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Accueil - Information professionnelle sur Alges-X - Changements - 02.05.2019
105 Changements de l'information professionelle Alges-X
  • -Alges-X: Comprimés pelliculés à 200 mg d’ibuprofène.
  • -Alges-X/Alges-X forte est autorisé en automédication pour le traitement à court terme de trois jours au maximum des indications suivantes:
  • +Alges-X forte est autorisé en automédication pour le traitement à court terme de trois jours au maximum des indications suivantes:
  • -Alges-X
  • -Dose unique: 1 à 2 comprimés pelliculés Alges-X.
  • -Intervalle entre 2 prises: 4 à 6 heures.
  • -Dose maximale en automédication: 6 comprimés pelliculés Alges-X (1200 mg d’ibuprofène) par jour.
  • -Sans prescription médicale, Alges-X et Alges-X forte sont destinés au traitement à court terme d’une durée maximale de 3 jours.
  • +Sans prescription médicale, Alges-X forte est destiné au traitement à court terme d’une durée maximale de 3 jours.
  • -Jusqu’à présent, l’utilisation et l’innocuité d’Alges-X/Alges-X forte n’ont pas été étudiées chez les enfants de moins de 12 ans.
  • +Jusqu’à présent, l’utilisation et l’innocuité d’Alges-X forte n’ont pas été étudiées chez les enfants de moins de 12 ans.
  • -En cas de consommation simultanée d'alcool lors de l'utilisation d'AINS, des effets indésirables liés aux principes actifs, en particulier ceux qui affectent le tractus gastro-intestinal ou le système nerveux central peuvent être renforcés.
  • -En cas d'utilisation prolongée d'antalgiques, des maux de tête peuvent apparaître qui ne devraient pas être traités en augmentant la dose du médicament.
  • -Mentions complémentaires concernant Alges-X/Alges-X forte
  • +En cas de consommation simultanée dalcool lors de lutilisation dAINS, des effets indésirables liés aux principes actifs, en particulier ceux qui affectent le tractus gastro-intestinal ou le système nerveux central peuvent être renforcés.
  • +En cas dutilisation prolongée dantalgiques, des maux de tête peuvent apparaître qui ne devraient pas être traités en augmentant la dose du médicament.
  • +Mentions complémentaires concernant Alges-X forte
  • -Chez les patients souffrant ou ayant souffert d'asthme bronchique, de rhinite chronique ou d'affections allergiques, l'ibuprofène peut déclencher un bronchospasme, une urticaire ou un angio-œdème.
  • +Chez les patients souffrant ou ayant souffert dasthme bronchique, de rhinite chronique ou daffections allergiques, libuprofène peut déclencher un bronchospasme, une urticaire ou un angio-œdème.
  • -Il convient d'être prudent pour les patients présentant une limitation des fonctions hépatique, rénale ou cardiaque car la prise d'AINS peut altérer la fonction rénale. Une prise concomitante habituelle d'antalgiques augmente encore ce risque. Chez de tels patients, il convient de choisir la dose la plus basse possible et de contrôler régulièrement la fonction rénale, spécialement en cas de traitement au long cours.
  • +Il convient dêtre prudent pour les patients présentant une limitation des fonctions hépatique, rénale ou cardiaque car la prise dAINS peut altérer la fonction rénale. Une prise concomitante habituelle dantalgiques augmente encore ce risque. Chez de tels patients, il convient de choisir la dose la plus basse possible et de contrôler régulièrement la fonction rénale, spécialement en cas de traitement au long cours.
  • -L'utilisation d'Alges-X/Alges-X forte en combinaison avec des anti-rhumatismaux non stéroïdiens, incluant des inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, doit être évitée, car il existe un risque accru d'ulcères ou de saignements (voir «Interactions»).
  • +Lutilisation dAlges-X forte en combinaison avec des anti-rhumatismaux non stéroïdiens, incluant des inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, doit être évitée, car il existe un risque accru d'ulcères ou de saignements (voir «Interactions»).
  • -Des cas d'hémorragies gastro-intestinales, d'ulcères ou de perforations potentiellement mortels ont été rapportés en association avec tous les anti-rhumatismaux non stéroïdiens. Ces événements indésirables sont survenus avec ou sans symptômes avant-coureurs et antécédents d'événements gastro-intestinaux, à tout moment du traitement.
  • -Le risque d'hémorragies gastro-intestinales, d'ulcères et de perforation augmente avec la dose d'anti-rhumatismal non stéroïdien, chez les patients présentant un antécédent d'ulcère, en particulier en cas de complications (hémorragie ou perforation) (voir «Contre-indication»), ainsi que chez les patients âgés. Chez ces patients, le traitement doit commencer à la dose la plus faible disponible. Pour ces patients, ainsi que pour les patients devant suivre un traitement concomitant par une faible dose d'acide acétylsalicylique ou d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le risque gastro-intestinal, il convient d'envisager de mettre en place un traitement combiné incluant des médicaments protecteurs (par exemple misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons) (voir «Interactions»).
  • +Des cas dhémorragies gastro-intestinales, dulcères ou de perforations potentiellement mortels ont été rapportés en association avec tous les anti-rhumatismaux non stéroïdiens. Ces événements indésirables sont survenus avec ou sans symptômes avant-coureurs et antécédents dévénements gastro-intestinaux, à tout moment du traitement.
  • +Le risque d'hémorragies gastro-intestinales, dulcères et de perforation augmente avec la dose danti-rhumatismal non stéroïdien, chez les patients présentant un antécédent dulcère, en particulier en cas de complications (hémorragie ou perforation) (voir «Contre-indication»), ainsi que chez les patients âgés. Chez ces patients, le traitement doit commencer à la dose la plus faible disponible. Pour ces patients, ainsi que pour les patients devant suivre un traitement concomitant par une faible dose dacide acétylsalicylique ou dautres médicaments susceptibles daugmenter le risque gastro-intestinal, il convient denvisager de mettre en place un traitement combiné incluant des médicaments protecteurs (par ex. misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons) (voir «Interactions»).
  • -Il convient d'être prudent pour les patients prenant simultanément des médicaments pouvant accroître le risque d'ulcères ou d'hémorragies, par ex. corticostéroïdes oraux, anti-coagulants comme la warfarine, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire comme l'acide acétylsalicylique (voir «Interactions»).
  • -En cas de survenue d'hémorragies gastro-intestinales ou d'ulcères chez des patients sous Alges-X/Alges-X forte, le traitement doit être interrompu.
  • -En cas de troubles gastro-intestinaux et de troubles fonctionnels hépatiques, l'ibuprofène ne doit être administré que lorsque cela est formellement indiqué, sous surveillance médicale, car il peut aggraver ces troubles (voir «Effets indésirables»).
  • +Il convient dêtre prudent pour les patients prenant simultanément des médicaments pouvant accroître le risque dulcères ou dhémorragies, par ex. corticostéroïdes oraux, anti-coagulants comme la warfarine, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou inhibiteurs de lagrégation plaquettaire comme lacide acétylsalicylique (voir «Interactions»).
  • +En cas de survenue dhémorragies gastro-intestinales ou dulcères chez des patients sous Alges-X forte, le traitement doit être interrompu.
  • +En cas de troubles gastro-intestinaux et de troubles fonctionnels hépatiques, libuprofène ne doit être administré que lorsque cela est formellement indiqué, sous surveillance médicale, car il peut aggraver ces troubles (voir «Effets indésirables»).
  • -Les patients présentant un antécédent d'hypertension et/ou d'insuffisance cardiaque décomposée légère à modérée nécessitent une surveillance mesurée et l'administration de conseils, car des accumulations de liquide et des œdèmes ont été rapportés en relation avec un traitement par anti-rhumatismaux non stéroïdiens.
  • -Des études cliniques indiquent que l'utilisation d'ibuprofène, en particulier à une dose élevée (2400 mg par jour), peut être liée à une légère augmentation du risque d'événements thrombotiques artériels (par ex. infarctus du myocarde et accident vasculaire cérébral). Dans l'ensemble, les études épidémiologiques n'indiquent pas d'augmentation du risque d'événements thrombotiques artériels en cas de prise de faibles doses d'ibuprofène (par ex. ≤1200 mg par jour).
  • -Les patients présentant une hypertension non maîtrisée, une insuffisance cardiaque (NYHA II), une maladie cardiaque ischémique existante, une artériopathie oblitérante périphérique et/ou des affections cérébro-vasculaires ne doivent être traités par ibuprofène qu'après mûre réflexion et des doses élevées (2400 mg/jour) doivent être évitées. Il convient d'être également prudent avant d'initier un traitement prolongé chez des patients présentant des facteurs de risque d'événements cardio-vasculaires (par ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme), notamment lorsque des doses élevées d'ibuprofène (2400 mg/jour) sont nécessaires.
  • +Les patients présentant un antécédent dhypertension et/ou dinsuffisance cardiaque décomposée légère à modérée nécessitent une surveillance mesurée et ladministration de conseils, car des accumulations de liquide et des œdèmes ont été rapportés en relation avec un traitement par anti-rhumatismaux non stéroïdiens.
  • +Des études cliniques indiquent que lutilisation dibuprofène, en particulier à une dose élevée (2400 mg par jour), peut être liée à une légère augmentation du risque dévénements thrombotiques artériels (par ex. infarctus du myocarde et accident vasculaire cérébral). Dans lensemble, les études épidémiologiques nindiquent pas daugmentation du risque dévénements thrombotiques artériels en cas de prise de faibles doses dibuprofène (par ex. ≤1200 mg par jour).
  • +Les patients présentant une hypertension non maîtrisée, une insuffisance cardiaque (NYHA II), une maladie cardiaque ischémique existante, une artériopathie oblitérante périphérique et/ou des affections cérébro-vasculaires ne doivent être traités par ibuprofène quaprès mûre réflexion et des doses élevées (2400 mg/jour) doivent être évitées. Il convient dêtre également prudent avant dinitier un traitement prolongé chez des patients présentant des facteurs de risque dévénements cardio-vasculaires (par ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme), notamment lorsque des doses élevées dibuprofène (2400 mg/jour) sont nécessaires.
  • -Le risque maximal de réactions de ce type semble être présent au début du traitement; en effet, la majorité de ces réactions ont eu lieu au cours du premier mois de traitement. Dès les premiers signes d'éruption cutanée, de lésion muqueuse ou autres signes d'hypersensibilité, le traitement par Alges-X/Alges-X forte doit être interrompu.
  • -Dans des cas exceptionnels, une infection par la varicelle peut entraîner des infections cutanées et des complications au niveau des parties molles. Jusqu'à présent, l'implication d'AINS dans une aggravation de ces infections n'a pas pu être exclue. Il est donc conseillé d'éviter l'administration de Alges-X/Alges-X forte en cas d'infection par la varicelle.
  • +Le risque maximal de réactions de ce type semble être présent au début du traitement; en effet, la majorité de ces réactions ont eu lieu au cours du premier mois de traitement. Dès les premiers signes déruption cutanée, de lésion muqueuse ou autres signes dhypersensibilité, le traitement par Alges-X forte doit être interrompu.
  • +Dans des cas exceptionnels, une infection par la varicelle peut entraîner des infections cutanées et des complications au niveau des parties molles. Jusquà présent, limplication dAINS dans une aggravation de ces infections na pas pu être exclue. Il est donc conseillé déviter ladministration de Alges-X forte en cas dinfection par la varicelle.
  • -Les patients souffrant d'une forte déshydratation ou de modifications postopératoires de la volémie doivent être réhydratés avant de commencer un traitement avec l'ibuprofène et être ensuite étroitement surveillés. Il existe un risque de trouble de la fonction rénale, spécialement chez les enfants, les adolescents et patients âgés déshydratés.
  • -Pendant un traitement de longue durée, comme chez les autres antirhumatismaux non stéroïdiens, une nécrose papillaire rénale et d'autres pathologies rénales peuvent apparaître. Une toxicité rénale a également pu être observée chez des patients chez lesquels les prostaglandines rénales jouent un rôle compensateur dans la perfusion rénale. Chez ces patients, l'administration d'antirhumatismaux non stéroïdiens peut inhiber la synthèse de prostaglandine dans les reins en fonction de la dose administrée, diminuer l'irrigation sanguine des reins et provoquer une décompensation rénale manifeste. Ces réactions apparaissent principalement chez les patients souffrant d'insuffisance fonctionnelle hépatique, rénale ou cardiaque, lors de la prise concomitante de diurétiques ou d'inhibiteurs de l'ECA (enzyme de conversion de l'angiotensine) et chez les patients âgés.
  • +Les patients souffrant d'une forte déshydratation ou de modifications postopératoires de la volémie doivent être réhydratés avant de commencer un traitement avec libuprofène et être ensuite étroitement surveillés. Il existe un risque de trouble de la fonction rénale, spécialement chez les enfants, les adolescents et patients âgés déshydratés.
  • +Pendant un traitement de longue durée, comme chez les autres antirhumatismaux non stéroïdiens, une nécrose papillaire rénale et dautres pathologies rénales peuvent apparaître. Une toxicité rénale a également pu être observée chez des patients chez lesquels les prostaglandines rénales jouent un rôle compensateur dans la perfusion rénale. Chez ces patients, ladministration dantirhumatismaux non stéroïdiens peut inhiber la synthèse de prostaglandine dans les reins en fonction de la dose administrée, diminuer lirrigation sanguine des reins et provoquer une décompensation rénale manifeste. Ces réactions apparaissent principalement chez les patients souffrant dinsuffisance fonctionnelle hépatique, rénale ou cardiaque, lors de la prise concomitante de diurétiques ou dinhibiteurs de lECA (enzyme de conversion de langiotensine) et chez les patients âgés.
  • -Comme d'autres antirhumatismaux non stéroïdiens, l'ibuprofène inhibe l'agrégation thrombocytaire et allonge le temps de saignement.
  • -Comme les autres antirhumatismaux non stéroïdiens, l'ibuprofène peut cacher les signes d'une infection.
  • +Comme dautres antirhumatismaux non stéroïdiens, libuprofène inhibe lagrégation thrombocytaire et allonge le temps de saignement.
  • +Comme les autres antirhumatismaux non stéroïdiens, libuprofène peut cacher les signes dune infection.
  • -Des cas isolés de symptômes d'une méningite aseptique ont été rapportés lors de l'utilisation de l'ibuprofène. Les patients ayant développé un lupus érythémateux ou une collagénose semblent y être prédisposés. Toutefois, la méningite aseptique a aussi été observée chez les patients n'ayant aucune de ces maladies chroniques.
  • +Des cas isolés de symptômes dune méningite aseptique ont été rapportés lors de lutilisation de libuprofène. Les patients ayant développé un lupus érythémateux ou une collagénose semblent y être prédisposés. Toutefois, la méningite aseptique a aussi été observée chez les patients nayant aucune de ces maladies chroniques.
  • -L'administration simultanée de plusieurs anti-rhumatismaux non stéroïdiens, incluant les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, peut augmenter le risque d'ulcères et d'hémorragies gastro-intestinales en raison de l'effet synergique. L'utilisation simultanée d'ibuprofène et d'autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens doit donc être évitée (voir «Mises en garde et précautions»). L'acide salicylique empêche la liaison de l'ibuprofène aux protéines.
  • +Ladministration simultanée de plusieurs anti-rhumatismaux non stéroïdiens, incluant les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, peut augmenter le risque dulcères et dhémorragies gastro-intestinales en raison de leffet synergique. Lutilisation simultanée dibuprofène et d'autres anti-rhumatismaux non stéroïdiens doit donc être évitée (voir «Mises en garde et précautions»). Lacide salicylique empêche la liaison de libuprofène aux protéines.
  • -Renforcement des effets secondaires gastro-intestinaux, risque accru de saignements gastro-intestinaux et d'ulcérations (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Renforcement des effets secondaires gastro-intestinaux, risque accru de saignements gastro-intestinaux et dulcérations (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Renforcement des effets secondaires gastro-intestinaux, augmentation du risque d'hémorragies gastro-intestinales.
  • +Renforcement des effets secondaires gastro-intestinaux, augmentation du risque dhémorragies gastro-intestinales.
  • -Les AINS peuvent réduire l'efficacité des diurétiques, antihypertenseurs tels que les inhibiteurs de l'ECA et les bêta-bloquants. Les diurétiques peuvent aussi augmenter le risque de néphrotoxicité des AINS.
  • +Les AINS peuvent réduire lefficacité des diurétiques, antihypertenseurs tels que les inhibiteurs de lECA et les bêta-bloquants. Les diurétiques peuvent aussi augmenter le risque de néphrotoxicité des AINS.
  • -Les anti-rhumatismaux non stéroïdiens peuvent renforcer l'effet des anti-coagulants comme la warfarine (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine
  • -Risque accru d'hémorragies gastro-intestinales (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Les anti-rhumatismaux non stéroïdiens peuvent renforcer leffet des anti-coagulants comme la warfarine (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Inhibiteurs de lagrégation plaquettaire et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine
  • +Risque accru dhémorragies gastro-intestinales (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Les anti-rhumatismaux non stéroïdiens peuvent limiter l'élimination des aminoglycosides.
  • +Les anti-rhumatismaux non stéroïdiens peuvent limiter lélimination des aminoglycosides.
  • -Des données expérimentales suggèrent que l'ibuprofène peut inhiber de manière compétitive l'effet antiagrégant plaquettaire d'une faible dose concomitante d'acide acétylsalicylique. Bien que l'extrapolation de ces données en clinique ne permette pas d'émettre de conclusion formelle, il ne peut être exclu que l'effet cardioprotecteur de l'acide acétylsalicylique à faible dose puisse être réduit lors d'un traitement au long cours par ibuprofène. Un effet cliniquement pertinent semble improbable lors de la prise occasionnelle d'ibuprofène (voir «Propriétés/Effets»).
  • +Des données expérimentales suggèrent que libuprofène peut inhiber de manière compétitive leffet antiagrégant plaquettaire dune faible dose concomitante dacide acétylsalicylique. Bien que lextrapolation de ces données en clinique ne permette pas démettre de conclusion formelle, il ne peut être exclu que leffet cardioprotecteur de lacide acétylsalicylique à faible dose puisse être réduit lors dun traitement au long cours par ibuprofène. Un effet cliniquement pertinent semble improbable lors de la prise occasionnelle dibuprofène (voir «Propriétés/Effets»).
  • -L'effet des antidiabétiques oraux (sulfonylurées) peut être renforcé par l'ibuprofène comme par d'autre AINS. De rares rapports ont fait état d'hypoglycémie chez des patients traités aux sulfonylurées qui avaient reçu de l'ibuprofène. Il convient de contrôler régulièrement le taux de glycémie et d'adapter au cas échéant la dose d'antidiabétiques.
  • -Antagonistes à l’histamine-H2
  • +Leffet des antidiabétiques oraux (sulfonylurées) peut être renforcé par libuprofène comme par dautre AINS. De rares rapports ont fait état dhypoglycémie chez des patients traités aux sulfonylurées qui avaient reçu de libuprofène. Il convient de contrôler régulièrement le taux de glycémie et d'adapter au cas échéant la dose d'antidiabétiques.
  • +Antagonistes des récepteurs histaminiques H2
  • -L'action centrale est augmentée.
  • +Laction centrale est augmentée.
  • -En cas d'utilisation simultanée d'ibuprofène et de cholestyramine, l'absorption de l'ibuprofène dans le tractus gastro-intestinal peut être réduite. Cependant, l'importance clinique est inconnue.
  • +En cas dutilisation simultanée dibuprofène et de cholestyramine, labsorption de libuprofène dans le tractus gastro-intestinal peut être réduite. Cependant, limportance clinique est inconnue.
  • -L'effet toxique sur les reins - peut être augmenté.
  • +Leffet toxique sur les reins peut être augmenté.
  • -Le Ginkgo biloba peut renforcer le risque d'hémorragies lié aux anti-rhumatismaux non stéroïdiens.
  • +Le Ginkgo biloba peut renforcer le risque dhémorragies lié aux anti-rhumatismaux non stéroïdiens.
  • -Théoriquement, une diminution de l'efficacité de la mifépristone peut avoir lieu en raison des propriétés antiprostaglandines des AINS. Des preuves limitées suggèrent que l'administration concomitante d'AINS le jour de la prise de prostaglandines n'a pas une influence défavorable sur l'effet de la mifépristone ou des prostaglandines sur la maturation cervicale ou la contractilité utérine et que l'efficacité d'une interruption de grossesse n'est pas réduite.
  • +Théoriquement, une diminution de lefficacité de la mifépristone peut avoir lieu en raison des propriétés antiprostaglandines des AINS. Des preuves limitées suggèrent que ladministration concomitante dAINS le jour de la prise de prostaglandines na pas une influence défavorable sur leffet de la mifépristone ou des prostaglandines sur la maturation cervicale ou la contractilité utérine et que lefficacité d'une interruption de grossesse nest pas réduite.
  • -En cas d'administration conjointe de tacrolimus et d'AINS, le risque d'une néphrotoxicité peut être élevé.
  • +En cas d'administration conjointe de tacrolimus et dAINS, le risque d'une néphrotoxicité peut être élevé.
  • -L'administration conjointe de zidovudine et d'AINS augmente le risque d'une toxicité hématologique. Il existe des indications d'un risque accru d'hémarthose et d'hématomes chez les patients hémophiles VIH(+) qui suivent un traitement concomitant par zidovudine et AINS.
  • +Ladministration conjointe de zidovudine et dAINS augmente le risque dune toxicité hématologique. Il existe des indications dun risque accru dhémarthose et d'hématomes chez les patients hémophiles VIH(+) qui suivent un traitement concomitant par zidovudine et AINS.
  • -L'administration concomitante d'ibuprofène et d'inhibiteurs du CYP2C9 peut augmenter l'exposition de l'ibuprofène (substrat du CYP2C9). Une étude sur le voriconazole et le fluconazole (inhibiteurs du CYP2C9) a montré une augmentation de l'exposition au S(+)-ibuprofène d'environ 80 à 100%. Une réduction de la posologie de l'ibuprofène doit être envisagée lorsque de forts inhibiteurs du CYP2C9 sont administrés simultanément, surtout quand on administre des doses élevées d'ibuprofène soit avec le voriconazole ou le fluconazole.
  • +Ladministration concomitante dibuprofène et dinhibiteurs du CYP2C9 peut augmenter lexposition de libuprofène (substrat du CYP2C9). Une étude sur le voriconazole et le fluconazole (inhibiteurs du CYP2C9) a montré une augmentation de lexposition au S(+)-ibuprofène denviron 80 à 100%. Une réduction de la posologie de libuprofène doit être envisagée lorsque de forts inhibiteurs du CYP2C9 sont administrés simultanément, surtout quand on administre des doses élevées dibuprofène soit avec le voriconazole ou le fluconazole.
  • -L'utilisation d'ibuprofène peut affecter la fertilité féminine et n'est donc pas recommandée aux femmes qui souhaitent concevoir. Chez les femmes qui ont des difficultés pour être enceinte ou qui suivent des examens pour évaluer l'infertilité, il convient d'envisager l'arrêt du traitement par l'ibuprofène.
  • +Lutilisation dibuprofène peut affecter la fertilité féminine et n'est donc pas recommandée aux femmes qui souhaitent concevoir. Chez les femmes qui ont des difficultés pour être enceinte ou qui suivent des examens pour évaluer linfertilité, il convient denvisager larrêt du traitement par libuprofène.
  • -Chez les animaux, il est prouvé que l’administration d’inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes pré- et postimplantatoires ainsi que de la létalité embryo-fœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, notamment cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines pendant la phase de l’organogenèse.
  • +Chez les animaux, il est prouvé que l’administration d’inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryo-fœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, notamment cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines pendant la phase de l’organogenèse.
  • -L'utilisation d'ibuprofène n'est pas recommandée pendant le travail et l'accouchement. Le début des contractions peut être retardé et leur durée allongée. De plus, des saignements peuvent apparaître plus fréquemment chez la mère et l'enfant.
  • +Lutilisation d'ibuprofène n'est pas recommandée pendant le travail et laccouchement. Le début des contractions peut être retardé et leur durée allongée. De plus, des saignements peuvent apparaître plus fréquemment chez la mère et lenfant.
  • -Aucune étude pertinente n'a été menée. Des effets secondaires occasionnels de l'ibuprofène sur le système nerveux central, tel que la limitation de la capacité de réaction, sont toutefois connus. Ceci devrait être pris en compte, lorsqu'une attention soutenue est nécessaire, notamment lors de la conduite automobile ou l'utilisation de machines.
  • -Cela vaut particulièrement pour la prise simultanée avec de l'alcool.
  • +Aucune étude pertinente na été menée. Des effets secondaires occasionnels de libuprofène sur le système nerveux central, tel que la limitation de la capacité de réaction, sont toutefois connus. Ceci devrait être pris en compte, lorsquune attention soutenue est nécessaire, notamment lors de la conduite automobile ou lutilisation de machines.
  • +Cela vaut particulièrement pour la prise simultanée avec de lalcool.
  • -Les effets secondaires les plus fréquemment observés avec les anti-rhumatismaux non stéroïdiens affectent l'appareil digestif. Des ulcères gastro-duodénaux, des perforations ou des hémorragies, parfois mortels, peuvent survenir, en particulier chez les patients âgés (voir «Mises en garde et précautions»). Des nausées, vomissements, diarrhées, flatulences, constipations, troubles de la digestion (dyspepsie), douleurs abdominales, selles noires, hématémèses, stomatites ulcéreuses, aggravations de colite et de maladie de Crohn (voir «Mises en garde et précautions») ont été rapportés après utilisation. Des cas de gastrite ont été observés, plus rarement. De rares cas de perforation gastro-intestinale ont été rapportés après utilisation d'ibuprofène.
  • -Une aggravation des inflammations cutanées liées aux infections (par ex. apparition d'une fasciite nécrosante) a été décrite lors de l'utilisation concomitante d'AINS. Dans des cas exceptionnels, des infections cutanées sévères et des complications au niveau des parties molles peuvent survenir au cours d'infections dues au virus de la varicelle. Par conséquent, le patient doit consulter immédiatement un médecin si des signes d'infection apparaissent ou si une telle infection s'aggrave pendant l'utilisation d'ibuprofène.
  • -Des études cliniques indiquent que l'utilisation d'ibuprofène, en particulier à une dose élevée (2400 mg par jour), peut être liée à une légère augmentation du risque d'événements thrombotiques artériels (par ex. infarctus du myocarde et accident vasculaire cérébral) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Les effets indésirables suivants ont été observés avec l'ibuprofène. Incidences: très fréquents (>1/10), fréquents (>1/100, <1/10), occasionnels (>1/1000, <1/100), rares (>1/10'000, <1/1000), très rares (<1/10'000), fréquence inconnue (la fréquence exacte ne peut pas être estimée):
  • +Les effets secondaires les plus fréquemment observés avec les anti-rhumatismaux non stéroïdiens affectent lappareil digestif. Des ulcères gastro-duodénaux, des perforations ou des hémorragies, parfois mortels, peuvent survenir, en particulier chez les patients âgés (voir «Mises en garde et précautions»). Des nausées, vomissements, diarrhées, flatulences, constipations, troubles de la digestion (dyspepsie), douleurs abdominales, selles noires, hématémèses, stomatites ulcéreuses, aggravations de colite et de maladie de Crohn (voir «Mises en garde et précautions») ont été rapportés après utilisation. Des cas de gastrite ont été observés, plus rarement. De rares cas de perforation gastro-intestinale ont été rapportés après utilisation dibuprofène.
  • +Une aggravation des inflammations cutanées liées aux infections (par ex. apparition dune fasciite nécrosante) a été décrite lors de lutilisation concomitante dAINS. Dans des cas exceptionnels, des infections cutanées sévères et des complications au niveau des parties molles peuvent survenir au cours dinfections dues au virus de la varicelle. Par conséquent, le patient doit consulter immédiatement un médecin si des signes dinfection apparaissent ou si une telle infection saggrave pendant lutilisation dibuprofène.
  • +Des études cliniques indiquent que lutilisation dibuprofène, en particulier à une dose élevée (2400 mg par jour), peut être liée à une légère augmentation du risque dévénements thrombotiques artériels (par ex. infarctus du myocarde et accident vasculaire cérébral) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Les effets indésirables suivants ont été observés avec libuprofène. Incidences: très fréquents (>1/10), fréquents (>1/100, <1/10), occasionnels (>1/1000, <1/100), rares (>1/10'000, <1/1000), très rares (<1/10'000), fréquence inconnue (la fréquence exacte ne peut pas être estimée):
  • -Rare: Altérations de la formule sanguine telles que leucopénie, agranulocytose, thrombocytopénie, neutropénie, anémie aplastique, anémie hémolytique auto-immune, décrite dans l'information destinée aux patients comme «angine, forte fièvre, tuméfaction des ganglions lymphatiques de la région du cou»).
  • +Rare: Altérations de la formule sanguine telles que leucopénie, agranulocytose, thrombocytopénie, neutropénie, anémie aplastique, anémie hémolytique auto-immune, décrite dans linformation destinée aux patients comme «angine, forte fièvre, tuméfaction des ganglions lymphatiques de la région du cou»).
  • -Fréquent: Effets secondaires sur le système nerveux central tels que limitation de la capacité de réaction (principalement en association avec l'alcool), céphalées, vertiges.
  • +Fréquent: Effets secondaires sur le système nerveux central tels que limitation de la capacité de réaction (principalement en association avec lalcool), céphalées, vertiges.
  • -Occasionnel: Troubles visuels. Les troubles visuels sont généralement réversibles à l'arrêt du traitement.
  • +Occasionnel: Troubles visuels. Les troubles visuels sont généralement réversibles à larrêt du traitement.
  • -Occasionnel: Bourdonnements d'oreilles, baisse de l'acuité auditive, vertige.
  • +Occasionnel: Bourdonnements doreilles, baisse de lacuité auditive, vertige.
  • -Occasionnels: Asthme, bronchospasme, dyspnée, risque d'œdème pulmonaire aigu chez les patients présentant une insuffisance cardiaque.
  • +Occasionnels: Asthme, bronchospasme, dyspnée, risque dœdème pulmonaire aigu chez les patients présentant une insuffisance cardiaque.
  • -Fréquence inconnue: Exacerbation d'une colite ou d’une maladie de Crohn.
  • +Fréquence inconnue: Exacerbation dune colite ou d’une maladie de Crohn.
  • -Très rares: Réactions d'hypersensibilité sévères, par ex. érythème polymorphe et réactions cutanées bulleuses tels que syndrome de Stevens-Johnson, et nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell).
  • -Affections du reins et voies urinaires
  • -Rare: Néphrotoxicité sous formes diverses tels que: nécrose papillaire des reins, néphrite interstitielle, troubles de la fonction rénale avec formation d'œdèmes et jusque à l'insuffisance rénale.
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Très rares: Réactions dhypersensibilité sévères, par ex. érythème polymorphe et réactions cutanées bulleuses tels que syndrome de Stevens-Johnson, et nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell).
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Rare: Néphrotoxicité sous formes diverses tels que: nécrose papillaire des reins, néphrite interstitielle, troubles de la fonction rénale avec formation d'œdèmes et jusque à linsuffisance rénale.
  • +Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • -Des signes et symptômes d'une toxicité n'ont en général pas été rapportés à des doses inférieures à 100 mg/kg chez les enfants ou les adultes. Cependant, dans certains cas, des mesures de soutien sont nécessaires. Chez les enfants, une manifestation de signes et symptômes d'une toxicité a été rapportée après la prise d'une dose de 400 mg/kg ou plus.
  • +Des signes et symptômes dune toxicité nont en général pas été rapportés à des doses inférieures à 100 mg/kg chez les enfants ou les adultes. Cependant, dans certains cas, des mesures de soutien sont nécessaires. Chez les enfants, une manifestation de signes et symptômes dune toxicité a été rapportée après la prise dune dose de 400 mg/kg ou plus.
  • -La plupart des patients ayant pris des doses considérables d'ibuprofène ont développé des symptômes dans les 4-6 heures. Les symptômes d'un surdosage les plus fréquemment rapportés sont des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une léthargie et une somnolence Les effets sur le système nerveux central sont des maux de tête, des acouphènes, des vertiges, des convulsions et une perte de connaissance. De rares cas ont également été rapportés de nystagmus, acidose métabolique d'effets rénaux, de saignements gastro-intestinaux, de coma, d'apnée et de dépression du SNC et respiratoire. Une toxicité cardiovasculaire incluant hypotension, bradycardie et tachycardie a aussi été rapportée. En cas de surdosage significatif, une insuffisance rénale et des lésions hépatiques sont possibles. Des surdosages élevés sont en principe bien tolérés, lorsqu'aucun autre médicament n'est pris de façon concomitante.
  • +La plupart des patients ayant pris des doses considérables dibuprofène ont développé des symptômes dans les 4-6 heures. Les symptômes dun surdosage les plus fréquemment rapportés sont des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une léthargie et une somnolence Les effets sur le système nerveux central sont des maux de tête, des acouphènes, des vertiges, des convulsions et une perte de connaissance. De rares cas ont également été rapportés de nystagmus, acidose métabolique deffets rénaux, de saignements gastro-intestinaux, de coma, dapnée et de dépression du SNC et respiratoire. Une toxicité cardiovasculaire incluant hypotension, bradycardie et tachycardie a aussi été rapportée. En cas de surdosage significatif, une insuffisance rénale et des lésions hépatiques sont possibles. Des surdosages élevés sont en principe bien tolérés, lorsquaucun autre médicament nest pris de façon concomitante.
  • -Il n'y a pas d'antidote spécifique en cas de surdosage à l'ibuprofène. Toutefois, il faut procéder immédiatement à un lavage gastrique ou provoquer un vomissement, suivi de mesures de soutien, lorsque la dose prise dans l'heure précédente dépasse les 400 mg/kg.
  • -Lorsque le médicament est déjà absorbé, il faut donner des substances alcalinisantes qui favorisent l'excrétion urinaire de l'ibuprofène acide.
  • +Il ny a pas d'antidote spécifique en cas de surdosage à libuprofène. Toutefois, il faut procéder immédiatement à un lavage gastrique ou provoquer un vomissement, suivi de mesures de soutien, lorsque la dose prise dans lheure précédente dépasse les 400 mg/kg.
  • +Lorsque le médicament est déjà absorbé, il faut donner des substances alcalinisantes qui favorisent lexcrétion urinaire de libuprofène acide.
  • -Mécanisme d'action et Pharmacodynamique
  • -L'ibuprofène est un antirhumatismal non stéroïdien pourvu d'une courte demi-vie d'élimination et dont les propriétés analgésiques, antiphlogistiques et antipyrétiques lui confèrent l'efficacité thérapeutique requise dans les affections rhumatismales.
  • -Les différentes formes galéniques permettent d'instaurer une thérapie adaptée à chaque patient.
  • +Mécanisme daction et Pharmacodynamique
  • +Libuprofène est un antirhumatismal non stéroïdien pourvu dune courte demi-vie délimination et dont les propriétés analgésiques, antiphlogistiques et antipyrétiques lui confèrent lefficacité thérapeutique requise dans les affections rhumatismales.
  • +Les différentes formes galéniques permettent dinstaurer une thérapie adaptée à chaque patient.
  • -L'ibuprofène a un effet inhibiteur prononcée sur la synthèse des prostaglandines, ce qui explique son effet analgésique, antiphlogistique et antipyrétique.
  • -L'inhibition de l'agrégation des thrombocytes, non exploitée en thérapeutique, tout comme l'effet ulcérogène, la rétention de sodium et d'eau et les réactions bronchospastiques comme éventuels effets indésirables, reposent sur le même mécanisme.
  • -Bien que l'ibuprofène influe sur l'agrégation thrombocytaire et sur le temps de saignement, il n'en résulte aucune modification clinique significative ni du temps de prothrombine ni du temps de coagulation.
  • -Des données expérimentales indiquent que l'ibuprofène peut inhiber de manière compétitive l'efficacité de l'acide acétylsalicylique faiblement dosé sur l'agrégation plaquettaire en cas d'administration concomitante. Dans quelques études pharmacodynamiques, une diminution de l'effet de l'acide acétylsalicylique sur la formation du thromboxane ou l'agrégation plaquettaire a été observée lorsque l'ibuprofène à la dose de 400 mg était administré dans les 8 heures précédant la prise de 81 mg d'acide acétylsalicylique à libération immédiate ou dans les 30 minutes consécutives. Bien que l'extrapolation de ces données cliniques ne permette pas d'émettre de conclusion formelle, il ne peut être exclu que l'effet cardioprotecteur de l'acide acétylsalicylique à faible dose puisse être réduit lors d'un traitement au long cours par ibuprofène. Un effet cliniquement pertinent est improbable en cas de prise occasionnelle d'ibuprofène (voir «Propriétés/Effets»).
  • +Libuprofène a un effet inhibiteur prononcée sur la synthèse des prostaglandines, ce qui explique son effet analgésique, antiphlogistique et antipyrétique.
  • +Linhibition de lagrégation des thrombocytes, non exploitée en thérapeutique, tout comme leffet ulcérogène, la rétention de sodium et deau et les réactions bronchospastiques comme éventuels effets indésirables, reposent sur le même mécanisme.
  • +Bien que libuprofène influe sur lagrégation thrombocytaire et sur le temps de saignement, il nen résulte aucune modification clinique significative ni du temps de prothrombine ni du temps de coagulation.
  • +Des données expérimentales indiquent que libuprofène peut inhiber de manière compétitive lefficacité de lacide acétylsalicylique faiblement dosé sur lagrégation plaquettaire en cas dadministration concomitante. Dans quelques études pharmacodynamiques, une diminution de leffet de lacide acétylsalicylique sur la formation du thromboxane ou lagrégation plaquettaire a été observée lorsque libuprofène à la dose de 400 mg était administré dans les 8 heures précédant la prise de 81 mg dacide acétylsalicylique à libération immédiate ou dans les 30 minutes consécutives. Bien que lextrapolation de ces données cliniques ne permette pas démettre de conclusion formelle, il ne peut être exclu que leffet cardioprotecteur de lacide acétylsalicylique à faible dose puisse être réduit lors dun traitement au long cours par ibuprofène. Un effet cliniquement pertinent est improbable en cas de prise occasionnelle dibuprofène (voir «Propriétés/Effets»).
  • -La concentration maximale de substance active, de 15 resp. 25 mg/l en moyenne, est atteinte dans le sérum 1-2 heures après administration orale de 200 mg resp. 400 mg d’ibuprofène. Si l’administration a lieu après le repas, la résorption, qui intervient surtout dans l’intestin grêle, est beaucoup plus lente et les concentrations sériques plus faibles. La demi-vie sérique est de 1.5-2 heures et la fixation à l’albumine d’env. 99 %. L’ibuprofène est rapidement excrété par les reins après métabolisation hépatique, surtout sous forme de métabolites inactifs. On n’observe aucune accumulation d’ibuprofène en cas de prises répétées. L’ibuprofène ou ses métabolites sont éliminés presque totalement 24 heures après la dernière dose.
  • +La concentration maximale de substance active, de 15 resp. 25 mg/l en moyenne, est atteinte dans le sérum 1-2 heures après administration orale de 400 mg d’ibuprofène. Si l’administration a lieu après le repas, la résorption, qui intervient surtout dans l’intestin grêle, est beaucoup plus lente et les concentrations sériques plus faibles. La demi-vie sérique est de 1.5-2 heures et la fixation à l’albumine d’env. 99 %. L’ibuprofène est rapidement excrété par les reins après métabolisation hépatique, surtout sous forme de métabolites inactifs. On n’observe aucune accumulation d’ibuprofène en cas de prises répétées. L’ibuprofène ou ses métabolites sont éliminés presque totalement 24 heures après la dernière dose.
  • -Des études de mutagénicité in vitro et in vivo (bactéries et lymphocytes humains) n'ont pas mis en évidence d'effet mutagène de l'ibuprofène. Des études sur le potentiel tumorigène de l'ibuprofène chez les rats et les souris n'ont pas démontré d'effet cancérigène de l'ibuprofène.
  • +Des études de mutagénicité in vitro et in vivo (bactéries et lymphocytes humains) nont pas mis en évidence deffet mutagène de libuprofène. Des études sur le potentiel tumorigène de libuprofène chez les rats et les souris nont pas démontré deffet cancérigène de libuprofène.
  • -Des études expérimentales sur deux espèces animales ont montré que l'ibuprofène traverse le placenta et inhibe l'ovulation (chez le lapin). Plusieurs études expérimentales sur le rat et le lapin ont mis en évidence que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse de prostaglandines provoque une augmentation des pertes pré-implantatoires et postimplantatoires, de la mortalité embryo-fœtale et des retards de la croissance intra-utérine. On a rapporté également des incidences accrues de différentes malformations, dont des malformations cardio-vasculaires telles que des malformations de la cloison interventriculaire, chez les animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse de prostaglandines pendant la phase d'organogenèse. Avec l'ibuprofène, ces malformations ont été observées à des doses 2-3 fois supérieures à la dose journalière maximale recommandée chez l'être humain (sur la base des données d'exposition extrapolées).
  • +Des études expérimentales sur deux espèces animales ont montré que libuprofène traverse le placenta et inhibe lovulation (chez le lapin). Plusieurs études expérimentales sur le rat et le lapin ont mis en évidence que ladministration dun inhibiteur de la synthèse de prostaglandines provoque une augmentation des pertes pré-implantatoires et post-implantatoires, de la mortalité embryo-fœtale et des retards de la croissance intra-utérine. On a rapporté également des incidences accrues de différentes malformations, dont des malformations cardio-vasculaires telles que des malformations de la cloison interventriculaire, chez les animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse de prostaglandines pendant la phase dorganogenèse. Avec libuprofène, ces malformations ont été observées à des doses 2-3 fois supérieures à la dose journalière maximale recommandée chez lêtre humain (sur la base des données d'exposition extrapolées).
  • -Rarement: Augmentation de l'azote uréique, des transaminases et de la phosphatase alcaline dans le sérum; baisse de l'hémoglobine et de l'hématocrite. Diminution de la concentration sérique de calcium. Inhibition de l'agrégation thrombocytaire et allongement du temps de saignement.
  • +Rarement: Augmentation de lazote uréique, des transaminases et de la phosphatase alcaline dans le sérum; baisse de l'hémoglobine et de l'hématocrite. Diminution de la concentration sérique de calcium. Inhibition de l'agrégation thrombocytaire et allongement du temps de saignement.
  • -Conserver à température ambiante (15-25°C). A maintenir hors de portée des enfants.
  • +Ne pas conserver au-dessus de 30°C, dans l’emballage original et hors de la portée des enfants.
  • -Alges-X: Emballages avec 10 et 20 comprimés pelliculés. [D]
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