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Accueil - Information professionnelle sur Leuprorelin Sandoz 1 Monat - Changements - 08.11.2019
54 Changements de l'information professionelle Leuprorelin Sandoz 1 Monat
  • -L'implant est injecté en sous-cutané dans la région abdominale. Changer le point d'injection mais toujours au niveau de la région abdominale - chaque mois.
  • -L'administration de Leuproréline Sandoz ne doit se faire que sous la surveillance d'un médecin expérimenté en oncologie.
  • -A la phase initiale du traitement, il convient d'envisager l'administration complémentaire d'un anti-androgène approprié afin d'atténuer les conséquences éventuelles de l'élévation initiale de la testostérone et l'aggravation des symptômes cliniques.
  • -Il faut suivre la réponse à l'acétate de leuproréline en mesurant les taux sériques de testostérone, d'antigène prostatique spécifique et de phosphatase acide prostatique.
  • +L'implant est injecté en sous-cutané dans la région abdominale. Changer le point d'injection - mais toujours au niveau de la région abdominale - chaque mois.
  • +L'administration de Leuproréline Sandoz n'est autorisée que chez les hommes adultes et ne doit se faire que sous la surveillance d'un médecin expérimenté en oncologie.
  • +A la phase initiale du traitement, il convient d'envisager l'administration complémentaire d'un anti-androgène approprié afin d'atténuer les conséquences éventuelles de l'élévation initiale de la testostérone et l'aggravation temporaire des symptômes cliniques.
  • +Il faut suivre la réponse à l'acétate de leuproréline en mesurant les taux sériques de testostérone et d'antigène prostatique spécifique.
  • -Enfants/adolescents: L'efficacité et la sécurité d'emploi de Leuproréline Sandoz n'ont pas été évaluées chez l'enfant et l'adolescent.
  • +Enfants/adolescents: L'efficacité et la sécurité d'emploi de Leuproréline Sandoz 1 mois n'ont pas été évaluées chez l'enfant et l'adolescent.
  • -Évolution du taux de testostérone et complications au début du traitement
  • -Au cours des premières semaines du traitement par Leuproréline Sandoz 1 mois, une aggravation des symptômes ou des signes et symptômes supplémentaires du cancer de la prostate peuvent temporairement survenir. Un faible nombre de patients peuvent présenter une accentuation de leurs douleurs osseuses (traitement symptomatique possible), une faiblesse musculaire dans les jambes ou des œdèmes lymphatiques.
  • -Comme avec d'autres analogues de la GnRH, des cas isolés d'obstruction des voies urinaires et de compression de la colonne vertébrale, pouvant provoquer la paralysie avec ou sans complications fatales, ont été déclarés.
  • -Les patients atteints d'un cancer de la prostate avec complications neurologiques menaçantes, métastases rachidiennes ainsi que obstructions des voies urinaires doivent être sous contrôle permanent durant les premières semaines de traitement, si possible en milieu hospitalier. On peut envisager l'administration supplémentaire d'un anti-androgène adapté lors de la première phase du traitement pour atténuer les éventuelles manifestations consécutives à la hausse initiale du taux de testostérone et une aggravation des symptômes cliniques.
  • -L'accentuation initiale des troubles régresse généralement d'elle-même, sans qu'il ne soit nécessaire d'arrêter Leuproréline Sandoz 1 mois. Des symptômes de sevrage de la testostérone apparaissent ensuite (cf. «Effets indésirables»).
  • -En cas de non-réponse clinique au traitement ou d'une hausse du taux d'APS, la testostéronémie doit être mesurée. Au cas où l'évaluation indiquerait une suppression androgénique insuffisante, l'administration d'un autre traitement (par ex. en utilisant des anti-androgènes à action directe) devra être envisagée.
  • -La surveillance de la concentration sérique de testostérone dépend de la méthode de détermination de cette teneur. Le type et la précision de la détermination de la teneur doivent être judicieusement choisis lorsque de décisions cliniques et thérapeutiques sont prises. Après une castration chirurgicale, Leuproréline Sandoz n'entraîne pas de baisse complémentaire des taux de testostérone.
  • +Apoplexie hypophysaire
  • +Dans le cadre de la surveillance post-marketing, de rares cas d'apoplexie hypophysaire (un syndrome clinique secondaire à un infarctus de l'hypophyse) ont été rapportés à la suite de l'administration d'analogues de la gonadoréline (GnRH). Un adénome hypophysaire a été diagnostiqué dans la plupart de ces cas. La majorité de ces cas d'apoplexie hypophysaire se sont produits en l'espace de 2 semaines – et certains même en l'espace d'une heure – après l'administration de la première dose. Chez ces patients, l'apoplexie hypophysaire s'est manifestée par des céphalées soudaines, des vomissements, des anomalies visuelles, une ophtalmoplégie, un état mental altéré et parfois un collapsus cardio-vasculaire. Un traitement médical immédiat était nécessaire.
  • +Par conséquent, les patients souffrant d'un adénome hypophysaire connu ne doivent pas être traités par un agoniste de la GnRH.
  • +Risque de suicide: Le risque de survenue de dépression (qui peut être grave) est accru chez les patients traités par des agonistes de la GnRH. Les patients souffrant de dépression préexistante peuvent présenter un risque suicidaire.
  • +Densité osseuse/risque de fracture: Des modifications de la densité osseuse peuvent apparaître lors d'une situation hypo-œstrogénique. La baisse de la densité osseuse peut être réversible après l'arrêt de Leuproréline Sandoz 1 mois. La carence en androgènes résultant du traitement du carcinome de la prostate peut augmenter le risque de fracture.
  • +Convulsions: Dans le cadre de la pharmacovigilance, on a rapporté la survenue de convulsions. Il s'agissait à cet égard en partie de patients qui présentaient d'autres facteurs de risque de convulsions (comme par exemple, anamnèse d'épilepsie, tumeur intracrânienne, comédication avec des médicaments pour lesquels un risque de convulsions est connu). Toutefois, il existe également des rapports de patients qui ne présentent pas ces facteurs de risque.
  • -Chez les patients traités par des agonistes de la GnRH, une augmentation du risque de diabète sucré et/ou d'événements cardiovasculaires a été rapportée. En particulier, dans plusieurs études épidémiologiques importantes chez des patients présentant un cancer de la prostate, on a observé un risque accru d'infarctus du myocarde et d'accident vasculaire cérébral.
  • -En relation avec l'utilisation d'agonistes de la GnRH, on a rapporté un risque accru de mort subite d'origine cardiaque.
  • -Il est donc recommandé de surveiller dans cette optique les patients souffrant d'hypertension, d'hyperlipidémie ou de maladies cardiovasculaires pendant le traitement par la leuproréline.
  • -Pendant un traitement par des agonistes de la GnRH, la pression artérielle, la glycémie et les lipides sériques devraient être régulièrement contrôlés et les patients surveillés en ce qui concerne le développement d'éventuels symptômes de maladie cardiovasculaire. Des facteurs de risques déjà présents devraient être traités selon les directives correspondantes.
  • +Sous traitement par agonistes de la GnRH, on a rapporté un risque accru de diabète sucré et/ou d'événements cardio-vasculaires. En particulier, dans plusieurs études épidémiologiques importantes chez des patients présentant un cancer de la prostate, on a observé un risque accru de 20% environ d'infarctus du myocarde et d'accident vasculaire cérébral. Chez les patients chez lesquels d'autres facteurs de risque cardio-vasculaire (par exemple, hypertension artérielle, hyperlipidémie) existent ou qui présentent des maladies cardio-vasculaires préexistantes, une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque doit être effectuée.
  • +Avant l'instauration d'un traitement par la leuproréline, la pression artérielle, la glycémie et le profil lipidique doivent être déterminés. Pendant le traitement, une surveillance s'impose chez les patients pour lesquels ces facteurs de risque ainsi que les symptômes pouvant y être liés laissent présumer du développement d'une maladie cardio-vasculaire. Des facteurs de risque déjà présents (diabète sucré, hypercholestérolémie, hypertension artérielle) doivent être traités de façon appropriée, c'est-à-dire selon chacune des directives.
  • -Une déprivation androgénique peut prolonger l'intervalle QT. Chez les patients ayant des antécédents d'allongement de l'intervalle QT ou des facteurs de risque d'allongement de l'intervalle QT et les patients qui prennent simultanément des médicaments qui peuvent prolonger l'intervalle QT (voir «Interactions»), il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfices/risques, y compris la possibilité de torsades de pointes, avant d'initier un traitement par acétate de leuproréline.
  • -Densité osseuse/risque de fracture
  • -Les agonistes de la GnRH peuvent dans certains cas provoquer une diminution de la minéralisation osseuse.
  • -La carence en androgènes résultant du traitement du carcinome de la prostate peut augmenter le risque de fracture.
  • -La baisse de la densité osseuse peut être réversible après l'arrêt de Leuproréline Sandoz 1 mois.
  • -Apoplexie hypophysaire
  • -Lors de la surveillance post-marketing, des cas isolés d'apoplexie hypophysaire (syndrome clinique faisant suite à un infarctus pituitaire) ont été constatés après l'administration d'agonistes GnRH. Dans la plupart des cas, un adénome hypophysaire a pu être diagnostiqué. Chez la majorité des patients, ces réactions ont eu lieu au cours des deux premières semaines suivant la première administration; chez certains, durant les premières heures. Dans ces conditions, l'apoplexie pituitaire se manifeste par des céphalées subites, des vomissements, des troubles visuels, une ophthalmoplégie progressive, une modification de l'état mental et parfois, un collapsus cardio-vasculaire. Une intervention médicale urgente est alors nécessaire.
  • -C'est pourquoi il ne faut pas administrer d'agonistes GnRH aux patients présentant un adénome hypophysaire.
  • -Dépression et risque de suicide
  • -Le risque de dépressions (qui peuvent être sévères) est accru chez les patients traités par des agonistes de la GnRH.
  • -Les patients déjà dépressifs peuvent présenter un risque suicidaire.
  • +La privation androgénique peut prolonger l'intervalle QT. Chez les patients présentant des antécédents ou des facteurs de risques de l'allongement de l'intervalle QT ainsi que chez les patients recevant de manière concomitante des médicaments susceptibles d'allonger l'intervalle QT (voir «Interactions»), il faut évaluer le rapport bénéfice-risque en tenant compte du risque potentiel de torsades de pointe avant d'initier un traitement par acétate de leuproréline.
  • +De plus, en relation avec l'utilisation d'agonistes de la GnRH, on a rapporté chez l'homme un risque accru de mort subite d'origine cardiaque.
  • +Carcinome de la prostate
  • +Un traitement par acétate de leuproréline entraîne initialement une augmentation de courte durée du taux sérique de testostérone, qui peut être accompagnée par une intensification passagère de certains symptômes de la maladie (par exemple faiblesse musculaire, augmentation ou apparition de douleurs osseuses, obstruction des voies urinaires, compression médullaire, œdème). Les patients qui présentent un risque de complications neurologiques, des métastases vertébrales ou une obstruction des voies urinaires doivent de ce fait, autant que possible, rester sous observation constante à l'hôpital pendant les premières semaines du traitement.
  • +On peut envisager l'administration supplémentaire d'un anti-androgène adapté lors de la première phase du traitement pour atténuer les éventuelles manifestations consécutives à la hausse initiale du taux de testostérone et une aggravation des symptômes cliniques.
  • +L'augmentation initiale des douleurs rétrocède spontanément, généralement sans arrêt du traitement par Lucrin Dépôt. Par la suite, surviennent des symptômes liés au sevrage de la testostérone (cf. «Effets indésirables»).
  • +La réponse à l'acétate de leuproréline doit être vérifiée à l'aide de mesures du taux sérique de testostérone et de l'antigène prostate spécifique.
  • +Après castration chirurgicale, Leuproréline Sandoz n'entraîne aucune diminution supplémentaire du taux de testostérone.
  • -Des interactions avec d'autres médicaments ne sont pas connues.
  • -On n'a pas étudié les interactions possibles avec Leuproréline Sandoz. Des interactions sont cependant peu probables, car Leuproréline Sandoz est dégradé surtout par les peptidases et non par les enzymes à cytochrome P450, et la liaison aux protéines plasmatiques est faible à environ 46%.
  • -Comme une privation androgénique peut provoquer une prolongation de l'intervalle QT, il faut bien soupeser toute administration de Leuproréline Sandoz 1 mois avec des médicaments susceptibles de prolonger l'intervalle QT ou d'engendrer des torsades de pointes, tels que les antiarythmiques de classe IA (par ex. quinidine, disopyramide) ou III (par ex. amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide), de la méthadone, de la moxifloxacine, des antipsychotiques, etc. Voir «Mises en garde et précautions», Effets sur l'intervalle QT.
  • +Aucune interaction connue à ce jour.
  • +Aucune étude d'interaction n'a été réalisée avec Leuproréline Sandoz. Cependant, d'après le métabolisme de l'acétate de leuproréline, les interactions devraient être rares: en effet, la leuproréline est dégradée principalement par des peptidases et non pas par le cytochrome P 450, et la liaison aux protéines plasmatiques n'est que d'environ 46%
  • +Cancer de la prostate
  • +Puisqu'une privation androgénique peut entraîner une prolongation de l'intervalle QT, il faut soigneusement évaluer le risque d'une administration concomitante d'acétate de leuproréline et de médicaments pouvant provoquer des torsades de pointes comme les antiarythmiques de la classe IA (p.ex. quinidine, disopyramide) ou de la classe III (p.ex. amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide), la méthadone, la moxifloxacine, les antipsychotiques, etc. Voir «Mises en garde et précautions», effets sur l'intervalle QT.
  • -On observe initialement de façon régulière une élévation brève des taux sériques de testostérone, ce qui peut donner lieu à une majoration transitoire de certains symptômes (apparition ou accentuation des douleurs osseuses, obstruction des voies urinaires et leur conséquence, compression de la moelle dorsale, fatigue musculaire des membres inférieurs, lymphoedème). Cette accentuation des troubles régresse habituellement spontanément sans aucune nécessité d'arrêter Leuproréline Sandoz 1 mois.
  • -Les effets indésirables observés dans le cadre d'études cliniques et pendant la surveillance du marché sous traitement par des préparations dépôt à base d'acétate de leuproréline sont présentés ci-après par discipline médicale. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquent (≥1/10); fréquent (de ≥1/100 à <1/10); peu fréquent (de ≥1/1000 à <1/100), rare (de ≥1/10'000 à <1/1000); très rare (<1/10000), fréquence indéterminée: ne peut être estimée sur la base des données disponibles.
  • -Les effets indésirables les plus fréquents sous traitement par acétate de leuproréline sont la vasodilatation (57%) et les bouffées vasomotrices (52%), l'hypersudation (42%), la baisse de la libido (47%), les signes d'incapacité sexuelle (45%) et la prise de poids (22%).
  • +Un traitement par acétate de leuproréline conduit initialement à une élévation brève des taux sériques de testostérone, ce qui peut donner lieu à une majoration transitoire de certains symptômes (apparition ou accentuation des douleurs osseuses, obstruction des voies urinaires et leur conséquence, compression de la moelle dorsale, fatigue musculaire des membres inférieurs, lymphoedème). Cette accentuation des troubles régresse habituellement spontanément sans aucune nécessité d'arrêter Leuproréline Sandoz 1 mois.
  • +Les effets indésirables les plus fréquents sous traitement par acétate de leuproréline sont: vasodilatation (57%) et bouffées de chaleur (52%), augmentation de la transpiration (42%), réduction de la libido (47%), troubles de la puissance sexuelle (45%) et prise de poids (22%).
  • +Dans ce qui suit, figurent les effets indésirables observés sous traitement par des préparations dépôt d'acétate de leuproréline en fonction des systèmes d'organes pendant les études cliniques et l'observation du marché, la pharmacovigilance. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquent (≥1/10), fréquent (de ≥1/100 à <1/10); occasionnel (de ≥1/1'000 à <1/100), rare (de ≥1/10'000 à <1/1'000), très rare (<1/10'000); non connu: à l'exclusion de rapports pendant la surveillance du marché, la fréquence précise ne peut pas être donnée.
  • -Fréquence indéterminée: apoplexie hypophysaire (voir «Mises en garde et précautions»), hypertrophie thyroïdienne.
  • +Fréquence indéterminée: infarctus hypophysaire (cf. «Mises en garde et précautions»), hypertrophie thyroïdienne.
  • -Fréquent: augmentation de l'appétit, perte d'appétit, perte de poids, hyperglycémie, accentuation de la sensation de soif, hypercalcémie.
  • +Fréquent: anorexie, augmentation de l'appétit, perte d'appétit, perte de poids, hyperglycémie, accentuation de la sensation de soif, hypercalcémie.
  • -Peu fréquent: troubles du goût, troubles de la mémoire, troubles de la marche.
  • +Peu fréquent: troubles du goût, troubles de la mémoire, amnésie, troubles de la marche.
  • -Très peu de cas de convulsions ont été déclarés. Aucun lien de cause à effet n'a pu être établi entre la leuproréline et le traitement.
  • +Très peu de cas de convulsions ont été déclarés.
  • -Fréquence indéterminée: troubles auditifs.
  • +Fréquence indéterminée: troubles auditifs, troubles de l'audition.
  • -Fréquence indéterminée: allongements de l'intervalle QT (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»), variations à l'ECG/ischémies, souffle cardiaque, palpitations, infarctus du myocarde, bloc AV, mort subite d'origine cardiaque (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquence indéterminée: allongements de l'intervalle QT (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»), modifications de l'ECG (par ex. signes d'ischémie myocardique), souffle cardiaque, palpitations, infarctus du myocarde, bloc AV, mort subite d'origine cardiaque (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Très fréquent: bouffées vasomotrices (52%), vasodilatation (57%).
  • +Très fréquent: bouffées de chaleur (52%), vasodilatation (57%).
  • -Fréquence indéterminée: frottement pleural, inflitrat pulmonaire, fibrose pulmonaire, obstruction des sinus, effusion pleurale, pneumopathie interstitielle.
  • +Fréquence indéterminée: frottement pleural, infiltration pulmonaire, fibrose pulmonaire, obstruction des sinus, effusion pleurale, pneumopathie interstitielle.
  • -Fréquence indéterminée: ulcère duodénal, dysphagie, hémorragies gastro-intestinales, polypes rectaux, ulcères peptiques, nodosités dures dans la gorge.
  • +Fréquence indéterminée: ulcère gastroduodénal, dysphagie, hémorragies gastro-intestinales, polypes rectaux, ulcères peptiques, nodosités dures dans la gorge.
  • -Fréquent: sécheresse cutanée, éruption cutanée (y compris exanthème maculopapuleux), prurit, urticaire, alopécie, croissance capillaire, ecchymose, troubles de la pigmentation.
  • +Fréquent: sécheresse cutanée, éruption cutanée (y compris exanthème maculopapuleux), prurit, urticaire, modifications de la pilosité (en particulier augmentation ou diminution de la pilosité corporelle), alopécie, ecchymose, troubles de la pigmentation.
  • -Fréquence indéterminée: dermatite, lésions cutanées, nodosités
  • +Fréquence indéterminée: dermatite, lésions cutanées, nodosités.
  • -Fréquent: douleurs articulaires, maux de dos, faiblesse musculaire, douleurs aux extrémités, myalgie, crampes musculaires.
  • -Fréquence indéterminée: perte de densité osseuse, fibrose du bassin, troubles articulaires, paralysie, fracture spinale, spondylarthrite ankylosante, symptômes de type ténosynovite, gonflement osseux, douleurs dans les membres.
  • -En outre, une ostéoporose a été signalée dans le cadre d'une utilisation au long cours (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquent: douleurs articulaires (arthralgies), maux de dos, faiblesse musculaire, douleurs aux extrémités, myalgie, crampes musculaires.
  • +Fréquence indéterminée: perte de densité osseuse, fibrose du bassin, troubles articulaires (arthropathie), paralysie, fracture spinale, spondylarthrite ankylosante, ténosynovite, gonflement osseux, douleurs dans les membres.
  • +En outre, une ostéoporose a été signalée dans le cadre d'un traitement au long cours (6 à 12 mois) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Fréquence indéterminée: spasme vésical, obstruction des voies urinaires.
  • +Fréquence indéterminée: miction impérieuse accrue, spasmes de la vessie, obstruction des voies urinaires.
  • -Fréquence indéterminée: douleurs dans la région prostatique, douleur testiculaire
  • +Fréquence indéterminée: douleurs dans la région prostatique, douleur testiculaire.
  • -Fréquent: inflammations au point d'injection (dont des abcès), grelottements, douleurs généralisées, gonflement (os temporal), réactions d'hypersensibilité, fièvre, malaise, accès de transpiration, transpiration nocturne, frissons.
  • +Fréquent: inflammations au point d'injection (dont des abcès), grelottements, douleurs généralisées, gonflement (os temporal), réactions d'hypersensibilité, fièvre, malaise, accès de transpiration, transpiration nocturne, frissons et symptômes pseudo-grippaux généraux.
  • -Problèmes cardiovasculaires 3
  • -Problèmes des voies urinaires 2
  • -Réactions au point d'injection 1
  • +Affections cardiaques 3
  • +Affections du rein et des voies urinaires 2
  • +Anomalies au site d'administration 1
  • -Même lors de l'administration de doses allant jusqu'à 20 mg/jour d'acétate de leuproréline pendant deux ans, utilisées lors des premières études cliniques chez des adultes, on n'a pas mis en évidence d'autres effets indésirables ou de nouveaux effets indésirables différents de ceux observés après l'administration quotidienne de 1 mg.
  • -En cas de surdosage, le patient doit être surveillé. Le cas échéant, des mesures thérapeutiques symptomatiques et de soutien sont indiquées sous contrôle médical.
  • +Dans les études cliniques, des doses allant jusqu'à 20 mg/jour pendant 2 ans ont été administrées. Les effets indésirables de ces doses ne sont pas différents de ceux notés lors d'une administration de 1 mg/jour.
  • +En cas d'administration répétée, on observe une diminution soutenue du taux de testostérone à des valeurs comparables à celles observées après une castration, sans que le taux de testostérone ne montre une augmentation passagère comme après une première injection.
  • -Enfants/adolescents: on ne dispose d'aucune donnée sur la pharmacocinétique de Leuproréline Sandoz chez l'enfant et l'adolescent.
  • -Patients âgés: la pharmacocinétique chez le patient âgé ne diffère pas significativement de celle des jeunes adultes.
  • -Insuffisances hépatiques et rénales
  • -On a parfois mesuré des taux sériques plus élevés chez des patients présentant une insuffisance rénale, alors que les taux étaient abaissés chez les patients présentant une insuffisance hépatique. La signification clinique de cette observation est inconnue.
  • +Enfants/adolescents: On ne dispose d'aucune donnée sur la pharmacocinétique de Leuproréline Sandoz chez l'enfant et l'adolescent.
  • +Patients âgés: La pharmacocinétique chez le patient âgé ne diffère pas significativement de celle des jeunes adultes.
  • +Insuffisances hépatiques et rénales: On a parfois mesuré des taux sériques plus élevés chez des patients présentant une insuffisance rénale, alors que les taux étaient abaissés chez les patients présentant une insuffisance hépatique. La signification clinique de cette observation est inconnue.
  • -Conserver le médicament hors de la portée des enfants.
  • -Conserver le récipient fermé (sachet stérile) à température ambiante (15−25 °C).
  • -Conseils d'utilisation
  • -(image)
  • -1.Désinfecter le site d'injection (abdomen).
  • -2.Sortir la seringue prête à l'emploi du sachet stérile. Ensuite, vérifier si l'implant est visible dans la formulation à libération prolongée. Le cas échéant, tenir la seringue prête a l'emploi à contre-jour ou la secouer légèrement.
  • -3.Avant l'utilisation, tirer complètement le piston de la seringue prête à l'emploi jusqu'à l'audition de plusieurs déclics (5×) afin d'armer la seringue. Retirer le capuchon de protection de l'aiguille.
  • -(image)
  • -Attention: le piston ne peut être repoussé pour injecter l'implant que lorsqu'il a été auparavant complètement tiré!
  • -(image)
  • -4.Maintenir le cylindre de la seringue avec une main. Avec l'autre main, presser la peau du patient pour obtenir un pli. Introduire l'intégralité de l'aiguille, légèrement en diagonale, presque parallèlement à la peau, avec l'ouverture vers le haut dans le tissu sous-cutané de la paroi abdominale antérieure, sous la ligne du nombril.
  • -(image)
  • -5.Retirer avec précautions la seringue de 1 cm environ (canal du piqûre pour l'implant). Ensuite, pousser complètement le piston vers l'avant, jusqu'à l'audition du déclic afin d'injecter l'implant dans le canal créé par l'aiguille.
  • -(image)
  • -6.Retirer l'aiguille. Afin de s'assurer que l'implant a été injecté, vérifier que la pointe blanche du piston est visible à la pointe de l'aiguille.
  • +Conserver dans l'emballage original, dans le sachet stérile fermé, pas au-dessus de 30 °C et hors de la portée des enfants.
  • +Remarques concernant la manipulation
  • + (image)
  • +1.Désinfectez le site d'injection en dessous de la ligne du nombril (abdomen).
  • +2.Prélevez l'applicateur du sachet stérile et vérifiez si l'implant est visible dans la formulation à libération prolongée (voir zone encadrée). Le cas échéant, pour ce faire, tenez l'applicateur à contre-jour ou secouez-le légèrement.
  • + (image)
  • +3.Tirez complètement le piston de l'applicateur jusqu'à ce que vous voyiez une ligne continue dans la deuxième fenêtre. Remarque: Le piston ne peut être poussé vers l'avant pour l'injection que lorsqu'il a été auparavant complètement tiré vers l'arrière!
  • + (image)
  • +4.Retirez ensuite le capuchon de protection de l'aiguille.
  • +5.Maintenez le cylindre de l'applicateur avec une main. Avec l'autre main, pincez la peau en dessous de la ligne du nombril (voir figure). Introduisez l'intégralité de l'aiguille avec l'ouverture vers le haut, légèrement en diagonale, presque parallèlement à la peau, dans le tissu sous-cutané. (image)
  • +6.Retirez délicatement l'applicateur de 1 cm environ afin de créer le canal de piqûre pour l'implant. (image)
  • +7.Poussez ensuite complètement le piston vers l'avant jusqu'à ce que celui-ci s'enclenche et que vous entendiez un «clic» pour injecter l'implant dans le canal de piqûre.
  • +8.Retirez l'aiguille. Pour vous assurer que l'implant a bien été injecté, vérifiez que la pointe blanche du piston est visible à la pointe de l'aiguille. (image)
  • +
  • -Octobre 2016.
  • +Mai 2019.
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