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Accueil - Information professionnelle sur Vinorelbin Sandoz - Changements - 05.02.2025
44 Changements de l'information professionelle Vinorelbin Sandoz
  • -Vinorelbine Sandoz capsules molles
  • +Vinorelbine Sandoz capsules molles:
  • -En cas de monothérapie par voie orale, la dose habituelle est de 60-80 mg/m² par semaine sur 6 cycles, la dose initiale étant de 60 mg/m² par semaine. Après la troisième prise, il est recommandé d'augmenter la dose à 80 mg/m² par semaine en tenant compte du nombre de neutrophiles (voir aussi «Instructions spéciales pour le dosage»).
  • -Cancer bronchique non à petites cellules – Vinorelbine Sandoz (i.v. ou voie orale) en association avec la cisplatine
  • +En cas de monothérapie par voie orale, la dose habituelle est de 6080 mg/m² par semaine sur 6 cycles, la dose initiale étant de 60 mg/m² par semaine. Après la troisième prise, il est recommandé d'augmenter la dose à 80 mg/m² par semaine en tenant compte du nombre de neutrophiles (voir aussi «Instructions spéciales pour le dosage»).
  • +Cancer bronchique non à petites cellules – Vinorelbine Sandoz (i.v. et voie orale) en association avec la cisplatine
  • -En monothérapie orale, la dose habituelle est de 60-80 mg/m² par semaine, généralement pendant 6 cycles, sachant que l'on commence avec 60 mg/m² par semaine. Après la troisième prise, il est recommandé d'augmenter la dose à 80 mg/m² par semaine en tenant compte du nombre de neutrophiles (voir aussi «Instructions spéciales pour le dosage»).
  • -Cancer du sein – Vinorelbine Sandoz (i.v. ou voie orale) en association à la capécitabine
  • -Lors de la première utilisation, vinorelbine doit être administrée par voie i.v., puis il est possible de passer à vinorelbine orale 60−80 mg/m²/semaine. Sur la base des données bibliographiques, la fréquence de prise de Vinorelbine Sandoz peut être adaptée, p.ex. les jours 1 et 8 toutes les trois semaines, en fonction des protocoles de traitement qui se sont avérés efficaces pendant le traitement de la maladie (voir aussi «Propriétés/Effets»).
  • +En monothérapie orale, la dose habituelle est de 6080 mg/m² par semaine, généralement pendant 6 cycles, sachant que l'on commence avec 60 mg/m² par semaine. Après la troisième prise, il est recommandé d'augmenter la dose à 80 mg/m² par semaine en tenant compte du nombre de neutrophiles (voir aussi «Instructions spéciales pour le dosage»).
  • +Cancer du sein – Vinorelbine Sandoz (i.v. et voie orale) en association à la capécitabine
  • +Lors de la première utilisation, vinorelbine doit être administrée par voie i.v., puis il est possible de passer aux capsules molles à 60−80 mg/m²/semaine. Sur la base des données bibliographiques, la fréquence de prise de Vinorelbine Sandoz peut être adaptée, p.ex. les jours 1 et 8 toutes les trois semaines, en fonction des protocoles de traitement qui se sont avérés efficaces pendant le traitement de la maladie (voir aussi «Propriétés/Effets»).
  • -Hématologie: la conduite du traitement doit être effectuée sous contrôle hématologique rigoureux du patient avant chaque administration. En cas de granulocytopénie (neutrophiles <1500/mm3) et/ou de thrombopénie (plaquettes <100'000/mm3), il faut retarder l'administration jusqu'à normalisation de ces paramètres et surveiller le patient.
  • +Hématologie: la conduite du traitement doit être effectuée sous contrôle hématologique rigoureux du patient avant chaque administration. En cas de granulopénie (neutrophiles <1500/mm3) et/ou de thrombopénie (plaquettes <100'000/mm3), il faut retarder l'administration jusqu'à normalisation de ces paramètres et surveiller le patient.
  • -Chez des patients avec un taux de bilirubine >2 fois la valeur normale et de transaminases >5 fois la valeur normale, il est conseillé de réduire la dose de vinorelbine d'1/3 (voir «Pharmacocinétique»). Il est tout particulièrement nécessaire, lors de prise d'inhibiteurs du CYP3A4, de doser avec précaution.
  • +Chez des patients avec un taux de bilirubine >2 fois la valeur normale et de transaminases >5 fois la valeur normale, il est conseillé de réduire la dose d'1/3 (voir «Pharmacocinétique»). Il est tout particulièrement nécessaire, lors de prise d'inhibiteurs du CYP3A4, de doser avec précaution.
  • -Vinorelbine Sandoz solution pour injection/perfusion intraveineuse est administrée par voie intraveineuse après dilution en bolus lent ou en perfusion de courte durée (voir aussi «Remarques particulières/remarques concernant la manipulation»).
  • +Vinorelbine Sandoz solution pour injection/perfusion intraveineuse est administré par voie intraveineuse après dilution en bolus lent ou en perfusion de courte durée (voir aussi «Remarques particulières/remarques concernant la manipulation»).
  • -Vinorelbine ne doit pas être administrée dans le cadre d'une radiochimiothérapie si le champ de radiothérapie inclut le foie.
  • +Vinorelbine ne doit pas être administré dans le cadre d'une radiochimiothérapie si le champ de radiothérapie inclut le foie.
  • -Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique due à des métastases, la pharmacocinétique de Vinorelbine est modifiée. Pour les adaptations posologiques chez ces groupes de patients spéciaux, voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
  • +Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique due à des métastases, la pharmacocinétique de vinorelbine est modifiée. Pour les adaptations posologiques chez ces groupes de patients spéciaux, voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
  • -Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode contraceptive efficace pendant le traitement. Si une patiente tombe enceinte pendant le traitement, elle doit être informée des risques pour l'enfant à naître et doit être étroitement suivie.
  • +En raison du potentiel génotoxique de la vinorelbine (voir «Données précliniques»), les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode contraceptive efficace avant le début du traitement, pendant et pendant les 7 mois suivant le traitement. Si une patiente tombe enceinte pendant le traitement, elle doit être informée des risques pour l'enfant à naître et doit être étroitement suivie.
  • +Les hommes doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par la vinorelbine et pendant les 4 mois qui suivent le traitement.
  • +
  • -Il est conseillé aux hommes traités par Vinorelbine Sandoz de ne pas procréer pendant le traitement et jusqu'à 3 mois au moins après la fin du traitement. Avant tout traitement, il est conseillé d'envisager de conserver le sperme à cause du risque d'infertilité irréversible suite au traitement par la vinorelbine.
  • +Il est conseillé aux hommes traités par Vinorelbine Sandoz de ne pas procréer pendant le traitement et dans les 4 mois qui suivent après la fin du traitement. Avant tout traitement, il est conseillé d'envisager de conserver le sperme à cause du risque d'infertilité irréversible suite au traitement par la vinorelbine.
  • -Vinorelbine Sandoz par voie IV
  • +Vinorelbine Sandoz par voie i.v.
  • -Infections et infestations Très fréquents: infections bactériennes, virales ou fongiques localisées à différents sites, p.ex. infections bronchopulmonaires, gastro-intestinales, urologiques et opportunistes (12,4%) Occasionnels: sepsis sévère accompagné de défaillances d'organes et de septicémie Très rares: septicémie compliquée pouvant avoir une issue fatale Fréquence inconnue: sepsis neutropénique, infections neutropéniques (degré 3-4). Très fréquents: infections bactériennes, virales ou fongiques sans neutropénie localisées à différents sites, p.ex. infections bronchopulmonaires, gastro-intestinales, urologiques et opportunistes (12,7%; degré 3-4: 4,4%) Fréquents: infections bactériennes, virales ou fongiques. Infections neutropéniques (degré 3-4: 3,5%) Fréquence inconnue: sepsis neutropénique, sepsis sévère accompagné de défaillances d'organes et de septicémie, septicémie compliquée pouvant avoir une issue fatale
  • -Affections hématologiques et du système lymphatique Très fréquents: dépression médullaire entraînant principalement une neutropénie (77%; degré 3: 24,3%; degré 4: 27,8%), anémie (68,6%; degré 3-4: 7,4%). Fréquents: thrombocytopénie (degré 3-4: 2,5%). Fréquence inconnue: neutropénie fébrile, pancytopénie, leucopénie. Très fréquents: dépression médullaire associée à une neutropénie (71,5%; degré 3: 21,8%; degré 4: 25,9%), anémie (74,3%; degré 3-4: 4,8%), thrombocytopénie (degré 1-2: 10,8%), leucopénie (70,6%; degré 3: 24,7%; degré 4: 6%) Fréquents: neutropénie fébrile (degré 4: 2,8%). Fréquence inconnue: aplasie médullaire, pancytopénie, thrombocytopénie (degré 3-4)
  • +Infections et infestations Très fréquents: infections bactériennes, virales ou fongiques localisées à différents sites, p.ex. infections bronchopulmonaires, gastro-intestinales, urologiques et opportunistes (12,4%) Occasionnels: sepsis sévère accompagné de défaillances d'organes et de septicémie Très rares: septicémie compliquée pouvant avoir une issue fatale Fréquence inconnue: sepsis neutropénique, infections neutropéniques (degré 34). Très fréquents: infections bactériennes, virales ou fongiques sans neutropénie localisées à différents sites, p.ex. infections bronchopulmonaires, gastro-intestinales, urologiques et opportunistes (12,7%; degré 34: 4,4%) Fréquents: infections bactériennes, virales ou fongiques. Infections neutropéniques (degré 34: 3,5%) Fréquence inconnue: sepsis neutropénique, sepsis sévère accompagné de défaillances d'organes et de septicémie, septicémie compliquée pouvant avoir une issue fatale
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique Très fréquents: dépression médullaire entraînant principalement une neutropénie (77%; degré 3: 24,3%; degré 4: 27,8%), anémie (68,6%; degré 34: 7,4%). Fréquents: thrombocytopénie (degré 34: 2,5%). Fréquence inconnue: neutropénie fébrile, pancytopénie, leucopénie. Très fréquents: dépression médullaire associée à une neutropénie (71,5%; degré 3: 21,8%; degré 4: 25,9%), anémie (74,3%; degré 34: 4,8%), thrombocytopénie (degré 12: 10,8%), leucopénie (70,6%; degré 3: 24,7%; degré 4: 6%) Fréquents: neutropénie fébrile (degré 4: 2,8%). Fréquence inconnue: aplasie médullaire, pancytopénie, thrombocytopénie (degré 34)
  • -Affections psychiatriques Fréquents: insomnies (degré 1-2: 2,8%)
  • -Affections du système nerveux Très fréquents: neuropathies périphériques (23,4%; degré 3-4: 2,7%) Occasionnels: paresthésies sévères avec symptômes sensoriels et moteurs. Fréquence inconnue: céphalées, vertige, ataxie Très fréquents: troubles neurosensoriels (degré 1-2: 11,1% Fréquents: troubles neuromoteurs (degré 1-4: 9,2%; degré 3-4: 1,3%), céphalées (degré 1-4: 4,1%; degré 3-4: 0,6%), vertiges (degré 1-4: 6%; degré 3-4: 0,6%), troubles gustatifs (degré 1-2: 3,8%) Occasionnels: ataxie
  • -Affections oculaires Fréquents: troubles visuels (degré 1-2: 1,3%)
  • +Affections psychiatriques Fréquents: insomnies (degré 12: 2,8%)
  • +Affections du système nerveux Très fréquents: neuropathies périphériques (23,4%; degré 34: 2,7%) Occasionnels: paresthésies sévères avec symptômes sensoriels et moteurs. Fréquence inconnue: céphalées, vertige, ataxie, syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible Très fréquents: troubles neurosensoriels (degré 12: 11,1% Fréquents: troubles neuromoteurs (degré 14: 9,2%; degré 34: 1,3%), céphalées (degré 14: 4,1%; degré 34: 0,6%), vertiges (degré 14: 6%; degré 34: 0,6%), troubles gustatifs (degré 12: 3,8%) Occasionnels: ataxie Fréquence inconnue: syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible
  • +Affections oculaires Fréquents: troubles visuels (degré 12: 1,3%)
  • -Affections vasculaires Occasionnels: hypotension, hypertension, flush et sensation de froid dans les extrémités Rares: forte hypotension, collapsus Fréquents: hypertension (degré 1-4: 2,5%; degré 3-4: 0,3%); hypotension (degré 1-4: 2,2 %; degré 3-4: 0,6 %)
  • -Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Occasionnels: détresse respiratoire et bronchospasme (monothérapie et traitement associé) Rares: pneumonies interstitielles, parfois mortelles Fréquence inconnue: toux (degré 1-2), syndrome de détresse respiratoire aigu (SDRA, pneumopathie), parfois mortel* Fréquents: dyspnée (degré 1-4: 2,8%; degré 3-4: 0,3%), toux (degré 1-2: 2,8%)
  • -Affections gastro-intestinales Très fréquents: stomatite (degré 1-4: 15% en monothérapie), nausées et vomissements (30,4%; degré 3-4: 2,2%), constipation (24,5%; degré 3-4: 2,7%) Fréquents: diarrhée Occasionnels: diarrhée sévère, douleurs abdominales, hémorragies gastro-intestinales Rares: pancréatite, iléus paralytique Très fréquents: nausées (degré 1-4: 74,7%; degré 3-4: 7,3%), vomissements (degré 1-4: 54,7%; degré 3-4: 6,3%), diarrhée (degré 1-4: 49,7%; degré 3-4: 5,7%), anorexie (degré 1-4: 38,6%; degré 3-4: 4,1%), constipation (degré 1-4: 19%; degré 3-4: 0,9%), stomatite (degré 1-4: 10,4%; degré 3-4: 0,9%), douleurs abdominales (degré 1-4: 14,2%). Fréquents: œsophagite (degré 1-3: 3,8%; degré 3: 0,3%), dysphagie (degré 1-2: 2,3%) Occasionnels: iléus paralytique (degré 3-4: 0,9%) Fréquence inconnue: hémorragies gastro-intestinales
  • -Affections hépatobiliaires Très fréquents: élévation de la SGOT (27,6%) et de la SGPT (29,3%) Fréquence inconnue: troubles de la fonction hépatique Fréquents: troubles de la fonction hépatique (degré 1-2: 1,3%) Rares: élévation des paramètres hépatiques
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané Très fréquents: alopécie (25,1%; degré 3-4: 4,1%). Rares: réactions cutanées Fréquence inconnue: syndrome d'érythrodysesthésie palmoplantaire Très fréquents: alopécie (degré 1-2: 29,4%) Rares: réactions cutanées généralisées (degré 1-2: 5,7%)
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif Fréquents: arthralgies incluant douleurs de la mâchoire, myalgie, douleurs thoraciques Fréquents: arthralgies incluant douleurs de la mâchoire, myalgie (degré 1-4: 7%; degré 3-4: 0,3%)
  • -Affections du rein et des voies urinaires Fréquents: dysurie (degré 1-2: 1,6%), autres troubles uro-génitaux (degré 1-2: 1,9%)
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration Très fréquents: brûlures au point d'injection, décoloration veineuse et phlébite locale (degré 3-4: 3,7%) Fréquents: asthénie, fatigue, fièvre, douleurs à divers endroits, y compris douleurs thoraciques et douleurs tumorales Rares: nécrose locale Fréquence inconnue: frissons (degré 1-2) Très fréquents: fatigue/malaise (degré 1-4: 36,7%; degré 3-4: 8,5%), fièvre (degré 1-4: 13%; degré 3-4: 12,1%) Fréquents: douleurs, y compris douleurs tumorales (degré 1-4: 3,8%); degré 3-4: 0,6%). Frissons (degré 1-2: 3,8%)
  • -Investigations Fréquence inconnue: perte de poids Très fréquents: perte de poids (degré 1-4: 25%; degré 3-4: 0,3%) Fréquents: prise de poids (degré 1-2: 1,3%)
  • +Affections vasculaires Occasionnels: hypotension, hypertension, flush et sensation de froid dans les extrémités Rares: forte hypotension, collapsus Fréquents: hypertension (degré 14: 2,5%; degré 34: 0,3%); hypotension (degré 14: 2,2 %; degré 34: 0,6 %)
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Occasionnels: détresse respiratoire et bronchospasme (monothérapie et traitement associé) Rares: pneumonies interstitielles, parfois mortelles Fréquence inconnue: toux (degré 12), syndrome de détresse respiratoire aigu (SDRA, pneumopathie), parfois mortel*, embolie pulmonaire Fréquents: dyspnée (degré 14: 2,8%; degré 34: 0,3%), toux (degré 12: 2,8%) Fréquence inconnue: embolie pulmonaire
  • +Affections gastro-intestinales Très fréquents: stomatite (degré 14: 15% en monothérapie), nausées et vomissements (30,4%; degré 34: 2,2%), constipation (24,5%; degré 34: 2,7%) Fréquents: diarrhée Occasionnels: diarrhée sévère, douleurs abdominales, hémorragies gastro-intestinales Rares: pancréatite, iléus paralytique Très fréquents: nausées (degré 14: 74,7%; degré 34: 7,3%), vomissements (degré 14: 54,7%; degré 34: 6,3%), diarrhée (degré 14: 49,7%; degré 34: 5,7%), anorexie (degré 14: 38,6%; degré 34: 4,1%), constipation (degré 14: 19%; degré 34: 0,9%), stomatite (degré 14: 10,4%; degré 34: 0,9%), douleurs abdominales (degré 14: 14,2%). Fréquents: œsophagite (degré 13: 3,8%; degré 3: 0,3%), dysphagie (degré 12: 2,3%) Occasionnels: iléus paralytique (degré 34: 0,9%) Fréquence inconnue: hémorragies gastro-intestinales
  • +Affections hépatobiliaires Très fréquents: élévation de la SGOT (27,6%) et de la SGPT (29,3%) Fréquence inconnue: troubles de la fonction hépatique Fréquents: troubles de la fonction hépatique (degré 12: 1,3%) Rares: élévation des paramètres hépatiques
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Très fréquents: alopécie (25,1%; degré 34: 4,1%). Rares: réactions cutanées Fréquence inconnue: syndrome d'érythrodysesthésie palmoplantaire, hyperpigmentation cutanée (hyperpigmentation supraveineuse serpigineuse) Très fréquents: alopécie (degré 12: 29,4%) Rares: réactions cutanées généralisées (degré 12: 5,7%)
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Fréquents: arthralgies incluant douleurs de la mâchoire, myalgie, douleurs thoraciques Fréquents: arthralgies incluant douleurs de la mâchoire, myalgie (degré 14: 7%; degré 34: 0,3%)
  • +Affections du rein et des voies urinaires Fréquents: dysurie (degré 12: 1,6%), autres troubles uro-génitaux (degré 12: 1,9%)
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Très fréquents: brûlures au point d'injection, décoloration veineuse et phlébite locale (degré 34: 3,7%) Fréquents: asthénie, fatigue, fièvre, douleurs à divers endroits, y compris douleurs thoraciques et douleurs tumorales Rares: nécrose locale Fréquence inconnue: frissons (degré 12) Très fréquents: fatigue/malaise (degré 14: 36,7%; degré 34: 8,5%), fièvre (degré 14: 13%; degré 34: 12,1%) Fréquents: douleurs, y compris douleurs tumorales (degré 14: 3,8%); degré 34: 0,6%). Frissons (degré 12: 3,8%)
  • +Investigations Fréquence inconnue: perte de poids Très fréquents: perte de poids (degré 14: 25%; degré 34: 0,3%) Fréquents: prise de poids (degré 12: 1,3%)
  • -La posologie recommandée avec la forme orale a été étudiée au cours d'une étude clinique multicentrique, randomisée et contrôlée dans le dosage revendiqué. 115 patients sans chimiothérapie préalable, présentant un carcinome bronchique non à petites cellules (NSCLC) à progression locale ou métastatique, ont été inclus. 77 patients ont reçu la vinorelbine orale à la dose de 60 mg/m2 par semaine pendant les 3 premières administrations, puis 80 mg/m2 par semaine. 38 patients ont été traités avec la vinorelbine i.v. à la dose de 30 mg/m² par semaine. Sur la base d'une validation indépendante, le taux de réponse dans le premier groupe était de 12% (intervalle de confiance (IC) à 95%: 5–19%), la durée médiane de la réponse et la survie médiane de 3,3 resp. 9,4 mois. Le taux de réponse pour les patients qui ont reçu la vinorelbine i.v., était de 11% (IC à 95%: 1–20%), la durée médiane de la réponse et la survie médiane de 2,1 resp. 7,9 mois.
  • -Dans une étude non comparative, en traitement de première ligne, l'association la vinorelbine et cisplatine chez 56 patients, qui ont reçu d'abord la vinorelbine i.v. 25 mg/m² et 100 mg/m² de cisplatine au J 1, puis la vinorelbine orale 60 mg/m² aux J 8, J 15 et J 22, a été étudiée. Ce cycle a été répété toutes les 4 semaines. Sur la base d'une validation indépendante, le taux de réponse était de 30,4% (IC à 95%: 18–42%), la durée médiane de la réponse de 5,5 mois et la survie médiane de 8,9 mois.
  • +La posologie recommandée avec la forme orale a été étudiée au cours d'une étude clinique multicentrique, randomisée et contrôlée dans le dosage revendiqué. 115 patients sans chimiothérapie préalable, présentant un carcinome bronchique non à petites cellules (NSCLC) à progression locale ou métastatique, ont été inclus. 77 patients ont reçu la vinorelbine orale à la dose de 60 mg/m2 par semaine pendant les 3 premières administrations, puis 80 mg/m2 par semaine. 38 patients ont été traités avec la vinorelbine i.v. à la dose de 30 mg/m² par semaine. Sur la base d'une validation indépendante, le taux de réponse dans le premier groupe était de 12% (intervalle de confiance (IC) de 95%: 5–19%), la durée médiane de la réponse et la survie médiane de 3,3 resp. 9,4 mois. Le taux de réponse pour les patients qui ont reçu la vinorelbine i.v., était de 11% (IC à 95%: 1–20%), la durée médiane de la réponse et la survie médiane de 2,1 resp. 7,9 mois.
  • +Dans une étude non comparative, en traitement de première ligne, l'association vinorelbine et cisplatine chez 56 patients, qui ont reçu d'abord la vinorelbine i.v. 25 mg/m² et 100 mg/m² de cisplatine au J 1, puis la vinorelbine orale 60 mg/m² aux J 8, J 15 et J 22, a été étudiée. Ce cycle a été répété toutes les 4 semaines. Sur la base d'une validation indépendante, le taux de réponse était de 30,4% (IC à 95%: 18–42%), la durée médiane de la réponse de 5,5 mois et la survie médiane de 8,9 mois.
  • -Pour le traitement associé par la capécitabine, six études de phase II ont été réalisées. Au total, 553 patientes ont été incluses dans ces études. 92 patientes ont reçu 60 mg/m² de vinorelbine orale à J 1, J 8 et J 15 toutes les trois semaines. 115 patientes ont reçu 60 mg/m² de vinorelbine orale à J 1 et J 8 toutes les trois semaines. 148 patientes ont reçu 80 mg/m² de vinorelbine orale à J 1 et J 8 toutes les trois semaines, après un premier cycle de 60 mg/m² de vinorelbine orale à J 1 et J 8 tous les cycles suivants. Toutes les patientes ont reçu 1000 mg/m² deux fois par jour de capécitabine aux J 1 à J14, avec à chaque fois une durée de cycle de trois semaines.
  • -Des taux de réponse compris entre 20% et 56,5% (ITT) et 23,5% et 56,5% (PPT) ont été trouvés. La survie médiane sans progression était de 3,4; 7,2; 7,6; 8,4; 8,4 et 10,5 mois, la survie totale médiane de 11,3; 17,5; 22,2; 25,8 et 29,2 et 30,2 mois.
  • +Pour le traitement associé par la capécitabine, six études de phase II ont été réalisées. Au total, 553 patientes ont été incluses dans ces études. 92 patientes ont reçu 60 mg/m² de vinorelbine par voie orale aux J 1, J 8 et J 15 toutes les trois semaines. 115 patientes ont reçu 60 mg/m² de vinorelbine par voie orale aux J 1 et J 8 toutes les trois semaines. 148 patientes ont reçu 80 mg/m² de vinorelbine par voie orale aux J 1 et J 8 toutes les trois semaines, après un premier cycle de 60 mg/m² de vinorelbine par voie orale aux J 1 et J 8. Toutes les patientes ont reçu 1000 mg/m² deux fois par jour de capécitabine aux J 1 à J 14, avec à chaque fois une durée de cycle de trois semaines.
  • +Des taux de réponse compris entre 20% et 56,5% (ITT) et 23,5% et 56,5% (PPT) ont été trouvés. La survie médiane sans progression était de 3,4; 7,2; 7,6; 8,4; 8,4 et 10,5 mois, la survie totale médiane de 11,3; 17,5; 22,2; 25,8; 29,2 et 30,2 mois.
  • -Des doses de vinorelbine orale de 60 et 80 mg/m2 de surface corporelle (SC) entraînent des taux sanguins comparables tels que ceux obtenus par la forme pharmaceutique intraveineuse de 25 et 30 mg/m2 SC. Ce coefficient de conversion permet de déduire les recommandations de dosage par voie orale. Par ailleurs, afin d'améliorer l'acceptation des patients, des schémas combinés avec des administrations alternées de Vinorelbine Sandoz par voie intraveineuse et par voie orale se basant sur cette conversion sont envisageables.
  • +Des doses orales de vinorelbine de 60 et 80 mg/m2 de surface corporelle (SC) entraînent des taux sanguins comparables tels que ceux obtenus par la forme pharmaceutique intraveineuse de 25 et 30 mg/m2 SC. Ce coefficient de conversion permet de déduire les recommandations de dosage par voie orale. Par ailleurs, afin d'améliorer l'acceptation des patients, des schémas combinés avec des administrations alternées de Vinorelbine Sandoz par voie intraveineuse et par voie orale se basant sur cette conversion sont envisageables.
  • -La toxicité après administration orale répétée de vinorelbine chez le rat a été marquée par la survenue d'anémies, de neutropénies et de lymphopénies. Les conséquences ont été des hémorragies et des infections. Des élévations des enzymes hépatiques se sont révélées être en corrélation avec les nécroses hépatocellulaires et les infections. Des lésions gastro-intestinales ont également été observées certaines anomalies morphologiques ayant été irréversibles. Le NOEL était de 7,5 mg/kg dans l'étude subaiguë en administration orale et de 3 mg/kg dans l'étude subchronique chez le rat. Des symptômes comparables ont également été observés chez le chien, avec un NOEL de 0,25 mg/kg.
  • +La toxicité après administration orale répétée de vinorelbine chez le rat a été marquée par la survenue d'anémies, de neutropénies et de lymphopénies. Les conséquences ont été des hémorragies et des infections. Des élévations des enzymes hépatiques se sont révélées être en corrélation avec les nécroses hépatocellulaires et les infections. Des lésions gastro-intestinales ont également été observées, certaines anomalies morphologiques ayant été irréversibles. Le NOEL était de 7,5 mg/kg dans l'étude subaiguë en administration orale et de 3 mg/kg dans l'étude subchronique chez le rat. Des symptômes comparables ont également été observés chez le chien, avec un NOEL de 0,25 mg/kg.
  • -Conserver dans l'emballage original, au réfrigérateur (+2°C à +8°C), à l'abri de la lumière et hors de la portée des enfants.
  • +Conserver dans l'emballage original, au réfrigérateur (+2°C à +8°C) et hors de la portée des enfants.
  • -57719 (i.v.), 67330 (capsules molles) (Swissmedic)
  • +57719 (i.v.) 67330 (capsules molles) (Swissmedic).
  • -Vinorelbine Sandoz 10 mg/1 ml: 1 et 10 flacons-perforables [A].
  • -Vinorelbine Sandoz 50 mg/5 ml: 1 et 10 flacons-perforables [A].
  • -Vinorelbine Sandoz 20 mg, 1 capsule molle [A].
  • -Vinorelbine Sandoz 30 mg, 1 capsule molle [A].
  • -Vinorelbine Sandoz 80 mg, 1 capsule molle [A].
  • +Vinorelbine Sandoz 10 mg/1 ml: 1 et 10 flacons-perforables. [A]
  • +Vinorelbine Sandoz 50 mg/5 ml: 1 et 10 flacons-perforables. [A]
  • +Vinorelbine Sandoz 20 mg, 1 capsule molle. [A]
  • +Vinorelbine Sandoz 30 mg, 1 capsule molle. [A]
  • +Vinorelbine Sandoz 80 mg, 1 capsule molle. [A]
  • -Février 2021.
  • +Janvier 2024
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