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Accueil - Information professionnelle sur Sutent 12.5 mg - Changements - 16.08.2017
18 Changements de l'information professionelle Sutent 12.5 mg
  • -Sous traitement par sunitinib, des convulsions ont été rapportées chez des patients présentant des métastases cérébrales documentées radiologiquement. En outre, quelques cas de convulsions (<1%), dont certains fatals, associées à des signes radiologiques d'un syndrome de leucoencéphalopathie postérieure réversible (RPLS) on été rapportés. Les patients présentant des crises convulsives et des signes ou des symptômes suggérant un RPLS (par ex. hypertension, céphalées, diminution de l'attention, altération des fonctions mentales et perte de la vision y compris cécité corticale) doivent être placés sous surveillance médicale, notamment sous surveillance de l'hypertension. Un arrêt passager du sunitinib est recommandé. Après la disparition des troubles, la reprise du traitement pourra être laissée à l'appréciation du médecin traitant.
  • +Sous traitement par sunitinib, des convulsions ont été rapportées chez des patients présentant des métastases cérébrales documentées radiologiquement. En outre, quelques cas de convulsions (<1%), dont certains fatals, associées à des signes radiologiques d'un syndrome de leucoencéphalopathie postérieure réversible (RPLS) ont été rapportés. Les patients présentant des crises convulsives et des signes ou des symptômes suggérant un RPLS (par ex. hypertension, céphalées, diminution de l'attention, altération des fonctions mentales et perte de la vision y compris cécité corticale) doivent être placés sous surveillance médicale, notamment sous surveillance de l'hypertension. Un arrêt passager du sunitinib est recommandé. Après la disparition des troubles, la reprise du traitement pourra être laissée à l'appréciation du médecin traitant.
  • -Quelques rares cas de pyoderma gangraenosum généralement réversibles à l'arrêt du médicament ont été rapportés. Des rares cas de réactions cutanées sévères ont été rapportées, notamment des cas d'érythème polymorphe (EP) et des cas suggérant un syndrome de Stevens-Johnson (SSJ, dont certains cas d'issue fatale) ou une nécrolyse épidermique toxique (NET). En cas d'apparition de signes ou de symptômes de SSJ, de NET ou d'EP (par ex. rash cutané évolutive, souvent accompagné d'ampoules ou de lésions muqueuses), le traitement par sunitinib doit être interrompu. Si le diagnostic de SSJ ou de NET est confirmé, le traitement ne doit pas être réintroduit. Dans certains cas de suspicion d'EP, la réintroduction du sunitinib à dose plus faible après la disparition de la réaction a été bien tolérée. Certains de ces patients on également reçu un traitement concomitante par corticostéroïdes ou antihistaminiques.
  • +Quelques rares cas de pyoderma gangraenosum généralement réversibles à l'arrêt du médicament ont été rapportés. Des rares cas de réactions cutanées sévères ont été rapportés, notamment des cas d'érythème polymorphe (EP) et des cas suggérant un syndrome de Stevens-Johnson (SSJ, dont certains cas d'issue fatale) ou une nécrolyse épidermique toxique (NET). En cas d'apparition de signes ou de symptômes de SSJ, de NET ou d'EP (par ex. rash cutané évolutive, souvent accompagné d'ampoules ou de lésions muqueuses), le traitement par sunitinib doit être interrompu. Si le diagnostic de SSJ ou de NET est confirmé, le traitement ne doit pas être réintroduit. Dans certains cas de suspicion d'EP, la réintroduction du sunitinib à dose plus faible après la disparition de la réaction a été bien tolérée. Certains de ces patients ont également reçu un traitement concomitante par corticostéroïdes ou antihistaminiques.
  • -Les effets indésirables suivants proviennent d'études cliniques menées chez plus de 7000 patients (RCC, GIST, pancreatic NET).
  • -Les effets indésirables graves les plus importants (dans certains cas d'évolution fatale) sous traitement par le sunitinib sont: infections, insuffisance cardiaque, hémorragies (par ex. des voies respiratoires, du tractus gastro-intestinal, des tumeurs, des voies urinaires ou du cerveau), embolie pulmonaire, perforation gastro-intestinale, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et formation de fistules. Une torsade de pointes est apparue chez un patient.
  • -Les effets indésirables les plus fréquents sont: fatigue, troubles gastro-intestinaux (par ex. diarrhée, nausée, stomatite, dyspepsie et vomissements), infections, diminution de l'appétit, dysgueusie, hypertension, érythrodysesthésie palmo-plantaire, mucite, coloration cutanée, œdème, éruption cutanée.
  • -Fatigue, érythrodysesthésie palmo-plantaire, infections, hypertension et neutropénie étaient les événements indésirables de grade 3 les plus fréquents. L'événement indésirable le plus fréquent de grade maximal 4 était la thrombopénie.
  • -Les effets indésirables apparus au cours des programmes d'études cliniques RCC, GIST et pancreatic NET (en monothérapie) sont répertoriées ci-dessous, indépendamment de leur cause, selon les classes d'organes et la fréquence, en tenant compte des définitions suivantes: très fréquent (≥10%), fréquent (≥1%-≤10%), occasionnel (≥0.1%-≤1%), rare (≥0.01%-≤0.1%), très rare (<0.01%).
  • -«Expérience post-marketing»: Les données concernant l'expérience post-marketing décrivent les effets indésirables survenus dans le monde entier qui ont été notifiés spontanément, décrits dans la littérature ou déclarés par les autorités. L'expérience post-marketing comprend les événements indésirables et inattendus qui, indépendamment de leur causalité, se sont produits après l'utilisation du sunitinib.
  • -Infections
  • -Très fréquent: Infections graves (41.5%, 7.4% de grade 3, 1.2% de grade 4, avec ou sans neutropénie), dans quelques cas d'évolution fatale. Les infections le plus fréquemment observées étaient similaires à celles qu'on observe typiquement chez les patients atteints d'un cancer, par ex. des infections respiratoires (par ex. pneumonie, bronchite), urinaires, cutanées (par ex. cellulite), des abcès (par ex. oraux, génitaux, ano-rectaux, cutanés, des extrémités, viscéraux) et une septicémie/un choc septique. Les infections peuvent être bactériennes (par ex. intra-abdominales, ostéomyélite), virales (par ex. nasopharyngite, herpès oral) ou fongiques (par ex. candidose orale ou œsophagienne).
  • -Expérience post-marketing: rares cas de fasciite nécrosante (y compris des cas impliquant le périnée), dont quelques-uns d'évolution fatale (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Système sanguin et lymphatique
  • -Très fréquent: anémie (23.9%, 6.5% de grade 3, 1.4% de grade 4), thrombopénie (22.0%, 6.5% de grade 3, 1.6% de grade 4), neutropénie (17.2%, 6.8% de grade 3, 0.6% de grade 4), leucopénie (10.2%, 2.0% de grade 3, 0.1% de grade 4).
  • -Fréquent: lymphopénie.
  • -Occasionnel: neutropénie fébrile.
  • -Rare: microangiopathie thrombotique (y compris purpura thrombotique thrombocytopénique et syndrome hémolytique et urémique, voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Système immunitaire
  • -Occasionnel: cas de réactions d'hypersensibilité.
  • -Rare: angioœdème.
  • -Troubles endocriniens
  • -Très fréquent: hypothyroïdie (12.5%).
  • -Occasionnel: hyperthyroïdie (voir aussi «Mises en garde et précautions»), augmentation de la thyréostimuline (TSH) sanguine.
  • -Rare: thyroïdite.
  • +Les effets indésirables suivants proviennent détudes cliniques menées chez plus de 7000 patients (RCC, GIST, pancreatic NET).
  • +Les effets indésirables graves les plus importants (dans certains cas dévolution fatale) sous traitement par le sunitinib sont: infections, insuffisance cardiaque, hémorragies (par ex. des voies respiratoires, du tractus gastro-intestinal, des tumeurs, des voies urinaires ou du cerveau), embolie pulmonaire, perforation gastro-intestinale, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et formation de fistules. Une torsade de pointes est apparue chez un patient.
  • +Les effets indésirables les plus fréquents sont: fatigue, troubles gastro-intestinaux (par ex. diarrhée, nausée, stomatite, dyspepsie et vomissements), infections, diminution de lappétit, dysgueusie, hypertension, érythrodysesthésie palmo-plantaire, mucite, coloration cutanée, œdème, éruption cutanée.
  • +Fatigue, érythrodysesthésie palmo-plantaire, infections, hypertension et neutropénie étaient les événements indésirables de grade 3 les plus fréquents. Lévénement indésirable le plus fréquent de grade maximal 4 était la thrombopénie.
  • +Les effets indésirables apparus au cours des programmes détudes cliniques RCC, GIST et pancreatic NET (en monothérapie) sont répertoriées ci-dessous, indépendamment de leur cause, selon les classes dorganes et la fréquence, en tenant compte des définitions suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1’000), rares (<1/1’000, ≥1/10’000), très rares (<1/10’000).
  • +«Expérience post-marketing»: Les données concernant lexpérience post-marketing décrivent les effets indésirables survenus dans le monde entier qui ont été notifiés spontanément, décrits dans la littérature ou déclarés par les autorités. Lexpérience post-marketing comprend les événements indésirables et inattendus qui, indépendamment de leur causalité, se sont produits après lutilisation du sunitinib.
  • +Infections et infestations
  • +Très fréquents: Infections graves (41.5%, 7.4% de grade 3, 1.2% de grade 4, avec ou sans neutropénie), dans quelques cas dévolution fatale. Les infections le plus fréquemment observées étaient similaires à celles quon observe typiquement chez les patients atteints dun cancer, par ex. des infections respiratoires (par ex. pneumonie, bronchite), urinaires, cutanées (par ex. cellulite), des abcès (par ex. oraux, génitaux, ano-rectaux, cutanés, des extrémités, viscéraux) et une septicémie/un choc septique. Les infections peuvent être bactériennes (par ex. intra-abdominales, ostéomyélite), virales (par ex. nasopharyngite, herpès oral) ou fongiques (par ex. candidose orale ou œsophagienne).
  • +Expérience post-marketing: rares cas de fasciite nécrosante (y compris des cas impliquant le périnée), dont quelques-uns dévolution fatale (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Très fréquents: anémie (23.9%, 6.5% de grade 3, 1.4% de grade 4), thrombopénie (22.0%, 6.5% de grade 3, 1.6% de grade 4), neutropénie (17.2%, 6.8% de grade 3, 0.6% de grade 4), leucopénie (10.2%, 2.0% de grade 3, 0.1% de grade 4).
  • +Fréquents: lymphopénie.
  • +Occasionnels: neutropénie fébrile.
  • +Rares: microangiopathie thrombotique (y compris purpura thrombotique thrombocytopénique et syndrome hémolytique et urémique, voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections du système immunitaire
  • +Occasionnels: cas de réactions dhypersensibilité.
  • +Rares: angioœdème.
  • +Affections endocriniennes
  • +Très fréquents: hypothyroïdie (12.5%).
  • +Occasionnels: hyperthyroïdie (voir aussi «Mises en garde et précautions»), augmentation de la thyréostimuline (TSH) sanguine.
  • +Rares: thyroïdite.
  • -Très fréquent: diminution de l'appétit (37.2%).
  • -Fréquent: déshydratation, hypoglycémie, hyperuricémie, perte de poids.
  • -Occasionnel: hyponatrémie.
  • -Rare: syndrome de lyse tumorale (dont quelques-uns d'évolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Troubles psychiatriques
  • -Très fréquent: insomnie (10.7%).
  • -Fréquent: dépression.
  • -Système nerveux
  • -Très fréquent: dysgueusie (28.8%), céphalées (19.8%).
  • -Fréquent: vertiges, paresthésies.
  • -Occasionnel: accident vasculaire cérébral (y compris des cas d'évolution fatale), accident ischémique transitoire, hémorragies cérébrales (y compris des cas d'évolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Rare: infarctus cérébral, syndrome de leucoencéphalopathie postérieure réversible.
  • +Très fréquents: diminution de lappétit (37.2%).
  • +Fréquents: déshydratation, hypoglycémie, hyperuricémie, perte de poids.
  • +Occasionnels: hyponatrémie.
  • +Rares: syndrome de lyse tumorale (dont quelques-uns dévolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections psychiatriques
  • +Très fréquents: insomnie (10.7%).
  • +Fréquents: dépression.
  • +Affections du système nerveux
  • +Très fréquents: dysgueusie (28.8%), céphalées (19.8%).
  • +Fréquents: vertiges, paresthésies.
  • +Occasionnels: accident vasculaire cérébral (y compris des cas dévolution fatale), accident ischémique transitoire, hémorragies cérébrales (y compris des cas dévolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Rares: infarctus cérébral, syndrome de leucoencéphalopathie postérieure réversible.
  • -Troubles oculaires
  • -Fréquent: larmoiement excessif, œdème péri-orbitaire, œdème palpébral.
  • -Troubles cardiaques
  • -Fréquent: tachycardie, baisse de la FEVG, ischémie myocardique (y compris des cas d'évolution fatale), voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Occasionnel: infarctus du myocarde (y compris des cas d'évolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»), défaillance cardiaque (y compris des cas d'évolution fatale), insuffisance cardiaque congestive, allongement de l'intervalle QT, cardiomyopathie (y compris des cas d'évolution fatale), insuffisance cardiaque gauche, augmentation de la CK-MB et de la troponine I.
  • -Rare: torsade de pointes.
  • -Troubles vasculaires
  • -Très fréquent: hypertension (28.0%, 7.1% de grade 3, 0.2% de grade 4).
  • -Fréquent: événements thromboemboliques.
  • -Occasionnel: hémorragies tumorales (y compris des cas d'évolution fatale).
  • +Affections oculaires
  • +Fréquents: larmoiement excessif, œdème péri-orbitaire, œdème palpébral.
  • +Affections cardiaques
  • +Fréquents: tachycardie, baisse de la FEVG, ischémie myocardique (y compris des cas dévolution fatale), voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Occasionnels: infarctus du myocarde (y compris des cas dévolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»), défaillance cardiaque (y compris des cas dévolution fatale), insuffisance cardiaque congestive, allongement de lintervalle QT, cardiomyopathie (y compris des cas dévolution fatale), insuffisance cardiaque gauche, augmentation de la CK-MB et de la troponine I.
  • +Rares: torsade de pointes.
  • +Affections vasculaires
  • +Très fréquents: hypertension (28.0%, 7.1% de grade 3, 0.2% de grade 4).
  • +Fréquents: événements thromboemboliques.
  • +Occasionnels: hémorragies tumorales (y compris des cas dévolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Organes respiratoires
  • -Très fréquent: dyspnée (20.3%, y compris dyspnée d'effort), épistaxis (15.2%).
  • -Fréquent: douleurs oro-pharyngées (y compris douleurs pharyngo-laryngées), hémoptysie (y compris hémorragie pulmonaire; cas d'évolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»), embolie pulmonaire (y compris des cas d'évolution fatale).
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Très fréquent: diarrhée (52.4%, 6.0% de grade 3, 0.2% de grade 4), nausée (42.7%, 3.5% de grade 3, <0.1% de grade 4), vomissements (34.0%, 4.0% de grade 3, 0.2% de grade 4), douleurs abdominales (30.4%, 5.7% de grade 3, 0.5% de grade 4; y compris douleurs épigastriques et abdominales basses), stomatite (28.3%), constipation (23.2%), dyspepsie (22.0%).
  • -Fréquent: douleurs dans la zone buccale, flatulences, sécheresse buccale, reflux gastro-œsophagien, distension abdominale, glossodynie, hémorragie gingivale, œsophagite, hémorragies gastro-intestinales (y compris des cas d'évolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»), valeurs élevées de la lipase, valeurs élevées de l'amylase.
  • -Occasionnel: pancréatite, perforation gastro-intestinale (y compris des cas d'évolution fatale).
  • -Expérience post-marketing: cas de formation de fistules (entérocutanées, anales, gastro-intestinales), en partie associées à une nécrose tumorale et/ou une régression, dans certains cas d'évolution fatale.
  • -Troubles hépatobiliaires
  • -Occasionnel: cholécystite, principalement non liée à des calculs, insuffisance hépatique (y compris des cas d'évolution fatale).
  • -Peau
  • -Très fréquent: érythrodysesthésie palmo-plantaire (27.9%; 7.7% de grade 3, <0.1% de grade 4), coloration cutanée (24.8%, y compris coloration jaune de la peau et troubles de la pigmentation), éruption cutanée (22.4%), modification de la couleur des cheveux (12.1%), peau sèche (11.3%).
  • -Fréquent: alopécie, érythème, prurit, exfoliation cutanée, bulles cutanées, lésion cutanée, réactions cutanées, troubles des ongles.
  • -Occasionnel: dermatite exfoliative.
  • -Rare: syndrome de Stevens-Johnson, érythème multiforme (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Très fréquents: dyspnée (20.3%, y compris dyspnée deffort), épistaxis (15.2%).
  • +Fréquents: douleurs oro-pharyngées (y compris douleurs pharyngo-laryngées), hémoptysie (y compris hémorragie pulmonaire; cas dévolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»), embolie pulmonaire (y compris des cas dévolution fatale).
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Très fréquents: diarrhée (52.4%, 6.0% de grade 3, 0.2% de grade 4), nausée (42.7%, 3.5% de grade 3, <0.1% de grade 4), vomissements (34.0%, 4.0% de grade 3, 0.2% de grade 4), douleurs abdominales (30.4%, 5.7% de grade 3, 0.5% de grade 4; y compris douleurs épigastriques et abdominales basses), stomatite (28.3%), constipation (23.2%), dyspepsie (22.0%).
  • +Fréquents: douleurs dans la zone buccale, flatulences, sécheresse buccale, reflux gastro-œsophagien, distension abdominale, glossodynie, hémorragie gingivale, œsophagite, hémorragies gastro-intestinales (y compris des cas dévolution fatale, voir aussi «Mises en garde et précautions»), valeurs élevées de la lipase, valeurs élevées de lamylase.
  • +Occasionnels: pancréatite, perforation gastro-intestinale (y compris des cas dévolution fatale).
  • +Expérience post-marketing: cas de formation de fistules (entérocutanées, anales, gastro-intestinales), en partie associées à une nécrose tumorale et/ou une régression, dans certains cas dévolution fatale.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Occasionnels: cholécystite, principalement non liée à des calculs, insuffisance hépatique (y compris des cas dévolution fatale).
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Très fréquents: érythrodysesthésie palmo-plantaire (27.9%; 7.7% de grade 3, <0.1% de grade 4), coloration cutanée (24.8%, y compris coloration jaune de la peau et troubles de la pigmentation), éruption cutanée (22.4%), modification de la couleur des cheveux (12.1%), peau sèche (11.3%).
  • +Fréquents: alopécie, érythème, prurit, exfoliation cutanée, bulles cutanées, lésion cutanée, réactions cutanées, troubles des ongles.
  • +Occasionnels: dermatite exfoliative.
  • +Rares: syndrome de Stevens-Johnson, érythème multiforme (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Système musculosquelettique
  • -Très fréquent: douleurs dans les extrémités (17.4%), arthralgie (14.4%).
  • -Fréquent: myalgie.
  • -Occasionnel: élévation de la créatinine phosphokinase sanguine, ostéonécrose de la mâchoire (ONJ). (La plupart de ces patients présentaient des facteurs de risque d'ONJ, notamment une exposition à des bisphosphonates par voie i.v. et/ou des antécédents d'affections dentaires qui avaient nécessité une intervention dentaire invasive (voir aussi «Mises en garde et précautions»), formation de fistules (y compris des cas d'évolution fatale.)
  • -Rare: cas de myopathie et/ou de rhabdomyolyse, dans certains cas associés à une insuffisance rénale aiguë, dans certains cas d'évolution fatale. (La plupart de ces patients présentaient des facteurs de risque préexistants et/ou recevaient une médication associée mise en rapport avec cet EI).
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • -Fréquent: défaillance rénale (y compris des cas d'évolution fatale), chromaturie, protéinurie.
  • -Occasionnel: troubles de la fonction rénale, hémorragies des organes urinaires (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Rare: syndrome néphrotique (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Troubles généraux
  • -Très fréquent: fatigue (66.7%, 17.0% de grade 3, 1.2% de grade 4; y compris asthénie), mucite (27.1%), œdème (24.2%, y compris œdème de la face et œdème périphérique), fièvre (17.6%).
  • -Fréquent: douleurs thoraciques, frissons, affection pseudo-grippale.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Très fréquents: douleurs dans les extrémités (17.4%), arthralgie (14.4%).
  • +Fréquents: myalgie.
  • +Occasionnels: élévation de la créatinine phosphokinase sanguine, ostéonécrose de la mâchoire (ONJ). (La plupart de ces patients présentaient des facteurs de risque d'ONJ, notamment une exposition à des bisphosphonates par voie i.v. et/ou des antécédents d'affections dentaires qui avaient nécessité une intervention dentaire invasive (voir aussi «Mises en garde et précautions»), formation de fistules (y compris des cas dévolution fatale).
  • +Rares: cas de myopathie et/ou de rhabdomyolyse, dans certains cas associés à une insuffisance rénale aiguë, dans certains cas dévolution fatale.
  • +(La plupart de ces patients présentaient des facteurs de risque préexistants et/ou recevaient une médication associée mise en rapport avec cet EI.)
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Fréquents: défaillance rénale (y compris des cas dévolution fatale), chromaturie, protéinurie.
  • +Occasionnels: troubles de la fonction rénale, hémorragies des organes urinaires (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Rares: syndrome néphrotique (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Très fréquents: fatigue (66.7%, 17.0% de grade 3, 1.2% de grade 4; y compris asthénie), mucite (27.1%), œdème (24.2%, y compris œdème de la face et œdème périphérique), fièvre (17.6%).
  • +Fréquents: douleurs thoraciques, frissons, affection pseudo-grippale.
  • +Sécurité à long terme chez les patients atteints de RCC
  • +La sécurité à long terme du sunitinib chez les patients atteints d’un RCC métastatique a été analysée dans plusieurs études cliniques. L’analyse finale a pris en compte 5’739 patients, parmi lesquels 807 (14%) avaient reçu le traitement pendant ≥2 à 6 ans. La prolongation du traitement par sunitinib n’était pas associée à des effets indésirables liés au traitement d’un nouveau type ou plus sévères et, sauf en cas d’hypothyroïdie, la toxicité n’était pas cumulative.
  • +
  • -Tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST)
  • -Une étude de phase III randomisée, contrôlée par placebo et à double insu a été conduite chez 312 patients avec GIST qui n'avaient pas toléré l'imatinib ou dont la tumeur avait continué à progresser pendant ou après le traitement par imatinib. Ces patients ont reçu soit 50 mg de Sutent, soit un placebo (207 patients ont reçu Sutent, 105 patients un placebo). Le critère d'évaluation principal de l'étude était le temps jusqu'à la progression (time to progression = TTP). Le TTP médian pour Sutent a été de 28.9 semaines (IC à 95% 21.3-34.1 semaines) et de 27.3 semaines (IC à 95% 16.0-32.1) dans une revue indépendante et était donc statistiquement supérieur au TTP pour le placebo qui était de 5.1 semaines (IC à 95% CI 4.4-10.1 semaines) d'après l'évaluation des médecins investigateurs et de 6.4 semaines (IC à 95% 4.4-10.0 semaines) dans la revue indépendante. Le taux de survie global était statistiquement favorable à Sutent (Hazard Ratio: 0.49, IC 95%: 0.29-0.83).
  • -Après l'évaluation intermédiaire de l'efficacité et de la tolérance, il a été procédé à une levée de l'aveugle, sur la recommandation du Data Monitoring Boards, et un traitement en ouvert par le sunitinib a été proposé aux patients du bras placebo. Au total, 255 patients ont reçu Sutent durant la phase de traitement en ouvert, dont 99 avaient été traités auparavant par le placebo. L'analyse des critères d'évaluation principaux et secondaires dans la phase ouverte a confirmé les résultats de l'évaluation intermédiaire.
  • -Carcinome rénal métastatique (RCC)
  • -Dans une étude comparative et randomisée de phase III, 750 patients atteints de carcinome rénal localement avancé ou métastatique ont été traités soit par 50 mg de sunitinib par jour pendant 4 semaines suivies de 2 semaines de pause (6 cycles), soit par l'interféron alpha par voie s. c. pendant 3 jours non consécutifs par semaine (dose journalière de 3 millions d'UI pendant la première semaine, de 6 millions d'UI pendant la deuxième semaine et de 9 millions d'UI à partir de la troisième semaine). 90% des patients avaient eu une néphrectomie partielle ou totale. La durée moyenne du traitement a été de 11.1 mois (fourchette: 0.4-46.1) pour Sutent et de 4.1 mois (fourchette: 0.1-45.6) pour l'IFN-α.
  • -Un avantage statistiquement significatif quant au critère d'évaluation primaire, la survie sans progression, s'est dégagé en faveur du sunitinib par rapport à l'interféron alpha (Hazard Ratio 0.42 [IC 95% 0.32-0.54; p<0.001]), à savoir une survie de 47.3 semaines versus 22 semaines. Le taux de réponse a été de 27.5% vs 5.3%. Un avantage en faveur du sunitinib a aussi été constaté quant à la survie globale, avec un Hazard Ratio de 0.65 (IC 95% 0.45-0.94; p<0.02). L'expérience est limitée chez les patients non néphrectomisés.
  • -Carcinome neuro-endocrine du pancréas (pancreatic NET)
  • -171 patients atteints d'un carcinome neuro-endocrine du pancréas, non résécable, bien différencié, avancé et/ou métastatique et ayant présenté une progression dans les 12 derniers mois, ont été inclus dans une étude en double aveugle, contrôlée par placebo. La moitié des patients avaient des tumeurs non fonctionnelles; les tumeurs fonctionnelles étaient principalement des gastrinomes, mais aussi des insulinomes, des glucagonomes, des vipomes et autres. Le statut de performance ECOG était compris entre 0 et 1. Des métastases ont été retrouvées chez 95% des patients. La durée depuis le diagnostic était en moyenne de 2.4 ans. Les patients ont été traités par 37.5 mg de sunitinib par jour ou par un placebo jusqu'à la progression. En cas de progression, il a été procédé à une levée de l'aveugle et le traitement a été poursuivi par le sunitinib. Sur la recommandation du Data Monitoring Board, l'étude a été clôturée lors de l'atteinte de l'objectif de l'étude.
  • -Concernant le critère d'évaluation principal (la survie sans progression [PFS]), un avantage significatif s'est dégagé en faveur du sunitinib par rapport au placebo, à savoir une PFS médiane de 11.4 mois vs. 5.5 mois (HR 0.418 (IC à 95% 0.263-0.662), p=0.0001, un ORR de 9.3% vs. 0% et un hazard ratio de 0.409 (IC à 95% 0.187-0.894), p=0.02, concernant à la survie globale.
  • +·Tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST)Une étude de phase III randomisée, contrôlée par placebo et à double insu a été conduite chez 312 patients avec GIST qui n'avaient pas toléré l'imatinib ou dont la tumeur avait continué à progresser pendant ou après le traitement par imatinib. Ces patients ont reçu soit 50 mg de Sutent, soit un placebo (207 patients ont reçu Sutent, 105 patients un placebo). Le critère d'évaluation principal de l'étude était le temps jusqu'à la progression (time to progression = TTP). Le TTP médian pour Sutent a été de 28.9 semaines (IC à 95% 21.3-34.1 semaines) et de 27.3 semaines (IC à 95% 16.0-32.1) dans une revue indépendante et était donc statistiquement supérieur au TTP pour le placebo qui était de 5.1 semaines (IC à 95% CI 4.4-10.1 semaines) d'après l'évaluation des médecins investigateurs et de 6.4 semaines (IC à 95% 4.4-10.0 semaines) dans la revue indépendante. Le taux de survie global était statistiquement favorable à Sutent (Hazard Ratio: 0.49, IC 95%: 0.29-0.83).Après l'évaluation intermédiaire de l'efficacité et de la tolérance, il a été procédé à une levée de l'aveugle, sur la recommandation du Data Monitoring Boards, et un traitement en ouvert par le sunitinib a été proposé aux patients du bras placebo. Au total, 255 patients ont reçu Sutent durant la phase de traitement en ouvert, dont 99 avaient été traités auparavant par le placebo. L'analyse des critères d'évaluation principaux et secondaires dans la phase ouverte a confirmé les résultats de l'évaluation intermédiaire.
  • +·Carcinome rénal métastatique (RCC)Dans une étude comparative et randomisée de phase III, 750 patients atteints de carcinome rénal localement avancé ou métastatique ont été traités soit par 50 mg de sunitinib par jour pendant 4 semaines suivies de 2 semaines de pause (6 cycles), soit par l'interféron alpha [IFN-α] par voie s. c. pendant 3 jours non consécutifs par semaine (dose journalière de 3 millions d'UI pendant la première semaine, de 6 millions d'UI pendant la deuxième semaine et de 9 millions d'UI à partir de la troisième semaine). 90% des patients avaient eu une néphrectomie partielle ou totale. La durée moyenne du traitement a été de 11.1 mois (fourchette: 0.4-46.1) pour Sutent et de 4.1 mois (fourchette: 0.1-45.6) pour l'IFN-α.Un avantage statistiquement significatif quant au critère d'évaluation primaire, la survie sans progression, s'est dégagé en faveur du sunitinib par rapport à IFN-α(Hazard Ratio 0.42 [IC 95% 0.32-0.54; p<0.001]), à savoir une survie de 47.3 semaines versus 22 semaines. Le taux de réponse a été de 27.5% vs 5.3%. Un avantage en faveur du sunitinib a aussi été constaté quant à la survie globale, avec un Hazard Ratio de 0.65 (IC 95% 0.45-0.94; p<0.02). L'expérience est limitée chez les patients non néphrectomisés.
  • +·Carcinome neuro-endocrine du pancréas (pancreatic NET)171 patients atteints d'un carcinome neuro-endocrine du pancréas, non résécable, bien différencié, avancé et/ou métastatique et ayant présenté une progression dans les 12 derniers mois, ont été inclus dans une étude en double aveugle, contrôlée par placebo. La moitié des patients avaient des tumeurs non fonctionnelles; les tumeurs fonctionnelles étaient principalement des gastrinomes, mais aussi des insulinomes, des glucagonomes, des vipomes et autres. Le statut de performance ECOG était compris entre 0 et 1. Des métastases ont été retrouvées chez 95% des patients. La durée depuis le diagnostic était en moyenne de 2.4 ans. Les patients ont été traités par 37.5 mg de sunitinib par jour ou par un placebo jusqu'à la progression. En cas de progression, il a été procédé à une levée de l'aveugle et le traitement a été poursuivi par le sunitinib. Sur la recommandation du Data Monitoring Board, l'étude a été clôturée lors de l'atteinte de l'objectif de l'étude.Concernant le critère d'évaluation principal (la survie sans progression [PFS]), un avantage significatif s'est dégagé en faveur du sunitinib par rapport au placebo, à savoir une PFS médiane de 11.4 mois vs. 5.5 mois (HR 0.418 (IC à 95% 0.263-0.662), p=0.0001, un ORR de 9.3% vs. 0% et un hazard ratio de 0.409 (IC à 95% 0.187-0.894), p=0.02, concernant à la survie globale.
  • -Juillet 2015.
  • -LLD V027
  • +Juillet 2017.
  • +LLD V028
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