42 Changements de l'information professionelle Kentera |
-OEMéd
-Chaque dispositif transdermique contient 36 mg d’oxybutynine. La surface du dispositif transdermique est de 39 cm², libérant une quantité nominale de 3,9 mg d’oxybutynine par 24 heures.
- +Chaque dispositif transdermique contient 36 mg d'oxybutynine. La surface du dispositif transdermique est de 39 cm², libérant une quantité nominale de 3,9 mg d'oxybutynine par 24 heures.
-Traitement symptomatique de l’incontinence urinaire par impériosité et/ou pollakiurie et impériosité urinaire pouvant s’observer chez des patients souffrant d’instabilité vésicale.
- +Traitement symptomatique de l'incontinence urinaire par impériosité et/ou pollakiurie et impériosité urinaire pouvant s'observer chez des patients souffrant d'instabilité vésicale.
-Le dispositif transdermique doit être appliqué immédiatement après l’ouverture du sachet protecteur sur peau sèche et sans lésion, sur l’abdomen, la hanche ou la fesse. Un nouveau site d’application doit être choisi pour chaque nouveau dispositif transdermique afin d’éviter une nouvelle application au même endroit pendant une période de 7 jours.
-La dose recommandée est d’un dispositif transdermique (3,9 mg par 24 h) appliqué deux fois par semaine (tous les 3 à 4 jours).
-Populations particulières
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-Aucune étude n’ayant été réalisée chez l’enfant ou l’adolescent, l’utilisation de Kentera n’est recommandée ni chez l’enfant, ni chez l’adolescent.
-Insuffisance hépatique et rénale
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-Kentera doit être utilisé avec précaution chez le patient atteint d’une insuffisance hépatique ou rénale. L’utilisation de Kentera chez le patient atteint d’une insuffisance hépatique doit faire l’objet d’un suivi rigoureux.
- +Le dispositif transdermique doit être appliqué immédiatement après l'ouverture du sachet protecteur sur peau sèche et sans lésion, sur l'abdomen, la hanche ou la fesse. Un nouveau site d'application doit être choisi pour chaque nouveau dispositif transdermique afin d'éviter une nouvelle application au même endroit pendant une période de 7 jours.
- +La dose recommandée est d'un dispositif transdermique (3,9 mg par 24 h) appliqué deux fois par semaine (tous les 3 à 4 jours).
- +Instructions spéciales pour la posologie
- +Patients insuffisants rénaux
- +La pharmacocinétique de l'oxybutynine n'a pas été étudiée chez les patients dont la fonction rénale est diminuée. Kentera doit donc être utilisé avec précaution dans cette population. Des recommandations posologiques spécifiques ne sont pas possibles.
- +Patients insuffisants hépatiques: la pharmacocinétique de l'oxybutynine n'a pas été étudiée chez les patients dont la fonction hépatique est diminuée. Il n'est donc pas possible de faire des recommandations posologiques et l'utilisation de Kentera chez les patients souffrant de troubles de la fonction hépatique doit faire l'objet d'un suivi rigoureux.
- +Patients âgés
- +L'oxybutynine n'a pas fait l'objet d'une étude pharmacocinétique spécifique chez les patients ≥65 ans. Sur la base des expériences acquises à ce jour, une adaptation posologique en fonction de l'âge n'est pas jugée nécessaire dans cette population (voir «Propriétés/Effets»). Kentera doit toutefois être utilisé avec prudence chez les patients âgés, ceux-ci pouvant réagir plus sensiblement aux effets des substances à action anticholinergique centrale et des différences concernant la pharmacocinétique ne pouvant être exclues (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Enfants et adolescents
- +La sécurité et l'efficacité de Kentera n'ont pas été étudiées chez les enfants et les adolescents. L'utilisation de Kentera n'est donc pas recommandée chez les enfants ou les adolescents de ce groupe d'âge.
-Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des composants du dispositif transdermique.
-Kentera est contre-indiqué chez le patient atteint
-– de rétention urinaire, de troubles sévères du tractus gastro-intestinal, d’une myasthénie sévère, d’un glaucome à angle fermé ou d’une chambre antérieure étroite ainsi que chez le patient présentant un risque vis-à-vis de ces affections;
-– de pollakiurie ou de nycturie en raison d’une insuffisance cardiaque ou rénale;
-– de troubles de la miction d’origine organique (par exemple en cas d’hyperplasie la prostate, de sténose de l’urètre ou de sténose des voies urinaires excrétrices) en raison du risque de rétention d’urine;
-– d’un mégacôlon toxique;
-– d’une affection obstructive de l’estomac ou de l’intestin comme l’iléus paralytique ou l’atonie intestinale;
-– de colite ulcéreuse sévère;
-– de tachyarythmie.
-La plupart des contre-indications résulte de l’effet anticholinergique de l’oxybutynine.
- +·Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des composants du dispositif transdermique;
- +·Rétention urinaire;
- +·Troubles de la miction d'origine organique (p.ex. hyperplasie de la prostate, sténose des voies urinaires excrétrices) en raison du risque de rétention urinaire;
- +·Pollakiurie ou nycturie en raison d'une insuffisance cardiaque ou rénale;
- +·Troubles gastro-intestinaux sévères, notamment:
- +·mégacôlon toxique;
- +·colite ulcéreuse sévère;
- +·affections gastro-intestinales obstructives comme l'iléus paralytique ou l'atonie intestinale;
- +·Myasthénie sévère;
- +·Glaucome à angle fermé ou chambre antérieure étroite;
- +·Tachyarythmie.
-Toutes les autres causes de miction fréquente (insuffisance cardiaque ou affection rénale) doivent être éclaircies avant un traitement avec Kentera. En cas d’infection des voies urinaires, une thérapie antibactérienne adaptée sera mise en place.
-Rétention urinaire: Chez les patients présentant une obstruction cliniquement significative des voies urinaires, les médicaments anticholinergiques doivent être employés avec prudence en raison du risque de rétention urinaire.
-Les substances anticholinergiques comme l’oxybutynine pouvant provoquer endormissement, somnolence ou vision trouble, les patients doivent être incités à la prudence. Les patients doivent être informés du fait que l’alcool peut renforcer l’effet de somnolence provoqué par les substances anticholinergiques comme l’oxybutynine.
-Kentera doit être utilisé avec prudence chez les sujets âgés, ceux-ci pouvant se révéler plus sensibles aux effets des substances à action anticholinergique centrale et chez lesquels la cinétique du produit peut être modifiée.
-L’administration orale d’oxybutynine peut justifier les mises en garde suivantes, même si ces événements n’ont pas été observés au cours des essais cliniques avec Kentera:
-Troubles du tractus gastro-intestinal: Les substances anticholinergiques sont susceptibles de diminuer la motilité gastro-intestinale et doivent être utilisés avec prudence chez les patients souffrant de troubles gastro-intestinaux obstructifs en raison du risque de rétention gastrique. Il en est de même pour les patients atteints d’affections comme la colite ulcéreuse et l’atonie intestinale, en raison du risque d’iléus paralytique, ainsi que chez les patients présentant une hernie hiatale ou un reflux gastro-oesophagien et/ou chez les patients prenant simultanément d’autres médicaments (par exemple des bisphosphonates) qui peuvent provoquer ou aggraver une oesophagite.
- +Toutes les autres causes de pollakiurie (telles qu'insuffisance cardiaque ou affection rénale) doivent être exclues avant un traitement avec Kentera. En cas d'infection des voies urinaires, une thérapie antibactérienne adaptée sera mise en place.
- +Rétention urinaire
- +Chez les patients présentant une obstruction cliniquement significative des voies urinaires excrétrices, les médicaments anticholinergiques doivent être employés uniquement avec prudence en raison du risque de rétention urinaire.
- +Effets sur le système nerveux central
- +Des effets indésirables psychiatriques et agissant sur le système nerveux central, tels qu'insomnie ou hallucinations ont été rapportés dans le cadre des études cliniques et lors de la surveillance post-marketing en lien avec l'utilisation de l'oxybutynine, notamment chez les patients âgés (voir «Effets indésirables»). Il faut être particulièrement prudent lors de l'administration concomitante de Kentera et d'autres médicaments anticholinergiques (voir également «Interactions»). Si un patient présente de tels effets, l'arrêt de la prise du médicament doit être envisagé.
- +Les substances anticholinergiques comme l'oxybutynine pouvant provoquer endormissement, somnolence ou vision trouble, le patient doit être incité à la prudence. Le patient doit être informé du fait que l'effet de somnolence induit par les substances anticholinergiques comme l'oxybutynine peut être renforcé par l'alcool (voir «Effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines»).
- +En outre, des signes de dépendance à l'oxybutynine ont été rapportés lors de l'utilisation de préparations orales à base d'oxybutynine, notamment chez les patients ayant des antécédents d'abus de médicaments ou de substances. De plus, des cas faisant état de l'apparition de symptômes de sevrage (tels que nervosité, anxiété, bouffées vasomotrices et transpiration accrue) ont été rapportés lors de l'arrêt de l'oxybutynine orale après plusieurs années de traitement.
- +Patients âgés
- +Kentera doit être utilisé avec prudence chez les sujets âgés, ceux-ci étant plus sensibles aux effets des substances à action anticholinergique centrale et chez lesquels la cinétique du produit peut être également modifiée.
- +Diminution de l'adhérence du dispositif transdermique
- +Les activités pouvant provoquer une sudation excessive et l' exposition à l'eau ou à des températures extrêmes peuvent altérer les propriétés adhésives du dispositif transdermique.
- +Aucune étude n'ayant été réalisée chez l'enfant ou l'adolescent, l'utilisation de Kentera n'est recommandée ni chez l'enfant ni chez l'adolescent.
- +En outre, les risques décrits ci-dessous ont été décrits lors de l'administration orale d'oxybutynine. Des évènements correspondant à ces descriptions n'ont pas été observés lors des études cliniques avec Kentera.
- +Affections gastro-intestinales
- +Les substances anticholinergiques sont susceptibles de diminuer la motilité gastro-intestinale et doivent donc être utilisées uniquement avec prudence chez les patients souffrant de troubles gastro-intestinaux obstructifs ou de rétention gastrique. Il en est de même pour les patients atteints d'affections comme la colite ulcéreuse et l'atonie intestinale, en raison du risque d'iléus paralytique, ainsi que chez les patients présentant une hernie hiatale ou un reflux gastro-œsophagien et chez les patients prenant simultanément d'autres médicaments (par exemple des bisphosphonates) qui peuvent provoquer ou aggraver une œsophagite.
- +Affections neurologiques
- +
-Les patients doivent être informés du fait qu’un coup de chaleur (fièvre et insolation dues à la diminution de la sudation) peut survenir lorsque les anticholinergiques tels que l’oxybutynine sont utilisés dans un environnement où la température est particulièrement élevée. L’oxybutynine peut aggraver les symptômes d’une hyperthyroïdie, d’une affection coronarienne, d’une insuffisance cardiaque, une arythmie cardiaque, d’une tachycardie, d’une hypertension et d’une hypertrophie prostatique.
-L’oxybutynine peut entraîner une diminution du débit salivaire, pouvant provoquer l’apparition de caries dentaires, de parodontites et de candidoses buccales.
- +Coup de chaleur
- +Le patient doit être informé du fait qu'un coup de chaleur peut survenir en raison de la diminution de la sudation lorsque les anticholinergiques tels que l'oxybutynine sont utilisés dans un environnement où la température est particulièrement élevée.
- +Autres groupes à risque
- +L'oxybutynine peut aggraver une tachycardie ou une arythmie cardiaque préexistantes et les symptômes d'une hyperthyroïdie, d'une affection coronarienne, d'une insuffisance cardiaque, d'une hypertension et d'une hypertrophie prostatique.
- +Caries et parodontite
- +L'oxybutynine peut entraîner une diminution du débit salivaire, pouvant favoriser l'apparition de caries dentaires, de parodontites et de candidoses buccales.
-L’utilisation concomitante de l’oxybutynine et d’autres substances anticholinergiques ou d’autres substances actives métabolisées elles aussi par l’enzyme CYP3A4 peut avoir pour effet une augmentation de la fréquence ou de l’intensité des effets indésirables tels que sécheresse buccale, constipation et somnolence.
-En raison de leur effet sur la motilité gastro-intestinale, les substances anticholinergiques sont susceptibles de modifier l’absorption de certains médicaments administrés de façon concomitante. L’oxybutynine étant métabolisée par l’isoenzyme CYP3A4 du cytochrome P450, la possibilité d’interactions avec les médicaments qui inhibent cette isoenzyme ne peut être exclue. Ceci doit être pris en compte dans le cas d’une administration concomitante avec l’oxybutynine d’antifongiques azolés comme le kétoconazole ou d’antibiotiques macrolides comme l’érythromycine.
-L’activité anticholinergique de l’oxybutynine est augmentée par l’utilisation concomitante d’autres substances anticholinergiques ou médicaments à activité anticholinergique comme l’amantadine et d’autres médicaments antiparkinsoniens anticholinergiques (comme le bipéridène ou la lévodopa), les antihistaminiques, les antipsychotiques (comme les phénothiazines, les butyrophénones, la clozapine), la quinidine, les antidépresseurs tricycliques, l’atropine et les substances apparentées telles que les antispasmodiques ou le dipyridamole.
-L’oxybutynine peut antagoniser l’effet des traitements prokinétiques.
- +Interactions pharmacocinétiques
- +Influence d'autres médicaments sur la pharmacocinétique de l'oxybutynine
- +L'oxybutynine est métabolisée principalement par le CYP3A4. Le métabolisme peut donc être inhibé par les inhibiteurs de cette enzyme et accéléré par les inducteurs.
- +Inhibiteurs enzymatiques: en cas d'administration concomitante d'antifongiques azolés (p.ex. itraconazole, voriconazole) ou d'antibiotiques macrolides (p.ex. clarithromycine, érythromycine) et en cas de consommation de grandes quantités de jus de pamplemousse, les effets anticholinergiques souhaités ou indésirables peuvent être intensifiés.
- +Inducteurs enzymatiques: à l'inverse, les inducteurs du CYP3A4 (tels que barbituriques, carbamazépine ou rifampicine) peuvent entraîner une diminution des concentrations plasmatiques de l'oxybutynine ce qui pourrait s'accompagner d'une réduction de l'efficacité.
- +Influence de l'oxybutynine sur la pharmacocinétique d'autres médicaments
- +En raison de leur effet sur la motilité gastro-intestinale, les substances anticholinergiques sont susceptibles d'influer sur l'absorption de certains médicaments administrés de façon concomitante.
- +Interactions pharmacodynamiques
- +L'activité anticholinergique de l'oxybutynine est augmentée par l'utilisation concomitante d'autres médicaments ayant des propriétés anticholinergiques comme les médicaments antiparkinsoniens (p.ex. amantadine, bipéridène, lévodopa), les antihistaminiques, les antipsychotiques (p.ex. phénothiazine, butyrophénone, clozapine), la quinidine, le dipyridamole, les antidépresseurs tricycliques, l'atropine et les substances apparentées telles que les antispasmodiques anticholinergiques. Ceci peut avoir pour effet une augmentation de la fréquence et/ou de l'intensité des effets indésirables tels que sécheresse buccale, constipation et somnolence.
- +L'oxybutynine peut antagoniser l'effet des traitements prokinétiques.
-Il n’existe pas de données pertinentes concernant l’utilisation de l’oxybutynine sous forme de dispositif transdermique chez la femme enceinte.
-Des études effectuées chez l’animal ont mis en évidence une toxicité mineure sur la reproduction (voir au paragraphe «Données de sécurité précliniques»). Kentera ne doit pas être utilisé pendant la grossesse sauf en cas d’absolue nécessité.
- +Grossesse
- +Il n'existe pas de données pertinentes concernant l'utilisation de l'oxybutynine sous forme de dispositif transdermique chez la femme enceinte.
- +Des études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité mineure sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Kentera ne doit pas être utilisé pendant la grossesse sauf en cas d'absolue nécessité.
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-Lorsque l’oxybutynine est utilisée au cours de l’allaitement, une petite quantité est excrétée dans le lait maternel. Il n’est donc pas recommandé d’allaiter en cas de traitement par l’oxybutynine.
- +Chez l'animal, l'oxybutynine et son métabolite actif passent dans le lait maternel. Des données correspondantes pour l'être humain ne sont pas disponibles.
- +Il n'est donc pas recommandé d'allaiter en cas de traitement par l'oxybutynine.
-L’oxybutynine étant susceptible de provoquer somnolence, vision trouble, vertiges et fatigue, la prudence s’impose aux conducteurs de véhicules et aux utilisateurs de machines. Les patients doivent être informés de ce risque. Par ailleurs, le patient doit être averti des risques liés à l’absorption concomitante d’alcool, une telle combinaison étant de nature à restreindre davantage encore la capacité à conduire.
- +L'oxybutynine étant susceptible de provoquer somnolence, vision trouble, vertiges et fatigue, la prudence s'impose aux conducteurs de véhicules et aux utilisateurs de machines. Le patient doit être informé de ce risque. Par ailleurs, le patient doit être averti des risques liés à l'absorption concomitante d'alcool, une telle combinaison étant de nature à restreindre davantage encore la capacité à conduire.
-Estimation de la fréquence: très fréquemment ≥10%; fréquemment ≥1% jusqu’à <10%; occasionnellement ≥0,1% jusqu’à <1%; rarement ≥0,01% jusqu’à <0,1%; très rarement <0,01%.
-Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés ont été une réaction au niveau du site d’application (Kentera 23,1%, placebo 7,6%). Les autres effets indésirables rapportés ont été la sécheresse buccale (Kentera 8,6%, placebo 5,2%), la constipation (Kentera 3,9%, placebo 2%), la diarrhée (Kentera 3,2%, placebo 2%), des céphalées (Kentera 3,0%, placebo 2,4%), des vertiges (Kentera 2,3%, placebo 1,2%) et une vision trouble (Kentera 2,3%, placebo 0,89%).
-Les effets indésirables connus pour être associés à un traitement anticholinergique, mais non observés avec Kentera au cours des essais cliniques sont l’anorexie, les vomissements, l’oesophagite par reflux, la diminution de la sudation, le coup de chaleur, la diminution des larmoiements, la mydriase, la tachycardie, l’arythmie, la désorientation, la réduction de la capacité de concentration, la fatigue, les cauchemars, l’agitation, les convulsions, l’hypertension intraoculaire et la survenue d’un glaucome, la confusion, l’anxiété, la paranoïa, les hallucinations, la photosensibilité, les troubles de l’érection.
-Effets secondaires rapportés et fréquences
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-Fréquemment: voies urinaires.
-Occasionnellement: voies respiratoires supérieures, infections fongiques.
-Système nerveux
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-Fréquemment: céphalées, somnolence.
- +Les effets indésirables de l'oxybutynine sont essentiellement dus aux propriétés anticholinergiques du principe actif. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés lors de l'utilisation de Kentera dans le cadre des études cliniques ont été les réactions au niveau du site d'application (Kentera 23,1%, placebo 7,6%). Les autres effets indésirables rapportés ont été la sécheresse buccale (Kentera 8,6%, placebo 5,2%), la constipation (Kentera 3,9%, placebo 2%), la diarrhée (Kentera 3,2%, placebo 2%) et les céphalées (Kentera 3,0%, placebo 2,4%).
- +Les effets indésirables observés lors de l'utilisation de Kentera dans le cadre des études cliniques de phase III/IV et/ou de la surveillance post-marketing sont indiqués ci-dessous par système organique (MEDdra) et par fréquence.
- +Les fréquences sont définies comme suit:
- +très fréquents ≥10%, fréquents ≥1% à <10%, occasionnels ≥0,1% à <1%, rares ≥0,01% à <0,1%, très rares <0,01.
- +Infections et infestations
- +Fréquents: infections des voies urinaires.
- +Occasionnels: infections des voies respiratoires supérieures, infections fongiques.
- +Affections psychiatriques
- +Occasionnels: nervosité, agitation, anxiété, confusion, automutilation.
- +Rare: désorientation, réaction de panique, hallucinations, délire.
- +Affections du système nerveux
- +Fréquents: céphalées, somnolence, vertiges.
- +Occasionnels: insomnie.
- +Rares: troubles de l'attention, altération de la mémoire, amnésie, léthargie.
-
-Fréquemment: troubles de la vision.
-Troubles de l’oreille interne
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-Fréquemment: sensation de vertige.
-Troubles cardiaques
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-Occasionnellement: palpitations.
-Troubles vasculaires
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-Occasionnellement: bouffées de chaleur, urticaire.
-Organes respiratoires
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-Occasionnellement: rhinite.
-Troubles gastro-intestinaux
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-Fréquemment: sécheresse buccale, constipation, diarrhée, nausées, douleurs abdominales.
-Occasionnellement: dyspepsie, gêne abdominale.
-Troubles musculo-squelettiques
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-Occasionnellement: douleurs dorsales.
-Troubles rénaux et urinaires
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-Occasionnellement: rétention urinaire, dysurie.
-Réactions sur le site d’application
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-Très fréquemment: toutes les réactions sur le site d’application (23,1%), prurit (14,3%).
-Fréquemment: érythème, irritation, rash cutané sur le site d’application.
- +Fréquents: vision trouble.
- +Affections cardio-vasculaires
- +Occasionnels: bouffées de chaleur, palpitations.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Occasionnels: rhinite.
- +Affections gastro-intestinales
- +Fréquents: sécheresse buccale, douleurs abdominales, nausées, constipation, diarrhée.
- +Occasionnels: dyspepsie, autres troubles abdominaux.
- +Affections musculo-squelettiques et systémiques
- +Occasionnels: douleurs dorsales.
- +Affections du rein et des voies urinaires
- +Occasionnels: rétention urinaire, dysurie.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Occasionnels: urticaire.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Très fréquents: prurit sur le site d'application (14,3%).
- +Fréquents: Érythème sur le site d'application, irritation sur le site d'application, exanthème sur le site d'application.
- +Les effets indésirables suivants ont, en outre, été rapportés lors de l'administration orale d'oxybutynine ou lors d'un traitement avec d'autres anticholinergiques:
- +réactions allergiques, angio-œdème, anorexie, agitation, réduction de la capacité de concentration, cauchemars, symptômes dépressifs, paranoïa, dépendance à l'oxybutynine (chez les patients ayant des antécédents d'abus de médicaments ou de substances), dysgueusie, convulsions, mydriase, troubles de l'accommodation, diplopie, diminution des larmoiements, hypertension intraoculaire, survenue d'un glaucome, tachycardie, arythmies, épistaxis, vomissements, reflux gastro-œsophagien, dysphagie, sécheresse de la peau, prurit, photosensibilité, troubles de l'érection, fatigue, diminution de la sudation, coup de chaleur, œdèmes périphériques.
-La concentration plasmatique de l’oxybutynine diminue en l’espace de 1 à 2 heures après le retrait du ou des système(s) transdermique(s). Les patients doivent être surveillés jusqu’à la disparition des symptômes. Le surdosage d’oxybutynine a été associé à des effets anticholinergiques incluant la stimulation du système nerveux central, les bouffées vasomotrices, la fièvre, la déshydratation, l’arythmie cardiaque, les vomissements et la rétention urinaire.
-Aucun cas de surdosage n’a été rapporté avec Kentera.
- +En cas de surdosage, il faut s'attendre à la survenue accrue des effets anticholinergiques mentionnés à la rubrique «Effets indésirables», tels que mydriase, diminution importante du débit salivaire, vomissements, bouffées vasomotrices, arythmies, excitation du système nerveux central, fièvre, déshydratation et rétention urinaire. En cas de surdosage, le dispositif transdermique doit être retiré. La concentration plasmatique de l'oxybutynine diminue en l'espace de 1 à 2 heures après le retrait du système transdermique. Le patient doit être surveillé jusqu'à la disparition des symptômes. En fonction de la sévérité des symptômes, l'administration de physostigmine peut être envisagée.
-L’oxybutynine agit en tant qu’antagoniste compétitif de l’acétylcholine au niveau des récepteurs muscariniques postganglionnaires, entraînant la relaxation du muscle lisse de la vessie.
-Effets pharmacodynamiques
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-Chez les patients souffrant d’hyperactivité vésicale caractérisée par une instabilité ou une hyperréflexie du détrusor, des études de cystométrie ont montré que l’oxybutynine augmente la capacité maximale urinaire de la vessie et qu’elle augmente le volume de première contraction du détrusor. L’oxybutynine diminue ainsi l’impériosité urinaire et la fréquence des épisodes d’incontinence et de miction volontaire.
-L’oxybutynine est un mélange racémique (50:50) d’isomères R et S. L’activité antimuscarinique tient essentiellement à l’isomère R. L’isomère R de l’oxybutynine montre une plus grande sélectivité vis-à-vis des sous-types muscariniques M1 et M3 (prédominants dans le détrusor et la glande parotide) par rapport au sous-type M2 (prédominant dans le tissu cardiaque). Le métabolite actif, N-déséthyloxybutynine, a une activité pharmacologique sur le détrusor humain similaire à celle de l’oxybutynine selon des études in vitro, mais présente une plus grande affinité pour le tissu de la parotide que l’oxybutynine. La forme de base libre de l’oxybutynine est pharmacologiquement équivalente au chlorhydrate d’oxybutynine.
-Efficacité clinique
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-Un total de 957 patients souffrant d’incontinence urinaire par impériosité ont été évalués au cours de trois études contrôlées comparant Kentera au placebo, à l’oxybutynine par voie orale et/ou à des gélules à action prolongée de toltérodine. La réduction du nombre d’épisodes d’incontinence urinaire par semaine et de la fréquence des mictions a été évaluée ainsi que le volume mictionnel. Kentera a conduit à une amélioration durable des symptômes de l’hyperactivité vésicale par rapport au placebo.
- +Mécanisme d'action
- +L'oxybutynine agit en tant qu'antagoniste compétitif de l'acétylcholine au niveau des récepteurs muscariniques postganglionnaires, entraînant la relaxation du muscle lisse de la vessie.
- +L'oxybutynine est un mélange racémique (50:50) d'isomères R et S. L'activité antimuscarinique tient essentiellement à l'isomère R. L'isomère R de l'oxybutynine montre une plus grande sélectivité vis-à-vis des sous-types muscariniques M1 et M3 (prédominants dans le détrusor et la glande parotide) par rapport au sous-type M2 (prédominant dans le tissu cardiaque). Le métabolite actif, N-déséthyloxybutynine, a in vitro une activité pharmacologique sur le détrusor humain similaire à celle de l'oxybutynine, mais a une plus grande affinité pour le tissu de la parotide que l'oxybutynine. La forme de base libre de l'oxybutynine est pharmacologiquement équivalente au chlorhydrate d'oxybutynine.
- +Des études de cystométrie réalisées chez des patients souffrant d'hyperactivité vésicale caractérisée par une instabilité ou une hyperréflexie du détrusor, ont montré que l'oxybutynine augmente la capacité maximale urinaire de la vessie et qu'elle augmente le volume de première contraction du détrusor. L'oxybutynine diminue ainsi l'impériosité urinaire et la fréquence des épisodes d'incontinence et de miction volontaire.
- +Efficacité et sécurité clinique
- +Un total de 957 patients souffrant d'incontinence urinaire par impériosité ont été évalués au cours de trois études contrôlées comparant Kentera au placebo, à l'oxybutynine par voie orale et/ou à des gélules à libération prolongée de toltérodine. La réduction du nombre d'épisodes d'incontinence urinaire par semaine et de la fréquence des mictions ainsi que le volume mictionnel ont été évalués. Kentera a conduit à une amélioration durable des symptômes de l'hyperactivité vésicale par rapport au placebo.
- +Patients âgés
- +Aucune étude spécifique n'a été réalisée chez les patients âgés. Il existe une étude contrôlée contre placebo portant sur l'oxybutynine administrée sous forme transdermique (gel) menée dans une population totale de n=789 patients dans laquelle les patients âgés ≥65 ans représentent plus d'un tiers de la population de l'étude. Dans le cadre de cette étude, aucune différence significative concernant la sécurité ou l'efficacité n'a été observée chez les patients âgés en comparaison avec les patients plus jeunes.
- +
-Kentera contient une concentration en oxybutynine suffisante pour maintenir une libération continue pendant un intervalle de 3 à 4 jours entre deux applications. L’oxybutynine diffuse passivement à travers la couche cornée de la peau saine et se retrouve dans la circulation systémique. Suite à l’application de Kentera, les concentrations plasmatiques en oxybutynine augmentent pendant approximativement 24 à 48 heures, atteignant des concentrations maximales moyennes de 3 à 4 ng/ml. L’état d’équilibre est atteint au cours de la deuxième application du dispositif transdermique. Les concentrations d’équilibre sont ensuite maintenues jusqu’à 96 heures. La différence d’AUC et de Centre l’oxybutynine et le métabolite actif N-déséthyloxybutynine suite à une administration de Kentera, que ce soit au niveau de l’abdomen, des fesses ou des hanches, n’est pas cliniquement significative.
- +Absorption
- +La concentration en oxybutynine de Kentera permet de maintenir une libération continue pendant un intervalle de 3 à 4 jours entre deux applications.
- +L'oxybutynine diffuse passivement à travers la couche cornée de la peau saine et se retrouve dans la circulation systémique. Suite à l'application de Kentera, les concentrations plasmatiques en oxybutynine augmentent pendant approximativement 24 à 48 heures, atteignant des concentrations maximales moyennes de 3 à 4 ng/ml. L'état d'équilibre est atteint au cours de la deuxième application du dispositif transdermique. Les concentrations d'équilibre sont ensuite maintenues jusqu'à 96 heures.
- +Les AUC et les Cmax d'oxybutynine et de son métabolite actif, suite à une administration de Kentera appliqué sur l'abdomen, les fesses ou les hanches, ne révèlent aucune différence cliniquement significative.
- +La biodisponibilité absolue de l'oxybutynine administrée sous forme transdermique n'a pas été étudiée.
- +
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-L’oxybutynine est largement distribuée dans les tissus après absorption systémique. Le volume de distribution a été estimé à 193 l après administration intraveineuse de 5 mg de chlorhydrate d’oxybutynine.
- +L'oxybutynine est largement distribuée dans les tissus après absorption systémique. Le volume de distribution a été estimé à 193 l après administration intraveineuse de 5 mg de chlorhydrate d'oxybutynine.
- +L'oxybutynine et son métabolite actif N-déséthyloxybutynine ont une liaison aux protéines de 99%.
- +Chez l'animal, l'oxybutynine et la N-déséthyloxybutynine traversent la barrière placentaire et passent dans le lait maternel.
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-L’oxybutynine administrée par voie orale est métabolisée principalement par le système enzymatique du cytochrome P450, en particulier par le CYP3A4, que l’on trouve essentiellement dans le foie et la paroi intestinale. Ses produits métaboliques comprennent l’acide phénylcyclohexylglycolique, pharmacologiquement inactif, et la N-déséthyloxybutynine, qui est pharmacologiquement active. L’application transdermique d’oxybutynine évite le premier passage gastro-intestinal et hépatique, réduisant ainsi la formation du métabolite de la N-déséthyloxybutynine.
- +L'oxybutynine administrée par voie orale est métabolisée principalement dans le foie et la paroi intestinale par le système enzymatique du cytochrome P450, en particulier par le CYP3A4. Ses produits métaboliques comprennent la N-déséthyloxybutynine (DEO), qui est pharmacologiquement active et l'acide phénylcyclohexylglycolique, pharmacologiquement inactif. On ignore toutefois, quelle part de l'activité globale est due au métabolite actif.
- +L'application transdermique d'oxybutynine évite le premier passage gastro-intestinal et hépatique, réduisant ainsi la formation du métabolite de la Ndéséthyloxybutynine. Le rapport métabolite actif DEO/substance mère est de 1,2: 1 en cas d'administration transdermique.
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-L’oxybutynine est essentiellement métabolisée par le foie, voir ci-dessus, avec moins de 0,1% de la dose administrée éliminée sous forme inchangée dans les urines. De même, moins de 0,1% de la dose administrée est éliminée sous la forme du métabolite N-déséthyloxybutynine.
- +Moins de 0,1% de la dose administrée est éliminée sous forme inchangée dans les urines. De même, moins de 0,1% de la dose administrée est éliminée sous la forme du métabolite actif N-déséthyloxybutynine.
- +La demi-vie de l'oxybutynine est d'environ 2 heures.
- +Cinétique pour certains groupes de patients
- +La pharmacocinétique de l'oxybutynine administrée par voie transdermique n'a pas été étudiée chez les patients âgés et chez les patients dont la fonction hépatique ou rénale est diminuée.
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-Les données précliniques issues des études de toxicologie aiguë, toxicologie en administration répétée, génotoxicité, cancérogénèse et de toxicité locale n’ont pas révélé de risque particulier pour l’homme. À une concentration de 0,4 mg/kg/jour d’oxybutynine administrée par voie sous-cutanée, l’apparition d’anomalies est significativement augmentée, mais elle n’est observée qu’en cas de toxicité maternelle. Kentera délivre environ 0,08 mg/kg/jour. Toutefois, le lien entre la toxicité maternelle et l’effet de celle-ci sur le développement n’étant pas connu, il n’est pas possible d’établir la pertinence de ces données chez l’homme. Au cours de l’étude de fertilité chez le rat après administration par voie sous-cutanée, aucun effet n’a été rapporté chez le mâle, alors qu’une altération de la fertilité a été observée chez la femelle, la dose sans effet indésirable (NOAEL = no observed adverse effect level) étant de 5 mg/kg.
- +Les données précliniques issues des études de toxicologie aiguë, toxicologie en administration répétée, génotoxicité, cancérogenèse et de toxicité locale n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme. À une concentration de 0,4 mg/kg/jour d'oxybutynine administrée par voie sous-cutanée, l'apparition d'anomalies organiques est significativement augmentée, mais elle n'est observée qu'en cas de toxicité maternelle. Kentera délivre environ 0,08 mg/kg/jour. Toutefois, le lien entre la toxicité maternelle et l'effet de celle-ci sur le développement n'étant pas connu, il n'est pas possible d'établir la pertinence de ces données chez l'homme. Au cours d'études de fertilité chez le rat après administration par voie sous-cutanée, aucun effet n'a été rapporté chez le mâle, alors qu'une altération de la fertilité a été observée chez la femelle, la dose sans effet indésirable (NOAEL = no observed adverse effect level) étant de 5 mg/kg.
-Ce médicament ne doit être conservé que jusqu’à la date figurant sur l’emballage à côté de la mention «EXP».
-Précautions particulières de conservation
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-À conserver à température ambiante (de 15 à 25 °C) dans l’emballage original. Ne pas mettre au réfrigérateur ni congeler.
-Conseils d’utilisation
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-Appliquer immédiatement après ouverture du sachet protecteur. Après utilisation, le dispositif transdermique contient toujours des quantités non négligeables de substance active. La substance active restante du dispositif transdermique peut avoir des effets nocifs sur l’environnement en cas de contact avec l’eau. C’est pourquoi, une fois utilisé, le dispositif transdermique doit être plié en deux, face adhésive vers l’intérieur, de telle sorte que la membrane qui dispense la substance active ne soit pas exposée à l’air libre, puis replacé dans le sachet d’origine et jeté tout en prenant garde de le tenir hors de portée des enfants. Tout dispositif transdermique, utilisé ou non, doit être jeté conformément aux prescriptions locales ou rapporté en pharmacie. Les dispositifs transdermiques utilisés ne doivent pas être jetés dans les toilettes ni placés dans des récipients destinés au recyclage des liquides usagés.
-Les activités pouvant provoquer une sudation excessive, ou exposer à l’eau ou à des températures extrêmes peuvent entraîner des problèmes d’adhésion. Ne pas exposer le dispositif transdermique au soleil.
- +Stabilité
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Conserver à température ambiante (15 à 25 °C) dans l'emballage d'origine. Ne pas conserver au réfrigérateur ni congeler.
- +Remarques concernant la manipulation
- +Appliquer immédiatement après ouverture du sachet protecteur. Après utilisation, le dispositif transdermique contient toujours des quantités non négligeables de substance active. La substance active restante du dispositif transdermique peut avoir des effets nocifs sur l'environnement en cas de contact avec l'eau. C'est pourquoi, une fois utilisé, le dispositif transdermique doit être plié en deux, face adhésive vers l'intérieur, de telle sorte que la membrane qui dispense la substance active ne soit pas exposée à l'air libre, puis replacé dans le sachet d'origine et jeté tout en prenant garde de le tenir hors de portée des enfants. Tout dispositif transdermique, utilisé ou non, doit être jeté conformément aux prescriptions locales ou rapporté en pharmacie. Les dispositifs transdermiques utilisés ne doivent pas être jetés dans les toilettes ni placés dans des récipients destinés au recyclage des liquides usagés.
- +Ne pas exposer le dispositif transdermique au soleil.
- +Présentation
- +KENTERA patch matriciel 3,9 mg/24h; 8 pièces (B)
-Octobre 2006.
- +Août 2017.
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