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Accueil - Information professionnelle sur Estinette 30 - Changements - 07.02.2019
122 Changements de l'information professionelle Estinette 30
  • -Indications/Possibilités d'emploi
  • +Indications/Possibilités demploi
  • -La décision de prescrire Estinette 30 doit être prise en tenant compte des facteurs de risque de la patiente, notamment ses facteurs de risque de thrombo-embolie veineuse (TEV), ainsi que du risque de TEV associé à Estinette 30 en comparaison aux autres CHC (Contraceptifs Hormonaux Combinés) (voir rubriques « Contre-indications » et «Mises en garde et précautions»).
  • -Posologie/Mode d'emploi
  • -Les CHC tels que Estinette 30 ne devraient être prescrits que par des médecins ayant lexpérience de ces traitements et qui sont en mesure, dune part, de fournir aux patientes toutes les explications requises sur les avantages et inconvénients de toutes les méthodes contraceptives disponibles et, dautre part, de procéder à un examen général et gynécologique.
  • -La prescription dun CHC doit en principe se faire conformément aux dernières recommandations de la Société Suisse de Gynécologie et dObstétrique (SSGO).
  • -Avant le début de la prise dEstinette 30, il faut effectuer un examen général et gynécologique approfondi (voir «Mise en garde et Précautions»). Les dragées doivent être prises dans lordre indiqué sur la plaquette, si possible à la même heure de la journée et de préférence avec du liquide. Une dragée par jour est prise pendant 21 jours successifs.
  • +La décision de prescrire Estinette 30 doit être prise en tenant compte des facteurs de risque de la patiente, notamment ses facteurs de risque de thrombo-embolie veineuse (TEV), ainsi que du risque de TEV associé à Estinette 30 en comparaison aux autres CHC (Contraceptifs Hormonaux Combinés) (voir rubriques «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Posologie/Mode demploi
  • +Les CHC tels que Estinette 30 ne devraient être prescrits que par des médecins ayant l'expérience de ces traitements et qui sont en mesure, d'une part, de fournir aux patientes toutes les explications requises sur les avantages et inconvénients de toutes les méthodes contraceptives disponibles et, d'autre part, de procéder à un examen général et gynécologique.
  • +La prescription d'un CHC doit en principe se faire conformément aux dernières recommandations de la Société Suisse de Gynécologie et d'Obstétrique (SSGO).
  • +Avant le début de la prise d'Estinette 30, il faut effectuer un examen général et gynécologique approfondi (voir «Mise en garde et Précautions»). Les dragées doivent être prises dans l'ordre indiqué sur la plaquette, si possible à la même heure de la journée et de préférence avec du liquide. Une dragée par jour est prise pendant 21 jours successifs.
  • -Il faut commencer la prise des dragées le 1er jour du cycle (= 1er jour des règles). Il est aussi possible de commencer entre le 2e et le 5e jour des règles, mais il est alors recommandé dutiliser dautres méthodes contraceptives non hormonales (à lexception de la méthode dabstinence périodique selon Ogino-Knaus et de la méthode des températures) pendant les 7 premiers jours de la prise de dragées lors du 1er cycle.
  • -Passage dun autre contraceptif hormonal combiné (CHC) à Estinette 30
  • -La prise dEstinette 30 se fait de préférence le lendemain de la prise du dernier comprimé actif du CHC précédent, mais au plus tard le jour suivant lintervalle habituel sans prise ou suivant la phase placebo.
  • -Passage dune préparation à gestagène seul (minipilule, injection dépôt, implant, dispositif intra-utérin délivrant du gestagène [DIU]) Le remplacement de la minipilule peut se faire à un jour quelconque, sans interruption. Celui dun implant ou dun DIU à gestagène peut se faire au plus tôt le jour du retrait, et celui dune préparation injectable au moment où la prochaine injection devrait être faite. Dans tous les cas, il faudra utiliser dautres méthodes contraceptives non hormonales (à lexception de la méthode dabstinence périodique selon Ogino-Knaus et de la méthode des températures) pendant les 7 premiers jours de la prise dEstinette 30.
  • +Il faut commencer la prise des dragées le 1er jour du cycle (= 1er jour des règles). Il est aussi possible de commencer entre le 2e et le 5e jour des règles, mais il est alors recommandé d'utiliser d'autres méthodes contraceptives non hormonales (à l'exception de la méthode d'abstinence périodique selon Ogino-Knaus et de la méthode des températures) pendant les 7 premiers jours de la prise de dragées lors du 1er cycle.
  • +Passage d'un autre contraceptif hormonal combiné (CHC) à Estinette 30
  • +La prise d'Estinette 30 se fait de préférence le lendemain de la prise du dernier comprimé actif du CHC précédent, mais au plus tard le jour suivant l'intervalle habituel sans prise ou suivant la phase placebo.
  • +Passage d'une préparation à gestagène seul (minipilule, injection dépôt, implant, dispositif intra-utérin délivrant du gestagène [DIU]) Le remplacement de la minipilule peut se faire à un jour quelconque, sans interruption. Celui d'un implant ou d'un DIU à gestagène peut se faire au plus tôt le jour du retrait, et celui d'une préparation injectable au moment où la prochaine injection devrait être faite. Dans tous les cas, il faudra utiliser d'autres méthodes contraceptives non hormonales (à l'exception de la méthode d'abstinence périodique selon Ogino-Knaus et de la méthode des températures) pendant les 7 premiers jours de la prise d'Estinette 30.
  • -La prise dEstinette 30 peut être immédiate. Le recours à d'autres méthodes contraceptives est alors inutile.
  • +La prise d'Estinette 30 peut être immédiate. Le recours à d'autres méthodes contraceptives est alors inutile.
  • -La décision quant à la (re)prise dun CHC tel que Estinette 30 après un avortement au 2ème trimestre de grossesse ou un accouchement doit tenir compte du risque accru daccidents thromboemboliques veineux pendant la période puerpérale (jusquà 12 semaines après l accouchement ; cf. « Mises en garde et précautions »).
  • -Dans tous les cas, après un accouchement ou un avortement au 2ème trimestre de grossesse, la prise de Estinette 30 doit débuter au plus tôt entre le 21ème et le 28ème jour. Si le traitement débute plus tard, il est recommandé dappliquer des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales durant les 7 premiers jours de la prise. Si des rapports sexuels ont déjà eu lieu entre-temps, il convient dexclure léventualité dune grossesse ou dattendre les premières règles avant de débuter le traitement.
  • +La décision quant à la (re)prise d'un CHC tel que Estinette 30 après un avortement au 2ème trimestre de grossesse ou un accouchement doit tenir compte du risque accru d'accidents thromboemboliques veineux pendant la période puerpérale (jusqu'à 12 semaines après l' accouchement; cf. « Mises en garde et précautions »).
  • +Dans tous les cas, après un accouchement ou un avortement au 2ème trimestre de grossesse, la prise de Estinette 30 doit débuter au plus tôt entre le 21ème et le 28ème jour. Si le traitement débute plus tard, il est recommandé d'appliquer des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales durant les 7 premiers jours de la prise. Si des rapports sexuels ont déjà eu lieu entre-temps, il convient d'exclure l'éventualité d'une grossesse ou d'attendre les premières règles avant de débuter le traitement.
  • -Si la prise dune ou plusieurs dragées a été oubliée, la protection contraceptive est compromise en fonction de la durée de linterruption depuis la prise de la dernière dragée, en particulier lorsque lintervalle sans hormone en est prolongé.
  • -Si la patiente saperçoit dans un délai de 12 heures quelle a oublié de prendre une dragée à lheure habituelle, elle doit prendre celleci immédiatement. Les dragées suivantes seront à nouveau prises à lheure habituelle. La protection contraceptive nest alors pas compromise.
  • -Si lheure habituelle de la prise de la dragée est passée depuis plus de 12 heures ou si plusieurs dragées successives ont été oubliées, la protection contraceptive nest plus assurée. La patiente doit ingérer la dernière dragée oubliée dès quelle sen aperçoit et la dragée suivante à lheure habituelle, même si cela implique quelle prenne 2 dragées ce jour-là. La prise ultérieure se fait à lheure habituelle. Il est en plus recommandé dutiliser dautres méthodes contraceptives non hormonales pendant les 7 jours suivants (à lexception de la méthode dabstinence périodique selon Ogino-Knaus et de la méthode des températures).
  • -Si ces 7 jours vont plus loin que la plaquette actuelle, la patiente doit commencer directement une nouvelle plaquette après avoir pris la dernière dragée de la 1ère plaquette. Ceci permet déviter une interruption trop longue de la prise hormonale et ainsi le risque dune ovulation. Il est improbable quune hémorragie de privation survienne avant la fin de la 2e plaquette, contrairement à la survenue petites pertes sanglantes ou des saignements intermenstruels qui peuvent apparaître avant.
  • -Si lhémorragie de privation ne se produit pas après la prise de la deuxième plaquette, il faut exclure léventualité dune grossesse avant de commencer une nouvelle plaquette.
  • +Si la prise d'une ou plusieurs dragées a été oubliée, la protection contraceptive est compromise en fonction de la durée de l'interruption depuis la prise de la dernière dragée, en particulier lorsque l'intervalle sans hormone en est prolongé.
  • +Si la patiente s'aperçoit dans un délai de 12 heures qu'elle a oublié de prendre une dragée à l'heure habituelle, elle doit prendre celle-ci immédiatement. Les dragées suivantes seront à nouveau prises à l'heure habituelle. La protection contraceptive n'est alors pas compromise.
  • +Si l'heure habituelle de la prise de la dragée est passée depuis plus de 12 heures ou si plusieurs dragées successives ont été oubliées, la protection contraceptive n'est plus assurée. La patiente doit ingérer la dernière dragée oubliée dès qu'elle s'en aperçoit et la dragée suivante à l'heure habituelle, même si cela implique qu'elle prenne 2 dragées ce jour-là. La prise ultérieure se fait à l'heure habituelle. Il est en plus recommandé d'utiliser d'autres méthodes contraceptives non hormonales pendant les 7 jours suivants (à l'exception de la méthode d'abstinence périodique selon Ogino-Knaus et de la méthode des températures).
  • +Si ces 7 jours vont plus loin que la plaquette actuelle, la patiente doit commencer directement une nouvelle plaquette après avoir pris la dernière dragée de la 1ère plaquette. Ceci permet d'éviter une interruption trop longue de la prise hormonale et ainsi le risque d'une ovulation. Il est improbable qu'une hémorragie de privation survienne avant la fin de la 2e plaquette, contrairement à la survenue petites pertes sanglantes ou des saignements intermenstruels qui peuvent apparaître avant.
  • +Si l'hémorragie de privation ne se produit pas après la prise de la deuxième plaquette, il faut exclure l'éventualité d'une grossesse avant de commencer une nouvelle plaquette.
  • -En cas de troubles gastro-intestinaux sévères, quelle que soit leur cause (c.-à-d. aussi en cas de diarrhée dorigine médicamenteuse, vomissements, etc…) labsorption peut être incomplète et des méthodes de contraception supplémentaires doivent être utilisées.
  • +En cas de troubles gastro-intestinaux sévères, quelle que soit leur cause (c.-à-d. aussi en cas de diarrhée d'origine médicamenteuse, vomissements, etc…) l'absorption peut être incomplète et des méthodes de contraception supplémentaires doivent être utilisées.
  • -La prise doit être poursuivie par la plaquette suivante sans pause après la plaquette actuelle. La patiente peut ainsi retarder la menstruation aussi longtemps quelle le désire (au maximum jusquà la fin de la deuxième plaquette). Pendant cette période, des petites pertes sanglantes ou des saignements intermenstruels peuvent se produire. La prise régulière dEstinette 30 sera ensuite poursuivie après la pause habituelle de
  • +La prise doit être poursuivie par la plaquette suivante sans pause après la plaquette actuelle. La patiente peut ainsi retarder la menstruation aussi longtemps qu'elle le désire (au maximum jusqu'à la fin de la deuxième plaquette). Pendant cette période, des petites pertes sanglantes ou des saignements intermenstruels peuvent se produire. La prise régulière d'Estinette 30 sera ensuite poursuivie après la pause habituelle de
  • -Le début de la menstruation peut être avancé à un autre jour de la semaine en raccourcissant à volonté la période de pause sans prise de dragées. Plus cette période est courte, plus la survenue dune hémorragie de privation est improbable et plus de petites pertes sanglantes ou des saignements intermenstruels sont fréquents pendant la prise de la plaquette suivante (comme lors du report de la menstruation).
  • +Le début de la menstruation peut être avancé à un autre jour de la semaine en raccourcissant à volonté la période de pause sans prise de dragées. Plus cette période est courte, plus la survenue d'une hémorragie de privation est improbable et plus de petites pertes sanglantes ou des saignements intermenstruels sont fréquents pendant la prise de la plaquette suivante (comme lors du report de la menstruation).
  • -Si ces saignements persistent, sils surviennent pour la première fois après des cycles auparavant réguliers ou sils se répètent, il faut aussi envisager des causes dorigine non hormonale. Il est alors indiqué davoir recours à des mesures diagnostiques appropriées afin dexclure une grossesse, une infection, une affection maligne ou une autre affection.
  • -Si une pathologie a pu être exclue, la prise dEstinette 30 peut reprendre ou le passage à une autre formulation peut éventuellement résoudre le problème.
  • -Il se peut que chez certaines patientes, aucune hémorragie de privation ne survienne pendant la pause sans prise de dragées. Une grossesse est improbable si le CHC a été pris conformément aux instructions posologiques. Si le CHC na pas été pris selon les instructions avant la première hémorragie de privation manquante, ou en cas dabsence de deux hémorragies de privation successives, la prise des dragées ne devrait pas être poursuivie et une méthode de contraception non hormonale devrait être utilisée jusquà ce que léventualité dune grossesse puisse être exclue.
  • -Une aménorrhée (allant éventuellement de pair avec une anovulation) ou une oligoménorrhée peuvent survenir chez certaines patientes après larrêt du CHC, en particulier si elles étaient déjà présentes avant ou pendant lutilisation du CHC.
  • +Si ces saignements persistent, s'ils surviennent pour la première fois après des cycles auparavant réguliers ou s'ils se répètent, il faut aussi envisager des causes d'origine non hormonale. Il est alors indiqué d'avoir recours à des mesures diagnostiques appropriées afin d'exclure une grossesse, une infection, une affection maligne ou une autre affection.
  • +Si une pathologie a pu être exclue, la prise d'Estinette 30 peut reprendre ou le passage à une autre formulation peut éventuellement résoudre le problème.
  • +Il se peut que chez certaines patientes, aucune hémorragie de privation ne survienne pendant la pause sans prise de dragées. Une grossesse est improbable si le CHC a été pris conformément aux instructions posologiques. Si le CHC n'a pas été pris selon les instructions avant la première hémorragie de privation manquante, ou en cas d'absence de deux hémorragies de privation successives, la prise des dragées ne devrait pas être poursuivie et une méthode de contraception non hormonale devrait être utilisée jusqu'à ce que l'éventualité d'une grossesse puisse être exclue.
  • +Une aménorrhée (allant éventuellement de pair avec une anovulation) ou une oligoménorrhée peuvent survenir chez certaines patientes après l'arrêt du CHC, en particulier si elles étaient déjà présentes avant ou pendant l'utilisation du CHC.
  • -·Insuffisance rénale: Estinette 30 na pas été étudié chez les femmes atteintes dinsuffisance rénale et aucune recommandation posologique ne peut être formulée pour ces patientes.
  • -·Insuffisance hépatique: Estinette 30 est contre-indiqué chez les femmes atteintes dinsuffisance hépatique.
  • -·Adolescentes: lefficacité et la sécurité ont été examinées chez des femmes âgées de 18 ans et plus. Chez les adolescentes (lorsquil est indiqué), la posologie recommandée dEstinette 30 est la même que chez les adultes. Lutilisation dEstinette 30 avant la première menstruation nest pas indiquée.
  • +Insuffisance rénale: Estinette 30 n'a pas été étudié chez les femmes atteintes d'insuffisance rénale et aucune recommandation posologique ne peut être formulée pour ces patientes.
  • +Insuffisance hépatique: Estinette 30 est contre-indiqué chez les femmes atteintes d'insuffisance hépatique.
  • +Adolescentes: l'efficacité et la sécurité ont été examinées chez des femmes âgées de 18 ans et plus. Chez les adolescentes (lorsqu'il est indiqué), la posologie recommandée d'Estinette 30 est la même que chez les adultes. L'utilisation d'Estinette 30 avant la première menstruation n'est pas indiquée.
  • -oThromboembolie veineuse (patiente traitée par des anticoagulants) ou antécédents de TEV (p. ex. thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire)
  • -oFacteurs de risque majeurs de thrombo-embolie veineuse tels que :
  • -oPrédisposition connue, héréditaire ou acquise, telle quune résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C, un déficit en protéine S
  • -oPrésence simultanée de multiples facteurs de risque de thrombo-embolie veineuse, selon tableau sous la rubrique « Mises en garde et précautions ».
  • +·Thromboembolie veineuse (patiente traitée par des anticoagulants) ou antécédents de TEV (p.ex. thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire)
  • +·Facteurs de risque majeurs de thrombo-embolie veineuse tels que:
  • +·Prédisposition connue, héréditaire ou acquise, telle qu'une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C, un déficit en protéine S
  • +·Présence simultanée de multiples facteurs de risque de thrombo-embolie veineuse, selon tableau sous la rubrique « Mises en garde et précautions ».
  • -oThromboembolie artérielle, antécédents de TEA ou prodromes de TEA (p. ex. angine de poitrine, infarctus du myocarde, accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral)
  • -oFacteurs de risque majeurs de TEA comme
  • -diabète avec complications vasculaires
  • -hypertension artérielle sévère
  • -dyslipoprotéinémie sévère
  • -Antécédents de migraine avec signes neurologiques focaux
  • -Prédisposition héréditaire ou acquise à la TEA, telle quune hyperhomocystéinémie ou la présence danticorps anti- phospholipides (anticorps anti-cardiolipine, anticoagulant lupique)
  • -oPrésence simultanée de multiples facteurs de risque de TEA, selon tableau sous la rubrique «Mises en garde et précautions» .
  • -·Affection hépatique sévère ou antécédent daffection hépatique sévère, en labsence de normalisation des tests fonctionnels hépatiques ;
  • -·Tumeur hépatique (bénigne ou maligne) ou antécédent de tumeur hépatique ;
  • +·Thrombo-embolie artérielle, antécédents de TEA ou prodromes de TEA (p.ex. angine de poitrine, infarctus du myocarde, accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral)
  • +·Facteurs de risque majeurs de TEA comme
  • +diabète avec complications vasculaires
  • +hypertension artérielle sévère
  • +dyslipoprotéinémie sévère
  • +Antécédents de migraine avec signes neurologiques focaux
  • +Prédisposition héréditaire ou acquise à la TEA, telle qu'une hyperhomocystéinémie ou la présence d'anticorps anti- phospholipides (anticorps anti-cardiolipine, anticoagulant lupique)
  • +·Présence simultanée de multiples facteurs de risque de TEA, selon tableau sous la rubrique «Mises en garde et précautions» .
  • +·Affection hépatique sévère ou antécédent d'affection hépatique sévère, en l'absence de normalisation des tests fonctionnels hépatiques;
  • +·Tumeur hépatique (bénigne ou maligne) ou antécédent de tumeur hépatique;
  • -·Présence ou antécédents connus de pancréatite, si elle est ou était associée à une hypertriglycéridémie sévère ;
  • -·Saignements vaginaux dorigine inconnue ;
  • -·Grossesse confirmée ou suspicion de grossesse ;
  • -·Hypersensibilité au principe actif ou à lun des excipients de Estinette 30.
  • +·Présence ou antécédents connus de pancréatite, si elle est ou était associée à une hypertriglycéridémie sévère;
  • +·Saignements vaginaux d'origine inconnue;
  • +·Grossesse confirmée ou suspicion de grossesse;
  • +·Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients de Estinette 30.
  • -Le risque de thrombo-embolie veineuse (TEV) et de thrombo-embolie artérielle (TEA) est augmenté chez les femmes utilisant un CHC par rapport à celles qui nen utilisent pas. Les mises en garde et précautions décrites ciaprès doivent être prises en considération avant toute prescription (cf. « Risque de thrombo-embolie veineuse [TEV] » et « Risque de thrombo-embolie artérielle [TEA] »). Il est en outre important dinformer la patiente des risques daccidents thrombo-emboliques veineux et artériels, des facteurs de risques vasculaires et en particulier des symptômes de TEV et de TEA ainsi que des mesures à prendre en présence de ces symptômes et de suspicion de thrombose (cf. « Les symptômes dune TEV [thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire] » et « Les symptômes dune TEA »).
  • -Avant de prescrire Estinette 30, les bénéfices associés à son utilisation doivent être évalués par rapport aux maladies/risques détaillés ci- dessous. Le degré de gravité de chaque facteur individuel ainsi que la présence concomitante de plusieurs facteurs de risque doivent être pris en compte et discutés avec la patiente (cf. également « Contre-indications »). La patiente est en outre invitée à lire attentivement la notice demballage et à suivre les conseils qui y figurent.
  • -Avant de prescrire Estinette 30, les bénéfices associés à son utilisation doivent être évalués par rapport aux maladies/risques détaillés ci- dessous. Le degré de gravité de chaque facteur individuel ainsi que la présence concomitante de plusieurs facteurs de risque doivent être pris en compte et discutés avec la patiente (cf. également « Contre-indications »). La patiente est en outre invitée à lire attentivement la notice demballage et à suivre les conseils qui y figurent.
  • -Avant le début ou le renouvellement de la prise dun CHC tel que Estinette 30, il est nécessaire de procéder à une anamnèse personnelle et familiale minutieuse ainsi quà un examen général et gynécologique approfondi en prenant en compte les contre-indications et les mises en garde/précautions afin de dépister les affections nécessitant un traitement ainsi que les états à risque, et de pouvoir exclure léventualité dune grossesse. Ces examens comprennent généralement une mesure de la tension artérielle, un examen des seins, de labdomen et des organes pelviens avec frottis cytologique du col et examens de laboratoire appropriés.
  • -Les examens doivent être répétés à intervalle régulier pendant la durée dutilisation des CHC. La fréquence et le type dexamen doivent toutefois être déterminés individuellement et se référer aux directives de la Société Suisse de Gynécologie et dObstétrique (SSGO). Les contre-indications (p. ex. accident ischémique transitoire) et les facteurs de risque (p. ex. anamnèse familiale de thrombose veineuse ou artérielle ; voir « Facteurs de risque de TEV » et « Facteurs de risque de TEA ») peuvent apparaître pour la première fois en cours dutilisation dun CHC et doivent dès lors être recherchés lors de chaque contrôle.
  • +Le risque de thrombo-embolie veineuse (TEV) et de thrombo-embolie artérielle (TEA) est augmenté chez les femmes utilisant un CHC par rapport à celles qui n'en utilisent pas. Les mises en garde et précautions décrites ci-après doivent être prises en considération avant toute prescription (cf. « Risque de thrombo-embolie veineuse [TEV] » et « Risque de thrombo-embolie artérielle [TEA] »). Il est en outre important d'informer la patiente des risques d'accidents thrombo-emboliques veineux et artériels, des facteurs de risques vasculaires et en particulier des symptômes de TEV et de TEA ainsi que des mesures à prendre en présence de ces symptômes et de suspicion de thrombose (cf. « Les symptômes d'une TEV [thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire] » et « Les symptômes d'une TEA »).
  • +Avant de prescrire Estinette 30, les bénéfices associés à son utilisation doivent être évalués par rapport aux maladies/risques détaillés ci- dessous. Le degré de gravité de chaque facteur individuel ainsi que la présence concomitante de plusieurs facteurs de risque doivent être pris en compte et discutés avec la patiente (cf. également «Contre-indications»). La patiente est en outre invitée à lire attentivement la notice d'emballage et à suivre les conseils qui y figurent.
  • +Avant de prescrire Estinette 30, les bénéfices associés à son utilisation doivent être évalués par rapport aux maladies/risques détaillés ci- dessous. Le degré de gravité de chaque facteur individuel ainsi que la présence concomitante de plusieurs facteurs de risque doivent être pris en compte et discutés avec la patiente (cf. également «Contre-indications»). La patiente est en outre invitée à lire attentivement la notice d'emballage et à suivre les conseils qui y figurent.
  • +Avant le début ou le renouvellement de la prise d'un CHC tel que Estinette 30, il est nécessaire de procéder à une anamnèse personnelle et familiale minutieuse ainsi qu'à un examen général et gynécologique approfondi en prenant en compte les contre-indications et les mises en garde/précautions afin de dépister les affections nécessitant un traitement ainsi que les états à risque, et de pouvoir exclure l'éventualité d'une grossesse. Ces examens comprennent généralement une mesure de la tension artérielle, un examen des seins, de l'abdomen et des organes pelviens avec frottis cytologique du col et examens de laboratoire appropriés.
  • +Les examens doivent être répétés à intervalle régulier pendant la durée d'utilisation des CHC. La fréquence et le type d'examen doivent toutefois être déterminés individuellement et se référer aux directives de la Société Suisse de Gynécologie et d'Obstétrique (SSGO). Les contre-indications (p.ex. accident ischémique transitoire) et les facteurs de risque (p.ex. anamnèse familiale de thrombose veineuse ou artérielle; voir « Facteurs de risque de TEV » et « Facteurs de risque de TEA ») peuvent apparaître pour la première fois en cours d'utilisation d'un CHC et doivent dès lors être recherchés lors de chaque contrôle.
  • -La patiente doit être informée quen cas dapparition de lune des contre-indications précitées ou de lune des situations suivantes, il lui faut consulter au plus vite un médecin, qui décidera de la poursuite ou de larrêt de la prise du CHC :
  • -première apparition ou exacerbation de céphalées de type migraineux ou survenue plus fréquente de céphalées dune intensité inhabituelle;
  • -troubles soudains de la vision, de laudition, du langage ou autres troubles sensoriels;
  • -premiers signes de phénomènes thromboemboliques (cf. «Symptômes de TEV [thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire] et Symptômes de TEA»);
  • -au moins 4 semaines avant une intervention chirurgicale prévue et pendant une immobilisation, p.ex. à la suite d'un accident ou d'une opération;
  • -augmentation significative de la tension artérielle (lors de mesures répétées);
  • -apparition d'un ictère, d'une hépatite, d'un prurit généralisé ;
  • -fortes douleurs épigastriques ou hépatomégalie;
  • -grossesse ou suspicion de grossesse.
  • -Risque de thromboembolie veineuse (TEV)
  • -Le risque de TEV est augmenté chez les femmes utilisant un CHC par rapport à celles qui nen utilisent pas. Les CHC contenant du lévonorgestrel, du norgestimate ou de la noréthistérone sont associés au risque de TEV le plus faible. Le risque de TEV associé aux autres CHC, tels que Estinette 30, peut être jusquà deux fois plus élevé.
  • -La décision dutiliser le médicament doit être prise uniquement après un entretien approfondi avec la patiente, afin de sassurer quelle comprenne :
  • +La patiente doit être informée qu'en cas d'apparition de l'une des contre-indications précitées ou de l'une des situations suivantes, il lui faut consulter au plus vite un médecin, qui décidera de la poursuite ou de l'arrêt de la prise du CHC:
  • +·première apparition ou exacerbation de céphalées de type migraineux ou survenue plus fréquente de céphalées d'une intensité inhabituelle;
  • +·troubles soudains de la vision, de l'audition, du langage ou autres troubles sensoriels;
  • +·premiers signes de phénomènes thromboemboliques (cf. «Symptômes de TEV [thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire] et Symptômes de TEA»);
  • +·au moins 4 semaines avant une intervention chirurgicale prévue et pendant une immobilisation, p.ex. à la suite d'un accident ou d'une opération;
  • +·augmentation significative de la tension artérielle (lors de mesures répétées);
  • +·apparition d'un ictère, d'une hépatite, d'un prurit généralisé;
  • +·fortes douleurs épigastriques ou hépatomégalie;
  • +·grossesse ou suspicion de grossesse.
  • +Risque de thrombo-embolie veineuse (TEV)
  • +Le risque de TEV est augmenté chez les femmes utilisant un CHC par rapport à celles qui n'en utilisent pas. Les CHC contenant du lévonorgestrel, du norgestimate ou de la noréthistérone sont associés au risque de TEV le plus faible. Le risque de TEV associé aux autres CHC, tels que Estinette 30, peut être jusqu'à deux fois plus élevé.
  • +La décision d'utiliser le médicament doit être prise uniquement après un entretien approfondi avec la patiente, afin de s'assurer qu'elle comprenne:
  • -·Comment ses facteurs de risque personnels influent sur ce risque ;
  • -·Le risque plus élevé de développer une TEV pendant la première année dutilisation (et en particulier pendant les 3 premiers mois) ;
  • -·Le risque accru de TEV aussi bien lors de la première prise dun CHC que lors de la reprise du même ou dun autre CHC après une interruption dau moins 4 semaines ou plus ;
  • -·Estinette 30 est un médicament. En cas daccident ou dintervention chirurgicale, la patiente doit informer le médecin traitant quelle prend Estinette 30.
  • -Environ 2 femmes sur 10000 nutilisant pas de CHC et qui ne sont pas enceintes développeront une TEV au cours dune année. Le risque peut toutefois être considérablement plus élevé, selon les facteurs de risque individuels (voir ci-dessous).
  • -A partir des données épidémiologiques, il est possible destimer que 9 à 12 femmes sur 10000 utilisant un CHC contenant du gestodène développeront une TEV au cours dune année. En comparaison, ce nombre est estimé à 5 à 7 par année pour 10000 femmes utilisant un CHC contenant du lévonorgestrel.
  • -Dans les deux cas, le nombre de TEV par année est inférieur à celui attendu pendant la grossesse ou en période postpartum. La TEV peut être fatale dans 1 à 2 % des cas.
  • +·Comment ses facteurs de risque personnels influent sur ce risque;
  • +·Le risque plus élevé de développer une TEV pendant la première année d'utilisation (et en particulier pendant les 3 premiers mois);
  • +·Le risque accru de TEV aussi bien lors de la première prise d'un CHC que lors de la reprise du même ou d'un autre CHC après une interruption d'au moins 4 semaines ou plus;
  • +·Estinette 30 est un médicament. En cas d'accident ou d'intervention chirurgicale, la patiente doit informer le médecin traitant qu'elle prend Estinette 30.
  • +Environ 2 femmes sur 10000 n'utilisant pas de CHC et qui ne sont pas enceintes développeront une TEV au cours d'une année. Le risque peut toutefois être considérablement plus élevé, selon les facteurs de risque individuels (voir ci-dessous).
  • +A partir des données épidémiologiques, il est possible d'estimer que 9 à 12 femmes sur 10000 utilisant un CHC contenant du gestodène développeront une TEV au cours d'une année. En comparaison, ce nombre est estimé à 5 à 7 par année pour 10000 femmes utilisant un CHC contenant du lévonorgestrel.
  • +Dans les deux cas, le nombre de TEV par année est inférieur à celui attendu pendant la grossesse ou en période post-partum. La TEV peut être fatale dans 1 à 2% des cas.
  • -Très rarement, chez des utilisatrices de CHC, des cas de thrombose veineuse ont été signalés en dehors des membres (p. ex. thromboses des veines sinusales ou thromboses des veines hépatiques, mésentériques, rénales ou rétiniennes).
  • +Très rarement, chez des utilisatrices de CHC, des cas de thrombose veineuse ont été signalés en dehors des membres (p.ex. thromboses des veines sinusales ou thromboses des veines hépatiques, mésentériques, rénales ou rétiniennes).
  • -Le risque de complications thrombo-emboliques veineuses chez les utilisatrices de CHC peut être considérablement accru si dautres facteurs de risque sont présents, en particulier sils sont multiples (voir le tableau ci-dessous). Lors de lévaluation du rapport bénéfices/risques, il est important de prendre en considération laugmentation particulière du risque daccident thrombo-embolique en présence de plusieurs facteurs de risques concomitants, augmentation qui peut être supérieure à la seule somme des risques pris individuellement. Dans ce cas, le risque global de TEV doit être pris en compte. Estinette 30 est contre-indiqué chez les femmes présentant simultanément de multiples facteurs de risque qui les exposent globalement à un risque élevé de thrombose veineuse.
  • -Tableau : Facteurs de risque de TEV
  • +Le risque de complications thrombo-emboliques veineuses chez les utilisatrices de CHC peut être considérablement accru si d'autres facteurs de risque sont présents, en particulier s'ils sont multiples (voir le tableau ci-dessous). Lors de l'évaluation du rapport bénéfices/risques, il est important de prendre en considération l'augmentation particulière du risque d'accident thrombo-embolique en présence de plusieurs facteurs de risques concomitants, augmentation qui peut être supérieure à la seule somme des risques pris individuellement. Dans ce cas, le risque global de TEV doit être pris en compte. Estinette 30 est contre-indiqué chez les femmes présentant simultanément de multiples facteurs de risque qui les exposent globalement à un risque élevé de thrombose veineuse.
  • +Tableau: Facteurs de risque de TEV
  • -Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m²) Laugmentation de lIMC accroît considérablement le risque. Il est particulièrement important den prendre compte si dautres facteurs de risque sont présents.
  • -Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou le bassin, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre lutilisation du dispositif transdermique/de la pilule/de lanneau (au moins quatre semaines à lavance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin déviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Estinette 30 na pas été interrompu à lavance.
  • -Antécédents familiaux (thrombo-embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant lutilisation de Estinette 30. Si une thrombophilie est détectée, lutilisation de CHC comme Estinette 30 est contre-indiquée.
  • +Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m²) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • +Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou le bassin, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre l'utilisation du dispositif transdermique/de la pilule/de l'anneau (au moins quatre semaines à l'avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d'éviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Estinette 30 n'a pas été interrompu à l'avance.
  • +Antécédents familiaux (thrombo-embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Estinette 30. Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de CHC comme Estinette 30 est contre-indiquée.
  • -Âge En particulier audelà de 35 ans
  • +Âge En particulier au-delà de 35 ans
  • -Remarque : l’immobilisation temporaire, y compris les trajets aériens > 4 heures, peut également constituer un facteur de risque de TEV, en particulier chez les femmes présentant dautres facteurs de risque.
  • -Il nexiste aucun consensus quant au rôle éventuel joué par les varices et les thrombophlébites superficielles dans lapparition ou la progression dune thrombose veineuse.
  • -Le risque accru de thrombo-embolie pendant la période puerpérale doit être pris en compte. Certaines données indiquent en effet que le risque peut être encore augmenté jusquà 12 semaines après laccouchement.
  • +Remarque: l'immobilisation temporaire, y compris les trajets aériens >4 heures, peut également constituer un facteur de risque de TEV, en particulier chez les femmes présentant d'autres facteurs de risque.
  • +Il n'existe aucun consensus quant au rôle éventuel joué par les varices et les thrombophlébites superficielles dans l'apparition ou la progression d'une thrombose veineuse.
  • +Le risque accru de thrombo-embolie pendant la période puerpérale doit être pris en compte. Certaines données indiquent en effet que le risque peut être encore augmenté jusqu'à 12 semaines après l'accouchement.
  • -La patiente doit être informée quen cas dapparition dun ou de plusieurs de ces symptômes, elle doit consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical quelle utilise Estinette 30.
  • -oLes symptômes de la thrombose veineuse profonde peuvent inclure :
  • -ogonflement unilatéral dune jambe et/ou dun pied ou le long dune veine de la jambe ;
  • -odouleur ou sensibilité dans une jambe, pouvant nêtre ressentie quen position debout ou lors de la marche ;
  • -osensation de chaleur, rougeur ou changement de la coloration cutanée de la jambe affectée.
  • -oLes symptômes de lembolie pulmonaire peuvent inclure
  • -odifficulté respiratoire subite et inexpliquée, respiration rapide ou détresse respiratoire, intolérance à leffort ;
  • -otoux dapparition soudaine, éventuellement accompagnée dexpectorations sanglantes ;
  • -odouleur aiguë et soudaine dans la poitrine pouvant samplifier à la respiration profonde ;
  • -oobnubilation sévère, vertiges ou sensation dangoisse ;
  • -otachycardie ou arythmie.
  • -Certains de ces symptômes (p. ex. « essoufflement », « toux ») ne sont pas spécifiques et peuvent être interprétés à tort comme des signes dévénements plus fréquents ou moins sévères (infections respiratoires, p. ex.).
  • -Risque de thromboembolie artérielle (TEA)
  • -Des études épidémiologiques ont montré une association entre lutilisation de contraceptifs hormonaux et laugmentation du risque de thrombo- embolie artérielle (infarctus du myocarde, accident cérébrovasculaire ou accident ischémique transitoire). Avant de décider de prescrire Estinette 30, la patiente doit être informée de ce risque et, surtout, du fait que des facteurs de risque individuels préexistants sont susceptibles daggraver ce risque.
  • -De très rares cas de thromboses dans dautres vaisseaux sanguins (tels que les artères hépatiques, mésentériques, rénales ou rétiniennes) ont été observés.
  • +La patiente doit être informée qu'en cas d'apparition d'un ou de plusieurs de ces symptômes, elle doit consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu'elle utilise Estinette 30.
  • +·Les symptômes de la thrombose veineuse profonde peuvent inclure:
  • +·gonflement unilatéral d'une jambe et/ou d'un pied ou le long d'une veine de la jambe;
  • +·douleur ou sensibilité dans une jambe, pouvant n'être ressentie qu'en position debout ou lors de la marche;
  • +·sensation de chaleur, rougeur ou changement de la coloration cutanée de la jambe affectée.
  • +·Les symptômes de l'embolie pulmonaire peuvent inclure
  • +·difficulté respiratoire subite et inexpliquée, respiration rapide ou détresse respiratoire, intolérance à l'effort;
  • +·toux d'apparition soudaine, éventuellement accompagnée d'expectorations sanglantes;
  • +·douleur aiguë et soudaine dans la poitrine pouvant s'amplifier à la respiration profonde;
  • +·obnubilation sévère, vertiges ou sensation d'angoisse;
  • +·tachycardie ou arythmie.
  • +Certains de ces symptômes (p.ex. « essoufflement », «toux») ne sont pas spécifiques et peuvent être interprétés à tort comme des signes d'événements plus fréquents ou moins sévères (infections respiratoires, p. ex.).
  • +Risque de thrombo-embolie artérielle (TEA)
  • +Des études épidémiologiques ont montré une association entre l'utilisation de contraceptifs hormonaux et l'augmentation du risque de thrombo- embolie artérielle (infarctus du myocarde, accident cérébrovasculaire ou accident ischémique transitoire). Avant de décider de prescrire Estinette 30, la patiente doit être informée de ce risque et, surtout, du fait que des facteurs de risque individuels préexistants sont susceptibles d'aggraver ce risque.
  • +De très rares cas de thromboses dans d'autres vaisseaux sanguins (tels que les artères hépatiques, mésentériques, rénales ou rétiniennes) ont été observés.
  • -Le risque de complications thrombo-emboliques artérielles ou daccident cérébrovasculaire chez les utilisatrices de CHC augmente avec la présence de facteurs de risque (voir tableau). Lors de lévaluation du rapport bénéfices/risques, il est important de prendre en considération laugmentation particulière du risque daccident thrombo-embolique en présence de plusieurs facteurs de risques concomitants, augmentation qui peut être supérieure à la seule somme des risques pris individuellement. Dans ce cas, le risque global de TEA doit être pris en compte. Estinette 30 est contre-indiqué chez les femmes présentant un facteur de risque sévère ou de multiples facteurs de risque de TEA qui les exposent à un risque élevé de thrombose artérielle.
  • -Tableau : Facteurs de risque de TEA
  • +Le risque de complications thrombo-emboliques artérielles ou d'accident cérébrovasculaire chez les utilisatrices de CHC augmente avec la présence de facteurs de risque (voir tableau). Lors de l'évaluation du rapport bénéfices/risques, il est important de prendre en considération l'augmentation particulière du risque d'accident thrombo-embolique en présence de plusieurs facteurs de risques concomitants, augmentation qui peut être supérieure à la seule somme des risques pris individuellement. Dans ce cas, le risque global de TEA doit être pris en compte. Estinette 30 est contre-indiqué chez les femmes présentant un facteur de risque sévère ou de multiples facteurs de risque de TEA qui les exposent à un risque élevé de thrombose artérielle.
  • +Tableau: Facteurs de risque de TEA
  • -Âge En particulier audelà de 35 ans
  • +Âge En particulier au-delà de 35 ans
  • -Diabète Lutilisation de CHC est contreindiquée chez les femmes diabétiques qui présentent déjà des complications vasculaires.
  • +Diabète L'utilisation de CHC est contre-indiquée chez les femmes diabétiques qui présentent déjà des complications vasculaires.
  • -Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2) Laugmentation de lIMC accroît considérablement le risque.Il est particulièrement important den prendre compte si dautres facteurs de risque sont présents.
  • -Antécédents familiaux (thrombo-embolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans). En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant lutilisation de Estinette 30. Si une thrombophilie est détectée, lutilisation de CHC comme Estinette 30 est contre-indiquée.
  • -Migraine Laccroissement de la fréquence ou de la sévérité des migraines lors de lutilisation de Estinette 30 (qui peut être le prodrome dun événement cérébrovasculaire) peut constituer un motif darrêt immédiat de Estinette 30.
  • +Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • +Antécédents familiaux (thrombo-embolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans). En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Estinette 30. Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de CHC comme Estinette 30 est contre-indiquée.
  • +Migraine L'accroissement de la fréquence ou de la sévérité des migraines lors de l'utilisation de Estinette 30 (qui peut être le prodrome d'un événement cérébrovasculaire) peut constituer un motif d'arrêt immédiat de Estinette 30.
  • -Les femmes doivent être informées quen cas dapparition dun ou de plusieurs de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical quelles utilisent Estinette 30.
  • -oLes symptômes dun accident cérébrovasculaire peuvent inclure
  • -operte soudaine de sensibilité ou de force au niveau du visage, dun bras ou dune jambe, touchant une moitié du corps ;
  • -oconfusion soudaine ;
  • -oélocution incompréhensible ou difficulté de compréhension ;
  • -otroubles subits de la vision dun ou des deux yeux ;
  • -otroubles subits de la marche;
  • -overtiges ;
  • -otroubles de léquilibre ou de la coordination;
  • -océphalées soudaines et sévères, ou de durée inhabituelle, de cause inconnue ;
  • -operte de connaissance ou évanouissement avec ou sans épisode convulsif.
  • -oLes symptômes de linfarctus du myocarde peuvent inclure
  • -odouleurs, malaise, sensation de pression, sensation de pesanteur, sensation de serrement ou de tension dans la poitrine, le bras ou derrière le sternum ;
  • -odouleurs irradiant dans le dos, la mâchoire, le cou, le bras ou lestomac ;
  • -osensation de réplétion, troubles gastriques ou effort de vomissement ;
  • -osueurs, nausées, vomissements ou vertiges ;
  • -osensation de grande faiblesse, dangoisse ou essoufflement ;
  • -otachycardie ou arythmies.
  • -oL’occlusion dun vaisseau peut engendrer dautres symptômes
  • -odouleur soudaine, tuméfaction ou cyanose discrète dune extrémité ;
  • -oabdomen aigu.
  • -Suspicion de prédisposition héréditaire ou acquise aux complications thromboemboliques
  • +Les femmes doivent être informées qu'en cas d'apparition d'un ou de plusieurs de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu'elles utilisent Estinette 30.
  • +·Les symptômes d'un accident cérébrovasculaire peuvent inclure
  • +·perte soudaine de sensibilité ou de force au niveau du visage, d'un bras ou d'une jambe, touchant une moitié du corps;
  • +·confusion soudaine;
  • +·élocution incompréhensible ou difficulté de compréhension;
  • +·troubles subits de la vision d'un ou des deux yeux;
  • +·troubles subits de la marche;
  • +·vertiges;
  • +·troubles de l'équilibre ou de la coordination;
  • +·céphalées soudaines et sévères, ou de durée inhabituelle, de cause inconnue;
  • +·perte de connaissance ou évanouissement avec ou sans épisode convulsif.
  • +·oLes symptômes de l'infarctus du myocarde peuvent inclure
  • +·douleurs, malaise, sensation de pression, sensation de pesanteur, sensation de serrement ou de tension dans la poitrine, le bras ou derrière le sternum;
  • +·douleurs irradiant dans le dos, la mâchoire, le cou, le bras ou l'estomac;
  • +·sensation de réplétion, troubles gastriques ou effort de vomissement;
  • +·sueurs, nausées, vomissements ou vertiges;
  • +·sensation de grande faiblesse, d'angoisse ou essoufflement;
  • +·tachycardie ou arythmies.
  • +·oL'occlusion d'un vaisseau peut engendrer d'autres symptômes
  • +·douleur soudaine, tuméfaction ou cyanose discrète d'une extrémité;
  • +·abdomen aigu.
  • +Suspicion de prédisposition héréditaire ou acquise aux complications thrombo-emboliques
  • -Un risque augmenté de cancer du col a été rapporté lors dune utilisation au long cours des CHC (> 5 ans) dans quelques études épidémiologiques. Néanmoins ceci est toujours en discussion de façon controversée dans la mesure où ce résultat est influencé par dautres facteurs, comme une infection par des papillomavirus humains (HPV) (facteurs de risque le plus puissant), par la fréqence de la participation au screening du col de lutérus ou par le comportement sexuel.
  • +Un risque augmenté de cancer du col a été rapporté lors d'une utilisation au long cours des CHC (>5 ans) dans quelques études épidémiologiques. Néanmoins ceci est toujours en discussion de façon controversée dans la mesure où ce résultat est influencé par d'autres facteurs, comme une infection par des papillomavirus humains (HPV) (facteurs de risque le plus puissant), par la fréqence de la participation au screening du col de l'utérus ou par le comportement sexuel.
  • -Une métaanalyse de 54 études épidémiologiques a montré que le risque relatif (RR) quun cancer du sein soit diagnostiqué, est légèrement augmenté chez les femmes qui prennent des CHC (RR = 1,24). Cette augmentation du risque diminue dune manière continue après larrêt des
  • -CHC et nest plus détectable au bout de 10 ans. Les cancers du sein étant rares avant lâge de 40 ans, le nombre supplémentaire de cancers du sein diagnostiqués chez les femmes prenant ou ayant pris récemment un CHC, est faible par rapport au risque total de cancer du sein. Ces études ne donnent pas dindications sur un lien de causalité. Laugmentation du risque observée peut être due aussi bien à un dépistage plus précoce chez les utilisatrices de CHC (au raison du suivi clinique régulier) quaux effets biologiques des CHC, ou aux deux facteurs. Les cancers du sein étaient, au moment où le diagnostic a été posé, tendanciellement moins évolués chez les femmes ayant pris un CHC que chez les femmes nen ayant jamais pris.
  • +Une métaanalyse de 54 études épidémiologiques a montré que le risque relatif (RR) qu'un cancer du sein soit diagnostiqué, est légèrement augmenté chez les femmes qui prennent des CHC (RR = 1,24). Cette augmentation du risque diminue d'une manière continue après l'arrêt des
  • +CHC et n'est plus détectable au bout de 10 ans. Les cancers du sein étant rares avant l'âge de 40 ans, le nombre supplémentaire de cancers du sein diagnostiqués chez les femmes prenant ou ayant pris récemment un CHC, est faible par rapport au risque total de cancer du sein. Ces études ne donnent pas d'indications sur un lien de causalité. L'augmentation du risque observée peut être due aussi bien à un dépistage plus précoce chez les utilisatrices de CHC (au raison du suivi clinique régulier) qu'aux effets biologiques des CHC, ou aux deux facteurs. Les cancers du sein étaient, au moment où le diagnostic a été posé, tendanciellement moins évolués chez les femmes ayant pris un CHC que chez les femmes n'en ayant jamais pris.
  • -Chez les femmes prenant des contraceptifs hormonaux, on a observé dans de rares cas des adénomes hépatocellulaires ou une hyperplasie focale nodulaire, et extrêmement rarement des carcinomes hépatocellulaires. Le risque semble augmenter avec la durée de la prise. La rupture dun adénome hépatocellulaire peut être à lorigine dhémorragies intraabdominales mettant en jeu le pronostic vital. Si des douleurs épigastriques intenses, une hépatomégalie ou des signes en faveur dune hémorragie intra-abdominale apparaissent, il faut inclure léventualité dune tumeur hépatique dans le diagnostic différentiel.
  • -En plus, lors de la prise de CHC, des atteintes hépatocellulaires ont été rapportées. Si une telle atteinte est diagnostiquée la patiente devra arrêter la prise dEstinette 30 et utiliser dautres méthodes contraceptives non hormonales. Un dépistage précoce datteintes hépatocellulaires et larrêt de la prise du médicament peut réduire la gravité des lésions des cellules hépatiques.
  • -Des troubles aigus ou chroniques de la fonction hépatique peuvent imposer un arrêt du CHC jusquà la normalisation des tests de la fonction hépatique.
  • +Chez les femmes prenant des contraceptifs hormonaux, on a observé dans de rares cas des adénomes hépatocellulaires ou une hyperplasie focale nodulaire, et extrêmement rarement des carcinomes hépatocellulaires. Le risque semble augmenter avec la durée de la prise. La rupture d'un adénome hépatocellulaire peut être à l'origine d'hémorragies intra-abdominales mettant en jeu le pronostic vital. Si des douleurs épigastriques intenses, une hépatomégalie ou des signes en faveur d'une hémorragie intra-abdominale apparaissent, il faut inclure l'éventualité d'une tumeur hépatique dans le diagnostic différentiel.
  • +En plus, lors de la prise de CHC, des atteintes hépatocellulaires ont été rapportées. Si une telle atteinte est diagnostiquée la patiente devra arrêter la prise d'Estinette 30 et utiliser d'autres méthodes contraceptives non hormonales. Un dépistage précoce d'atteintes hépatocellulaires et l'arrêt de la prise du médicament peut réduire la gravité des lésions des cellules hépatiques.
  • +Des troubles aigus ou chroniques de la fonction hépatique peuvent imposer un arrêt du CHC jusqu'à la normalisation des tests de la fonction hépatique.
  • -Les femmes prenant un contraceptif hormonal ne doivent pas être traitées simultanément par des préparations à base de millepertuis (Hypericum) car celuici peut compromettre laction contraceptive. Des saignements intermenstruels et des cas isolés de grossesse non désirée ont été rapportés (voir aussi «Interactions»).
  • -Chez les femmes atteintes dhypertriglycéridémie ou ayant des antécédents familiaux dhypertriglycéridémie, lutilisation de CHC peut augmenter le risque de pancréatite.
  • -Bien quune légère augmentation de la tension artérielle pendant la prise de CHC ait été assez fréquemment rapportée, des valeurs élevées cliniquement significatives sont rares. Si la prise du CHC conduit à une augmentation cliniquement significative de la tension artérielle (confirmée par des mesures répétées), la prise du CHC devra être arrêtée. Dans les cas où lindication semble justifiée, on pourra envisager la reprise dun CHC, pour autant que la tension artérielle se soit normalisée (sous traitement).
  • -La prise de CHC peut entraîner une diminution de la tolérance au glucose. Les femmes diabétiques et celles ayant une tolérance au glucose réduite doivent donc toutes être attentivement surveillées lors de la prise dun CHC. Sauf exception, il nexiste aucune raison de modifier le traitement antidiabétique.
  • -Des troubles aigus ou chroniques de la fonction hépatique peuvent imposer un arrêt du CHC, jusquà ce que les valeurs hépatiques se soient normalisées.
  • -La récidive dun ictère cholestatique apparu pour la première fois pendant une grossesse ou lors dune prise antérieure dhormones stéroïdiennes sexuelles, doit faire arrêter la prise du CHC.
  • -Les estrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la vésicule biliaire. Des cas de cholélithiase et dautres affections de la vésicule biliaire (p. ex. cholécystite) ont été rapportés chez des femmes sous contraceptifs hormonaux.
  • +Les femmes prenant un contraceptif hormonal ne doivent pas être traitées simultanément par des préparations à base de millepertuis (Hypericum) car celui-ci peut compromettre l'action contraceptive. Des saignements intermenstruels et des cas isolés de grossesse non désirée ont été rapportés (voir aussi «Interactions»).
  • +Chez les femmes atteintes d'hypertriglycéridémie ou ayant des antécédents familiaux d'hypertriglycéridémie, l'utilisation de CHC peut augmenter le risque de pancréatite.
  • +Bien qu'une légère augmentation de la tension artérielle pendant la prise de CHC ait été assez fréquemment rapportée, des valeurs élevées cliniquement significatives sont rares. Si la prise du CHC conduit à une augmentation cliniquement significative de la tension artérielle (confirmée par des mesures répétées), la prise du CHC devra être arrêtée. Dans les cas où l'indication semble justifiée, on pourra envisager la reprise d'un CHC, pour autant que la tension artérielle se soit normalisée (sous traitement).
  • +La prise de CHC peut entraîner une diminution de la tolérance au glucose. Les femmes diabétiques et celles ayant une tolérance au glucose réduite doivent donc toutes être attentivement surveillées lors de la prise d'un CHC. Sauf exception, il n'existe aucune raison de modifier le traitement antidiabétique.
  • +Des troubles aigus ou chroniques de la fonction hépatique peuvent imposer un arrêt du CHC, jusqu'à ce que les valeurs hépatiques se soient normalisées.
  • +La récidive d'un ictère cholestatique apparu pour la première fois pendant une grossesse ou lors d'une prise antérieure d'hormones stéroïdiennes sexuelles, doit faire arrêter la prise du CHC.
  • +Les estrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la vésicule biliaire. Des cas de cholélithiase et d'autres affections de la vésicule biliaire (p.ex. cholécystite) ont été rapportés chez des femmes sous contraceptifs hormonaux.
  • -Les affections suivantes peuvent survenir ou être aggravées pendant la grossesse ou lutilisation dun CHC, même si les données actuellement disponibles ne permettent pas dimputer une relation de causalité claire avec lutilisation dun CHC : ictère et/ou prurit cholestatique ; cholélithiase ; porphyrie ; lupus érythémateux disséminé ; syndrome hémolytique et urémique ; chorée mineure ; herpes gestationis ; surdité due à une otosclérose. La prise de CHC a en outre été associée à des cas de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse.
  • -Chez les femmes prédisposées, lutilisation de CHC peut occasionnellement provoquer un chloasma, qui est encore renforcé par une exposition intense aux rayons solaires. Les femmes présentant une tendance au chloasma ne devraient donc pas sexposer à des rayonnements UV importants.
  • -La prise régulière dacide folique avant et pendant une grossesse contribue à prévenir les défauts de fermeture du tube neural (Spina bifida, anencéphalie). Hormis une alimentation riche en acide folique, une supplémentation de 0,4 mg par jour (p. ex. par une préparation polyvitaminée) est dès lors recommandée pour toutes les femmes à larrêt de la contraception hormonale sil y a souhait ou possibilité de grossesse.
  • -Chaque dragée dEstinette 30 contient 37 mg de lactose. Les patientes souffrant dune intolérance au galactose, maladie héréditaire rare, dun déficit en lactase de Lapp ou dune malabsorption du glucose et du galactose, et qui suivent un régime sans lactose, doivent tenir compte de cette quantité.
  • +Les affections suivantes peuvent survenir ou être aggravées pendant la grossesse ou l'utilisation d'un CHC, même si les données actuellement disponibles ne permettent pas d'imputer une relation de causalité claire avec l'utilisation d'un CHC: ictère et/ou prurit cholestatique; cholélithiase; porphyrie; lupus érythémateux disséminé; syndrome hémolytique et urémique; chorée mineure; herpes gestationis; surdité due à une otosclérose. La prise de CHC a en outre été associée à des cas de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse.
  • +Chez les femmes prédisposées, l'utilisation de CHC peut occasionnellement provoquer un chloasma, qui est encore renforcé par une exposition intense aux rayons solaires. Les femmes présentant une tendance au chloasma ne devraient donc pas s'exposer à des rayonnements UV importants.
  • +La prise régulière d'acide folique avant et pendant une grossesse contribue à prévenir les défauts de fermeture du tube neural (Spina bifida, anencéphalie). Hormis une alimentation riche en acide folique, une supplémentation de 0,4 mg par jour (p.ex. par une préparation polyvitaminée) est dès lors recommandée pour toutes les femmes à l'arrêt de la contraception hormonale s'il y a souhait ou possibilité de grossesse.
  • +Chaque dragée d'Estinette 30 contient 37 mg de lactose. Les patientes souffrant d'une intolérance au galactose, maladie héréditaire rare, d'un déficit en lactase de Lapp ou d'une malabsorption du glucose et du galactose, et qui suivent un régime sans lactose, doivent tenir compte de cette quantité.
  • -Afin de connaître les éventuelles interactions, il est recommandé de consulter également linformation professionnelle des médicaments co-administrés.
  • -Influence dautres substances sur la pharmacocinétique des contraceptifs hormonaux
  • -·Inducteurs enzymatiques
  • -Des interactions peuvent survenir entre contraceptifs hormonaux et médicaments induisant les enzymes microsomales, ce qui peut conduire à une augmentation de la clairance des hormones sexuelles, à une diminution de leffet contraceptif et à des saignements intermenstruels. Ceci vaut par exemple pour les barbituriques, le bosentan, la carbamazépine, le felbamate, le modafinil, l'oxcarbazépine, la phénytoïne, la primidone, la rifabutine, la rifampicine et le topiramate ainsi que pour les médicaments contenant du millepertuis (Hypericum perforatum).
  • -Linduction enzymatique maximale est en général observée après 2 à 3 semaines et peut persister pendant au moins 4 semaines ou plus après larrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement prendre une méthode de contraception non hormonale ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après larrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante dun inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de lemballage du CHC, il faut passer immédiatement à lemballage suivant, donc sauter lintervalle habituel sans prise de comprimés. Dans ce cas, il ne faut pas sattendre à des règles avant la fin du deuxième emballage. En labsence de règles pendant lintervalle sans prise de comprimés à la fin du deuxième emballage, il est impératif dexclure toute grossesse avant de poursuivre avec un nouvel emballage. En cas de traitement de longue durée avec des médicaments qui entraînent une induction enzymatique hépatique, il convient dutiliser des méthodes contraceptives non hormonales fiables.
  • +Afin de connaître les éventuelles interactions, il est recommandé de consulter également l'information professionnelle des médicaments co-administrés.
  • +Influence d'autres substances sur la pharmacocinétique des contraceptifs hormonaux
  • +Inducteurs enzymatiques
  • +Des interactions peuvent survenir entre contraceptifs hormonaux et médicaments induisant les enzymes microsomales, ce qui peut conduire à une augmentation de la clairance des hormones sexuelles, à une diminution de l'effet contraceptif et à des saignements intermenstruels. Ceci vaut par exemple pour les barbituriques, le bosentan, la carbamazépine, le felbamate, le modafinil, l'oxcarbazépine, la phénytoïne, la primidone, la rifabutine, la rifampicine et le topiramate ainsi que pour les médicaments contenant du millepertuis (Hypericum perforatum).
  • +L'induction enzymatique maximale est en général observée après 2 à 3 semaines et peut persister pendant au moins 4 semaines ou plus après l'arrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement prendre une méthode de contraception non hormonale ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l'arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d'un inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de l'emballage du CHC, il faut passer immédiatement à l'emballage suivant, donc sauter l'intervalle habituel sans prise de comprimés. Dans ce cas, il ne faut pas s'attendre à des règles avant la fin du deuxième emballage. En l'absence de règles pendant l'intervalle sans prise de comprimés à la fin du deuxième emballage, il est impératif d'exclure toute grossesse avant de poursuivre avec un nouvel emballage. En cas de traitement de longue durée avec des médicaments qui entraînent une induction enzymatique hépatique, il convient d'utiliser des méthodes contraceptives non hormonales fiables.
  • -·Inhibiteurs enzymatiques
  • -Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A comme les antifongiques azolés (p. ex. itraconazol, voriconazol, flucinazol), les macrolides (clarithromycim, erythromycin), diltiazem, verapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques des estrogènes et/ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
  • +Inhibiteurs enzymatiques
  • +Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A comme les antifongiques azolés (p.ex. itraconazol, voriconazol, flucinazol), les macrolides (clarithromycim, erythromycin), diltiazem, verapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques des estrogènes et/ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
  • -En cas de prise simultanée et sur une courte durée (jusquà 10 jours) dantibiotiques qui ninteragissent pas avec le système enzymatique du CYP3A4, aucune interaction pharmacocinétique nest à prévoir. Il est cependant nécessaire davertir la patiente que dans certains cas, la maladie (p. ex. maladie vénérienne) contre laquelle lantibiotique est utilisé peut nécessiter en complément lutilisation dune méthode contraceptive mécanique.
  • -En cas de co-médication de longue durée avec des antibiotiques (p. ex. en cas dostéomyélite ou de borréliose), les données dinteraction actuellement disponibles sont insuffisantes. Pour exclure avec certitude toute grossesse, il est dans de tels cas recommandé dutiliser en complément une méthode contraceptive mécanique pendant la durée de lantibiothérapie et pendant les 7 jours qui suivent la fin de ce traitement.
  • -En cas dapparition de diarrhées et/ou de vomissements sous traitement antibiotique, se référer aux indications dans le paragraphe « Comportement lors de troubles gastro-intestinaux » dans la rubrique « Posologie / Mode demploi ».
  • -Influence des contraceptifs hormonaux sur la pharmacocinétique dautres médicaments
  • -Les contraceptifs hormonaux peuvent, par différents mécanismes dinteraction, influer également sur la pharmacocinétique de certains autres médicaments : ils peuvent inhiber les enzymes hépatiques microsomaux ou induire la conjugaison hépatique, en particulier la glucuronoconjugaison. Les concentrations plasmatiques ou tissulaires dautres médicaments peuvent par conséquent être soit augmentées (p. ex. la cyclosporine) soit diminuées (p. ex. la lamotrigine, voir ci-dessous). Par ailleurs, leffet pharmacologique des groupes médicamenteux suivants peut également être influencé : analgésiques, antidépresseurs, antidiabétiques, antimalariques, certaines benzodiazépines, certainsbéta-bloquants, corticostéroïdes, anticoagulants oraux et théophylline.
  • +En cas de prise simultanée et sur une courte durée (jusqu'à 10 jours) d'antibiotiques qui n'interagissent pas avec le système enzymatique du CYP3A4, aucune interaction pharmacocinétique n'est à prévoir. Il est cependant nécessaire d'avertir la patiente que dans certains cas, la maladie (p.ex. maladie vénérienne) contre laquelle l'antibiotique est utilisé peut nécessiter en complément l'utilisation d'une méthode contraceptive mécanique.
  • +En cas de co-médication de longue durée avec des antibiotiques (p.ex. en cas d'ostéomyélite ou de borréliose), les données d'interaction actuellement disponibles sont insuffisantes. Pour exclure avec certitude toute grossesse, il est dans de tels cas recommandé d'utiliser en complément une méthode contraceptive mécanique pendant la durée de l'antibiothérapie et pendant les 7 jours qui suivent la fin de ce traitement.
  • +En cas d'apparition de diarrhées et/ou de vomissements sous traitement antibiotique, se référer aux indications dans le paragraphe « Comportement lors de troubles gastro-intestinaux » dans la rubrique « Posologie / Mode d'emploi ».
  • +Influence des contraceptifs hormonaux sur la pharmacocinétique d'autres médicaments
  • +Les contraceptifs hormonaux peuvent, par différents mécanismes d'interaction, influer également sur la pharmacocinétique de certains autres médicaments: ils peuvent inhiber les enzymes hépatiques microsomaux ou induire la conjugaison hépatique, en particulier la glucuronoconjugaison. Les concentrations plasmatiques ou tissulaires d'autres médicaments peuvent par conséquent être soit augmentées (p.ex. la cyclosporine) soit diminuées (p.ex. la lamotrigine, voir ci-dessous). Par ailleurs, l'effet pharmacologique des groupes médicamenteux suivants peut également être influencé: analgésiques, antidépresseurs, antidiabétiques, antimalariques, certaines benzodiazépines, certainsbéta-bloquants, corticostéroïdes, anticoagulants oraux et théophylline.
  • -Une étude sur l'interaction avec la lamotrigine, un antiépileptique, et un contraceptif oral combiné (30 µg d'éthinylestradiol/150 µg de lévonorgestrel) a montré une hausse significative de la clairance de la lamotrigine et une diminution significative des taux plasmatiques de lamotrigine lorsque ces médicaments sont administrés en même temps. Une telle diminution des concentrations plasmatiques peut s'accompagner d'une réduction du contrôle des crises. On ignore cependant dans quelle mesure ces résultats sont transposables à dautres contraceptifs combinés avec dautres composants progestatifs ou oestrogéniques. Mais on peut partir du principe que ces préparations présentent un profil dinteractions comparable.
  • -Lorsqu'un traitement par Estinette 30 est nouvellement instauré chez une patiente prenant de la lamotrigine, une adaptation de la dose de lamotrigine peut donc être nécessaire, et les concentrations de lamotrigine devraient être surveillées étroitement au début du traitement. En loccurrence, il peut y avoir une hausse significative du taux de lamotrigine (selon les cas jusquà un niveau toxique) lors de larrêt de la prise du contraceptif hormonal (ainsi dans certains cas pendant la période de 7 jours sans prise).
  • +Une étude sur l'interaction avec la lamotrigine, un antiépileptique, et un contraceptif oral combiné (30 µg d'éthinylestradiol/150 µg de lévonorgestrel) a montré une hausse significative de la clairance de la lamotrigine et une diminution significative des taux plasmatiques de lamotrigine lorsque ces médicaments sont administrés en même temps. Une telle diminution des concentrations plasmatiques peut s'accompagner d'une réduction du contrôle des crises. On ignore cependant dans quelle mesure ces résultats sont transposables à d'autres contraceptifs combinés avec d'autres composants progestatifs ou oestrogéniques. Mais on peut partir du principe que ces préparations présentent un profil d'interactions comparable.
  • +Lorsqu'un traitement par Estinette 30 est nouvellement instauré chez une patiente prenant de la lamotrigine, une adaptation de la dose de lamotrigine peut donc être nécessaire, et les concentrations de lamotrigine devraient être surveillées étroitement au début du traitement. En l'occurrence, il peut y avoir une hausse significative du taux de lamotrigine (selon les cas jusqu'à un niveau toxique) lors de l'arrêt de la prise du contraceptif hormonal (ainsi dans certains cas pendant la période de 7 jours sans prise).
  • -La prise dEstinette 30 est contre-indiquée pendant la grossesse. Il faut donc exclure toute grossesse avant le début du traitement. Si une grossesse survient ou est suspectée lors de lutilisation dEstinette 30, la prise du médicament doit être arrêtée immédiatement et le médecin consulté.
  • -Des études expérimentales animales suggèrent des risques pour le fœtus (voir aussi « Données précliniques »). La plupart des études épidémiologiques réalisées jusquà présent nont ttoutefois montré aucun indice en faveur dun effet embryotoxique ou tératogène lors de la prise accidentelle de CHC pendant la grossesse.
  • -Estinette 30 ne doit pas être utilisé pendant lallaitement car il peut réduire la production de lait et modifier sa qualité, dautre part de faibles quantités de principe actif peuvent être mesurées dans le lait. Des méthodes de contraception non hormonales devront si possible être utilisées jusquà ce que la mère ait complètement cessé dallaiter.
  • -Concernant le risque dévénements thrombo-emboliques chez la mère pendant la période puerpérale, voir la rubrique « Mises en garde et précautions ».
  • -Effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines
  • -Aucun effet sur laptitude à la conduite et lutilisation de machines na été observé.
  • +La prise d'Estinette 30 est contre-indiquée pendant la grossesse. Il faut donc exclure toute grossesse avant le début du traitement. Si une grossesse survient ou est suspectée lors de l'utilisation d'Estinette 30, la prise du médicament doit être arrêtée immédiatement et le médecin consulté.
  • +Des études expérimentales animales suggèrent des risques pour le fœtus (voir aussi « Données précliniques »). La plupart des études épidémiologiques réalisées jusqu'à présent n'ont ttoutefois montré aucun indice en faveur d'un effet embryotoxique ou tératogène lors de la prise accidentelle de CHC pendant la grossesse.
  • +Estinette 30 ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement car il peut réduire la production de lait et modifier sa qualité, d'autre part de faibles quantités de principe actif peuvent être mesurées dans le lait. Des méthodes de contraception non hormonales devront si possible être utilisées jusqu'à ce que la mère ait complètement cessé d'allaiter.
  • +Concernant le risque d'événements thrombo-emboliques chez la mère pendant la période puerpérale, voir la rubrique « Mises en garde et précautions ».
  • +Effet sur laptitude à la conduite et lutilisation de machines
  • +Aucun effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines n'a été observé.
  • -Indications dincidence Très rares: <0,01%. Rares: ≥ 0,01% à <0,1%.
  • -Occasionnels: ≥ 0,1% à <1%. Fréquents: ≥ 1% à <10%. Très fréquents: ≥ 10%.
  • +Indications d'incidence Très rares: <0,01%. Rares: ≥0,01% à <0,1%.
  • +Occasionnels: ≥0,1% à <1%. Fréquents: ≥1% à <10%. Très fréquents: ≥10%.
  • -Sans indication dincidence: hyperplasie focale nodulaire
  • +Sans indication d'incidence: hyperplasie focale nodulaire
  • -Rare: réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes y compris des très rares cas durticaire, oedème de Quincke et réactions graves avec symptômes respiratoires et circulatoires.
  • -Très rares: exacerbation dun lupus érythémateux systémique
  • +Rare: réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes y compris des très rares cas d'urticaire, oedème de Quincke et réactions graves avec symptômes respiratoires et circulatoires.
  • +Très rares: exacerbation d'un lupus érythémateux systémique
  • -Occasionnel: augmentation ou baisse de lappétit, modifications du taux sérique de lipides, y compris hypertriglycéridémie
  • -Rare: diminution de la tolérance au glucose, baisse du taux sérique de folates (ceci pourrait être important pour les femmes débutant une grossesse peu après larrêt du COC)
  • -Très rare: exacerbation dune porphyrie
  • +Occasionnel: augmentation ou baisse de l'appétit, modifications du taux sérique de lipides, y compris hypertriglycéridémie
  • +Rare: diminution de la tolérance au glucose, baisse du taux sérique de folates (ceci pourrait être important pour les femmes débutant une grossesse peu après l'arrêt du COC)
  • +Très rare: exacerbation d'une porphyrie
  • -Fréquent: changements dhumeur, y compris dépression, troubles de la libido
  • +Fréquent: changements d'humeur, y compris dépression, troubles de la libido
  • -Très rare: exacerbation dune chorée
  • +Très rare: exacerbation d'une chorée
  • -Rares: thrombo-embolie veineuse (p. ex. thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire), thrombo-embolie artérielle (p. ex. accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde)
  • +Rares: thrombo-embolie veineuse (p.ex. thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire), thrombo-embolie artérielle (p.ex. accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde)
  • -Sans indication dincidence: maladie intestinale inflammatoire chronique (maladie de Crohn, colite ulcéreuse).
  • +Sans indication d'incidence: maladie intestinale inflammatoire chronique (maladie de Crohn, colite ulcéreuse).
  • -Troubles cutanés et des tissus souscutanés
  • +Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • -Fréquent: douleurs dans les seins, sensibilité et augmentation du volume des seins, sécrétion glandulaire, dysménorrhée, aménorrhée, modification du flux menstruel (ménorragie, métrorragie), modification de la sécrétion de glaire cervicale et déctopie du col utérin.
  • +Fréquent: douleurs dans les seins, sensibilité et augmentation du volume des seins, sécrétion glandulaire, dysménorrhée, aménorrhée, modification du flux menstruel (ménorragie, métrorragie), modification de la sécrétion de glaire cervicale et d'éctopie du col utérin.
  • -Un surdosage peut provoquer des nausées, des vomissements, une sensibilité des seins, des vertiges, des douleurs abdominales, une somnolence/fatigue et des hémorragies de privation. Il nexiste pas dantidote spécifique. Un traitement symptomatique est éventuellement requis.
  • +Un surdosage peut provoquer des nausées, des vomissements, une sensibilité des seins, des vertiges, des douleurs abdominales, une somnolence/fatigue et des hémorragies de privation. Il n'existe pas d'antidote spécifique. Un traitement symptomatique est éventuellement requis.
  • -Estinette 30 est un contraceptif oral qui contient comme principes actifs léthinylestradiol et le gestodène.
  • +Estinette 30 est un contraceptif oral qui contient comme principes actifs l'éthinylestradiol et le gestodène.
  • -Comme pour tous les contraceptifs hormonaux combinés (CHC), laction contraceptive de Estinette 30 repose sur différents facteurs dont les plus importants sont le blocage de lovulation et la modification de la glaire cervicale. En outre, lendomètre offre des conditions défavorables à une nidation en raison des altérations morphologiques et enzymatiques quil subit. Enfin, du fait des modifications hormonales induites par le CHC, les cycles deviennent plus réguliers et les saignements moins abondants.
  • +Comme pour tous les contraceptifs hormonaux combinés (CHC), l'action contraceptive de Estinette 30 repose sur différents facteurs dont les plus importants sont le blocage de l'ovulation et la modification de la glaire cervicale. En outre, l'endomètre offre des conditions défavorables à une nidation en raison des altérations morphologiques et enzymatiques qu'il subit. Enfin, du fait des modifications hormonales induites par le CHC, les cycles deviennent plus réguliers et les saignements moins abondants.
  • -Ethinylestradiol : Après administration orale, léthinylestradiol (EE) est résorbé rapidement et presque complètement. LEE subit un effet de premier passage important et a une biodisponibilité denviron 40–60%. Les concentrations sériques maximales sont atteintes dans un délai de 1–2 heures.
  • -Gestodène : Après administration orale, le gestodène est résorbé rapidement et est presque totalement disponible. Les taux plasmatiques maximaux sont atteints dans un délai denviron 1 heure.
  • +Ethinylestradiol: Après administration orale, l'éthinylestradiol (EE) est résorbé rapidement et presque complètement. L'EE subit un effet de premier passage important et a une biodisponibilité d'environ 40–60%. Les concentrations sériques maximales sont atteintes dans un délai de 1–2 heures.
  • +Gestodène: Après administration orale, le gestodène est résorbé rapidement et est presque totalement disponible. Les taux plasmatiques maximaux sont atteints dans un délai d'environ 1 heure.
  • -Ethinylestradiol : L’EE est fortement lié à lalbumine sérique (environ 98%) et induit une augmentation des concentrations sériques de SHBG (sex hormone binding globulin). Le volume de distribution est denviron 5 l/kg.
  • -Conditions à létat déquilibre: conformément à la demi-vie terminale variable, les taux sériques dEE atteignent leur état déquilibre au bout dune semaine environ.
  • -Gestodène : Le gestodène est lié aussi bien à lalbumine sérique quà la sex hormone binding globulin (SHBG). Seuls 1–2% de la concentration sérique totale sont sous forme de stéroïde libre, 50–70% sont liés spécifiquement et avec une forte affinité à la SHBG. Laugmentation de la concentration de SHBG induite par léthinylestradiol influe sur la liaison relative aux protéines sériques, entraînant une augmentation de la liaison à la SHBG et une diminution de la liaison à lalbumine et de la fraction libre. Le volume de distribution du gestodène est de 0,7 l/kg.
  • -Conditions à létat déquilibre:
  • -La pharmacocinétique du gestodène est influencée par les taux de SHBG qui sont multipliés par trois par léthinylestradiol. Lors dune prise quotidienne, les taux sériques de gestodène quadruplent à peu près, létat déquilibre étant atteint dans la deuxième moitié du cycle dadministration.
  • +Ethinylestradiol: L'EE est fortement lié à l'albumine sérique (environ 98%) et induit une augmentation des concentrations sériques de SHBG (sex hormone binding globulin). Le volume de distribution est d'environ 5 l/kg.
  • +Conditions à l'état d'équilibre: conformément à la demi-vie terminale variable, les taux sériques d'EE atteignent leur état d'équilibre au bout d'une semaine environ.
  • +Gestodène: Le gestodène est lié aussi bien à l'albumine sérique qu'à la sex hormone binding globulin (SHBG). Seuls 1–2% de la concentration sérique totale sont sous forme de stéroïde libre, 50–70% sont liés spécifiquement et avec une forte affinité à la SHBG. L'augmentation de la concentration de SHBG induite par l'éthinylestradiol influe sur la liaison relative aux protéines sériques, entraînant une augmentation de la liaison à la SHBG et une diminution de la liaison à l'albumine et de la fraction libre. Le volume de distribution du gestodène est de 0,7 l/kg.
  • +Conditions à l'état d'équilibre:
  • +La pharmacocinétique du gestodène est influencée par les taux de SHBG qui sont multipliés par trois par l'éthinylestradiol. Lors d'une prise quotidienne, les taux sériques de gestodène quadruplent à peu près, l'état d'équilibre étant atteint dans la deuxième moitié du cycle d'administration.
  • -Ethinylestradiol : L’EE fait lobjet dun métabolisme présystémique aussi bien dans la muqueuse de lintestin grêle que dans le foie. Il subit une oxydation, catalysée par le CYP 3A4, produisant différents métabolites hydroxylés et méthylés (principaux métabolites: 2-hydroxyéthinylestradiol et 2méthoxyéthinylestradiol) et une conjugaison avec lacide glucuronique et des sulfates. Les conjugués sont soumis à un cycle entérohépatique.
  • -Gestodène : Le gestodène est complètement métabolisé par réduction du groupement cétonique 3 et de la double liaison 4, ainsi que par un certain nombre détapes dhydroxylation.
  • +Ethinylestradiol: L'EE fait l'objet d'un métabolisme présystémique aussi bien dans la muqueuse de l'intestin grêle que dans le foie. Il subit une oxydation, catalysée par le CYP 3A4, produisant différents métabolites hydroxylés et méthylés (principaux métabolites: 2-hydroxyéthinylestradiol et 2- méthoxyéthinylestradiol) et une conjugaison avec l'acide glucuronique et des sulfates. Les conjugués sont soumis à un cycle entérohépatique.
  • +Gestodène: Le gestodène est complètement métabolisé par réduction du groupement cétonique 3 et de la double liaison Δ4, ainsi que par un certain nombre d'étapes d'hydroxylation.
  • -Ethinylestradiol :La demi-vie terminale est denviron 16 à 18 heures. LEE est éliminé, sous forme de métabolites glucuronides et sulfoconjugués, par lurine et les fèces dans un rapport de 4:6.
  • -Gestodène : La demi-vie terminale du gestodène est denviron 16 à 18 heures. Les métabolites sont éliminés dans lurine et les fèces dans un rapport de 6:4.
  • +Ethinylestradiol:La demi-vie terminale est d'environ 16 à 18 heures. L'EE est éliminé, sous forme de métabolites glucuronides et sulfoconjugués, par l'urine et les fèces dans un rapport de 4:6.
  • +Gestodène: La demi-vie terminale du gestodène est d'environ 16 à 18 heures. Les métabolites sont éliminés dans l'urine et les fèces dans un rapport de 6:4.
  • -On ne dispose pas de données sur la pharmacocinétique chez des femmes atteintes dinsuffisance rénale ou hépatique.
  • +On ne dispose pas de données sur la pharmacocinétique chez des femmes atteintes d'insuffisance rénale ou hépatique.
  • -Les études précliniques effectuées avec les contraceptifs oraux combinés sur la toxicité après administration répétée, la génotoxicité et le potentiel carcinogène nont montré aucun indice clair de risques particuliers pour lêtre humain, même si un risque accru de carcinome hépatique a pu être mis en évidence dans des études épidémiologiques.
  • -Chez les animaux dexpérience, léthinylestradiol a déjà présenté un effet embryolétal à une posologie relativement faible; des malformations du tractus urogénital et une féminisation des foetus de sexe masculin ont été observées. Dans les expérimentales animales, les substances progestatives ont présenté un effet embryolétal et à fortes doses, un effet virilisant sur les foetus de sexe féminin.
  • -Les études toxicologiques de reproduction chez le rat, la souris et le lapin nont montré aucun indice daction tératogène.
  • -Voir la rubrique «Grossesse/Allaitement» pour les expériences chez lêtre humain.
  • +Les études précliniques effectuées avec les contraceptifs oraux combinés sur la toxicité après administration répétée, la génotoxicité et le potentiel carcinogène n'ont montré aucun indice clair de risques particuliers pour l'être humain, même si un risque accru de carcinome hépatique a pu être mis en évidence dans des études épidémiologiques.
  • +Chez les animaux d'expérience, l'éthinylestradiol a déjà présenté un effet embryolétal à une posologie relativement faible; des malformations du tractus urogénital et une féminisation des foetus de sexe masculin ont été observées. Dans les expérimentales animales, les substances progestatives ont présenté un effet embryolétal et à fortes doses, un effet virilisant sur les foetus de sexe féminin.
  • +Les études toxicologiques de reproduction chez le rat, la souris et le lapin n'ont montré aucun indice d'action tératogène.
  • +Voir la rubrique «Grossesse/Allaitement» pour les expériences chez l'être humain.
  • -Estinette 30 ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur lemballage.
  • +Estinette 30 ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Ne pas conserver au-dessus de 25°C.
  • -Conserver dans lemballage dorigine, à labri de la lumière et de lhumidité et hors de portée des enfants.
  • +Ne pas conserver au-dessus de 25 °C.
  • +Conserver dans l'emballage d'origine, à l'abri de la lumière et de l'humidité et hors de portée des enfants.
  • -58321 (Swissmedic).
  • +58'321 (Swissmedic).
  • -Catégorie de remise : B
  • -Titulaire de l'autorisation
  • -Effik SA, 6900 Lugano.
  • -Mise à jour de l'information
  • +Catégorie de remise: B
  • +Titulaire de lautorisation
  • +Gedeon Richter (Schweiz) AG, 6330 Cham
  • +Mise à jour de linformation
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