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Accueil - Information professionnelle sur Ig Vena Kedrion 50 g/I - Changements - 21.12.2023
76 Changements de l'information professionelle Ig Vena Kedrion 50 g/I
  • -Teneur maximale en IgA est de 50 µg /ml.
  • +Teneur maximale en IgA est de 50 µg/ml.
  • -·Déficit immunitaire primaire avec une production d'anticorps diminuée.
  • -·Hypogammaglobulinémie et infections bactériennes récurrentes chez les patients avec une leucémie lymphocytaire chronique pour lesquels une prophylaxie à base d'antibiotiques a échouée.
  • -·Hypogammaglobulinémie et infections bactériennes récurrentes chez les patients dans la phase de plateau du myélome multiple qui n'ont pas répondu à l'immunisation pneumococcique.
  • -·Hypogammaglobulinémie chez les patients après une transplantation allogénique de cellules souches hématopoïétiques (HSCT).
  • -·Infections congénitales par le VIH avec infections bactériennes récurrentes.
  • +·Déficits immunitaires primaires (DIP) avec une production d'anticorps diminuée.
  • +·Déficits immunitaires secondaires (DIS) chez les patients souffrant d'infections sévères ou récurrentes, d'un traitement antimicrobien inefficace et d'un déficit prouvé d'anticorps spécifiques (PSAF)* ou d'un taux sérique d'IgG < 4 g/l.
  • +* PSAF = Absence d'augmentation au moins égale au double de la concentration d'anticorps IgG contre les polysaccharides des pneumocoques et les vaccins polypeptide antigène (PSAF = proven specific antibody failure).
  • +·Maladie de Kawasaki (en association avec le l'acide acétylsalicylique, voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -·Syndrome de Kawasaki.
  • +Posologie usuelle
  • -En cas de traitement substitutif, il peut s'avérer nécessaire d'individualiser la posologie pour chaque patient en fonction de la réponse pharmacocinétique et clinique. Les posologies suivantes sont données à titre indicatif.
  • -Traitement substitutif en cas de déficit immunitaire primaire
  • -Le traitement doit avoir pour but d'assurer un taux plasmatique d'IgG d'au moins 5 - 6 g/l (mesuré avant la perfusion suivante). Trois à 6 mois sont nécessaires pour atteindre un équilibre après le début du traitement. La dose initiale recommandée est de 0,4 - 0,8 g/kg de poids corporel (PC) administrée en une seule fois, puis de 0,2 g/kg PC au minimum toutes les 3 à 4 semaines.
  • -Une dose d'entretien de 0,2 - 0,8 g/kg PC par mois est nécessaire pour maintenir un taux plasmatique régulier de 5 - 6 g/l. La fréquence des perfusions varie de 3 à 4 semaines, une fois l'état d'équilibre atteint.
  • -Les taux minimaux doivent être mesurés et évalués avec l'incidence de l'infection. Pour réduire le taux d'infections, il peut être nécessaire d'augmenter la posologie avec pour objectif l'augmentation du taux minimal.
  • -Hypogammaglobulinémie et infections bactériennes récurrentes chez les patients avec une leucémie lymphocytaire chronique pour lesquels une prophylaxie à base d'antibiotiques a échouée; hypogammaglobulinémie et infections bactériennes récurrentes chez les patients dans la phase de plateau du myélome multiple qui n'ont pas répondu à l'immunisation pneumococcique; infections congénitales par le VIH et infections bactériennes récurrentes
  • +Il peut s'avérer nécessaire d'individualiser la posologie pour chaque patient en fonction de la réponse clinique. La dose, basée sur le poids corporel, peut nécessiter un ajustement chez les patients en sous-poids ou en surpoids. Les posologies suivantes sont données à titre indicatif.
  • +Traitement substitutif en cas de déficits immunitaires primaires
  • +Le traitement doit avoir pour but d'assurer un taux plasmatique d'IgG (mesuré avant la perfusion suivante) d'au moins 6 g/l ou dans la fourchette de référence normale pour l'âge de la population. Trois à 6 mois sont nécessaires pour atteindre un équilibre (taux d'IgG à l'état d'équilibre) après le début du traitement. La dose initiale recommandée est de 0,4 - 0,8 g/kg de poids corporel (PC) administrée en une seule fois, puis de 0,2 g/kg PC au minimum toutes les 3 à 4 semaines.
  • +Une dose d'entretien de 0,2 - 0,8 g/kg PC par mois est nécessaire pour maintenir un taux plasmatique régulier d'IgG de 6 g/l. La fréquence des perfusions varie de 3 à 4 semaines, une fois l'état d'équilibre atteint.
  • +Les taux minimaux d'IgG doivent être mesurés et évalués avec l'incidence des infections. Pour réduire le taux d'infections bactériennes, il peut être nécessaire d'augmenter la posologie avec pour objectif l'augmentation du taux minimal.
  • +Traitement substitutif en cas de déficits immunitaires secondaires (voir section «Indications/Possibilités d'emploi»)
  • -Hypogammaglobulinémie chez les patients après une transplantation allogénique de cellules souches hématopoïétiques (HSCT)
  • -La dose recommandée est de 0,2 - 0,4 g/kg PC toutes les 3 à 4 semaines. Un taux minimal doit être maintenu au-dessus de 5 g/l.
  • +Les concentrations minimales d'IgG doivent être mesurées et évaluées en fonction de l'incidence de l'infection. La dose doit être ajustée si nécessaire pour obtenir une protection optimale contre les infections. Une augmentation de la dose peut être nécessaire chez les patients présentant une infection persistante. Une diminution de la dose peut être envisagée lorsque le patient ne présente pas d'infection.
  • -Il existe deux possibilités de traitement:
  • +Il existe deux programmes de traitements alternatifs:
  • -·0,4 g/kg pendant 2 à 5 jours.
  • +·0,4 g/kg par jour pendant 2 à 5 jours.
  • -·0,4 g/kg PC/jour pendant 5 jours.
  • +·0,4 g/kg PC/jour pendant 5 jours (répétition éventuelle de la posologie en cas de rechute).
  • +Maladie de Kawasaki
  • +·2,0 g/kg PC doit être administré en une seule dose.
  • +Les patients doivent recevoir un traitement concomitant avec l'acide acétylsalicylique.
  • -Dose initiale: 2 g/kg sur 4 jours consécutifs (0.5 g/kg/jour). Après quatre semaines quand le patient a répondu, la dose d'entretien est administrée toutes les 4 semaines. Il est recommandé qu'une fois le bénéfice maximal est atteint, la dose est réduite du maximum de 2 g/kg jusqu'à ce que la dose d'entretien minimale efficace soit identifiée.
  • -Syndrome de Kawasaki
  • -·1,6 à 2,0 g/kg PC doivent être administrés en plusieurs doses sur 2 à 5 jours ou
  • -·2,0 g/kg PC en une dose unique.
  • -Les patients doivent être traités simultanément par de l'acide acétylsalicylique.
  • +Dose initiale: 2 g/kg pour 2-5 jours consécutifs.
  • +Dose d'entretien: 1 g/kg pour 1 ou 2 jours consécutifs toutes les 3 semaines.
  • +L'efficacité du traitement doit être évalué après chaque cycle. Si aucun effet n'est observé après 6 mois, le traitement doit être interrompu.
  • +Si le traitement est efficace, le traitement à long terme doit être soumis à l'appréciation du médecin en fonction de la réponse du patient et de la réponse de maintien. La posologie et les intervalles peuvent devoir être adaptés en fonction de l'évolution individuelle de la maladie.
  • -Dose intiale: 2 g/kg sur 2-5 jours consécutifs.
  • +Dose intiale: 2 g/kg pour 2-5 jours consécutifs.
  • -Traitement substitutif du déficit immunitaire primaire Dose initiale: 0.4 – 0.8 g/kg PC par la suite: 0.2 – 0.8 g/kg PC Toutes les 3 – 4 semaines afin d'obtenir une quantité d'IgG de 5 – 6 g/l au minimum.
  • -Traitement substitutif du déficit immunitaire secondaire 0.2 – 0.4 g/kg PC Toutes les 3 – 4 semaines afin d'obtenir une quantité d'IgG de 5 – 6 g/l au minimum.
  • -Infection VIH congénitale 0.2 – 0.4 g/kg PC Toutes les 3 – 4 semaines.
  • -Hypogammaglobulinémie (< 4 g/l) chez les patients après une transplantation allogénique de cellules souches hématopoïétiques (HSCT) 0.2 – 0.4 g/kg PC Toutes les 3 – 4 semaines pour obtenir un taux minimal de 5 g/l.
  • +Traitement substitutif
  • +Traitement substitutif des déficits immunitaires primaires Dose initiale: 0.4 – 0.8 g/kg PC Dose d'entretien: 0.2 – 0.8 g/kg PC Toutes les 3 – 4 semaines
  • +Traitement substitutif des déficits immunitaires secondaires (voir «Indications/Possibilités d'emploi») 0.2 – 0.4 g/kg PC Toutes les 3 – 4 semaines
  • -Purpura Thrombopénique primaire 0.8 – 1 g/kg PC Le premier jour avec possibilité de renouvellement dans les trois jours.
  • - ou: 0.4 g/kg PC/jour Durant 2 - 5 jours.
  • -Syndrome de Guillain Barré 0.4 g/kg PC /jour Durant 5 jours
  • -Polyradiculoneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC) Dose initiale: 2 g/kg Pour 4 jours consécutifs (0.5 g/kg/jour).
  • - Après quatre semaines: dose d'entretien Toutes les quatre semaines, la dose est réduite et adaptée consécutivement et individuellement à la dose d'entretien minimale nécessaire pour maintenir une réponse chez le patient La dose doit être adaptée aux besoins du patient.
  • -Syndrome de Kawasaki 1.6 – 2 g/kg PC Divisé en plusieurs doses sur 2 – 5 jours en association avec de l'acide acétylsalicylique.
  • - ou: 2 g/kg PC En 1 dose en association avec de l'acide acétylsalicylique.
  • +Purpura Thrombopénique primaire 0.8 – 1 g/kg PC ou: Le premier jour avec possibilité de renouvellement dans les trois jours.
  • + 0.4 g/kg PC/jour Durant 2 - 5 jours.
  • +Syndrome de Guillain Barré 0.4 g/kg PC/jour Durant 5 jours
  • +Maladie de Kawasaki 2 g/kg PC En 1 dose en association avec de l'acide acétylsalicylique.
  • +Polyradiculoneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC) Dose initiale: 2 g/kg Doses divisées sur 2-5 jours
  • + Dose d'entretien: 1 g/kg Toutes les 3 semaines sur 1 à 2 jours
  • - Dose d'entretien: 1 g/kg Toutes les 2-4 semaines
  • - ou: 2 g/kg ou Toutes les 4-8 semaines pour 2-5 jours consécutifs
  • + Dose d'entretien:
  • + 1 g/kg ou: 2 g/kg Toutes les 2-4 semaines ou Toutes les 4-8 semaines pour 2-5 jours consécutifs
  • -Population pédiatrique
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Aucune évidence n'est disponible pour recommander une adaptation posologique.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Pas d'ajustement posologique sauf si cela est cliniquement justifié (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients âgés
  • +Pas d'ajustement posologique sauf si cela est cliniquement justifié (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Enfants et adolsecents
  • -Patients de plus de 65 ans
  • -L'expérience chez les patients de plus de 65 ans est limitée.
  • -Ig Vena Kedrion doit être administré exclusivement par voie intraveineuse. Pendant les 20 - 30 premières minutes, Ig Vena Kedrion doit être perfusé par voie intraveineuse à un débit initial de 0,46 – 0.92 ml/kg/heure (10-20 gouttes/min). En cas de bonne tolérance, le débit peut être augmenté progressivement jusqu'à 1.85 ml/kg/heure (40 gouttes/min).
  • +Ig Vena Kedrion doit être administré exclusivement par voie intraveineuse. Pendant les 20 - 30 premières minutes, Ig Vena Kedrion doit être perfusé par voie intraveineuse à un débit initial de 0, 46 – 0.92 ml/kg/heure (10-20 gouttes/min). En cas d'effet indésirable, il faut soit réduire la vitesse d'administration, soit arrêter la perfusion. Si bien toléré, le débit peut être augmenté progressivement jusqu'à 1.85 ml/kg/heure (40 gouttes/min).
  • -Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients.
  • -Hypersensibilité aux immunoglobulines humaines, en particulier chez des patients présentant des anticorps anti-IgA.
  • +Hypersensibilité au principe actif (immunoglobuline humaine) ou à l'un des excipients.
  • +Pour les patients présentant un déficit sélectif en IgA qui ont développé des anticorps anti-IgA, car l'administration d'un produit contenant des IgA peut entraîner une anaphylaxie.
  • -Certaines réactions sévères d'intolérance peuvent être en relation avec la vitesse de perfusion.
  • -Il faut donc respecter strictement le débit de perfusion recommandé sous «Posologie/mode d'emploi». Les patients doivent être rigoureusement surveillés pendant toute la durée de la perfusion afin d'observer soigneusement l'apparition de symptômes éventuels.
  • -Certains effets indésirables peuvent survenir plus fréquemment:
  • -·en cas de débit de perfusion élevé;
  • -·chez les patients présentant une hypo- ou une agammaglobulinémie avec ou sans déficit en Ig A;
  • -·chez les patients recevant pour la première fois de l'immunoglobuline G humaine, dans de rares cas lors d'un changement du produit, ou si le traitement a été interrompu durant une longue période.
  • +Précautions
  • -En cas d'effets indésirables, il faut soit diminuer le débit de la perfusion ou soit stopper la perfusion. Le traitement dépend de la nature et de la gravité des effets indésirables. En cas de choc, les standards médicaux actuels pour le traitement des chocs doivent être appliqués.
  • +En cas d'effets indésirables, il faut soit réduire le débit de perfusion, soit arrêter la perfusion. Le traitement requis dépend de la nature et de la sévérité de l'effet indésirable.
  • +Réaction liée à la perfusion
  • +Certains effets indésirables (par exemple céphalées, bouffées vasomotrices, frissons, myalgie, respiration sifflante, tachycardie, douleurs lombaires, nausées et hypotension) peuvent être liés à la vitesse de perfusion. La vitesse de perfusion recommandée doit être suivie strictement. Les patients doivent être étroitement surveillés. Il faut surveiller attentivement l'apparition de tout symptôme pendant toute la durée de la perfusion.
  • +Les effets indésirables peuvent survenir plus fréquemment:
  • +·chez les patients qui reçoivent une immunoglobuline humaine normale pour la première fois ou, dans de rares cas, lorsque le produit à base d'immunoglobuline humaine normale est changé ou lorsqu'un long intervalle s'est écoulé depuis la dernière perfusion;
  • +·chez les patients présentant une infection non traitée ou une inflammation chronique sous-jacente.
  • -Les vraies réactions d'hypersensibilité sont rares. Elles peuvent survenir chez les patients ayant des anticorps anti-IgA.
  • -IVIGs ne sont pas indiqués pour les patients présentant un déficit sélectif en IgA.
  • -L'immunoglobuline humaine normale peut rarement entraîner une chute de la tension artérielle associée à une réaction anaphylactique, même chez les patients qui ont jusque là bien toléré le traitement avec une immunoglobuline G humaine normale.
  • -Ig Vena Kedrion contient du maltose, un disaccharide obtenu à partir de céréales.
  • -Des réactions anaphylactiques ou de type anaphylactique ont été rapportées en relation avec des perfusions d'autres produits contenant du maltose ou de l'amidon de céréales. Chez les patients souffrant d'allergies connues aux céréales, il convient donc soit de renoncer totalement à l'utilisation d'Ig Vena Kedrion, soit de l'administrer sous surveillance étroite, afin de déceler tout signe et symptôme éventuel d'une réaction d'hypersensibilité sévère.
  • +Les vraies réactions d'hypersensibilité sont rares.
  • +L'anaphylaxie peut se développer chez les patients:
  • +·avec des IgA non détectables qui ont des anticorps anti-IgA
  • +·qui ont toléré un traitement antérieur par une immunoglobuline humaine normale.
  • +En cas de choc, le traitement médical standard pour le choc doit être mis en œuvre.
  • +Les paramètres rénaux doivent être évalués avant la perfusion d'immunoglobuline, en particulier chez les patients jugés comme présentant un risque potentiel accru de développer une insuffisance rénale aiguë, et à nouveau à intervalles appropriés. Chez les patients présentant un risque d'insuffisance rénale aiguë, les produits à base d'immunoglobuline doivent être administrés à la vitesse de perfusion et à la dose minimales réalisables.
  • -Bien que ces rapports de cas de dysfonctionnement rénal et d'insuffisance rénale aiguë aient été associés à l'utilisation de nombreuses spécialités à base d'immunoglobulines intraveineuses, une proportion particulièrement élevée des produits concernés contiennent du saccharose comme stabilisateur. En conséquence, chez les patients à risque, l'utilisation de médicaments à base d'immunoglobuline intraveineuse ne contenant pas de saccharose doit être envisagée. Chez les patients présentant un risque d'insuffisance rénale aiguë ou de réactions thromboemboliques indésirables, les immunoglobulines intraveineuses doivent être administrées avec un débit de perfusion et une dose réduits au minimum.
  • +Bien que ces rapports de cas de dysfonctionnement rénal et d'insuffisance rénale aiguë aient été associés à l'utilisation de nombreuses spécialités à base d'immunoglobulines intraveineuses, une proportion particulièrement élevée des produits concernés contiennent du saccharose comme stabilisateur. En conséquence, chez les patients à risque, l'utilisation de médicaments à base d'immunoglobuline intraveineuse ne contenant pas de saccharose doit être envisagée.
  • -L'arrêt du traitement à base d'immunoglobuline a permis la rémission du syndrome de méningite aseptique dans les jours suivants, et sans séquelle. Ce syndrome apparaît le plus souvent dans les heures ou durant les 2 jours qui suivent l'administration d'immunoglobuline. Les études du fluide cérébrospinal sont souvent positives avec une pléiocytose jusqu'à plusieurs milliers de cellules par mm3, principalement de la lignée granulocytaire et une teneur en protéines de plusieurs centaines de mg/dl.
  • +Ce syndrome apparaît le plus souvent dans les heures ou durant les 2 jours qui suivent l'administration d'immunoglobuline. Les études du fluide cérébrospinal sont souvent positives avec une pléiocytose jusqu'à plusieurs milliers de cellules par mm3, principalement de la lignée granulocytaire et une teneur en protéines de plusieurs centaines de mg/dl.
  • +Les patients présentant de tels signes et symptômes doivent subir un examen neurologique approfondi, y compris une étude du LCR, afin d'exclure d'autres causes de méningite.
  • +L'arrêt du traitement à base d'immunoglobuline a permis la rémission du syndrome de méningite aseptique dans les jours suivants, et sans séquelle.
  • +
  • -Un risque clairement élevé d'hémolyse cliniquement significative existe pour les patients de groupe sanguin A, B ou AB, s'ils recoivent une dose cumulée ≥ (1–) 2 g/kg d'un produit avec un titre en isoagglutinines élevé. En association avec des produits IVIg ayant un titre en isoagglutinines Anti-A median ≤1:16 (mesuré avec le test d'agglutination direct, «test de Coombs direct», comme effectué dans le cadre de la libération des lots), des cas d'hémolyse n'ont été signalés que rarement.
  • +Un risque clairement élevé d'hémolyse cliniquement significative existe pour les patients de groupe sanguin A, B ou AB, s'ils recoivent une dose cumulée ≥ (1–) 2 g/kg d'un produit avec un titre en isoagglutinines élevé. En association avec des produits IVIG ayant un titre en isoagglutinines Anti-A median ≤1:16 (mesuré avec le test d'agglutination direct, «test de Coombs direct», comme effectué dans le cadre de la libération des lots), des cas d'hémolyse n'ont été signalés que rarement.
  • -En cas d'apparition de signes et/ou de symptômes d'hémolyse chez un patient pendant l'infusion de IVIg, le médecin responsable doit évaluer la nécessité d'interrompre le traitement avec les IVIg (voir aussi chapitre «Effets indésirables»).
  • +En cas d'apparition de signes et/ou de symptômes d'hémolyse chez un patient pendant l'infusion de IVIG, le médecin responsable doit évaluer la nécessité d'interrompre le traitement avec les IVIG (voir aussi chapitre «Effets indésirables»).
  • +Neutropénie/Leucopénie
  • +Une diminution transitoire du nombre de neutrophiles et/ou des épisodes de neutropénie, parfois sévères, ont été rapportés après un traitement par des immunoglobulines. Cela se produit généralement dans les heures ou les jours qui suivent l'administration des IVIG et se résout spontanément dans les 7 à 14 jours.
  • +Syndrome de détresse respiratoire aiguë post-transfusionnel (SDRAPT)
  • +Des cas d'œdème pulmonaire aigu non cardiogénique ont été signalés chez des patients recevant des IVIG [Transfusion Related Acute Lung Injury (TRALI)]. Le SDRAPT se caractérise par une hypoxie sévère, une dyspnée, une tachypnée, une cyanose, de la fièvre et une hypotension. Les symptômes du SDRAPT apparaissent généralement pendant ou dans les 6 heures suivant une transfusion, souvent dans les 1 à 2 heures. Par conséquent, les patients recevant des immunoglobuline doivent être surveillés et la perfusion d'IVIG doit être immédiatement arrêtée en cas de réactions indésirables pulmonaires. Le SDRAPT est un état potentiellement mortel qui nécessite une prise en charge immédiate en unité de soins intensifs.
  • +
  • -Après injection d'immunoglobuline, l'augmentation transitoire de la concentration de divers anticorps transférés passivement dans le sang du patient peut être responsable de résultats faussement positifs lors de tests sérologiques.
  • +Après l'administration d'immunoglobuline, l'augmentation transitoire de la concentration de divers anticorps transférés passivement dans le sang du patient peut être responsable de résultats faussement positifs lors de tests sérologiques.
  • -Sécurité virale
  • +Agents transmissibles
  • +Excipients
  • +Ce médicament contient 100 mg de maltose par ml comme excipient. L'interférence du maltose dans les dosages de la glycémie peut entraîner des lectures de glucose faussement élevées et, par conséquent, l'administration inappropriée d'insuline, entraînant une hypoglycémie potentiellement mortelle et la mort. De plus, les cas de véritables hypoglycémies peuvent ne pas être traités si l'état hypoglycémique est masqué par des lectures de glucose faussement élevées. Pour plus de détails, voir la rubrique «Interactions».
  • +Diurétiques de l'anse
  • +Éviter l'utilisation concomitante de diurétiques de l'anse.
  • -Les immunoglobulines passent dans le lait maternel et peuvent contribuer au transfert d'anticorps protecteurs au nouveau-né dirigés contre des pathogènes.
  • +Les immunoglobulines passent dans le lait maternel Aucun effet négatif sur les nouveau-nés/nourrissons allaités n'est attendu.
  • -Description de certains effets indésirables
  • -Des effets indésirables tels que frissons, céphalées, vertiges, fièvre, vomissements, réactions allergiques, nausées, arthralgies, hypotension artérielle et légers maux de dos peuvent survenir occasionnellement.
  • -Dans de rares cas, les immunoglobulines humaines peuvent provoquer une chute soudaine de la tension artérielle. Dans des cas isolés, un choc anaphylactique peut survenir, même si le patient n'a pas présenté d'hypersensibilité lors d'administrations antérieures.
  • -Des cas de méningites aseptiques réversibles, de rares cas de réactions cutanées transitoires ont été décrits après l'administration d'immunoglobuline G humaine. Des réactions hémolytiques ont été observées, spécialement avec les groupes A, B et AB. Rarement des anémies hémolytiques nécessitant une transfusion se sont développées suite à l'administration de doses élevées d'immunoglobulines.
  • -Une élévation du taux de créatinine sérique et/ou une insuffisance rénale aiguë ont été observées.
  • -Très rarement des réactions thromboemboliques comme un infarctus du myocarde, un accident vasculaire cérébral, une embolie pulmonaire et des thromboses veineuses profondes ont été rapportées.
  • +Description d'effets indésirables spécifiques et informations complémentaires
  • +Les effets indésirables causés par les immunoglobulines humaines normales (en fréquence décroissante) englobent:
  • +·Frissons, céphalées, vertiges, fièvre, vomissements, réactions allergiques, nausées, arthralgies, hypotension artérielle et légères douleurs lombaires.
  • +·Réactions hémolytiques ont été observées, spécialement avec les groupes A, B et AB. et (rarement) des anémies hémolytiques nécessitant une transfusion.
  • +·(Rarement) chute soudaine de la tension artérielle et dans des cas isolés, un choc anaphylactique peut survenir, même si le patient n'a pas présenté d'hypersensibilité lors d'administrations antérieures.
  • +·(Rarement) des réactions cutanées transitoires (y compris un lupus érythémateux cutané, fréquence inconnue).
  • +·(Très rarement) des réactions thromboemboliques comme un infarctus du myocarde, un accident vasculaire cérébral, une embolie pulmonaire et des thromboses veineuses profondes.
  • +·Des cas de méningites aseptiques réversibles,
  • +·Une élévation du taux de créatinine sérique et/ou une insuffisance rénale aiguë ont été observées.
  • +·Des cas de lésions pulmonaires aiguës liées à la transfusion (TRALI, SDRAPT) ont été rapportées.
  • -Les fréquences ont été évaluées selon la convention suivante: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10,); occasionnels (≥1/1'000 à <1/100); rares (≥1/10'000 à <1/1'000); très rares (<1/10'000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Les fréquences ont été évaluées selon la convention suivante: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10,); occasionnels (≥1/1'000 à <1/100); rares (≥1/10'000 à <1/1'000); très rares (<1/10'000), fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Tableau 1: fréquences des effets indésirables rapportés dans le cadre des études cliniques
  • -MedDRA System Organ Class (SOC) Effets indésirables (MedDRA Preferred Term) Fréquence (nombre d'effets indésirables / nombre de perfusions)
  • -Affections du système nerveux Céphalées Rare
  • -Somnolence Rare
  • -Affections gastro-intestinales Nausée Rare
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif Dorsalgies Occasionnel
  • -Myalgies Rare
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration Asthénie Rare
  • -Fatigue Rare
  • -Fièvre Rare
  • +Les effets indésirables observés après la mise sur le marché sont énumérés avec une fréquence inconnue, car la notification des effets indésirables après la mise sur le marché est volontaire et provient d'une population de taille incertaine, et il n'est pas possible d'estimer de manière fiable la fréquence de ces effets.
  • +Source de la base de données sur la sécurité (par exemple, essais cliniques, études de sécurité post-autorisation et/ou notification spontanée).
  • +Tableau 1: Fréquences des effets indésirables rapportés dans le cadre des études cliniques
  • +MedDRA System Organ Class (SOC) Effets indésirables (MedDRA Preferred Term) Fréquence par patient Fréquence par perfusion
  • +Affections du système nerveux Céphalées Fréquent Rare
  • + Somnolence Fréquent Rare
  • +Affections gastro-intestinales Nausée Fréquent Rare
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif Dorsalgies Fréquent Occasionnel
  • + Myalgies Fréquent Rare
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Asthénie Fréquent Rare
  • + Fatigue Fréquent Rare
  • + Fièvre Fréquent Rare
  • - Tableau 2: fréquences des effets indésirables rapportés durant la post-commercialisation
  • -Base de données MedDRA des classes de systèmes d'organes Effets indésirables (MedDRA Preferred Term) Fréquence
  • -Infections et infestations Méningite aseptique Très rare
  • -Affections hématologiques et du système lymphatique Hémolyse Très rare
  • -Anémie hémolytique Fréquence indéterminée
  • -Affections du système immunitaire Choc anaphylactique Fréquence indéterminée
  • -Hypersensibilité Fréquence indéterminée
  • -Affections du système nerveux Céphalée Très rare
  • -Sensation vertigineuse Très rare
  • -Accident cérébrovasculaire Fréquence indéterminée
  • -Affections cardiaques Infarctus du myocarde Fréquence indéterminée
  • -Affections vasculaires Hypotension Très rare
  • -Thrombose veineuse profonde Fréquence indéterminée
  • -Embolie Fréquence indéterminée
  • -Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Embolie pulmonaire Fréquence indéterminée
  • -Infarctus pulmonaire Fréquence indéterminée
  • -Affections gastro-intestinales Vomissements Très rare
  • -Nausée Très rare
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané Réactions cutanées Très rare
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif Arthralgie Très rare
  • -Dorsalgie Très rare
  • -Affections du rein et des voies urinaires Insuffisance rénale aigue Très rare
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration Fièvre Très rare
  • -Frissons Très rare
  • -Investigations Pression artérielle diminuée Fréquence indéterminée
  • -Créatinine sanguine augmentée Fréquence indéterminée
  • +Tableau 2: Effets indésirables post-marketing
  • +Base de données MedDRA des classes de systèmes d'organes Effets indésirables (MedDRA Preferred Term) Fréquence par patient Fréquence par perfusion
  • +Infections et infestations Méningite aseptique Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique Hémolyse Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Anémie hémolytique Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • +Affections du système immunitaire Choc anaphylactique Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Hypersensibilité Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • +Affections psychiatriques Etat confusionnel Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • +Affections du système nerveux Accident cérébrovasculaire Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Céphalée Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Sensation vertigineuse Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Tremblements Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Paresthésie Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • +Affections cardiaques Infarctus du myocarde Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Cyanose Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Tachycardie Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Bradycardie Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Palpitation Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • +Affections vasculaires Hypotension Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Thrombose veineuse profonde Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Embolie Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Hypertension Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Pâleur Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Embolie pulmonaire Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Oedème pulmonaire Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Bronchospasme Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Dyspnée Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Toux Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • +Affections gastro-intestinales Vomissements Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Nausée Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Diarrhées Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Douleurs abdominales Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Angiodème Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Urticaire Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Erythème Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Dermatite Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Rash Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Prurit Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Eczéma Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Hyperhydrose Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif Arthralgie Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Dorsalgie Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Myalgies Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Douleurs cervicales Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Raideur musculo-squelettiques Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • +Affections du rein et des voies urinaires Insuffisance rénale aigue Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Phlébite au site d'administration Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Fièvre Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Frissons Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Douleurs thoraciques Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Œdème du visage Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Malaise Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • +Investigations Pression artérielle diminuée Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • + Créatinine sanguine augmentée Fréquence inconnue Fréquence inconnue
  • -L'immunoglobuline humaine normale contient le spectre d'anticorps IgG présent dans la population normale. Elle est généralement préparée à partir de pools de plasma provenant d'un minimum de 1000 dons. La répartition des sous-classes d'IgG est proportionnelle à celle du plasma humain natif. Selon Ph. Eur, le titre en isoagglutinines Anti-A des IVIg ne doit pas dépasser 1:64. Des administrations appropriées de ce médicament sont susceptibles de ramener à une valeur normale des taux anormalement bas d'immunoglobuline G.
  • +L'immunoglobuline humaine normale contient le spectre d'anticorps IgG présent dans la population normale. Elle est généralement préparée à partir de pools de plasma provenant d'un minimum de 1000 dons. La répartition des sous-classes d'IgG est proportionnelle à celle du plasma humain natif. Selon Ph. Eur, le titre en isoagglutinines Anti-A des IVIG ne doit pas dépasser 1:64. Des administrations appropriées de ce médicament sont susceptibles de ramener à une valeur normale des taux anormalement bas d'immunoglobuline G.
  • -Population pédiatrique
  • -Les données publiées des études d'efficacité et de sécurité n'ont pas montré de différences majeures entre les adultes et les enfants souffrant de la même pathologie.
  • -Quatre études cliniques ont été réalisées avec Ig Vena Kedrion: 3 études ont évalué l'efficacité et la sécurité chez les patients souffrant de déficits immunitaires primaires (DIP), de purpura thrombopénique primaire (PTI) et de polyradiculoneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC); 1 étude a évalué la sécurité et la tolérance de Ig Vena Kedrion à des vitesses de perfusions augmentées chez les patients avec un déficit immunitaire (DI) ou purpura thrombopénique primaire (PTI).
  • +Quatre études cliniques ont été réalisées avec Ig Vena Kedrion: 3 études ont évalué l'efficacité et la sécurité chez les patients souffrant de déficits immunitaires primaires (DIP), de purpura thrombopénique primaire (PTI) et de polyradiculoneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC); 1 étude a évalué la sécurité et la tolérance de Ig Vena Kedrion à des vitesse de perfusions augmentées chez les patients avec un déficit immunitaire (DI) ou purpura thrombopénique primaire (PTI).
  • -Durant les 6 mois de suivi après l'arrêt du traitement, aucun des patients qui avait montré une amélioration avec lVMP, a eu une péjoration qui a nécessité d'autres thérapies alors que 8 patients sur 21 (38.1%) qui avaient répondu à Ig Vena Kedrion ont montré une péjoration qui a nécessité la reprise de la thérapie (p=0.0317). Tous les patients ont répondu à la reprise de la thérapie. A la fin des 12 mois de l'étude, 10 patients sur 21 (47.6%) des patients traités par IVMP qui ont montré une amélioration sont restés stables sans autre thérapie, de même que 13 patients sur 24 (54.1%) traités avec IVIg (p=0.763).
  • +Durant les 6 mois de suivi après l'arrêt du traitement, aucun des patients qui avait montré une amélioration avec lVMP, a eu une péjoration qui a nécessité d'autres thérapies alors que 8 patients sur 21 (38.1%) qui avaient répondu à Ig Vena Kedrion ont montré une péjoration qui a nécessité la reprise de la thérapie (p=0.0317). Tous les patients ont répondu à la reprise de la thérapie. A la fin des 12 mois de l'étude, 10 patients sur 21 (47.6%) des patients traités par IVMP qui ont montré une amélioration sont restés stables sans autre thérapie, de même que 13 patients sur 24 (54.1%) traités avec IVIG (p=0.763).
  • +Population pédiatrique
  • +Les données publiées des études d'efficacité et de sécurité n'ont pas montré de différences majeures entre les adultes et les enfants souffrant de la même pathologie.
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +
  • -Les immunoglobulines sont des composants naturels du corps humain.
  • -Les données précliniques obtenues sur la base d'études de pharmacologie, de sécurité et de toxicologie conventionnelles n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme.
  • -Les données précliniques sont limitées chez l'animal en raison de l'induction et de l'interférence du développement des anticorps. Les résultats cliniques basés sur des études de toxicité aigües, n'ont pas montré de risques particuliers pour l'homme.
  • +Les données précliniques obtenues sur la base d'études de toxicologie aigües et subaigües n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme. Les données précliniques sont limitées chez l'animal en raison de l'induction et de l'interférence lié au développement d'anticorps.
  • +Génotoxicité / Carcinogénicité / Toxicité sur la reproduction
  • +Des études conventionnelles de génotoxicité, de cancérogénicité ou de toxicité pour la reproduction n'ont pas été conduites. Les immunoglobulines étant des composants naturels du corps humain, un effet génotoxique, cancérigène ou tératogène est considéré comme peu probable ou pas attendu.
  • -En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments.
  • +En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments, ni à d'autres préparations à base d'IVIG.
  • -Après injection d'immunoglobuline, l'augmentation transitoire de la concentration de divers anticorps transférés passivement dans le sang du patient peut être responsable de résultats faussement positifs lors de tests sérologiques.
  • +Après administration d'immunoglobuline, l'augmentation transitoire de la concentration de divers anticorps transférés passivement dans le sang du patient peut être responsable de résultats faussement positifs lors de tests sérologiques.
  • -Dudler Pharma Sarl, Avry-sur-Matran
  • +Dudler Pharma Sarl, 1754 Avry-sur-Matran
  • -Décembre 2019
  • +Septembre 2022
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