16 Changements de l'information professionelle Thyrogen |
-Les effets secondaires les plus fréquemment rapportés étaient des nausées et des céphalées se produisant approximativement chez 12% et 7% des patients respectivement.
- +Les effets secondaires les plus fréquemment rapportés étaient des nausées et des céphalées se produisant approximativement chez 11% et 6% des patients respectivement.
-Les effets indésirables sont répertoriés dans le tableau suivant par système d'organes et fréquence:
-Très fréquents (≥10%), fréquents (≥1%-<10%), occasionnels (≥0,1%-<1%), rares (≥0,01%-<0,1%), très rares (<0,01%).
-Désignation selon la terminologie MedDRA (conformément à l'aide-mémoire «Commentaires sur l'information professionnelle»).
-Classe de systèmes d'organes Très fréquents (≥1/10) Fréquents (≥1/100 <1/10) Occasionnels (≥ 1/1000 <1/100) Fréquence inconnue (ne peut être estimée à partir des données disponibles)
- +Les effets indésirables sont répertoriés dans le tableau suivant par système d'organes et fréquence: très fréquents (≥10%), fréquents (≥1%-<10%), occasionnels (≥0,1%-<1%), rares (≥0,01%-<0,1%), très rares (<0,01%).
- +Classe de systèmes d'organes Très fréquents (≥1/10) Fréquents (≥1/100 <1/10) Occasionnels (≥1/1000 <1/100) Fréquence inconnue (ne peut être estimée à partir des données disponibles)
- +Infections et infestations Grippe
- +
-Troubles du système nerveux Vertiges, céphalées, paresthésie Tremblements, accident vasculaire cérébral
- +Troubles du système nerveux Vertiges, céphalées, Agueusie, dysgueusie, paresthésie Tremblements, accident vasculaire cérébral
-Troubles vasculaires Sensation de chaleur Bouffées de chaleur
- +Troubles vasculaires Bouffées de chaleur
-Troubles gastro-intestinaux Nausées Vomissements, diarrhée
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés Urticaire, exanthème Prurit, hyperhidrose
-Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os Arthralgie, myalgie
-Troubles généraux et accidents liés au site d'administration Fatigue, asthénie Affection pseudo-grippale, pyrexie, raideur, dorsalgie Gêne, douleurs, prurit, exanthème et urticaire au site d'injection intramusculaire
- +Troubles gastro-intestinaux Nausées Vomissements Diarrhée
- +Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés Urticaire, rash Prurit, hyperhidrose
- +Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os Douleurs cervicales, douleurs dorsales Arthralgie, myalgie
- +Troubles généraux et accidents liés au site d'administration Fatigue, asthénie Affection pseudo-grippale, pyrexie, frissons, sensation de chaleur Gêne, douleurs, prurit, rash et urticaire au site d'injection
-Pendant les essais cliniques, qui portaient sur 481 patients, aucun patient n'a développé d'anticorps contre la thyrotropine alpha après une seule administration du médicament ou une administration répétée limitée (27 patients). Aucune étude approfondie n'a cependant été conduite en ce qui concerne la formation d'anticorps. L'apparition d'anticorps susceptibles d'interférer avec le dosage de la TSH endogène ne peut pas être exclue.
- +Pendant les essais cliniques, qui portaient sur 481 patients, aucun patient n'a développé d'anticorps contre la thyrotropine alpha après une seule administration du médicament ou une administration répétée limitée (27 patients). Aucune étude approfondie n'a cependant été conduite en ce qui concerne la formation d'anticorps. Il n'est pas recommandé de réaliser un dosage de la TSH après l'administration de Thyrogen. L'apparition d'anticorps susceptibles d'interférer avec le dosage de la TSH endogène réalisé lors des suivis réguliers ne peut pas être exclue.
-Deux grandes études prospectives randomisées, l'étude HiLo (Mallick) et l'étude ESTIMABL (Schlumberger), ont comparé des méthodes d'ablation des reliquats de tissus thyroïdiens chez des patients atteints de cancer de la thyroïde bien différencié ayant subi une thyroïdectomie. Dans les deux études, les patients ont été répartis de manière aléatoire dans l'un des 4 groupes de traitement (Thyrogen + 30 mCi 131-I, Thyrogen + 100 mCi 131-I, arrêt de l'hormone thyroïdienne + 30 mCi 131-I, ou arrêt de l'hormone thyroïdienne + 100 mCi 131-I) et évalués environ 8 mois plus tard. L'étude HiLo a randomisé 438 patients (stades tumoraux T1-T3, Nx, N0 et N1, M0) dans 29 centres. Comme évalué par la scintigraphie et les concentrations de Tg stimulées (n = 421), le taux de réussite de l'ablation était d'environ 86% dans les quatre groupes de traitement. Tous les intervalles de confiance à 95% des différences étaient de ± 10%, démontrant notamment la non-infériorité de la faible dose d'iode radioactif par rapport à la dose la plus élevée. L'analyse des patients T3 et N1 a démontré que ces sous-groupes présentaient des taux de réussite de l'ablation aussi élevés que les patients à plus faible risque. L'étude ESTIMABL a randomisé 752 patients atteints d'un cancer de la thyroïde à faible risque (stades tumoraux pT1 <1 cm et N1 ou Nx, pT1 >1-2 cm et tout stade N, ou pT2 N0, tous les patients M0) dans 24 centres. Sur base de 684 patients évaluables, le taux de réussite global de l'ablation évalué par une échographie thyroïdienne et des concentrations de Tg stimulées était de 92%, sans différence statistiquement significative entre les quatre groupes. Compte-tenu du schéma de chacune de ces deux études, il est à noter que les données à long terme (au-delà de 9 mois) d'utilisation de la plus faible dose d'iode radioactif ne sont pas encore disponibles. En résumé, ces études suggèrent que l'association d'une faible dose d'iode radioactif à de la thyrotropine alpha constitue un traitement efficace (avec une irradiation réduite) et que Thyrogen est non inférieur à l'arrêt de l'hormone thyroïdienne pour la stimulation pré-thérapeutique associée à de l'iode radioactif en vue de l'ablation postopératoire des reliquats de tissus thyroïdiens.
- +Deux grandes études prospectives randomisées, l'étude HiLo (Mallick) et l'étude ESTIMABL (Schlumberger), ont comparé des méthodes d'ablation des reliquats de tissus thyroïdiens chez des patients atteints de cancer de la thyroïde bien différencié ayant subi une thyroïdectomie. Dans les deux études, les patients ont été répartis de manière aléatoire dans l'un des 4 groupes de traitement (Thyrogen + 30 mCi 131-I, Thyrogen + 100 mCi 131-I, arrêt de l'hormone thyroïdienne + 30 mCi 131-I, ou arrêt de l'hormone thyroïdienne + 100 mCi 131-I) et évalués environ 8 mois plus tard. L'étude HiLo a randomisé 438 patients (stades tumoraux T1-T3, Nx, N0 et N1, M0) dans 29 centres. Comme évalué par la scintigraphie et les concentrations de Tg stimulées (n = 421), le taux de réussite de l'ablation était d'environ 86% dans les quatre groupes de traitement. Tous les intervalles de confiance à 95% des différences étaient de ± 10%, démontrant notamment la non-infériorité de la faible dose d'iode radioactif par rapport à la dose la plus élevée. L'analyse des patients T3 et N1 a démontré que ces sous-groupes présentaient des taux de réussite de l'ablation aussi élevés que les patients à plus faible risque. L'étude ESTIMABL a randomisé 752 patients atteints d'un cancer de la thyroïde à faible risque (stades tumoraux pT1<1 cm et N1 ou Nx, pT1>1-2 cm et tout stade N, ou pT2 N0, tous les patients M0) dans 24 centres. Sur base de 684 patients évaluables, le taux de réussite global de l'ablation évalué par une échographie thyroïdienne et des concentrations de Tg stimulées était de 92%, sans différence statistiquement significative entre les quatre groupes. Compte-tenu du schéma de chacune de ces deux études, il est à noter que les données à long terme (audelà de 9 mois) d'utilisation de la plus faible dose d'iode radioactif ne sont pas encore disponibles. En résumé, ces études suggèrent que l'association d'une faible dose d'iode radioactif à de la thyrotropine alpha constitue un traitement efficace (avec une irradiation réduite) et que Thyrogen est non inférieur à l'arrêt de l'hormone thyroïdienne pour la stimulation pré-thérapeutique associée à de l'iode radioactif en vue de l'ablation postopératoire des reliquats de tissus thyroïdiens.
-Novembre 2013.
- +Juin 2017.
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