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Accueil - Information professionnelle sur Fosrenol 250 mg - Changements - 27.05.2024
42 Changements de l'information professionelle Fosrenol 250 mg
  • -L'innocuité et l'efficacité de Fosrenol n'ont pas encore été démontrées chez les patients de moins de 18 ans.
  • +Fosrenol n'est pas autorisé pour un emploi au sein de la population pédiatrique. Aucune recommandation posologique ne peut être formulée.
  • +Les données disponibles à ce jour sont décrites aux rubriques «Effets indésirables», «Propriétés/Effets» et «Pharmacocinétique».
  • -Aucune donnée n'étant disponible, il conviendra d'être prudent chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Aucune donnée n'étant disponible, il conviendra d'être prudent chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère (voir « Mises en garde et précautions »).
  • +Fosrenol est contre-indiqué chez les patients présentant une occlusion intestinale, un iléus ou un fécalome.
  • +
  • -Un dépôt tissulaire de lanthane a été observé avec Fosrenol dans des études menées sur l'animal. Sur 105 biopsies osseuses réalisées chez des patients traités par Fosrenol sur une période allant jusqu'à 4 ans et demi, une augmentation des taux de lanthane a été observée au fil du temps. Des cas de dépôt de lanthane dans la muqueuse gastrointestinale, principalement après une utilisation prolongée, ont été rapportés. La pertinence clinique de cette observation n'est pas encore connue.
  • +Un dépôt tissulaire de lanthane a été observé avec Fosrenol dans des études menées sur l'animal. Sur 105 biopsies osseuses réalisées chez des patients traités par Fosrenol sur une période allant jusqu'à 4 ans et demi, une augmentation des taux de lanthane a été observée au fil du temps. Des cas de dépôt de lanthane dans la muqueuse gastrointestinale, principalement après une utilisation prolongée, ont été rapportés. La pertinence clinique de cette observation n'est pas encore connue. Les dépôts de lanthane dans la muqueuse gastroduodénale sont démontrés par endoscopie sous forme de lésions blanchâtres de différentes tailles et formes. En outre, diverses caractéristiques pathologiques ont été identifiées dans la muqueuse gastroduodénale présentant des dépôts de lanthane, telles que des inflammations chroniques ou actives, une atrophie glandulaire, des modifications régénératives, une hyperplasie fovéolaire, une métaplasie intestinale et une néoplasie.
  • -La prudence s'impose chez tous les patients prédisposés aux obstructions intestinales, iléus, subiléus et perforations gastro-intestinales, par exemple les patients présentant des altérations de l'anatomie de l'appareil digestif (p.ex. diverticulose, péritonite, antécédents de chirurgie gastro-intestinale, cancer gastro-intestinal et ulcération gastro-intestinale), des troubles d'hypomotilité (p.ex. constipation, gastroparésie diabétique), ainsi que lors de l'administration en association avec des médicaments qui sont connus pour majorer ces effets.
  • +La prudence s'impose chez tous les patients prédisposés aux obstructions intestinales, iléus, subiléus et perforations gastro-intestinales, par exemple les patients présentant des altérations de l'anatomie de l'appareil digestif (p.ex. diverticulose, péritonite, antécédents de chirurgie gastro-intestinale, cancer gastro-intestinal et ulcération gastro-intestinale), des troubles d'hypomotilité (p.ex. constipation, gastroparésie diabétique), ainsi que lors de l'administration en association avec des médicaments qui sont connus pour majorer ces effets. Quelques cas de patients n'ayant aucun antécédent d'affections gastro-intestinales ont été rapportés.
  • -Une étude menée chez le rat a mis en évidence une fœtotoxicité à fortes doses (voir « Données précliniques »).
  • +Une étude menée chez le rat a mis en évidence une fœtotoxicité à fortes doses (voir «Données précliniques»).
  • -À part les céphalées et les réactions cutanées allergiques, les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sont de nature gastro-intestinale; ils sont plus faibles si Fosrenol est pris avec un repas (cf. « Posologie/Mode d'emploi ») et diminuent avec le temps au cours de la poursuite du traitement.
  • +À part les céphalées et les réactions cutanées allergiques, les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sont de nature gastro-intestinale; ils sont plus faibles si Fosrenol est pris avec un repas (cf. «Posologie/Mode d'emploi») et diminuent avec le temps au cours de la poursuite du traitement.
  • -Très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100, <1/10); occasionnel (≥1/1000, <1/100); rare (≥1/10'000, <1/1000); très rare (<1/10'000).
  • +Très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1000); très rares (<1/10'000), fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Occasionnel: gastro-entérite, laryngite.
  • +Occasionnels: gastro-entérite, laryngite.
  • -Occasionnel: éosinophilie.
  • +Occasionnels: éosinophilie.
  • -Occasionnel: hyperparathyroïdie.
  • +Occasionnels: hyperparathyroïdie.
  • -Fréquent: hypocalcémie.
  • -Occasionnel: hypercalcémie, hyperglycémie, hyperphosphatémie, hypophosphatémie, anorexie, appétit accru.
  • +Fréquents: hypocalcémie.
  • +Occasionnels: hypercalcémie, hyperglycémie, hyperphosphatémie, hypophosphatémie, anorexie, appétit accru.
  • +Fréquence inconnue: appétit diminué.
  • +
  • -Très fréquent: céphalées.
  • -Occasionnel: étourdissement/vertige, dysgueusie.
  • +Très fréquents: céphalées.
  • +Occasionnels: étourdissement/vertige, dysgueusie.
  • -Occasionnel: vertige.
  • +Occasionnels: vertige.
  • -Très fréquent: douleurs abdominales, diarrhée, nausée, vomissement.
  • -Fréquent: constipation, dyspepsie, ballonnement.
  • -Occasionnel: iléus, subiléus, obstruction intestinale, côlon irritable (SCI), œsophagite, stomatite, selles molles, troubles digestifs, symptômes gastro-intestinaux non spécifiés, sécheresse buccale, lésions dentaires, éructations.
  • -Rare: perforation intestinale.
  • +Très fréquents: douleurs abdominales, diarrhée, nausée, vomissement.
  • +Fréquents: constipation, dyspepsie, ballonnement.
  • +Occasionnels: iléus, subiléus, obstruction intestinale, côlon irritable (SCI), œsophagite, stomatite, selles molles, troubles digestifs, symptômes gastro-intestinaux non spécifiés, sécheresse buccale, éructations.
  • +Rares: perforation intestinale.
  • -Occasionnel: alopécie, sueurs.
  • +Occasionnels: alopécie, sueurs.
  • -Occasionnel: douleurs articulaires, douleurs musculaires, ostéoporose.
  • +Occasionnels: douleurs articulaires, douleurs musculaires, ostéoporose.
  • -Occasionnel: asthénie, douleurs thoraciques, fatigue, malaise, œdèmes périphériques, douleurs, soif.
  • +Occasionnels: asthénie, douleurs thoraciques, fatigue, malaise, œdèmes périphériques, douleurs, soif.
  • -Occasionnel: augmentation du taux sanguin d'aluminium, augmentation des gamma GT, augmentation des transaminases hépatiques, augmentation des phosphatases alcalines, perte de poids.
  • +Occasionnels: augmentation du taux sanguin d'aluminium, augmentation des gamma GT, augmentation des transaminases hépatiques, augmentation des phosphatases alcalines, perte de poids.
  • +Fréquence inconnue: résidus de produit.
  • +Lésions, intoxications et complications d'interventions
  • +Occasionnels: lésions dentaires.
  • +Population pédiatrique
  • +La fréquence, le type et la sévérité des effets secondaires chez les enfants n'ont pas été entièrement établis. En particulier, une incertitude existe concernant l'accumulation dans les os et le risque de retard de croissance en cas de traitement chez l'enfant.
  • +
  • -Après 4 semaines de traitement dans les deux études avec ajustement de la dose, 61 à 82 % des patients traités par le carbonate de lanthane hydraté avaient leur taux de phosphate sérique sous contrôle, par rapport à 24 à 31 % des patients sous placebo. Le taux moyen de phosphate sérique sous Fosrenol était inférieur de 0,45 à 0,6 mmol/l à celui obtenu avec le placebo.
  • +Après 4 semaines de traitement dans les deux études avec ajustement de la dose, 61 à 82% des patients traités par le carbonate de lanthane hydraté avaient leur taux de phosphate sérique sous contrôle, par rapport à 24 à 31 % des patients sous placebo. Le taux moyen de phosphate sérique sous Fosrenol était inférieur de 0,45 à 0,6 mmol/l à celui obtenu avec le placebo.
  • +Population pédiatrique
  • +Une étude en ouvert incluant au total 63 patients a été menée pour évaluer l'efficacité et la sécurité de Fosrenol chez des patients pédiatriques atteints de néphropathie chronique sous dialyse. Cette étude n'a pas atteint la taille d'échantillon initialement prévue requise pour une comparaison statistique avec le carbonate de calcium; seule une analyse descriptive des données finales a donc été réalisée.
  • +Parmi les 52 patients de la population FAS qui ont été traités par Fosrenol dans la partie 2b et dans une partie 3 ultérieure de l'étude, 10 patients sur 51 inclus dans la partie 2b et 7 patients sur 42 inclus dans la partie 3 n'ont pas participé à l'étude jusqu'à la fin du traitement; l'exposition totale était de 26,4 patients-années et la période d'observation totale était de 36,8 patients-années.
  • +Après 8 semaines de traitement par Fosrenol, 35 % des sujets inclus dans la population d'analyse primaire ont atteint les taux cibles de phosphore sérique spécifiés par la Kidney Disease Outcome Quality Initiative (KDOQI) (c.-à-d. < 1,94 mmol/l pour les enfants < 12 ans; < 1,78 mmol/l pour les adolescents âgés de 12 à 18 ans).
  • +Aucun nouveau problème de sécurité significatif avec Fosrenol n'a été identifié dans cette étude chez des sujets pédiatriques atteints de néphropathie chronique sous dialyse recevant une dose journalière moyenne de 1705 mg (médiane de 1500 mg).
  • +
  • -Aucune accumulation du lanthane n'a été observée dans le plasma de patients ou d'animaux après administration orale répétée de carbonate de lanthane hydraté. Après administration orale, la petite fraction du lanthane qui est absorbée se lie en majeure partie aux protéines plasmatiques humaines (>99,7 %). Dans les études menées sur l'animal, on a pu observer que cette fraction est en général largement distribuée dans les tissus organiques, principalement dans l'os, le foie et le tube digestif, y compris les ganglions lymphatiques mésentériques. Dans les études à long terme conduites chez l'animal, les concentrations de lanthane dans plusieurs tissus, notamment le tube digestif, l'os et le foie, ont augmenté avec le temps jusqu'à atteindre des niveaux plusieurs fois supérieurs à ceux retrouvés dans le plasma. Un état stationnaire apparent des concentrations de lanthane a été atteint dans certains tissus, par exemple le foie, tandis que les taux retrouvés dans le tube digestif ont augmenté avec la durée du traitement. L'évolution des taux tissulaires de lanthane après arrêt du traitement a été différente selon les tissus. Une proportion relativement élevée de lanthane a été retenue dans les tissus plus de 6 mois après l'arrêt du traitement (le pourcentage médian de lanthane retenu dans l'os était de ≤100 % chez le rat et de ≤87 % chez le chien, celui retenu dans le foie était de ≤6% chez le rat et de ≤82 % chez le chien). Aucun effet indésirable n'a été associé au dépôt tissulaire de lanthane observé dans les études à long terme chez des animaux traités par des doses orales élevées de carbonate de lanthane hydraté (voir « Données précliniques »). (Pour plus d'informations concernant l'évolution des concentrations de lanthane dans les biopsies osseuses prélevées chez des patients sous dialyse après un an de traitement avec des chélateurs du phosphate contenant du lanthane par rapport à des chélateurs contenant du calcium, voir «Propriétés/Effets»).
  • +Aucune accumulation du lanthane n'a été observée dans le plasma de patients ou d'animaux après administration orale répétée de carbonate de lanthane hydraté. Après administration orale, la petite fraction du lanthane qui est absorbée se lie en majeure partie aux protéines plasmatiques humaines (>99,7 %). Dans les études menées sur l'animal, on a pu observer que cette fraction est en général largement distribuée dans les tissus organiques, principalement dans l'os, le foie et le tube digestif, y compris les ganglions lymphatiques mésentériques. Dans les études à long terme conduites chez l'animal, les concentrations de lanthane dans plusieurs tissus, notamment le tube digestif, l'os et le foie, ont augmenté avec le temps jusqu'à atteindre des niveaux plusieurs fois supérieurs à ceux retrouvés dans le plasma. Un état stationnaire apparent des concentrations de lanthane a été atteint dans certains tissus, par exemple le foie, tandis que les taux retrouvés dans le tube digestif ont augmenté avec la durée du traitement. L'évolution des taux tissulaires de lanthane après arrêt du traitement a été différente selon les tissus. Une proportion relativement élevée de lanthane a été retenue dans les tissus plus de 6 mois après l'arrêt du traitement (le pourcentage médian de lanthane retenu dans l'os était de ≤100 % chez le rat et de ≤87% chez le chien, celui retenu dans le foie était de ≤6% chez le rat et de ≤82 % chez le chien). Aucun effet indésirable n'a été associé au dépôt tissulaire de lanthane observé dans les études à long terme chez des animaux traités par des doses orales élevées de carbonate de lanthane hydraté (voir «Données précliniques»). (Pour plus d'informations concernant l'évolution des concentrations de lanthane dans les biopsies osseuses prélevées chez des patients sous dialyse après un an de traitement avec des chélateurs du phosphate contenant du lanthane par rapport à des chélateurs contenant du calcium, voir «Propriétés/Effets»).
  • +Chez des enfants (< 12 ans) qui avaient reçu une dose unique de 500 mg de carbonate de lanthane, les valeurs moyennes de la Cmax et de l'ASClast du lanthane correspondaient à environ un tiers de celles des adolescents (≥12 ans) qui avaient reçu 1000 mg de carbonate de lanthane (Cmax moyenne: 0,214 ng/ml vs 0,646 ng/ml et ASClast moyenne: 2,57 ng⋅h/ml vs 8,31 ng⋅h/ml).
  • +
  • -Janvier 2023.
  • +Avril 2023
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