48 Changements de l'information professionelle Vinorelbin Sandoz |
-Vinorelbine Sandoz, solution pour injection/perfusion intraveineuse
- +Vinorelbine Sandoz, solution pour injection/perfusion intraveineuse:
-Vinorelbine Sandoz solution pour injection/perfusion intraveineuse est administrée par voie intraveineuse après dilution en bolus lent ou en perfusion de courte durée (voir aussi «Remarques particulières/remarques concernant la manipulation»).
-Vinorelbine Sandoz capsules molles doit être avalé avec de l'eau, sans mâcher ni sucer les capsules molles. Il est recommandé de prendre une collation juste avant ou après la prise de Vinorelbine Sandoz capsules molles (voir aussi «Remarques particulières/Instructions pour la manipulation»).
- +Posologie usuelle
- +Traitement associé
- +Traitements associés avec Vinorelbine Sandoz par voie orale:
- +En cas d'association avec d'autres médicaments antitumoraux, le dosage exact doit être déduit des protocoles de traitement qui se sont avérés efficaces pendant le traitement de la maladie. Sur la base des données bibliographiques, Vinorelbine Sandoz par voie orale en traitement combiné peut être utilisé avec le schéma thérapeutique suivant: 60 mg/m2 aux jours 1 et 8 pendant le premier cycle de trois semaines, puis augmentation à 80 mg/m2 aux jours 1 et 8 pendant les cycles suivants de trois semaines, dans la mesure où les paramètres hématologiques permettent cette augmentation de la posologie (voir aussi «Vinorelbine Sandoz par voie orale en monothérapie»).
-·Pour les trois premières utilisations, la dose est de 60 mg/m2 une fois par semaine. Après la troisième prise, il est recommandé d'augmenter la dose à 80 mg/m² une fois par semaine. Sont exclus les patients dont le nombre de neutrophiles pendant les trois premières prises à 60 mg/m² par semaine descend à moins de 500/mm3 ou plus d'une fois à des valeurs comprises entre 500 et 1'000/mm3; chez ces patients, la dose ne doit pas être augmentée à 80 mg/m2.
- +·Pour les trois premières utilisations, la dose est de 60 mg/m2 une fois par semaine. Après la troisième prise, il est recommandé d'augmenter la dose à 80 mg/m² une fois par semaine. Sont exclus les patients dont le nombre de neutrophiles pendant les trois premières prises à 60 mg/m² par semaine descend à moins de 500/mm3 ou plus d'une fois à des valeurs comprises entre 500 et 1000/mm3; chez ces patients, la dose ne doit pas être augmentée à 80 mg/m2.
-Traitements associés avec Vinorelbine Sandoz par voie orale:
-En cas d'association avec d'autres médicaments antitumoraux, le dosage exact doit être déduit des protocoles de traitement qui se sont avérés efficaces pendant le traitement de la maladie. Sur la base des données bibliographiques, Vinorelbine Sandoz par voie orale en traitement combiné peut être utilisé avec le schéma thérapeutique suivant: 60 mg/m2 aux jours 1 et 8 pendant le premier cycle de trois semaines, puis augmentation à 80 mg/m2 aux jours 1 et 8 pendant les cycles suivants de trois semaines, dans la mesure où les paramètres hématologiques permettent cette augmentation de la posologie (voir aussi «Vinorelbine Sandoz par voie orale en monothérapie»).
-Insuffisance hépatique due à des métastases:
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +Des troubles de la fonction hépatique due à des métastases:
-Insuffisance rénale:
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
-Gériatrie: la prudence est de mise lors du traitement des patients âgés.
-Pédiatrie: étant donné qu'il n'existe aucune expérience concernant l'efficacité et la sécurité chez les enfants et les adolescents, une utilisation n'est pas recommandée.
- +Patients âgés
- +La prudence est de mise lors du traitement des patients âgés.
- +Enfants et adolescents
- +Étant donné qu'il n'existe aucune expérience concernant l'efficacité et la sécurité chez les enfants et les adolescents, une utilisation n'est pas recommandée.
- +Mode d'administration
- +Vinorelbine Sandoz solution pour injection/perfusion intraveineuse est administrée par voie intraveineuse après dilution en bolus lent ou en perfusion de courte durée (voir aussi «Remarques particulières/remarques concernant la manipulation»).
- +Vinorelbine Sandoz capsules molles doit être avalé avec de l'eau, sans mâcher ni sucer les capsules molles. Il est recommandé de prendre une collation juste avant ou après la prise de Vinorelbine Sandoz capsules molles (voir aussi «Remarques particulières/Instructions pour la manipulation»).
- +
-Vinorelbine ne doit pas être administrée en même temps qu'une chimiothérapie dont les champs incluent le foie.
- +Vinorelbine ne doit pas être administrée dans le cadre d'une radiochimiothérapie si le champ de radiothérapie inclut le foie.
-Des affections pulmonaires interstitielles ont été plus fréquemment rencontrées chez les populations japonaises. Cette population spécifique doit être surveillée avec une attention particulière.
- +Une toxicité pulmonaire a été rapportée lors de l'utilisation de la forme pharmaceutique intraveineuse de la vinorelbine, y compris des cas de bronchospasme aigu sévère, de pneumopathie interstitielle et de syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA). Des décès ont été rapportés dans le cadre de pneumopathies interstitielles et de SDRA. Le délai moyen entre l'administration de la vinorelbine et l'apparition de la pneumopathie interstitielle et du SDRA était d'une semaine (intervalle compris entre 3 et 8 jours).
- +La perfusion doit être immédiatement interrompue si le patient développe une dyspnée inexpliquée ou présente des signes de toxicité pulmonaire. Le traitement par la vinorelbine doit être définitivement arrêté en cas de pneumopathie interstitielle ou de SDRA confirmés. L'interaction possible avec la mitomycine C doit être prise en compte (voir rubrique «Interactions»). Des affections pulmonaires interstitielles ont été plus fréquemment rencontrées chez les populations japonaises. Cette population spécifique doit être surveillée avec une attention particulière.
- +Grossesse
- +Allaitement
- +Fertilité
- +
-«très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «peu fréquents» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000) et «très rares» (<1/10'000).
- +«très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Infections et infestations Très fréquents: infections bactériennes, virales ou fongiques localisées à différents sites, p.ex. infections bronchopulmonaires, gastro-intestinales, urologiques et opportunistes (12,4%) Peu fréquents: septicémie sévère accompagnée de défaillances d'organes et septicémie Très rares: septicémie compliquée à issue éventuellement létale Cas isolés: septicémie neutropénique. Très fréquents: infections bactériennes, virales ou fongiques sans neutropénie localisées à différents sites, p.ex. infections bronchopulmonaires, gastro-intestinales, urologiques et opportunistes (12,7%; degré 3-4: 4,4%) Fréquents: infections bactériennes, virales ou fongiques dues à une dépression médullaire ou à un trouble du système immunitaire (dû à une neutropénie); celles-ci sont normalement réversibles grâce à un traitement adéquat. Infections neutropéniques (degré 3-4: 3,5%) Cas isolés: septicémie neutropénique, septicémie compliquée pouvant avoir une issue létale
-Affections hématologiques et du système lymphatique Très fréquents: dépression médullaire entraînant principalement une neutropénie (77%; degré 3: 24,3%; degré 4: 27,8%), anémie (68,6%; degré 3-4: 7,4%). Fréquent: thrombocytopénie (degré 3-4: 2,5%). Cas isolés: neutropénie fébrile, pancytopénie. Très fréquents: dépression médullaire entraînant principalement une neutropénie (71,5%; degré 3: 21,8%; degré 4: 25,9%), anémie (74,3%; degré 3-4: 4,8%), thrombocytopénie (degré 1-2: 10,8%), leucopénie (70,6%; degré 3: 24,7%; degré 4: 6%) Fréquent: neutropénie fébrile (degré 4: 2,8%). Cas isolés: aplasie médullaire accompagnée de troubles hépatiques (en cas de surdosage)
-Affections du système immunitaire Fréquents: réactions allergiques systémiques tels que choc anaphylactique, anaphylaxie, angio-œdème ou réactions anaphylactoïdes
-Affections endocriniennes Cas isolés: syndrome de sécrétion inappropriée d'ADH (SIADH)
-Troubles du métabolisme et de la nutrition Rares: hyponatrémie sévère Cas isolés: anorexie Cas isolés: hyponatriémie sévère
- +Infections et infestations Très fréquents: infections bactériennes, virales ou fongiques localisées à différents sites, p.ex. infections bronchopulmonaires, gastro-intestinales, urologiques et opportunistes (12,4%) Occasionnels: sepsis sévère accompagné de défaillances d'organes et de septicémie Très rares: septicémie compliquée pouvant avoir une issue fatale Fréquence inconnue: sepsis neutropénique, infections neutropéniques (degré 3-4). Très fréquents: infections bactériennes, virales ou fongiques sans neutropénie localisées à différents sites, p.ex. infections bronchopulmonaires, gastro-intestinales, urologiques et opportunistes (12,7%; degré 3-4: 4,4%) Fréquents: infections bactériennes, virales ou fongiques. Infections neutropéniques (degré 3-4: 3,5%) Fréquence inconnue: sepsis neutropénique, sepsis sévère accompagné de défaillances d'organes et de septicémie, septicémie compliquée pouvant avoir une issue fatale
- +Affections hématologiques et du système lymphatique Très fréquents: dépression médullaire entraînant principalement une neutropénie (77%; degré 3: 24,3%; degré 4: 27,8%), anémie (68,6%; degré 3-4: 7,4%). Fréquents: thrombocytopénie (degré 3-4: 2,5%). Fréquence inconnue: neutropénie fébrile, pancytopénie, leucopénie. Très fréquents: dépression médullaire associée à une neutropénie (71,5%; degré 3: 21,8%; degré 4: 25,9%), anémie (74,3%; degré 3-4: 4,8%), thrombocytopénie (degré 1-2: 10,8%), leucopénie (70,6%; degré 3: 24,7%; degré 4: 6%) Fréquents: neutropénie fébrile (degré 4: 2,8%). Fréquence inconnue: aplasie médullaire, pancytopénie, thrombocytopénie (degré 3-4)
- +Affections du système immunitaire Fréquents: réactions allergiques systémiques telles que choc anaphylactique, anaphylaxie, angioœdème ou réactions anaphylactoïdes
- +Affections endocriniennes Fréquence inconnue: syndrome de sécrétion inappropriée d'ADH (SIADH) Fréquence inconnue: syndrome de sécrétion inappropriée d'ADH (SIADH)
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition Rares: hyponatrémie sévère Fréquence inconnue: anorexie Fréquence inconnue: hyponatrémie sévère
-Affections du système nerveux Très fréquents: neuropathies périphériques (23,4%; degré 3-4: 2,7%), y compris abolition des réflexes ostéotendineux et faiblesse des membres inférieurs après utilisation prolongée Peu fréquents: paresthésies sévères avec symptômes sensoriels et moteurs. Ces effets sont souvent modérés et réversibles. Très fréquents: troubles neurosensoriels (degré 1-2: 11,1%), en général limités à l'abolition des réflexes ostéotendineux profonds. Fréquents: troubles neuromoteurs (degré 1-4: 9,2%; degré 3-4: 1,3%), céphalées (degré 1-4: 4,1%; degré 3-4: 0,6%), vertiges (degré 1-4: 6%; degré 3-4: 0,6%), troubles gustatifs (degré 1-2: 3,8%) Très rares: ataxie
-Affections oculaires Fréquents: troubles oculaires (degré 1-2: 1,3%)
-Affections cardiaques Rares: cardiopathies ischémiques (angine de poitrine, infarctus du myocarde, parfois mortels) Très rares: tachycardie, palpitations et troubles du rythme cardiaque Peu fréquents: insuffisance cardiaque et troubles du rythme cardiaque Cas isolés: infarctus du myocarde chez des patients présentant des antécédents cardiovasculaires ou des facteurs de risque cardiovasculaires
-Affections vasculaires Peu fréquents: hypotension, hypertension, flush et sensation de froid dans les extrémités Rares: forte hypotension, collapsus Fréquents: hypertension (degré 1-4: 2,5%; degré 3-4: 0,3%); hypotension (degré 1-4: 2,2 %; degré 3-4: 0,6 %)
-Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Peu fréquents: détresse respiratoire et bronchospasme (monothérapie et traitement associé) Rares: pneumonies interstitielles, parfois mortelles Fréquents: dyspnée (degré 1-4: 2,8%; degré 3-4: 0,3%), toux (degré 1-2: 2,8%)
-Affections gastro-intestinales Très fréquents: stomatite (degré 1-4: 15% en monothérapie), nausées et vomissements (30,4%; degré 3-4: 2,2%), constipation (24,5%; degré 3-4: 2,7%) Fréquents: diarrhée Rares: pancréatite, iléus paralytique Très fréquents: nausées (degré 1-4: 74,7%; degré 3-4: 7,3%), vomissements (degré 1-4: 54,7%; degré 3-4: 6,3%), diarrhée (degré 1-4: 49,7%; degré 3-4: 5,7%), anorexie (degré 1-4: 38,6%; degré 3-4: 4,1%), constipation (degré 1-4: 19%; degré3-4: 0,9%), stomatite (degré 1-4: 10,4%; degré 3-4: 0,9%), douleurs abdominales (degré 1-4: 14,2%). Fréquents: œsophagite (degré 1-3: 3,8%; degré 3: 0,3%), dysphagie (degré 1-2: 2,3%) Peu fréquents: iléus paralytique (degré 3-4: 0,9%) Cas isolés: hémorragies gastro-intestinales
-Affections hépatobiliaires Très fréquents: élévation de la SGOT (27,6%) et de la SGPT (29,3%) Rares: élévation des paramètres hépatiques
-Affections de la peau et du tissu sous-cutané Très fréquents: alopécie (25,1%; degré 3-4: 4,1%). Rares: réactions cutanées Cas isolés: syndrome d'érythroesthésie palmo-plantaire Très fréquents: alopécie (degré 1-2: 29,4%) Rares: réactions cutanées généralisées (degré 1-2: 5,7%)
- +Affections du système nerveux Très fréquents: neuropathies périphériques (23,4%; degré 3-4: 2,7%) Occasionnels: paresthésies sévères avec symptômes sensoriels et moteurs. Fréquence inconnue: céphalées, vertige, ataxie Très fréquents: troubles neurosensoriels (degré 1-2: 11,1% Fréquents: troubles neuromoteurs (degré 1-4: 9,2%; degré 3-4: 1,3%), céphalées (degré 1-4: 4,1%; degré 3-4: 0,6%), vertiges (degré 1-4: 6%; degré 3-4: 0,6%), troubles gustatifs (degré 1-2: 3,8%) Occasionnels: ataxie
- +Affections oculaires Fréquents: troubles visuels (degré 1-2: 1,3%)
- +Affections cardiaques Rares: cardiopathies ischémiques (angine de poitrine, infarctus du myocarde, parfois mortels) Très rares: tachycardie, palpitations et troubles du rythme cardiaque Fréquence inconnue: insuffisance cardiaque Peu fréquents: insuffisance cardiaque et troubles du rythme cardiaque Fréquence inconnue: infarctus du myocarde chez des patients présentant des antécédents cardiovasculaires ou des facteurs de risque cardiovasculaires
- +Affections vasculaires Occasionnels: hypotension, hypertension, flush et sensation de froid dans les extrémités Rares: forte hypotension, collapsus Fréquents: hypertension (degré 1-4: 2,5%; degré 3-4: 0,3%); hypotension (degré 1-4: 2,2 %; degré 3-4: 0,6 %)
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Occasionnels: détresse respiratoire et bronchospasme (monothérapie et traitement associé) Rares: pneumonies interstitielles, parfois mortelles Fréquence inconnue: toux (degré 1-2), syndrome de détresse respiratoire aigu (SDRA, pneumopathie), parfois mortel* Fréquents: dyspnée (degré 1-4: 2,8%; degré 3-4: 0,3%), toux (degré 1-2: 2,8%)
- +Affections gastro-intestinales Très fréquents: stomatite (degré 1-4: 15% en monothérapie), nausées et vomissements (30,4%; degré 3-4: 2,2%), constipation (24,5%; degré 3-4: 2,7%) Fréquents: diarrhée Occasionnels: diarrhée sévère, douleurs abdominales, hémorragies gastro-intestinales Rares: pancréatite, iléus paralytique Très fréquents: nausées (degré 1-4: 74,7%; degré 3-4: 7,3%), vomissements (degré 1-4: 54,7%; degré 3-4: 6,3%), diarrhée (degré 1-4: 49,7%; degré 3-4: 5,7%), anorexie (degré 1-4: 38,6%; degré 3-4: 4,1%), constipation (degré 1-4: 19%; degré 3-4: 0,9%), stomatite (degré 1-4: 10,4%; degré 3-4: 0,9%), douleurs abdominales (degré 1-4: 14,2%). Fréquents: œsophagite (degré 1-3: 3,8%; degré 3: 0,3%), dysphagie (degré 1-2: 2,3%) Occasionnels: iléus paralytique (degré 3-4: 0,9%) Fréquence inconnue: hémorragies gastro-intestinales
- +Affections hépatobiliaires Très fréquents: élévation de la SGOT (27,6%) et de la SGPT (29,3%) Fréquence inconnue: troubles de la fonction hépatique Fréquents: troubles de la fonction hépatique (degré 1-2: 1,3%) Rares: élévation des paramètres hépatiques
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Très fréquents: alopécie (25,1%; degré 3-4: 4,1%). Rares: réactions cutanées Fréquence inconnue: syndrome d'érythrodysesthésie palmoplantaire Très fréquents: alopécie (degré 1-2: 29,4%) Rares: réactions cutanées généralisées (degré 1-2: 5,7%)
-Troubles généraux et anomalies au site d'administration Très fréquents: après administration intraveineuse répétée, brûlures au point d'injection, décoloration veineuse et phlébite locale (degré 3-4: 3,7%) Fréquents: asthénie, fatigue, fièvre, douleurs à divers endroits, y compris douleurs thoraciques et douleurs tumorales Rares: nécrose locale Très fréquents: fatigue/malaise (degré 1-4: 36,7%; degré 3-4: 8,5%), fièvre (degré 1-4: 13%; degré 3-4: 12,1%) Fréquents: douleurs, y compris douleurs tumorales (degré 1-4: 3,8%); degré 3-4: 0,6%). Frissons (degré 1-2: 3,8%)
-Investigations Très fréquent: perte de poids (degré 1-4: 25%; degré 3-4: 0,3%) Fréquent: prise de poids (degré 1-2: 1,3%)
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Très fréquents: brûlures au point d'injection, décoloration veineuse et phlébite locale (degré 3-4: 3,7%) Fréquents: asthénie, fatigue, fièvre, douleurs à divers endroits, y compris douleurs thoraciques et douleurs tumorales Rares: nécrose locale Fréquence inconnue: frissons (degré 1-2) Très fréquents: fatigue/malaise (degré 1-4: 36,7%; degré 3-4: 8,5%), fièvre (degré 1-4: 13%; degré 3-4: 12,1%) Fréquents: douleurs, y compris douleurs tumorales (degré 1-4: 3,8%); degré 3-4: 0,6%). Frissons (degré 1-2: 3,8%)
- +Investigations Fréquence inconnue: perte de poids Très fréquents: perte de poids (degré 1-4: 25%; degré 3-4: 0,3%) Fréquents: prise de poids (degré 1-2: 1,3%)
- +* Voir section «Mises en garde et précautions».
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-Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
- +Mécanisme d'action
-Au niveau moléculaire, elle agit sur l'équilibre dynamique entre la tubuline et les microtubules. La vinorelbine inhibe la polymérisation de la tubuline dans la mitose. Son pouvoir spiralisant sur la tubuline est moins prononcé que celui de la vincristine. La vinorelbine bloque la mitose en phase degré 2 à M et provoque la mort cellulaire en interphase ou à la mitose suivante.
- +Au niveau moléculaire, elle agit sur l'équilibre dynamique entre la tubuline et les microtubules. Vinorelbine inhibe la polymérisation de la tubuline dans la mitose. Son pouvoir spiralisant sur la tubuline est moins prononcé que celui de la vincristine.
- +Pharmacodynamique
- +La vinorelbine bloque la mitose en phase degré 2 à M et provoque la mort cellulaire en interphase ou à la mitose suivante.
-Dans une étude non comparative, en traitement de première ligne, l'association vinorelbine et cisplatine chez 56 patients, qui ont reçu d'abord la vinorelbine i.v. 25 mg/m² et 100 mg/m² de cisplatine au J 1, puis la vinorelbine orale 60 mg/m² aux J 8, J 15 et J 22, a été étudiée. Ce cycle a été répété toutes les 4 semaines. Sur la base d'une validation indépendante, le taux de réponse était de 30,4% (IC à 95%: 18–42%), la durée médiane de la réponse de 5,5 mois et la survie médiane de 8,9 mois.
- +Dans une étude non comparative, en traitement de première ligne, l'association la vinorelbine et cisplatine chez 56 patients, qui ont reçu d'abord la vinorelbine i.v. 25 mg/m² et 100 mg/m² de cisplatine au J 1, puis la vinorelbine orale 60 mg/m² aux J 8, J 15 et J 22, a été étudiée. Ce cycle a été répété toutes les 4 semaines. Sur la base d'une validation indépendante, le taux de réponse était de 30,4% (IC à 95%: 18–42%), la durée médiane de la réponse de 5,5 mois et la survie médiane de 8,9 mois.
-Pour le traitement associé par la capécitabine, six études de phase II ont été réalisées. Au total, 553 patientes ont été incluses dans ces études. 92 patientes ont reçu 60 mg/m² de vinorelbine orale à J 1, J 8 et J 15 toutes les trois semaines. 115 patientes ont reçu 60 mg/m² de vinorelbine orale à J 1 et J 8 toutes les trois semaines. 148 patientes ont reçu 80 mg/m² de vinorelbine orale à J 1 et J 8 toutes les trois semaines, après un premier cycle 60 mg/m² de vinorelbine orale à J 1 et J 8 tous les cycles suivants. Toutes les patientes ont reçu 1000 mg/m² deux fois par jour de capécitabine aux J 1 à J14, avec à chaque fois une durée de cycle de trois semaines.
-Des taux de réponse compris entre 20% et 56,5% (ITT) et 23,5% et 56,5% (PPT) ont été trouvés. La survie sans progression médiane était de 3,4; 7,2; 7,6; 8,4; 8,4 et 10,5 mois, la survie totale médiane de 11,3; 17,5; 22,2; 25,8 et 29,2 et 30,2 mois.
- +Pour le traitement associé par la capécitabine, six études de phase II ont été réalisées. Au total, 553 patientes ont été incluses dans ces études. 92 patientes ont reçu 60 mg/m² de vinorelbine orale à J 1, J 8 et J 15 toutes les trois semaines. 115 patientes ont reçu 60 mg/m² de vinorelbine orale à J 1 et J 8 toutes les trois semaines. 148 patientes ont reçu 80 mg/m² de vinorelbine orale à J 1 et J 8 toutes les trois semaines, après un premier cycle de 60 mg/m² de vinorelbine orale à J 1 et J 8 tous les cycles suivants. Toutes les patientes ont reçu 1000 mg/m² deux fois par jour de capécitabine aux J 1 à J14, avec à chaque fois une durée de cycle de trois semaines.
- +Des taux de réponse compris entre 20% et 56,5% (ITT) et 23,5% et 56,5% (PPT) ont été trouvés. La survie médiane sans progression était de 3,4; 7,2; 7,6; 8,4; 8,4 et 10,5 mois, la survie totale médiane de 11,3; 17,5; 22,2; 25,8 et 29,2 et 30,2 mois.
-La sécurité et l'efficacité de Vinorelbine pour la pédiatrie ne sont pas établies.
- +La sécurité et l'efficacité de la vinorelbine pour la pédiatrie ne sont pas établies.
- +Toxicité à long terme (ou toxicité à doses répétées)
- +La toxicité après administration orale répétée de vinorelbine chez le rat a été marquée par la survenue d'anémies, de neutropénies et de lymphopénies. Les conséquences ont été des hémorragies et des infections. Des élévations des enzymes hépatiques se sont révélées être en corrélation avec les nécroses hépatocellulaires et les infections. Des lésions gastro-intestinales ont également été observées certaines anomalies morphologiques ayant été irréversibles. Le NOEL était de 7,5 mg/kg dans l'étude subaiguë en administration orale et de 3 mg/kg dans l'étude subchronique chez le rat. Des symptômes comparables ont également été observés chez le chien, avec un NOEL de 0,25 mg/kg.
- +Mutagénicité
- +Cancérogénicité
- +Toxicité pour la reproduction
- +
-La toxicité après administration orale répétée de vinorelbine chez le rat a été marquée par la survenue d'anémies, de neutropénies et de lymphopénies. Les conséquences ont été des hémorragies et des infections. Des élévations des enzymes hépatiques se sont révélées être en corrélation avec les nécroses hépatocellulaires et les infections. Des lésions gastro-intestinales ont également été observées certaines anomalies morphologiques ayant été irréversibles. Le NOEL était de 7,5 mg/kg dans l'étude subaiguë en administration orale et de 3 mg/kg dans l'étude subchronique chez le rat. Des symptômes comparables ont également été observés chez le chien, avec un NOEL de 0,25 mg/kg.
- +Données complémentaires (toxicité locale, phototoxicité, immunotoxicité)
-Vinorelbine Sandoz est compatible avec les poches pour perfusion en PVC ou les flacons pour perfusion en verre neutre et transparent. Vinorelbine Sandoz montre une coloration plus ou moins jaunâtre qui n'a aucune influence sur la qualité de la préparation.
- +Vinorelbine Sandoz est compatible avec les poches pour perfusion en PVC ou polyéthylène ou les flacons pour perfusion en verre neutre et transparent. Vinorelbine Sandoz montre une coloration plus ou moins jaunâtre qui n'a aucune influence sur la qualité de la préparation.
-57719 (i.v.) 67330 (capsules molles) (Swissmedic).
- +57719 (i.v.), 67330 (capsules molles) (Swissmedic)
-Vinorelbine Sandoz 10 mg/1 ml: 1 et 10 flacons-perforables. [A]
-Vinorelbine Sandoz 50 mg/5 ml: 1 et 10 flacons-perforables. [A]
-Vinorelbine Sandoz 20 mg, 1 capsule molle [A]
-Vinorelbine Sandoz 30 mg, 1 capsule molle [A]
-Vinorelbine Sandoz 80 mg, 1 capsule molle [A]
- +Vinorelbine Sandoz 10 mg/1 ml: 1 et 10 flacons-perforables [A].
- +Vinorelbine Sandoz 50 mg/5 ml: 1 et 10 flacons-perforables [A].
- +Vinorelbine Sandoz 20 mg, 1 capsule molle [A].
- +Vinorelbine Sandoz 30 mg, 1 capsule molle [A].
- +Vinorelbine Sandoz 80 mg, 1 capsule molle [A].
-Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch, domicile: Rotkreuz.
- +Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch, domicile: Rotkreuz
-Mars 2017.
- +Février 2021.
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