans pilule»), les concentrations mesurées avant la prise à la fin de la semaine sans principe actif étant en moyenne près de deux fois plus élevées que celles mesurées sous la comédication.
- +Aucun autre contraceptif oral ni traitement hormonal substitutif (THS) n'a été évalué, bien que ceux-ci puissent avoir un effet similaire sur les paramètres pharmacocinétiques de la lamotrigine. Certains rapports montrent que les THS aux œstrogènes peuvent limiter l'efficacité de la lamotrigine.
- +Effet de la lamotrigine sur la pharmacocinétique du contraceptif hormonal et des traitements hormonaux substitutifs :
- +Dans le cadre d’une étude menée chez 16 sujets, une dose stable de 300 mg de lamotrigine n’a montré aucun effet sur la pharmacocinétique de l’éthinylestradiol dans un contraceptif oral combiné. Une augmentation modérée de la clairance du lévonorgestrel a été observée, cette augmentation ayant entraîné une réduction moyenne de l’AUC du lévonorgestrel de 19% et une réduction moyenne de la Cmax de 12%. La mesure des concentrations sériques de FSH, de LH et d’œstradiol au cours de l’étude a indiqué chez quelques femmes un certain déficit au niveau de la suppression de l’activité hormonale ovarienne bien que la détermination des taux de progestérone dans le sérum n’ait révélé aucune indication hormonale d’une ovulation chez les 16 sujets. L’effet de l’augmentation modérée de la clairance du lévonorgestrel et des modifications des taux sériques de FSH et LH sur l’activité ovarienne est inconnu. Une diminution de l’efficacité contraceptive ne peut être exclue de façon certaine (voir «Mises en garde et précautions»). Aucune étude n'a été réalisée jusqu'à présent avec une posologie autre que 300 mg/jour de lamotrigine ou avec d'autres produits contenant des hormones féminines (y compris de la progestérone/des traitements hormonaux substitutifs à la progestérone).
-Par convention, la fréquence des effets indésirables est classée comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10), occasionnels (≥1/1000, <1/100), rares (≥1/10 000, <1/1000), très rares (<1/10 000), fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Par convention, la fréquence des effets indésirables est classée comme suit: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10 000, <1/1000), très rare (<1/10 000), fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Rares: leucopénie, thrombopénie.
-Très rares: autres anomalies hématologiques (notamment neutropénie, anémie, pancytopénie, anémie aplasique, agranulocytose, dans des cas isolés d’issue fatale), lymphadénopathie, lympho-histiocytose hémophagocytaire (voir «Mises en garde et précautions»).
-Des troubles hématologiques et une lymphadénopathie ont été observés aussi bien dans le contexte d’un syndrome DRESS/syndrome d’hypersensibilité qu’en l’absence de ce syndrome (voir «Mises en garde et précautions» et «Affections du système immunitaire»).’
- +Rare: leucopénie, thrombocytopénie.
- +Très rare: autres anomalies hématologiques (notamment neutropénie, anémie, pancytopénie, anémie aplasique, agranulocytose, à l'issue fatale dans des cas isolés), lymphadénopathie.
- +Fréquence inconnue: lympho-histiocytose hémophagocytairea(voir «Mises en garde et précautions»).
-Très rares: syndrome DRESS/syndrome d’hypersensibilité y compris symptômes tels qu’exanthèmes, fièvre, lymphadénopathie, œdème du visage, altérations des paramètres hématologiques, hépatiques et rénaux (voir «Mises en garde et précautions»), hypogammaglobulinémie.
- +Fréquence inconnue: hypogammaglobulinémiea.
-Fréquents: agressivité, irritabilité, agitation (observée seulement en cas de troubles bipolaires).
-Rares: confusion mentale.
-Très rares: tics, hallucinations, cauchemars.
-Fréquence inconnue: trouble obsessionnel compulsif.
- +Fréquent: agressivité, irritabilité, agitation (observée seulement en cas de troubles bipolaires).
- +Rare: confusion.
- +Très rare: tics, hallucinations.
- +Fréquence inconnue: trouble obsessionnel compulsifa, cauchemarsa.
-Très fréquents: sensations vertigineuses (jusqu’à 35% dans certaines études, plus rarement sous monothérapie), céphalées (jusqu’à 26%), ataxie (jusqu’à 19% sous traitement associé, plus rarement sous monothérapie), somnolence (jusqu’à 14%, plus rarement sous monothérapie).
-Fréquents: insomnie, tremblement, nystagmus.
-Rares: méningite aseptique (voir «Mises en garde et précautions»).
-Très rares: instabilité, troubles moteurs, aggravation d’un syndrome de Parkinson existant, effets extrapyramidaux, choréoathétose*, augmentation de la fréquence des crises d’épilepsie.
-*Dans des cas isolés, des troubles moteurs extrapyramidaux et une choréoathétose ont été décrits chez des patients sans affection sous-jacente correspondante préexistante.
- +Très fréquent: sensations vertigineuses (jusqu’à 35% dans certaines études, plus rarement sous monothérapie), céphalées (jusqu’à 26%), ataxie (jusqu’à 19% sous traitement associé, plus rarement sous monothérapie), somnolence (jusqu’à 14%, plus rarement sous monothérapie).
- +Fréquent: insomnie, tremblement, nystagmus.
- +Très rare: instabilité, troubles moteurs, aggravation d’un syndrome de Parkinson existant, effets extrapyramidaux, choréoathétose.
- +Fréquence inconnue: méningite aseptiquea (cf. «Mises en garde et précautions»), augmentation de la fréquence des crisesa.
-Très fréquents: diplopie (jusqu’à 25%, plus rarement sous monothérapie), vision floue (jusqu’à 14%, plus rarement sous monothérapie).
-Rares: conjonctivite.
- +Très fréquent: diplopie (jusqu’à 25%, plus rarement sous monothérapie), vue trouble (jusqu’à 14%, plus rarement sous monothérapie).
- +Fréquence inconnue: conjonctivitea.
-Très fréquents: nausées (jusqu’à 18%, plus rarement sous monothérapie), vomissements (jusqu’à 18%, plus rarement sous monothérapie), diarrhée (jusqu’à 12%, plus rarement sous monothérapie).
- +Très fréquent: nausées (jusqu’à 18%, plus rarement sous monothérapie), vomissements (jusqu’à 18%, plus rarement sous monothérapie), diarrhée (jusqu’à 12%, plus rarement sous monothérapie).
-Très rares: augmentation du taux des paramètres fonctionnels hépatiques, perturbation de la fonction hépatique, insuffisance hépatique.
- +Très rare: augmentation des paramètres hépatiques, trouble de la fonction hépatique, insuffisance hépatique.
-Très fréquents: exanthème (12 à 14%).
-Rares: syndrome de Stevens-Johnson, œdème de Quincke, alopécie.
-Très rares: nécrolyse épidermique toxique.
-Des exanthèmes ont aussi été décrits dans le contexte d’un syndrome DRESS (Drug Reaction with eosinophilia and systemic symptoms), aussi connu sous le nom de «syndrome d’hypersensibilité». Cette pathologie est associée aux symptômes systémiques les plus divers (voir «Mises en garde et précautions» et «Affections du système immunitaire»).
- +Très fréquent: exanthème (12 à 14%).
- +Occasionnel: réaction de photosensibilité.
- +Rare: erythème multiforme, syndrome de Stevens-Johnson, angio-œdème,dermatite exfoliative, Leucodermie.
- +Très rare: nécrolyse épidermique toxique, DRESS/syndrome d'hypersensibilité (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms).
- +Fréquence inconnue: alopéciea.
-Fréquents: arthralgie (observée seulement en cas de troubles bipolaires).
-Très rares: réactions de type lupique.
-Il existe des rapports de cas signalant une perte de densité minérale osseuse, une ostéopénie, une ostéoporose et des fractures chez des patients ayant pris de la lamotrigine pendant longtemps. On ignore par quel mécanisme la lamotrigine influence le métabolisme osseux.
- +Fréquent: arthralgie (observée seulement en cas de troubles bipolaires).
- +Très rare: réactions de type lupique.
- +Fréquence inconnue: Diminution de la densité osseusea, ostéoporosea, fracturesa.
-Très rares: néphrite tubulo-interstitielle*
-*Peut survenir en relation avec une uvéite.
-Affections générales et anomalies au site d’administration
-Très fréquents: fatigue (jusqu’à 10%).
-Fréquents: douleurs dorsales et autres (observées seulement en cas de troubles bipolaires).
- +Fréquence inconnue: néphrite tubulo-interstitiellea
- +(*Peut survenir en relation avec une uvéite).
- +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
- +Très fréquent: fatigue (jusqu’à 10%).
- +Fréquent: dorsalgies et autres douleurs (observées seulement dans les études sur les troubles bipolaires).
- +a Unerwünschte Wirkungen aus der Postmarketing-Erfahrung
- +Beschreibung spezifischer unerwünschter Wirkungen und Zusatzinformationen
- +Troubles hématologiques et lymphadénopathie
- +Des troubles hématologiques et une lymphadénopathie ont été observés aussi bien dans le contexte du syndrome DRESS/d'hypersensibilité qu'en dehors de ce syndrome (cf. «Mises en garde et précautions» et «Affections du système immunitaire»)
- +Exanthèmes associés à un syndrome DRESS
- +Des exanthèmes ont aussi été décrits dans le contexte d'un syndrome DRESS (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms), également connu sous le nom de syndrome d'hypersensibilité. Cette maladie est associée aux symptômes systémiques les plus divers (cf. la section suivante et «Mises en garde et précautions»).
- +Syndrome DRESS/d'hypersensibilité
- +Syndrome DRESS/d'hypersensibilité incluant des symptômes tels qu'exanthèmes, fièvre, lymphadénopathie, œdème facial, modifications des paramètres hématologiques, des valeurs hépatiques et rénales (cf. «Mises en garde et précautions») a été observé.
- +Troubles moteurs extrapyramidaux et choréoathétose
- +Dans des cas isolés, des troubles moteurs extrapyramidaux et une choréoathétose ont été décrits chez des patients sans maladie préexistante correspondante.
- +Diminution de la densité osseuse, ostéopénie, ostéoporose et fractures
- +Il existe des rapports de cas signalant une perte de densité osseuse, une ostéopénie, une ostéoporose et des fractures chez des patients ayant pris de la lamotrigine pendant une longue période. On ignore par quel mécanisme la lamotrigine a une influence sur le métabolisme osseux.
- +Suicidalité
-Tableau 1. Proportion estimée de participants «sans intervention/sans événement»: Evaluation de l’efficacité du traitement par le TIME (ABE)*
- SCAB2003 SCAB2006
- +Tableau 1. Proportion estimée de participants «sans intervention/sans événement»: population pour l'évaluation de l'efficacité du traitement selon le critère TIME (ABE)*
- + SCAB2003 SCAB2006
-Mars 2023
- +Juin 2024
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