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-Traitement de substitution lors de
-syndrome de déficit immunitaire primitif comme
-·agammaglobulinémie congénitale et hypogammaglobulinémie;
-·déficit immunitaire variable commun;
-·déficit immunitaire combiné sévère;
-·syndrome de Wiskott-Aldrich.
-Myélome ou leucémie lymphoïde chronique avec hypogammaglobulinémie secondaire sévère et infections à répétition.
-Infections récidivantes chez l'enfant atteint de SIDA congénital.
-Traitement immunomodulateur
-Purpura thrombopénique idiopathique (PTI) chez l'enfant ou chez l'adulte en cas de risque hémorragique important ou avant un acte chirurgical pour corriger le taux des plaquettes.
-Syndrome de Guillain-Barré.
-Maladie de Kawasaki.
-Hypogammaglobulinémie chez les patients après allogreffes de cellules souches hématopoïétiques (TCSH).
- +Traitement de substitution chez l'adulte, l'enfant et l'adolescent (0-18 ans) en cas de:
- +·syndromes d'immunodéficience primaire (DIP) avec production d'anticorps limitée
- +·immunodéficience secondaire (IDS) chez les patients présentant une infection grave ou récurrente, lors de traitement antimicrobien inefficace et ou d'un échec avéré d'anticorps spécifiques (PSAF)* ou d'une concentration sanguine d'IgG <4 g/l.
- +* PSAF = échec d'augmentation du taux minimal de deux fois le titre des anticorps IgG pour les vaccins antigéniques polysaccharidiques et polypeptidiques contre le pneumocoque.
- +Traitement de substitution chez l'adulte, l'enfant et l'adolescent (0-18 ans) en cas de:
- +·Thrombocytopénie immune primaire (PTI) chez les patients présentant un risque hémorragique élevé ou préalablement à tout acte chirurgical, afin de corriger le taux des plaquettes.
- +·Syndrome de Guillain-Barré
- +·Syndrome de Kawasaki (avec acide acétylsalicylique, voir sous «Posologie/Mode d’emploi»)
- +·Polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC)
- +·Neuropathie motrice multifocale (MMN)
-La posologie et les intervalles entre les perfusions dépendent de l'indication. Dans le traitement de substitution, la posologie doit être adaptée individuellement en fonction des paramètres pharmacocinétiques connus et de la réaction clinique. Les posologies suivantes sont données à titre indicatif:
- +Le traitement de substitution doit être instauré et surveillé par un médecin expérimenté dans le traitement des syndromes d'immunodéficience.
- +La posologie et les intervalles entre les perfusions dépendent de l'indication. La posologie doit être adaptée individuellement en fonction de la réaction clinique du patient. Lors de dosage en fonction du poids corporel la posologie pour les patients en sous-poids ou en surpoids doit être le cas échéant ajustée individuellement.
- +Les posologies suivantes sont données à titre indicatif:
-Le schéma posologique doit permettre d'atteindre un taux d'IgG d'au moins 4 à 6 g/l (mesure du taux d'IgG avant la perfusion suivante). Après l'instauration du traitement, 3 à 6 mois sont nécessaires pour atteindre des concentrations à l'état d'équilibre. La dose initiale recommandée se situe entre 0,4-0,8 g /kg de poids corporel, suivie de moins 0,2 g/kg de poids corporel toutes les trois semaines.
-La dose nécessaire pour maintenir un taux résiduel de 6 g/l est de l'ordre de 0,2-0,8 g/kg de poids corporel par mois. L'intervalle entre les administrations lorsque l'état d'équilibre est atteint, varie entre 2 semaines et 4 semaines. Pour déterminer la dose nécessaire ainsi que l'intervalle entre les administrations, il faut contrôler le taux plasmatique d'IgG.
-Traitement de substitution lors de myélome ou de leucémie lymphoïde chronique avec hypogammaglobulinémie secondaire sévère et infections récurrentes; traitement de substitution lors d'infections récidivantes chez l'enfant atteint par le SIDA
-La posologie recommandée s'élève à 0,2-0,4 g/kg de poids corporel, administrés toutes les 3-4 semaines.
-Purpura thrombopénique idiopathique (PTI)
-Pour le traitement d'un épisode aigu, administrer une dose initiale de 0,8–1 g/kg de poids corporel, puis si nécessaire la répéter le 3ème jour, ou administrer 0,4 g/kg de poids corporel par jour pendant 2 à 5 jours consécutifs. Si le tableau clinique l'exige, répéter éventuellement le traitement.
- +Le schéma posologique doit permettre d'atteindre un taux résiduel minimal d'IgG d'au moins 6 g/l ou un taux résiduel d'IgG dans la plage de référence normale pour l'âge de la population (mesure du taux d'IgG avant la perfusion suivante). Après l'instauration du traitement, 3 à 6 mois sont nécessaires pour atteindre des concentrations à l'état d'équilibre (concentration steady-state pour l'IgG). La dose initiale recommandée et administrée se situe entre 0,4-0,8 g/kg de poids corporel, suivie d'au moins 0,2 g/kg de poids corporel toutes les trois à 4 semaines.
- +La dose nécessaire pour maintenir un taux résiduel d'IgG de 6 g/l est de l'ordre de 0,2-0,8 g/kg de poids corporel par mois. L'intervalle entre les administrations lorsque l'état d'équilibre est atteint, varie entre 3 semaines et 4 semaines. Les concentrations résiduelles d'IgG doivent être mesurées et évaluées en fonction de l'incidence des infections. Afin de réduire le taux d'infections bactériennes, il peut être nécessaire d'augmenter la dose et de viser des taux résiduels plus élevés.
- +Déficit immunitaire secondaire (tel que défini dans le chapitre «Indications»)
- +La dose recommandée est de 0,2-0,4 g/kg toutes les 3 à 4 semaines.
- +Les concentrations résiduelles d'IgG doivent être mesurées et évaluées en fonction de l'incidence des infections. Il peut être nécessaire d'ajuster la dose pour assurer une protection optimale contre les infections: la dose doit être augmentée chez les patients présentant une infection persistante. Une réduction de la dose peut être envisagée si le patient reste indemne aux infections.
- +Thrombocytopénie immune primaire
- +Il existe deux traitements s'excluant mutuellement:
- +·0,8–1 g/kg le 1er jour; la dose peut être répétée dans les 3 jours
- +·0,4 g/kg par jour pendant 2 à 5 jours consécutifs
- +Le traitement peut être répété en cas de rechute.
-0,4 g/kg de poids corporel par jour pendant 5 jours. L'expérience clinique chez l'enfant est limitée.
-Maladie de Kawasaki
-Administrer 1,6-2 g/kg de poids corporel répartis sur plusieurs doses pendant 2-5 jours, ou 2 g/kg de poids corporel en dose unique associés à un traitement par l'acide acétylsalicylique.
-Hypogammaglobulinémie chez les patients après allogreffes de cellules souches hématopoïétiques
-La dose recommandée est de 0,2-0,4 g/kg toutes les 3 à 4 semaines. Les taux les plus bas doivent être maintenus à plus de 5 g/l.
- +0,4 g/kg de poids corporel par jour pendant 5 jours (répétition possible du dosage en cas de rechute).
- +Syndrome de Kawasaki
- +Administrer 2 g/kg de poids corporel en dose unique. Les patients doivent recevoir un traitement concomitant par l'acide acétylsalicylique.
- +Polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC)
- +Dose initiale: 2 g/kg répartie sur 2 à 5 jours consécutifs.
- +Dose d'entretien: 1 g/kg répartie sur 1 à 2 jours consécutifs toutes les 3 semaines.
- +L'effet du traitement doit être évalué après chaque cycle. Si aucun effet du traitement n'est observé après 6 mois, le traitement doit être arrêté.
- +Si le traitement est efficace, un traitement à long terme peut être envisagé, selon l'appréciation du médecin, et en fonction de la réponse du patient et de la réponse au traitement d'entretien. La posologie et les intervalles doivent le cas échéant être ajustés en fonction de l'évolution de la maladie.
- +Neuropathie motrice multifocale (MMN)
- +Dose initiale: 2 g/kg répartie sur 2 à 5 jours consécutifs.
- +Dose d'entretien: 1 g/kg toutes les 2 à 4 semaines ou 2 g/kg toutes les 4 à 8 semaines.
- +L'effet du traitement doit être évalué après chaque cycle. Si aucun effet du traitement n'est observé après 6 mois, le traitement doit être arrêté.
- +Si le traitement est efficace, un traitement à long terme peut être envisagé, selon l'appréciation du médecin, et en fonction de la réponse du patient et de la réponse au traitement d'entretien. La posologie et les intervalles doivent le cas échéant être ajustés en fonction de l'évolution de la maladie.
-Traitement de substitution dans les syndromes de déficit immunitaire primitif dose initiale: 0,4-0,8 g/kg de poids corporel puis: 0,2-0,8 g/kg toutes les 2 à 4 semaines afin d'obtenir un taux plasmatique d'IgG d'au moins 4-6 g/l
-Traitement de substitution dans les syndromes de déficit immunitaire secondaire 0,2-0,4 g/kg de poids corporel toutes les 3 à 4 semaines afin d'obtenir un taux plasmatique d'IgG d'au moins 4-6 g/l
-Enfant atteint du SIDA 0,2-0,4 g/kg de poids corporel toutes les 3 à 4 semaines afin d'obtenir un taux plasmatique d'IgG d'au moins 4-6 g/l
- +Syndromes d'immunodéficience primaire dose initiale: 0,4-0,8 g/kg dose d'entretien: 0,2-0,8 g/kg toutes les 3 à 4 semaines
- +Déficit immunitaire secondaire (tel que défini dans le chapitre «Indications») 0,2-0,4 g/kg toutes les 3 à 4 semaines
-Purpura thrombopénique idiopathique 0,8-1 g/kg de poids corporel ou 0,4 g/kg de poids corporel/jour au jour 1, avec possibilité de répéter le traitement une fois dans les 3 jours pendant 2 à 5 jours
-Syndrome Guillain-Barré 0,4 g/kg de poids corporel/jour pendant 5 jours
-Maladie de Kawasaki 1,6-2 g/kg de poids corporel ou 2 g/kg de poids corporel en plusieurs doses pendant 2 à 5 jours en association avec l'acide acétylsalicylique en dose unique en association avec l'acide acétylsalicylique
-Hypogammaglobulinémie (<4 g/l) chez les patients après allogreffes de cellules souches hématopoïétiques 0,2-0,4 g/kg de poids corporel toutes les 3 à 4 semaines afin d'obtenir un taux résiduel d'IgG de >5 g/l
- +Thrombocytopénie immune primaire 0,8-1 g/kg 1er jour, avec possibilité de répéter le traitement une fois dans les 3 jours
- + ou
- + 0,4 g/kg/jour pendant 2 à 5 jours
- +Syndrome Guillain-Barré 0,4 g/kg/jour pendant 5 jours
- +Syndrome de Kawasaki 2 g/kg en dose unique en association avec l'acide acétylsalicylique
- +Polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC) dose initiale: 2 g/kg répartie sur 2 à 5 jours consécutifs
- + dose d'entretien: 1 g/kg répartie sur 1 à 2 jours consécutifs toutes les 3 semaines
- +Neuropathie motrice multifocale (MMN) dose initiale: 2 g/kg répartie sur 2 à 5 jours consécutifs
- + dose d'entretien: 1 g/kg toutes les 2 à 4 semaines
- + ou ou
- + 2 g/kg toutes les 4 à 8 semaines pendant 2 à 5 jours
- +Enfants et adolescents
- +La posologie chez les enfants et les adolescents (0-18 ans) ne diffère pas de celle des adultes, car pour chaque indication la posologie est donnée en fonction du poids corporel et ajustée selon l'évolution clinique des affections susmentionnées.
- +Dysfonctionnement hépatique
- +Il n'y a aucune preuve nécessitant un ajustement de la dose.
- +Insuffisance rénale
- +Aucun ajustement de la dose sauf si cela est cliniquement justifié, voir sous «Mises en garde et précautions».
- +Personnes âgées
- +Aucun ajustement de la dose sauf si cela est cliniquement justifié, voir sous «Mises en garde et précautions».
-Intratect 5% doit être perfusé par voie intraveineuse à la vitesse initiale de pas plus de 1,4 ml/kg de poids corporel/heure pendant 30 minutes. Si le produit est bien toléré, la vitesse de perfusion peut être augmentée lentement jusqu'à un maximum de 1,9 ml/kg de poids corporel/heure et rester ainsi pour le reste de la perfusion.
- +Intratect 5% doit être perfusé par voie intraveineuse à la vitesse initiale de pas plus de 1,4 ml/kg de poids corporel/heure pendant 30 minutes. En cas d'effet indésirable, réduire le débit de perfusion ou interrompre la perfusion. Si le produit est bien toléré, la vitesse de perfusion peut être augmentée lentement jusqu'à un maximum de 1,9 ml/kg de poids corporel/heure.
-Intratect 10% doit être perfusé par voie intraveineuse à la vitesse initiale de pas plus de 1,4 ml/kg de poids corporel/heure pendant 30 minutes. Si le produit est bien toléré, la vitesse de perfusion peut être augmentée progressivement à intervalles de 30 minutes jusqu'à la dose maximale tolérée, soit à max. 1,9 ml/kg de poids corporel/heure et rester ainsi pour le reste de la perfusion.
-Chez les patients atteints du syndrome de déficit immunitaire primitif (DIP), qui ont bien toléré un débit de perfusion de 1.9 ml/kg de poids corporel/heure, le débit de perfusion peut être augmenté progressivement à 6 ml/kg/heure, puis, si la tolérance est toujours bonne, lentement jusqu'à la dose maximale de 8 ml/kg de poids corporel/heure.
-De manière générale, la posologie et la vitesse de perfusion doivent être adaptées individuellement aux besoins du patient (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Intratect 10% doit être perfusé par voie intraveineuse à la vitesse initiale de pas plus de 1,4 ml/kg de poids corporel/heure pendant 30 minutes. En cas d'effet indésirable, réduire le débit de perfusion ou interrompre la perfusion. Si le produit est bien toléré, la vitesse de perfusion peut être augmentée progressivement à intervalles de 30 minutes jusqu'à la dose maximale tolérée, soit à max. 1,9 ml/kg de poids corporel/heure.
- +Chez les patients atteints du syndrome de déficit immunitaire primaire (DIP), qui ont bien toléré un débit de perfusion de 1.9 ml/kg de poids corporel/heure, le débit de perfusion peut être augmenté progressivement à 6 ml/kg/heure, puis, si la tolérance est toujours bonne, lentement jusqu'à la dose maximale de 8 ml/kg de poids corporel/heure.
- +De manière générale, la posologie et la vitesse de perfusion doivent être adaptées individuellement aux besoins du patient (voir sous «Mises en garde et précautions»).
-Hypersensibilité aux immunoglobulines homologues, en particulier dans les très rares cas de déficit en IgA lorsque le patient présente des d'anticorps contre l'immunoglobuline A.
- +L'administration d'une préparation contenant de l'IgA peut entraîner une anaphylaxie, chez les patients présentant un déficit sélectif en IgA et ayant développé des anticorps anti-IgA.
-Certains effets indésirables sévères peuvent être liés à la vitesse de perfusion. Parce que les effets indésirables ont tendance à augmenter lorsque la vitesse de perfusion est plus rapide, les recommandations sous «Mode et durée de l'administration» concernant la vitesse de perfusion doivent être respectées. De plus, le patient doit être surveillé pendant toute la durée de la perfusion afin de déceler le moindre symptôme d'un effet indésirable.
- +Traçabilité
- +Pour améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement documentés.
- +Précautions d'emploi
- +Les complications éventuelles peuvent être souvent évitées en s'assurant que le patient:
- +·n'est pas sensible à l'immunoglobuline normale humaine en commençant par perfuser le produit lentement (0,023 ml/kg de poids corporel/min ou 1,4 ml/kg de poids corporel/heure).
- +·est surveillé étroitement pendant toute la durée de la perfusion, afin de déceler le moindre symptôme d'un effet indésirable. Une surveillance toute particulière des effets indésirables s'effectuera durant toute la durée de la première perfusion en milieu hospitalier, ainsi qu'une heure après la première perfusion pour les patients traités pour la première fois par des immunoglobulines humaines, pour ceux traités jusqu'alors par un autre produit à base d'immunoglobulines ou après une longue pause thérapeutique. Pour tous les autres patients, la surveillance sera maintenue au moins vingt minutes après l'administration.
- +Pour tous les patients, le traitement par immunoglobulines nécessite:
- +·une hydratation appropriée avant l'instauration de la perfusion d'immunoglobulines,
- +·la surveillance de l'élimination d'urines,
- +·la surveillance du taux de créatinine sérique,
- +·d'éviter l'utilisation simultanée de diurétiques de l'anse (voir chapitre «interactions»).
- +En cas d'effets indésirables, soit la vitesse de perfusion doit être réduite, soit elle doit être interrompue. Le traitement requis dépend de la nature et de l'ampleur de l'effet indésirable.
- +Réaction de perfusion
- +Certains effets indésirables (p.ex. céphalées, sensation de bouffées vasomotrices, frissons, douleurs musculaires, respiration sifflante, tachycardie, lombalgie, nausée, hypotension artérielle) peuvent être liés à la vitesse de perfusion. Le débit de perfusion recommandé sous «Posologie/Mode d'emploi» doit être strictement suivi. De plus, les patients doivent rester sous surveillance pendant toute la durée de la perfusion, afin de détecter les signes de symptômes d'effets indésirables.
-·la vitesse de perfusion est rapide,
-·le patient souffre d'hypogammaglobulinémie ou d'agammaglobulinémie avec ou sans déficit en IgA,
-·le patient est traité pour la première fois par des immunoglobulines humaines normales ou, dans des rares cas, lors d'un changement du produit à base d'immunoglobulines ou après une longue pause thérapeutique.
- +·des patients reçoivent de l'immunoglobuline humaine normale pour la première fois ou, dans de rares cas, changent leur préparation d'immunoglobuline normale ou après une interruption prolongée du traitement;
- +·des patients présentent une infectionn inconnue ou une maladie chronique sous-jacente,.
-Les vraies réactions d'hypersensibilité sont rares. Elles peuvent se manifester en cas de déficit en IgA avec des anticorps anti-IgA.
-Les préparations d'IgIV ne doivent pas être utilisées chez les patients présentant un déficit isolé, sélectif en IgA.
-Rarement, l'administration d'immunoglobulines peut entraîner une chute de la pression artérielle accompagnée d'une réaction anaphylactique, même si le patient n'a présenté aucune réaction d'hypersensibilité lors des précédents traitements.
-Les complications éventuelles peuvent être souvent évitées en s'assurant que:
-·les patients ne sont pas sensibles à l'immunoglobuline humaine en commençant par perfuser le produit lentement (0,023 ml/kg de poids corporel/min ou 1,4 ml/kg de poids corporel/heure).
-·le patient est surveillé étroitement pendant toute la durée de la perfusion afin de déceler le moindre symptôme d'un effet indésirable. Une surveillance toute particulière des effets indésirables s'effectuera durant toute la durée de la première perfusion ainsi qu'une heure après la première perfusion pour les patients traités pour la première fois par des immunoglobulines humaines, pour ceux traités jusqu'alors par un autre produit à base d'immunoglobulines ou après une longue pause thérapeutique. Pour tous les autres patients, la surveillance sera maintenue au moins vingt minutes après l'administration.
- +Les réactions d'hypersensibilité sont rares.
- +Une anaphylaxie peut survenir chez les patients atteints d'IgA indétectable présentant des anticorps anti-IgA qui ont été préalablement tolérés par l'immunoglobuline humaine normale.
- +Lors d'un choc, les mesures médicales standard actuelles pour le traitement du choc doivent être appliquées.
-Il existe des indices cliniques montrant un lien entre l'administration d'immunoglobulines par voie intraveineuse (IgIV) et des événements thromboemboliques tels que l'infarctus du myocarde, l'accident vasculaire cérébral, l'embolie pulmonaire et la thrombose veineuse profonde. On suppose une élévation relative de la viscosité du sang due à un apport important en immunoglobuline chez les patients à risque. La prudence est recommandée lors de la prescription et de la perfusion d'immunoglobulines chez les personnes suivantes: patients obèses et patients avec des facteurs de risque préexistants pour les événements thrombotiques tels que l'âge avancé, l'hypertension artérielle, le diabète, un antécédent de maladie vasculaire ou d'épisodes thrombotiques, chez les patients atteints de troubles thrombophiliques acquis ou héréditaires, les patients subissant des périodes d'immobilisation prolongée, les patients présentant une hypovolémie sévère, les patients présentant des maladies associées à une augmentation de la viscosité sanguine.
- +Il existe des indices cliniques montrant un lien entre l'administration d'immunoglobulines par voie intraveineuse (IgIV) et des événements thromboemboliques tels que l'infarctus du myocarde, l'accident vasculaire cérébral, l'embolie pulmonaire et la thrombose veineuse profonde. On suppose une élévation relative de la viscosité du sang due à un apport important en immunoglobuline chez les patients à risque. La prudence est recommandée lors de la prescription et de la perfusion d'immunoglobulines chez les personnes suivantes: patients obèses et patients avec des facteurs de risque préexistants pour les événements thrombotiques tels que l'âge avancé, l'hypertension artérielle, le diabète, un antécédent de maladie vasculaire ou d'épisodes thrombotiques; patients atteints de troubles thrombophiliques acquis ou héréditaires; patients subissant des périodes d'immobilisation prolongée; patients présentant une hypovolémie sévère; patients présentant des maladies associées à une augmentation de la viscosité sanguine.
-Des cas de défaillance rénale aiguë ont été observés chez des patients recevant un traitement à base d'IgIV. Dans la plupart des cas, des facteurs de risques ont été identifiés, comme par ex. insuffisance rénale préexistante, diabète sucré, hypovolémie, surcharge pondérale, comédication néphrotoxique ou âge supérieur à 65 ans.
-En cas d'atteinte de la fonction rénale, une interruption du produit à base d'immunoglobuline doit être envisagée. Bien que ces cas de troubles de la fonction rénale et de défaillances rénales aiguës aient été mis en rapport avec l'administration de nombreux produits d'IgIV admis sur le marché, la proportion de produits contenant du saccharose comme stabilisateur était disproportionnellement élevée. L'administration de produits à base d'immunoglobulines exempts de saccharose doit être prise en considération chez les patients à risque. Intratect 5%/Intratect 10% ne contient pas de saccharose.
-Chez les patients présentant un risque d'insuffisance rénale aiguë, les produits d'IgIV doivent être administrés à la vitesse de perfusion et à la dose les plus faibles possibles.
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- +Des cas de défaillance rénale aiguë ont été observés chez des patients recevant un traitement à base d'IgIV. Dans la plupart des cas, des facteurs de risques ont été identifiés, comme par ex. insuffisance rénale préexistante, diabète sucré, hypovolémie, surcharge pondérale, co-médication néphrotoxique ou âge supérieur à 65 ans.
- +Il convient de vérifier les paramètres rénaux avant et à nouveau après la perfusion d'IgG à intervalles appropriés, en particulier chez les patients présentant un risque potentiellement accru de développer une insuffisance rénale aiguë. Chez les patients présentant un risque d'insuffisance rénale aiguë, les préparations d'IgIV doivent être administrées à une dose et un débit de perfusion les plus faibles possibles.
- +En cas d'atteinte de la fonction rénale, une interruption du produit à base d'immunoglobuline doit être envisagée.
- +Bien que des cas de troubles de la fonction rénale et de défaillances rénales aiguës aient été mis en rapport avec l'administration de nombreux produits d'IgIV admis sur le marché contenant des ingrédients divers tels que saccharose, glucose et maltose glucose; ceux contenant du saccharose comme stabilisant représentaient une part disproportionnée du nombre total de produits. L'administration de produits à base d'immunoglobulines exempts de saccharose peut être prise en considération chez les patients à risques. Intratect 5%/Intratect 10% ne contient pas de saccharose.
-Des cas de syndrome de méningite aseptique (SMA) ont été décrits en rapport avec le traitement par IgIV. L'interruption du traitement par IgIV a conduit à une rémission du SMA en quelques jours sans séquelles.
- +Des cas de syndrome de méningite aseptique (SMA) ont été décrits en rapport avec le traitement par IgIV.
- +Les patients présentant ces signes et symptômes doivent subir un examen neurologique minutieux, y compris examens du liquide céphalo-rachidien (LCR), afin d'exclure d'autres causes de méningite.
- +L'interruption du traitement par IgIV a conduit à une rémission du SMA en quelques jours sans séquelles.
-Les facteurs de risque suivants sont liés à l’apparition d’une hémolyse:
- +Les facteurs de risque suivants sont liés à l'apparition d'une hémolyse:
-·présence simultanée d’une maladie de fond inflammatoire existante.
-Etant donné qu’une hémolyse a été le plus souvent rapportée chez des patients de groupe sanguin A, B, ou AB recevant simultanément des doses élevées d’IgIV pour d’autres indications que le DIP, il est recommandé de prêter une attention toute particulière dans ces situations. La littérature ne rend que rarement compte de cas d’hémolyse chez des patients DIP sous traitement de substitution.
-Il existe un risque sensiblement accru d’hémolyse cliniquement significative chez les patients de groupe sanguin A, B ou AB qui reçoivent au total ≥(1-)2 g/kg d’IgIV avec un titre d’isoagglutinine élevé. Peu de cas d’hémolyse ont été rapportés lors de l’utilisation de produits IgIV avec un titre d’isoagglutinine anti-A médian ≤1:16 (médiane mesurée à l’aide du test d’agglutination direct tout comme lors de la vérification de la validation des lots).
-Procéder à l’administration d’IgIV en plusieurs doses uniques ne semble pas permettre d’éviter une éventuelle hémolyse dans la mesure où la demi-vie des immunoglobulines est de l’ordre de 3-4 semaines.
-Les patients sous traitement par IgIV doivent être surveillés pour déceler les signes et symptômes cliniques d’une hémolyse.
-Si pendant ou après un cycle de perfusion d’IgIV, des signes et/ou symptômes d’hémolyse apparaissent, il convient d’envisager d’interrompre le traitement par IgIV (voir également «Effets indésirables»).
- +·présence simultanée d'une maladie de fond inflammatoire existante.
- +Etant donné qu'une hémolyse a été le plus souvent rapportée chez des patients de groupe sanguin A, B, ou AB recevant simultanément des doses élevées d'IgIV pour d'autres indications que le DIP, il est recommandé de prêter une attention toute particulière dans ces situations. La littérature ne rend que rarement compte de cas d'hémolyse chez des patients DIP sous traitement de substitution.
- +Il existe un risque sensiblement accru d'hémolyse cliniquement significative chez les patients de groupe sanguin A, B ou AB qui reçoivent au total ≥(1-)2 g/kg d'IgIV avec un titre d'isoagglutinine élevé. Peu de cas d'hémolyse ont été rapportés lors de l'utilisation de produits IgIV avec un titre d'isoagglutinine anti-A médian ≤1:16 (médiane mesurée à l'aide du test d'agglutination direct tout comme lors de la vérification de la validation des lots).
- +Procéder à l'administration d'IgIV en plusieurs doses uniques ne semble pas permettre d'éviter une éventuelle hémolyse dans la mesure où la demi-vie des immunoglobulines est de l'ordre de 3-4 semaines. Les patients sous traitement par IgIV doivent être surveillés pour déceler les signes et symptômes cliniques d'une hémolyse.
- +Si pendant ou après un cycle de perfusion d'IgIV, des signes et/ou symptômes d'hémolyse apparaissent, il convient d'envisager d'interrompre le traitement par IgIV (voir également «Effets indésirables»).
- +Neutropénie/leucopénie
- +Des cas de diminution transitoire du nombre de neutrophiles et/ou des épisodes de neutropénie, parfois de gravité sévère, ont été rapportés à la suite d'un traitement par IgIV. Cette symptomatologie survient généralement quelques heures ou jours après l'administration d'IgIV et revient spontanément dans les 7 à 14 jours.
- +Syndrome respiratoire aigu post-transfusionnel (TRALI)
- +Des cas d'œdème pulmonaire non cardiogénique ont été rapportés chez des patients traités par IgIV [insuffisance pulmonaire aiguë liée à la transfusion (Transfusion Related Acute Lung Injury (TRALI)]. Le TRALI se caractérise par une d'hypoxie grave, une dyspnée, une tachypnée, une cyanose, de la fièvre et de l'hypotension. Les symptômes du TRALI se manifestent généralement lors de la transfusion ou dans les 6 heures, souvent dans les 1-2 heures. Il convient, pour cette raison, de surveiller l'apparition de ces symptômes chez les patients traités par IgIV et d'interrompre immédiatement la perfusion d'IgIV en cas d'effets indésirables pulmonaires. Un TRALI est une maladie potentiellement mortelle qui nécessite un traitement immédiat en soins intensifs.
- +
-Pour tous les patients, le traitement par immunoglobulines nécessite:
-·une hydratation appropriée avant l'instauration de la perfusion d'immunoglobulines,
-·la surveillance de l'élimination d'urines,
-·la surveillance du taux de créatinine sérique,
-·d'éviter l'utilisation simultanée de diurétiques de l'anse.
-En cas de réaction d'intolérance, soit la vitesse de perfusion doit être réduite, soit la perfusion doit être interrompue. Le traitement requis dépend de la nature et de l'ampleur de l'effet indésirable.
-Lors d'un choc, les mesures médicales standard actuelles pour le traitement du choc doivent être appliquées.
- +Diurétiques de l'anse
- +Éviter l'administration concomitante de diurétiques de l'anse.
-Les immunoglobulines passent dans le lait maternel et peuvent contribuer à la protection du nouveau-né contre des agents pathogènes traversant la barrière muqueuse.
- +Les immunoglobulines passent dans le lait maternel. Aucun effet négatif n'est attendu pour l'allaitement maternel chez le nouveau-né et le nourrisson.
-L'aptitude à la conduite et à l'utilisation de machines peut être affectée par certains effets secondaires liés à l'administration d'Intratect. Les patients présentant des effets secondaires pendant le traitement doivent attendre leur disparition avant de conduire un véhicule ou d'utiliser des machines.
- +Intratect a un effet mineur sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Les patients présentant des effets secondaires pendant le traitement doivent attendre leur disparition avant de conduire un véhicule ou d'utiliser des machines.
-Informations relatives au risque infectieux: voir «Mises en garde et précautions».
- +Informations relatives au risque infectieux: voir sous «Mises en garde et précautions».
-Occasionnellement peuvent apparaître frissons, céphalées, fièvre, nausées et vomissements, réactions allergiques, baisse de la pression artérielle, arthralgies et légères dorsalgies.
-Rarement, des réactions d'hypersensibilité avec chute tensionnelle soudaine peuvent apparaître, pouvant aller jusqu'au choc anaphylactique dans des cas isolés, même si le patient n'a présenté aucune réaction lors des précédents traitements.
-Des cas de méningite aseptique réversible, des cas isolés d'anémie hémolytique réversible/hémolyse, ainsi que des rares cas de réactions cutanées passagères ont été observés lors de l'administration d'immunoglobulines humaines normales. Des réactions hémolytiques ont été constatées en particulier chez les patients présentant les groupes sanguins A, B et AB. Dans de rares cas, une anémie hémolytique nécessitant une transfusion peut se développer après un traitement par de fortes doses d'IgIV.
-Une augmentation des taux de créatinine sérique et/ou une défaillance rénale aiguë ont été observées.
-Très rarement apparaissent les complications suivantes: réactions thromboemboliques telles que infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral, embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde.
- +Les effets indésirables causés par des immunoglobulines humaines normales (ordre de fréquence décroissant) incluent (voir également sous «Mises en garde et précautions»):
- +·frissons, céphalées, vertiges, fièvre, vomissements, réactions allergiques, nausées, douleurs articulaires, hypotension artérielle et légères dorsalgies.
- +·réactions hémolytiques réversibles en particulier chez les patients présentant les groupes sanguins A, B et AB et dans de rares cas une anémie hémolytique nécessitant une transfusion.
- +·(rarement) chute tensionnelle soudaine, et dans des cas isolés choc anaphylactique, même si le patient n'a présenté aucune hypersensibilité lors des précédents traitements.
- +·(rarement) réactions cutanées transitoires (y compris lupus érythémateux cutané - fréquence inconnue)
- +·(très rarement) réactions thromboemboliques telles que infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral, embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde.
- +·cas de méningite aseptique réversible.
- +·cas augmentation des taux de créatinine sérique et/ou une défaillance rénale aiguë
- +·cas d'insuffisance pulmonaire aiguë liée à la transfusion (TRALI)
- +
-Trois études cliniques ont été réalisées avec Intratect 5%: deux études chez des patients atteints de déficit immunitaire primaire (DIP) et une étude chez des patients présentant un purpura thrombopénique idiopathique (PTI). Dans les deux études DIP, un total de 68 volontaires ont été traités par Intratect et évalués en ce qui concerne la sécurité d'emploi du médicament; le traitement a duré 6 et 12 mois. L'étude PTI a inclus 24 volontaires.
-Dans la première étude DIP menée avec 17 patients, un total de 113 perfusions d'Intratect a été administré et 9 effets indésirables supposés/EI (l'investigateur a qualifié le rapport causal de «possible» ou «probable») ont été rapportés. Dans la seconde étude DIP, 51 patients ont reçu 642 perfusions d'Intratect, 8 EI ont été rapportés; pour 2 autres effets indésirables, les investigateurs n'ont pas pu établir un rapport causal. Dans les deux études DIP, la fréquence des effets indésirables est de 2,4 réactions indésirables sur 100 perfusions d'Intratect. Dans l'étude PTI, 75 perfusions d'Intratect ont été administrées et un total de 32 EI est survenu.
- +Trois études cliniques ont été réalisées avec Intratect 5%: deux études chez des patients atteints de déficit immunitaire primaire (DIP) et une étude chez des patients présentant une thrombocytopénie immune primaire (PTI). Dans les deux études DIP, un total de 68 volontaires ont été traités par Intratect et évalués en ce qui concerne la sécurité d'emploi du médicament; le traitement a duré 6 et 12 mois. L'étude PTI a inclus 24 volontaires.
- +Dans la première étude DIP menée avec 17 patients, un total de 113 perfusions d'Intratect ont été administrées et 9 effets indésirables supposés/EI (l'investigateur a qualifié le rapport causal de «possible» ou «probable») ont été rapportés. Dans la seconde étude DIP, 51 patients ont reçu 642 perfusions d'Intratect, 8 EI ont été rapportés; pour 2 autres effets indésirables, les investigateurs n'ont pas pu établir un rapport causal. Dans les deux études DIP, la fréquence des effets indésirables est de 2,4 réactions indésirables sur 100 perfusions d'Intratect. Dans l'étude PTI, 75 perfusions d'Intratect ont été administrées et un total de 32 EI est survenu.
-Conformément à la pharmacopée européenne, le titre d’isoagglutinine anti-A de préparations d’immunoglobulines intraveineuses peut s’élever au plus à 1:64.
- +Conformément à la pharmacopée européenne, le titre d'isoagglutinine anti-A de préparations d'immunoglobulines intraveineuses peut s'élever au plus à 1:64.
-À ce jour, Intratect 5% a été analysé dans 3 études cliniques portant sur le déficit immunitaire primaire (DIP) et le purpura thrombopénique idiopathique (PTI). Dans l'étude la plus vaste, l'efficacité et la sécurité d'emploi d'Intratect ont été confirmées chez un total de 51 patients atteints de DIP. Les patients ont reçu toutes les 3-4 semaines pendant environ un an 0,1-0,8 g/kg d'Intratect (Ø 0,4 g/kg). La concentration moyenne la plus basse d'IgG était supérieure à 7 g/l. Le taux d'infections aiguës sévères d'origine bactérienne (IASB) était de 0,02 par patient par an. Intratect s'est avéré aussi efficace que d'autres IgIV dans le traitement du DIP et a été bien toléré. Les propriétés pharmacocinétiques et également la répartition des sous-classes IgG 1-4 étaient comparables à celles de l'immunoglobuline G naturelle.
- +À ce jour, Intratect 5% a été analysé dans 3 études cliniques portant sur le déficit immunitaire primaire (DIP) et la thrombocytopénie immune primaire (PTI). Dans l'étude la plus vaste, l'efficacité et la sécurité d'emploi d'Intratect ont été confirmées chez un total de 51 patients atteints de DIP. Les patients ont reçu toutes les 3-4 semaines pendant environ un an 0,1-0,8 g/kg d'Intratect (Ø 0,4 g/kg). La concentration moyenne la plus basse d'IgG était supérieure à 7 g/l. Le taux d'infections aiguës sévères d'origine bactérienne (IASB) était de 0,02 par patient par an. Intratect s'est avéré aussi efficace que d'autres IgIV dans le traitement du DIP et a été bien toléré. Les propriétés pharmacocinétiques et également la répartition des sous-classes IgG 1-4 étaient comparables à celles de l'immunoglobuline G naturelle.
-Les immunoglobulines sont des composantes normales du corps humain. La détermination de la toxicité aiguë chez l'animal n'a aucune signification, car l'administration de doses élevées conduit à une surcharge circulatoire. Des études sur les toxicités chronique et embryo-fœtale sont impossibles à mettre en oeuvre en raison de l'induction d'anticorps et de leurs interférences. Les effets du produit sur le système immunitaire du nouveau-né n'ont pas été étudiés.
- +Les immunoglobulines sont des composantes normales du corps humain. La détermination de la toxicité aiguë chez l'animal n'a aucune signification, car l'administration de doses élevées conduit à une surcharge circulatoire. Des études sur les toxicités chronique et embryo-fœtale sont impossibles à mettre en œuvre en raison de l'induction d'anticorps et de leurs interférences. Les effets du produit sur le système immunitaire du nouveau-né n'ont pas été étudiés.
-Intratect 5%/Intratect 10% ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments!
- +Intratect 5%/Intratect 10% ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments !
-Mai 2016.
- +Mai 2019.
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