36 Änderungen an Fachinfo Clarithromycin Spirig HC 125 |
-Chez l'enfant de 6 mois à 12 ans, la dose quotidienne recommandée de Claromycine suspension (125 mg resp. 250 mg de clarithromycine/5 ml) est de 15 mg/kg PC en deux prises (2× 7,5 mg/kg PC).
- +Chez l'enfant de 6 mois à 12 ans, la dose quotidienne recommandée de Claromycine suspension (125 mg/250 mg de clarithromycine/5 ml) est de 15 mg/kg PC en deux prises (2× 7,5 mg/kg PC).
-125 mg/5 ml forte 250 mg/5 ml
- + 125 mg/5 ml forte 250 mg/5 ml
-L'administration simultanée de clarithromycine avec de l'astémizole, du cisapride, du pimozide, de la quétiapine et de la terfénadine, est contre-indiquée, car elle peut entraîner une prolongation de QT et des arythmies, tachycardies ventriculaires, fibrillations ventriculaires et torsades de pointes incluses (voir «Interactions»).
- +L'administration simultanée de clarithromycine avec de l'astémizole, du cisapride, de la dompéridone, du pimozide, de la quétiapine et de la terfénadine, est contre-indiquée, car elle peut entraîner une prolongation de QT et des arythmies, tachycardies ventriculaires, fibrillations ventriculaires et torsades de pointes incluses (voir «Interactions»).
-Comme la clarithromycine est essentiellement éliminée par le foie, on surveillera soigneusement les patients souffrant de perturbation grave de la fonction hépatique. On a rapporté des altérations de la fonction hépatique, incluant des enzymes hépatiques augmentées ainsi que des hépatites hépatocellulaires et/ou cholestatiques avec ou sans ictère, sous traitement avec la clarithromycine. Cette altération de la fonction hépatique peut être grave et est généralement réversible. On a rapporté certains cas d'altération de la fonction hépatique à issue mortelle, ceux-ci étaient en général en lien avec une grave maladie sous-jacente et/ou une médication concomitante. Si des signes/symptômes d'une hépatite, tels qu'anorexie, ictère, urine foncée, prurit ou abdomen douloureux apparaissent, le traitement par la clarithromycine doit être immédiatement interrompu.
- +Comme la clarithromycine est essentiellement éliminée par le foie, on la prudence est de rigueur lors d'une administration de clarithromycine chez des patients insuffisants hépatiques et il faut assurer une surveillance soigneuse en cas de perturbation grave de la fonction hépatique.
- +On a rapporté des altérations de la fonction hépatique, incluant des enzymes hépatiques augmentées ainsi que des hépatites hépatocellulaires et/ou cholestatiques avec ou sans ictère, sous traitement avec la clarithromycine. Cette altération de la fonction hépatique peut être grave et est généralement réversible. On a rapporté certains cas d'altération de la fonction hépatique à issue mortelle, ceux-ci étaient en général en lien avec une grave maladie sous-jacente et/ou une médication concomitante. Si des signes/symptômes d'une hépatite, tels qu'anorexie, ictère, urine foncée, prurit ou abdomen douloureux apparaissent, le traitement par la clarithromycine doit être immédiatement interrompu.
- +La prudence est également de rigueur lors d'une administration de clarithromycine chez des patients présentant une insuffisance rénale modérée à sévère.
- +
-En cas de grave réaction aiguë d'hypersensibilité comme anaphylaxie, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique, syndrome d'hypersensibilité (DRESS) et purpura d'Henoch-Schönlein, la clarithromycine doit être immédiatement arrêtée et un traitement d'urgence adéquat initié.
- +Hypersensibilité
- +En cas de grave réaction aiguë d'hypersensibilité comme anaphylaxie, éactions médicamenteuses cutanées sévères (SCAR) (p.ex. pustulose exanthématique aiguë généralisée [PEAG]), syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique, syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse (DRESS) et purpura d'Henoch-Schönlein, la clarithromycine doit être immédiatement arrêtée et un traitement d'urgence adéquat initié.
- +Il faut instruire les patients au sujet des signes d'alerte correspondants, p.ex. prurit, papules et détresse respiratoire lors d'anaphylaxie, ou p.ex. fièvre, éruption cutanée douloureuse qui s'étend, formation de vésicules, inflammation des yeux et des muqueuses et apparition de petites pustules douloureuses lors d'autres réactions d'hypersensibilité.
- +Cytochrome 450
- +
-Prolongation de l'intervalle QT
-·Sous traitement par les macrolides, y compris la clarithromycine, une prolongation de la repolarisation cardiaque et un allongement de l'intervalle QT ont été observés, ce qui peut entraîner des troubles du rythme cardiaque et des torsades de pointes (voir «Effets indésirables»). Etant donné que les situations suivantes peuvent augmenter le risque de troubles du rythme cardiaque (y compris des torsades de pointes), la clarithromycine doit être utilisée avec prudence chez les patients suivants:
- +·Événements cardiovasculairesSous traitement par les macrolides, y compris la clarithromycine, une prolongation de la repolarisation cardiaque et un allongement de l'intervalle QT ont été observés, ce qui peut entraîner des troubles du rythme cardiaque et des torsades de pointes (voir «Effets indésirables»). Etant donné que les situations suivantes peuvent augmenter le risque de troubles du rythme cardiaque (y compris des torsades de pointes), la clarithromycine doit être utilisée avec prudence chez les patients suivants:
-·L'administration concomitante de clarithromycine et d'astémizole, de cisapride, de pimozide et de terfénadine est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
-La clarithromycine est contre-indiquée chez les patients présentant un allongement congénital ou acquis du QT ou une arythmie ventriculaire dans l'anamnèse (voir «Contre-indications»).La clarithromycine ne doit pas être administrée aux patients présentant une prolongation du QT héréditaire ou acquise ou une arythmie ventriculaire dans l'anamnèse (voir «Contre-indications»).
-Colchicine
- +·L'administration concomitante de clarithromycine et d'astémizole, de cisapride, de dompéridone, de pimozide et de terfénadine est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).La clarithromycine est contre-indiquée chez les patients présentant un allongement congénital ou acquis du QT ou une arythmie ventriculaire dans l'anamnèse (voir «Contre-indications»).
- +Les résultats des études épidémiologiques s'intéressant au risque de survenue d'effets indésirables cardiovasculaires liés aux macrolides sont variables. Certaines études observationnelles ont mis en évidence un risque de survenue rare à court terme d'arythmie, d'infarctus du myocarde et de mortalité cardiovasculaire associés aux macrolides, notamment la clarithromycine. Lors de la prescription de la clarithromycine, ces résultats doivent être pris en compte par rapport aux bénéfices du traitement.Colchicine
-Cisapride, pimozide, terfénadine
- +Cisapride, pimozide, dompéridone, terfénadine
-Lors d'une administration concomitante de midazolam et de comprimés de clarithromycine (500 mg deux fois par jour), l'AUC du midazolam a augmenté de 2,7 fois après une administration intraveineuse. et de 7 fois après une administration orale. Lors d'une administration intraveineuse de midazolam au cours du traitement à la clarithromycine, le patient doit être surveillé étroitement pour que la dose puisse être adaptée au besoin (voir «Mises en garde et précautions»). En raison de l'éviction éventuelle de l'élimination présystémique, la résorption du midazolam par la muqueuse buccale entraîne probablement plutôt des réactions semblables à celles observées suite à une administration intraveineuse que celles observées après administration orale.
- +Lors d'une administration concomitante de midazolam et de comprimés de clarithromycine (500 mg deux fois par jour), l'AUC du midazolam a augmenté de 2,7 fois après une administration intraveineuse et de 7 fois après une administration orale. Lors d'une administration intraveineuse de midazolam au cours du traitement à la clarithromycine, le patient doit être surveillé étroitement pour que la dose puisse être adaptée au besoin (voir «Mises en garde et précautions»). En raison de l'éviction éventuelle de l'élimination présystémique, la résorption du midazolam par la muqueuse buccale entraîne probablement plutôt des réactions semblables à celles observées suite à une administration intraveineuse que celles observées après administration orale.
- +Ibrutinib
- +Des études pharmacocinétiques indiquent que l'administration concomitante d'ibrutinib et d'inhibiteurs puissants ou modérés du CYP3A peut augmenter l'exposition à l'ibrutinib. Par conséquent, l'administration concomitante de clarithromycine et d'ibrutinib devrait être évitée.
- +
-Occasionnel Candidose (candidose orale et génitale incluses), infection vaginale.
-Troubles de la circulation sanguine et lymphatique Occasionnel Leucopénie, thrombocyténie.
- + Occasionnel Candidose (candidose orale et génitale incluses), infection vaginale.
- +Affections hématologiques et du système lymphatique Occasionnel Leucopénie, thrombocyténie.
-Troubles psychiatriques Fréquent Insomnie.
-Occasionnel États anxieux, nervosité, cris.
-Troubles du système nerveux Fréquent Céphalées (1,9%).
-Occasionnel Modifications du goût, vertiges, tremblements, somnolence.
-Troubles oculaires Fréquent Conjonctivite (1,1%).
-Troubles de l'oreille et du conduit auditif Occasionnel Acouphènes, troubles auditifs.
-Troubles cardiaques Occasionnel Intervalle QT prolongé, palpitations.
-Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux Fréquent Toux (2,2%).
-Troubles gastro-intestinaux Fréquent Diarrhée (6,1%), vomissements (5,8%), douleur abdominale (2,8%).
-Occasionnel Nausées (0,9%), glossite, stomatite, gastrite, constipation, sécheresse buccale, renvois, ballonnements.
-Troubles hépatobiliaires Occasionnel Elévation des alanine-aminotransférases (ALAT).
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés Fréquent Affections dermatologiques (rash, 2,3%), transpiration élevée, éruption maculopapulaire.
-Troubles musculosquelettiques Occasionnel Spasmes musculaires.
-Troubles généraux et accidents liés au site d'administration Fréquent Fièvre (2,3%)
-Occasionnel Asthénie.
-Investigations Fréquent Elévation passagère des ASAT (1,0%).
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- +Affections psychiatriques Fréquent Insomnie.
- + Occasionnel États anxieux, nervosité, cris.
- +Affections du système nerveux Fréquent Céphalées (1,9%).
- + Occasionnel Modifications du goût, vertiges, tremblements, somnolence.
- +Affections oculaires Fréquent Conjonctivite (1,1%).
- +Affections de l'oreille et du conduit auditif Occasionnel Acouphènes, troubles auditifs.
- +Affections cardiaques Occasionnel Intervalle QT prolongé, palpitations.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinaux Fréquent Toux (2,2%).
- +Affections gastro-intestinaux Fréquent Diarrhée (6,1%), vomissements (5,8%), douleur abdominale (2,8%).
- + Occasionnel Nausées (0,9%), glossite, stomatite, gastrite, constipation, sécheresse buccale, renvois, ballonnements.
- +Affections hépatobiliaires Occasionnel Elévation des alanine-aminotransférases (ALAT).
- +Affections de la peau et des tissus sous-cutanés Fréquent Affections dermatologiques (rash, 2,3%), transpiration élevée, éruption maculopapulaire.
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Occasionnel Spasmes musculaires.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Fréquent Fièvre (2,3%)
- + Occasionnel Asthénie.
-Troubles du système sanguin et lymphatique Agranulocytose, thrombopénie, anémie hémolytique.
-Troubles du système immunitaire Réactions allergiques comme urticaire, prurit et manifestations cutanées modérées (éruption, éruption maculo-papillaire) (1,1%) jusqu'à anaphylaxie et syndrome de Stevens-Johnson/nécrolyse épidermique toxique (sous clarithromycine par voie orale), angiœdème.
- +Affections hématologiques et du système lymphatique Agranulocytose, thrombopénie, anémie hémolytique.
- +Affections du système immunitaire Réactions allergiques comme urticaire, prurit et manifestations cutanées modérées (éruption, éruption maculo-papillaire) (1,1%) jusqu'à anaphylaxie et syndrome de Stevens-Johnson/nécrolyse épidermique toxique (sous clarithromycine par voie orale), angiœdème.
-Troubles psychiatriques Cauchemars, confusion, désorientation, hallucinations, psychoses, dépersonnalisation, dépression, manie.
-Troubles du système nerveux Convulsions, obnubilation, perte du sens gustatif, perte du sens olfactif, troubles de l'odorat (généralement en association à des troubles du goût), céphalées, paresthésie.
-Troubles de l'oreille et du conduit auditif Perte de l'audition, généralement réversible à l'arrêt du traitement.
-Troubles cardiaques Des cas rares de tachycardie ventriculaire, de fibrillation ventriculaire et de torsades de pointe ont été observés sous clarithromycine.
-Troubles vasculaires Hémorragie chez des patients traités concomitamment avec des anticoagulants oraux.
-Troubles gastro-intestinaux Pancréatite, vomissements, coloration des dents (coloration des dents généralement réversible avec un nettoyage dentaire professionnel), nausée, sensation de lourdeur épigastrique (de type crampe dans des cas rares), selles molles et diarrhée, dyspepsie, troubles du goût ainsi que coloration réversible de la langue (sous traitement associant l'oméprazole). Comme pour d'autres antibiotiques, l'apparition d'une colite pseudomembraneuse a également été rapportée sous clarithromycine (voir «Mises en garde et précautions»).
-Troubles hépato-biliaires Troubles de la fonction hépatique, augmentation des enzymes hépatiques, hépatite hépatocellulaire et/ou cholestatique, avec ou sans ictère. L'atteinte hépatique peut être grave et est généralement réversible. Des cas très rares de défaillance hépatique avec issue létale ont été rapportés. En général, ces cas allaient de pair avec une maladie sous-jacente sévère et/ou une comédication. En fonction de la sévérité, un arrêt du traitement par la clarithromycine est nécessaire.
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés Éruption cutanée liée au médicament avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS), acné, purpura rhumatoïde de Schönlein-Henoch.
-Système musculosquelettique (troubles fonctionnels de l'appareil locomoteur, du tissu conjonctif et des os) Myalgie, rhabdomyolyse (quelques cas de rhabdomyolyse ont été rapportés lorsque la clarithromycine avait été administrée en même temps que d'autres médicaments associés à un risque de rhabdomyolyse (par exemple statines, fibrates, colchicine ou allopurinol)), myopathie.
-Troubles rénaux et urinaires Des augmentations du BUN et de la créatinine sérique ont été mesurées rarement et principalement sous hautes doses. Des défaillances rénales sont survenues dans des cas isolés. Un rapport de causalité n'a pas été démontré. Néphrite interstitielle.
- +Affections psychiatriques Cauchemars, confusion, désorientation, hallucinations, psychoses, dépersonnalisation, dépression, manie.
- +Affections du système nerveux Convulsions, obnubilation, perte du sens gustatif, perte du sens olfactif, troubles de l'odorat (généralement en association à des troubles du goût), céphalées, paresthésie.
- +Affections de l'oreille et du conduit auditif Perte de l'audition, généralement réversible à l'arrêt du traitement.
- +Affections cardiaques Des cas rares de tachycardie ventriculaire, de fibrillation ventriculaire et de torsades de pointe ont été observés sous clarithromycine.
- +Affections vasculaires Hémorragie chez des patients traités concomitamment avec des anticoagulants oraux.
- +Affections gastro-intestinaux Pancréatite, vomissements, coloration des dents (coloration des dents généralement réversible avec un nettoyage dentaire professionnel), nausée, sensation de lourdeur épigastrique (de type crampe dans des cas rares), selles molles et diarrhée, dyspepsie, troubles du goût ainsi que coloration réversible de la langue (sous traitement associant l'oméprazole). Comme pour d'autres antibiotiques, l'apparition d'une colite pseudomembraneuse a également été rapportée sous clarithromycine (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Affections hépatobiliaires Troubles de la fonction hépatique, augmentation des enzymes hépatiques, hépatite hépatocellulaire et/ou cholestatique, avec ou sans ictère. L'atteinte hépatique peut être grave et est généralement réversible. Des cas très rares de défaillance hépatique avec issue létale ont été rapportés. En général, ces cas allaient de pair avec une maladie sous-jacente sévère et/ou une comédication. En fonction de la sévérité, un arrêt du traitement par la clarithromycine est nécessaire.
- +Affectionsde la peau et du tissu sous-cutané Réactions médicamenteuses cutanées sévères (SCAR) (p.ex. pustulose exanthématique aiguë généralisée [PEAG], exanthème médicament avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS), acné, purpura rhumatoïde de Schönlein-Henoch.
- +Affections musculosquelettique et du tissu conjonctif Myalgie, rhabdomyolyse (quelques cas de rhabdomyolyse ont été rapportés lorsque la clarithromycine avait été administrée en même temps que d'autres médicaments associés à un risque de rhabdomyolyse (par exemple statines, fibrates, colchicine ou allopurinol)), myopathie.
- +Affections du rein et des voies urinaires Des augmentations du BUN et de la créatinine sérique ont été mesurées rarement et principalement sous hautes doses. Des défaillances rénales sont survenues dans des cas isolés. Un rapport de causalité n'a pas été démontré. Néphrite interstitielle.
-** Critères de sensibilité particuliers, car la distribution est bifocale (voir «normes d'interprétation»); il existe des souches résistantes.
- +** Critères de sensibilité particuliers, car la distribution est bifocale,il existe des souches résistantes.
-Pour déterminer la sensibilité, on utilise généralement la méthode de Kirby-Bauer par diffusion sur disques; ces disques contiennent 15 µg de clarithromycine. Les diamètres d'inhibition obtenus par cette technique peuvent être corrélés aux valeurs de la CMI obtenues par la méthode de dilution, de la façon suivante:
-Les concentrations critiques suivantes de CMI qui permettent de distinguer entre organismes sensibles et organismes résistants ont été définies par l'EUCAST (European Committee on Antimicrobial Susceptibility Testing) pour la clarithromycine:
-Microorganismes Diamètres du disque d'inhibition (mm) Concentrations critiques CMI (µg/ml)
- S I R S (≤) R (>)
-Staphylocoques >18 14-17 <13 1 2
-Streptocoques >21 17-20 <16 0.25 0.5
-Haemophilus influenzae >13 11-12 <10 1 32
-Moraxella catarrhalis - - - 0.25 0.5
- +Détermination de la sensibilité
- +La sensibilité est généralement déterminée par le test de dilution indiquant la CMI ou par le test de diffusion selon la technique de Kirby-Bauer.L'EUCAST (European Committee on Antimicrobial Susceptibility Testing) a défini pour la clarithromycine les seuils de sensibilité corrélés suivants pour la CMI et le diamètre de la zone d'inhibition:
- +Micro-organisme Seuil de CMI (mg/l de clarithromycine) Diamètre de la zone d'inhibition (mm)
- + S1 ≤ R1 > Contenu des bandelettes (μg d'érithromycine2) S1 ≥ R1 <
- +Staphylococcus spp. 1 2 152 212 182
- +Streptococcus spp. (goups A, B, C, G) 0,25 0,5 152 212 182
- +Streptococcus pneumoniae 0,25 0,5 152 222 192
- +Haemophilus influenzae 1 32 152 502 102
- +Moraxella catarrhalis 0,25 0,5 152 232 202
- +Helicobacter pylori3 0,25 0,5 –4 –4 –4
-S = sensibles; I = sensibilité intermédiaire; R = résistants.
-La clarithromycine est utilisée pour l'éradication de H. pylori. Le CLSI (The Clinical and Laboratory Standards Institute) a défini une CMI ≤0,25 en tant que concentration critique pour les souches sensibles.
-Tenir compte de la possibilité de résistance croisée entre la clarithromycine et d'autres macrolides ou la lincomycine et la clindamycine (résistance dite MLS = macrolide-lincosamide-streptogramine).
- +1 S = Sensible; R = Résistant; la catégorie «Intermédiaire» n'est pas indiquée, elle est interprétée comme correspondant aux valeurs situées entre les seuils de sensibilité des catégories S et R.
- +2 Les diamètres des zones d'inhibition n'ont pas été déterminés pour la clarithromycine. L'érythromycine peut servir de substance de test pour démontrer la sensibilité à la clarithromycine.
- +3 Les seuils reposent sur les valeurs seuils épidémiologiques (epidemiologic cut-off values, ECOFFs), qui permettent une différenciation entre les isolats de type sauvage et les isolats de sensibilité réduite.
- +4 Les diamètres des zones d'inhibition n'ont pas été déterminés pour Helicobacter pylori. La détermination de la CMI à l'aide de la méthode de dilution doit être utilisée pour démontrer la sensibilité à la clarithromycine.
- +Veiller à une éventuelle résistance croisée entre la clarithromycine et les autres antibiotiques macrolides ainsi qu'avec la lincomycine et la clindamycine (résistance aux macrolides, lincosamides et streptogramines = résistance MLS).
-Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen.
- +Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen
-Février 2016.
- +Juillet 2018.
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