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Accueil - Information professionnelle sur Sutent 12.5 mg - Changements - 05.09.2018
48 Changements de l'information professionelle Sutent 12.5 mg
  • -Les effets indésirables suivants proviennent détudes cliniques menées chez plus de 7000 patients (RCC, GIST, pancreatic NET).
  • -Les effets indésirables graves les plus importants (dans certains cas dévolution fatale) sous traitement par le sunitinib sont: infections, insuffisance cardiaque, hémorragies (par ex. des voies respiratoires, du tractus gastro-intestinal, des tumeurs, des voies urinaires ou du cerveau), embolie pulmonaire, perforation gastro-intestinale, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et formation de fistules. Une torsade de pointes est apparue chez un patient.
  • -Les effets indésirables les plus fréquents sont: fatigue, troubles gastro-intestinaux (par ex. diarrhée, nausée, stomatite, dyspepsie et vomissements), infections, diminution de l’appétit, dysgueusie, hypertension, érythrodysesthésie palmo-plantaire, mucite, coloration cutanée, œdème, éruption cutanée.
  • -Fatigue, érythrodysesthésie palmo-plantaire, infections, hypertension et neutropénie étaient les événements indésirables de grade 3 les plus fréquents. Lévénement indésirable le plus fréquent de grade maximal 4 était la thrombopénie.
  • -Les effets indésirables apparus au cours des programmes détudes cliniques RCC, GIST et pancreatic NET (en monothérapie) sont répertoriées ci-dessous, indépendamment de leur cause, selon les classes dorganes et la fréquence, en tenant compte des définitions suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1000), rares (<1/1000, ≥1/10000), très rares (<1/10000).
  • -«Expérience post-marketing»: Les données concernant lexpérience post-marketing décrivent les effets indésirables survenus dans le monde entier qui ont été notifiés spontanément, décrits dans la littérature ou déclarés par les autorités. Lexpérience post-marketing comprend les événements indésirables et inattendus qui, indépendamment de leur causalité, se sont produits après lutilisation du sunitinib.
  • +Les effets indésirables suivants proviennent d'études cliniques menées chez plus de 7'000 patients (RCC, GIST, pancreatic NET).
  • +Les effets indésirables graves les plus importants (dans certains cas d'évolution fatale) sous traitement par le sunitinib sont: infections, insuffisance cardiaque, hémorragies (par ex. des voies respiratoires, du tractus gastro-intestinal, des tumeurs, des voies urinaires ou du cerveau), embolie pulmonaire, perforation gastro-intestinale, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et fistule. Une torsade de pointes est apparue chez un patient.
  • +Les effets indésirables les plus fréquents sont: fatigue, affections gastro-intestinales (par ex. diarrhée, nausée, stomatite, dyspepsie et vomissements), infections, appétit diminué, dysgueusie, hypertension, érythrodysesthésie palmo-plantaire, inflammation muqueuse, altération de la couleur cutanée, œdème, rash.
  • +Fatigue, érythrodysesthésie palmo-plantaire, infections, hypertension et neutropénie étaient les événements indésirables de grade 3 les plus fréquents. L'événement indésirable le plus fréquent de grade maximal 4 était la thrombopénie.
  • +Les effets indésirables apparus au cours des programmes d'études cliniques RCC, GIST et pancreatic NET (en monothérapie) sont répertoriées ci-dessous, indépendamment de leur cause, selon les classes d'organes et la fréquence, en tenant compte des définitions suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1'000), rares (<1/1'000, ≥1/10'000), très rares (<1/10'000).
  • +«Expérience post-marketing»: Les données concernant l'expérience post-marketing décrivent les effets indésirables survenus dans le monde entier qui ont été notifiés spontanément, décrits dans la littérature ou déclarés par les autorités. L'expérience post-marketing comprend les événements indésirables et inattendus qui, indépendamment de leur causalité, se sont produits après l'utilisation du sunitinib.
  • -Très fréquents: Infections graves (41.5%, 7.4% de grade 3, 1.2% de grade 4, avec ou sans neutropénie), dans quelques cas dévolution fatale. Les infections le plus fréquemment observées étaient similaires à celles quon observe typiquement chez les patients atteints dun cancer, par ex. des infections respiratoires (par ex. pneumonie, bronchite), urinaires, cutanées (par ex. cellulite), des abcès (par ex. oraux, génitaux, ano-rectaux, cutanés, des extrémités, viscéraux) et une septicémie/un choc septique. Les infections peuvent être bactériennes (par ex. intra-abdominales, ostéomyélite), virales (par ex. nasopharyngite, herpès oral) ou fongiques (par ex. candidose orale ou œsophagienne).
  • -Expérience post-marketing: rares cas de fasciite nécrosante (y compris des cas impliquant le périnée), dont quelques-uns dévolution fatale (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Très fréquents: Infections graves (41.5%, 7.4% de grade 3, 1.2% de grade 4, avec ou sans neutropénie), dans quelques cas d'évolution fatale. Les infections le plus fréquemment observées étaient similaires à celles qu'on observe typiquement chez les patients atteints d'un cancer, par ex. des infections respiratoires (par ex. pneumonie, bronchite), urinaires, cutanées (par ex. cellulite), des abcès (par ex. oraux, génitaux, ano-rectaux, cutanés, des extrémités, viscéraux) et une septicémie/un choc septique. Les infections peuvent être bactériennes (par ex. intra-abdominales, ostéomyélite), virales (par ex. nasopharyngite, herpès oral) ou fongiques (par ex. candidose orale ou œsophagienne).
  • +Expérience post-marketing: rares cas de fasciite nécrosante (y compris des cas impliquant le périnée), dont quelques-uns d'évolution fatale (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Occasionnels: cas de réactions d’hypersensibilité.
  • +Occasionnels: hypersensibilité.
  • -Occasionnels: hyperthyroïdie (voir aussi «Mises en garde et précautions»), augmentation de la thyréostimuline (TSH) sanguine.
  • +Occasionnels: hyperthyroïdie (voir aussi «Mises en garde et précautions»), TSH sanguine augmentée.
  • -Très fréquents: diminution de l’appétit (37.2%).
  • -Fréquents: déshydratation, hypoglycémie, hyperuricémie, perte de poids.
  • -Occasionnels: hyponatrémie.
  • -Rares: syndrome de lyse tumorale (dont quelques-uns dévolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Très fréquents: appétit diminué (37.2%).
  • +Fréquents: déshydratation, hypoglycémie, hyperuricémie, poids diminué.
  • +Occasionnels: sodium sanguin diminué.
  • +Rares: syndrome de lyse tumorale (dont quelques-uns d'évolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Très fréquents: dysgueusie (28.8%), céphalées (19.8%).
  • -Fréquents: vertiges, paresthésies.
  • -Occasionnels: accident vasculaire cérébral (y compris des cas dévolution fatale), accident ischémique transitoire, hémorragies cérébrales (y compris des cas dévolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Très fréquents: dysgueusie (28.8%), céphalée (19.8%).
  • +Fréquents: sensation vertigineuse, paresthésie.
  • +Occasionnels: accident cérébrovasculaire (y compris des cas d'évolution fatale), accident ischémique transitoire, hémorragie cérébrale (y compris des cas d'évolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Expérience post-marketing: cas de perte du goût.
  • +Expérience post-marketing: cas d'agueusie.
  • -Fréquents: larmoiement excessif, œdème péri-orbitaire, œdème palpébral.
  • +Fréquents: augmentation de la sécrétion lacrymale, œdème périorbitaire, œdème palpébral.
  • -Fréquents: tachycardie, baisse de la FEVG, ischémie myocardique (y compris des cas dévolution fatale), voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Occasionnels: infarctus du myocarde (y compris des cas dévolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»), défaillance cardiaque (y compris des cas dévolution fatale), insuffisance cardiaque congestive, allongement de l’intervalle QT, cardiomyopathie (y compris des cas dévolution fatale), insuffisance cardiaque gauche, augmentation de la CK-MB et de la troponine I.
  • +Fréquents: tachycardie, fraction d'éjection ventriculaire gauche diminuée, ischémie myocardique (y compris des cas d'évolution fatale), voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Occasionnels: infarctus du myocarde (y compris des cas d'évolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»), insuffisance cardiaque (y compris des cas d'évolution fatale), insuffisance cardiaque congestive, intervalle QT prolongé à l'électrocardiogramme, cardiomyopathie (y compris des cas d'évolution fatale), insuffisance ventriculaire gauche, créatine phosphokinase MB sanguine augmentée et troponine I augmentée.
  • -Fréquents: événements thromboemboliques.
  • -Occasionnels: hémorragies tumorales (y compris des cas dévolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquents: événement thromboembolique.
  • +Occasionnels: hémorragie tumorale (y compris des cas d'évolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Très fréquents: dyspnée (20.3%, y compris dyspnée deffort), épistaxis (15.2%).
  • -Fréquents: douleurs oro-pharyngées (y compris douleurs pharyngo-laryngées), hémoptysie (y compris hémorragie pulmonaire; cas dévolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»), embolie pulmonaire (y compris des cas dévolution fatale).
  • +Très fréquents: dyspnée (20.3%, y compris dyspnée d'effort), épistaxis (15.2%).
  • +Fréquents: douleur oropharyngée (y compris douleur pharyngolaryngée), hémoptysie (y compris hémorragie pulmonaire; cas d'évolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»), épanchement pleural (y compris des cas d'évolution fatale), embolie pulmonaire (y compris des cas d'évolution fatale).
  • -Très fréquents: diarrhée (52.4%, 6.0% de grade 3, 0.2% de grade 4), nausée (42.7%, 3.5% de grade 3, <0.1% de grade 4), vomissements (34.0%, 4.0% de grade 3, 0.2% de grade 4), douleurs abdominales (30.4%, 5.7% de grade 3, 0.5% de grade 4; y compris douleurs épigastriques et abdominales basses), stomatite (28.3%), constipation (23.2%), dyspepsie (22.0%).
  • -Fréquents: douleurs dans la zone buccale, flatulences, sécheresse buccale, reflux gastro-œsophagien, distension abdominale, glossodynie, hémorragie gingivale, œsophagite, hémorragies gastro-intestinales (y compris des cas dévolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»), valeurs élevées de la lipase, valeurs élevées de l’amylase.
  • -Occasionnels: pancréatite, perforation gastro-intestinale (y compris des cas dévolution fatale).
  • -Expérience post-marketing: cas de formation de fistules (entérocutanées, anales, gastro-intestinales), en partie associées à une nécrose tumorale et/ou une régression, dans certains cas dévolution fatale.
  • +Très fréquents: diarrhée (52.4%, 6.0% de grade 3, 0.2% de grade 4), nausée (42.7%, 3.5% de grade 3, <0.1% de grade 4), vomissement (34.0%, 4.0% de grade 3, 0.2% de grade 4), douleur abdominale (30.4%, 5.7% de grade 3, 0.5% de grade 4; y compris douleur abdominale haute et douleur abdominale basse), stomatite (28.3%), constipation (23.2%), dyspepsie (22.0%).
  • +Fréquents: douleur buccale, flatulence, bouche sèche, reflux gastro-œsophagien, distension abdominale, glossodynie, saignement gingival, œsophagite, hémorragie gastro-intestinale (y compris des cas d'évolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»), lipase augmentée, amylase augmentée.
  • +Occasionnels: pancréatite, perforation gastro-intestinale (y compris des cas d'évolution fatale).
  • +Expérience post-marketing: cas de fistule (entérocutanées, anales, gastro-intestinales), en partie associées à une nécrose tumorale et/ou une régression, dans certains cas d'évolution fatale.
  • -Occasionnels: cholécystite, principalement non liée à des calculs, insuffisance hépatique (y compris des cas dévolution fatale).
  • +Occasionnels: cholécystite, principalement non liée à des calculs, insuffisance hépatique (y compris des cas d'évolution fatale).
  • -Très fréquents: érythrodysesthésie palmo-plantaire (27.9%; 7.7% de grade 3, <0.1% de grade 4), coloration cutanée (24.8%, y compris coloration jaune de la peau et troubles de la pigmentation), éruption cutanée (22.4%), modification de la couleur des cheveux (12.1%), peau sèche (11.3%).
  • -Fréquents: alopécie, érythème, prurit, exfoliation cutanée, bulles cutanées, lésion cutanée, réactions cutanées, troubles des ongles.
  • -Occasionnels: dermatite exfoliative.
  • -Rares: syndrome de Stevens-Johnson, érythème multiforme (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Très fréquents: érythrodysesthésie palmo-plantaire (27.9%; 7.7% de grade 3, <0.1% de grade 4), altération de la couleur cutanée (24.8%, y compris coloration jaune de la peau et trouble pigmentaire), rash (22.4%), couleur des cheveux ou des poils modifiée (12.1%), sécheresse cutanée (11.3%).
  • +Fréquents: alopécie, érythème, prurit, exfoliation cutanée, bulle, lésion de la peau, réaction cutanée, trouble unguéal.
  • +Occasionnels: dermatite exfoliatrice.
  • +Rares: syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Très fréquents: douleurs dans les extrémités (17.4%), arthralgie (14.4%).
  • +Très fréquents: extrémités douloureuses (17.4%), arthralgie (14.4%).
  • -Occasionnels: élévation de la créatinine phosphokinase sanguine, ostéonécrose de la mâchoire (ONJ). (La plupart de ces patients présentaient des facteurs de risque d'ONJ, notamment une exposition à des bisphosphonates par voie i.v. et/ou des antécédents d'affections dentaires qui avaient nécessité une intervention dentaire invasive (voir aussi «Mises en garde et précautions»), formation de fistules (y compris des cas dévolution fatale).
  • -Rares: cas de myopathie et/ou de rhabdomyolyse, dans certains cas associés à une insuffisance rénale aiguë, dans certains cas dévolution fatale.
  • -(La plupart de ces patients présentaient des facteurs de risque préexistants et/ou recevaient une médication associée mise en rapport avec cet EI.)
  • +Occasionnels: créatinine phosphokinase sanguine augmentée, ostéonécrose de la mâchoire (ONJ). (La plupart de ces patients présentaient des facteurs de risque d'ONJ, notamment une exposition à des bisphosphonates par voie i.v. et/ou des antécédents d'affections dentaires qui avaient nécessité une intervention dentaire invasive (voir aussi «Mises en garde et précautions»), fistule (y compris des cas d'évolution fatale).
  • +Rares: cas de myopathie et/ou de rhabdomyolyse, dans certains cas associés à une insuffisance rénale aiguë, dans certains cas d'évolution fatale. (La plupart de ces patients présentaient des facteurs de risque préexistants et/ou recevaient une médication associée mise en rapport avec cet EI.)
  • -Fréquents: défaillance rénale (y compris des cas dévolution fatale), chromaturie, protéinurie.
  • -Occasionnels: troubles de la fonction rénale, hémorragies des organes urinaires (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquents: insuffisance rénale (y compris des cas d'évolution fatale), chromaturie, protéinurie.
  • +Occasionnels: atteinte de la fonction rénale, hémorragie des voies urinaires (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Très fréquents: fatigue (66.7%, 17.0% de grade 3, 1.2% de grade 4; y compris asthénie), mucite (27.1%), œdème (24.2%, y compris œdème de la face et œdème périphérique), fièvre (17.6%).
  • -Fréquents: douleurs thoraciques, frissons, affection pseudo-grippale.
  • +Très fréquents: fatigue (66.7%, 17.0% de grade 3, 1.2% de grade 4; y compris asthénie), inflammation muqueuse (27.1%), œdème (24.2%, y compris œdème de la face et œdème périphérique), fièvre (17.6%).
  • +Fréquents: douleur thoracique, frissons, syndrome grippal.
  • -La sécurité à long terme du sunitinib chez les patients atteints dun RCC métastatique a été analysée dans plusieurs études cliniques. Lanalyse finale a pris en compte 5739 patients, parmi lesquels 807 (14%) avaient reçu le traitement pendant ≥2 à 6 ans. La prolongation du traitement par sunitinib nétait pas associée à des effets indésirables liés au traitement dun nouveau type ou plus sévères et, sauf en cas dhypothyroïdie, la toxicité nétait pas cumulative.
  • +La sécurité à long terme du sunitinib chez les patients atteints d'un RCC métastatique a été analysée dans plusieurs études cliniques. L'analyse finale a pris en compte 5'739 patients, parmi lesquels 807 (14%) avaient reçu le traitement pendant ≥2 à 6 ans. La prolongation du traitement par sunitinib n'était pas associée à des effets indésirables liés au traitement d'un nouveau type ou plus sévères et, sauf en cas d'hypothyroïdie, la toxicité n'était pas cumulative.
  • -·Carcinome rénal métastatique (RCC)Dans une étude comparative et randomisée de phase III, 750 patients atteints de carcinome rénal localement avancé ou métastatique ont été traités soit par 50 mg de sunitinib par jour pendant 4 semaines suivies de 2 semaines de pause (6 cycles), soit par l'interféron alpha [IFN-α] par voie s. c. pendant 3 jours non consécutifs par semaine (dose journalière de 3 millions d'UI pendant la première semaine, de 6 millions d'UI pendant la deuxième semaine et de 9 millions d'UI à partir de la troisième semaine). 90% des patients avaient eu une néphrectomie partielle ou totale. La durée moyenne du traitement a été de 11.1 mois (fourchette: 0.4-46.1) pour Sutent et de 4.1 mois (fourchette: 0.1-45.6) pour l'IFN-α.Un avantage statistiquement significatif quant au critère d'évaluation primaire, la survie sans progression, s'est dégagé en faveur du sunitinib par rapport à IFN-α(Hazard Ratio 0.42 [IC 95% 0.32-0.54; p<0.001]), à savoir une survie de 47.3 semaines versus 22 semaines. Le taux de réponse a été de 27.5% vs 5.3%. Un avantage en faveur du sunitinib a aussi été constaté quant à la survie globale, avec un Hazard Ratio de 0.65 (IC 95% 0.45-0.94; p<0.02). L'expérience est limitée chez les patients non néphrectomisés.
  • +·Carcinome rénal métastatique (RCC)Dans une étude comparative et randomisée de phase III, 750 patients atteints de carcinome rénal localement avancé ou métastatique ont été traités soit par 50 mg de sunitinib par jour pendant 4 semaines suivies de 2 semaines de pause (6 cycles), soit par l'interféron alpha [IFN-α] par voie s. c. pendant 3 jours non consécutifs par semaine (dose journalière de 3 millions d'UI pendant la première semaine, de 6 millions d'UI pendant la deuxième semaine et de 9 millions d'UI à partir de la troisième semaine). 90% des patients avaient eu une néphrectomie partielle ou totale. La durée moyenne du traitement a été de 11.1 mois (fourchette: 0.4-46.1) pour Sutent et de 4.1 mois (fourchette: 0.1-45.6) pour l'IFN-α.Un avantage statistiquement significatif quant au critère d'évaluation primaire, la survie sans progression, s'est dégagé en faveur du sunitinib par rapport à l'IFN-α (Hazard Ratio 0.42 [IC 95% 0.32-0.54; p<0.001]), à savoir une survie de 47.3 semaines versus 22 semaines. Le taux de réponse a été de 27.5% vs 5.3%. Un avantage en faveur du sunitinib a aussi été constaté quant à la survie globale, avec un Hazard Ratio de 0.65 (IC 95% 0.45-0.94; p<0.02). L'expérience est limitée chez les patients non néphrectomisés.
  • -La liaison aux protéines plasmatiques est de 95% pour le sunitinib et de 90% pour son métabolite primaire actif. Le sunitinib a un grand volume apparent de distribution (V/F) de 2230 l. Aucune donnée concernant le passage dans le liquide céphalo-rachidien n'est disponible.
  • +La liaison aux protéines plasmatiques est de 95% pour le sunitinib et de 90% pour son métabolite primaire actif. Le sunitinib a un grand volume apparent de distribution (V/F) de 2'230 l. Aucune donnée concernant le passage dans le liquide céphalo-rachidien n'est disponible.
  • -Patients insuffisants hépatiques:
  • +Patients insuffisants hépatiques
  • -Patients insuffisants rénaux:
  • +Patients insuffisants rénaux
  • -Juillet 2017.
  • -LLD V028
  • +Juillet 2018.
  • +LLD V030
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