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Accueil - Information professionnelle sur Alendron-Mepha 70 mg - Changements - 27.09.2016
26 Changements de l'information professionelle Alendron-Mepha 70 mg
  • -1 Lactab Alendron-Mepha 70 contient: 70 mg d'alendronate sous forme de trihydrate sodique d'alendronate 91,37 mg.
  • +1 Lactab Alendron-Mepha contient: 70 mg d'alendronate sous forme de trihydrate sodique d'alendronate 91,37 mg.
  • -Pour faciliter le transport dans l'estomac et prévenir le risque d'irritations/d'effets indésirables locaux et oesophagiens (voir sous «Mises en garde et précautions»)
  • +Pour faciliter le transport dans l'estomac et prévenir le risque d'irritations/d'effets indésirables locales et oesophagiens (voir sous «Mises en garde et précautions»),
  • -·après la prise du médicament, les patients ne devraient se recoucher, au besoin, qu'au plus tôt après 30 minutes et après la première prise d'aliments;
  • +·après la prise d'Alendron-Mepha, les patients ne devraient se recoucher, au besoin, qu'au plus tôt après 30 minutes et après la première prise d'aliments;
  • -L'emploi d'Alendron-Mepha n'est pas indiqué chez les enfants et les adolescents.
  • +Alendron-Mepha n'est pas indiqué chez les enfants et les adolescents.
  • -Grossesse/allaitement.
  • +Grossesse/Allaitement.
  • -Dans le cadre du traitement à l'alendronate, de faibles diminutions asymptomatiques du calcium et du phosphate sériques peuvent apparaître, et en particulier chez les patients recevant des glucocorticoïdes, l'absorption de calcium peut être plus faible.
  • -On a cependant rapporté de rares cas, en partie sévères, d'hypocalcémie symptomatique, souvent chez des patients présentant des facteurs de prédisposition correspondants tels que, par exemple, hypoparathyroïdie, carence en vitamine D et malabsorption de calcium (voir sous «Effets indésirables»).
  • +Dans le cadre du traitement à l'alendronate, de faibles diminutions asymptomatiques du calcium et du phosphate sériques peuvent apparaître, et en particulier chez les patients recevant des glucocorticoïdes, l'absorption de calcium peut être plus faible. On a cependant rapporté de rares cas, en partie sévères, d'hypocalcémie symptomatique, souvent chez des patients présentant des facteurs de prédisposition correspondants tels que, par exemple, hypoparathyroïdie, carence en vitamine D et malabsorption de calcium (voir sous «Effets indésirables»).
  • -Des fractures «à faible énergie» en localisation sous-trochantérienne ou diaphysaire proximale du fémur ont été rapportées chez un faible nombre de patients traités aux bisphosphonates au cours prolongé (habituellement plus long que 3 ans). Certaines d'entre elles étaient des fractures de stress (bien que certaines d'entre elles aient été décrites comme fractures par insuffisance) qui s'étaient produites en l'absence d'un traumatisme apparent. Certains patients avaient ressenti antérieurement (des semaines ou des mois avant la fracture complète) des douleurs dans la zone en question, souvent associées à des signes radiologiques d'une fracture de stress.
  • -Environ un tiers de ces fractures ont été bilatérales. Le fémur contro-latéral doit donc aussi être examiné chez les patients ayant souffert d'une fracture de stress de la diaphyse fémorale. Des fractures de stress avec une clinique similaire ont été observées également chez des patients non traités aux bisphosphonates. Les patients chez lesquels une fracture de stress est suspectée doivent être soumis à une évaluation incluant les causes et facteurs de risque connus (par exemple carence en vitamine D, malabsorption, traitement aux glucocorticoïdes, antécédents de fractures de stress, arthrite ou fracture de membres inférieurs, contraintes physiques accrues ou extrêmes, diabète sucré, abus chronique d'alcool) et recevoir un traitement orthopédique approprié. Chez les patients ayant subi une fracture de stress, on considérera un arrêt du traitement aux bisphosphonates sur la base d'une analyse individuelle des bénéfices et des risques.
  • +Des fractures «à faible énergie» en localisation sous-trochantérienne ou diaphysaire proximale du fémur ont été rapportées chez un faible nombre de patients traités aux bisphosphonates au cours prolongé (habituellement plus long que 3 ans). Certaines d'entre elles étaient des fractures de stress (bien que certaines d'entre elles aient été décrites comme fractures par insuffisance) qui s'étaient produites en l'absence d'un traumatisme apparent. Certains patients avaient ressenti antérieurement (des semaines ou des mois avant la fracture complète) des douleurs dans la zone en question, souvent associées à des signes radiologiques d'une fracture de stress. Environ un tiers de ces fractures ont été bilatérales. Le fémur contro-latéral doit donc aussi être examiné chez les patients ayant souffert d'une fracture de stress de la diaphyse fémorale. Des fractures de stress avec une clinique similaire ont été observées également chez des patients non traités aux bisphosphonates. Les patients chez lesquels une fracture de stress est suspectée doivent être soumis à une évaluation incluant les causes et facteurs de risque connus (par exemple carence en vitamine D, malabsorption, traitement aux glucocorticoïdes, antécédent d'une fracture de stress, arthrite ou fracture de membres inférieurs, contraintes physiques accrues ou extrêmes, diabète sucré, abus chronique d'alcool) et recevoir un traitement orthopédique approprié. Chez les patients ayant subi une fracture de stress, on considérera un arrêt du traitement aux bisphosphonates sur la base d'une analyse individuelle des bénéfices et des risques.
  • -Des vertiges ont été signalés depuis la mise sur le marché.
  • +Des vertiges et rarement cholestéatome du conduit auditif externe (ostéonécrose focale) ont été signalés depuis la mise sur le marché.
  • -L'alendronate est un aminobiphosphonate pour lequel l'expérimentation animale a montré qu'il se dépose préférentiellement au niveau des zones de résorption osseuse (principalement sous les ostéoclastes) et qu'il inhibe la résorption osseuse ostéoclastique sans effet direct sur la formation osseuse. Etant donné que la formation et la résorption sont couplées, la formation osseuse diminue également, mais dans tous les cas moins que la résorption osseuse. Ceci entraîne une augmentation progressive de la masse osseuse. Sous traitement par l'alendronate, l'os formé est de qualité normale et l'alendronate est intégré dans la matrice osseuse sous une forme pharmacologiquement inactive.
  • +L'alendronate est un biphosphonate pour lequel l'expérimentation animale a montré qu'il se dépose préférentiellement au niveau des zones de résorption osseuse (principalement sous les ostéoclastes) et qu'il inhibe la résorption osseuse ostéoclastique sans effet direct sur la formation osseuse. Etant donné que la formation et la résorption sont couplées, la formation osseuse diminue également, mais dans tous les cas moins que la résorption osseuse. Ceci entraîne une augmentation progressive de la masse osseuse. Sous traitement par l'alendronate, l'os formé est de qualité normale et l'alendronate est intégré dans la matrice osseuse sous une forme pharmacologiquement inactive.
  • -L'analyse des données cliniques poolées des deux plus grandes études de 3 ans, incluant des femmes en post-ménopause souffrant d'ostéoporose (N= 881; alendronate: 526; placebo: 355), a montré une diminution statistiquement significative et cliniquement importante de 48% du nombre de patientes ayant présenté une ou plusieurs fractures vertébrales sous alendronate une fois par jour, par rapport au groupe placebo (p= 0,034; 3,2% sous alendronate contre 6,2% sous placebo). L'analyse de toutes les patientes ayant présenté une fracture vertébrale a permis de montrer une perte moindre de la taille corporelle sous alendronate (5,9 mm contre 23,3 mm). Cette différence est due à la diminution tant du nombre que de la sévérité des fractures.
  • -Les résultats obtenus en trois ans durant la Fracture-Intervention-Study (FIT) chez les femmes en post-ménopause souffrant d'ostéoporose et ayant présenté au moins une fracture des vertèbres (par compression) avant le début de l'étude ont montré la réduction de l'incidence des fractures par l'alendronate. Le traitement à l'alendronate a montré une réduction statistiquement et cliniquement significative de la proportion de patients avec: une ou plusieurs nouvelles fractures des vertèbres (alendronate 8,0% contre placebo 15,0%; une réduction de 47%); deux ou plus de nouvelles fractures vertébrales (0,5% contre 4,9%; une réduction de 90%); une ou plusieurs fractures vertébrales douloureuses (2,3% contre 5,0%; une réduction de 55%); n'importe quelle fracture clinique (douloureuse) (13,7% contre 18,3%; une réduction de 28%), des fractures de la hanche (1,1% contre 2,2%; une réduction de 51%, p= 0,047) et des fractures du poignet (2,2% contre 4,1%; une réduction de 48%, p= 0,013).
  • -L'analyse des données cliniques poolées de 5 autres études sur le traitement de l'ostéoporose a démontré une réduction des fractures de la hanche et du poignet de proportion similaire.
  • -Durant trois ans, la réduction de la fréquence des fractures vertébrales (alendronate contre placebo) dans l'étude sur fractures vertébrales de FIT (dans le cadre de laquelle toutes les femmes ont présenté au moins une fracture vertébrale comme critère d'inclusion) était congruente avec les résultats des deux plus grandes études antérieures sur le traitement (voir plus haut), dans le cadre desquelles 20% des femmes présentaient une fracture vertébrale avant le début de l'étude.
  • -Globalement, ces résultats consistants montrent l'efficacité d'alendronate pour la réduction de l'incidence des fractures dans la colonne vertébrale, la hanche et le poignet et par conséquent dans les localisations plus fréquentes avec des fractures dues à l'ostéoporose chez les femmes en post-ménopause.
  • +L'analyse des données cliniques poolées des deux grandes études de 3 ans, incluant des femmes en post-ménopause souffrant d'ostéoporose (N= 881; alendronate: 526; placebo: 355), a montré une diminution statistiquement significative et cliniquement importante de 48% du nombre de patientes ayant présenté une ou plusieurs fractures vertébrales sous alendronate une fois par jour, par rapport au groupe placebo (p= 0,034; 3,2% sous alendronate contre 6,2% sous placebo). L'analyse de toutes les patientes ayant présenté une fracture vertébrale a permis de montrer une perte moindre de la taille corporelle sous alendronate (5,9 mm contre 23,3 mm), due à une diminution tant du nombre que de la sévérité des fractures.
  • +Les résultats obtenus en trois ans durant la Fracture-Intervention-Study (FIT) chez les femmes en post-ménopause souffrant d'ostéoporose et ayant présenté au moins une fracture des vertèbres (par compression) avant le début de l'étude ont montré ou outre la réduction de l'incidence des fractures par l'alendronate. Le traitement à l'alendronate a montré une réduction statistiquement et cliniquement significative de la proportion de patientes avec: une ou plusieurs nouvelles fractures des vertèbres (alendronate 7,9% contre placebo 15,0%; une réduction de 47%); deux ou plus de nouvelles fractures vertébrales (0,5% contre 4,9%; une réduction de 90%); une ou plusieurs fractures vertébrales douloureuses (2,3% contre 5,0%; une réduction de 54%); n'importe quelle fracture clinique (c'est-à-dire douloureuse) (13,8% contre 18,1%; une réduction de 26%), des fractures de la hanche (1,1% contre 2,2%; une réduction de 51%, p= 0,047) et des fractures du poignet (2,2% contre 4,1%; une réduction de 48%, p= 0,013).
  • +L'analyse des données poolées de 5 autres études de l'ostéoporose a démontré une réduction des fractures de la hanche et du poignet de proportion similaire.
  • +Durant trois ans, la réduction de la fréquence des fractures vertébrales (alendronate contre placebo) dans la Vertebral-Fracture-Study de FIT (dans le cadre de laquelle toutes les femmes ont présenté au moins une fracture vertébrale comme critère d'inclusion) était congruente avec les résultats des deux grandes études antérieures (voir plus haut), dans le cadre desquelles 20% des femmes présentaient une fracture vertébrale avant le début de l'étude.
  • +Globalement, ces résultats consistants montrent l'efficacité d'alendronate pour la réduction de l'incidence des fractures ostéoporotiques au niveau de la colonne vertébrale, de la hanche et du poignet et par conséquent dans les localisations plus fréquentes avec des fractures ostéoporotiques chez les femmes en post-ménopause.
  • -Conserver Alendron-Mepha Lactab dans l'emballage d'origine et à température ambiante (15-25 °C). Tenir hors de la portée des enfants.
  • +A conserver dans l'emballage d'origine, à température ambiante (1525 °C) et hors de la portée des enfants.
  • -Alendron-Mepha 70 mg: EO 4 (B).
  • -Alendron-Mepha 70 mg: EO 12 (B).
  • +Alendron-Mepha 70 mg: emballages de 4 Lactab (B).
  • +Alendron-Mepha 70 mg: emballages de 12 Lactab (B).
  • -Mai 2015.
  • -Numéro de version interne: 6.2
  • +Mars 2016.
  • +Numéro de version interne: 7.2
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