68 Changements de l'information professionelle Galvus 50 mg |
-Principe actif: Vildagliptinum.
-Excipients: Lactose, excip. pro compresso.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Comprimés à 50 mg de vildagliptine.
- +Principes actifs
- +Vildagliptinum.
- +Excipients
- +Lactose, excip. pro compresso.
-Galvus est indiqué dans le traitement adjuvant avec un régime et de l'activité physique chez les patients diabétiques de type 2
-·en monothérapie lorsque le régime et l'activité physique ne sont pas suffisants
- +Galvus est indiqué dans le traitement adjuvant avec un régime et de l'activité physique chez les patients diabétiques de type 2:
- +·en monothérapie lorsque le régime et l'activité physique ne sont pas suffisants,
-·avec la metformine lorsque le régime, l'activité physique et la metformine n'offrent pas à eux seuls un contrôle suffisant de la glycémie
-·avec une sulfonylurée lorsque le régime, l'activité physique et la sulfonylurée n'offrent pas à eux seuls un contrôle suffisant de la glycémie
-·avec une thiazolidinedione lorsque le régime, l'activité physique et la thiazolidinedione (TZD) n'offrent pas à eux seuls un contrôle suffisant de la glycémie
- +·avec la metformine lorsque le régime, l'activité physique et la metformine n'offrent pas à eux seuls un contrôle suffisant de la glycémie,
- +·avec une sulfonylurée lorsque le régime, l'activité physique et la sulfonylurée n'offrent pas à eux seuls un contrôle suffisant de la glycémie,
- +·avec une thiazolidinedione lorsque le régime, l'activité physique et la thiazolidinedione (TZD) n'offrent pas à eux seuls un contrôle suffisant de la glycémie,
-avec la metformine et une sulfonylurée lorsque le régime, l'activité physique et la double association de ces deux substances n'offrent pas un contrôle suffisant de la glycémie.
- +·avec la metformine et une sulfonylurée lorsque le régime, l'activité physique et la double association de ces deux substances n'offrent pas un contrôle suffisant de la glycémie.
- +Posologie usuelle
- +Traitement associé
- +
-Patients présentant des lésions rénales
- +Instructions posologiques particulières
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +L'utilisation de Galvus n'est pas recommandée chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique, y compris les patients présentant des valeurs d'ASAT ou d'ALAT supérieures à 2.5 × la limite supérieure de la norme avant le début du traitement.
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
-Patients présentant des lésions hépatiques
-L'utilisation de Galvus n'est pas recommandée chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique, y compris les patients présentant des valeurs d'ASAT ou d'ALAT supérieures à 2.5x la limite supérieure de la norme avant le début du traitement.
-Lésions rénales
- +Troubles de la fonction rénale
-Lésions hépatiques
-L'utilisation de Galvus n'est pas recommandée chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique, y compris chez les patients dont les taux d'ASAT ou d'ALAT sont > 2.5 x la limite supérieure de la norme avant le traitement.
- +Troubles de la fonction hépatique
- +L'utilisation de Galvus n'est pas recommandée chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique, y compris chez les patients dont les taux d'ASAT ou d'ALAT sont > 2.5 × la limite supérieure de la norme avant le traitement.
-Des cas de troubles de la fonction hépatique (y compris de rares cas d'hépatite) ont été rapportés. Les patients étaient alors en général asymptomatiques, sans suites cliniques, et les tests hépatiques se sont normalisés après l'arrêt du traitement. Des tests de la fonction hépatique sont indiqués avant tout traitement par Galvus, afin de déterminer les valeurs de base des patients. Durant le traitement par Galvus, la fonction hépatique doit être contrôlée à intervalles de trois mois durant la première année, puis périodiquement. Chez les patients développant une augmentation des valeurs des transaminases, ces tests doivent être répétés et, en cas de confirmation du résultat, le patient devra être surveillé à intervalles raccourcis jusqu'à la normalisation. En cas d'augmentation de l'ASAT ou de l'ALAT à ≥3x la limite supérieure de la norme, il est recommandé d'arrêter le traitement par Galvus.
- +Des cas de troubles de la fonction hépatique (y compris de rares cas d'hépatite) ont été rapportés. Les patients étaient alors en général asymptomatiques, sans suites cliniques, et les tests hépatiques se sont normalisés après l'arrêt du traitement. Des tests de la fonction hépatique sont indiqués avant tout traitement par Galvus, afin de déterminer les valeurs de base des patients. Durant le traitement par Galvus, la fonction hépatique doit être contrôlée à intervalles de trois mois durant la première année, puis périodiquement. Chez les patients développant une augmentation des valeurs des transaminases, ces tests doivent être répétés et, en cas de confirmation du résultat, le patient devra être surveillé à intervalles raccourcis jusqu'à la normalisation. En cas d'augmentation de l'ASAT ou de l'ALAT à ≥3 × la limite supérieure de la norme, il est recommandé d'arrêter le traitement par Galvus.
-«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1000, <1/100), «rares» (≥1/10 000, <1/1000), «très rares» (<1/10 000), inconnu (ne peut pas être estimé sur la base des données disponibles). À l'intérieur des groupes, les effets indésirables sont listés par ordre décroissant d'importance.
-Infections
-Très rares: infections des voies aériennes supérieures, rhinopharyngite.
-Système nerveux
-Fréquents: vertiges, tremblement.
- +«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à < 1/100), «rares» (≥1/10 000 à < 1/1000), «très rares» (< 1/10 000), inconnu (ne peut pas être estimé sur la base des données disponibles). À l'intérieur des groupes, les effets indésirables sont listés par ordre décroissant d'importance.
- +Infections et infestations
- +Très rares: infections des voies respiratoires supérieures, rhinopharyngite.
- +Affections du système nerveux
- +Fréquents: étourdissement, trémulation.
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Foie
- +Affections hépatobiliaires
-Système musculo-squelettique
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Métabolisme
-Occasionnels: hypoglycémie (fréquents dans le cadre d'un traitement combiné avec la metformine ou une sulfonylurée), gain pondéral (fréquents dans le cadre d'un traitement combiné avec la TZD).
-Troubles généraux
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition
- +Occasionnels: hypoglycémie (fréquents dans le cadre d'un traitement combiné avec la metformine ou une sulfonylurée), poids augmenté (fréquents dans le cadre d'un traitement combiné avec la TZD).
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Réactions indésirables déclarées spontanément ou rapportées dans la littérature – Expérience après la commercialisation
- +Réactions indésirables après la commercialisation
-·Rhabdomyolyse (Observation après commercialisation. Fréquence inconnue.).
- +·Rhabdomyolyse (observation après commercialisation. Fréquence inconnue).
-Au cours des études cliniques contrôlées réalisées, la fréquence des hypoglycémies a été similaire dans les deux groupes de traitement (14.0% des patients sous vildagliptine versus 16.4% des patients sous placebo). Des hypoglycémies sévères sont survenues chez n = 2 patients sous vildagliptine versus n = 6 sous placebo. L'influence sur le poids moyen a été globalement faible dans les deux groupes de traitement (+0.6 kg sous vildagliptine versus +/-0 kg sous placebo).
- +Au cours des études cliniques contrôlées réalisées, la fréquence des hypoglycémies a été similaire dans les deux groupes de traitement (14.0% des patients sous vildagliptine versus 16.4% des patients sous placebo). Des hypoglycémies sévères sont survenues chez n = 2 patients sous vildagliptine versus n = 6 sous placebo. L'influence sur le poids moyen a été globalement faible dans les deux groupes de traitement (+ 0.6 kg sous vildagliptine versus ± 0 kg sous placebo).
-Système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Tractus gastro-intestinal
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles généraux
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Une hypoglycémie a été fréquente dans les deux groupes thérapeutiques (5.1% pour vildagliptine + metformine + glimépiride vs 1.9% pour placebo + metformine + glimépiride). Un cas sévère d'hypoglycémie a été rapporté dans le groupe vildagliptine. À la fin de l'étude, l'effet sur le poids corporel moyen était faible (+0.6 kg dans le groupe vildagliptine et 0.1 kg dans le groupe placebo).
- +Une hypoglycémie a été fréquente dans les deux groupes thérapeutiques (5.1% pour vildagliptine + metformine + glimépiride vs 1.9% pour placebo + metformine + glimépiride). Un cas sévère d'hypoglycémie a été rapporté dans le groupe vildagliptine. À la fin de l'étude, l'effet sur le poids corporel moyen était faible (+ 0.6 kg dans le groupe vildagliptine et 0.1 kg dans le groupe placebo).
-Fréquents: hypoglycémie
-Système nerveux
-Fréquents: sensation vertigineuse, tremblement
-Peau
-Fréquents: hyperhidrose
-Troubles généraux
-Fréquents: asthénie
- +Fréquents: hypoglycémie.
- +Affections du système nerveux
- +Fréquents: sensation vertigineuse, tremblement.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Fréquents: hyperhidrose.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Fréquents: asthénie.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch
-Mécanisme d'action / Pharmacodynamique
- +Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
-Avec l'augmentation des taux endogènes des hormones incrétines, la vildagliptine renforce la sensibilité des cellules bêta au glucose, ce qui améliore la sécrétion d'insuline glucose-dépendante. Un traitement avec 50-100 mg de vildagliptine par jour a entraîné chez les patients diabétiques de type 2 une amélioration significative des marqueurs de la fonction des cellules bêta, y compris de l'HOMA-β (Homeostasis Model Assessment–β), du rapport proinsuline/insuline et des paramètres de la sensibilité des cellules bêta du test de tolérance au glucose souvent utilisé. Chez les personnes non diabétiques (normoglycémiques), la vildagliptine ne provoque ni stimulation de la sécrétion d'insuline, ni abaissement de la glycémie.
- +Avec l'augmentation des taux endogènes des hormones incrétines, la vildagliptine renforce la sensibilité des cellules bêta au glucose, ce qui améliore la sécrétion d'insuline glucose-dépendante. Un traitement avec 50–100 mg de vildagliptine par jour a entraîné chez les patients diabétiques de type 2 une amélioration significative des marqueurs de la fonction des cellules bêta, y compris de l'HOMAβ (Homeostasis Model Assessmentβ), du rapport proinsuline/insuline et des paramètres de la sensibilité des cellules bêta du test de tolérance au glucose souvent utilisé. Chez les personnes non diabétiques (normoglycémiques), la vildagliptine ne provoque ni stimulation de la sécrétion d'insuline, ni abaissement de la glycémie.
-Deux études en double aveugle, contrôlées contre placebo, sur 24 semaines ont été réalisées chez des patients diabétiques de type 2 encore jamais traités. Ces études ont mis en évidence, pour une prise journalière unique de 50 mg de vildagliptine, des modifications moyennes statistiquement significatives de l'HbA1c par rapport à la valeur initiale et au placebo (-0.8% et -0.5% resp.).
- +Deux études en double aveugle, contrôlées contre placebo, sur 24 semaines ont été réalisées chez des patients diabétiques de type 2 encore jamais traités. Ces études ont mis en évidence, pour une prise journalière unique de 50 mg de vildagliptine, des modifications moyennes statistiquement significatives de l'HbA1c par rapport à la valeur initiale et au placebo (- 0.8% et - 0.5% resp.).
-Dans une étude au long cours de 2 ans, la vildagliptine 50 mg 2x/j a été comparée au gliclazide jusqu'à 320 mg/j. Après deux ans, l'HbA1c avait diminué en moyenne de 0.5% sous vildagliptine et de 0.6% sous gliclazide. Sous vildagliptine, on a rapporté une prise pondérale moins importante (0.75 kg) ainsi que moins d'épisodes d'hypoglycémie (0.7%) que sous gliclazide (1.6 kg et 1.7%).
- +Dans une étude au long cours de 2 ans, la vildagliptine 50 mg 2×/j a été comparée au gliclazide jusqu'à 320 mg/j. Après deux ans, l'HbA1c avait diminué en moyenne de 0.5% sous vildagliptine et de 0.6% sous gliclazide. Sous vildagliptine, on a rapporté une prise pondérale moins importante (0.75 kg) ainsi que moins d'épisodes d'hypoglycémie (0.7%) que sous gliclazide (1.6 kg et 1.7%).
-Le traitement associé a été testé dans différents essais chez des patients qui étaient déjà été traités auparavant par des antidiabétiques oraux: avec la metformine (deux études n = 416 et n = 106), avec des sulfonylurées (n = 408) et avec des glitazones (n = 398). La durée moyenne du diabète était de 7-8 ans dans ces études.
-Dans l'étude sur l'association avec la metformine, seuls les patients sous dose journalière initiale de 2000 mg ou plus ont été inclus. L'association vildagliptine 50 mg 1x/j ou 50 mg 2x/j plus metformine 2000 mg était plus efficace que la metformine seule, la différence des traitements combinés étant significative avec -0.73% et -1.1% respectivement. Dans la plus petite étude 2204 de phase II, l'association vildagliptine 50 mg 1x/j plus metformine 1000 mg était significativement supérieure à la metformine seule avec -0.65%.
-Dans l'essai sur l'association avec le glimépiride, des patients chez lesquels un contrôle satisfaisant de la glycémie n'a pas été obtenu avec une sulfonylurée ont été inclus. Il a été documenté qu'ils avaient reçu au minimum les doses normales respectives (beaucoup d'entre eux étaient traités auparavant par glimépiride 4 mg). L'association de vildagliptine 50 mg 1x/j plus glimépiride 4 mg était significativement supérieure au glimépiride 4 mg seul avec une différence de -0.64% des taux d'HbA1c.
-Dans l'étude de sur l'association conduite avec des patients prétraités par des glitazones, l'association vildagliptine 50 mg 1x/j ou 50 mg 2x/j plus pioglitazone 45 mg s'est révélée significativement supérieure à la pioglitazone 45 mg seule. La différence était de -0.46 et -0.67 pour les taux d'HbA1c.
-Dans une étude sur 24 semaines, 50 mg de vildagliptine 2x/j a été comparée à 30 mg de pioglitazone 1x/j chez des patients dont la glycémie n'était pas contrôlée de manière satisfaisante sous metformine. Par rapport au taux initial de 8.4% sous metformine, l'abaissement supplémentaire moyen de l'HbA1c a atteint 0.9% en association avec la vildagliptine et 1.0% en association avec la pioglitazone. Pour une HbA1c initiale > 9.0%, cette diminution était plus prononcée dans les deux groupes de traitement, en l'occurrence 1.5%. Chez les patients qui ont reçu la pioglitazone en plus de la metformine, le poids corporel a augmenté de 1.9 kg, et chez ceux qui ont reçu la vildagliptine en plus de la metformine, le poids a augmenté de 0.3 kg.
-Dans une étude au long cours sur une période allant jusqu'à deux ans, l'effet de 50 mg de vildagliptine 2x/j a été comparé à l'effet de jusqu'à 6 mg de glimépiride 1x/j chez des patients qui étaient déjà sous metformine. Après 2 ans, les taux d'HbA1c avaient en moyenne baissé de 0.06% sous l'association vildagliptine/metformine et de 0.14% sous l'association glimépiride/metformine. La modification du poids corporel était de -0.2 kg sous vildagliptine et de +1.2 kg sous glimépiride. L'incidence des épisodes d'hypoglycémie était significativement inférieure dans le groupe vildagliptine (2.3%) par rapport au groupe glimépiride (18.2%).
-Dans une étude, la vildagliptine (50 mg 2x/jour) a été comparée avec le gliclazide (dose quotidienne moyenne: 229.5 mg) pendant 52 semaines chez des patients insuffisamment contrôlés par la metformine (dose de metformine au début du traitement: 1928 mg/jour). Après un an, la réduction moyenne de l'HbA1c a été de -0.81% avec l'association vildagliptine et metformine (taux moyen d'HbA1c de 8.4% au début du traitement) et de -0.85% avec l'association gliclazide et metformine (taux moyen d'HbA1c de 8.5% au début du traitement); la non-infériorité statistique a été atteinte (IC à 95% -0.11 -0.20). Les variations du poids corporel ont été de +0.1 kg avec la vildagliptine et de +1.4 kg avec le gliclazide.
-Dans une étude de 24 semaines réalisée avec la vildagliptine (50 mg 1x/jour), la réduction moyenne de l'HbA1c a été de -0.74% chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale modérés (taux moyen d'HbA1c au début du traitement de 7.9%) et de -0.88% chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale sévères (taux moyen d'HbA1c au début du traitement de 7.7%). Le placebo a diminué le taux d'HbA1c d'environ 0.21% chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale modérés et d'environ 0.32% chez les présentant des troubles de la fonction rénale sévères (pour des taux moyens respectifs d'HbA1c similaires au début du traitement). La baisse de l'HbA1c a été statistiquement plus élevée sous vildagliptine que sous placebo. 68.6% des patients présentant des troubles de la fonction rénale modérés et 80.5% des patients présentant des troubles de la fonction rénale sévères ont été traités en plus par de l'insuline. Les doses quotidiennes moyennes ont été de 56 unités et de 51.6 unités.
-L'efficacité et la sécurité de la vildagliptine (50 mg deux fois par jour) en association avec une dose stable d'insuline basale ou d'insuline prémélangée (dose quotidienne moyenne de 41 U) avec ou sans metformine ont été évaluées dans une étude de 24 semaines, randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo, réalisée chez 449 patients. La vildagliptine en association avec l'insuline a significativement diminué le taux d'HbA1c par rapport au placebo: dans la population totale, la réduction ajustée en fonction du placebo a été de -0.72% pour un taux initial moyen d'HbA1c de 8.8%. Des hypoglycémies sont survenues chez resp. 8.4% et 7.2% des patients traités par la vildagliptine et le placebo. Le poids moyen des patients a présenté globalement peu de modifications (+0.2 kg sous vildagliptine et -0.7 kg sous placebo).
-L'efficacité et la sécurité de la vildagliptine (50 mg deux fois par jour) en association avec la metformine (≥1500 mg par jour) et le glimépiride (≥4 mg par jour) ont été évaluées dans une étude de 24 semaines, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo, réalisée chez 318 patients. La vildagliptine en association avec la metformine et le glimépiride a significativement diminué le taux d'HbA1c par rapport au placebo: la réduction moyenne ajustée par rapport au placebo a été de -0.76%, pour un taux initial moyen d'HbA1c de 8.8%.
- +Le traitement associé a été testé dans différents essais chez des patients qui étaient déjà été traités auparavant par des antidiabétiques oraux: avec la metformine (deux études n = 416 et n = 106), avec des sulfonylurées (n = 408) et avec des glitazones (n = 398). La durée moyenne du diabète était de 7–8 ans dans ces études.
- +Dans l'étude sur l'association avec la metformine, seuls les patients sous dose journalière initiale de 2000 mg ou plus ont été inclus. L'association vildagliptine 50 mg 1×/j ou 50 mg 2×/j plus metformine 2000 mg était plus efficace que la metformine seule, la différence des traitements combinés étant significative avec - 0.73% et - 1.1% respectivement. Dans la plus petite étude 2204 de phase II, l'association vildagliptine 50 mg 1×/j plus metformine 1000 mg était significativement supérieure à la metformine seule avec - 0.65%.
- +Dans l'essai sur l'association avec le glimépiride, des patients chez lesquels un contrôle satisfaisant de la glycémie n'a pas été obtenu avec une sulfonylurée ont été inclus. Il a été documenté qu'ils avaient reçu au minimum les doses normales respectives (beaucoup d'entre eux étaient traités auparavant par glimépiride 4 mg). L'association de vildagliptine 50 mg 1×/j plus glimépiride 4 mg était significativement supérieure au glimépiride 4 mg seul avec une différence de - 0.64% des taux d'HbA1c.
- +Dans l'étude de sur l'association conduite avec des patients prétraités par des glitazones, l'association vildagliptine 50 mg 1×/j ou 50 mg 2×/j plus pioglitazone 45 mg s'est révélée significativement supérieure à la pioglitazone 45 mg seule. La différence était de - 0.46 et - 0.67 pour les taux d'HbA1c.
- +Dans une étude sur 24 semaines, 50 mg de vildagliptine 2×/j a été comparée à 30 mg de pioglitazone 1×/j chez des patients dont la glycémie n'était pas contrôlée de manière satisfaisante sous metformine. Par rapport au taux initial de 8.4% sous metformine, l'abaissement supplémentaire moyen de l'HbA1c a atteint 0.9% en association avec la vildagliptine et 1.0% en association avec la pioglitazone. Pour une HbA1c initiale > 9.0%, cette diminution était plus prononcée dans les deux groupes de traitement, en l'occurrence 1.5%. Chez les patients qui ont reçu la pioglitazone en plus de la metformine, le poids corporel a augmenté de 1.9 kg, et chez ceux qui ont reçu la vildagliptine en plus de la metformine, le poids a augmenté de 0.3 kg.
- +Dans une étude au long cours sur une période allant jusqu'à deux ans, l'effet de 50 mg de vildagliptine 2×/j a été comparé à l'effet de jusqu'à 6 mg de glimépiride 1×/j chez des patients qui étaient déjà sous metformine. Après 2 ans, les taux d'HbA1c avaient en moyenne baissé de 0.06% sous l'association vildagliptine/metformine et de 0.14% sous l'association glimépiride/metformine. La modification du poids corporel était de - 0.2 kg sous vildagliptine et de + 1.2 kg sous glimépiride. L'incidence des épisodes d'hypoglycémie était significativement inférieure dans le groupe vildagliptine (2.3%) par rapport au groupe glimépiride (18.2%).
- +Dans une étude, la vildagliptine (50 mg 2×/jour) a été comparée avec le gliclazide (dose quotidienne moyenne: 229.5 mg) pendant 52 semaines chez des patients insuffisamment contrôlés par la metformine (dose de metformine au début du traitement: 1928 mg/jour). Après un an, la réduction moyenne de l'HbA1c a été de - 0.81% avec l'association vildagliptine et metformine (taux moyen d'HbA1c de 8.4% au début du traitement) et de - 0.85% avec l'association gliclazide et metformine (taux moyen d'HbA1c de 8.5% au début du traitement); la non-infériorité statistique a été atteinte (IC à 95% - 0.11 - 0.20). Les variations du poids corporel ont été de + 0.1 kg avec la vildagliptine et de + 1.4 kg avec le gliclazide.
- +Dans une étude de 24 semaines réalisée avec la vildagliptine (50 mg 1×/jour), la réduction moyenne de l'HbA1c a été de - 0.74% chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale modérés (taux moyen d'HbA1c au début du traitement de 7.9%) et de - 0.88% chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale sévères (taux moyen d'HbA1c au début du traitement de 7.7%). Le placebo a diminué le taux d'HbA1c d'environ 0.21% chez les patients présentant des troubles de la fonction rénale modérés et d'environ 0.32% chez les présentant des troubles de la fonction rénale sévères (pour des taux moyens respectifs d'HbA1c similaires au début du traitement). La baisse de l'HbA1c a été statistiquement plus élevée sous vildagliptine que sous placebo. 68.6% des patients présentant des troubles de la fonction rénale modérés et 80.5% des patients présentant des troubles de la fonction rénale sévères ont été traités en plus par de l'insuline. Les doses quotidiennes moyennes ont été de 56 unités et de 51.6 unités.
- +L'efficacité et la sécurité de la vildagliptine (50 mg deux fois par jour) en association avec une dose stable d'insuline basale ou d'insuline prémélangée (dose quotidienne moyenne de 41 U) avec ou sans metformine ont été évaluées dans une étude de 24 semaines, randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo, réalisée chez 449 patients. La vildagliptine en association avec l'insuline a significativement diminué le taux d'HbA1c par rapport au placebo: dans la population totale, la réduction ajustée en fonction du placebo a été de - 0.72% pour un taux initial moyen d'HbA1c de 8.8%. Des hypoglycémies sont survenues chez resp. 8.4% et 7.2% des patients traités par la vildagliptine et le placebo. Le poids moyen des patients a présenté globalement peu de modifications (+ 0.2 kg sous vildagliptine et - 0.7 kg sous placebo).
- +L'efficacité et la sécurité de la vildagliptine (50 mg deux fois par jour) en association avec la metformine (≥1500 mg par jour) et le glimépiride (≥4 mg par jour) ont été évaluées dans une étude de 24 semaines, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo, réalisée chez 318 patients. La vildagliptine en association avec la metformine et le glimépiride a significativement diminué le taux d'HbA1c par rapport au placebo: la réduction moyenne ajustée par rapport au placebo a été de - 0.76%, pour un taux initial moyen d'HbA1c de 8.8%.
-Une méta-analyse de 37 études cliniques de phase III et IV (durée de traitement de 2 semaines à ≥2 ans) n'a montré aucune différence cliniquement significative du risque cardiovasculaire entre la vildagliptine (en monothérapie ou en association; N = 9599) et les produits de comparaison (substances actives ou placebo; N = 7102): le rapport des risques estimé ponctuellement entre la vildagliptine et les comparateurs pour le critère composite d'évaluation d'événement cardiovasculaire indésirable majeur (MACE: décès cardiovasculaire, infarctus du myocarde non fatal, accident vasculaire cérébral non fatal) était de 0.82 [intervalle de confiance à 95% 0.61-1.1]. Les résultats du rapport des risques estimé ponctuellement pour les composantes MACE individuelles étaient ainsi concordants.
- +Une méta-analyse de 37 études cliniques de phase III et IV (durée de traitement de 2 semaines à ≥2 ans) n'a montré aucune différence cliniquement significative du risque cardiovasculaire entre la vildagliptine (en monothérapie ou en association; N = 9599) et les produits de comparaison (substances actives ou placebo; N = 7102): le rapport des risques estimé ponctuellement entre la vildagliptine et les comparateurs pour le critère composite d'évaluation d'événement cardiovasculaire indésirable majeur (MACE: décès cardiovasculaire, infarctus du myocarde non fatal, accident vasculaire cérébral non fatal) était de 0.82 [intervalle de confiance à 95% 0.61–1.1]. Les résultats du rapport des risques estimé ponctuellement pour les composantes MACE individuelles étaient ainsi concordants.
-Linéarité
-La vildagliptine est rapidement résorbée avec une biodisponibilité orale de 85%.
-Elimination
-
- +Élimination
- +Linéarité
- +La vildagliptine est rapidement résorbée avec une biodisponibilité orale de 85%.
-Patients âgés
-Chez les patients de plus de 70 ans, les concentrations plasmatiques sont augmentées. Les changements d'exposition à la vildagliptine sont cependant cliniquement non significatifs.
-Altération de la fonction hépatique
- +Troubles de la fonction hépatique
-Altération de la fonction rénale
- +Troubles de la fonction rénale
-Enfants
- +Patients âgés
- +Chez les patients de plus de 70 ans, les concentrations plasmatiques sont augmentées. Les changements d'exposition à la vildagliptine sont cependant cliniquement non significatifs.
- +Enfants et adolescents
-Dans une étude de distribution chez le rat, des concentrations tissulaires 10-30 fois plus élevées ont été mesurées dans le rein et le foie par rapport au plasma.
-Pour des concentrations in vitro et des concentrations plasmatiques in vivo chez le chien, situées nettement au-dessus des valeurs d'exposition à la Cmax chez l'homme pour 50 mg de vildagliptine (80 – 260 fois dans les mesures in vitro et 43 fois dans les valeurs in vivo), on a observé un effet inhibiteur sur les canaux sodiques cardiaques, une diminution des taux de dépolarisation des fibres de Purkinje, un ralentissement de la conduction dans des cœurs isolés de lapin et un élargissement du QRS à l'ECG chez le chien.
-Une étude de carcinogénicité a été effectuée chez le rat avec une dose orale jusqu'à 900 mg/kg (environ 370 fois l'exposition AUC de 50 mg chez l'homme) sur deux ans. Aucune augmentation de l'incidence des tumeurs due à la vildagliptine n'a été constatée. Une étude de carcinogénicité avec des doses orales atteignant 1000 mg/kg (près de 420 fois l'exposition AUC observée chez l'homme avec une dose de 50 mg) sur deux ans a été réalisée chez la souris. L'incidence du cancer du sein chez les souris femelles était augmentée sous une dose environ 260 fois plus élevée que la dose humaine de 50 mg de vildagliptine; les tumeurs mammaires n'étaient pas plus fréquentes avec des doses de l'ordre de 100 fois supérieures à l'exposition humaine. L'incidence des hémangiosarcomes était augmentée chez des rats mâles avec exposition AUC de ≥74 fois celle de la dose humaine de 50 mg de vildagliptine et chez des souris femelles exposées à des doses de l'ordre de 260 fois l'exposition humaine. Aucune augmentation significative de l'incidence des hémangiosarcomes n'a été observée pour des doses de vildagliptine équivalant à environ 27 fois l'exposition humaine chez les mâles et à environ 100 fois chez les femelles.
- +Dans une étude de distribution chez le rat, des concentrations tissulaires 10–30 fois plus élevées ont été mesurées dans le rein et le foie par rapport au plasma.
- +Pour des concentrations in vitro et des concentrations plasmatiques in vivo chez le chien, situées nettement au-dessus des valeurs d'exposition à la Cmax chez l'homme pour 50 mg de vildagliptine (80–260 fois dans les mesures in vitro et 43 fois dans les valeurs in vivo), on a observé un effet inhibiteur sur les canaux sodiques cardiaques, une diminution des taux de dépolarisation des fibres de Purkinje, un ralentissement de la conduction dans des cœurs isolés de lapin et un élargissement du QRS à l'ECG chez le chien.
- +Mutagénicité
- +Carcinogénicité
- +Une étude de carcinogénicité a été effectuée chez le rat avec une dose orale jusqu'à 900 mg/kg (environ 370 fois l'exposition AUC de 50 mg chez l'homme) sur deux ans. Aucune augmentation de l'incidence des tumeurs due à la vildagliptine n'a été constatée. Une étude de carcinogénicité avec des doses orales atteignant 1000 mg/kg (près de 420 fois l'exposition AUC observée chez l'homme avec une dose de 50 mg) sur deux ans a été réalisée chez la souris. L'incidence du cancer du sein chez les souris femelles était augmentée sous une dose environ 260 fois plus élevée que la dose humaine de 50 mg de vildagliptine; les tumeurs mammaires n'étaient pas plus fréquentes avec des doses de l'ordre de 100 fois supérieures à l'exposition humaine. L'incidence des hémangiosarcomes était augmentée chez des rats mâles avec exposition AUC de ≥74 fois celle de la dose humaine de 50 mg de vildagliptine et chez des souris femelles exposées à des doses de l'ordre de 260 fois l'exposition humaine. Aucune augmentation significative de l'incidence des hémangiosarcomes n'a été observée pour des doses de vildagliptine équivalant à environ 27 fois l'exposition humaine chez les mâles et à environ 100 fois chez les femelles.
- +Toxicité sur la reproduction
- +Autres données
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-Conserver dans l'emballage d'origine, à l'abri de l'humidité. Ne pas conserver au-dessus de 30°C.
- +Conserver dans l'emballage d'origine, à l'abri de l'humidité. Ne pas conserver au-dessus de 30 °C.
-Novartis Pharma Schweiz AG, Risch; domicile: 6343 Rotkreuz
- +Novartis Pharma Schweiz AG, Risch; Domicile: 6343 Rotkreuz
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