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Accueil - Information professionnelle sur Champix 0.5 mg - Changements - 30.04.2019
94 Changements de l'information professionelle Champix 0.5 mg
  • -Une approche progressive du sevrage tabagique par Champix doit être envisagé chez les patients qui ne parviennent pas à arrêter de fumer brutalement ou qui ne le souhaitent pas. Ces patients doivent diminuer leur consommation de tabac pendant les 12 premières semaines de traitement et arrêter complètement à la fin de la période de traitement. Les patients doivent ensuite continuer à prendre Champix pendant 12 semaines supplémentaires pour atteindre une durée de traitement totale de 24 semaines (voir «Propriétés/Effets - Arrêt progressif du tabac»).
  • +Une approche progressive du sevrage tabagique par Champix doit être envisagée chez les patients qui ne parviennent pas à arrêter de fumer brutalement ou qui ne le souhaitent pas. Ces patients doivent diminuer leur consommation de tabac pendant les 12 premières semaines de traitement et arrêter complètement à la fin de la période de traitement. Les patients doivent ensuite continuer à prendre Champix pendant 12 semaines supplémentaires pour atteindre une durée de traitement totale de 24 semaines (voir «Propriétés/Effets - Arrêt progressif du tabac»).
  • -La sécurité et l'efficacité de Champix n'ont pas été démontrées chez les patients pédiatriques. L'utilisation de Champix n'est donc pas recommandée chez les patients de moins de 18 ans (voir «Pharmacocinétique»).
  • +La sécurité et l'efficacité de Champix n'ont pas été démontrées chez les patients pédiatriques. L'utilisation de Champix n'est donc pas recommandée chez les patients pédiatriques (voir «Propriétés/Effets - Population pédiatrique» et «Pharmacocinétique - Population pédiatrique»).
  • -Le taux d'arrêt du traitement en raison d'effets secondaires a été de 11.4% avec la varénicline contre 9.7% avec le placebo. Dans ce groupe, les taux d'arrêt du traitement pour les effets secondaires les plus fréquents chez les patients traités par varénicline ont été les suivants: nausées (2.7% vs 0.6% pour le placebo), céphalées (0.6% vs 1.0% pour le placebo), insomnie (1.3% vs 1.2% pour le placebo) et rêves anormaux (0.2% vs 0.2% pour le placebo).
  • +Le taux d'arrêt du traitement en raison d'effets secondaires a été de 11.4% avec la varénicline contre 9.7% avec le placebo. Dans ce groupe, les taux d'arrêt du traitement pour les effets secondaires les plus fréquents chez les patients traités par varénicline ont été les suivants: nausée (2.7% vs 0.6% pour le placebo), céphalée (0.6% vs 1.0% pour le placebo), insomnie (1.3% vs 1.2% pour le placebo) et rêves anormaux (0.2% vs 0.2% pour le placebo).
  • -Très fréquents: nasopharyngite (10.7%).
  • +Très fréquents: rhinopharyngite (10.7%).
  • -Rares: diminution du nombre de thrombocytes.
  • +Rares: numération plaquettaire diminuée.
  • -Fréquents: augmentation de l'appétit, prise de poids, diminution de l'appétit.
  • +Fréquents: appétit augmenté, poids augmenté, appétit diminué.
  • -Très fréquents: insomnie (14.1%, y compris insomnie initiale, insomnie de maintien de sommeil et réveil précoce), rêves anormaux (10.7%, y compris cauchemars).
  • -Occasionnels: agitation, baisse de la libido, réactions de panique, sautes d'humeur, augmentation de la libido, trouble de la pensée, dépression*, anxiété*, hallucinations*.
  • +Très fréquents: insomnie (14.1%, y compris insomnie de début de nuit, insomnie de milieu de nuit et insomnie terminale), rêves anormaux (10.7%, y compris cauchemar).
  • +Occasionnels: agitation, diminution de la libido, réactions de panique, sautes dhumeur, augmentation de la libido, pensée anormale, dépression*, anxiété*, hallucinations*.
  • -Très fréquents: céphalées (14.8%).
  • -Fréquents: vertiges, dysgueusie, somnolence.
  • -Occasionnels: léthargie, hypoesthésie, tremblements, convulsion.
  • -Rares: hypogueusie, accident vasculaire cérébral, troubles du rythme circadien du sommeil, hypertonie, dysarthrie, troubles de la coordination.
  • +Très fréquents: céphalée (14.8%).
  • +Fréquents: sensation vertigineuse, dysgueusie, somnolence.
  • +Occasionnels: léthargie, hypoesthésie, tremblement, convulsion.
  • +Rares: hypogueusie, accident vasculaire cérébral, trouble du sommeil lié au rythme circadien, hypertonie, dysarthrie, coordination anormale.
  • -Occasionnels: conjonctivite, douleurs oculaires.
  • +Occasionnels: conjonctivite, douleur oculaire.
  • -Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • -Occasionnels: acouphènes.
  • +Affections de loreille et du labyrinthe
  • +Occasionnels: acouphène.
  • -Occasionnels: palpitations, angine de poitrine, tachycardie, augmentation de la fréquence cardiaque.
  • -Rares: diminution de l'amplitude de l'onde T, fibrillation auriculaire, sous-décalage du segment ST à l'ECG.
  • +Occasionnels: palpitations, angine de poitrine, tachycardie, fréquence cardiaque augmentée.
  • +Rares: onde T d'amplitude diminuée à l'électrocardiogramme, fibrillation auriculaire, segment ST sous-décalé à l'électrocardiogramme.
  • -Occasionnels: bouffée de chaleur, augmentation de la pression artérielle.
  • +Occasionnels: bouffée de chaleur, pression artérielle augmentée.
  • -Occasionnels: congestion des sinus nasaux, rhinorrhée, irritation de la gorge, rhinite allergique, inflammation des voies aériennes supérieures, dysphonie, congestion des voies respiratoires, syndrome de toux des voies aériennes supérieures.
  • -Rares: douleurs pharyngo-laryngées, ronflements.
  • +Occasionnels: congestion sinusienne, rhinorrhée, irritation de la gorge, rhinite allergique, inflammation des voies aériennes supérieures, dysphonie, congestion de l'appareil respiratoire, syndrome de toux d'origine des voies aériennes supérieures.
  • +Rares: douleurs pharyngo-laryngées, ronflement.
  • -Très fréquents: nausées (28.2%).
  • -Fréquents: douleurs abdominales (y compris douleurs gastro-intestinales, abdomen sensible, douleurs de l'abdomen inférieur, douleurs de l'abdomen supérieur et gênes abdominales), constipation, ballonnements, diarrhée, dyspepsie, vomissements, sécheresse de la bouche, distension abdominale, douleurs dentaires, reflux gastro-oesophagien.
  • -Occasionnels: gastrite, éructations, présence de sang dans les selles, stomatite aphteuse, douleurs gingivales, modification du transit intestinal.
  • +Très fréquents: nausée (28.2%).
  • +Fréquents: douleur abdominale (y compris douleur gastro-intestinale, abdomen sensible, douleur abdominale basse, douleur abdominale haute et gêne abdominale), constipation, flatulence, diarrhée, dyspepsie, vomissement, bouche sèche, distension abdominale, douleur dentaire, reflux gastro-oesophagien.
  • +Occasionnels: gastrite, éructation, émission de selles sanglantes, stomatite aphteuse, douleur gingivale, modification du transit intestinal.
  • -Fréquents: exanthème, prurit (y compris prurit généralisé).
  • -Occasionnels: transpiration excessive, acné, sueurs nocturnes, érythème.
  • +Fréquents: rash, prurit (y compris prurit généralisé).
  • +Occasionnels: hyperhidrose, acné, sueurs nocturnes, érythème.
  • -Affections musculo-squelettiques et systémiques
  • -Fréquents: douleurs dorsales, arthralgie, myalgie.
  • -Occasionnels: spasmes musculaires, douleurs musculo-squelettiques du thorax.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Fréquents: sorsalgie, arthralgie, myalgie.
  • +Occasionnels: contractures musculaires, douleurs musculo-squelettiques du thorax.
  • -Fréquents: fatigue, douleurs thoraciques.
  • -Occasionnels: gêne thoracique, fièvre, asthénie, malaise, affection pseudo-grippale, kyste, sensation de froid.
  • +Fréquents: fatigue, douleur thoracique.
  • +Occasionnels: gêne thoracique, fièvre, asthénie, malaise, syndrome grippal, kyste, sensation de froid.
  • -Occasionnels: perturbation des tests hépatiques, spermogramme anormal, augmentation de la protéine C réactive, diminution de la calcémie.
  • +Occasionnels: test hépatique anormal, spermogramme anormal, augmentation de la protéine C réactive, diminution de la calcémie.
  • - Etude 1 n=1'022 Etude 2 n=1'023
  • + Etude 1 n=1'022 Etude 2 n=1'023
  • - Champix n=602 Placebo n=604
  • + Champix n=602 Placebo n=604
  • - Varénicline (n=353) n (%) Placebo (n=350) n (%)
  • + Varénicline (n=353) n (%) Placebo (n=350) n (%)
  • -Infarctus du myocarde non mortel 4 (1.1) 3 (0.8) 1 (0.3) 2 (0.6)
  • -Nécessité de revascularisation coronarienne 1 (0.3) 7 (2.0) 1 (0.3) 2 (0.6)
  • -Hospitalisation pour angine de poitrine 2 (0.6) 6 (1.7) 4 (1.1) 4 (1.1)
  • -Hospitalisation pour insuffisance cardiaque congestive 0 (0.0) 0 (0.0) 2 (0.6) 0 (0.0)
  • -AVC non mortel 2 (0.6) 0 (0.0) 0 (0.0) 1 (0.3)
  • -Accident ischémique transitoire 0 (0.0) 1 (0.3) 1 (0.3) 0 (0.0)
  • -Maladie vasculaire périphérique (MVP) nouvellement diagnostiquée ou admission pour le traitement d'une MVP 1 (0.3) 5 (1.4) 1 (0.3) 2 (0.6)
  • -Décès d'origine cardiovasculaire 0 (0.0) 1 (0.3) 1 (0.3) 1 (0.3)
  • -Décès d'origine non-cardiovasculaire 0 (0.0) 1 (0.3) 1 (0.3) 2 (0.6)
  • +·Infarctus du myocarde non mortel 4 (1.1) 3 (0.8) 1 (0.3) 2 (0.6)
  • +·Nécessité de revascularisation coronarienne 1 (0.3) 7 (2.0) 1 (0.3) 2 (0.6)
  • +·Hospitalisation pour angine de poitrine 2 (0.6) 6 (1.7) 4 (1.1) 4 (1.1)
  • +·Hospitalisation pour insuffisance cardiaque congestive 0 (0.0) 0 (0.0) 2 (0.6) 0 (0.0)
  • +·AVC non mortel 2 (0.6) 0 (0.0) 0 (0.0) 1 (0.3)
  • +·Accident ischémique transitoire 0 (0.0) 1 (0.3) 1 (0.3) 0 (0.0)
  • +·Maladie vasculaire périphérique (MVP) nouvellement diagnostiquée ou admission pour le traitement d'une MVP 1 (0.3) 5 (1.4) 1 (0.3) 2 (0.6)
  • +·Décès d'origine cardiovasculaire 0 (0.0) 1 (0.3) 1 (0.3) 1 (0.3)
  • +·Décès d'origine non-cardiovasculaire 0 (0.0) 1 (0.3) 1 (0.3) 2 (0.6)
  • - Varénicline n=2'016 Bupropion n=2'006 PSN n=2'022 Placebo n=2'014
  • + Varénicline n=2'016 Bupropion n=2'006 PSN n=2'022 Placebo n=2'014
  • -Hazard Ratio (IC 95%) contre placebo 0.29 (0.05, 1.68) 0.50 (0.10, 2.50) 0.29 (0.05, 1.70)
  • +Hazard Ratio (IC 95%) contre placebo 0.29 (0.05, 1.68) 0.50 (0.10, 2.50) 0.29 (0.05, 1.70)
  • -Hazard Ratio (IC 95%) contre placebo 0.29 (0.05, 1.70) 0.51 (0.10, 2.51) 0.50 (0.10, 2.48)
  • +Hazard Ratio (IC 95%) contre placebo 0.29 (0.05, 1.70) 0.51 (0.10, 2.51) 0.50 (0.10, 2.48)
  • -Hazard Ratio (IC 95% CI) contre placebo 0.39 (0.12, 1.27) 1.09 (0.42, 2.83) 0.75 (0.26, 2.13)
  • +Hazard Ratio (IC 95% CI) contre placebo 0.39 (0.12, 1.27) 1.09 (0.42, 2.83) 0.75 (0.26, 2.13)
  • - Varénicline n=2'016 Bupropion n=2'006 PSN n=2'022 Placebo n=2'014
  • + Varénicline n=2'016 Bupropion n=2'006 PSN n=2'022 Placebo n=2'014
  • - Varénicline n=256 Placebo n=269 Odds ratio (IC 95%) Valeur de p
  • + Varénicline n=256 Placebo n=269 Odds ratio (IC 95%) Valeur de p
  • - Cohorte non psychiatrique n=3'984
  • + Cohorte non psychiatrique n=3'984
  • -HR (IC à 95%) vs placebo -1.28 (-2.40, -0.15) -0.08 (-1.37, 1.21) -0.21 (-1.54, 1.12)
  • +HR (IC à 95%) vs placebo -1.28 (-2.40, -0.15) -0.08 (-1.37, 1.21) -0.21 (-1.54, 1.12)
  • - Cohorte non psychiatrique n=3'984
  • + Cohorte non psychiatrique n=3'984
  • -Comportements suicidaires 0 0 1 (0.1) 1 (0.1)
  • -Idées suicidaires 7 (0.7) 4 (0.4) 3 (0.3) 6 (0.6)
  • +·Comportements suicidaires 0 0 1 (0.1) 1 (0.1)
  • +·Idées suicidaires 7 (0.7) 4 (0.4) 3 (0.3) 6 (0.6)
  • -Comportements suicidaires 0 1 (0.1) 0 0
  • -Idées suicidaires 3 (0.4) 2 (0.2) 3 (0.4) 4 (0.5)
  • +·Comportements suicidaires 0 1 (0.1) 0 0
  • +·Idées suicidaires 3 (0.4) 2 (0.2) 3 (0.4) 4 (0.5)
  • - Cohorte psychiatrique N=4’074
  • + Cohorte psychiatrique n=4’074
  • -HR (IC à 95%) vs placebo 1.59 (-0.42, 3.59) 1.78 (-0.24, 3.81) 0.37 (-1.53, 2.26)
  • +HR (IC à 95%) vs placebo 1.59 (-0.42, 3.59) 1.78 (-0.24, 3.81) 0.37 (-1.53, 2.26)
  • - Cohorte psychiatrique n=4'074
  • + Cohorte psychiatrique n=4'074
  • -Comportements suicidaires 0 1 (0.1) 0 2 (0.2)
  • -Idées suicidaires 27 (2.7) 15 (1.5) 20 (2.0) 25 (2.5)
  • +·Comportements suicidaires 0 1 (0.1) 0 2 (0.2)
  • +·Idées suicidaires 27 (2.7) 15 (1.5) 20 (2.0) 25 (2.5)
  • -Comportements suicidaires 1 (0.1) 0 1 (0.1) 1 (0.1)
  • -Idées suicidaires 14 (1.7) 4 (0.5) 9 (1.1) 11 (1.4)
  • +·Comportements suicidaires 1 (0.1) 0 1 (0.1) 1 (0.1)
  • +·Idées suicidaires 14 (1.7) 4 (0.5) 9 (1.1) 11 (1.4)
  • - Cohorte non psychiatrique Cohorte psychiatrique
  • + Cohorte non psychiatrique Cohorte psychiatrique
  • -Afin d'évaluer les idées et comportements suicidaires tels que rapportés sur l'échelle Columbia-Suicide Severity Rating Scale (C-SSRS), une méta-analyse a été menée sur 5 études randomisées, en double aveugle, contrôlées par placebo portant sur 1'907 patients (1'130 sous varénicline, 777 sous placebo). Cette méta-analyse englobait une étude (n=127) portant sur des patients présentant des antécédents de schizophrénie ou de troubles schizo-affectifs et une autre (n=525) portant sur des patients présentant des antécédents de dépression. Les résultats ne montraient aucune augmentation l'incidence des idées et/ou comportements suicidaires chez les patients traités par varénicline en comparaison aux patients ayant reçu le placebo (cf. tableau ci-dessous). Sur les 55 patients ayant rapporté des idées ou comportements suicidaires, 48 (24 sous varénicline, 24 sous placebo) provenaient des deux études dont les sujets présentaient des antécédents de schizophrénie, de troubles schizo-affectifs ou de dépression. Les trois autres études n'ont rapporté que peu de cas d'événements (4 sous varénicline, 3 sous placebo).
  • +Afin d'évaluer les idées et comportements suicidaires tels que rapportés sur l'échelle Columbia-Suicide Severity Rating Scale (C-SSRS), une méta-analyse a été menée sur 5 études randomisées, en double aveugle, contrôlées par placebo portant sur 1'907 patients (1'130 sous varénicline, 777 sous placebo). Cette méta-analyse englobait une étude (n=127) portant sur des patients présentant des antécédents de schizophrénie ou de troubles schizo-affectifs et une autre (n=525) portant sur des patients présentant des antécédents de dépression. Les résultats ne montraient aucune augmentation de l'incidence des idées et/ou comportements suicidaires chez les patients traités par varénicline en comparaison aux patients ayant reçu le placebo (cf. tableau ci-dessous). Sur les 55 patients ayant rapporté des idées ou comportements suicidaires, 48 (24 sous varénicline, 24 sous placebo) provenaient des deux études dont les sujets présentaient des antécédents de schizophrénie, de troubles schizo-affectifs ou de dépression. Les trois autres études n'ont rapporté que peu de cas d'événements (4 sous varénicline, 3 sous placebo).
  • - Varénicline n=1'130 Placebo n=777
  • + Varénicline n=1'130 Placebo n=777
  • - Varénicline n=5'072 Placebo n=3'449
  • + Varénicline n=5'072 Placebo n=3'449
  • +Population pédiatrique
  • +L'efficacité et la sécurité de la varénicline ont été évaluées dans une étude randomisée en double aveugle contrôlée contre placebo incluant 312 patients âgés de 12 à 19 ans, qui avaient fumé au moins 5 cigarettes par jour en moyenne au cours des 30 jours précédant le recrutement et avaient obtenu au moins 4 points au test de dépendance de la nicotine de Fagerström. Les patients ont été stratifiés en fonction de l'âge (12 à 16 ans et 17 à 19 ans) et du poids corporel (≤55 kg et >55 kg). Après une titration de deux semaines, les patients randomisés pour recevoir la varénicline et d'un poids corporel >55 kg ont reçu 1 mg deux fois par jour (groupe à haute dose) ou 0.5 mg deux fois par jour (groupe à faible dose). Les patients d'un poids corporel ≤55 kg ont reçu 0.5 mg deux fois par jour (groupe à haute dose) ou 0.5 mg une fois par jour (groupe à faible dose). Les patients ont reçu le traitement pendant 12 semaines, suivies d'une période sans traitement de 40 semaines, et ont bénéficié de conseils adaptés à leur âge pendant toute la durée de l'étude.
  • +Les résultats de l'étude ont montré qu'aucune des deux doses de varénicline n'a augmenté significativement les taux d'abstinence de la semaine 9 à la semaine 12 par rapport au placebo, que ce soit chez les patients âgés de 12 à 19 ans ou chez les patients âgés de 12 à 16 ans. L'étude n'était pas conçue de sorte à évaluer l'efficacité chez les fumeurs adolescents âgés de 17 à 19 ans. Aucune conclusion ne peut donc en être tirée pour ce groupe d'âge. Le profil de sécurité de la varénicline dans cette étude était cohérent avec celui des études menées chez des patients adultes. Toutefois, ces données ne sont globalement pas suffisantes pour démontrer la sécurité d'utilisation de la varénicline chez les patients pédiatriques (voir «Posologie/Mode d'emploi - Utilisation chez l'enfant et l'adolescent» et «Pharmacocinétique - Population pédiatrique»).
  • +
  • -Pédiatrie
  • +Population pédiatrique
  • -La pharmacocinétique après dose unique et doses répétées de varénicline a été étudiée chez l'adolescent âgé de 12 à 17 ans. Elle était à peu près proportionnelle à la dose dans les domaines posologiques étudiés de 0.5 à 2 mg par jour. Chez les patients adolescents d'un poids corporel >55 kg, l'exposition systémique à l'état d'équilibre, estimée par AUC(0-24), était similaire aux mêmes posologies aux valeurs observées chez les adultes. Chez les patients adolescents d'un poids corporel ≤55 kg, l'exposition systémique quotidienne à l'état d'équilibre à une posologie de 0.5 mg 2 fois par jour était supérieure en moyenne d'environ 40% à celle des adultes.
  • +La pharmacocinétique après dose unique et doses répétées de varénicline a été étudiée chez l'adolescent âgé de 12 à 17 ans. Elle était à peu près proportionnelle à la dose dans les domaines posologiques étudiés de 0.5 à 2 mg par jour. Chez les patients adolescents d'un poids corporel >55 kg, l'exposition systémique à l'état d'équilibre, estimée par AUC(0-24), était similaire aux mêmes posologies aux valeurs observées chez les adultes. Chez les patients adolescents d'un poids corporel ≤55 kg, l'exposition systémique quotidienne à l'état d'équilibre à une posologie de 0.5 mg 2 fois par jour était supérieure en moyenne d'environ 40% à celle des adultes (voir «Posologie/Mode d'emploi - Utilisation chez l'enfant et l'adolescent» et «Propriétés/Effets - Population pédiatrique»).
  • -Des études de carcinogénicité ont été réalisées chez la souris et le rat à des doses s'élevant respectivement jusqu'à 20 mg/kg/jour et 15 mg/kg/j. L'exposition médicamenteuse systémique (Cmax) a été 50 fois plus élevée chez le rat et la souris que chez l'être humain pour une dose de 1 mg, 2 fois par jour. Les souris et les rats femelles ayant reçu de la varénicline pendant 2 ans n'ont pas présenté de signes d'effets carcinogènes. Les rats mâles ont présenté une incidence accrue d'hibernome (tumeur du tissu adipeux brun) à la posologie moyenne (1 tumeur lors d'une exposition correspondant à 29 fois la Cmax humaine) et à la posologie maximale (2 tumeurs lors d'une exposition correspondant à 50 fois la Cmax humaine). L'importance clinique de cette observation pour l'être humain ne peut pas être clairement établie.
  • +Des études de carcinogénicité ont été réalisées chez la souris et le rat à des doses s'élevant respectivement jusqu'à 20 mg/kg/j et 15 mg/kg/j. L'exposition médicamenteuse systémique (Cmax) a été 50 fois plus élevée chez le rat et la souris que chez l'être humain pour une dose de 1 mg, 2 fois par jour. Les souris et les rats femelles ayant reçu de la varénicline pendant 2 ans n'ont pas présenté de signes d'effets carcinogènes. Les rats mâles ont présenté une incidence accrue d'hibernome (tumeur du tissu adipeux brun) à la posologie moyenne (1 tumeur lors d'une exposition correspondant à 29 fois la Cmax humaine) et à la posologie maximale (2 tumeurs lors d'une exposition correspondant à 50 fois la Cmax humaine). L'importance clinique de cette observation pour l'être humain ne peut pas être clairement établie.
  • -Champix ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Juillet 2017.
  • -LLD V019
  • +Février 2019.
  • +LLD V021
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