3 Changements de l'information professionelle Firazyr 30 mg/3 ml |
-La fréquence des effets indésirables est définie comme : très fréquent (≥ 1/10); fréquent (> 1/100, < 1/10); peu fréquent (> 1/1’000, < 1/100); rare (> 1/10’000, < 1/1’000); très rare (< 1/10’000)
- +La fréquence des effets indésirables est définie comme : très fréquent (≥ 1/10); fréquent (> 1/100, < 1/10); peu fréquent (> 1/1’000, < 1/100); rare (> 1/10’000, < 1/1’000); très rare (< 1/10’000); inconnus (fréquence ne peut pas être estimée sur la base des données disponibles).
- +Effets indésirables après commercialisation
- +Affections de la peau et du tissu sous cutané
- +Inconnus: urticaire
- +Pharmacologie de sécurité
- +Toxicité en cas d’administration répétée
- +Toxicité sur la reproduction
- +L’icatibant n’était pas tératogène lorsqu’il était administré par injection sous-cutanée pendant le développement embryonnaire et fœtal précoce chez le rat (dose maximale de 25 mg/kg/jour) et chez le lapin (dose maximale de 10 mg/kg/jour). L’icatibant est un antagoniste puissant de la bradykinine et, par conséquent, à des doses élevées, le traitement peut avoir des effets sur le processus d’implantation utérine et sur la stabilité utérine ultérieure en début de gestation. Ces effets sur l’utérus se manifestent également plus tard au cours de la gestation lorsque l’icatibant présente un effet tocolytique entraînant le retard de la mise bas chez le rat, avec une souffrance fœtale accrue et une mort périnatale lors de l’administration d’une forte dose (10 mg/kg/jour). Aucun effet n’a été constaté dans le développement post-natal des rats nouveau-nés.
- +Une atrophie des testicules et des épididymes a été observée dans l’étude pivot de toxicité juvénile au cours de laquelle des rats sexuellement immatures ont été traités à la dose de 3 mg/kg par jour pendant 7 semaines. Les anomalies microscopiques observées étaient partiellement réversibles. Des effets similaires de l’icatibant sur les tissus reproducteurs ont été observés chez des rats et des chiens sexuellement matures. Ces anomalies tissulaires étaient compatibles avec les effets observés sur les gonadotrophines et semblent être réversibles pendant la période sans traitement ultérieure.
- +Carcinogénicité
- +Mutagénicité
-L’icatibant n’était pas tératogène lorsqu’il était administré par injection sous-cutanée pendant le développement embryonnaire et fœtal précoce chez le rat (dose maximale de 25 mg/kg/jour) et chez le lapin (dose maximale de 10 mg/kg/jour). L’icatibant est un antagoniste puissant de la bradykinine et, par conséquent, à des doses élevées, le traitement peut avoir des effets sur le processus d’implantation utérine et sur la stabilité utérine ultérieure en début de gestation. Ces effets sur l’utérus se manifestent également plus tard au cours de la gestation lorsque l’icatibant présente un effet tocolytique entraînant le retard de la mise bas chez le rat, avec une souffrance fœtale accrue et une mort périnatale lors de l’administration d’une forte dose (10 mg/kg/jour). Aucun effet n’a été constaté dans le développement post-natal des rats nouveau-nés.
-Une atrophie des testicules et des épididymes a été observée dans l’étude pivot de toxicité juvénile au cours de laquelle des rats sexuellement immatures ont été traités à la dose de 3 mg/kg par jour pendant 7 semaines. Les anomalies microscopiques observées étaient partiellement réversibles. Des effets similaires de l’icatibant sur les tissus reproducteurs ont été observés chez des rats et des chiens sexuellement matures. Ces anomalies tissulaires étaient compatibles avec les effets observés sur les gonadotrophines et semblent être réversibles pendant la période sans traitement ultérieure.E
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