26 Changements de l'information professionelle Keppra 500 mg/5 ml |
-Keppra solution concentrée pour perfusion doit être utilisée par voie intraveineuse uniquement. La dose doit être diluée et administrée par voie intraveineuse en 15 minutes (cf. «Autres remarques» et «Remarques concernant la manipulation»).
- +Keppra solution concentrée pour perfusion doit être utilisée par voie intraveineuse uniquement. La dose doit être diluée et administrée par voie intraveineuse en 15 minutes (cf. «Remarques particulières» et «Remarques concernant la manipulation»).
-La posologie thérapeutique initiale est de 2× 500 mg par jour. Selon l'efficacité clinique et la tolérance, la dose journalière peut être augmentée jusqu'à 2× 1500 mg. Les augmentations ou diminutions de posologie peuvent s'effectuer par paliers de 2× 500 mg/par jour toutes les 2 à 4 semaines.
- +La posologie thérapeutique initiale est de 2× 500 mg par jour. Selon l'efficacité clinique et la tolérance, la dose journalière peut être augmentée jusqu'à 2× 1500 mg. Les augmentations ou diminutions de posologie peuvent s'effectuer par paliers de 2× 500 mg par jour toutes les 2 à 4 semaines.
-CLcr (ml/min) = [140 - âge (années)] × poids (kg)] : [72 × créatinine sérique (mg/dl)] (× 0,85 pour la femme)
- +CLcr (ml/min) = [140 - âge (années)] × poids (kg) : [72 × créatinine sérique (mg/dl)] (× 0,85 pour la femme)
-Pour ce qui est de la situation globale modifiée du patient, on ne dispose d'aucune expérience concernant la sécurité et l'efficacité des associations thérapeutiques anticonvulsivants. C'est pourquoi le médecin doit surveiller très étroitement le patient et le cas échéant, procéder à d'autres modifications du traitement anticonvulsivant.
- +Pour ce qui est de la situation globale modifiée du patient, on ne dispose d'aucune expérience concernant la sécurité et l'efficacité des associations thérapeutiques anticonvulsivantes. C'est pourquoi le médecin doit surveiller très étroitement le patient et le cas échéant, procéder à d'autres modifications du traitement anticonvulsivant.
-Il existe des rapports relatifs à des suicides, à des tentatives de suicide et à des idées suicidaires chez les patients traités par lévétiracétam (adultes et enfants). Dans le cadre d'un entretien détaillé, les patients et leurs proches ainsi que les référents devraient par conséquent être avertis, en particulier aussi avant le début du traitement, de contacter immédiatement un médecin en cas d'aggravation de l'humeur et/ou de retrait social et/ou de survenue de symptômes dépressifs et/ou d'hostilité/agressivité ou d'autres modifications comportementales ou de la personnalité, mais également lors d'idées suicidaires. Il ne faut pas oublier que la suicidalité ne peut dans certains s'annoncer que par des modifications comportementales. Avant le début du traitement, il convient de déterminer s'il existe des facteurs de risques de suicidalité scientifiquement prouvés, p.ex. antécédents de maladies psychiatriques, de suicidalité, et le rapport bénéfice-risque doit être soigneusement évalué en particulier aussi de ces points de vue.
- +Il existe des rapports relatifs à des suicides, à des tentatives de suicide et à des idées suicidaires chez les patients traités par lévétiracétam (adultes et enfants). Dans le cadre d'un entretien détaillé, les patients et leurs proches ainsi que les référents devraient par conséquent être avertis, en particulier aussi avant le début du traitement, de contacter immédiatement un médecin en cas d'aggravation de l'humeur et/ou de retrait social et/ou de survenue de symptômes dépressifs et/ou d'hostilité/agressivité ou d'autres modifications comportementales ou de la personnalité, mais également lors d'idées suicidaires. Il ne faut pas oublier que la suicidalité ne peut dans certains cas s'annoncer que par des modifications comportementales. Avant le début du traitement, il convient de déterminer s'il existe des facteurs de risques de suicidalité scientifiquement prouvés, p. ex. antécédents de maladies psychiatriques, de suicidalité, et le rapport bénéfice-risque doit être soigneusement évalué en particulier aussi de ces points de vue.
-In vitro, le lévétiracétam et son métabolite principal n'inhibent ni les isoformes les plus importantes du cytochrome P450 du foie humain (CYP3A4, 2A6, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 et 1A2) ni la glucuronyltransférase (UGT1A1 et UGT1A6) ou l'activité de l'hydroxylase époxyde. En outre, le lévétiracétam n'affecte pas non plus la glucuronidation in vitro de l'acide valproïque. Dans les cultures d'hépatocytes humains, le lévétiracétam n'a entraîné aucun effet ou un effet minime sur la conjugaison de l'éthinylestradiol. À des concentrations élevées (680 µg/ml), le lévétiracétam a provoqué une légère induction du CYP2B6 et du CYP3A4; lors de concentrations plasmatiques maximales telles qu'elles ont été observées lors d'une administration répétée de 1500 mg deux fois par jour, ces effets ont été jugés comme étant sans pertinence clinique. Des interactions entre Keppra et d'autres médicaments sont assez improbable à cause d'une inhibition ou induction enzymatique.
- +In-vitro, le lévétiracétam et son métabolite principal n'inhibent ni les isoformes les plus importantes du cytochrome P450 du foie humain (CYP3A4, 2A6, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 et 1A2) ni la glucuronyltransférase (UGT1A1 et UGT1A6) ou l'activité de l'hydroxylase époxyde. En outre, le lévétiracétam n'affecte pas non plus la glucuronidation in vitro de l'acide valproïque. Dans les cultures d'hépatocytes humains, le lévétiracétam n'a entraîné aucun effet ou un effet minime sur la conjugaison de l'éthinylestradiol. À des concentrations élevées (680 µg/ml), le lévétiracétam a provoqué une légère induction du CYP2B6 et du CYP3A4; lors de concentrations plasmatiques maximales telles qu'elles ont été observées lors d'une administration répétée de 1500 mg deux fois par jour, ces effets ont été jugés comme étant sans pertinence clinique. Des interactions entre Keppra et d'autres médicaments sont assez improbables à cause d'une inhibition ou induction enzymatique.
-Les études pharmacocinétiques ne montrent pas d'interaction avec la digoxine, les contraceptifs oraux (éthinylestradiol et lévonorgestrel) ni la warfarine. Les paramètres endocriniens (LH et progestérone), ainsi que le temps de prothrombine ne sont pas modifiés.
- +Les études pharmacocinétiques ne montrent pas d'interaction avec la digoxine, les contraceptifs oraux (éthinylestradiol et lévonorgestrel) ni avec la warfarine. Les paramètres endocriniens (LH et progestérone), ainsi que le temps de prothrombine ne sont pas modifiés.
-Les effets indésirables rapportés au cours des études cliniques et depuis la commercialisation sont listés ci-dessous par classe-organe et par fréquence. Pour les essais cliniques, la fréquence est définie de la façon suivante: très fréquent: ≥1/10; fréquent: ≥1/100, <1/10; peu fréquent: ≥1/1000, <1/100; rare: ≥1/10 000, <1/1 000; très rare: <1/10 000, cas isolés inclus.
- +Les effets indésirables rapportés au cours des études cliniques et depuis la commercialisation sont listés ci-dessous par classe-organe et par fréquence. Pour les essais cliniques, la fréquence est définie de la façon suivante: très fréquent: ≥1/10; fréquent: ≥1/100, <1/10; peu fréquent: ≥1/1'000, <1/100; rare: ≥1/10'000, <1/1'000; très rare: <1/10'000, cas isolés inclus.
-Expériences après commercialisation: exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse [SHM] ou syndrome DRESS [Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms], voir «Mises en garde et précautions»)
- +Expériences après commercialisation: exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse [SHM] ou syndrome DRESS [Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms], voir «Mises en garde et précautions»).
-L'efficacité du lévétiracétam a été démontrée dans une étude double aveugle contrôlée versus placebo sur 24 semaines incluant des adultes, des adolescents et un nombre limité d'enfants souffrant d'épilepsie généralisée idiopathique avec crises généralisées tonico-cloniques primaires (GTCP) dans différents syndromes épileptiques (épilepsie myoclonique juvénile, épilepsie-absences de l'adolescent, épilepsie-absences de l'enfant, épilepsie avec crises grand mal du réveil). Dans cette étude, la dose de lévétiracétam était de 3000 mg par jour pour l'adulte et l'adolescent et de 60 mg/kg/jour chez l'enfant répartis en 2 prises égales. 72.2% des patients traités par le lévétiracétam et 45.2% des patients sous placebo avaient une diminution de la fréquence des crises GTCP de 50% ou plus par semaine. Avec un traitement maintenu à long terme, 47.4% des patients étaient libres de crises tonico-cloniques pendant au moins 6 mois et 31.5% pendant au moins un an.
- +L'efficacité du lévétiracétam a été démontrée dans une étude en double aveugle contrôlée versus placebo sur 24 semaines incluant des adultes, des adolescents et un nombre limité d'enfants souffrant d'épilepsie généralisée idiopathique avec crises généralisées tonico-cloniques primaires (GTCP) dans différents syndromes épileptiques (épilepsie myoclonique juvénile, épilepsie-absences de l'adolescent, épilepsie-absences de l'enfant, épilepsie avec crises grand mal du réveil). Dans cette étude, la dose de lévétiracétam était de 3000 mg par jour pour l'adulte et l'adolescent et de 60 mg/kg/jour chez l'enfant répartis en 2 prises égales. 72.2% des patients traités par le lévétiracétam et 45.2% des patients sous placebo avaient une diminution de la fréquence des crises GTCP de 50% ou plus par semaine. Avec un traitement maintenu à long terme, 47.4% des patients étaient libres de crises tonico-cloniques pendant au moins 6 mois et 31.5% pendant au moins un an.
-L'efficacité et la sécurité de la solution pour perfusion Keppra n'ont pas été examinées chez les enfants et les adolescents de <16 ans. C'est pourquoi on ne dispose que de données issues d'études relatives aux formes d'administration orales (cf. Informations professionnelles de Keppra comprimés pelliculés et solution buvable).
- +L'efficacité et la sécurité de la solution pour perfusion Keppra n'ont pas été examinées chez les enfants et les adolescents de <16 ans. C'est pourquoi on ne dispose que de données issues d'études relatives aux formes d'administration orales (cf. Information professionnelle de Keppra comprimés pelliculés et solution buvable).
-Keppra solution concentrée pour perfusion: Boîte de 10 flacons-ampoules (B)
- +Keppra solution concentrée pour perfusion: Boîte de 10 flacons-ampoules (B).
-UCB Pharma SA, Bulle.
- +UCB-Pharma SA, Bulle.
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