24 Changements de l'information professionelle Abilify 7,5 mg / ml |
-Sulfobutyletherbetacyclodextrin sodium, Acidum tartaricum, Natrii hydroxidum, Aqua ad iniectabilia.
- +Sulfobutylbetadexum natricum, Acidum tartaricum, Natrii hydroxidum, Aqua ad iniectabilia.
- +Teneur en sodium: 4,79 mg/ml.
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-La dose initiale recommandée d’Abilify solution injectable est de 9.75 mg (1.3 ml), administrée en une seule injection intramusculaire. La fourchette de dose efficace d’Abilify solution injectable est de 5,25 mg à 15 mg en une seule injection. Une dose plus faible de 5,25 mg (0,7 ml) peut être administrée en fonction de l’état clinique du patient et des médicaments déjà administrés en traitement d’entretien ou en traitement aigu (voir « Interactions »).
- +La dose initiale recommandée d’Abilify solution injectable est de 9.75 mg (1.3 ml), administrée en une seule injection intramusculaire. La fourchette de dose efficace d’Abilify solution injectable est de 5,25 mg à 15 mg en une seule injection. Une dose plus faible (5,25 mg; 0,7 ml) peut être administrée en fonction de l’état clinique du patient et des médicaments déjà administrés en traitement d’entretien ou en traitement aigu (voir « Interactions »).
- +Sodium
- +Abilify solution injectable contient du sodium. Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par unité de dosage, c.-à-d. qu’il est essentiellement «sans sodium».
- +
-Dans une étude clinique chez des volontaires sains, un inhibiteur puissant du CYP2D6 (quinidine) a augmenté l’ASC de l’aripiprazole de 107%, alors que la Cmax était inchangée. L’ASCet la Cmax du métabolite actif, le déhydro-aripiprazole, ont été diminuées respectivement de 32% et 47%. La dose prescrite d’aripiprazole devrait être réduite de moitié environ lors de l’administration concomitante d’aripiprazole avec la quinidine. D’autres inhibiteurs puissants du CYP2D6, tels que la fluoxétine et la paroxétine, sont susceptibles d’avoir des effets similaires, et par conséquent, les mêmes réductions de dose s’appliquent.
- +Dans une étude clinique chez des volontaires sains, un inhibiteur puissant du CYP2D6 (quinidine) a augmenté l’aire sous la courbe (ASC) de l’aripiprazole de 107%, alors que la concentration plasmatique maximale (Cmax) était inchangée. L’ASCet la Cmax du métabolite actif, le déhydro-aripiprazole, ont été diminuées respectivement de 32% et 47%. La dose prescrite d’aripiprazole devrait être réduite de moitié environ lors de l’administration concomitante d’aripiprazole avec la quinidine. D’autres inhibiteurs puissants du CYP2D6, tels que la fluoxétine et la paroxétine, sont susceptibles d’avoir des effets similaires, et par conséquent, les mêmes réductions de dose s’appliquent.
-Dans des études expérimentales chez l’animal, l’aripiprazole n’a pas altéré la fertilité. Une toxicité sur le développement, y compris de possibles effets tératogènes, ont été observés: chez le rat, après des doses produisant des expositions subthérapeutiques à thérapeutiques (estimées sur la base des ASC) et chez le lapin, ces doses correspondant à des expositions équivalant à 3 à 11 fois l’ASC moyenne à l’état d’équilibre (steady state) avec la dose clinique maximale recommandée. Le dosage provoquant une toxicité maternelle était semblable à celui qui causait une toxicité sur le développement.
- +Dans des études expérimentales chez l’animal, l’aripiprazole n’a pas altéré la fertilité. Une toxicité sur le développement, y compris de possibles effets tératogènes, ont été observés: chez le rat, après des doses produisant des expositions subthérapeutiques à thérapeutiques (estimées sur la base des ASC) et chez le lapin, ces doses correspondant à des expositions égales à environ 3 à 11 fois l’ASC moyenne à l’état d’équilibre (steady state) avec la dose clinique maximale recommandée. Le dosage provoquant une toxicité maternelle était semblable à celui qui causait une toxicité sur le développement.
-Hépatite, ictère, augmentation du taux d’alanine aminotransférase (ALAT), augmentation du taux d’aspartate aminotransférase (ASAT), augmentation du taux de γglutamyltransférase (γ-GT)
- +Hépatite, ictère, augmentation du taux d’alanine aminotransférase (ALAT), augmentation du taux d’aspartate aminotransférase (ASAT), augmentation du taux de γ-glutamyltransférase (γ-GT)
-L’aripiprazole est principalement métabolisé dans le foie, essentiellement par 3 voies de biotransformation: déshydrogénation, hydroxylation et Ndésalkylation. Des études in vitro ont montré que la déshydrogénation et l’hydroxylation de l’aripiprazole se font par les enzymes CYP3A4 et CYP2D6, alors que la Ndésalkylation est catalysée par le CYP3A4. L’aripiprazole représente la composante principale du médicament dans la circulation systémique. À l’état d’équilibre (steady state), la proportion de déshydro-aripiprazole s’est élevée à environ 40% de l’ASC de l’aripiprazole dans le plasma.
- +L’aripiprazole est principalement métabolisé dans le foie, essentiellement par 3 voies de biotransformation: déshydrogénation, hydroxylation et N-désalkylation. Des études in vitro ont montré que la déshydrogénation et l’hydroxylation de l’aripiprazole se font par les enzymes CYP3A4 et CYP2D6, alors que la N-désalkylation est catalysée par le CYP3A4. L’aripiprazole représente la composante principale du médicament dans la circulation systémique. À l’état d’équilibre (steady state), la proportion de déshydro-aripiprazole s’est élevée à environ 40% de l’ASC de l’aripiprazole dans le plasma.
-La capacité de métaboliser les substrats du CYP2D6 manque à environ 8% des Caucasiens. Ces personnes sont qualifiées de « métaboliseurs lents » (ML), tandis que les autres sont des « métaboliseurs rapides » (MR). Chez les ML, l’exposition à l’aripiprazole est accrue de 80% et l’exposition au métabolite actif est réduite de 30% en comparaison avec les MR. Ceci entraîne en comparaison avec les MR une exposition accrue de 60% à l’ensemble des substances actives provenant d’une dose d’aripiprazole administrée. La demi-vie moyenne d’élimination de l’aripiprazole est d’environ 75 heures chez les MR et de 146 heures chez les ML. Le métabolisme de substrats du CYP2D6 n’est ni inhibée, ni induite par l’aripiprazole. Après administration orale d’une dose unique de 14C-aripiprazole, environ 27% de la radioactivité administrée a été détectée dans l’urine et 60% dans les selles. Moins de 1% de l’aripiprazole a été éliminé de manière inchangée dans l’urine, et environ 18% dans les selles. La clairance du corps entier de l’aripiprazole est de 0.7 ml/min/kg et se fait principalement à travers le foie.
- +La capacité de métaboliser les substrats du CYP2D6 manque à environ 8% des Caucasiens. Ces personnes sont qualifiées de « métaboliseurs lents » (ML), tandis que les autres sont des « métaboliseurs rapides » (MR). Chez les ML, l’exposition à l’aripiprazole est accrue de 80% et l’exposition au métabolite actif est réduite de 30% en comparaison avec les MR. Ceci entraîne en comparaison avec les MR une exposition accrue de 60% à l’ensemble des substances actives provenant d’une dose d’aripiprazole administrée. La demi-vie moyenne d’élimination de l’aripiprazole est d’environ 75 heures chez les MR et de 146 heures chez les ML. Le métabolisme de substrats du CYP2D6 n’est ni inhibée, ni induite par l’aripiprazole. Après administration orale d’une dose unique de 14C-aripiprazole, environ 27% de la radioactivité administrée a été détectée dans l’urine et 60% dans les selles. Moins de 1% de l’aripiprazole a été éliminé de manière inchangée dans l’urine, et environ 18% dans les selles. La clairance du corps entier de l’aripiprazole est de 0,7 ml/min/kg et se fait principalement à travers le foie.
-L’administration d’aripiprazole solution injectable en concentrations de 2 et de 4 mg/ml a été bien tolérée localement. Les concentrations supérieures ont provoqué des irritations localisées, et la concentration de 7,5 mg/ml a provoqué une augmentation des taux de CPK chez le lapin.
- +L’administration d’aripiprazole solution injectable en concentrations de 2 mg/ml et de 4 mg/ml a été bien tolérée localement. Les concentrations supérieures ont provoqué des irritations localisées, et la concentration de 7,5 mg/ml a provoqué une augmentation des taux de CPK chez le lapin.
-À un dosage de 20 mg/kg/jour à 60 mg/kg/jour (correspondant à 6,5 à 19,5 fois la dose humaine maximale recommandée, calculée en mg/m2 de surface corporelle), une toxicité cortico-surrénalienne dose-dépendante a été observée chez le rat après 104 semaines (accumulation du pigment lipofuscine et/ou perte cellulaire parenchymateuse).
-Une cholélithiase s’est manifestée chez des singes après administration orale répétée de 25 mg/kg/jour à 125 mg/kg/jour (correspondant à 16 à 81 fois la dose humaine maximale recommandée, calculée en mg/m2 de surface corporelle), en raison de l’élimination biliaire de conjugués sulfatés provenant de métabolites hydroxylés de l’aripiprazole.
- +À un dosage de 20 mg/kg/jour à 60 mg/kg/jour (correspondant à environ 6,5 à 19,5 fois la dose humaine maximale recommandée, calculée en mg/m2 de surface corporelle), une toxicité cortico-surrénalienne dose-dépendante a été observée chez le rat après 104 semaines (accumulation du pigment lipofuscine et/ou perte cellulaire parenchymateuse).
- +Une cholélithiase s’est manifestée chez des singes après administration orale répétée de 25 mg/kg/jour à 125 mg/kg/jour (correspondant à environ 16 à 81 fois la dose humaine maximale recommandée, calculée en mg/m2 de surface corporelle), en raison de l’élimination biliaire de conjugués sulfatés provenant de métabolites hydroxylés de l’aripiprazole.
-Dans des études de carcinogénicité, l’aripiprazole n’a provoqué aucune tumeur chez la souris mâle ou le rat mâle. Chez la souris femelle, l’incidence des adénomes hypophysaires, des adénocarcinomes et des adénocanthomes de la glande mammaire a été augmentée après administration orale de 3 mg/kg/jour à 30 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 à 0,9 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l’ASC et 0,5 à 5 fois la dose en mg/m2 de surface corporelle). Chez la rate, l’incidence des fibro-adénomes de la glande mammaire après administration orale de 10 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l’ASC et 3 fois la dose humaine maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle) a augmenté. De même, l’incidence du carcinome corticosurrénalien et des adénomes/carcinomes corticosurrénaliens combinés était augmentée lors d’une administration orale de 60 mg/kg (correspondant à 10 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l’ASC et 19,5 fois la dose maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle).
- +Dans des études de carcinogénicité, l’aripiprazole n’a provoqué aucune tumeur chez la souris mâle ou le rat mâle. Chez la souris femelle, l’incidence des adénomes hypophysaires, des adénocarcinomes et des adénocanthomes de la glande mammaire a été augmentée après administration orale de 3 mg/kg/jour à 30 mg/kg/jour (correspondant à environ 0,1 à 0,9 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l’ASC et 0,5 à 5 fois la dose en mg/m2 de surface corporelle). Chez la rate, l’incidence des fibro-adénomes de la glande mammaire après administration orale de 10 mg/kg/jour (correspondant à 0,1 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l’ASC et 3 fois la dose humaine maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle) a augmenté. De même, l’incidence du carcinome corticosurrénalien et des adénomes/carcinomes corticosurrénaliens combinés était augmentée lors d’une administration orale de 60 mg/kg (correspondant à 10 fois la dose humaine maximale recommandée calculée sur l’ASC et 19,5 fois la dose maximale recommandée calculée en mg/m2 de surface corporelle).
-Abilify solution injectable 7,5 mg/ml: emballages contenant 1 flacon-ampoule de 1.3 ml (9.75 mg d’aripiprazole). [B]
- +Abilify solution injectable 7,5 mg/ml: emballages contenant 1 flacon à 9,75 mg d’aripiprazole (1,3 ml). [B]
-Novembre 2020
- +Mai 2021
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