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Accueil - Information professionnelle sur Wellbutrin XR 150 mg - Changements - 21.07.2017
40 Changements de l'information professionelle Wellbutrin XR 150 mg
  • -Bien que dans les études cliniques avec Wellbutrin XR des symptômes de sevrage, qui ont été recueillis de façon spontanée plutôt que de façon systématique, n'ont pas été observés, une décroissance posologique progressive peut être envisagée. Le bupropion inhibe de manière sélective la recapture neuronale des catécholamines. Un effet de rebond ou des symptômes de sevrage ne peuvent donc pas être totalement exclus.
  • +Bien que dans les études cliniques avec Wellbutrin XR des symptômes de sevrage, qui ont été recueillis de façon spontanée plutôt que de façon systématique, n'aient pas été observés, une décroissance posologique progressive peut être envisagée. Le bupropion inhibe de manière sélective la recapture neuronale des catécholamines. Un effet de rebond ou des symptômes de sevrage ne peuvent donc pas être totalement exclus.
  • -·chez les patients qui, à un moment quelconque du traitement, se soumettent à un sevrage alcoolique brusque ou à un sevrage brusque en des médicaments connus pour s'accompagner d'un risque de convulsions lors du sevrage (en particulier, les benzodiazépines et substances apparentées).
  • +·chez les patients qui, à un moment quelconque du traitement, se soumettent à un sevrage alcoolique brusque ou à un sevrage brusque de médicaments connus pour s'accompagner d'un risque de convulsions lors du sevrage (en particulier, les benzodiazépines et substances apparentées).
  • -Dans le cadre d'une série d'études réalisées chez des volontaires sains, le ritonavir (100 mg deux fois par jour ou 600 mg deux fois par jour) ou l'association de ritonavir (100 mg) et de lopinavir (400 mg) deux fois par jour ont entraîné une diminution dose-dépendante de l'exposition au bupropion et à ses métabolites d'environ 20 à 80%. L'éfavirenz (600 mg une fois par jour pendant deux semaines) a également entraîné une diminution de l'exposition au bupropion d'environ 55%. Cet effet de ritonavir/Kaletra® et de l'éfavirenz pourrait être dû à une induction du métabolisme du bupropion. Les patients recevant l'un de ces médicaments en même temps que le bupropion peuvent avoir besoin de doses plus élevées de bupropion mais il ne faut pas dépasser la dose maximale recommandée de bupropion.
  • +Dans le cadre d'une série d'études réalisées chez des volontaires sains, le ritonavir (100 mg deux fois par jour ou 600 mg deux fois par jour) ou l'association de ritonavir (100 mg) et de lopinavir (400 mg) deux fois par jour ont entraîné une diminution dose-dépendante de l'exposition au bupropion et à ses principaux métabolites d'environ 20 à 80%. L'éfavirenz (600 mg une fois par jour pendant deux semaines) a également entraîné une diminution de l'exposition au bupropion d'environ 55%. Cet effet de ritonavir/Kaletra® et de l'éfavirenz pourrait être dû à une induction du métabolisme du bupropion. Les patients recevant l'un de ces médicaments en même temps que le bupropion peuvent avoir besoin de doses plus élevées de bupropion mais il ne faut pas dépasser la dose maximale recommandée de bupropion.
  • -Une autre analyse de contrôle des cas, faite à partir des données de la Slone Epidemiology Center Birth Defects Study, a inclus 7913 nourrissons avec cardiopathie et 8611 nourrissons de contrôle. Elle n'a pas révélé d'augmentation statistiquement significative de malformations de la voie d'éjection ventriculaire gauche après exposition de la mère au bupropion (n=2; OR corrigé = 0,4; IC à 95%: 0,1; 1,6). Elle a cependant montré un rapport statistiquement significatif entre les cas de communication interventriculaire et l'exposition au bupropion pendant le premier trimestre de la grossesse (n=17; OR corrigé = 2,5; IC à 95%: 1,3; 5,0).
  • +Une autre analyse de contrôle des cas, faite à partir des données de la Slone Epidemiology Center Birth Defects Study, a inclus 7913 nourrissons avec cardiopathie et 8611 nourrissons de contrôle. Elle n'a pas révélé d'augmentation statistiquement significative de malformations de la voie d'éjection ventriculaire gauche après exposition de la mère au bupropion (n=2; OR corrigé = 0,4; IC à 95%: 0,1; 1,6). Elle a cependant montré un rapport statistiquement significatif entre les cas de communication interventriculaire et l'exposition au bupropion en monothérapie pendant le premier trimestre de la grossesse (n=17; OR corrigé = 2,5; IC à 95%: 1,3; 5,0).
  • -Troubles du système immunitaire*
  • -Fréquents: Réactions d'hypersensibilité telles qu'urticaire.
  • -Très rares: Réactions d'hypersensibilité sévères incluant angio-œdème, dyspnée/bronchospasmes et choc anaphylactique.
  • -La survenue d'arthralgies, myalgies et fièvre a également été rapportée en association avec une éruption cutanée et d'autres symptômes évocateurs d'une hypersensibilité retardée. Ces symptômes peuvent ressembler à ceux d'une maladie sérique.
  • +Affections du système immunitaire*
  • +Fréquents: Réactions dhypersensibilité telles quurticaire.
  • +Très rares: Réactions dhypersensibilité sévères incluant angio-œdème, dyspnée/bronchospasmes et choc anaphylactique.
  • +La survenue darthralgies, myalgies et fièvre a également été rapportée en association avec une éruption cutanée et dautres symptômes évocateurs dune hypersensibilité retardée. Ces symptômes peuvent ressembler à ceux dune maladie sérique.
  • -Très rares: Troubles de la glycémie.
  • -Troubles psychiatriques
  • -Très fréquents: Insomnie (10%) (cf. «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Très rares: Troubles de la glycémie, hyponatrémie.
  • +Affections psychiatriques
  • +Très fréquents: Insomnie (10%) (cf. «Posologie/Mode demploi»).
  • -Troubles du système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Troubles oculaires
  • +Affections oculaires
  • -Troubles de l'oreille et du conduit auditif
  • +Affections de loreille et du labyrinthe
  • -Troubles cardiaques
  • +Affections cardiaques
  • -Troubles vasculaires
  • +Affections vasculaires
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Très fréquents: Sécheresse de la bouche (16%), troubles gastro-intestinaux incluant nausées (13%) et vomissements (2%).
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Très fréquents: Sécheresse de la bouche (16%), affections gastro-intestinales incluant nausées (13%) et vomissements (2%).
  • -Troubles hépatobiliaires
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Troubles cutanés*
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané*
  • -Très rares: Erythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, exacerbation d'un psoriasis.
  • -Troubles musculosquelettiques
  • +Très rares: Erythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, exacerbation dun psoriasis.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Troubles généraux
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -* L'hypersensibilité peut se manifester par des réactions cutanées (cf. «Troubles du système immunitaire» et «Troubles cutanés»).
  • -** L'incidence des crises convulsives est d'environ 0,1% (1/1'000). Ces crises se présentent le plus souvent sous forme de crises généralisées tonico-cloniques pouvant, dans certains cas, conduire à une confusion postictale ou des troubles de la mémoire (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +* Lhypersensibilité peut se manifester par des réactions cutanées (cf. «Affections du système immunitaire» et «Affections de la peau et du tissu sous-cutané»).
  • +**L’incidence des crises convulsives est denviron 0,1% (1/1000). Ces crises se présentent le plus souvent sous forme de crises généralisées tonico-cloniques pouvant, dans certains cas, conduire à une confusion postictale ou des troubles de la mémoire (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Aucune différence statistiquement significative n'a été constatée dans la pharmacocinétique du bupropion et de ses métabolites actifs, entre des patients atteints de cirrhose hépatique légère à modérée et des volontaires sains. Une plus grande variabilité entre les patients a cependant été mise en évidence (cf. «Mises en garde et précautions»). Chez les patients ayant une insuffisance hépatique sévère, la Cmax et l'AUC (area under the curve) du bupropion étaient fortement augmentées (Cmax augmentée de 70% environ et AUC multipliée par 3 en moyenne), elles étaient plus variables que les valeurs observées chez les volontaires sains; la demi-vie moyenne était aussi prolongée (d'environ 40%). Dans le cas de l'hydroxybupropion, la valeur moyenne de la Cmax était plus faible (d'environ 70%) et l'AUC moyenne tendait à être plus élevée (d'environ 30%), le Tmax médian était retardé (d'environ 20 heures) et les demi-vies moyennes étaient plus longues (multipliées par 4 environ) par rapport aux volontaires sains. Dans le cas du thréohydrobupropion et de l'érythrohydrobupropion, la Cmax moyenne tendait à être plus faible (d'environ 30%), l'AUC moyenne tendait à être plus élevée (d'environ 50%), le Tmax médian était retardé (d'environ 20 heures) et la demi-vie moyenne plus longue (multipliée par 2 environ) par rapport aux volontaires sains (cf. «Contre-indications»).
  • +Aucune différence statistiquement significative n'a été constatée dans la pharmacocinétique du bupropion et de ses métabolites actifs, entre des patients atteints de cirrhose hépatique légère à modérée et des volontaires sains. Une plus grande variabilité entre les patients a cependant été mise en évidence (cf. «Mises en garde et précautions»). Chez les patients ayant une cirrhose hépatique sévère, la Cmax et l'AUC (area under the curve) du bupropion étaient fortement augmentées (Cmax augmentée de 70% environ et AUC multipliée par 3 en moyenne), elles étaient plus variables que les valeurs observées chez les volontaires sains; la demi-vie moyenne était aussi prolongée (d'environ 40%). Dans le cas de l'hydroxybupropion, la valeur moyenne de la Cmax était plus faible (d'environ 70%) et l'AUC moyenne tendait à être plus élevée (d'environ 30%), le Tmax médian était retardé (d'environ 20 heures) et les demi-vies moyennes étaient plus longues (multipliées par 4 environ) par rapport aux volontaires sains. Dans le cas du thréohydrobupropion et de l'érythrohydrobupropion, la Cmax moyenne tendait à être plus faible (d'environ 30%), l'AUC moyenne tendait à être plus élevée (d'environ 50%), le Tmax médian était retardé (d'environ 20 heures) et la demi-vie moyenne plus longue (multipliée par 2 environ) par rapport aux volontaires sains (cf. «Contre-indications»).
  • -Juin 2016.
  • +Mai 2017.
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