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Accueil - Information professionnelle sur Sevoflurane Baxter - Changements - 09.11.2018
58 Changements de l'information professionelle Sevoflurane Baxter
  • -Sevoflurane Baxter est indiqué pour l'induction et l'entretien d'une anesthésie générale chez l'adulte et chez l'enfant lors dinterventions chirurgicales chez des patients hospitalisés ou ambulatoires.
  • +Sevoflurane Baxter est indiqué pour l'induction et l'entretien d'une anesthésie générale chez l'adulte et chez l'enfant lors des interventions chirurgicales chez des patients hospitalisés ou ambulatoires.
  • -La posologie sera déterminée individuellement et selon les effets souhaités en fonction de l'âge et de l'état général. Un barbiturique de durée d'action brève ou un autre produit intraveineux approprié à une induction de l'anesthésie peut être administré avant l'inhalation du sévoflurane. L'induction de l'anesthésie par sévoflurane peut se faire aussi bien à l'aide d'oxygène que d'un mélange d'oxygène/protoxyde d'azote.
  • -Adultes : L’inhalation d’une concentration inhalée allant jusqu'à 5% permet d'obtenir le plus souvent une anesthésie chirurgicale en moins de 2 minutes chez l'adulte.
  • -Enfants : L'inhalation d’une concentration allant jusqu'à 7% permet d’obtenir une anesthésie chirurgicale en moins de 2 minutes chez l'enfant. Pour induire l'anesthésie chez les patients sans prémédication, on peut également utiliser des concentrations allant jusqu'à 8% de sévoflurane.
  • +La posologie devra être individuelle et correspondre aux effets souhaités en fonction de l'âge et de l'état général. Un barbiturique de durée d'action brève ou un autre produit intraveineux approprié à une induction de l'anesthésie peut être administré avant l'inhalation du sévoflurane. L'induction de l'anesthésie par sévoflurane peut se faire aussi bien à l'aide d'oxygène que d'un mélange d'oxygène/protoxyde d'azote.
  • +Adultes
  • +Une concentration inhalée allant jusqu'à 5% permet d'obtenir le plus souvent une anesthésie chirurgicale en moins de 2 minutes chez l'adulte.
  • +Enfants
  • +Une concentration allant jusqu'à 7% permet d’obtenir une anesthésie chirurgicale est obtenue en moins de 2 minutes chez l'enfant par l'inhalation de concentration allant jusqu'à 7%.
  • +Pour introduire l'anesthésie chez les patients sans prémédication, on peut également utiliser des concentrations allant jusqu'à 8% de sévoflurane.
  • -La profondeur de l'anesthésie nécessaire pour l'intervention chirurgicale peut être maintenue par des concentrations de 0,5% à 3% de sévoflurane, associé simultanément ou non au protoxyde d'azote.
  • -Patient âgé: Comme pour d'autres anesthésiques par inhalation, des concentrations moins élevées sont généralement nécessaires pour l'entretien d'une anesthésie chirurgicale.
  • +La profondeur de l'anesthésie, nécessaire pour l'intervention chirurgicale, peut être maintenue par des concentrations de 0,5% à 3% de sévoflurane, que l’on associé simultanément du protoxyde dazote ou non.
  • +Chez les patients âgés
  • +Comme pour d'autres anesthésiques par inhalation, des concentrations moins élevées sont en général nécessaires pour l'entretien d'une anesthésie chirurgicale.
  • -Le réveil est normalement rapide après une anesthésie par sévoflurane. C’est pourquoi les patients nécessitent dans certaines circonstances des antalgiques dans un délai bref après le réveil.
  • +Le réveil est normalement rapide après une anesthésie par sévoflurane. Les patients nécessitent par conséquent dans certaines circonstances des antalgiques dans un délai bref après le réveil.
  • -Sevoflurane Baxter ne devra pas être utilisé chez les patients qui présentent une prédisposition génétique connue ou suspectée pour une hyperthermie maligne.
  • +Sevoflurane Baxter ne devra pas être utilisé chez les patients qui présentent une prédisposition génétique connue ou suspectée à une hyperthermie maligne.
  • -Comme pour tous les anesthésiques généraux puissants, Sevoflurane Baxter ne devra être administré que par des personnes expérimentées, formées pour l’administration de médicaments provoquant une anesthésie générale. Les installations et les équipements nécessaires pour maintenir la liberté des voies aériennes, pour assurer une ventilation artificielle et une oxygénation et pour mettre en oeuvre une réanimation devront être disponibles immédiatement.
  • +Sevoflurane Baxter ne devra être administré que par des personnes expérimentées, formées pour l’administration de médicaments provoquant une anesthésie générale. Les installations et les équipements nécessaires pour maintenir la liberté des voies aériennes, pour assurer une ventilation artificielle et une oxygénation et pour mettre en œuvre une réanimation devront être disponibles immédiatement.
  • -Le sévoflurane peut déclencher une dépression respiratoire. Cet effet peut être renforcé par
  • -l'administration préalable de narcotiques ou d'autres agents susceptibles de causer une
  • -dépression respiratoire.
  • +Le sévoflurane peut déclencher une dépression respiratoire. Cet effet peut être renforcé par l'administration préalable de narcotiques ou d'autres agents susceptibles de causer une dépression respiratoire.
  • -Sévoflurane prolonge de manière significative l’intervalle QTc. Lors de l’utilisation de sévoflurane, on n’a parlé que très rarement jusqu’alors des Torsades de pointes, mortelles dans certains cas. Sévoflurane devrait être utilisé avec précaution chez les patients prédisposés à ces réactions, par ex., ceux qui souffrent d’un syndrome QTc congénital long, ou en cas d’administration simultanée de médicaments susceptibles de prolonger l’intervalle QTc.
  • +Sévoflurane prolonge de manière significative l’intervalle QTc. Lors de l’utilisation de sévoflurane, on n’a parlé que très rarement jusqu’alors des torsades de pointes, mortelles dans certains cas. Sévoflurane devrait être utilisé avec précaution chez les patients prédisposés à ces réactions, par ex., ceux qui souffrent d’un syndrome QTc congénital long, ou en cas d’administration simultanée de médicaments susceptibles de prolonger l’intervalle QTc.
  • -Le traitement de l'hyperthermie maligne comporte l'arrêt du facteur déclenchant (p.ex. sévoflurane), l'administration intraveineuse de dantrolène sodique (pour de plus amples informations relatives au traitement du patient, voir l’information sur le médicament dantrolène sodique par voie IV) et le soutien des fonctions vitales. Ceci comporte des mesures visant à normaliser la température corporelle, des mesures d’assistance respiratoire et circulatoire et la lutte contre les troubles de l’équilibre électrolytique et de l’équilibre acido-basique. Une insuffisance rénale peut apparaître ultérieurement; il convient donc de contrôler la diurèse et de maintenir si possible un débit urinaire approprié.
  • +Le traitement de l'hyperthermie maligne comporte l'arrêt du facteur déclenchant (p.ex. sévoflurane), l'administration intraveineuse de dantrolène sodique (pour de plus amples informations relatives au traitement du patient, voir l’information sur le médicament dantrolène sodique par voie IV) et le soutien des fonctions vitales. Ceci comporte des mesures visant à normaliser la température corporelle, des mesures d’assistance respiratoire et circulatoire et la lutte contre les troubles de l’équilibre électrolytique et de l’équilibre acido-basique. Une insuffisance rénale peut apparaître ultérieurement ; il convient donc de contrôler la diurèse et de maintenir si possible un débit urinaire approprié.
  • -L’utilisation d’anesthésiques par inhalation a été occasionnellement associée à une élévation du potassium sérique ayant entraîné chez des patients pédiatriques des troubles du rythme cardiaque et des décès post-opératoires.
  • -Les patients présentant des atteintes neuromusculaires latentes ou manifestes, en particulier une dystrophie de Duchenne, semblent être les plus exposés à ce risque. Dans la plupart de ces cas, de la succinylcholine avait aussi été administrée. Les patients avaient aussi présenté une élévation significative de la créatinine kinase et, dans quelques cas, des modifications des tests urinaires correspondant à une myoglobinurie. Malgré la similitude avec une hyperthermie maligne, aucun des patients n’a présenté de signe ni de symptôme de rigidité musculaire ni d’état hypermétabolique. Des mesures efficaces doivent être prises rapidement pour traiter l’hyperkaliémie et les arythmies résistantes et il convient de vérifier ensuite la présence d’une maladie neuromusculaire latente.
  • -Après contact avec les absorbeurs de CO2, le sévoflurane entraîne dans le système d’anesthésie la formation d’un produit de dégradation (composé A). Ce composé A peut avoir un effet nocif sur les reins. Les facteurs suivants peuvent se traduire par une augmentation de la concentration du composé A:
  • +L’utilisation d’anesthésiques par inhalation a été occasionnellement associée à une élévation du potassium sérique ayant entraîné chez des patients pédiatriques des troubles du rythme cardiaque et des décès post-opératoires. Les patients présentant des atteintes neuromusculaires latentes ou manifestes, en particulier une dystrophie de Duchenne, semblent être les plus exposés à ce risque. Dans la plupart de ces cas, de la succinylcholine avait également été administrée. Les patients avaient également présenté une élévation significative de la créatinine kinase et, dans quelques cas, des modifications des tests urinaires correspondant à une myoglobinurie. Malgré la similitude avec une hyperthermie maligne, aucun des patients n’a présenté de signe ni de symptôme de rigidité musculaire ni d’état hypermétabolique. Des mesures précoces et efficaces doivent être prises pour traiter l’hyperkaliémie et les arythmies résistantes et il est également recommandé de rechercher ensuite la présence d’une maladie neuromusculaire latente.
  • +Neurotoxicité pédiatrique
  • +Dans les expérimentations animales publiées, l'administration pendant plus de trois heures d'anesthésiques et de sédatifs bloquant les récepteurs NMDA et/ou potentialisant l'activité du
  • +GABA augmente de manière avérée l'apoptose neuronale dans le cerveau en développement et provoque des déficits cognitifs à long terme. La signification clinique de cette observation n'est pas claire. D'après des comparaisons entre plusieurs espèces, il semblerait que la période de vulnérabilité à ces modifications corresponde à des expositions durant le troisième trimestre de la grossesse et les premiers mois de la vie, mais puisse aussi s'étendre jusqu'à l'âge de trois ans révolus chez l'être humain (voir «Propriétés/Effets», «Grossesse/Allaitement» et «Données précliniques»).
  • +Composé A
  • +Après contact avec les absorbeurs de CO2, le sévoflurane entraîne dans le système d’anesthésie la formation d’un produit de dégradation (composé A). Ce composé A peut avoir un effet nocif sur les reins. Les facteurs suivants peuvent se traduire par une augmentation de la concentration du composé A :
  • -Les études expérimentales animales, utilisant des doses allant jusqu’à 1 CAM n’ont montré aucun signe en faveur d’une baisse de la fécondité ou d’anomalies chez le foetus, liées à sévoflurane. On ne dispose toutefois pas détudes contrôlées chez les femmes enceintes. Comme aucune étude contrôlée na été réalisée pour la femme enceinte, sévoflurane ne doit pas être utilisé en cours de grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Une étude clinique a montré l’innocuité du sévoflurane pour la mère et l’enfant lors des anesthésies pour césarienne. Il n’existe pas d’informations concernant son emploi lors des accouchements par voie basse ou pendant le travail.
  • +Les études expérimentales animales utilisant des doses allant jusqu’à 1 CAM n’ont montré aucun signe en faveur d’une baisse de la fécondité ou d’anomalies chez le foetus, liées à sévoflurane. On ne dispose toutefois pas d'études contrôlées chez les femmes enceintes. Comme aucune étude contrôlée n'a été réalisée pour la femme enceinte, Sevorane ne doit pas être utilisé en cours de grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Des expérimentations animales publiées portant sur des anesthésiques/médicaments sédatifs rendent compte d'effets indésirables sur le développement du cerveau à un stade précoce (voir la rubrique «Données précliniques»).
  • +Une étude clinique a montré l’innocuité du sévoflurane pour la mère et l’enfant lors des anesthésies pour césarienne. Il n’existe pas d’informations concernant son emploi lors des accouchements par voie basse ou pendant le travail.
  • -Bien que la reprise de la conscience survienne généralement en quelques minutes après l’administration de sévoflurane, il existe durant les 24 heures suivant une anesthésie générale, une limitation de la capacité d'exercer des activités qui exigent une concentration mentale non altérée telles que la conduite d'un véhicule ou le maniement de machines et d'appareils dangereux.
  • +Bien que la reprise de la conscience survienne en général après l’administration de sévoflurane en quelques minutes, il existe pendant 24 heures après une anesthésie générale une limitation de la capacité d'exercer des activités qui exigent une concentration mentale non altérée telles que la conduite d'un véhicule ou le maniement de machines et d'appareils dangereux.
  • -Comme tous les anesthésiques puissants par inhalation, Sevoflurane Baxter peut provoquer une dépression cardiorespiratoire dose-dépendante. Des nausées, des vomissements ainsi qu'un état de délire ont été observés pendant la période postopératoire comme pour d’autres anesthésiques par inhalation. Ce sont des conséquences connues de l’intervention chirurgicale et de l’anesthésie générale qui peuvent être rapportées possiblement à l’anesthésique d’inhalation ou aux médicaments administrés en per- et en postopératoire et qui correspondent à des réactions spécifiques des patients à l’intervention chirurgicale.
  • -Dans les essais cliniques contrôlés, les effets indésirables, rapportés à l’administration de Sévoflurane et des médicaments de comparaison, sont les suivants:
  • +Comme tous les anesthésiques puissants par inhalation, Sevoflurane Baxter peut provoquer une dépression cardiorespiratoire dose-dépendante. Des nausées et des vomissements ainsi qu'un état de délire ont été observés pendant la période postopératoire comme pour d’autres anesthésiques par inhalation. Ce sont des conséquences connues de l’intervention chirurgicale et de l’anesthésie générale qui peuvent être rapportées éventuellement à l’anesthésique d’inhalation ou aux médicaments administrés en peropératoire et en postopératoire et qui correspondent à des réactions spécifiques des patients à l’intervention chirurgicale.
  • +Dans les essais cliniques contrôlés, les effets indésirables, rapportés à l’administration de Sévoflurane et des médicaments de comparaison, mentionnés ci-dessous. Les effets indésirables sont décrits par systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont indiquées comme suit : très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1'000) et très rares (<1/10 000).
  • -Occasionnels: Fluorose; les concentrations maximales de fluor inorganique sont atteintes dans les deux heures qui suivent la fin de l’anesthésie par sévoflurane et reviennent au niveau préopératoire en l’espace de 48 heures. En clinique, cette augmentation des niveaux de fluor n’a pas été liée à une altération de la fonction rénale.
  • +Occasionnels : Fluorose ; les concentrations maximales de fluor inorganique sont atteintes dans les deux heures qui suivent la fin de l’anesthésie par sévoflurane et reviennent au niveau préopératoire en l’espace de 48 heures. En clinique, cette augmentation des niveaux de fluor n’a pas été liée à une altération de la fonction rénale.
  • -Occasionnels: Agitation (très fréquent chez l’enfant: 25%).
  • +Occasionnels : Agitation (très fréquent chez l’enfant : 25%).
  • -Très fréquent: Somnolence (10%).
  • -Fréquent : Céphalées.
  • -Occasionnel: Torpeur.
  • +Très fréquents : Somnolence (10%).
  • +Fréquents : Céphalées.
  • +Occasionnels : Torpeur.
  • -Occasionnel: Bradycardie (très fréquent chez les patients âgés: 12%), tachycardie, bloc AV du 3 degré.
  • -Rare: Troubles du rythme cardiaque chez l’enfant (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Occasionnels : Bradycardie (très fréquent chez les patients âgés : 12%), tachycardie, bloc AV du 3 degré.
  • +Rares : Troubles du rythme cardiaque chez l’enfant (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Très fréquent: Hypotension (13%, chez les sujets âgés: 27%).
  • -Occasionnel: Hypertension.
  • +Très fréquents : Hypotension (13%, chez les sujets âgés : 27%).
  • +Occasionnels : Hypertension.
  • -Très fréquent: Toux (11%, chez l’enfant: 19%).
  • -Occasionnel: Troubles respiratoires, laryngisme.
  • +Très fréquents : Toux (11%, chez l’enfant : 19%).
  • +Occasionnels : Troubles respiratoires, laryngisme.
  • -Très fréquent: Nausées (29%, chez les patients âgés: 17%, chez l’enfant 14%), vomissements (15%, chez l’enfant 27%).
  • -Occasionnel: Augmentation de la sécrétion de salive.
  • +Très fréquents : Nausées (29%, chez les patients âgés : 17%, chez l’enfant 14%), vomissements (15%, chez l’enfant 27%).
  • +Occasionnels : Augmentation de la sécrétion de salive.
  • -Fréquent : Hypothermie.
  • -Occasionnel: Fièvre, frissons.
  • +Fréquents : Hypothermie.
  • +Occasionnels : Fièvre, frissons.
  • -Fréquent: Hyperglycémie, augmentation des leucocytes.
  • -Occasionnel: Modifications des résultats des tests fonctionnels hépatiques.
  • +Fréquents : Hyperglycémie, augmentation des leucocytes.
  • +Occasionnels : Modifications des résultats des tests fonctionnels hépatiques.
  • -Fréquente: Prolongation de l’intervalle QTc.
  • -Très rares: Torsades de pointes pouvant être mortelles dans certains cas. (Voir rubrique «Mise en garde et précautions»).
  • -Des cas individuels d’arythmies ventriculaires, potentiellement mortelles, ont été rapportés chez des patients pédiatriques atteints de maladie de Pompe (voir section «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquents : Prolongation de l’intervalle QTc.
  • +Très rares : Torsades de pointes pouvant être mortelles dans certains cas. (Voir rubrique «Mise en garde et précautions»).
  • +Des cas individuels d’arythmies ventriculaires, potentiellement mortelles, ont été rapportés chez des patients pédiatriques atteints de maladie de Pompe (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -De rares cas post-marketing d’insuffisance hépatique ou d’hépatite postopératoire, de nature légère, modérée ou sévère, avec ou sans ictère, ont été rapportés lors de la surveillance post-marketing. De plus, des cas rares d’insuffisance hépatique et de nécrose hépatique ont été rapportés dans le cadre de la pharmacovigilance, en cas d’utilisation d’anesthésiques volatils forts, sévoflurane inclus.
  • +De rares cas d’insuffisance hépatique ou d’hépatite postopératoire, de nature légère, modérée ou sévère, avec ou sans ictère, ont été rapportés lors de la surveillance post-marketing. De plus, des cas rares d’insuffisance hépatique et de nécrose hépatique ont été rapportés dans le cadre de la pharmacovigilance, en cas d’utilisation d’anesthésiques volatils forts, sévoflurane inclus.
  • -Caoutchouc conducteur: 14,0. Butyl-caoutchouc: 7,7. Chlorure de polyvinyle: 17,4. Polyéthylène: 1,3.
  • +Caoutchouc conducteur : 14,0. Butyl-caoutchouc: 7,7. Chlorure de polyvinyle: 17,4. Polyéthylène: 1,3.
  • +Données d'études pédiatriques
  • +Dans plusieurs études publiées réalisées chez l'enfant, des déficits cognitifs ont été observés à un stade précoce suite à une exposition répétée ou prolongée à des anesthésiques. Ces études présentent des limites majeures, et on ne sait pas en particulier si les répercussions observées sont dues à l'utilisation d'anesthésiques/de médicaments sédatifs ou si elles sont imputables à d'autres causes comme des interventions chirurgicales ou la maladie sousjacente. En outre, des études de registre récemment publiées n'ont pas confirmé ces observations.
  • +Des expérimentations animales publiées portant sur des anesthésiques/médicaments sédatifs rendent compte d'effets indésirables sur le développement du cerveau à un stade précoce (voir la rubrique «Données précliniques»).
  • +
  • -L’effet du sévoflurane sur le déplacement des médicaments de leurs sites de fixation aux protéines sériques et tissulaires n’a pas été étudié.
  • +Il n'existe pas d'études permettant de savoir si le sévoflurane peut refouler des médicaments de leurs sites de fixation aux protéines sériques et tissulaires.
  • -Etant donné que le sévoflurane est éliminé principalement par voie pulmonaire et ne subit qu'une métabolisation faible (<5%), on peut supposer que les facteurs qui agissent sur la métabolisation telle qu'une insuffisance hépatique ou rénale (voir «Mises en garde et précautions»), n’influencent pas la cinétique du sévoflurane chez les patients.
  • +Etant donné que le sévoflurane est éliminé principalement par voie pulmonaire et ne subit qu'une métabolisation faible (<5%), on peut supposer que les facteurs qui agissent sur la métabolisation telle qu'une insuffisance hépatique ou la fonction rénale (voir «Mises en garde et précautions»), n'agissent pas chez les patients sur la cinétique du sévoflurane.
  • -Les données précliniques sur la toxicité aiguë et subchronique du sévoflurane montrent qu'il déclenche de façon dose-dépendante une dépression respiratoire et circulatoire. Le sévoflurane n'a pas développé de toxicité particulière pour un organe. Chez le singe, l'administration répétée a provoqué une légère augmentation réversible des enzymes hépatiques. Les signes d'une néphrotoxicité des produits de dégradation du sévoflurane ont été étudiés au cours d'études spécifiques réalisées sur le rat. La valeur seuil du composé A (PIFE) induisant des modifications réversibles des paramètres de la fonction rénale (urée sanguine, créatinine, glucose) est de 114 ppm. Toutes les modifications histomorphologiques ont été réversibles. Il convient de rappeler que l'absorption des substances inhalées est plus importante chez les rongeurs que chez l’homme. On s'attend chez le rongeur à des concentrations plus fortes de sévoflurane et en particulier de ses catabolites car l'activité de la bêta-lyase, enzyme clé de la toxicité rénale des alcènes halogénés chez le rongeur, est dix fois plus élevée que chez l’homme.
  • +Les données précliniques sur la toxicité aiguë et subchronique du sévoflurane montrent qu'il déclenche de façon dose-dépendante une dépression respiratoire et circulatoire. Le sévoflurane n'a pas développé de toxicité particulière pour un organe. Chez des singes, l'administration répétée a provoqué une légère augmentation réversible des enzymes hépatiques. Les signes d'une néphrotoxicité des produits de dégradation du sévoflurane ont été étudiés au cours d'études spécifiques réalisées sur des rats. La valeur seuil du composé A (PIFE) pour des modifications réversibles des paramètres de la fonction rénale (urée sanguine, créatinine, glucose) est de 114 ppm. Toutes les modifications histomorphologiques ont été réversibles. Il convient de rappeler que l'absorption des substances inhalées est plus importante chez les rongeurs que chez l’homme. On s'attend à des concentrations plus fortes de sévoflurane et en particulier de ses catabolites car l'activité de la bêta-lyase, enzyme clé de la toxicité rénale des alcènes halogénés chez le rongeur, est dix fois plus élevée que chez l’homme.
  • +Des études publiées portant sur des animaux en gestation et jeunes suggèrent qu'une durée d'utilisation prolongée (plus de 3 heures) d'anesthésiques et de médicaments sédatifs bloquant les récepteurs NMDA et/ou potentialisant l'activité du GABA pendant la période de forte croissance du cerveau ou la synaptogenèse peut entraîner une perte de cellules dans les tissus neuronaux et oligodendrocytaires du cerveau en développement, ainsi que des changements dans la morphologie synaptique et la neurogenèse. Ces études ont inclus des anesthésiques de différents groupes d'agents actifs. La signification clinique de ces observations précliniques reste à déterminer (voir la rubrique «Propriétés/Effets»). Des études portant sur des animaux juvéniles suggèrent que la neuro-apoptose est corrélée à des déficits cognitifs à long terme.
  • +
  • -Août 2014
  • +Juin 2018
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