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Accueil - Information professionnelle sur Venlafaxin-Mepha ER 150 - Changements - 19.05.2022
60 Changements de l'information professionelle Venlafaxin-Mepha ER 150
  • -Venlafaxine sous forme de chlorhydrate de venlafaxine.
  • +Venlafaxine sous forme de chlorhydrate de venlafaxine
  • -Comme avec les autres antidépresseurs, la prudence est de rigueur lors du traitement des patients âgés (p.ex. en raison de l'insuffisance rénale et de l'éventualité de modifications de la sensibilité ou de l'affinité des neurotransmetteurs liées à l'âge). La dose minimale efficace doit toujours être utilisée et les patients doivent être étroitement surveillés lorsqu'une augmentation de la dose s'avère nécessaire.
  • +Comme avec les autres antidépresseurs, la prudence est de rigueur lors du traitement des patients âgés (par ex. en raison de l'insuffisance rénale et de l'éventualité de modifications de la sensibilité ou de l'affinité des neurotransmetteurs liées à l'âge). La dose minimale efficace doit toujours être utilisée et les patients doivent être étroitement surveillés lorsqu'une augmentation de la dose s'avère nécessaire.
  • -Comme avec d'autres agents sérotoninergiques, un syndrome sérotoninergique, pouvant engager le pronostic vital, ou des réactions ressemblant à un syndrome malin des neuroleptiques peuvent survenir sous traitement par venlafaxine, en particulier en cas d'utilisation concomitante d'autres substances susceptibles d'affecter le système des neurotransmetteurs sérotoninergiques (triptans, lithium, antidépresseurs tricycliques, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN), amphétamines, méthylphénidate, fentanyl, dextrométhorphane, tramadol, tapentadol, mépéridine, méthadone, buprénorphine, pentazocine, millepertuis [Hypericum perforatum]), les médicaments altérant le métabolisme sérotoninergique tels que l'antibiotique linézolide et le bleu de méthylène, entraînant une inhibition non sélective et réversible de la MAO ou des précurseurs de la sérotonine (tels que les suppléments contenant du tryptophane); voir «Contre-indications».
  • -Si l'association de la venlafaxine avec un ISRS, un IRSN, ou un agoniste des récepteurs de la 5-hydroxytryptamine (triptan) est cliniquement justifiée, le patient doit être rigoureusement surveillé, particulièrement lors de l'instauration du traitement et des augmentations posologiques. L'utilisation concomitante de venlafaxine et de précurseurs de la sérotonine (tels que les suppléments contenant du tryptophane) n'est pas recommandée. Les symptômes du syndrome sérotoninergique peuvent comprendre des altérations de l'état mental (p.ex. agitation, anxiété, hallucinations, irritabilité jusqu'au délire, coma), une instabilité du système nerveux autonome (p.ex. tachycardie, labilité de la pression artérielle, hyperthermie), des troubles neuromusculaires (p.ex. tremblements, myoclonies, hyperréflexie, troubles de la coordination) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (p.ex. nausées, vomissements, diarrhée). Le syndrome sérotoninergique dans sa forme la plus sévère peut ressembler à un syndrome malin des neuroleptiques qui comprend des symptômes tels qu'hyperthermie, rigidité musculaire, instabilité du système nerveux autonome avec éventuelle fluctuation rapide des signes vitaux et modifications de l'état mental.
  • +Comme avec d'autres agents sérotoninergiques, un syndrome sérotoninergique, pouvant engager le pronostic vital, ou des réactions ressemblant à un syndrome malin des neuroleptiques peuvent survenir sous traitement par venlafaxine, en particulier en cas d'utilisation concomitante d'autres substances susceptibles d'affecter le système des neurotransmetteurs sérotoninergiques (triptans, lithium, antidépresseurs tricycliques, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN), amphétamines, méthylphénidate, opioïdes [par ex. fentanyl, dextrométhorphane, tramadol, tapentadol, mépéridine, méthadone, buprénorphine, pentazocine], millepertuis [Hypericum perforatum]), les médicaments altérant le métabolisme sérotoninergique tels que l'antibiotique linézolide et le bleu de méthylène entraînant une inhibition non sélective et réversible de la MAO ou des précurseurs de la sérotonine (tels que les suppléments contenant du tryptophane); voir «Contre-indications».
  • +Si l'association de la venlafaxine avec un ISRS, un IRSN ou un agoniste des récepteurs de la 5-hydroxytryptamine (triptan) est cliniquement justifiée, le patient doit être rigoureusement surveillé, particulièrement lors de l'instauration du traitement et des augmentations posologiques. L'utilisation concomitante de venlafaxine et de précurseurs de la sérotonine (tels que les suppléments contenant du tryptophane) n'est pas recommandée. Les symptômes du syndrome sérotoninergique peuvent comprendre des altérations de l'état mental (par ex. agitation, anxiété, hallucinations, irritabilité jusqu'au délire, coma), une instabilité du système nerveux autonome (par ex. tachycardie, labilité de la pression artérielle, hyperthermie), des troubles neuromusculaires (par ex. tremblements, myoclonies, hyperréflexie, troubles de la coordination) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (par ex. nausées, vomissements, diarrhée). Le syndrome sérotoninergique dans sa forme la plus sévère peut ressembler à un syndrome malin des neuroleptiques qui comprend des symptômes tels qu'hyperthermie, rigidité musculaire, instabilité du système nerveux autonome avec éventuelle fluctuation rapide des signes vitaux et modifications de l'état mental.
  • -Les autres troubles psychiatriques dans lesquels la venlafaxine est prescrite peuvent également être associés à un risque accru de comportement suicidaire. De plus, ces troubles peuvent être associés à une depression (épisode dépressif majeur). Les mêmes précautions d'emploi que celles mentionnées pour les patients souffrant de dépressions devront donc être appliquées aux patients présentant d'autres troubles psychiatriques.
  • -Les patients ayant des antécédents de comportement de type suicidaire ou ceux exprimant des intentions suicidaires marquées avant de débuter le traitement présentent un risque plus élevé de survenue d'idées suicidaires ou de tentatives de suicide. Ils doivent donc faire l'objet d'une surveillance particulièrement étroite pendant le traitement. Une méta-analyse d'essais cliniques contrôlés versus placebo sur l'utilisation d'antidépresseurs chez l'adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement de type suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo.
  • +Les autres troubles psychiatriques dans lesquels la venlafaxine est prescrite peuvent également être associés à un risque accru de comportement suicidaire. De plus, ces troubles peuvent être associés à une dépression (épisode dépressif majeur). Les mêmes précautions d'emploi que celles mentionnées pour les patients souffrant de dépressions devront donc être appliquées aux patients présentant d'autres troubles psychiatriques.
  • +Les patients ayant des antécédents de comportement suicidaire ou ceux exprimant des intentions suicidaires marquées avant de débuter le traitement présentent un risque plus élevé de survenue d'idées suicidaires ou de tentatives de suicide. Ils doivent donc faire l'objet d'une surveillance particulièrement étroite pendant le traitement. Une méta-analyse d'essais cliniques contrôlés versus placebo sur l'utilisation d'antidépresseurs chez l'adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo.
  • -Au cours des études épidémiologiques, principalement des études conduites avec des patients de 50 ans ou plus, un risque accru de fractures osseuses a été observé chez ceux ayant reçu des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (IRS), y compris la venlafaxine ou des antidépresseurs tricycliques (ATC). Le mécanisme à l'origine de ce risque accru n'est pas encore connu à l'heure actuelle.
  • +Au cours des études épidémiologiques, principalement des études conduites avec des patients de 50 ans ou plus, un risque accru de fractures osseuses a été observé chez ceux ayant reçu des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (IRS), y compris la venlafaxine ou des antidépresseurs tricycliques (ATC). Le mécanisme à l'origine de ce risque n'est pas encore connu à l'heure actuelle.
  • -Les patients souffrant d'insuffisance rénale (DFG= 10–70 ml/min) ou de troubles de la fonction hépatique présentent une diminution de la clairance de la venlafaxine et de son métabolite actif, et par conséquent une prolongation de temps de la demi-vie d'élimination de ces substances. Une dose plus faible est nécessaire (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Venlafaxin-Mepha/-ER doit être administré avec precaution chez ces patients.
  • +Les patients souffrant d'insuffisance rénale (DFG= 10–70 ml/min) ou de troubles de la fonction hépatique présentent une diminution de la clairance de la venlafaxine et de son métabolite actif, et par conséquent une prolongation de la demi-vie d'élimination de ces substances. Une dose plus faible est nécessaire (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Venlafaxin-Mepha/-ER doit être administré avec précaution chez ces patients.
  • -Des élévations dose-dépendantes de la pression artérielle dose-dépendantes ont été fréquemment rapportées avec la venlafaxine. Depuis la commercialisation, quelques cas d'élévation sévère de la pression artérielle nécessitant un traitement immédiat ont été rapportés. La pression artérielle de tous les patients doit être vérifiée attentivement, et toute hypertension artérielle préexistante doit être contrôlée avant de débuter le traitement. La pression artérielle doit être contrôlée périodiquement, après instauration du traitement et après les augmentations de posologie. La prudence est de mise chez les patients qui présentent un état de santé pouvant être détérioré par des élévations de la pression artérielle, comme une insuffisance cardiaque.
  • +Des élévations dose-dépendantes de la pression artérielle ont été fréquemment rapportées avec la venlafaxine. Depuis la commercialisation, quelques cas d'élévation sévère de la pression artérielle nécessitant un traitement immédiat ont été rapportés. La pression artérielle de tous les patients doit être vérifiée attentivement, et toute hypertension artérielle préexistante doit être contrôlée avant de débuter le traitement. La pression artérielle doit être contrôlée périodiquement, après instauration du traitement et après les augmentations de posologie. La prudence est de mise chez les patients qui présentent un état de santé pouvant être détérioré par des élévations de la pression artérielle, comme une insuffisance cardiaque.
  • -Depuis la commercialisation, des cas d'allongement de l'intervalle QT, des torsades de pointes (tdp), des tachycardies ventriculaires, des morts subites et des cas d'arythmie cardiaque fatale ont été rapportés avec la venlafaxine. La plupart des cas sont apparus dans un contexte de surdosage ou chez des patients présentant d'autres facteurs de risque d'allongement de l'intervalle QT/de tdp. Pour cette raison que la venlafaxine doit être utilisée avec prudence chez les patients présentant d'autres facteurs de risque d'allongement de l'intervalle QT (voir «Interactions» et «Surdosage»). Le rapport bénéfices/risques doit être soupesé au regard des bénéfices attendus avant de prescrire la venlafaxine chez des patients présentant un risque élevé d'arythmie cardiaque sévère.
  • +Depuis la commercialisation, des cas d'allongement de l'intervalle QT, des torsades de pointes (tdp), des tachycardies ventriculaires, des morts subites et des cas d'arythmie cardiaque fatale ont été rapportés avec la venlafaxine. La plupart des cas sont apparus dans un contexte de surdosage ou chez des patients présentant d'autres facteurs de risque d'allongement de l'intervalle QT/de tdp. Pour cette raison, la venlafaxine doit être utilisée avec prudence chez les patients présentant d'autres facteurs de risque d'allongement de l'intervalle QT (voir «Interactions» et «Surdosage»). Le rapport bénéfices/risques doit être soupesé avant de prescrire la venlafaxine chez des patients présentant un risque élevé d'arythmie cardiaque sévère.
  • -Le risque de réactions de sevrage peut dépendre de plusieurs facteurs, dont la durée du traitement, la posologie et la vitesse de la réduction de la dose. Les réactions les plus fréquemment rapportées sont les suivantes: sensation vertigineuse, troubles de la sensibilité (y compris paresthésies), des troubles du sommeil (y compris insomnie et des rêves intenses), excitation ou anxiété, des nausées et/ou des vomissements, des tremblements, des céphalées, une détérioration de la vue et hypertension. Ces symptômes sont en général d'intensité légère à modérée, mais leur intensité peut être sévère chez certains patients. Ils surviennent habituellement dans les premiers jours suivant l'arrêt du traitement, mais, dans de très rares cas, de tels symptômes ont aussi été rapportés chez des patients ayant oublié une dose par inadvertance. Ces symptômes sont en général spontanément résolutifs et disparaissent en 2 semaines. Ils peuvent durer plus longtemps (2 à 3 mois ou plus) chez certaines personnes. Des suicides/idées suicidaires et comportements d'agression ont été observés chez des patients lors de modifications des schémas posologiques de la venlafaxine et pendant l'arrêt de la venlafaxine (voir ci-dessus «Suicide/idées suicidaires ou aggravation clinique»). Lors de l'arrêt du traitement par la venlafaxine, il peut donc être nécessaire de diminuer progressivement la dose sur une période de plusieurs semaines ou mois, en fonction des besoins du patient (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Chez certains patients, l'arrêt peut durer plusieurs mois ou plus.
  • +Le risque de réactions de sevrage peut dépendre de plusieurs facteurs, dont la durée du traitement, la posologie et la vitesse de la réduction de la dose. Les réactions les plus fréquemment rapportées sont les suivantes: sensation vertigineuse, troubles de la sensibilité (y compris paresthésies), troubles du sommeil (y compris insomnie et rêves intenses), excitation ou anxiété, nausées et/ou vomissements, tremblements, céphalées, détérioration de la vue et hypertension. Ces symptômes sont en général d'intensité légère à modérée, mais leur intensité peut être sévère chez certains patients. Ils surviennent habituellement dans les premiers jours suivant l'arrêt du traitement, mais, dans de très rares cas, de tels symptômes ont aussi été rapportés chez des patients ayant oublié une dose par inadvertance. Ces symptômes sont en général spontanément résolutifs et disparaissent en 2 semaines. Ils peuvent durer plus longtemps (2 à 3 mois ou plus) chez certaines personnes. Des suicides/idées suicidaires et comportements d'agression ont été observés chez des patients lors de modifications des schémas posologiques de la venlafaxine et pendant l'arrêt de la venlafaxine (voir ci-dessus «Suicide/idées suicidaires ou aggravation clinique»). Lors de l'arrêt du traitement par la venlafaxine, il peut donc être nécessaire de diminuer progressivement la dose sur une période de plusieurs semaines ou mois, en fonction des besoins du patient (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Chez certains patients, l'arrêt peut durer plusieurs mois ou plus.
  • -Les ISRS/IRSN peuvent augmenter le risque d'hémorragie du postpartum (voir les rubriques «Grossesse, Allaitement» et «Effets indésirables»).
  • +Les ISRS/IRSN peuvent augmenter le risque d'hémorragie du postpartum (voir «Grossesse, Allaitement» et «Effets indésirables»).
  • -La sécurité d'emploi et l'effet de la venlafaxine en association avec des anorexigènes, y compris la phentermine n'ont pas fait l'objet d'études. De ce fait, une telle association n'est pas recommandée. La venlafaxine n'est pas indiquée en tant qu'agent de perte pondérale, que ce soit seule ou associée à d'autres médicaments.
  • +La sécurité d'emploi et l'effet de la venlafaxine en association avec des anorexigènes, y compris la phentermine, n'ont pas fait l'objet d'études. De ce fait, une telle association n'est pas recommandée. La venlafaxine n'est pas indiquée en tant qu'agent de perte pondérale, que ce soit seule ou associée à d'autres médicaments.
  • -La venlafaxine ne doit pas être administrée en association avec des IMAO non sélectifs irréversibles. Un traitement par la venlafaxine ne doit pas être débuté avant au moins 14 jours après l'arrêt d'un traitement par un IMAO non sélectif irréversible. L'administration de venlafaxine doit être terminée au moins 7 jours avant l'instauration d'un traitement par un IMAO non sélectif irréversible (voir «Contre-indications»).
  • -Inhibiteurs sélectifs irréversibles de la MAO-B (p.ex. sélégiline)
  • +La venlafaxine ne doit pas être administrée en association avec des IMAO non sélectifs irréversibles. Un traitement par la venlafaxine ne doit pas être débuté moins de 14 jours après l'arrêt d'un traitement par un IMAO non sélectif irréversible. L'administration de venlafaxine doit être terminée au moins 7 jours avant l'instauration d'un traitement par un IMAO non sélectif irréversible (voir «Contre-indications»).
  • +Inhibiteurs sélectifs irréversibles de la MAO-B (par ex. sélégiline)
  • -En raison du risque de syndrome sérotoninergique, l'association de venlafaxine et d'un IMAO sélectif réversible, comme p.ex. le moclobémide, n'est pas recommandée. Après un traitement par un IMAO réversible, un délai d'attente de moins de 14 jours peut être envisagé avant l'instauration d'un traitement par la venlafaxine. Il est recommandé d'arrêter la venlafaxine au moins 7 jours avant l'instauration d'un traitement par un IMAO réversible (voir «Contre-indications»).
  • -IMAO non sélectif réversible (p.ex. linézolide)
  • +En raison du risque de syndrome sérotoninergique, l'association de venlafaxine et d'un IMAO sélectif réversible, comme par ex. le moclobémide, n'est pas recommandée. Après un traitement par un IMAO réversible, un délai d'attente de moins de 14 jours peut être envisagé avant l'instauration d'un traitement par la venlafaxine. Il est recommandé d'arrêter la venlafaxine au moins 7 jours avant l'instauration d'un traitement par un IMAO réversible (voir «Contre-indications»).
  • +IMAO non sélectif réversible (par ex. linézolide)
  • -Comme avec les autres principes actifs sérotoninergiques, un syndrome sérotoninergique peut survenir sous traitement par venlafaxine, en particulier en cas d'utilisation concomitante d'autres substances susceptibles d'affecter le système des neurotransmetteurs sérotoninergiques (y compris les triptans, les ISRS, les IRSN, les amphétamines, le méthylphénidate, le lithium, le fentanyl et ses analogues, le tramadol, la buprenorphine, le dextrométhorphane, le tapentadol, la mépéridine, la méthadone, la pentazocine ou le millepertuis [Hypericum perforatum], de médicaments inhibant le métabolisme de la sérotonine (y compris les IMAO, comme p.ex. le bleu de méthylène) ou de précurseurs de la sérotonine [p.ex. suppléments contenant du tryptophane]).
  • -Si pour des raisons cliniques, un traitement simultané par la venlafaxine et un ISRS, un IRSN ou un agoniste des récepteurs de la sérotonine (triptan) s'avère nécessaire, le patient doit être étroitement surveillé, en particulier au début du traitement et en cas d'augmentation de la dose. L'utilisation simultanée de la venlafaxine et de précurseurs de la sérotonine (p.ex. suppléments contenant du tryptophane) n'est pas recommandée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Comme avec les autres principes actifs sérotoninergiques, un syndrome sérotoninergique peut survenir sous traitement par venlafaxine, en particulier en cas d'utilisation concomitante d'autres substances susceptibles d'affecter le système des neurotransmetteurs sérotoninergiques (y compris les triptans, les ISRS, les IRSN, les amphétamines, le méthylphénidate, le lithium, les opioïdes [par ex. le fentanyl et ses analogues, le tramadol, la buprénorphine, le dextrométhorphane, le tapentadol, la mépéridine, la méthadone, la pentazocine] ou le millepertuis [Hypericum perforatum]), de médicaments affectant le métabolisme de la sérotonine (y compris les IMAO comme le bleu de méthylène) ou de précurseurs de la sérotonine [par ex. suppléments contenant du tryptophane]).
  • +Si pour des raisons cliniques, un traitement simultané par la venlafaxine et un ISRS, un IRSN ou un agoniste des récepteurs de la sérotonine (triptan) s'avère nécessaire, le patient doit être étroitement surveillé, en particulier au début du traitement et en cas d'augmentation de la dose. L'utilisation simultanée de la venlafaxine et de précurseurs de la sérotonine (par ex. suppléments contenant du tryptophane) n'est pas recommandée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Le risque lié à l'utilisation de la venlafaxine en association à d'autres substances agissant sur le SNC n'a pas été systématiquement évalué. La prudence est donc de rigueur lorsque la venlafaxine co-administrée avec d'autres substances agissant sur le SNC.
  • +Le risque lié à l'utilisation de la venlafaxine en association à d'autres substances agissant sur le SNC n'a pas été systématiquement évalué. La prudence est donc de rigueur lorsque la venlafaxine est co-administrée avec d'autres substances agissant sur le SNC.
  • -L'utilisation simultanée d'inhibiteurs du CYP3A4 (p.ex. atazanavir, clarithromycine, itraconazole, voriconazole, posaconazole, kétoconazole, nelfinavir, ritonavir, saquinavir) et de venlafaxine peut augmenter la concentration de la venlafaxine et de l'O-déméthylvenlafaxine. La prudence est donc de rigueur lorsque le traitement d'un patient comprend une association de venlafaxine et d'un inhibiteur du CYP3A4.
  • +L'utilisation simultanée d'inhibiteurs du CYP3A4 (par ex. atazanavir, clarithromycine, itraconazole, voriconazole, posaconazole, kétoconazole, nelfinavir, ritonavir, saquinavir) et de venlafaxine peut augmenter la concentration de la venlafaxine et de l'O-déméthylvenlafaxine. La prudence est donc de rigueur lorsque le traitement d'un patient comprend une association de venlafaxine et d'un inhibiteur du CYP3A4.
  • -Aucun indice d'effets tératogènes n'a été mis en évidence dans les expérimentations animales. Il n'existe aucune étude contrôlée chez l'être humain. Pour cette raison, Venlafaxin-Mepha/- ER ne doit pas être utilisé pendant la grossesse qu'en cas de nécessité absolue.
  • +Aucun indice d'effets tératogènes n'a été mis en évidence dans les expérimentations animales. Il n'existe aucune étude contrôlée chez l'être humain. Pour cette raison, Venlafaxin-Mepha/- ER ne doit être utilisé pendant la grossesse qu'en cas de nécessité absolue.
  • -Si la mère a utilisé des ISRS/IRSN en fin de grossesse, les symptômes suivants peuvent être observés chez les nouveau-nés: irritabilité, tremblements, hypotonie musculaire, difficultés respiratoires, convulsions, fluctuations de la régulation de la température, hypoglycémie, hyperréflexie, vomissements, pleurs persistants, troubles de la succion et du sommeil. Ces symptômes peuvent être soit des signes d'effets sérotoninergiques soit des symptômes d'exposition. Dans la majorité des cas, ces complications sont observées immédiatement ou dans les 24 heures après l'accouchement.
  • -Une exposition aux IRSN au cours du deuxième ou du troisième trimestre de grossesse peut augmenter le risque de pré-éclampsie, et les données d'observation indiquent un risque accru (moins du double) d'hémorragie du postpartum consécutive à une exposition aux ISRS/IRSN au cours du mois précédant l'accouchement (voir les rubriques «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
  • +Si la mère a utilisé des ISRS/IRSN en fin de grossesse, les symptômes suivants peuvent être observés chez les nouveau-nés: irritabilité, tremblements, hypotonie musculaire, difficultés respiratoires, convulsions, fluctuations de la température, hypoglycémie, hyperréflexie, vomissements, pleurs persistants, troubles de la succion et du sommeil. Ces symptômes peuvent être soit des signes d'effets sérotoninergiques soit des symptômes d'exposition. Dans la majorité des cas, ces complications sont observées immédiatement ou dans les 24 heures après l'accouchement.
  • +Une exposition aux IRSN au cours du deuxième ou du troisième trimestre de grossesse peut augmenter le risque de pré-éclampsie, et les données d'observation indiquent un risque accru (moins du double) d'hémorragie du postpartum consécutive à une exposition aux ISRS/IRSN au cours du mois précédant l'accouchement (voir «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
  • -Les effets indésirables sont répertoriés en fonction des classes d'organes et de la fréquence, dans les catégories suivantes:
  • -«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1'000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (la fréquence ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Les effets indésirables sont rangés par classe de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante:«très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1'000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Fréquence inconnue: automutilation.
  • +Fréquence inconnue: prédisposition à l'automutilation.
  • -Occasionnels: métrorragie, métrorragie.
  • +Occasionnels: métrorragie, ménorragie.
  • -* Cet événement a été rapporté dans la classe thérapeutique des ISRS/IRSN (voir les rubriques «Mises en garde et précautions» et «Grossesse, Allaitement»).
  • +* Cet événement a été rapporté dans la classe thérapeutique des ISRS/IRSN (voir «Mises en garde et précautions» et «Grossesse, Allaitement»).
  • -Les effets indésirables suivants ont notamment été observés en particulier auprès de la population pédiatrique: douleurs abdominales, agitation, dyspepsie, petites lesions hémorragiques cutanées, saignement de nez et myalgies.
  • +Les effets indésirables suivants ont été observés en particulier auprès de la population prédiatrique: douleurs abdominales, agitation, dyspepsie, petites lésions hémorragiques cutanées, saignement de nez et myalgies.
  • -Depuis la commercialisation, le surdosage de venlafaxine a surtout été rapporté en particulier en association avec de l'alcool et/ou d'autres médicaments.
  • +Depuis la commercialisation, le surdosage de venlafaxine a surtout été rapporté en association avec la prise d'alcool et/ou d'autres médicaments.
  • -Par sa structure chimique, la venlafaxine n'est pas apparentée aux ISRS, aux antidépresseurs tricycliques et tétracycliques ou à d'autres substances antidépressives disponibles.
  • -La venlafaxine et son métabolite principal, l'O-déméthylvenlafaxine, dont l'activité est presque égale à celle de la venlafaxine, sont des inhibiteurs puissants de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline et des inhibiteurs faibles de la recapture de la dopamine.
  • +Par sa structure chimique, la venlafaxine n'est pas apparentée aux ISRS, aux antidépresseurs tricycliques et tétracycliques ou à d'autres substances antidépressives disponibles.La venlafaxine et son métabolite principal, l'O-déméthylvenlafaxine, dont l'activité est presque égale à celle de la venlafaxine, sont des inhibiteurs puissants de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline et des inhibiteurs faibles de la recapture de la dopamine.
  • -Au cours d'une étude approfondie sur le QTc menée chez des volontaires sains, la venlafaxine n'a montré aucun allongement cliniquement significatif de l'intervalle QT, à des doses de 450 mg/jour (administrées à raison de 225 mg 2x par jour).
  • +Au cours d'une étude approfondie sur le QTc menée chez des volontaires sains, la venlafaxine n'a montré aucun allongement cliniquement significatif de l'intervalle QT, à des doses de 450 mg/jour (administrées à raison de 225 mg deux fois par jour).
  • -Après la prise de venlafaxine (forme galénique à libération prolongée du principe actif), le temps de demi-vie d'élimination apparent atteint 15 ± 6 h, et correspond à la demi-vie d'absorption, car l'absorption est alors plus lente que l'élimination.
  • +Après la prise de venlafaxine (forme galénique à libération prolongée du principe actif), le temps de demi-vie d'élimination apparente atteint 15 ± 6 h, et correspond à la demi-vie d'absorption, car l'absorption est alors plus lente que l'élimination.
  • -Suite à l'administration orale de venlafaxine à des patients présentant une cirrhose hépatique, la pharmacocinétique de la venlafaxine et de son métabolite l'O-déméthylvenlafaxine a été modifiée de manière significative. En comparaison avec des personnes saines, la demi-vie d'élimination chez les patients présentant une cirrhose hépatique était prolongée jusqu'à environ 30% pour la venlafaxine et de 60% pour l'O-déméthylvenlafaxine, alors que la clairance était diminuée respectivement d'environ 50% et 30%. Une grande variabilité a été observée entre les sujets. Les patients présentant une cirrhose plus sévère montraient une nette diminution (environ 90%) de la clairance de la venlafaxine. Une adaptation posologique est nécessaire chez ces patients (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Suite à l'administration orale de venlafaxine à des patients présentant une cirrhose hépatique, la pharmacocinétique de la venlafaxine et de son métabolite l'O-déméthylvenlafaxine a été modifiée de manière significative. En comparaison avec des personnes saines, la demi-vie d'élimination chez les patients présentant une cirrhose hépatique était prolongée jusqu'à environ 30% pour la venlafaxine et 60% pour l'O-déméthylvenlafaxine, alors que la clairance était diminuée respectivement d'environ 50% et 30%. Une grande variabilité a été observée entre les sujets. Les patients présentant une cirrhose plus sévère montraient une nette diminution (environ 90%) de la clairance de la venlafaxine. Une adaptation posologique est nécessaire chez ces patients (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Venlafaxin-Mepha 37.5 mg comprimés: Conserver dans l'emballage d'origine et ne pas conserver au-dessus de 25 °C.
  • -Venlafaxin-Mepha ER Depocaps: Conserver dans l'emballage d'origine et ne pas conserver au-dessus de 30 °C.
  • +Venlafaxin-Mepha 37.5 mg comprimés: Conserver dans l'emballage d'origine. Ne pas conserver au-dessus de 25°C.
  • +Venlafaxin-Mepha ER Depocaps: Conserver dans l'emballage d'origine. Ne pas conserver au-dessus de 30°C.
  • -Février 2021.
  • -Numéro de version interne: 9.1
  • +Décembre 2021.
  • +Numéro de version interne: 10.1
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